Cette fable d’Atys et de Sangaride est fondée sur ce que Midas, roi de Pessinunte, promit sa fille en mariage au jeune Atys. […] Ce jeune insensé, n’écoutant que sa passion, eut l’audace de l’enlever. […] Elles étaient toujours jeunes, pour avertir que la mémoire d’un bienfait ne doit jamais vieillir. […] Les poëtes les représentent comme de jeunes et belles filles, habitant les rochers des côtes de la Sicile. […] Les dieux ressuscitèrent le jeune Pélops, et Jupiter remplaça par une épaule d’ivoire celle que Cérès avait mangée.