La misère est au bas se nos portes. L'écoute au 115 montre les habitués qui appellent chaque jour pour avoir un endroit ou dormir d'urgence, et ceux qui appellent moins régulièrement: ceux là ont été perdus de vue, ils ont voyagé parfois, on dormi dans des cages d'escaliers pour se protéger du froid... Lors de la maraude, j'ai été choquée qu'il n'y ait pas davantage de nourriture à distribuer, cependant le but du samu social est plutôt de rapatrier les sdf dans des centres d'accueil afin qu'ils aient un suivi social et médical.
(2012)
Ticket_1969