Il s’appliqua à former l’homme. […] Elles filoient la vie des hommes. […] Chaque homme avoit aussi son génie ; quelques-uns même prétendoient que les hommes en avoient deux, un bon, qui les portoit au bien, et un mauvais, qui leur inspiroit le mal. […] Neptune avoit fait un taureau, Vulcain un homme, et Minerve une maison. […] De leurs seuls regards elles pétrifioient les hommes.