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7. (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)

Ses eaux sont bourbeuses et amères. […] Le fleuve d’oubli roule doucement ses eaux autour de ce palais. […] On dit que ses compagnons, étant allés puiser de l’eau, furent dévorés par un dragon. […] Neptune le fit périr dans les eaux, pour le punir d’une impiété dont il avoit toujours fait gloire. […] Ce Cyclope, fils de Neptune et de Thoosa, étoit si grand, que l’eau de la mer ne lui venoit qu’à la ceinture.

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