Lors de cette nuit, ce sont en majorité des étrangers que nous avons rencontré. Seulement 4 sur une douzaine, on accepté d'être emmenés dans un centre d'hébergement, uniquement des hommes. Le plus perturbant, c'est d'être confrontée à la précarité de certaines personnes ne paraissant pas dans le besoin au premier abord. Le point négatif, le temps passé avec la personne se résume souvent à 5 minutes, une soupe, une bouteille d'eau lorsque la personne refuse d'aller en centre d'hébergement. C'est frustrant car la nuit d'après, il n'y a plus qu'à recommencer.
(2013)
Ticket_1622