Je connois les vertus des puissans végétaux ; Heureux de posséder l’art de guérir les maux. […] Pourquoi, tes enfans sans ressource, Sont-ils toujours si mal meublés ? […] On le connoît bien mal. […] Un enfant, de la vie ignore tous les maux, A ses yeux indulgens tout paroît sans défauts. […] Elle se plaçoit sur les lieux les plus élevés, d’où elle publioit indifféremment et le bien et le mal.

Vulcain l’envoya à Prométhée, avec une boîte renfermant tous les maux qui devaient se répandre sur la terre. […] La Fortune présidait au bien et au mal. […] — Les Perses n’admettent-ils pas deux principes, le principe du bien et le principe du mal ? […] A côté d’eux subsiste le génie du mal, Loki, cet autre Ahriman, qui appartient à la race des géants ; semblable aux dieux par l’intelligence et la beauté extérieure, ses vices l’ont dégradé, et il aime le mal pour le mal. […] — Comment se nomme le génie du mal ?