En même temps on attachoit au coupable des ailes d’oiseaux et même des oiseaux vivans, pour le soutenir en l’air et rendre sa chute moins périlleuse. […] Pyrénée, aussi stupide qu’insolent, monta sur une haute tour d’où il se jeta en l’air pour voler après elles, il tomba et se cassa la tête. […] Elle fut inconsolable de sa mort, sa douleur la consuma sur les bords du Tibre, son corps s’évapora dans les airs, il ne resta d’elle que la voix. […] L’ail leur étoit consacré ; c’est peut-être de cette consécration qu’est venue l’idée que l’ail préserve du mauvais air. […] La cabale a substitué aux Fées d’autres êtres fabuleux, habitans des airs, de la terre, du feu et des eaux : les Sylphes, les Gnomes, les Salamandres et les Ondins.