« Sur-tout de votre sang il faut me rendre compte. […] Le centaure près d’expirer mouille sa tunique de son sang et du sang venimeux de l’hydre de Lerne, et l’offre à la jeune épouse, comme un don précieux pour lui conserver la tendresse de son mari. […] Plus loin, l’impétueux Cocyte pousse avec furie ses flots de sang noir, et se précipite en bouillonnant. […] Ce fougueux coursier, qui n’obéit qu’à la voix d’Apollon et des Muses, naquit du sang de la tête de Méduse. […] Enfin on frottait du sang de la victime ou d’huile la pierre qui servait de borne.