Très-souvent on la peint portée sur une conque marine, parcourant les ondes de la mer ; sa tête est surmontée d’un voile enflé par le souille des Zéphyrs, l’Amour nage à côté delle ; des Tritons l’environnent ; une rame est à ses pieds pour rappeler son origine ; on y place de même une corne d’abondance, pour désigner les richesses que produit le commerce de la mer. […] Le premier est une statue déterrée à Rome vers le milieu du seizième siècle : il fait voir ce dieu assis sur les ondes de la mer, sous la figure d’un vieillard tenant une pique ; et près de lui on remarque un monstre marin d’une forme inconnue.