La nuit de maraude au SAMU social peu potentiellement présenter un intérêt pour n'importe qui avec un minimum de compassion ou de sens de l'autre. On y voit sans doute des choses sous une perspective assez unique. Cependant je trouve pas que les étudiants en médecine sont des cibles prioritaires pour ce genre d'expérience. 1 : L'aspect médical est complètement inexistant 2 : Le contact avec la misère social est déjà fréquent en milieu hospitalier 3 : Je n'imagine pas en quoi passer cette nuit somme toute assez inconfortable, en observation pure, sans repos de garde imposé ni dédomagement, obligatoire le 24, 25, 26, 31 décembre et 1ier janvier, apporte quoi que ce soit à une formation médicale quelle qu'elle soit.
(2015)
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