Les poëtes ajoutaient que la Chimère vomissait des flammes ; cette image leur servait à peindre un volcan placé sur l’une des montagnes. […] La Grèce alors était remplie de brigands, de scélérats et de bêtes féroces ; ce fut à les combattre que fut employée toute la vie d’Hercule, et les poëtes peignirent ses travaux continuels et dangereux sous l’image des persécutions de Junon. […] Les cérémonies funèbres des Égyptiens lui fournirent les images avec lesquelles il peignit l’enfer. […] On les porta sur le même bûcher, et dans la vue d’exprimer par une image effrayante les sentimens qui les avaient animés pendant leur vie, on supposa que la flamme, pénétrée de leur haine, s’était divisée pour ne pas confondre leurs cendres. […] On répandait le sang en partie sur le peuple, en partie sur le bois sacré ; on en arrosait les images des dieux, les autels, les bancs et les murs du temple au-dedans et au-dehors.
Ulysses, in the Odyssey, relates that he wished to see more of the inhabitants of Hades, but was afraid, as he says — “Lest Gorgon, rising from the infernal lakes, With horrors armed, and curls of hissing snakes, Should fix me, stiffened at the monstrous sight, A stony image in eternal night.” […] He is represented as holding an image of Folly in one hand, and raising a mask from his face with the other.