Les ombres vers Caron poussent leur foible voix, Mais le dur Nautonnier sans égard fait son choix. […] De ses yeux part un sillon de lumière, Qui perce l’ombre, et marque sa carrière. […] Mais, Ombre chérie ! […] mon aspect épouvante les ombres ! […] Ombre d’Agamemnon, sois sensible à mes cris ; J’implore ton secours, chère ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère ; Prends pitié de l’état où tu me vois réduit.