Qui ne connaît l’aventure de Philémon et Baucis, couple exemplaire dont la fidélité fut digne de fixer ses regards divins. […] Quant à Ganymède que Jupiter chérissait comme un véritable amant, il était son menin, son page divin. […] Tel était Linus, tel était le divin Orphée. […] Mais on ne venait pas s’inspirer au hasard sur ce trépied divin. […] Aussi, pour cette raison, Cicéron soupçonne que le divin Orphée n’a jamais existé.