On délibère encore, et le jour qui s’enfuit Abandonne le monde aux ombres de la nuit. […] Les ombres vers Caron poussent leur faible voix, Mais le dur Nautonnier sans égard fait son choix. […] O vous, parens pieux, Apaisez en ces jours l’ombre de vos aïeux. […] De ses yeux part un sillon de lumière, Qui perce l’ombre, et marque sa carrière. […] Mais, Ombre chérie !