Il ne pourrait le boire sans sacrifier, c’est-à-dire sans en offrir aux dieux une partie, et il n’a pas les mains pures. […] Sa mine était extrêmement farouche, ses mains et ses doigts étaient velus. […] Lui-même tenait en main un bâton où s’enroulaient deux serpents. […] Les Lares indulgents ne regardent pas au prix de l’offrande ; ils n’exigent que des mains pures. […] Ainsi Achille met entre les mains de Patrocle mort les boucles de ses cheveux.