aient majoritairement des particuliers pour signaler la présence d'un
SDF
ou des SDF ayant un minimum de ressources enfaîte
itairement des particuliers pour signaler la présence d'un SDF ou des
SDF
ayant un minimum de ressources enfaîte non, certa
n SDF ou des SDF ayant un minimum de ressources enfaîte non, certains
SDF
même ceux complètement démunis appellent quotidie
nis appellent quotidiennement . Lors de la maraude un grand nombre de
SDF
rencontrés étaient connus de l'équipe j'ai pu voi
Nuit intéressante : nous avons fait de belles rencontres avec les
SDF
habitués du SAMU social. Ce qui m'a impressionnée
itués du SAMU social. Ce qui m'a impressionnée, c'est l'âge jeune des
SDF
... et je ne savais pas que certains avaient un em
.. C'est une belle expérience qui fait porter un autre regard sur les
SDF
qu'on croise au quotidien.
Au début de la maraude, nous sommes partis voir un
SDF
bien connu de l'équipe pour voir comment il allai
it. Comme il n'était pas là, nous avons tourné pour venir en aide aux
SDF
que nous rencontrions. Nous avons raccompagnés un
nir en aide aux SDF que nous rencontrions. Nous avons raccompagnés un
SDF
dans un foyer d'hébergement. L'équipe m'a fait vi
uipe m'a fait visité l'un des foyers. Nous avons ensuite recontré une
SDF
qui nous a accosté pour une soupe. La dame n'étai
le monde le même soir. L'équipe était agréable, les échanges avec les
SDF
n'étaient pas évidents au début (alcoolisme impor
ents au début (alcoolisme important chez certaines personnes). Un des
SDF
n'a pas hésité à taguer le camion, à casser le ré
passés. Je retiendrai essentiellement la communication avec certains
SDF
très chaleureux malgré leur situation.
de faire cette garde, je savais qu'il existait un service d'aide aux
SDF
mais je ne connaissais pas du tout son fonctionne
agréablement surpris par les moyens mis en oeuvre pour s'occuper des
SDF
. Je ne connaissais pas non plus l'existence des c
pas non plus l'existence des centres d'acceuil et d'hébergements pour
SDF
: le centre Romain Rolland est neuf et tout à fai
rez de chaussé et une amélioration des conditions d'hébergements des
SDF
. Par ailleurs, je suis admiratif du travail fourn
re enrichissante, on découvre un peu la course contre le logement des
SDF
à l'arrivée de l'hiver, les stratégies de survie
logement des SDF à l'arrivée de l'hiver, les stratégies de survie des
SDF
contre le froid et contre l'isolement, à faire qu
la réalité de la vie dans lequel on vit. Croiser quotidiennement des
SDF
dans la rue, dans le métro, et s'habituer à ce pa
art des gens. La nuit de maraude nous fait rentrer dans la vie de ces
SDF
un peu plus en profondeur, discuter avec eux et a
e avec le quotidien, et puis on revient à notre vie en recroisant des
SDF
dans la rue mais les regardant p-e d'une autre fa
reste de la nuit dans les rues de Paris pour aller à la rencontre des
SDF
. Distribution alimentaire. Orientation vers les d
ers les différents foyers d'accueil pour la nuit et échanges avec les
SDF
. Je n'ai pas bien compris l'utilité de la démarch
étaient limitées par l'imprégnation alcoolique des sujets et peu des
SDF
souhaitaient aller dans les foyers proposés. Pas
J’ai beaucoup aimé cette garde car on était en contact avec les
SDF
qui étaient très habitué au SAMU social. J’ai aus
e garde m’aura apprit à être beaucoup plus à l’aise avec des patients
SDF
aux urgences.
mitigé : la découverte du travail du SAMU social et la rencontre des
SDF
dans leur milieu de vie était certes enrichissant
points négatifs. Premièrement, on rencontre et on prend en chage des
SDF
dans n'importe quelle garde des urgences, c'est l
erait souhaitable, comme assister aux consultations spécialisées pour
SDF
ayant lieu dans les centres d'hébergement.
érience dans le cursus de médecine ; au-delà de la façon d'aborder un
SDF
en tant que tel, on apprend de manière plus concr
euvent pour répondre aux besoins... et ceci sans distinction entre le
SDF
alcoolisé et souillé, articulant mal, et le SDF p
distinction entre le SDF alcoolisé et souillé, articulant mal, et le
SDF
propre sur lui parlant parfaitement le français.
abitués, la façon dont ils prévoient leur nuit, dont ils écoutent les
SDF
et les aident. Etant en stage en ce moment aux ur
ment aux urgences j'ai pu voir l'étape précédant parfois l'arrivée de
SDF
dans nos box.
st surprenant de tourner dans un lieu qu'on connait de jour. Voir les
SDF
reconnaître les personnes du Samu et demander un
nes du Samu et demander un petit café ! On a notamment transporter un
SDF
depuis le 105 Bd de l'hôpital jusqu'au centre Rom
une expérience très enrichissante. On se rend compte qu'on peut être
SDF
à toute âge, pour n'importe quelle raison. On a e
envisageait de se prostituer... Lors de la maraude on a rencontré un
SDF
qui a été sympathique toute la soirée et lorsqu'o
st braqué à cause d'un infirmier indélicat. On se rend compte que les
SDF
, malgré leur défauts, sont des gens fragiles qui
'il y avait autant de dispositifs mis en place pour venir en aide aux
SDF
. Nous avons emmené deux SDF au foyer de Romain Ro
itifs mis en place pour venir en aide aux SDF. Nous avons emmené deux
SDF
au foyer de Romain Rolland. Tous les deux sont de
ersonnes mobilisées chaque jour et chaque nuit pour venir en aide aux
SDF
. C'est très bien qu'ils soient nombreux, cependan
té étonnée du nombre de personnes mobilisées par rapport au nombre de
SDF
aidés. Il y a une dizaine de personnes au centre
es systèmes plus efficaces, moins couteux et plus bénéfiques pour les
SDF
.
qui était avec moi et du coordinateur. Nous avons rencontré plusieurs
SDF
, tous avec un très bon contact. En cette nuit fro
froide et pluvieuse de février, nous avons quand même du laisser des
SDF
dans la rue du fait du manque de place dans les c
rofessionnel. Lors de ma première garde aux urgences, j'ai examiné un
SDF
qui se plaignait de problèmes de santé un peu vag
ndre en charge. La nuit de maraude m'a permis de rencontrer plusieurs
SDF
et de mieux comprendre leur besoins, leurs préocc
ent instructif. Avant cette nuit j'avais beaucoup de préjugés sur les
SDF
et j'avais tendance à ignorer cette misère que je
ue je croise au quotidien. Cette garde m'a permis d'écouter plusieurs
SDF
d'entendre leurs histoires, leurs craintes et leu
t au samu sociale est très enrichissante, elle permet de regarder les
SDF
d'un oeil nouveau, différent par rapport à ce que
rience ouvre les yeux sur la réalité de la rue, tout le quotidien des
SDF
de longue date: maladie chronique peu soignée, is
tre chose. En effet, j'étais la seule, à l'arrière, a parler avec les
SDF
vu que les autres devant, ne voulait pas y aller.
es devant, ne voulait pas y aller. Pas très humanitaire. Ensuite, les
SDF
qui interpellaient le camion de la rue pour avoir
é, accompagné par une remarque 'on est quand même par leur chien'. Le
SDF
que je trouvais qui avait le plus besoin d'aide c
d'aide car il était dangereux pour lui mais aussi pour les autres (un
SDF
très 'psy') a été laissé seul dans la rue. J'ai d
rue. J'ai donc cru comprendre que le SAMU social amène seulement les
SDF
aux foyers (qui est déjà pas mal, mais quand même
l, les gens que j'ai trouvé les plus méritants et gentils étaient les
SDF
et les personnes des foyers qui eux, ont vraiment
l'entoure d'une façon différente : entre gens qui rentrent de soirée,
SDF
, prostituées... tout est à découvert ! J'avais un
tituées... tout est à découvert ! J'avais une vision bien arrêtée des
SDF
qui, pour moi, étaient enfait ceux que j'appelais
enfait ceux que j'appelais "clochards"... et bien non, la plupart des
SDF
sont des gens comme vous et moi, dont vous ne sou
J'ai choisi de raconter ma première rencontre avec un
SDF
lors de ma garde : il s'appelait Patrick et était
ages en France et avait déjà voyagé. J'avais oublié que les personnes
SDF
avaient une vie avant la rue...
complètement étranger. On appréhende ainsi le quotidien difficile des
SDF
et le travail des courageux membres du Samu Socia
able relation s'est instaurée entre les membres du Samu Social et les
SDF
, ils se reconnaissent, se connaissent, parfois s'
humain. La nuit a été calme en raison de la pluie. Malgré tout, trois
SDF
ont été pris en charge dans des centres d'héberge
social reste quand même limité, notamment dans la prise en charge des
SDF
, puisque qu'on propose à ces derniers uniquement
erte d'un milieu inhabituel, avec équipe sympathique, autre image des
SDF
médecin mais aussi en tant que citadine côtoyant quotidiennement des
SDF
que je salue ou que j'ignore sans scrupules en re
sont en demande dans les centres d'hébergement. Un suivi régulier des
SDF
éviterait les complications et les passages à l'h
et les passages à l'hospitalisation, voire même aux Urgences, où les
SDF
sont de plus en plus refusés, ce qui est inadmiss
n hôpital, en France du moins, ne devrait se permettre de refuser les
SDF
à la porte des Urgences. Si je ne devenais pas mé
devenais pas médecin, j'aurais été aussi ravie de cette nuit. Chaque
SDF
a son histoire et je ne peux m'empêcher d'imagine
Ils connaissent aussi chaque repère d'un quartier et suivent certains
SDF
depuis des années. Une garde au SAMU SOCIAL, c'es
Globalement nous allions chercher des
SDF
pour les emmener dans des foyers. Ainsi que de no
es emmener dans des foyers. Ainsi que de nombreux appels au sujets de
SDF
pour savoir comment ils se portaient et leur appo
le plus choqué pendant cette garde, c'était le surnom que donnait les
SDF
dormant en centre au médecin qui les voit le lend
main: le "véto"... Pour moi, ce terme est choquant à la fois pour les
SDF
qui se rétrogradent eux-mêmes au stade de vulgair
ne attitude du médecin, ou d'un a priori que ressentent très bien les
SDF
à leur égard. Les médecins qui travaillent en par
st un travail "planqué" et ne s'investissent pas plus que ça pour les
SDF
. Pour quelle raison ce travail n'intéresse pas le
SDF
, mais des gens qui travaillent la journée, et qui
s bonne ambiance à bord du véhicule ! J'ai pu discuter avec plusieurs
SDF
dans la nuit, tous différents les uns par rapport
ssentiel de savoir qu'il se cache une histoire de vie derrière chaque
SDF
! J'ai visité 2 centres d'hébergement.
arge entre les personne ayant une couverture maladie et les personnes
SDF
. Je garde une profonde admiration pour l’infirmiè
ure sociale. Je pense que cela aura changé mon regard par rapport aux
SDF
aux urgences, qui ne voient de médecin qu’excepti
SAMU SOCIAL fut très enrichissante au plan personnel. Nous voyons des
SDF
tous les jours dans la rue ou dans le métro, et p
ompte qu'il ne nous coûterait rien à échanger un mot ou deux avec des
SDF
que l'on rencontre, ou bien à leur proposer ne se
e aux urgences j'ai pu voir l'autre versant de la prise en charge des
SDF
, celle plus axée sur le social. Une expérience lo
expérience loin des préjugés, avec un contact très différent avec les
SDF
qui celui des urgences, ou les travailleurs socia
J'ai trouvé cette garde intéressante, voir les
SDF
en dehors du contexte des urgences. L'équipé étai
e travail du centre 115 et mieux comprendre les conditions de vie des
SDF
ainsi que les moyens mis en œuvre pour leur venir
de maraude dans les rues de Paris. Nous avons discuté avec plusieurs
SDF
connus de l'équipe avec laquelle j'étais, accompa
ent, j'ai trouvé dommage de ne pas pouvoir parler plus longuement aux
SDF
, les échanges étant très brefs. Durant ma garde,
ès brefs. Durant ma garde, mon équipe a été confrontée à la mort d'un
SDF
qu'il connaissait très bien et a été dans l'incap
s apporte beaucoup en tant que futur médecin. Le regard porté sur les
SDF
change considérablement. Équipe très sympathique
Ce que j'ai le plus apprecié fut les entretiens individuels avec les
SDF
.
s se sont transformés en empathie, car j'ai remarqué que beaucoup des
SDF
étaient des gens qui n'ont pas eu de chance dans
gens qui n'ont pas eu de chance dans leur vie. Moi je n'ai que vu des
SDF
bourrés à 3h du matin pendant mes gardes aux urge
artir de chez soi parce qu'ils ne pouvaient plus payer le loyer... Un
SDF
près de l'église de Saint-Sulpice m'a marqué le p
J'ai été touché de voir la misère des
SDF
parisien et étonné par certaines personnes refusa
refusant l'aide du SAMU social. Il neigait cette nuit là, et certain
SDF
désoeuvré dormait sous la neige, abrité d'un para
s rues de Paris. Cette garde m'a permis de dédiaboliser ma vision des
SDF
(vision péjorative acquise aux urgences à mes dép
e, ce fut un plaisir. Ce qui m'a le plus surpris est la sympathie des
SDF
et le lien qu'ils ont avec l'équipe. Aucune conna
ns la rue. En vivant à Paris, on est complètement habitués à voir des
SDF
mendier dans le metro, dans les rues, aux terrass
'y fait plus attention. Pendant cette maraude j'ai donc rencontré des
SDF
, mais pas vraiment... Je les considérais pas comm
contré des SDF, mais pas vraiment... Je les considérais pas comme des
SDF
simplement, j'ai appris leur nom, leurs histoires
leur esprit), et dorénavant lorsque je devrai m'occuper d'un patient
SDF
, je connaitrai mieux ses besoins, ses attentes.
forte, rencontre etonnante cette nuit a éliminé mes à priori sur les
SDF
et influencera probablement mon comportement en t
t des préjugés et des réactions de recul devant ses organismes et les
SDF
qu'ils accompagnent. Cette garde pourrait permett
fois difficiles de se sentir à l'aise et de ne pas reculer devant les
SDF
, Mais l'équipe sait être à l'écoute.
réer du lien" que d’aider matériellement ; et de voir que beaucoup de
SDF
refusent d'autres forme d'aide. Cette garde perme
Et il y a des situations médicales. Petite anecdote sur ma garde, un
SDF
était hypotherme à 34° et totalement confus. Pers
ontrer des personnes très différentes (sortie de prison, tox, jeunes,
SDF
depuis plusieurs années). Cette expérience rester
e, pour avoir un autre regard, et une autre forme de contact avec les
SDF
(autre que les gardes aux urgences) Un mot pour l
ements, j'ai pu ainsi voir comment agissait le SAMU social auprès des
SDF
, leur approche, leur manière d'aborder la convers
e, peut être elle nous permettra de changer le regard qu'on porte aux
SDF
lorsqu'ils arrivent aux urgences pendant nos gard
s hospitalisé (3 sur les 30), la séparation entre les migrants et les
SDF
"de la rue" qui peuvent parfois avoir des difficu
ltés à cohabiter, p. J'ai trouvé très intéressant de voir la relation
SDF
- soignant mais ce que j'ai trouvé dommage c'est
t la bonne humeur. J'admire le rôle de l'infirmier qui prend soin des
SDF
dans les logements, qui s'occupent de les laver e
soigner les blessures. En s'arrêtant dans la rue pour aller voir les
SDF
, on se rend rapidement compte à quel point ils on
n intégrée. Le fait qui m'a un peu interpellé était d'amener certains
SDF
aux urgences par manque de logement.
araude était très enrichissante. Aller sur le terrain pour parler aux
SDF
, leur donner un endroit où dormir, manger, boire,
droit où dormir, manger, boire, se laver. J’ai trouvé que beaucoup de
SDF
étaient finalement surtout en manque de compagnie
J'étais déjà aller à la rencontre de
SDF
lorsque j'étais au lycée pour distribuer de la no
ne soit pas facile. J'ai été surprise par la facilité de contact des
SDF
avec le Samu. On sent que le Samu a acquis une vr
é pour la double écoute du 115 vers 18h. J'ai entendu les demandes de
SDF
via le standard et à cet instant je ne voyais pas
e sentir encadré. C'était la première fois que je dialoguais avec des
SDF
. J'ai été surpris par la politesse de certain et
ter humainement envers des personnes vulnérables et isolées. Certains
SDF
n'avaient d'ailleurs besoin que de cela, c'est à
ui sont, à mon sens, correctes et respectent la dignité des personnes
SDF
. Vers 2h du matin on est retourné au centre pour
re le fonctionnement du 115. Il faisait froid, donc il y avait peu de
SDF
dans la rue donc je n'ai pas vu de prise en charg
l'avouer, mais il m'aura fallu cette nuit pour arrêter d'ignorer les
SDF
dans le métro. Shame on me! Nous sommes nombreux
situde. Il y a un moment en particulier que je n'oublierai jamais: un
SDF
.... le joueur d'harmonica de ma nuit. Il nous aur
on tourne en rond dans tout Paris pour au final ne pas retrouver les
SDF
signalés durant la nuit la plupart du temps... Un
uis retrouvé à inhaler du gaz lacrymogène... Ajouté à cela, plusieurs
SDF
souffraient de troubles mentaux et psychiatriques
uotidien de gens qu'on croise mais avec qui on échange rarement : les
SDF
. Il était intéressant de comprendre comment ils a
par le lien qu'avaient les travailleurs du SAMU social avec certains
SDF
qu'ils croisaient souvent en maraude. Au-delà de
a mission était intéressante. La nuit était calme, on a accueilli 4-5
SDF
environ, les personnels étaient très sympas, par
vétustes et les places dans ces centres sont souvent refusées par les
SDF
.
tique. Il permet de découvrir le travail du SAMU social et la vie des
SDF
à Paris. Les personnes qui m'ont accueilli étaien
à certaine personne alors qu'il faisait froid. La rencontre avec les
SDF
était touchante. C'était vraiment une bonne exper
ou on a pu voir les autres travailleurs sociaux. On a ensuite lavé un
SDF
handicapé qui avait eu une agression il y a deux
Certains des
SDF
connaissent très bien les maraudeurs et les atten
vons roulé plus de 100km pour ne jamais voir qu'une petite dizaine de
SDF
dont la plupart ne désiraient rien. Au, final les
tite dizaine de SDF dont la plupart ne désiraient rien. Au, final les
SDF
qui ont froids et appellent le 115 ne peuvent sou
’équipe d’un camion de maraude. Ils s’arrêtent dès qu’ils repèrent un
SDF
pour d’abord discuter avec lui puis ils distribue
s. Une assistante sociale, présente à bord du camion, discute avec le
SDF
pour tenter de faire un point rapide sur sa situa
ale mais qui m'a permis de mieux comprendre les conditions de vie des
SDF
, leurs possibilités et le fonctionnement des ces
allade à Paris le soir sans même jeter un regard ou se préoccuper des
SDF
allongés sur le sol (qui pourraient d'ailleurs êt
foyers de personnes défavorisées. Je ne pensais pas non plus que les
SDF
devait renouveler la demande de place tous les jo
membres du SAMU social mais je trouve que le temps d'échange avec les
SDF
est trop limité, j'ai eu l'impression qu'ils avai
ir. On m'avait initialement informé sur le grand isolement social des
SDF
, sur les difficultés de communiquer avec eux parf
r le plan humain. Néanmoins, j'ai rencontré au cours de cette nuit un
SDF
qui aurait souhaité pouvoir aller dormir dans un
ude est également très enrichissante: les échanges avec les personnes
SDF
ou avec l'équipe de maraude... J'ai changé ma faç
vec l'équipe de maraude... J'ai changé ma façon de voir les personnes
SDF
. J'ai aimé voir ces gens travailler en équipe dan
Durant cette nuit j'ai pu voir 2 types de
SDF
. Lors de l'écoute, énormement d'entre eux appelai
d'emploi. Puis lors de la maraude, j'ai pu voir finalement les vraies
SDF
, la vraie misère. finalement ce ne sont pas les b
ous avons pris en charge un
SDF
à Romain Rolland pour asthénie fortement aggravée
n’y avait pas de médecin de garde, seulement un(e) infirmier(e)). Ce
SDF
refusait catégoriquement d’aller aux urgences apr
ent peu : celui de la rue. Mes maigres connaissances du quotidien des
SDF
me venaient de quelques reportages, et mes rares
te on me fait comprendre que le 115 n'a pas vocation à loger tous les
SDF
, mais n'est qu'une solution de dépannage : un mêm
loger tous les SDF, mais n'est qu'une solution de dépannage : un même
SDF
ne pourra espérer que 2-3 nuits par semaine dans
ù violences et vols sont monnaies courantes. C'est ainsi que certains
SDF
refusent une possible place dans la fameuse Boula
nt on détourne le regard le jour. Le camion du Samu social attire les
SDF
, on vient y chercher une place en refuge (qui arr
il fait moins de 5°, l'alcool est très présent, et finalement peu de
SDF
auront un lit cette nuit Le hasard de cette garde
ue j'ai ou aurait pu avoir ... Enfin, la rencontre avec un très jeune
SDF
reste l'un des moment les plus marquant de cette
une nuit très enrichissante. J'ai été étonné par certaines personnes
SDF
, qui n'en n'ont pas l'air. J'ai été également imp
centres d'accueil n'ont souvent rien d’accueillant et que de nombreux
SDF
préfèrent refuser un hébergement dans ces centres
C est une garde importante pour comprendre vraiment le quotidien des
SDF
qu on est amenés souvent à voir en tant que patie
e pense également que cela pourra nous donner un autre regard sur les
SDF
qui arrivent aux urgences.
éressante qui permet de voir le côté social de la prise en charge des
SDF
et pas seulement la vision mécidale des choses. B
d'interagir avec des personnes, que ce soit avec le personnel ou les
SDF
que nous n'aurions peut être pas abordé en dehors
du Samu social, de voir comment les bénévoles se comportent avec les
SDF
qu'on va voir. J'ai appris qu'on pouvait a la foi
nde des personnes mais aussi s'arrêter spontanement lorsqu'on voit un
SDF
seul. Avant d'y aller j'avais très peur parce que
t la rencontre de l'équipe avec une dame de 68 ans, sous un abri bus,
SDF
depuis le moi d'avril, retraitée, parisienne qui
it très propre, très coquette et on n'aurait jamais dit qu'elle était
SDF
mais plutôt qu'elle vivait dans le 16ième... Elle
it dans la rue). En maraude, comment dire... on réalise enfin que les
SDF
vivent, respirent, sourient et pleurent comme tou
ma mémoire. Petite anecdote: des soupes Taillefine en sachet pour des
SDF
... c'est le comble!
de dévouement. À la rencontre des usagers, on se défait de l'idée du
SDF
qu'on a en tête, cela peut nous arriver du jour a
ur au lendemain d'être à la rue. La chose qui m'a plus marquée est un
SDF
qui avait tout dans la vie (un super travail, une
our voir l'envers du rideau, tout ce qui se passe avant l'arrivée des
SDF
aux urgences, que l'on voit à toutes les gardes a
jeu. Intérêt de voir toute la prise en charge possible pour aider les
SDF
: Écoute téléphonique du 115, les orientations si
al, ce qui m'a le plus étonné étant le refus de certaines familles ou
SDF
d'accepter un logement pour la nuit, préférant re
ette expérience très intéressante sur le plan humain, tant envers les
SDF
, qu’envers l’équipe du samu social qui a été très
al. Donc cette garde m'a beaucoup appris sur la gestion et la vie des
SDF
. Les équipes étaient très sympa et nous expliquai
pathique et m'a bien intégré. Le fait d'être à l'écoute des personnes
SDF
qu'on a rencontrées à été une expérience enrichis
.. J'ai pu me familiariser avec une approche plutot cordiale avec les
SDF
qui nous remerciaient chaleureusement pour les ca
et voir comment fonctionne le Samu Social. J'ai également vu que les
SDF
ne sont pas bien reçus aux services d'urgences ho
Rencontre avec un
SDF
vers 3h du matin, l’equipe le connaît très bien,
signalement,...) , et me faisant participer à la prise en charge des
SDF
de façon active (distribution de café, de soupe c
e café, de soupe chaude, de couverture de survie, discussion avec les
SDF
à l'extérieur puis à l'arrière du camion,...). Au
ofessionnellement, cela permet de mieux comprendre le mode de vie des
SDF
, leur prise en charge sanitaire, les problématiqu
l'absence de données épidémiologiques et sociologiques concernant les
SDF
(prévalence de troubles psychiatriques, données d
Il est aussi remarquable de voir à quelle point l'équipe connait les
SDF
, leur lieu, leur habitude, l'histoire de leur vie
é par la gentillesse, la bonne entente et humeur avec la majorité des
SDF
. On prend vraiment conscience que beaucoup de gen
s personnes que l'on a trop peu souvent l'occasion de rencontrer: les
SDF
d'une part, si semblables en apparence, mais diam
voir plus sur son passé. Souvenir évoquant et casseur de préjugés: ce
SDF
, qui, bien installé dans sa cabine téléphonique,
Comme beaucoup d'autres externes ( j'imagine ), le patient
SDF
n'est pas celui dont je préfère m'occuper lorsque
te à l'idée de faire une garde à s'occuper exclusivement de personnes
SDF
. Le début de la garde (18-20h) ne m'a pas franche
ons presque exclusivement concentrés sur le contact social envers les
SDF
afin de rompre leur isolement, plutôt que sur un
de la maraude, de trouver des solutions ou de donner des conseils aux
SDF
pour les réinsérer dans la société. Peut être par
ès enrichissante. Elle nous sensibilise à la difficulté de la vie des
SDF
pour trouver un endroit où dormir, se nourrir J'a
st montré très investi dans la prise en charge relationnelle avec les
SDF
.
cette garde au Samu social. Cela nous donne un aperçu de la vie d'un
SDF
et des moyens dont on dispose pour les aider. On
▲