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19. (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I

Toutes ces choses sans doute et une infinité d’autres étoient fondées absurdes traditions ou sur des opinions dont la connoissance n’est pas venue jusqu’à nous. […] De là vint la coutume de faire marcher devant elles un licteur avec des faisceaux, afin de prévenir de semblables désordres. […] Ce nom vient, dit-on, de marchands ou marchandises. […] Mydas, roi de la Phrygie, témoin de ce combat musical, récusa ce jugement, et Apollon lui fit venir des oreilles d’âne. […] L’ail leur étoit consacré ; c’est peut-être de cette consécration qu’est venue l’idée que l’ail préserve du mauvais air.

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