Cette maraude est très intéressante tant du point de vue relationnel que pour se rendre compte de l'organisation mise en place. Elle permet de déconstruire les idées que l'on se fait sur le profil des personnes dans le besoin. On croise très peu de "SDF" comme on l'entend. Les personnes que l'on ramenait au refuge était habillées comme nous, étaient propres et ne donnaient pas l'impression de vivre dans la rue et de manquer de nourriture, de vêtements... Ça permet de réfléchir dans le sens qu'il n'y a pas de profil "type" et que sans domicile fixe ne signifie pas que la personne est marginalisée.
(2019)
Ticket_226