Il marquait les limites des champs ; c’est pourquoi on y mettait sa statue. […] On met à ses pieds un coq, une tortue ou un bélier. […] Il osa mettre le feu au temple de Delphes. […] Eurysthée même qui l’avait mis à tant d’épreuves, commença à le redouter. […] Etant revenu un peu à lui, il étendit la peau du lion de Némée sur le bûcher, se coucha dessus, mit sa massue sur sa tête, puis il ordonna à Philoctète d’y mettre le feu et s’y brûla.