Quelquefois on les représente sous la forme d’un taureau, pour marquer le mugissement de leurs ondes, ou parce que les sinuosités d’un fleuve ressemblent assez aux cornes de ce quadrupède. […] Quand il fut achevé, les Argonautes le portèrent sur leurs épaules depuis le Danube jusqu’à la mer Adriatique : c’est, dit-on, le premier vaisseau qui ait paru sur les ondes. […] Idoménée levant les mains au ciel, invoquait Neptune : « Puissant dieu, s’écria-t-il, toi qui gouvernes ce l’empire des ondes, daigne prêter l’oreille à un malheureux ! […] Il y remonte et se livre à la merci des ondes. […] Pendant sept jours, Léandre, détourné par l’aspect menaçant des ondes, différa sa course ; le huitième, il ne put résister au désir de voir et d’entretenir son amante.
Onde che con questo sistema (adottato dai Turchi come principio religioso), si veniva a toglier dal mondo la moralità e l’imputabilità delle azioni. […] « Onde pognam che di necessitate « Surga ogni amor che dentro a voi s’accende, « Di ritenerlo è in voi la potestate.
corri « Veloce in mio soccorso, apri le fonti, « Tutti gonfia i tuoi rivi, e con superbe « Onde t’innalza, e tronchi aduna e sassi, « E con fracasso ruotali nel petto « Di questo immane guastator, che tenta « Uguagliarsi agli Dei. […] « Fia questo il suo sepolcro, onde non v’abbia « Mestier di fossa nell’esequie sue.
Sopposte a tutti « D’oro avea le rotelle, onde ne gisse « Da sè ciascuno all’assemblea de’Numi, « E da sè ne tornasse onde si tolse : « Maraviglia a vederli !
On disoit aussi que Vénus, inconsolable de la mort d’Adonis, recourut à la science d’Apollon comme au Dieu suprême de la médecine ; que le Dieu la mena sur le Promontoire de Leucade, et lui conseilla de se jeter dans la mer, qu’elle obéit, et qu’en sortant de l’onde, elle se trouva calme et consolée. […] Les Dieux, pour récompenser leur fidélité, les métamorphosèrent l’un et l’autre en alcyons, et voulurent que la mer fût toujours tranquille tandis que ces oiseaux feroient leurs nids sur les ondes, où, dit-on, ils le font ordinairement. […] Les Nymphes baignèrent Apollon naissant, dans leurs ondes ; Thétis lui donna du nectar et de l’ambroisie, et le jeune Dieu, seul digne de célébrer son immortalité, la chanta sur sa lyre d’or. […] Orphée jouoit si divinement de la lyre, qu’il adoucissoit, charmoit les bêtes féroces, suspendoit le cours des fleuves ; l’onde devenoit immobile pour l’écouter, et les rochers et les arbres, attirés par ses accords, s’animoient et prenoient du mouvement pour s’approcher de lui. […] Aréthuse, en fuyant le fleuve Alphée, fut changée en fontaine, et ne put même, sous cette forme, éviter ce fleuve persécuteur qui mêla son onde avec la sienne.
Sur cette montagne glissante, Élevant sa roche roulante, Sisyphe gémit sans secours ; Et plus loin, cette onde fatale Insulte à la soif de Tantale, L’irrite et la trahit toujours. […] L’onde approche, se brise, et vomit à nos yeux Parmi des flots d’écume un monstre furieux. […] Après avoir voyagé long-temps, inutilement, il consulta l’Oracle, qui lui ordonna pour toute réponse de bâtir une ville dans le lieu même où il seroit conduit par un bœuf : Après avoir erré sur la terre et sur l’onde, Sans trouver Europe ma sœur ; Après avoir en vain cherché son ravisseur, Le Ciel termine ici ma course vagabonde, Et c’est pour obéir aux oracles des Dieux Qu’il faut m’arrêter en ces lieux. […] Sa voix redoutable Trouble les enfers, Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l’univers ; La terre tremblante Frémit de terreur ; L’onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d’horreur. […] Quel art a pu former ces enceintes profondes, Où l’Euphrate égaré porte en tribut ses ondes ; Ce Temple, ces Jardins, dans les airs soutenus, Ce vaste Mausolée où repose Ninus ?
Il s’assied sur un rocher, se purifie dans une onde pure, ensuite il jette un long manteau sur ses épaules, il se voile la tête et il appelle Thésée, pour lui recommander encore sa fille. […] Achille, combattit les Troyens et fit des prodiges de valeur ; durant le combat, le Xante et le Simoïs débordèrent leurs ondes pour engloutir Achille, mais Vulcain sauva le héros par des feux rapides qui desséchèrent ces deux fleuves. […] Aussi, lorsqu’ Ovide veut peindre une coquette (Salmacis), il annonce qu’elle est paresseuse, qu’elle n’a d’autre occupation que celle de prendre soin de ses cheveux et de se regarder dans l’onde, de se parer, etc., delà, elle passe à l’effronterie la plus révoltante, elle déclare sa passion, et quoiqu’elle soit belle, elle n’inspire que du mépris et de l’horreur. […] Un de nos vieux auteurs ( Bertaut) a dit : L’ingratitude règne au monde, On ne se souvient que du mal, L’injure se grave en métal, Et le bienfait s’écrit dans l’onde ! […] Elle est couronnée d’une guirlande de rue59 ; elle tient un pélican dans ses bras, elle est debout, parce qu’elle est toujours prête à agir ; on la place à côté d’un arbre planté sur le bord d’une onde pure.
Negli scrittori ecclesiastici i politeisti son detti ancora Ethnici e Gentiles, vocaboli che sono sinonimi, il primo in greco e il secondo in latino ; onde è derivata in italiano la parola gentilesimo che si può usare indifferentemente per paganesimo ; ma non così la parola gentili per pagani, perchè il vocabolo gentili ha due altri diversi significati : uno più usato e comune invece di cortesi ; e l’altro legale, che sta ad indicare le persone della stessa famiglia, la quale in latino dicevasi più comunemente gens, mentre familia significava anche i servi o schiavi.
Anzi potrebbe dirsi che avessero gli Antichi quasi indovinate le moderne ipotesi astronomiche, per cui si ammetta nello spazio una materia cosmica, onde si formano le nebulose e le stelle, ed un’aria sottilissima e purissima chiamata etere.
Quanto poi al vaso di Pandora, onde, uscirono tutti i mali di questa Terra, l’espressione mitologica è tanto famigerata che odesi spesso dalla bocca di persone tutt’altro che eruditissime.
La voce Natura è di origine latina, dalla qual lingua è passata pari pari senza alcuna alterazione nell’ italiana : in greco dicevasi fisis, onde deriva il vocabolo fisica, che perciò è sinonimo di naturale.
Tutti perirono, fuorchè un sol uomo ed una sola donna, Deucalione e Pirra, che si salvarono in una nave ; la quale dopo aver lungamente errato in balìa delle onde fu spinta e fermossi in Grecia sul monte Parnaso. — Di quale stirpe e famiglia erano essi i due fortunati o pii, che soli ebbero in sorte o meritarono di scampare dal generale esterminio ?
« Quand’io senti’ come cosa che cada « Tremar lo monte : onde mi prese un gielo « Qual prender suol colui che a morte vada.
Anche Dante ha trovato il modo di rammentarla nel Canto xv del Purgatorio, facendo dire a Pisistrato dalla moglie di lui : « …..Se tu se’ Sire della villa « Del cui nome ne’ Dei fu tanta lite, « Ed onde ogni scienza disfavilla, « Vendica te di quelle braccia ardite, ecc. » Dante inoltre volge ad ornamento del suo divino linguaggio poetico l’origine mitologica dell’ olivo, e considerandolo come simbolo di sapienza, perchè prodotto dalla Dea della sapienza, ne corona la fronte alla sua Beatrice rappresentante la cristiana Teologia.
Europa vedendolo così mansueto vi era salita in groppa per giovanile trastullo ; ma il toro giunto sulla riva del mare, si gettò in mezzo alle onde, e nuotando trasportò all’isola di Creta la giovinetta, ed ivi, riprese le forme divine, la fece sua sposa, e n’ebbe due figli Minos e Radamanto 57.
Téthys était portée sur un char formé d’une conque parfaitement belle, plus éclatante que l’ivoire et paraissant voler sur la surface des ondes. […] Les roues de son char sont d’or et paraissent voler à la surface des ondes. […] Le Cocyte où il se déchargeait traversait un marais rempli d’une onde croupissante et livide. […] Enfin le Léthé ou fleuve de l’oubli avait la propriété de faire perdre la mémoire à ceux qui se désaltéraient dans son onde. […] Cependant, sur le dos de la plaine liquide, S’élève à gros bouillons une montagne humide : L’onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d’écume, un monstre furieux.
. ; e nello stesso Virgilio troviamo l’espressione Cerere corrotta dalle onde (Cererem corruptam undis), per indicare il grano avariato dall’acqua del mare.
Atamante re di Tebe, che sposò in seconde nozze Ino divenuta poi la Dea Leucotoe, aveva della sua prima moglie Nèfele un figlio e una figlia di nome Frisso ed Elle ; che non contenti della matrigna fuggirono dalla casa paterna portando via un grosso montone col vello d’oro, donato già dagli Dei ad Atamante ; e montati a cavallo su quell’animale, lo spinsero in mare per farsi trasportar da esso fra le onde sino alla Colchide.