Descends du ciel, divine Astrée ; Ramène-nous ces jours heureux, Où des mortels seule adorée, Seule tu comblois tous leurs vœux. […] Je sais que par son art il entraîne les arbres ; Que ses divins accords font tressaillir les marbres, Que du plus fier torrent ils arrêtent le cours, Et rangent à ses pieds les lions et les ours. […] Campistron retrace dans ces vers toutes les merveilles que l’on attribuoit à Orphée : Les arbres, les rochers, sensibles à sa voix ; Les tigres, les lions, asservis à ses lois ; De ses divins concerts l’attrait et la mesure, Renversant, à son gré, l’ordre de la nature, Leurs sons victorieux, leurs triomphans accords, Lui frayant un chemin jusques aux sombres bords, Rendant à ses désirs la mort même propice, Et des Enfers au jour ramenant Euridice.
Il Dio Urano è lo stipite delle divine famiglie regnanti nel cielo, nel mare e nell’ inferno.
Dice Ugo Foscolo che « Fidia vantavasi di aver dedotto la statua di Giove Olimpio da tre versi di Omero. » E questi tre versi nell’originale greco son quelli di n° 528, 529 e 530, nel i libro dell’ Iliade, che il Monti tradusse così : « Disse, e il gran figlio di Saturno i neri « Sopraccigli inchinò : sull’immortale « Capo del Sire le divine chiome « Ondeggiaro, e tremonne il vasto Olimpo. » 65.
Ben io t’affermo « Che nè bellezza gli varrà nè forza « Nè quel divin suo scudo, che di limo « Giacerà ricoperto in qualche gorgo « Voraginoso.
Europa vedendolo così mansueto vi era salita in groppa per giovanile trastullo ; ma il toro giunto sulla riva del mare, si gettò in mezzo alle onde, e nuotando trasportò all’isola di Creta la giovinetta, ed ivi, riprese le forme divine, la fece sua sposa, e n’ebbe due figli Minos e Radamanto 57.
Vous comblez, dirent-ils, vos moindres créatures : Aurions-nous bien le cœur et les mains assez pures Pour présider ici sur les honneurs divins, Et prêtres vous offrir les vœux des pèlerins ? […] A l’aide de ces armes divines, il vainquit ces monstres et coupa la tête de Méduse. […] Divin Orphée, à qui les dieux Ont prodigué des sons la science charmante, Par les accents mélodieux De ta lyre savante, Suspends la rage menaçante De tant de monstres furieux. […] Et sur un autre : A toi qui es une et tout, divine Isis. […] « Alors, continue l’Edda , le puissant, le vaillant, celui qui gouverne tout, sort des demeures d’en haut pour rendre la justice divine ; il prononce ses arrêts ; il établit les sacrés destins qui dureront toujours.
La Mitologia è molto incerta su tal questione, e non la decise mai dommaticamente : lasciò correre diverse opinioni, tra le quali accenneremo per ora quella soltanto che è la più semplice e sbrigativa, e che prima delle altre espone Ovidio nelle Metamorfosi, vale a dire che quel Dio stesso che dal Caos formò l’universo creasse l’uomo di divin seme 26, appellando così principalmente all’anima umana, e facendola di origine divina.
Il avoit appelé les autres dieux pour combattre et pour partager le péril avec lui ; mais les dieux furent si épouvantés à la vue des géants, qu’ils s’enfuirent touts en Égypte, où ils se cachèrent sous diverses formes d’animaux : c’est pour cela que, dans la suite, les Egyptiens rendirent aux bêtes des honneurs divins ; Bacchus eut plus de courage que les autres dieux : car, ayant pris la figure d’un lion, il combattit avec fermeté pendant quelque temps animé par Jupiter qui lui crioit sans cesse : Courage, courage, mon fils ! […] Pollux, seul, parle ainsi : Présent des dieux, doux charme des humains, O divine amitié ! […] Peu de temps après sa mort, il reçut les honneurs divins. […] Venez faire aux cités éclater leurs merveilles : Aussi-bien, en voyant les bois, Sans cesse il vous souvient que Térée autrefois, Parmi des demeures pareilles, Exerça sa fureur sur vos divins appas.