Tous à son gré, de défauts très-nombreux, Etaient pourvus, lui seul avait de reste Les qualités qu’on desirait en eux ; Lui seul était parfait. […] C’est un fils d’Apollon qui seul par sa présence Peut terminer enfin votre longue souffrance. […] Dans ces tableaux trompeurs, par eux seuls animés. […] Le cœur qui les sent, les adore, Et peut seul les apprécier. […] (Les Hamadriades présidaient chacune à un seul arbre.)