juste son prénom le soir où nous sommes passés. Elle n'a pas non plus
accepté
d'être logée pour la soirée, mais a accepté une p
és. Elle n'a pas non plus accepté d'être logée pour la soirée, mais a
accepté
une paire de chaussettes, et du thé chaud.
il fallait pour qu'un grand exclu (terme employé par les infirmières)
accepte
les soins. Il a refusé d'être conduit à l'hôpital
e prison ou il se retrouvait privé de liberté. La seule chose qu'il a
accepté
c'est que l'infirmière qu'il connaissait bien lui
bien lui fasse un pansement. L'objectif de l'infirmière : Un jour il
acceptera
une place en lit infirmier, peut importe le temps
oulait pas. Il lui a alors proposé le passage d'une maraude qu'elle a
accepté
. Nous somme donc allé à sa rencontre et après dis
cepté. Nous somme donc allé à sa rencontre et après discussion elle a
accepté
d'aller aux urgences voir un médecin. Nous l'avon
e n'avais jamais silloné les rues de Paris ainsi: apporter de l'aide;
accepter
le refus de l'aide; discuter de tout et de rien;
nce. Plusieurs personnes refusent notre aide ou bien alors d’autres l´
acceptent
mais faute de place dans un logement social nous
qui m'a le plus étonné étant le refus de certaines familles ou SDF d'
accepter
un logement pour la nuit, préférant rester dehors
inzaine de sans abris que nous sommes aller voir , seulement deux ont
accepté
d'être hébergés pour la nuit . J'ai encore du mal
t . J'ai encore du mal a comprendre cette attitude de refus mais j'ai
accepté
qu'on ne pouvait pas les forcer a venir avec nous
t leur entraide m'a beaucoup touchée. Ils etaient alcoolisés mais ont
accepté
de venir dormir au foyer et profiter d'un repas c
hie? Aucune réaction ne me paraissait adaptée.. D ailleurs peu de sdf
acceptaient
une aide, sûrement en raison de cet abord anormal
rs préoccupations et la bonne manière de s'adresser à eux pour qu'ils
acceptent
de l'aide ou des soins.
ons pratiques directes. Et la jeune fille qui refuse l'hôtel car il n'
acceptait
pas son compagnon... Elle préférait rester dans l
ri selon lequel il faudrait se battre toute la nuit pour que les gens
acceptent
de venir dans le camion, que l'atmosphère serait
i face aux SDF ne voulant pas être hébergé... c'est assez difficile à
accepter
. Nous sommes très observateurs, mais cela n'est p
vers eux, les écouter et les aider du mieux qu'on peut. Le plus dur à
accepter
en tant qu'aidant et qui génère une certaine frus
nes dans le besoin s'ouvrent un peu plus, se dévoilent un peu plus et
acceptent
notre aide et on se rend compte également que der
soupe chaude, un duvet, une écoute... Le plus dur est probablement d'
accepter
leur choix de ne pas vouloir aller en hébergement
nous présentons à eux mais en leur expliquant un peu notre rôle, ils
acceptent
alors un échange avec nous. A un moment de la nui
gement par manque de place, cela m'a semblé difficile à entendre et à
accepter
. Cela m'a permis de prendre conscience de la chan
é son parcours. Nous lui avons proposé une soupe, qu'il a joyeusement
accepté
. Et c'est alors que j'ai aperçu des étoiles dans
erriblement mal. Notre mission ce soir a été de tout faire pour qu'il
accepte
de venir dormir dans un centre pour s'abriter, po
pas chaud. Après une bonne demi-heure de négociation, il a finalement
accepté
. Au centre, nous l'avons douché, il a diné et que
ar sinon il perdait sa place dans une cabine téléphonique, il a juste
accepté
un café et une couverture. La garde au Samu socia
ment et l'existence du SAMU social. Certaines situations sont dures à
accepter
ainsi que le fait de voir que certains ont abando
andeur de l'aide proposée, d'autres sont réticents mais finissent par
accepter
, d'autres encore refusent malheureusement tout co
s qui appellent le 115 tandis que lors de la maraude peu de personnes
acceptent
ces places d'hébergement. J'étais à l'arrière tan
s avons rencontré beaucoup de personnes démunies, mais pas toutes ont
accepté
notre aide.
é de discuter longuement avec un sans-abri d’origine portugaise qui a
accepté
de partager son histoire avec moi. Je garde un tr
ait froid, mais j'ai quand même été touchée. Il y a des habitués, qui
acceptent
les repas et hébergement depuis plusieurs mois, d
ience que l'aide qui est proposée aux sans abris, n'est pas forcément
acceptée
par ceux ci. D'où une certaine incompréhension de
étrangers que nous avons rencontré. Seulement 4 sur une douzaine, on
accepté
d'être emmenés dans un centre d'hébergement, uniq
eux mêmes plutôt que d'être aider par le Samu Social. Mais d'autres,
accepte
volontiers de l'aide; le samu social est là pour
riste un peu quant à la demande des gens de la rue... Et leur refus d'
accepter
l'aide peut laisser perplexe. Mais garde très int
f se trouvant devant le centre demande à être hébergé, on ne peut pas
accepter
car sinon tous les sdf viendraient directement de
ur essayer de le sortir de cette situation, voire même juste le faire
accepter
d’aller en foyer pour la nuit.
et trouver des vêtements : il a refusé. Nous avons du négocier : il a
accepté
.
les vols...), de leurs tentatives de s'intégrer à une société qui les
accepte
difficilement... Autant de problématiques que je
usion par perte d'espoir sûrement, c'est l'aspect le plus difficile à
accepter
.
e puis avec les SDF qui montrent un réel désir d'échange meme s'ils n'
acceptent
pas toujours les soins et les aides qu'ont leur p
s par 4*C, des personnes en condition de mobilité réduite ne pas être
acceptées
dans certains foyers.
ter dans la rue, un environnement qui leur est familier, plutôt que d'
accepter
d'être pris en charge par le SAMU social et les a
ersonnes habituellement difficile à convaincre de venir avec nous ont
accepté
pour au moins faire des lessives. Malgré cela, no
C'était une grande victoire car cet homme, bien connu du samu social,
accepte
très rarement d'être aidé. Je recommande vivement
voir le médecin ou même de trouver un établissement pour une nuit qui
accepte
les animaux.
x dangers : le froid, les gens alcoolisés... et pourtant, si certains
acceptent
d'aller pour une nuit dans des centres d'hébergem
ort sympathique et un autre connu du samu social fort mal empoint. Il
accepte
de dormir ce soir dans un centre a montrouge (le
ailleurs. Nous leur avons proposé un logement pour la nuit qu'ils ont
acceptés
. Ce fut un moment riche. Je garde en mémoire un m
ontact de plusieurs personnes. L'une a refusé toute aide, une autre a
accepté
d'être hébergée pour la nuit, d'autres étaient he
t des foyers d'hébergement et la dure tâche des personnes qui doivent
accepter
ou bien refuser les appels de détresse. La maraud
écharpe rose qui l'a remerciée mais lui a dit qu'il ne pouvait pas l'
accepter
qu'il fallait qu'elle la garde pour qu'elle n'att
z là s'il vous plait, j'espère qu'elle vous tiendra bien chaud" et il
accepta
l'écharpe et un peu d'argent. Depuis il la garde
quel point elle avait besoin d'aide pour trouver l'hôpital et y être
acceptée
, pour enregistrer le chemin en métro qu'elle alla
rent tout simplement. On se rend surtout compte que c'est difficile d'
accepter
que certains puissent vivre dans la rue, et peu d
mment en terme d'insécurité. J'ai aussi visité un logement social qui
acceptait
de les abriter et ça a été ma plus grande surpris
Il ne veut que rarement venir dormir dans un centre et ce soir, il a
accepté
de venir. Il semblait fatigué, usé, démoralisé. O
implement, par ce fait, qu'il faudrait laisser le choix aux équipes d'
accepter
de marauder ou non avec des étudiants et ne pas l
une écharpe ou encore un caleçon pour rester propre mais sans jamais
accepter
de dormir au chaud et sans même prononcer la moin
é, nous lui avons en plus proposé des chaussettes et de l'eau qu'il a
accepté
. On lui a demandé comment il allait, ce qu'il fai
s" peuvent être attendrissants, même parfois cela m'a été difficile d'
accepter
qu'on ne pouvait pas plus les aider pour le futur
les, pour fuir, s'est retrouvée à la rue. Elle est en presque venue à
accepter
d'y rester en apprenant que les seuls foyers de l
CHU pour le plus jeune (25 ans). C’etait touchant car il n’osait pas
accepter
la place pour ne pas laisser ses amis. Mais ces d
dépasse amplement les capacités d'accueil et il est assez difficile d'
accepter
de laisser des personnes voire parfois des famill
r que l'on s’arrête pour lui. Il dit être en bonne santé. Pourtant il
accepte
avec plaisir un café. A la suite de notre entreti
r que l'on s’arrête pour lui. Il dit être en bonne santé. Pourtant il
accepte
avec plaisir un café. A la suite de notre entreti
r que l'on s’arrête pour lui. Il dit être en bonne santé. Pourtant il
accepte
avec plaisir un café. A la suite de notre entreti
s très sympathiques, et non agressifs. Je pensais que peu d'entre eux
acceptaient
de l'aide mais en fait non, au contraire. Ils son
ffectivement, aucune des personnes rencontrees lors de la maraude n'a
accepte
d'aller dans un foyer... et encore plus triste, m
d'urgence n'est en mesure de l’accueillir (alors qu'à côté de cela on
accepte
des personnes qui viennent pour des rhumes, des i
e lui trouver un endroit où dormir mais que nous savons qu'il ne sera
accepté
nulle part.
prise de constater que beaucoup de personnes refusaient notre aide, n'
acceptaient
même pas un café chaud. Chacun réagissait différe
elle je suis partie en maraude, qu’il a été difficile de convaincre d’
accepter
une place en foyer et une consultation médicale p
à. Je remercie tout particulièrement JP, Aurélie et Yanique qui m’ont
acceptée
dans leur camion. J’ai pu observer différentes si
ent refusé. Arrêt à Yves Garel ou Montrouge pour déposer ceux qui ont
accepté
ou se sont signalés avec en perspective un repas,
ernant les couples. Certains hommes - certes rares - seraient prêts à
accepter
une place en hébergement au prix de laisser leur
t de leur apporter l'aide dont ils ont besoin, et qu'ils sont prêts à
accepter
. Cette nuit au SAMU SOCIAL a été très enrichissan
s vivent regroupés entre eux et ne veulent pas se séparer, etd'autres
acceptent
d'être emmenés dans des centres d'hebergement pou
qu'il ne faisait pas trop froid la nuit. Le troisième usager a enfin
accepté
d'aller avec nous. On ne comprenait pas trop ce q
nous l'avons trouvé, celui-ci nous a confirmé qu'il allait bien et a
accepté
à manger et à boire. Il ne voulait pas d'hébergem
Social découle également un sentiment d'injustice. Les personnes qui
acceptent
d'être aidées sont bien souvent les moins avancée
ur essayer de s'en sortir et de loger par-ci par-là chez des amis qui
acceptaient
de l'héberger pour quelques nuits Finalement, l'a
aider. Il a d'abord refusé, puis avec la patiente de l'écoutante il a
accepté
de partir avec les pompiers. La nuit est vraiment
général et qui s'était retrouvé à la rue assez récemment. Il n'a pas
accepté
d'être conduit au centre d'hébergement par peur d
ssi lorsque l'équipe me racontait les problèmes qu'elle avait à faire
accepter
un SDF à l'hôpital malgré qu'il nécessitait une h
la TS a demandé 3 fois a l'usager si il était "sûr" de bien vouloir m'
accepter
en insistant bien sur le fait qu'il pouvait refus
nsuite à la fin elles ont proposé de me ramener chez moi, ce que j'ai
accepté
avec soulagement. Durant cette nuit j'ai pu décou
sien. Je lui ai proposé le mien, "Sur la route" de Jack Kerouac. Il a
accepté
.
ns de bonne volonté Vous le samu social, mais des fois il faut savoir
accepter
que des patients restent à la rue", "ya plus de p
e et la confiance de certains, de ce qu’on pouvait proposer ils n’ont
accepté
qu’un café ou une soupe, la rue leur semblant san
business ou que l'on pique 3 places d’hébergements à des SDF qui les
accepteraient
volontiers. Malgrés cet episode, ça réchauffe qua
qui était brancardé. Après quelques minutes de conversations celui-ci
accepta
. Aujourd'hui je ne sais pas si il a effectivement
nt devant ces gens que l'on aide pour un instant seulement (quand ils
acceptent
d'être aidés), et que l'on ne revoit souvent pas
'autres nous diront gentiment non merci et encore certain d'entre eux
accepteront
de monter avec nous dans le camion pour aller dor
ment des personnes contentionnées, quand elles sont trop agitées pour
accepter
les soins, qu'elles arrachent leur perfusions...
J'ai été touchée par un jeune SDF de 30 ans, ancien cuisinier, qui a
accepté
d'être pris en charge alors que depuis plusieurs
r des raisons médicales (non contrôle de son diabète) n’a pas pu être
accepté
au CHU de RR, et qui, dans un mouvement de désesp
te expérience ne peut être que bénéfique (tout du moins pour ceux qui
acceptent
d'ouvrir leur esprit), et dorénavant lorsque je d
berger pour la nuit dans un centre. D'abord hésitant, il a finalement
accepté
. Puis, alors que la camionnette n'était pas repar
nes "habituées" que l'on passe voir, mais on sait d'avance qu'elles n'
accepteront
rien d'autre qu'une soupe et un sac de couchage,
ont torchés. Nous leur serrons la main et entamons la discussion. Ils
acceptent
la proposition de passer la nuit en centre d' héb
un homme lui a donné 50€. nous lui proposons un café et un bolino. Il
accepte
. Son index gauche saigne, il s.est coupé, nous lu
hébergement d’urgence) Romain Rolland pour passer la nuit, ce qu’il a
accepté
avec joie. Dans la suite de la soirée, nous avons
plaignaient pas, malgré tous les maux qui leur tombaient dessus, ils
acceptaient
leur sort, simplement. De plus, certains voulaien
me d'une vingtaine d'années assise seule sur un banc parisien. Elle a
accepté
facilement de nous rejoindre, elle parlait peu fr
des personnes était mineure, et que par conséquent aucun centre ne l'
accepterait
. On a essayé de les convaincre de la diriger vers
hangé de discours lorsque nous sommes allés le voir en personne. Il a
accepté
qu'on l'emmène dans un centre et nous avons pu di
us n'avons rencontré que 10 personnes en difficultés, et seules 5 ont
accepté
notre aide. Les refus étant dus à de la méfiance
aussettes du café une couverture etc, comme s'ils avaient entièrement
accepté
leurs situations difficiles à la rue, certains mê
our (autrement dit elles y passent leur journée), tout ça pour ne les
accepter
qu'1 fois tous les 3 jours quand on est un homme,
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