Lors de la double écoute, nous avons eu l'appel d'un homme qui donnait des nouvelles depuis la première intervention, il avait maintenant un logement et touchait le RMI. Les maraudes en mai sont moins difficiles qu'en plein hiver, lorsqu'il fait froid, mais j'ai quand même été touchée. Il y a des habitués, qui acceptent les repas et hébergement depuis plusieurs mois, des gens qui préfèrent rester dehors avec toutes leur affaires, des gens qui ont clairement besoin de soins medicaux. L'équipe est très professionnelle et arrive à avoir un bon contact avec les gens.
(2016)
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