pourquoi faut-il qu’en ruses impuissantes La frayeur ait usé ses forces languissantes ? […] Fais-moi dans ce séjour champêtre, Contempler sur tes pas ce spectacle chéri, A nos membres sans force, à mon sang appauvri, Viens redonner un nouvel être. […] C’était le héros de la force et de la valeur. […] Par lui tu connaîtras d’où naissent tes revers ; Mais il faut qu’on l’y force en le chargeant de fers. […] Enfin il le regarde, et parmi les sanglots, Tremblant, pâle et sans force, il prononce ces mots : « Songez, Seigneur, songez que vous avez un père… » Il ne put achever.