Le poisson qui devait manger Andromède, le taureau qui effaroucha les chevaux d’Hippolyte, étaient des dragons de mer. […] On le rencontre sur mer quelquefois ; mais la terre est son élément favori. […] Toute la cavalerie, armée de flèches, descend vers la mer. […] La mer aussi était remplie de choses terribles. […] Belles comme Vénus jusqu’à la ceinture, elles cachaient dans la mer l’épouvantable mystère de leur queue de poisson.