Le Chaos périt par la création, et la Nuit par la lumière. […] Il fut brûlé, la nuit même où naquit Alexandre-le-Grand, par un Ephésien obscur, nommé Erostrate, qui voulait immortaliser son nom. […] Alors il exigea de ses filles qu’elles égorgeassent leurs époux la nuit même de leurs noces. […] Le jour n’y fuit point, et la nuit, avec ses sombres voiles, y est inconnue. […] D’après quelques poêtes, les Furies étaient filles de la Discorde ; selon d’autres, de la Nuit et de l’Achéron.