Apollon et les Muses n’inspirent plus que M. […] Les saints et les anges s’assirent sur les siéges des Muses, et leurs harpes d’or retentirent où avait chanté la lyre d’Apollon. […] Pan, le flûtiste, et Apollon, le lyrique, disputaient un jour du mérite et du prix de leur art. […] Apollon était dieu, il était artiste, partant doublement susceptible. […] Midas s’est fait bel esprit et essaye des airs de pont-neuf sur la lyre d’Apollon.