Je suis le Dieu des vers, le Pinde est mon Empire ; Je sais unir ma voix aux accords de ma lyre ; Je prédis l’avenir, je connois le passé. […] Passez de ce côté, dit l’Artiste, à vos yeux J’en présenterai qui des Cieux Vous paroîtront tout-à-fait descendues. […] Mais déjà la Déesse a passé le rivage, Que les mortels ne repassent jamais. […] On donne à Janus deux visages comme présidant au jour et à la nuit, et connoissant l’avenir et le passé ; un bâton à la main droite et une clé dans la gauche. […] Passer subitement à l’extrême licence.