Un père, plongé dans une douleur profonde, continuent les saintes Ecritures, fit faire l’image de son fils qui lui avait été trop tôt ravi ; il commença à adorer comme dieu Celui qui, comme homme, était mort auparavant, et il établit parmi ses serviteurs son culte et des sacrifices. […] On plaçait son image au-dessus des portes, pour détourner les voleurs, et on le nommait en cette qualité Stropheus : comme dieu du commerce, il s’appelait Empolius : dieu de la ruse, Dolius ; dieu conducteur, Hegemonius, etc., etc. […] Cette déesse était représentée sous l’image d’une jeune fille couronnée de guirlandes, portant dans ses mains des cornes d’abondance. […] Cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. […] Les prêtres savaient que l’Etre suprême est unique, et qu’on ne peut le représenter sous aucune image corporelle.