LXXI Decadenza e fine del Politeismo greco e romano. […] FINE 169.
Fin de l’Automne. […] Consumé de douleurs vers la fin de leur cours, Il voit dans le tombeau ses amis disparaître, Et les êtres qu’il aime arrachés à son être, Il voit autour de lui tout périr, tout changer ; A la race nouvelle il se trouve étranger ; Et lorsqu’à ses regards la lumière est ravie, Il n’a plus en mourant à perdre que la vie. […] disait-il, reçois nos sacrifices, Protège mes brebis, protège mes génisses Contre la faim cruelle et le loup inhumain ; Que je trouve le soir le nombre du matin, Qu’autour de mon bercail exacte sentinelle, Sans cesse en haletant rôde mon chien fidelle ; Que mon troupeau connaisse et ma flûte et ma voix ; Que le lait le plus pur écume entre mes doigts ; Rends mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes ; Puissent de frais gazons, puissent de claires ondes Dans un riant pacage arrêter mes brebis ; Que leur fine toison compose mes habits ; Et quand le fuseau tourne entre leurs mains légères, Ne blesse pas les doigts de nos jeunes bergères ? […] De tes rapides ans, lorsque j’ai vu la fin, Loin de m’abandonner à des pleurs inutiles ; Je dois de ton trépas rendre grace au destin. […] Mais enfin il arrive à ce brillant palais Que les flots ont creusé dans un roc toujours frais ; Sa mère en l’écoutant sourit et le rassure ; Les Nymphes sur ses mains épanchent une eau pure, Offrent pour les sécher de fins tissus de lin ; On fait fumer l’encens, on fait couler le vin.
One fine morning, however, his equanimity was disturbed by the announcement that a son was born to him. […] Many fine statues of this goddess were found in Greece and Italy, some of which are still extant, and serve to show the ancients’ exalted conception of the Queen of Heaven. […] By Permission of the Fine Art Society, Ltd. […] One fine afternoon, all conditions being favourable, Jupiter hastened down to earth to see Io, and began to stroll with her up and down the river edge. […] By Permission of the Fine Art Society, Limited.
Eran tenuti in grandissima venerazione, e consultati sempre innanzi d’intraprendere cose di gran rilievo, a fine di prevederne l’esito. […] In Roma furono prima tre auguri islituiti da Romolo ; poi quattro, e più ; Silla no creò fin quindici, per accrescere appoggi alla sua tiranuide.