poison dont je suis dévoré, Brûlerez-vous sans cesse un cœur désespéré ? […] Achille l’accorda, sur-tout aux larmes de Polixène, sœur d’Hector, dont la beauté avoit paru toucher son cœur ; il désira de l’épouser ; on convint de tout. […] On y rencontre par-tout des préceptes d’une philosophie sage également propres à former l’esprit et le cœur. […] L’étude et les connoissances propres à lui former l’esprit et le cœur doivent l’occuper avant tout. […] L’injustice est justement repoussée par un mépris général ; elle ne peut reposer que dans un cœur pervers.
Dans un profond repos tu commandois sans peine A des cœurs satisfaits. […] Tiens-tu notre cœur dans tes mains ? […] poison dont je suis dévoré, Brûlerez-vous sans cesse un cœur désespéré ? […] Tout le mien se glace dans mon cœur. […] Achille l’accorda sur-tout aux larmes de Polixène, sœur d’Hector, et dont la beauté avoit paru toucher son cœur.