La fable le représente aussi comme moitié homme et moitié serpent. […] Cette manière de combattre surprit tellement, que l’on confondit, dans le premier moment, les hommes et les chevaux : on les peignit comme moitié hommes et moitié chevaux. […] On y plaçait aussi les statues des grands hommes. […] On leur donna pour juges deux prêtresses et deux hommes. […] Dans les occasions extraordinaires il faut immoler un homme.