Jeune épouse, veux-tu dans le nœud qui t’engage, Arrêter cet Enfant volage ? […] On plaçoit sa statue près du berceau de l’enfant qui venoit de naître. […] Un enfant, de la vie ignore tous les maux, A ses yeux indulgens tout paroît sans défauts. […] Pour retirer les noms de l’urne du destin, De l’enfant sans détour on emprunte la main. […] Aimable Enfant, tes jours me sont ravis !