Deux héros que je pris l’un pour César, l’autre pour Alexandre, levaient l’épée pour le trancher. […] Le héros, pour le vaincre, fut obligé de le soulever et de l’étouffer dans ses bras. […] On n’en finirait pas de conter les réjouissantes aventures dont il fut le héros. […] Qui n’a réveillé dans sa tombe son héros de prédilection ? […] Cette bouderie du héros d’ Homère est restée célèbre.