C’est de là que les Grecs ont imaginé la fable de Jupiter changé en taureau, pour enlever cette princesse. […] Les gouttes de sang qui coulaient de cette tête se changèrent en serpens. […] Les poëtes publièrent qu’elle avait été changée en amandier. […] Elle représente Achéloüs changé en serpent, pour figurer les sinuosités de son cours. […] On publia qu’elles avaient été changées en oiseaux, que l’on nomma Méléagrides.