A Rome et en Grèce, outre les sacrifices publics aux dieux de la patrie, il y avait dans chaque famille des sacrifices particuliers qui se renouvelaient tous les jours. […] Mais ses vaisseaux, pour l’apaiser, lui portent des sacrifices dans toutes les parties du monde. […] On peut dire que les siècles malheureux de la décadence de Rome ne furent qu’un long sacrifice à cette idole. […] Le père en est le grand prêtre, la table en est l’autel, le repas de chaque jour en est le sacrifice. […] — Un vase d’or ou d’airain à trois pieds, servant aux sacrifices ?