lard qui chancelle. Roman 17. Entrée de Bacchus dans Athènes.
Venu
des bords du Gange, où son char conquérant Porta
mains. L’Hiver n’enchaîne plus les foudres de Bellone, La gloire
vient
d’ouvrir le cirque des guerriers ; Et de ses fier
lus chères. Anyte, Citoyenne d’Epidaure. — *** 27 Souvent tu
viens
chercher l’ombre de cet ormeau, Ces bois sont les
e une Grace, et frais comme un bouquet Dont les roses
viennent
d’éclorre. Ses yeux étoient cachés ; un bandeau l
ongs travaux, Fut reçu dans le Ciel, tous les Dieux s’empressèrent De
venir
au-devant de ce fameux Héros. Mars, Minerve, Vénu
les remerçioit tous, Quand Plutus qui vouloit être aussi de la fête,
Vint
d’un air insolent lui présenter la main, Le Héros
Mon fils, lui dit alors Jupin, Que t’a donc fait ce Dieu ? d’où
vient
que la colère A son aspect troubl
Auprès du Fils n’est bonne à rien. François de Neufchâteau 40.
Venez
donc dans les champs, vous que l’ennui dévore ; E
vous que l’ennui dévore ; Et vous, fils de Chiron, élèves d’Epidaure,
Venez
: la main des Dieux, sensible à tous nos maux, En
Castel 41. La Femme compatissante. Conte . Je
viens
vous conter mon chagrin, Dit Perrette à son médec
trejetoient Les chandeliers, comme on dit, à la tête. Le mari
vint
tout seul présenter sa requête, Disant que tous l
ux Brillent sur le sein de l’Automne. O sœur aimable du Printems ! Tu
viens
acquitter ses promesses ; Si tes biens sont moins
. L’Amour que l’Automne rappelle, Descend du Ciel dans nos vergers Et
vient
offrir à la plus belle Les pommes d’or des orange
ouvre nos treilles, L’ambre qui pare nos coteaux. Un second printemps
vient
d’éclore, Le Ciel répand des rayons d’or, L’amara
son enfance, Qu’un noble hymen l’unit à Jupiter… Plus d’une fois elle
vient
s’y cacher, Respirer seule et jouir d’elle-même :
er, Respirer seule et jouir d’elle-même : Sans cour, sans pompe, elle
vient
y chercher La liberté qui fuit le rang suprême :
rcher La liberté qui fuit le rang suprême : De son front grave elle y
vient
détacher Tous ses ennuis avec son diadême : Elle
grave elle y vient détacher Tous ses ennuis avec son diadême : Elle y
vient
rire : (on rit peu dans les Cieux.) Je la plaindr
les bois. Tous les Dieux des forêts, des fleuves, des montagnes,
Viennent
féliciter leurs heureuses compagnes ; Et de leurs
eur ramage, Tout-à-coup un épais nuage,
Vint
voiler le flambeau des Cieux : La
ous conduit. Indifférentes et légères, Vous échappez à qui vous suit.
Venez
dans mon humble réduit, Vous n’y serez point étra
le l’Age d’or, ce siècle heureux où cette Déesse descendit du ciel et
vint
habiter la terre. Enchantée de l’innocence de ces
uvoir des Dieux. Melpomène, les yeux en larmes, De cris touchans
vient
me frapper ; Quel art me fait trouver des charmes
bergers que sa voix enchante : Des tranquilles biens qu’elle chante,
Viennent
étudier le prix ; Et tous deux osent après elle,
yre Pour célébrer le double Mont, Si j’en ai soutenu la gloire, Muse,
viens
payer ma victoire, D’un laurier digne de mon fron
s, et je plains leur foiblesse… Dorat 101. Danses Provençales.
Venez
: transportons-nous dans ces belles contrées, Des
chéri, A nos membres sans force, à mon sang appauvri,
Viens
redonner un nouvel être. Sitôt que le Zéphyr, ren
t ses flexibles rameaux, S’élèvera, chargé de son jeune feuillage, Tu
viendras
avec moi jouir sous ces berceaux Du frais qu’on y
mens de la foudre mourante. Un peuple curieux en assiége les murs, Il
vient
, il va, revient, et cent récits obscurs Amas tum
Et toi, rival de Mars, Invincible Pompée ! Où donc est ton courage ?
Viens
! Pluton à Pharsale apprête le carnage : Là, du s
semer la haine et la division parmi les Dieux. Chassée du Ciel, elle
vint
troubler la Terre. Ennemie du bonheur des hommes,
en toutes les maisons. Voilà pourquoi les consolations
Viennent
toujours bien tard soulager la misère. Fallet 11
ois. Alors des rives du Cocyte, A Berlin vous rendant visite, Atropos
vint
avec le Temps, Croyant trouver des cheveux blancs
Rendoient justice à leurs talens. La Mort leur fit accueil. La Peste
vint
ensuite : On ne pouvoit nier qu’elle n’eût du mér
oit l’emporter : La Mort même étoit en balance ; Mais les Vices étant
venus
, Dès ce moment la Mort n’hésita plus, Elle choisi
le mourant. J’implore, ô Jupiter, tes foudres réunis,
Viens
te montrer, mon père, en tonnant sur ton fils. Mo
leurs : Mon fils, répond Cyrène, en pâlissant de crainte ; Qu’il
vienne
: et quel est donc le sujet de sa plainte ? Qu’on
tu poursuivis sa fidelle Euridice… (Voy. Orphée.) Cyrène de son fils
vient
calmer les alarmes : Cher enfant, lui dit-elle, e
ps pressés le sein des Néréides ; On vit un essaim de héros
Venir
briguer l’honneur d’une illustre conquête ; Orphé
la Grèce mensongère ! Ils osèrent braver les abymes des flots, Et tu
viens
d’envahir l’empire du Tonnerre. Mais le Des
eux comme vous, Notre appui, mon Hector, est tombé sous vos coups. Je
viens
redemander ses dépouilles funestes ; Prenez tous
uiller ma main du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle vapeur
vient
obscurcir les airs ? Grace au Ciel, on m’entr’ouv
ensible à mes cris ; J’implore ton secours, chère ombre de mon père ;
Viens
défendre ton fils des fureurs de sa mère ; Prends
l’Oracle que la ville de Troie ne céderoit qu’aux flèches d’Hercule,
vinrent
les demander à Philoctète. Vaincu par leurs prièr
voyageurs ouvert, N’attire les vaisseaux dans ce triste désert. On ne
vient
à Lemnos que poussé par l’orage, Et depuis si lon
dans les yeux. Hector croit voir Achille ; et d’un ton de menace : «
Viens
, dit-il, recevoir le prix de ton audace. Patrocle
, Voit ses rangs dispersés, tout son camp saccagé ; C’est Achille qui
vient
dévancé par sa gloire, Hector n’est plus, et Patr
té, (c’étoit Penthésilée) Vénus pour la figure et Mars dans la mêlée,
Vient
, la hache à la main, la douleur sur le front, d’u
s le charme attrayant d’un sourire enchanteur, De sentimens plus doux
vient
pénétrer le cœur. Si du feu des combats son œil b
delé. Colardeau 153. Terre, éveille-toi ; la Déesse (Minerve.)
Vient
éclairer tous les humains : La Gloire à la suivre
Elle descend chez Prométhée Qu’elle embrase par ce discours : «
Viens
donner une ame nouvelle « Aux mortels à l’erreur
is : « Du feu du Ciel qu’une étincelle « Pénètre les sens endormis. «
Viens
, la gloire suit le courage… « Déjà je vois à ton
: Je ne puis annoncer tes victoires nouvelles, Si tu ne
viens
à mon secours. C’est par toi qu’aux mortels il n
Si tu veux m’y servir de guide. De quoi l’esprit humain ne
vient
-il pas à bout, Quand pour se délivrer d’un péril
ée, Le frappe de son thyrse, et s’écrie : Evohé, A mon secours, Ino :
venez
, Autonoë : Un affreux sanglier désole ces campagn
e est en cendre ? Mon Hector même, hélas ! ne pourroit nous défendre.
Viens
ici : cet autel, nous protégera tous ; Ou du moin
les flammes Ont par l’expiation purifié ces ames, Lorsque l’heure est
venue
, un Dieu lui même alors En foule les conduit sur
rable. « Fuyez ! fuyez ! dit-il, d’une voix lamentable ; « Ce présent
vient
des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots,
a mourante paupière. Bientôt Phébé, du haut de son char argenté,
Vient
colorer les airs de sa pâle clarté. Les enfans d’
s les demeures sombres, J’irai de mon supplice épouvanter les Ombres.
Viens
, je te suis. Voltaire 168. Tantale, Fils d
onde : C’en est fait : pour punir le plus noir des forfaits, La Grèce
vient
d’armer le Ciel, la Terre et l’Onde, Déjà se
ce s’apprête : Pyrrhus, dans la poussière, aux pieds de tes remparts,
Vient
souiller tes cheveux et ta coupable tête. Dé
elle… Le jour trop long pour eux, coule trop lentement ; Mais la nuit
vient
: Thisbé s’échappe adroitement, Tourne les gonds
et le déchire, Et rodant en grondant, dans les bois se retire. Pyrame
vient
, pâlit : ses regards alarmés. Ont observé les pas
ns pas ! O vous, hôtes cruels de ces grottes obscures, Tigres, lions,
venez
, je m’offre à vos morsures. N’épargnez pas mon sa
es, lions, venez, je m’offre à vos morsures. N’épargnez pas mon sang,
venez
me déchirer. Mais c’est craindre la mort que de l
connoît point de lois. Dans les champs que l’hiver désole Flore
vient
établir sa cour : L’Alcyon fuit devant Eole, Eole
tans ; Et de tristes crêpes voilées, Autour de leurs noirs Mausolées,
Viennent
errer de temps en temps. Beauharnais 180. Ins
delle et chère ! Elle respire encore au cœur de son époux. Hélas ! il
vient
souvent dans cette solitude Qu’elle s
mage anticipée ! Triste et dernier Soleil !… jour affreux, hâte-toi !
Viens
tirer le rideau… tout est fini pour moi ! Young.
es efforts, par les Dieux, peuvent être trahis ; Je le sais : le jour
vient
, où la triste Pergame Doit voir plonger ses murs
éplorée, incertaine, Au milieu des mourans, des morts et des débris.
Venez
, suivez mes pas, joignez-vous à mes cris. Venez,
morts et des débris. Venez, suivez mes pas, joignez-vous à mes cris.
Venez
, j’ignore encor, si la Reine est sauvée, Si de so
ns de ce coursier, sa main cherche un apui ; Les Thyades en feu vont,
viennent
devant lui : Impuissant écuyer, vers l’escadron a
n plus fidèle amant ; Je t’épouse, et pour dot je t’ouvre l’Empirée :
Viens
, et que ta couronne, à la voûte sacrée, Dirige le
ul. Présent des Dieux, doux charme des humains, O divine Amitié !
viens
pénétrer nos ames ; Les cœurs éclairés
Loin de troubler ce favorable asile, J’y
viens
goûter la paix que vous donnez C’est ici des Héro
O mon frère ! est-ce vous ? Pollux. C’est moi qui
viens
briser la chaîne qui te lie ; C’est moi qui t’ai
Et le visage en pleurs : « O moitié de mon ame, « Ne m’abandonne pas,
viens
, et prends cette main, « Tant qu’il me reste enco
t gémir : sa voix n’est plus qu’un sifflement. Hermione frémit : d’où
vient
ce changement, Et que vois-je, dit-elle ? elle cr
voure à longs traits le plaisir de se voir…. O toi ! qui que tu sois,
viens
calmer mes tourmens ! Pourquoi donc me fuis-tu ?
rais, Diane aime à baigner ses pudiques attraits. Ce jour même elle y
vint
: une Nymphe empressée A déjà détaché sa robe ret
agiter mes cheveux. Je tremble, je pâlis : Diane, entends mes vœux ;
Viens
, et si je te plus, sauve-moi d’un outrage. La Dée
me couvre d’un nuage. Alphée appelle envain : interdit et confus, Il
vient
, passe, revient et ne me trouve plus. Ciel ! que
le vainqueur de l’Inde étoit moins gracieux, Le jour que d’Ariane il
vint
sécher les larmes. La froid
igés en répandent des larmes. Sors du lit nuptial, ô plaintive Vénus,
Viens
pleurer avec nous l’objet de ta tendresse, Viens
, ô plaintive Vénus, Viens pleurer avec nous l’objet de ta tendresse,
Viens
en habit de deuil, et répète sans cesse Ces lamen
er dans les forêts ; Vois sur un lit pompeux l’époux que tu déplores,
Viens
à lui, quoique mort il est charmant encore, Et le
estinée Par quelque étoile est sans nous dominée, Ou si les sots pour
venir
à leurs fins, Ont des secrets inconnus aux plus f
les dons de son ame angélique. Pour l’achever, un maniveau d’auteurs
Vient
l’étourdir de concerts séducteurs. A le chanter l
Ah ! si je te suis chère encore, Ecoute mes regrets,
viens
essuyer mes pleurs. Ton absence me cause une fray
mes désirs ; Sans cesse une crainte nouvelle
Vient
empoisonner mes plaisirs. Revien
rs ; Ah ! si je te suis chère encore, Ecoute mes regrets,
viens
essuyer mes pleurs. Elle achevoit ces mots,
e leur mère eût sauvé du tombeau ! Mais c’est peu que les lois que tu
viens
d’interrompre, Appellent sur ton fils la mort ou
l’influence impure, La Santé régne aux champs sur un lit de verdure.
Viens
aux champs, jeune Eglé, viens y nourrir ton fils
régne aux champs sur un lit de verdure. Viens aux champs, jeune Eglé,
viens
y nourrir ton fils ; Apporte son berceau sous des
toile l’action barbare de Térée, et la fit parvenir à sa Sœur. Progné
vint
à la tête d’une troupe de femmes le jour de la fê
lle ans que l’on ne vous a vue ; Je ne me souviens pas que vous soyez
venue
, Depuis le temps de Thrace, habiter parmi nous.
à quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talens si beaux ?
Venez
faire aux cités éclater leurs merveilles :
s les bois où sa fougue l’emporte, Il s’arrête, il s’écrie. Amis, qui
vient
à moi ? A peine achève-t-il, Echo répette : Moi.
? A peine achève-t-il, Echo répette : Moi. Mais, où donc te trouver ?
Viens
, je t’attends, approche. Tandis qu’il cherche au
leçons, de qui ? d’une Immortelle. Que l’on juge entre nous : qu’elle
vienne
, dit-elle, Quelle vienne. Vaincue, à tout je me s
mortelle. Que l’on juge entre nous : qu’elle vienne, dit-elle, Quelle
vienne
. Vaincue, à tout je me soumets. Pallas, qui
me conseiller. Que prétend ma rivale ? Veut-elle l’emporter ? Que ne
vient
-elle ici ? N’ose-t-elle à mes yeux paraître ?… La
leur tissure fragile. Sans cesse les ressorts élevés, abaissés, Vont,
viennent
, tour-à-tour, poussés et repoussés. Chacune voit
large et creux Se couronne, à l’entour, de myrtes amoureux. Dryope y
vint
un jour. Hélas ! l’infortunée Etoit loin de prévo
prochez-vous de moi, si la pitié vous touche ; Que votre bouche encor
vienne
presser ma bouche ; Et, puisqu’il ne m’est plus p
z-vous ? Craignez la mer en courroux,
Venez
dans ces lieux paisibles Goûter l
contagieux : Et vous, enfans des nuages. Vents, ministres des orages,
Venez
, fiers tyrans du Nord ; De vos brûlantes froidure
la tristesse ; Quittez, pour quelque temps, ces jardins si chéris, Et
venez
dans ces lieux contempler la Nature ; De ces rocs
es chansons. Dans des lieux, autrefois ensevelis sous l’onde, Un jour
viendra
, sans doute, où Neptune en fureur Couvrira de nou
lle main a creusé ces abymes terribles !237 Mille objets
viennent
à la fois, M’effrayer, me charmer de leurs beauté
doit sur sa métamorphose, Plaindre ou féliciter le Père de Daphné. Là
vient
le Sperchius de saules couronné, Le Céphise qui c
on si touchant, Parois ici, tendre Virgile, Divinité du sentiment… Il
vient
brillant comme l’Aurore, Et d’une main il tient e
ts, les prières, la plainte, Et notre encens, détrempé de nos pleurs,
Viennent
, hélas ! comme autant de vapeurs, Se dissiper aut
nal d’un combat furieux, Il ébranla du Ciel la voûte inaccessible, Et
vint
porter sa plainte au Monarque des Dieux. Ma
Pourquoi trop peu sensible aux misères, humaines, Mercure malgré moi
vint
-il t’en délivrer ? La Discorde dès-lors avec
entre jamais sans transports d’allégresse ; J’appelle mes enfans, ils
viennent
m’entourer. Au plus jeune sur-tout je vole avec i
in de charmes, Et le plaisir touchant de répandre des larmes. L’amour
vint
en pleurant s’unir à l’amitié : Ce couple pour ja
’annonçant les alarmes, Sous un vêtement de deuil, Tu
viens
occuper le seuil D’un palais rempli de la
oms sont beaux ; mais ils sont dans les Fables* Voltaire 274.
Viens
donc, Compagne chaste et pure, Fille du Ciel, obj
Viens donc, Compagne chaste et pure, Fille du Ciel, objet vainqueur,
Viens
sous mon toit, viens dans mon cœur Habiter avec l
chaste et pure, Fille du Ciel, objet vainqueur, Viens sous mon toit,
viens
dans mon cœur Habiter avec la Nature ! Du fond de
t doux. Ah ! si vous négligiez cet avis salutaire, La Liberté
venue
hors de saison, Ne seroit plus qu’une bel
u’au moraliste enfin nos gens eurent recours, Et que fort à propos il
vint
à leur secours. De sa morale une o
hilosophique . Tristes ambitieux, ne quittez point la Cour ; Ne
venez
point ici profaner mon bocage ; Je suis la Libert
de Vole après un bien qui te fuit, Ma voix, de l’erreur qui te guide,
Vient
dissiper l’épaisse nuit ; Abandonne un espoir fri
degrés, c’est lentement Que des yeux délicats s’ouvrent à la lumière,
Viens
donc, et si tu veux céder à ma prière, Ch
. C’est là que la raison humaine De ses travaux actifs
vient
puiser l’aliment. Elle y boit à longs traits les
et un mauvais. Le premier inspiroit le bien, le second le mal. De-là
vient
l’expression latine, Genio indulgere, suivre son
alze 295. Quel éclair perce la nue ? Quelle est la Divinité Qui
vient
offrir à ma vue Tant de grâce et de beauté ? Qui,
is ma Déesse ! C’est l’Imagination. Reine aimable des mensonges,
Viens
-tu, mère des erreurs, De l’ivresse où tu nous plo
us n’avons que l’image… Or mes amis, laissez là nos penseurs, Et
venez
tous dans ce riant asile Epanouir votre Gaîté fa
e ces Royaumes sombres Le plus cruel Tyran de l’Empire des Ombres. Il
vient
, le Fanatisme est son horrible nom : Enfant dénat
is de croître ensemble, Qui changeant à-la-fois de saison et de lieu,
Viennent
tous à l’envi rendre hommage à Jussieu, L’Indien
’humble innocence A-t-elle sur nos cœurs conservé sa puissance ? D’où
vient
qu’une Bergère, assise sur les fleurs, Simple dan
modeste silence, Fait tomber à ses pieds l’audace et la licence. D’où
vient
qu’un Villageois, assis sous un ormeau, Juge des
Qui peut l’avoir rendu le Dieu du voisinage ? Les pasteurs rassemblés
viennent
autour de lui, Chercher dans ses leçons leur joie
uoi de la Renommée M’agite la flamme enflammée ? D’où me
vient
cet espoir qui poursuit un grand nom ? Disciples
tières] Voltaire. Sur l’Amitié. 275. [Table des matières] Latouche. [
Viens
donc, Compagne chaste et pure, etc.]. 276. [Tabl
illard qui chancelle. Roman 15. Entrée de Bacchus dans Athènes.
Venu
des bords du Gange, où son char conquérant Porta
de fucus, de roseaux, De la Flore des mers invisible héritage, Qui ne
viennent
à nous qu’apportés par l’orage ; Éponges, polypie
qui de loin semblent un vaste écueil. Souvent avec Buffon vos yeux y
viennent
lire Les révolutions de ce bruyant empire, Ses co
mains. L’Hyver n’enchaîne plus les foudres de Bellonne, La gloire
vient
d’ouvrir le cirque des guerriers ; Et de ses fier
plus chères. Anyte, Citoyenne d’Épidaure. — ***27 Souvent tu
viens
chercher l’ombre de cet ormeau, Ces bois sont les
t comme une Grâce, et frais comme un bouquet Dont les roses
viennent
d’éclore. Ses yeux étaient cachés ; un bandeau le
s richesses, Fit présent d’un bandeau fatal : De-là
vient
qu’il s’y prend si mal Pour distribuer s
ongs travaux, Fut reçu dans le Ciel, tous les Dieux s’empressèrent De
venir
au-devant de ce fameux Héros. Mars, Minerve, Vénu
les remerçiait tous, Quand Plutus qui voulait être aussi de la fête,
Vint
d’un air insolent lui présenter la main, Le Héros
Mon fils, lui dit alors Jupin, Que t’a donc fait ce Dieu ? d’où
vient
que la colère A son aspect trouble tes s
s les cœurs d’une sainte épouvante. Romains, dit cette voix, pourquoi
venir
si loin ? Ce n’est pas Apollon dont vous avez bes
entrejetaient Les chandeliers, comme on dit, à la tête. Le mari
vint
tout seul présenter sa requête, Disant que tous l
vengeresse… Défendez que personne, au milieu d’un banquet, Ne vous
vienne
donner un avis indiscret. Ecartez ce fâcheux qui
juste embarras, Vous adressent leurs vœux, et vous tendent les bras.
Venez
à leur secours ; offrez-leur à la ronde La liqueu
as. Venez à leur secours ; offrez-leur à la ronde La liqueur qui vous
vient
des bords de la Gironde, Le vin de Malvoisie et c
n féconde S’élève autour de l’antre, et se penche sur l’onde. La nuit
vient
les cueillir, et répand dans les airs Leur baume
x Brillent sur le sein de l’Automne. O sœur aimable du Printemps ! Tu
viens
acquitter ses promesses ; Si tes biens sont moins
L’Amour que l’Automne rappelle, Descend du Ciel dans nos vergers, Et
vient
offrir à la plus belle Les pommes d’or des orange
ouvre nos treilles, L’ambre qui pare nos côteaux. Un second printemps
vient
d’éclore, Le Ciel répand des rayons d’or, L’amara
t quel plaisir encor, lorsqu’échappé dans l’air Un rayon du printemps
vient
embellir l’Hiver, Et, tel qu’un doux souris qui n
son enfance, Qu’un noble hymen l’unit à Jupiter… Plus d’une fois elle
vient
s’y cacher, Respirer seule et jouir d’elle-même :
er, Respirer seule et jouir d’elle-même : Sans cour, sans pompe, elle
vient
y chercher La liberté qui fuit le rang suprême :
rcher La liberté qui fuit le rang suprême : De son front grave elle y
vient
détacher Tous ses ennuis avec son diadême : Elle
grave elle y vient détacher Tous ses ennuis avec son diadême : Elle y
vient
rire : (on rit peu dans les Cieux.) Je la plaindr
les bois. Tous les Dieux des forêts, des fleuves, des montagnes,
Viennent
féliciter leurs heureuses compagnes ; Et de leurs
teur superbe, S’il rencontre des cerfs errans en paix sur l’herbe, Il
vient
au milieu d’eux, humiliant son front, Leur confie
uirlandes : Méritez ses faveurs, et vous serez savans. Jeunes filles,
venez
, et sous vos doigts mouvans Que la laine amollie
de Flore. Elle avait un jardin délicieux où les Heures et les Grâces
venaient
cueillir leurs bouquets. On célébrait tous les an
eur ramage, Tout-à-coup un épais nuage,
Vint
voiler le flambeau des Cieux : La
ous conduit. Indifférentes et légères, Vous échappez à qui vous suit.
Venez
dans mon humble réduit, Vous n’y serez point étra
le l’Age d’or, ce siècle heureux où cette Déesse descendit du ciel et
vint
habiter la terre. Enchantée de l’innocence de ces
ouvoir des Dieux. Melpomène, les yeux en larmes, De cris touchans
vient
me frapper ; Quel art me fait trouver des charmes
bergers que sa voix enchante : Des tranquilles biens qu’elle chante,
Viennent
étudier le prix ; Et tous deux osent après elle,
yre Pour célébrer le double Mont, Si j’en ai soutenu la gloire, Muse,
viens
payer ma victoire, D’un laurier digne de mon fron
ts, et je plains leur faiblesse… Dorat 103. Danses Provençales.
Venez
: transportons-nous dans ces belles contrées, Des
acle chéri, A nos membres sans force, à mon sang appauvri,
Viens
redonner un nouvel être. Si-tôt que le Zéphyr, r
t ses flexibles rameaux, S’élèvera, chargé de son jeune feuillage, Tu
viendras
avec moi jouir sous ces berceaux Du frais qu’on y
mens de la foudre mourante. Un peuple curieux en assiège les murs, Il
vient
, il va, revient, et cent récits obscurs, Amas tum
Et toi, rival de Mars, Invincible Pompée ! Où donc est ton courage ?
Viens
! Pluton à Pharsale apprête le carnage : Là, du s
semer la haine et la division parmi les Dieux. Chassée du Ciel, elle
vint
troubler la Terre. Ennemie du bonheur des hommes,
en toutes les maisons. Voilà pourquoi les consolations
Viennent
toujours bien tard soulager la misère. Fallet.
ois. Alors des rives du Cocyte, A Berlin vous rendant visite, Atropos
vint
avec le Temps, Croyant trouver des cheveux blancs
Rendaient justice à leurs talens. La Mort leur fit accueil. La Peste
vint
ensuite : On ne pouvait nier qu’elle n’eût du mér
La Mort même était en balance ; Mais les Vices étant
venus
, Dès ce moment la Mort n’hésita plus,
34. Hercule mourant. J’implore, ô Jupiter, tes foudres réunis,
Viens
te montrer, mon père, en tonnant sur ton fils. Mo
pleurs : Mon fils, répond Cyrène, en pâlissant de crainte ; Qu’il
vienne
: et quel est donc le sujet de sa plainte ? Qu’on
tu poursuivis sa fidelle Euridice… (Voy. Orphée.) Cyrène de son fils
vient
calmer les alarmes : Cher enfant, lui dit-elle, e
s pressés le sein des Néréides ; On vit un essaim de héros
Venir
briguer l’honneur d’une illustre conquête ; Orphé
la Grèce mensongère ! Ils osèrent braver les abîmes des flots, Et tu
viens
d’envahir l’empire du Tonnerre. Mais le Desti
ouiller ma main du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle vapeur
vient
obscurcir les airs ? Grace au ciel, on m’entr’ouv
ensible à mes cris ; J’implore ton secours, chère ombre de mon père ;
Viens
défendre ton fils des fureurs de sa mère ; Prends
l’Oracle que la ville de Troie ne céderait qu’aux flèches d’Hercule,
vinrent
les demander à Philoctète. Vaincu par leurs prièr
voyageurs ouvert, N’attire les vaisseaux dans ce triste désert. On ne
vient
à Lemnos que poussé par l’orage, Et depuis si lon
dans les yeux. Hector croit voir Achille ; et d’un ton de menace : «
Viens
, dit-il, recevoir le prix de ton audace. » Patroc
té, (c’était Penthésilée) Vénus pour la figure et Mars dans la mêlée,
Vient
, la hache à la main, la douleur sur le front, D’u
s le charme attrayant d’un sourire enchanteur, De sentimens plus doux
vient
pénétrer le cœur. Si du feu des combats son œil b
odelé. Colardeau 155. Terre, éveille-toi ; la Déesse (Minerve.)
Vient
éclairer tous les humains : La Gloire à la suivre
, Elle descend chez Prométhée Qu’elle embrase par ce discours : «
Viens
donner une ame nouvelle » Aux mortels à l’erreur
is : » Du feu du Ciel qu’une étincelle » Pénètre les sens endormis. »
Viens
, la gloire suit le courage… » Déjà je vois à ton
ous côtés embrasse. D’un regard indiscret profanant ce saint lieu, Il
vient
examiner les mystères du Dieu. Agavé la première,
rtée Le frappe de son thyrse, et s’écrie : Evoë. A mon secours, Ino ;
venez
, Autonoë ; Un sanglier farouche erre dans nos cam
les flammes Ont par l’expiation purifié ces ames, Lorsque l’heure est
venue
, un Dieu lui même alors En foule les conduit sur
nérable. « Fuyez ! Fuyez ! dit-il, d’une voix lamentable ; Ce présent
vient
des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots,
ta mourante paupière. Bientôt Phébé, du haut de son char argenté,
Vient
colorer les airs de sa pâle clarté. Les enfans d’
royais encor au trône de mon père, Et toux ceux qu’à mes yeux le sort
venait
offrir, Me semblaient mes sujets, et faits pour m
s les demeures sombres, J’irai de mon supplice épouvanter les Ombres.
Viens
, je te suis. Voltaire 168. Tantale, Fils de
onde : C’en est fait : pour punir le plus noir des forfaits, La Grèce
vient
d’armer le Ciel, la Terre et l’Onde, Déjà ses
ce s’apprête : Pyrrhus, dans la poussière, aux pieds de tes remparts,
Vient
souiller tes cheveux et ta coupable tête. Déj
d’elle ; Pyrame jeune, aimable, et Thisbé jeune et belle… Le soir
vient
: dans les mers le char trop lent du jour Se repl
ux de flamme ardens. Teinte du sang des bœufs déchirés par ses dents,
Vient
se désaltérer dans la source voisine. Aux rayons
pas ! O vous ! hôtes sanglans de ces grottes obscures, Tigres, lions,
venez
: j’implore vos morsures. Punissez mon forfait ;
Tigres, lions, venez : j’implore vos morsures. Punissez mon forfait ;
venez
me déchirer ; Mais c’est craindre la mort que de
ois. Dans les champs que l’hiver désole Flore
vient
établir sa cour : L’Alcyon fuit devant
idèle et chère ! Elle respire encore au cœur de son époux. Hélas ! il
vient
souvent dans cette solitude Qu’elle se pl
mage anticipée ! Triste et dernier Soleil !… jour affreux, hâte-toi !
Viens
tirer le rideau… tout est fini pour moi ! Young.
es efforts, par les Dieux, peuvent être trahis ; Je le sais : le jour
vient
, où la triste Pergame Doit voir plonger ses murs
éplorée, incertaine, Au milieu des mourans, des morts et des débris.
Venez
, suivez mes pas, joignez-vous à mes cris. Venez,
morts et des débris. Venez, suivez mes pas, joignez-vous à mes cris.
Venez
, j’ignore encor, si la Reine est sauvée, Si de so
s de ce coursier, sa main cherche un appui ; Les Thyades en feu vont,
viennent
devant lui : Impuissant écuyer, vers l’escadron a
n plus fidèle amant ; Je t’épouse, et pour dot je t’ouvre l’Empirée :
Viens
, et que ta couronne, à la voûte sacrée, Dirige le
eul. Présent des Dieux, doux charme des humains, O divine Amitié !
viens
pénétrer nos ames ; Les cœurs éclairés
ns fortunés, Loin de troubler ce favorable asile, J’y
viens
goûter la paix que vous donnez C’est ici des héro
O mon frère ! est-ce vous ? Pollux. C’est moi qui
viens
briser la chaîne qui te lie ; C’est moi qui t’ai
Et le visage en pleurs : « O moitié de mon ame ! Ne m’abandonne pas,
viens
, et prends cette main, Tant qu’il me reste encor
eut gémir : sa plainte est un long sifflement. Hermione frémit : D’où
vient
ce changement ? Et que vois-je, dit-elle ! Elle c
avoure à longs traits le plaisir de se voir… O toi ! qui que tu sois,
viens
calmer mes tourmens ! Pourquoi donc me fuis-tu ?
lots toujours frais, Diane aime à baigner ses modestes attraits. Elle
vient
sous la grotte : une Nymphe empressée A déjà déta
Diane ! entends mes vœux ; Toi qu’adore Dictine, ô puissante Déesse !
Viens
, m’écriai-je, viens secourir ma faiblesse ; Ne m’
vœux ; Toi qu’adore Dictine, ô puissante Déesse ! Viens, m’écriai-je,
viens
secourir ma faiblesse ; Ne m’abandonne pas, s’il
le vainqueur de l’Inde était moins gracieux, Le jour que d’Ariane il
vint
sécher les larmes. La fro
igés en répandent des larmes. Sors du lit nuptial, ô plaintive Vénus,
Viens
pleurer avec nous l’objet de ta tendresse, Viens
, ô plaintive Vénus, Viens pleurer avec nous l’objet de ta tendresse,
Viens
en habit de deuil, et répète sans cesse Ces lamen
rer dans les forêts ; Vois sur un lit pompeux l’époux que tu déplore,
Viens
à lui, quoique mort il est charmant encore, Et le
estinée Par quelque étoile est sans nous dominée, Ou si les sots pour
venir
à leurs fins, Ont des secrets inconnus aux plus f
les dons de son ame angélique. Pour l’achever, un maniveau d’auteurs
Vient
l’étourdir de concerts séducteurs. A le chanter l
astre du jour Hâte-toi d’éclairer le Monde :
Viens
rétablir par ton retour La paix dans
e leur mère eût sauvé du tombeau ! Mais c’est peu que les lois que tu
viens
d’interrompre, Appellent sur ton fils la mort ou
l’influence impure, La santé règne aux champs sur un lit de verdure.
Viens
aux champs, jeune Eglé, viens y nourrir ton fils
règne aux champs sur un lit de verdure. Viens aux champs, jeune Eglé,
viens
y nourrir ton fils ; Apporte son berceau sous des
toile l’action barbare de Térée, et la fit parvenir à sa sœur. Progné
vint
à la tête d’une troupe de femmes le jour de la fê
lle ans que l’on ne vous a vue ; Je ne me souviens pas que vous soyez
venue
, Depuis le temps de Thrace, habiter parmi nous.
à quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talens si beaux ?
Venez
faire aux cités éclater leurs merveilles :
es bois se perd loin de sa suite. Il s’arrête, il s’écrie : Amis, qui
vient
à moi ? A peine achève-t-il, Echo répète, moi. Ma
oi ? A peine achève-t-il, Echo répète, moi. Mais où donc te trouver ?
viens
, je t’attends, approche. Tandis qu’il cherche au
leçons, de qui ? d’une Immortelle. Que l’on juge entre nous : qu’elle
vienne
, dit-elle, Qu’elle vienne… Vaincue, à tout je me
ortelle. Que l’on juge entre nous : qu’elle vienne, dit-elle, Qu’elle
vienne
… Vaincue, à tout je me soumets. Pallas, qui d
conseiller. Que prétend ma rivale ? Me vaincre dans mon art ? Que ne
vient
-elle ici ? N’ose-t-elle à mes yeux paraître ? La
leur tissure fragile. Sans cesse les ressorts élevés, abaissés, Vont,
viennent
tour-à-tour, poussés et repoussés. Chacune avec a
un lac environné Forme un large bassin, de myrtes couronné. Dryope y
vint
un jour : hélas ! l’infortunée Etait loin de prév
ste destinée. Aux Nymphes de ces bords, ô regrets ! ô douleurs ! Elle
venait
offrir des guirlandes de fleurs. Un enfant, espér
prochez-vous de moi, si la pitié vous touche ; Que votre bouche encor
vienne
presser ma bouche ; Et puisque vers mon fils je n
que vers mon fils je ne puis me baisser, Soulevé dans vos bras, qu’il
vienne
m’embrasser. Je meurs ; vous entendez ma parole d
où courez-vous ? Craignez la mer en courroux,
Venez
dans ces lieux paisibles Goûter les p
contagieux : Et vous, enfans des nuages. Vents, ministres des orages,
Venez
, fiers tyrans du Nord ; De vos brûlantes froidure
la tristesse ; Quittez, pour quelque temps, ces jardins si chéris, Et
venez
dans ces lieux contempler la Nature ; De ces rocs
uses chansons Dans des lieux autrefois ensevelis sous l’onde. Un jour
viendra
, sans doute, où, Neptune en fureur Couvrira de no
uite de laurier, et enfin d’or. Jaloux de consacrer aux siècles à
venir
D’un triomphe si beau l’immortel souvenir, Il éta
on si touchant, Parais ici, tendre Virgile, Divinité du sentiment… Il
vient
brillant comme l’Aurore, Et d’une main il tient e
ts, les prières, la plainte, Et notre encens, détrempé de nos pleurs,
Viennent
, hélas ! comme autant de vapeurs, Se dissiper aut
son sein. O quel combat alors ébranle son bassin ! Le volcan à la mer
vient
rendre sa secousse, Et heurte avec fracas les ond
nal d’un combat furieux, Il ébranla du Ciel la voûte inaccessible, Et
vint
porter sa plainte au Monarque des Dieux. Mais
, Pourquoi trop peu sensible aux misères humaines, Mercure malgré moi
vint
-il t’en délivrer ? La Discorde dès lors avec
entre jamais sans transports d’allégresse ; J’appelle mes enfans, ils
viennent
m’entourer. Au plus jeune sur-tout je vole avec i
in de charmes, Et le plaisir touchant de répandre des larmes. L’amour
vint
en pleurant s’unir à l’amitié : Ce couple pour ja
ntes amoureuses Appellent de la nuit les heures paresseuses ! La nuit
vient
, et dans l’ombre, excités par l’amour, Ses yeux r
nument. Le jour fuit : rien, hélas ! ne paraît sur la route : « Il ne
vient
point ! demain il reviendra, sans doute », Dit-el
çant les alarmes, Sous un vêtement de deuil, Tu
viens
occuper le seuil D’un palais rempli de
ps favorable, Du mortel tout-puissant, par le sort adopté,
Venaient
entourer la table, Et s’enivraient du vin de sa p
doux. Ah ! si vous négligiez cet avis salutaire, La Liberté
venue
hors de saison, Ne serait plus qu’une be
u’au moraliste enfin nos gens eurent recours, Et que fort à propos il
vint
à leur secours. De sa morale une ou d
philosophique . Tristes ambitieux, ne quittez point la Cour ; Ne
venez
point ici profaner mon bocage ; Je suis la Libert
de Vole après un bien qui te fuit, Ma voix, de l’erreur qui te guide,
Vient
dissiper l’épaisse nuit ; Abandonne un espoir fri
degrés, c’est lentement Que des yeux délicats s’ouvrent à la lumière,
Viens
donc, et si tu veux céder à ma prière,
eine. C’est là que la raison humaine De ses travaux actifs
vient
puiser l’aliment. Elle y boit à longs traits les
et un mauvais. Le premier inspirait le bien, le second le mal. De-là
vient
l’expression latine, Genio indulgere, suivre son
Balze 279. Quel éclair perce la nue ? Quelle est la Divinité Qui
vient
offrir à ma vue Tant de grâce et de beauté ? Qui,
ais ma Déesse ! C’est l’Imagination. Reine aimable des mensonges,
Viens
-tu, mère des erreurs, De l’ivresse où tu nous plo
ous n’avons que l’image… Or mes amis, laissez là nos penseurs, Et
venez
tous dans ce riant asile Epanouir votre Gaîté fac
e ces Royaumes sombres Le plus cruel Tyran de l’Empire des Ombres. Il
vient
, le Fanatisme est son horrible nom : Enfant dénat
is de croître ensemble, Qui changeant à-la-fois de saison et de lieu,
Viennent
tous à l’envi rendre hommage à Jussieu, L’Indien
’humble innocence A-t-elle sur nos cœurs conservé sa puissance ? D’où
vient
qu’une Bergère, assise sur les fleurs, Simple dan
modeste silence, Fait tomber à ses pieds l’audace et la licence. D’où
vient
qu’un Villageois, assis sous un ormeau, Juge des
Qui peut l’avoir rendu le Dieu du voisinage ? Les pasteurs rassemblés
viennent
autour de lui, Chercher dans ses leçons leur joie
rquoi de la Renommée M’agite la flamme enflammée ? D’où me
vient
cet espoir qui poursuit un grand nom ? Disciples
c. 28. [Table des matières] Anyte, citoyenne d’Epidaure. Souvent tu
viens
, etc. 29. [Table des matières] Gresset. Eglogue
flétrir tout ce qu’il touche, l’expérience et la lassitude du malheur
vinrent
enfin rendre quelque moralité au monde. On sentit
es ; leur exemple entraîna ; les associations se formèrent ; l’amitié
vint
doubler le nombre, la force elle bonheur de ces f
onnent bientôt les cavernes, les creux des arbres et les forêts, pour
venir
habiter des cabanes, des bourgs, des villes. Quel
Grèce. Quelque temps après, les colonies égyptiennes et phéniciennes
vinrent
changer les mœurs, les coutumes et la religion de
es de leurs trop nombreux habitans chercher de nouveaux climats : ils
vinrent
dans l’Occident, apportant avec eux leurs arts, l
oriques les plus certaines prouvent qu’Inachus quitta la Phénicie, et
vint
dans la Grèce fonder le royaume d’Argos, environ
aüs, contemporain de Moïse. Il abandonna l’Égypte avec sa famille, et
vint
dans le royaume d’Argos, sous le règne de Gélanor
olontairement Acrisius, son grand-père, quitta le royaume d’Argos, et
vint
s’établir à Mycène. Cet extrait suffira pour prou
ue, s’élevèrent d’autant plus considérablement, que de grandes pluies
vinrent
ajouter à l’inondation. La Béotie se trouva bient
ue ce fut sous le règne de Triopas, septième roi d’Argos, que Cécrops
vint
d’Égypte s’établir dans l’Attique. Il épousa la f
itta les côtes de la Phénicie et les environs de Tyr et de Sidon pour
venir
avec une colonie former un nouvel établissement d
ot héros. On explique diversement son origine ; quelques anciens font
venir
ce mot de éros, amour, pour signifier que les hér
Augustin, dans ses recherches sur l’idolâtrie, prouve que le mot héro
vient
du mot grec héra, que portait Junon. L’un des fil
ls leur érigèrent d’abord des tombeaux remarquables, sur lesquels ils
venaient
faire des libations aux jours anniversaires ; ils
ordonnant d’aller tuer Méduse et de lui rapporter sa tête. Les dieux
vinrent
au secours de Persée ; Minerve lui prêta son miro
horcus, dit Hésiode , eut de Céto deux filles, Péphrédo et Enyo, qui
vinrent
au monde avec des cheveux blancs. Il fut aussi le
dévorer lorsque Persée, monté sur Pégase, l’aperçut du haut des airs,
vint
à son secours, tua le monstre, brisa ses chaînes
nt que ce héros s’approchait d’Argos en vainqueur, voulut le voir, et
vint
au-devant de lui jusqu’à Larisse, sur le fleuve P
âtit la ville de Milet. Ensuite il pénétra plus avant dans l’Asie, et
vint
au pays des Myliades, qui, peu de temps après, se
les cérémonies, le vent devint bon ; Thésée fit tendre les voiles, et
vint
aborder en Crète. Sa beauté, sa jeunesse, son mai
nd nombre d’excellens rameurs. Dédale, échappé à son puissant ennemi,
vint
aborder dans une île éloignée de la terre ferme :
un grand parti du génie de cet habile homme, fit proposer à Minos de
venir
traiter cette affaire à l’amiable. Ce prince impr
l ne sut point triompher de la jalousie ; elle le rendit criminel, et
vint
ternir sa gloire. Il s’était plu à former Talus,
sse. Interrogé sur cette occupation extraordinaire, il répondit qu’il
venait
d’enterrer un serpent. La réponse parut suspecte
es premières années, fit prévoir qu’il serait un héros. Hercule étant
venu
voir Pitthée, quitta sa peau de lion pour se mett
s oublia tous ses bienfaits et favorisa ses ennemis. Castor et Pollux
vinrent
à la tête d’une armée reprendre leur sœur Hélène.
s désigner. Il faut seulement observer que l’origine de ce nom paraît
venir
du mot phénicien karokel, marchand. Ce nom se don
urer à Thèbes ; il alla se faire expier de son crime involontaire, et
vint
se soumettre aux ordres d’Eurysthée. Ce prince tr
feu aux roseaux pour en purger entièrement ces marais, et la culture
vint
ensuite rendre ce lieu très-fertile : ce qui fit
d’être injuste et ingrat envers Hercule. Aïdonée, roi de Thesprotie,
vint
au secours d’Augias ; mais il fut battu et blessé
, prince de Mauritanie et d’Hespérie. Hercule défit les corsaires, et
vint
attaquer Busiris, qu’il tua. Atlas, pour le récom
afin d’obtenir la liberté d’Admète. L’échange fut accepté, et Alceste
venait
d’être immolée lorsqu’Alcide rencontra la Mort, e
et fut tuée par Achille. Quinte-Curce assure qu’une de leurs reines
vint
voir Alexandre. Hercule voulut accompagner les A
endu l’horreur de son peuple. Ayant appris qu’Alcimède, femme d’Éson,
venait
d’avoir un fils, il chercha tous les moyens de le
ès, roi d’une partie de la Thessalie, sachant l’arrivée de son neveu,
vint
à Iolchos, accompagné de son fils Admète ; il env
des mesures pour détrôner l’usurpateur. Accompagné de sa famille, il
vint
au palais du roi, demanda la couronne qui lui app
ques-uns croient qu’il fut construit à Argos ; d’autres enfin le font
venir
du mot argivos, parce qu’il portait les Grecs. On
endrier et de réformer l’ancien ; il l’apporta dans le moment où l’on
venait
d’achever les sacrifices. Il donna ses conseils,
qu’elle avait appris de sa mère Hécate, à soulager et guérir ceux qui
venaient
la consulter. Enfin, ils rapportent que cette rei
e s’éloigner ; ils s’embarquèrent sur un vaisseau nommé le Dragon, et
vinrent
à Corinthe, où Créon, qui y régnait, n’osa leur r
ue les Corinthiens eux-mêmes engagèrent. Médée à quitter Iolchos pour
venir
prendre possession d’un trône qui lui appartenait
e avec indignation ; et, devenue l’horreur et l’effroi du monde, elle
vint
chercher un asile dans Athènes. Rien, dans l’hist
et méprisable à toute la Grèce. Long-temps après, une nouvelle fable
vint
encore flétrir la mémoire de Médée. On la trouve
dans Ovide. Médée, dit-il, après avoir massacré les enfans de Jason,
vint
se réfugier à Athènes, et prit assez d’empire sur
n cygne, Vénus prit la forme d’un aigle et se mit à sa poursuite ; il
vint
se réfugier auprès de Léda, et quelque temps aprè
it attaché le sort de Méléagre. Ils disent qu’à l’instant où ce héros
vint
au monde, les Parques mirent dans le feu un tison
e ; mais le ciel se hâta d’en arrêter le cours. Des lumières odieuses
vinrent
effrayer les deux époux. Jocaste termina ses info
périr beaucoup de monde de part et d’autre ; déjà le vaillant Capanée
venait
d’être précipité du haut d’une échelle contre le
tête d’une armée formidable, sur les terres de leurs ennemis. « On en
vint
bientôt aux mains, et les Thébains ayant perdu la
voisines. Sa puissance, augmentée de celle de Ménélas, son frère, qui
venait
d’épouser Hélène, héritière du royaume de Sparte,
e Priam, fut destiné à faire éclore ces semences de division. « Pâris
vint
en Grèce, et se rendit à la cour de Ménélas, où l
ar des larmes et par des jeux funèbres. La trêve expirait, et l’on en
venait
encore aux mains. « Souvent, au plus fort de la m
Impatiens de se signaler dans cette carrière ouverte aux nations, ils
venaient
successivement joindre leurs troupes à celles de
erprétait ce bruit, et, sur ce murmure, annonçait l’avenir à ceux qui
venaient
la consulter. Par la suite, on mit plus d’artific
ent pour des oracles, et bientôt sa célébrité devint si grande, qu’on
venait
la consulter de toutes parts, malgré les dangers
d’aller consulter Apollon. Alexandre, avant son expédition de l’Asie,
vint
à Delphes pendant le temps du silence. Il pria la
temple de Trophonius, avec sa statue, ouvrage de Praxitèle. Lorsqu’on
vient
consulter cet oracle, avant de descendre dans l’a
éternelle jeunesse, de sorte que la triste et languissante vieillesse
vint
succéder à ses belles années ; et du temps d’Énée
cquit bientôt en Suède la même autorité qu’en Danemarck ; les Suédois
vinrent
en foule lui rendre leurs hommages, et déférèrent
rées par la douceur de ses chants, quittaient leurs noirs abîmes pour
venir
se ranger autour de lui. Autant son éloquence, so
morales que l’on tirait de ces dogmes. Enfin la croyance d’une vie à
venir
cimentait cet édifice religieux ; des supplices c
in nombre d’âmes ; ces âmes étaient le droit d’Odin. On croyait qu’il
venait
souvent dans la mêlée, enflammer la fureur des co
’en exhalaient sans cesse, jusqu’à ce qu’un souffle de chaleur, étant
venu
du midi, fondit ces vapeurs, et en forma des gout
e après la mort, et sur les dernières destinées de ce monde. « Il
viendra
un temps, dit l’Edda, un âge barbare, un âge d’ép
leur prodiguait tellement des caresses et des promesses pour la vie à
venir
, qu’ils se félicitaient quelquefois eux-mêmes de
émêler dans leurs cœurs la volonté des dieux, les biens ou les maux à
venir
. Les tristes restes des objets sacrifiés étaient
e merveilleux des châteaux enchantés, des fées, des nains, des géans,
vint
succéder aux tableaux les plus sublimes de la poé
les grandes actions réveillèrent le génie de quelques hommes. Ceux-ci
vinrent
remplacer les bardes, sous le nom de Troubadours.
t croire qu’ils entendaient la voix des morts ; et lorsque le sommeil
venait
les surprendre au milieu de leurs rêveries, ils r
se, on croyait que les âmes des pères descendaient de leurs nuages et
venaient
prédire le bon ou le mauvais succès : elles avert
ux esprits que l’on attribuait la plupart des effets naturels. L’écho
venait
-il frapper les oreilles, c’était l’esprit de la m
ue, dès les temps les plus reculés, ces premiers navigateurs du monde
venaient
apporter leurs marchandises dans la Grande-Bretag
mais nous n’entrerons pas dans de plus grands détails sur ces cultes
venus
des étrangers, puisque toutes les histoires, tout
e séparant, ont altéré la pureté de leur religion primitive. Les uns,
venus
parterre du côté du Nord, sous le nom de Scythes,
e, de leurs habillemens et de leurs fonctions. Le nom des druides
vient
sans aucun doute, du mot celtique deru, qui veut
ation que, s’ils se présentaient au moment où deux armées allaient en
venir
au combat, ou l’avaient même commencé, on déposai
chantant des hymnes et des cantiques. Un héraut, portant un caducée,
venait
après eux ; trois druides le suivaient, et portai
mêmes mœurs et de ce même respect pour les femmes ; la reconnaissance
venait
encore y ajouter ; car, dès qu’un chevalier était
si habiles, que leur réputation se répandit dans tout l’univers ; on
venait
les consulter de toutes parts, et leurs décisions
ets, les prières, la plainte, Et notre encens détrempé de nos pleurs,
Viennent
, hélas ! comme autant de vapeurs, Se dissiper aut
Développant, dans cette nuit profonde, Les éléments pêle-mêle diffus,
Vint
débrouiller leur mélange confus, Et, variant leur
s’appeloient les fêtes Mégalésiennes, ou les jeux Mégalésiens. Ce mot
vient
d’un adjectif grec qui signifie grande, parce que
esta au fond. Voici ce que J.-B. Rousseau dit à ce sujet : D’où peut
venir
ce mélange adultère D’adversités, dont l’influenc
rènes. D. Pourquoi Jupiter fut-il surnommé Stator ? R. Ce surnom lui
vient
du verbe latin stare, qui signifie s’arrêter, en
sorte de formes, pour se retirer des mains qui le retenoient ; de là
vient
qu’on dit d’un homme qui joue toute sorte de pers
n féconde S’élève autour de l’antre, et se penche sur l’onde. La nuit
vient
les cueillir, et répand dans les airs Leur baume
passoit les ombres dans une barque pour une pièce de monnoie ; de là
vient
que les Grecs et les Romains mettoient une obole
lle étoit particulièrement honorée dans l’île de Chypre, d’où lui est
venu
le nom de Cypris. Elle avoit, dans cette île, plu
e dans tout l’éclat de sa gloire. Exigez qu’aux Thébains lui-même il
vienne
apprendre Un choix pour vous si glorieux ; Qu’arm
er, ne pouvoit plus échapper aux poursuites du monstre ; mais Neptune
vint
au secours de l’infortunée Latone. Le dieu de la
da Phaéton au Soleil ? R. Phaéton expliqua à son père le sujet de sa
venue
, et le conjura de lui accorder une grâce, sans la
les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vous
venez
sur la terre Régner dans les vastes forê
a cire plusieurs bouts de roseau, et en forma la flûte. D. Dites d’où
vient
l’expression de terreur panique. R. Les Grecs on
an jeta l’épouvante dans cette armée qui fut taillée en pièces. De là
vient
l’expression de terreur panique. D. En quels lieu
ains célébroient en son honneur des fêtes appelées Lupercales. Ce mot
vient
du nom d’une grotte située sur le mont Palatin, d
x Brillent sur le sein de l’Automne. O sœur aimable du Printemps ! Tu
viens
acquitter ses promesses, Si tes biens sont moins
L’Amour, que l’Automne rappelle, Descend du ciel dans nos vergers, Et
vient
offrir à la plus belle Les pommes d’or des orange
ouvre nos treilles, L’ambre qui pare nos coteaux. Un second printemps
vient
d’éclore, Le ciel répand des rayons d’or, L’amara
ents de la foudre mourante. Un peuple curieux en assiége les murs. Il
vient
, il va, revient ; et cent récits obscurs, Amas tu
er, pour être dévorée par un monstre marin. Persée, monté sur Pégase,
vint
la délivrer, et pétrifia le monstre en lui présen
ils de Jupiter et d’Alcmène femme d’Amphitrion roi de Thèbes. Jupiter
vint
se présenter à Alcmène, sous les traits d’Amphitr
Évène, dont les eaux étoient extrêmement grossies. Le centaure Nessus
vint
s’offrir de lui-même pour passer Déjanire sur son
insi : Présent des dieux, doux charme des humains, O divine amitié !
viens
pénétrer nos ames, Les cœurs éclairés de
ses pleurs. Mon fils ! répond Cyrène en pâlissant de crainte, Qu’il
vienne
: et quel est donc le sujet de sa plainte ? Qu’on
s, Et du gouffre écumant fait tournoyer les flots. Cyrène de son fils
vient
calmer les alarmes : Cher enfant, lui dit-elle, e
qu’elle lui avoit rendu, et la délaissa dans l’île de Naxos. Bacchus
vint
la consoler de l’infidélité de son amant, et l’ép
R. Pirithoüs, roi de Thessalie, jaloux des grands succès de Thésée,
vint
avec une armée ravager les états de ce prince, af
flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant
Vient
aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se rou
it en avoir reçue, et le prioit d’en tirer vengeance. C’est de là que
vint
l’usage d’appeler Lettres de Bellérophon, celles
ans elle. Cadmus, après avoir parcouru inutilement diverses contrées,
vint
consulter l’oracle de Delphes, qui lui ordonna de
connoît ces beaux vers de Brébœuf sur Cadmus. C’est de lui que nous
vient
cet art ingénieux De peindre la parole et de parl
la maison et la famille du poëte Pindare qui y avoit pris naissance.
Viens
servir l’ardeur qui m’inspire : Déesse, prête-moi
lle ans que l’on ne vous a vue ; Je ne me souviens pas que vous soyez
venue
, Depuis le temps de Thrace habiter parmi nous.
quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talents si beaux ?
Venez
faire aux cités éclater leurs merveilles :
à Œdipe d’un ton de hauteur de lui laisser le passage libre ; ils en
vinrent
aux mains sans se connoître, et Laïus fut tué. D.
les demeures sombres ; J’irai de mon supplice épouvanter les ombres ;
Viens
, je te suis. ( Voltaire.) D. Achevez le récit de
de rendre Hésione ; et, ayant fait entr’eux une ligue puissante, ils
vinrent
, les armes à la main, redemander Hélène devant Tr
t la ruine de Troie. 1°. Il étoit nécessaire qu’un descendant d’Eaque
vînt
au siége de la ville ; et ce descendant étoit Ach
ne bussent de l’eau du Xanthe ; Rhésus étoit un roi de Thrace, qui ne
vint
au secours de Troie que la dixième année du siége
oler aux dieux. Mais, comme elle tarde trop long-temps à paroître, il
vient
lui-même la demander. Il la trouve avec sa mère,
glants il faudra l’arracher. Aussi barbare époux qu’impitoyable père,
Venez
, si vous l’osez, la ravir à sa mère. D. Par quel
ouiller ma main du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle vapeur
vient
obscurcir les airs ? Grâce au ciel, on m’entr’ouv
ensible à mes cris ; J’implore ton secours, chère ombre de mon père ;
Viens
défendre ton fils des fureurs de sa mère ; Prends
en partage à Agamemnon. Chrysès, revêtu de ses ornements sacerdotaux,
vint
redemander sa fille, qui lui fut refusée. Apollon
s à son char, et le traîna trois fois autour des murs de Troie. Priam
vint
redemander le corps de son fils à son vainqueur,
nt Troie, qu’on le chargea d’aller à Lemnos pour engager Philoctète à
venir
au camp des Grecs avec les flèches d’Hercule. Ce
lieux enlever ma princesse, Et regagner le port, où bientôt nos amis
Viendront
couverts du sang que je vous ai promis. Hermione.
as-tu pas dû cent fois te le faire redire ? Toi-même ayant le coup me
venir
consulter ? Y revenir encore… ou plutôt m’éviter
lle épaisse nuit tout à coup m’environne ! De quel côté sortir ? d’où
vient
que je frisonne ? Quelle horreur me saisit ? grâc
ai réservé. Mais que vois-je ? à mes yeux Hermione l’embrasser ! Elle
vient
l’arracher au coup qui le menace ! Dieux ! quels
fflent sur vos têtes ? A qui destinez-vous l’appareil qui vous suit ?
Venez
-vous m’enlever dans l’éternelle nuit ? Venez ; à
appareil qui vous suit ? Venez-vous m’enlever dans l’éternelle nuit ?
Venez
; à vos fureurs Oreste s’abandonne… Mais non, ret
voyageurs ouvert, N’attire les vaisseaux dans ce triste désert. On ne
vient
à Lemnos que poussé par l’orage ; Et depuis si lo
paisiblement dans son île, lorsque Télégone, qu’il avoit eu de Circé,
vint
à Ithaque pour voir son père. Pendant qu’on le re
on ouvrit la barrière. « Le voilà, dit Achille enflammé de colère ; »
Viens
, ton sang va payer le sang de mon ami ! » Le vain
Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue : Voilà comme Pyrrhus
vint
s’offrir à ma vue, Voilà par quels exploits il su
e. Il se fit aimer de la nymphe Œnone, et l’épousa. D. Quel événement
vint
troubler le bonheur de Pâris ? R. Ce fut la disp
Discorde, qui en avoit été exclue, et qui vouloit venger son affront,
vint
, au milieu d’un nuage, et jeta sur la table du fe
plus belle femme de l’univers. Pâris adjugea la pomme à Vénus. De la
vint
la haine de Junon et de Minerve contre les Troyen
roit de l’arrêt d’un berger. ( La Motte.) D. A quelle occasion Pâris
vint
-il à la cour de Priam, son père ? R. Priam fit c
unir Laocoon de sa témérité. Deux affreux serpents, sortis de la mer,
vinrent
droit à l’autel, où sacrifioit Laocoon, se jetère
rable. « Fuyez ! fuyez ! dit-il, d’une voix lamentable ; » Ce présent
vient
des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots,
ur ta mourante paupière. Bientôt Phébé, du haut de son char argenté,
Vient
colorer les airs de sa pâle clarté. Les enfants d
èle sa destinée et celle de ses descendants. De retour des enfers, il
vient
camper sur les bords du Tibre. Là, l’accomplissem
hais, le barbare : » II falloit le haïr, quand ce monstre imposteur »
Vint
partager ton trône et séduire ton cœur. » Voilà d
en tout cent portes. Toutes ces portes étoient d’airain massif ; d’où
vient
que lorsque Dieu promit à Cyrus la conquête de Ba
mausolée ? R. On a donné ce nom à touts les tombeaux magnifiques. Il
vient
du roi Mausole, à qui Artémise, son épouse, reine
iété de sentiments, il n’y ait quelque point fixe ou touts les hommes
viennent
se réunir. » On attribue à Thalès, plusieurs sen
faut point publier ce qu’on a dessein de faire, afin que si l’on n’en
vient
point à bout, on n’ait pas le chagrin de se voir
rfondue, Sans trouver un asile où pouvoir habiter. A ses yeux
vient
se présenter La Fable, richement têtue,
Tenez, arrangeons-nous ; Qu’un même intérêt nous rassemble :
Venez
sous mon manteau ; nous marcherons ensemble.
convient pas à vous-mêmes, Repartit le vieillard. Tout établissement
Vient
tard et dure peu. La main des parques blêmes. De
votre exemple. C’est des parents mêmes, a dit le vertueux Rollin, que
vient
le mal, par le mauvais exemple qu’ils donnent à l
arts. Médecins au Lion viennent de toutes parts ; De touts côtés lui
vient
des donneurs de recettes. Dans les vi
heure Veut qu’on aille enfumer Renard dans sa demeure, Qu’on le fasse
venir
. Il vient, est présenté ; Et, sachant que le Loup
qu’on aille enfumer Renard dans sa demeure, Qu’on le fasse venir. Il
vient
, est présenté ; Et, sachant que le Loup lui faiso
e encore un coup de toi. Sa plainte fut de l’Olympe entendue. Mercure
vient
. Elle n’est pas perdue, Lui dit ce dieu ; la conn
e roi des dieux ne sait auquel entendre. Son fils Mercure aux criards
vient
encor : A chacun d’eux il en montre une d’or. Cha
ine : La Besace. Jupiter dit un jour : Que tout ce qui respire S’en
vienne
comparoître aux pieds de ma grandeur ; Si dans so
peut le déclarer sans peur ; Je mettrai remède à la chose.
Venez
, Singe ; parlez le premier, et pour cause ; Voyez
t nuit, Et rendre sa chevance à lui-même sacrée. Qu’il allât ou qu’il
vînt
, qu’il bût ou qu’il mangeât, On l’eût pris de bie
toute heure, bons dieux ! ne tient-il qu’à cela ? L’argent
vient
-il comme il s’en va ? Je n’y touchois jamais. — D
nature s’éveille ; Dès le matin, une aurore vermeille
Vient
nous arroser de ses pleurs, Nectar délicieux des
œuf revenant du labeur, Une fourmi s’étoit nichée. D’où
viens
-tu ? lui cria sa sœur, Et que fais-tu si h
ria sa sœur, Et que fais-tu si haut perchée ? — D’où je
viens
? Peux-tu l’ignorer ? Répondit-elle ; ma c
ais menti, Dit que le lièvre est reparti. Le pauvre malheureux
vient
mourir à son gîte. La perdrix le raille et
i vite ; Qu’as-tu fait de tes pieds ? Au moment qu’elle rit, Son tour
vient
, on la trouve. Elle croit que ses ailes La
ouir des plaisirs qu’elle lui offroit, lorsque le chef de la religion
vint
le trouver et lui dit : Prince, rien n’est plus c
n’ont pas su prévenir la fin qui les menaçoit ; et le jour fatal est
venu
, sans qu’ils eussent rien fait pour adoucir leur
i manque le moins. Un riche laboureur, sentant sa fin prochaine, Fit
venir
ses enfants, leur parla sans témoins. Gardez-vous
inconvénient en mettant ses filles en pension, si on les fait ensuite
venir
chez soi toutes les semaines. L’innocence des mœu
eurs autels, les esprits ambitieux qui auraient voulu se permettre de
venir
chercher à y démêler la vérité. Il ne faudra donc
e s’élevait, suivant Varron, à plus de trente mille chez les Romains.
Viennent
ensuite les religions égyptienne, hindoue, persan
Syriens leur apporter leurs dieux, leurs héros et leurs fables. De là
vint
cette théogonie confuse, qui pourtant fut le berc
ia ou Cybèle, Thémis et Mnémosyne, Phébé et Thétys. En seconde ligne
viennent
les Cyclopes : Brontès, Stérope et Argès, ou Harp
l’une et l’autre comme les astres. De l’union de Crios avec Eurybie,
vinrent
: Astrée uni à Eos, que l’on trouvera plus loin,
impuissance causée par une mutilation résultant de sa propre main, ou
venue
d’une main étrangère, divine ou humaine. Voici co
ain, ou venue d’une main étrangère, divine ou humaine. Voici comme il
vint
au monde : Jupiter, que nous venons de voir fils
lle avait eu en réalité d’un prêtre nommé Calaüs. N’importe d’où lui
vint
cet enfant, la mère d’Atys, plus généralement con
ou des Pluies. Leur patrie est aussi incertaine, quoiqu’on les fasse
venir
, conduits par Deucalion, de l’Eolide dans la Phoc
suite toutes ses filles. Les noms de quelques-uns de ces prêtres sont
venus
jusqu’à nous ; ainsi on remarque Bienne, Cyllène,
quel les prêtres s’empressèrent d’accorder la divinisation ; et de là
vint
Jupiter, qu’en style burlesque les premiers appel
îles, les environs et toute la partie orientale appelée Arménie, d’où
venaient
ses ancêtres. Alors il se reposa de ses conquêtes
e la branche aînée, il les dévorait, comme on l’a vu, à mesure qu’ils
venaient
au monde. Quant à Jupiter, il est né sans que nou
l’onde, et va promptement chercher, dans cet empire humide, Egéon qui
vient
avec ses frères. Aussitôt ils se placent auprès d
souverain les a fait surgir autour de lui, prenons-les donc comme ils
viennent
, lors même qu’en arrivant, ils troublent la filia
ome on célébrait en leur honneur des fêtes appelées Consenties. Puis
vinrent
les huit grands Dieux auxiliaires appelés Patrice
aussi sérieuse que celle des Titans, habilement soulevée par Saturne,
vint
le troubler dans son repos et lui donner de vives
é, ils avaient des formes colossales, des pieds de serpens, d’où leur
venait
le surnom d’anguipèdes, des bras nombreux, mais b
posés les uns sur les autres. Bientôt ils furent assez élevés pour en
venir
aux mains avec les Dieux. Alors le combat devint
ère de Jupiter, se soumettant au conseil de Minerve, un simple mortel
vint
au secours des divinités aux abois. Cela pressait
e putatif. Il fut en harmonie avec leur taille gigantesque, d’où leur
vient
le nom d’Aloïdes. Cette taille avait été le résul
’airain, où il resta près de treize mois, jusqu’à ce que Mercure soit
venu
l’en tirer, par un stratagème dont le secret n’a
is bien plus justement irrité contre ce savant des temps fabuleux. Il
venait
, lui Prométhée, d’immoler deux bœufs, d’en arrach
ien close, renfermant la récapitulation de tous les présens dont elle
vient
d’être comblée ; puis il nomme Pandore, c’est-à-d
t un anneau de fer supportant un petit fragment du Caucase, d’où nous
vint
, dit-on, l’origine des bagues. Prométhée, représe
iade, ou avec un quatrième fils d’Haliphron et de la nymphe Iophossa,
vint
du sud de la Scythie s’établir dans la Thessalie,
et Calycé. Dorus devint père de Xantippe qui épousa Pleuron ; d’où
vint
Agénor, lequel de son alliance avec Epicaste, fil
humains. Plus tard les Grecs civilisés supposèrent que Jupiter étant
venu
chez ce roi pour y recevoir l’hospitalité, Lycaon
t pour ainsi dire avec Diane et les forêts de l’Arcadie, d’où lui est
venu
le surnom de Diane-Pélasgique qu’on lui donne sou
our avoir enchaîné la Mort et l’avoir retenue jusqu’à ce que Mars fût
venu
la délivrer, à la prière de Pluton, dont l’empire
e, bien des années après, que Mercure, sur un ordre positif des Dieux
vînt
le saisir et le ramener de force auprès de Pluton
de Mercure, auquel elle découvrit que ses frères, en jouant ensemble,
venaient
d’inventer l’art de la lutte. Le Dieu s’étant bie
couronne fut décernée à Arrachion, qui n’était plus. Après le ceste,
venait
le disque, jeu consistant à se tenir d’un pied en
al, dont la forme et la pesanteur variait au gré des concurrens. Puis
venaient
les jeux d’adresse et de légèreté. Les juges ou h
us ; le Latiar était une fête annuelle que tous les peuples du Latium
venaient
célébrer à Rome en l’honneur de Jupiter-Latiaris,
ines étaient coiffés d’un flammeum ou voile couleur de feu, d’où leur
venait
leur nom, mais lui se couvrait la tête de l’Albog
le avait un culte chez les Athéniens et un temple à Rome. Après celle
venait
Nicée en Grèce, ou la Victoire des Romains. Elle
de cette déesse, mais seulement par sa volonté et sur la terre qu’il
vint
au jour. Plusieurs mythologues, peu soucieux de s
mme, un devin pour prononcer : ils convinrent d’appeler Tirésias, qui
vint
, et se rangea du côté de Jupiter. Alors, dans sa
igé le tiers du royaume, et Mégapenthe ayant refusé, une des Prœtides
vint
à mourir ; alors celui-ci doubla sa demande, et l
remière prêtresse de Héra, dans un temple entre Argos et Mycène, d’où
vint
le nom de Junon Argiva. A cette prêtresse à laque
r et d’ivoire, et assise sur un trône. Les fleurs qui la couronnaient
venaient
des bords du fleuve Artarion, et l’eau servant da
Vulcain enivré par Bacchus : alors il oublia sa haine pour Junon, et
vint
rompre ses chaînes. Il fabriqua aussi les armes d
mier ordre. Cependant Ardalus passe pour avoir inventé la flûte, d’où
vient
aux muses le surnom d’Ardalides. Brothée que l’on
s dieux, et l’assemblée tenue à Athènes sous Cranaüs l’acquitta. D'où
vint
depuis l’établissement de l’Aréopage ; du reste,
e, fille de Pandion, roi d’Athènes laissa Philomèle sœur de sa femme,
venir
avec elle, malgré les répugnances que Pandion mon
nt la fête par un repas si bien somptueux et délicat, que de là était
venu
le proverbe : Saliares dapes, ou repas saliens. C
s et Pavoriens, qui leur sacrifiaient un chien ou une brebis. Ensuite
venaient
la Fureur, le Tumulte, ou la Consternation, l’Eff
uré sept ou neuf jours, parce qu’Ilithye l’accoucheuse ne voulait pas
venir
la secourir ; en effet, disent-ils, ni Dioné, ni
en or ; Ilithye gagnée par ce présent, se dédoublant alors de Junon,
vint
à l’insu de celle-ci délivrer Latone, et lui aide
ise et pour toujours immobile, auprès des corps de ses enfans qu’elle
venait
d’arroser de ses larmes. La vie lui échappa donc
ans, qui tendent leurs mains vers le serpent Python à l’instant qu’il
vient
pour les étouffer. Diane, fille de Latone et de
ues se basant sur ce que le mot Endymion signifiait dormeur, d’où lui
vint
le surnom du Dormeur de Latma, ont prétendu qu’ap
e allégorie de la paresse des bergers dormant souvent lorsque la lune
vient
dissiper l’obscurité de la nuit. On donne encore
ruautés en cachant la statue de Diane dans un fagot de bois, d’où lui
vint
le nom de Phaselis, et en l’emportant en Italie,
appelées Arctoi, âgées de cinq à dix ans, et vêtues en robes jaunes,
venaient
se consacrer à la déesse, et l’on appliquait un l
isme les assistans ne fuyaient pas les dangereuses attaques quand ils
venaient
à se détacher du bûcher. Les Limnatidies étaient
, né en Crète, avait Corybas pour père ; le troisième, appelé Nomios,
venait
d’Arcadie ; le quatrième était le fils de Jupiter
Dracio dont les déprédations continuelles empêchaient les fidèles de
venir
sacrifier au temple de Delphes. Son corps, laissé
é sans sépulture, ne tarda pas à infecter tous les environs, d’où lui
vint
probablement le nom de Python, nom que les astron
e sa sœur, le fit prisonnier et allait le faire périr, lorsqu’Alceste
vint
s’offrir volontairement aux vainqueurs pour sauve
e l’ambassadeur en prison. Dès qu’il apprit ce manque de foi, Hercule
vint
assiéger la ville de Troie, la saccagea, tua Laom
la chasse, son frère Déliade ou Alcimène ou Bellerus, d’où lui était
venu
le surnom de Bellérophon ou meurtrier de Bellérus
ur rencontré les Muses, leur fit beaucoup d’accueil et leur offrit de
venir
se reposer dans son palais. A peine eurent-elles
diction faite à son père, pauvre laboureur, un jour qu’un aigle était
venu
se poser sur le joug de ses bœufs. En mémoire de
a part de Jupiter, Midas lui consacra le charriot sur lequel il était
venu
en Phrygie. Ce roi avait pour ami le dieu Pan. Ce
s tous ses voyages. Le hasard leur fit rencontrer à Nisa, Apollon qui
venait
d’être exilé du ciel, le hasard voulut aussi que
heureusement célèbre plus tard par les suicides de divers personnages
venus
pour éteindre dans les eaux qui baignaient ce pro
roi arcadien Elate, tué à la chasse par un serpent appelé Seps, d’où
vint
à la contrée où il mourut le nom de Sepsa. Enfin
plus particulièrement une personnification du soleil, nous le voyons
venir
d’Égypte en Grèce, y perdre son nom d’Osiris et y
e pour purger les hommes avant qu’elle retournât au ciel ; ensuite il
venait
dans celui du Scorpion ou octobre : c’était lui q
peine de détruire lui-même à coups de flèches tous ces animaux, d’où
vient
à ce dieu le surnom de Sminthé, lequel aussi, par
e exhalaison prophétique, disait-on, et au bord de laquelle la Pythie
venait
s’inspirer en respirant ce gaz délirant. Quelques
e fer auxquelles on donna la forme et le nom d’un trépied. Mais on ne
venait
pas s’inspirer au hasard sur ce trépied divin. D'
ellule, afin qu’elle pût s’y reposer ou y mourir des fatigues qu’elle
venait
d’éprouver, chose du reste fort indifférente au p
struit le temple de cet oracle. Il eut pour successeur Evangèle, d’où
vint
aussi le nom d’évangiles que l’on donna souvent a
pris et conduit comme suspect en prison. Peu de temps après Leucippe
vint
chercher son père, déguisée sous les habits d’un
les deux plus grands poètes et chanteurs des temps anciens ; ensuite
vint
le fameux Homère, fils de Climène. Il vivait l’an
r d’Opis et d’Hécaërge dans laquelle il disait que cette déesse était
venue
du pays des Hyperboréens en Achaïe et à Délos. Pa
, et c’était le propre jour de ses noces, l’hamadryade Eurydice qu’il
venait
d’épouser, fuyant le long d’un fleuve les poursui
se chérie qu’il adorait, mais en le menaçant en même temps qu’un jour
viendrait
qu’il désirerait n’avoir jamais revu sa femme. Ma
sac de Lyrnesse, et tomba en partage au roi Agamemnon. Son père étant
venu
la réclamer, elle lui fut refusée. Cependant une
ou, suivant d’autres, Lycius, fils de Cléonis, eut l’indiscrétion de
venir
informer Apollon que sa maîtresse était infidèle,
les bords d’un fleuve, dans une fondrière couverte de lauriers, d’où
vient
la fable, dont le sens moral semble rappeler la p
r, et Thyas qui la première fut honorée du sacerdoce de Bacchus, d’où
vient
aux bacchantes le nom de Thyades. Centaure, fils
e d’homme et le corps et les jambes de chevaux ou de bœufs, d’où leur
vint
les surnoms d’Hippocentaures et de Bucentaures ;
ribué à Apollon ; il était tellement ami de Phaéton que la mort étant
venue
frapper celui-ci, Cycnus abandonna ses états pour
dérée comme repos bienfaisant. D'autres idées étrangères à la Grèce y
vinrent
encore ajouter à celles qui précèdent ; aussi, pa
inisé prit son origine en Phénicie, puisqu’il passa en Egypte d’où il
vint
en Grèce avec toutes les colonies grecques nomade
ès, semé les premiers grains récoltés dans la Grèce. Peut-être ce nom
vient
-il aussi de Rharos, père de Triptolème, Sito ou d
également sous les noms de Parthénios, Anthion ou Calichoros. A peine
venait
-elle de s’asseoir, qu’elle voit arriver, pour pui
ndant par une grace toute spéciale, il accorde à sa sœur que sa fille
viendra
passer alternativement six mois auprès d’elle, pu
s mains de Jupiter même le secret d’ensemencer les terres et de faire
venir
des moissons ; mais plus effrayés que lui de cet
uoi qu’il en soit, l’on croit généralement que l’Eumolpe de Thrace ne
vint
qu’accidentellement à Eleusis, et qu’il fut tour-
égyptienne donnèrent lieu à des récits selon lesquels Eumolpe serait
venu
ou d’Egypte ou de Thrace. Bientôt on fondit toute
Jupiter, qui se composait des peaux saignantes des victimes que l’on
venait
d’immoler à Jupiter-Mîlichios ou Ctesios ; on jeû
ver à Eleusis sous un figuier, pour imiter Cérès, et l’on suppose que
venait
ensuite un échange rapide de saillies caustiques
ème prêtre chargé spécialement de l’autel, et figurant la lune ; puis
venait
en sous-ordre l’Archonte roi, chargé des prières
e cnéore ou de sarriette et de cnyse ou conyse, ou d’herbe aux puces.
Venaient
ensuite les jours des processions. Ceux de ces jo
ait Cérès d’une manière particulière. Les Argiens la supposaient être
venue
d’Égypte, après avoir été reçue dans le Péloponès
de quelques pieux serviteurs ou desservans des temples de Cérès sont
venus
jusqu’à nous, ainsi tels sont ceux de la prêtress
urs ; enfans nés suivant les anciens, de divers générateurs, et de là
venait
l’idée de courtisane que toujours on rapprochait
ururent pour sauver sa statue ; mais tout-à-coup une verdure nouvelle
vint
à couvrir le bois. Ce conte une fois admis, les p
itable déesse des fruits était encore toute romaine : c’était Pomone,
venue
, dit-on d’abord, d’Etrurie. Elle présidait à la r
vin cuit, mais qu’ils ne buvaient pas, comme on l’a dit quelquefois.
Venait
ensuite un festin dans lequel dominait la Burrani
né complètement, et ne sachant plus comment faire de l’argent, il lui
vint
la pénible idée de vendre cette fille chérie, et
oirs de l’humanité, de la foi conjugale et de la maternité ; ensuite,
viennent
les heures des sacrifices, des repas, de la prome
ant, agaçant, caressant les désirs de la pudeur enfantine ; après eux
venaient
les charmes, la volupté, les transports, la langu
jalousie des déesses. Jupiter alors l’adopta pour fille et lui dit de
venir
occuper le trône de la beauté. Depuis ce jour ell
te augmenta sa puissance. On y voyait en outre les Ris, après les ris
venaient
Pothios ou le désir, conduits par Gélos ou Gélasi
t un sanglier, les crins hérissés et les yeux étincelans, s’élance et
vient
à lui ; le chasseur le voit, puis avec l’impruden
elle et séduisante Vénus, descendre jusque dans l’empire des morts et
venir
avec le plus gracieux sourire, confier à Proserpi
celle-ci refusa de rendre son amant : de là nouveaux débats, et de là
vint
l’intervention et la décision précédente de Jupit
trouvé sans se noyer un terme à son amour pour Adonis, et que Jupiter
venait
calmer la fougue de ses passions. Profitant avec
ilets et des barques aux environs, prêts à recueillir les malades qui
venaient
à l’exemple des dieux, demander aux flots la guér
ter au bûcher le cercueil où son corps était placé, quand une colombe
vint
à en sortir et disparut dans les airs : dès-lors
Alors Eros peut être pris pour fils de tous les personnages que nous
venons
d’indiquer ; puis le nom d’Eros signifiant amour,
s, excepté l’Amour et la Discorde, qui n’eurent pas la permission d’y
venir
. Cependant Vénus, saisissant la circonstance, dit
auprès de ses parens, elle leur prodigua tous ses soins. Chaque jour
venait
développer ses graces ; sa beauté ravissante exci
s. A peine l’Amour a-t-il promis à sa mère de la venger, qu’un oracle
vient
épouvanter la contrée. Il annonce que les Dieux o
ou faisaient entendre les concerts les plus agréables. Enfin la nuit
vint
; Psyché se coucha ; bientôt au milieu des ombres
elle arrive dans la petite ville où règne sa sœur aînée. Alors il lui
vient
une pensée de vengeance : elle lui raconte que l’
que l’amour alors est représenté ayant un doigt sur la bouche ; puis
vient
l’amour divin, il n’a plus rien de payen, il est
, à laquelle il ressemblait ; sa perte l’ayant rendu inconsolable, il
venait
pleurer sur les bords d’une fontaine et n’adoucis
te fable une couleur plus historique encore, disent que des marchands
venus
pour trafiquer sur la côte de Phénicie, ayant vu
sur un vaisseau dont la proue était décorée d’un taureau blanc, d’où
vint
la fable de Jupiter, transformé en taureau pour e
é. On institua même en son honneur une fête nommée Hellotia, d’où lui
vient
le nom d’Europe-Hellotès ; dans cette fête, les r
oyons qu’Inachus était un fils de l’Océan et de Thétis, c’est-à-dire,
venu
probablement de Phénicie dans la Grèce où il fond
m régna dans l’Argolide vers l’an 1661 av. J.-C. Son nom du reste est
venu
jusqu’à nous, en conservant son expression redout
t, en disant qu’après un grand festin donné par les Dieux Pænia étant
venue
pour ramasser les restes, Porus enivré par les fu
si appelée, on ne sait trop pourquoi ; soit, disait-on, parce qu’elle
venait
du cerveau de Jupiter ; soit parce qu’elle était
ait née le troisième mois ; soit encore parce qu’on la supposait être
venue
au monde après Apollon et Diane ; soit enfin que
l’égide qu’elle portait sur sa poitrine de l’image de Pallas : de là
vint
l’origine du Palladium ou statue de Minerve-Palla
y fut importé vers l’année 1556 ou 1582 par Cécrops, qui de l’Égypte
vint
s’établir dans l’Attique, et y popularisa cette m
ur, mais on les prolongea ensuite, pendant quatre et cinq jours, d’où
vint
leur nom ; les Sthénies étaient, à Argos, des fêt
Cécrops, parlons de cet importateur du culte de Minerve à Athènes. Il
vint
, dit-on, ou de Phénicie ou d’Egypte ou de Saïs, a
signifiait à la fois contestation en terre ; il semblerait donc être
venu
après Cécrops et Cranaüs son successeur. La naiss
nner harmonieusement. Peu de temps après, accompagné de son frère, il
vint
à Thèbes, délivra sa mère et la vengea des outrag
in instrument, et à ces accords mélodieux les pierres se mouvaient et
venaient
se ranger en ordre sur les murs Thébains. Plus ta
es peuples, dans l’origine, portaient le nom d’Aones avant que Cadmus
vînt
se fixer dans ce pays avec une colonie phénicienn
raison de quoi l’on criait dans ses fêtes. Déliez la ceinture ? d’où
vint
le nom de Dithyrambe que l’on donna ensuite aux h
Hyès ou du nom de Sémélée ou de la saison pluvieuse, pendant laquelle
venaient
toujours ses fêtes ; Iacchos ou le fils de Cérès
e remit entre les mains de Jupiter, qui le plaça dans sa cuisse, d’où
vint
à Bacchus son nom de Bimater ou à deux mères. Que
rhéniens, inspirés par Junon, firent violence à leur pilote Acétès et
vinrent
enlever ce dieu. C'étaient Alcimédon, Dictys, Eth
du gouvernail en place du pilote ; malheureusement pour eux, le dieu
vint
à se réveiller, et dans sa colère, aussitôt il le
oi à tous les peuples de cette grande péninsule. Les nations voisines
vinrent
se soumettre d’eux-mêmes à Bacchus et subirent av
eux. Un jour en se promenant au pied d’un rocher contre lequel la mer
venait
briser ses flots, il entendit une voix touchante
, ne voulut pas se laisser séduire par les femmes de la Thrace, qu’il
venait
d’enivrer ; alors celles-ci furieuses, le mirent
urs tapisseries en feuilles de lierre. De Thèbes, le culte de Bacchus
vint
à Argos ; alors deux fois on tenta inutilement de
de Bacchus sans faire connaître les dieux et déesses subalternes qui
venaient
après lui et formaient son véritable cortége. Nou
Calisto, ou de Mercure, et de Pénélope ou du ciel et de la terre ; il
vint
au monde avec les cuisses, les jambes, les pieds,
eillans en leur donnant des cornes et des pieds de chèvre ; d’où leur
venait
le nom de Capripèdes. Ensuite, quand ils arrivaie
ient des oracles, savoir : Fauna aux femmes, Faunus aux hommes ; d’où
vint
le nom des oracles Fatidiques, Fatuelis et Fatuel
x d’Amate et roi des Arborigènes dans le Latium, où nous verrons Enée
venir
y épouser sa fille Lavinie et fonder ainsi la tig
e manifesta chez ces descendans d’Hercule qui pensant que cette peste
venait
pour les punir de leur crime, élevèrent un temple
s enfans de Léda et de son mari Tyndare. De cette naissance douteuse,
vinrent
les noms et surnoms qu’on leur donnait : on les a
garder en outre comme divinités tutélaires de la navigation : à peine
venait
-on de lever l’ancre du Promontoire de Sigée, qu’u
nfans : Hallen, Amphiction et Protogénie. Il est probable qu’il était
venu
du midi de la Scythie s’établir près du mont Parn
pleurant ils s’écrièrent dans cette posture. voilà le Mélampyge, d’où
vint
la menace proverbiale des Grecs : « Prends garde
Olivarius ou à la massue d’Olivier, Opsigonos ou né tard parce qu’il
vint
au monde après Eurysthée, Polyphagus ou qui mange
pendant, avec la pudeur dans les yeux et la modestie dans les gestes,
vint
simplement lui offrir les hauts faits que produis
de brûler la plaie à mesure qu’il couperait une tête, mais un cancre
vint
au secours du reptile. Néanmoins, Hercule écrasa
qu’Hercule à son retour de l’expédition des Argonautes, fut obligé de
venir
assiéger Troie, séjour de Laomédon, qu’il immola
utel à Jupiter sauveur : autel autour duquel les peuples des environs
vinrent
, chaque année, célébrer une fête en l’honneur d’H
t lui barer le passage ; mais ils sont vaincus. Alors l’amazone OElla
vient
bravement l’attaquer ainsi que l’audacieuse Proth
re de ses exploits, l’Asie, l’Afrique, l’Espagne et l’Italie. A peine
venait
-il de rentrer dans le Péloponèse, qu’il se signal
cœur, dès qu’il voudra devenir volage. Hercule ayant tué ce centaure,
vint
reprendre Déjanire et tous deux continuèrent leur
feu est-il allumé, que le tonnerre se fait entendre et que la foudre
vient
purifier les restes de ce mortel, que Jupiter élè
osa ses cendres dans un tombeau et lui dressa un autel, sur lequel on
vint
lui offrir de nombreux sacrifices. Puis les Théba
ne, mort pendant l’expédition ; mais bientôt les descendans de Témène
vinrent
à s’éteindre avec la personne de Meltas, quoique
lequel elle s’éteignit. Les noms des principaux descendans d’Hercule
venus
jusqu’à nous avec le titre d’Héraclides sont : Ag
qui restait sous terre, Xudân ou le portier chez les Etrusques. Puis
viennent
ses doubles noms, en raison des doubles rôles qu’
r à reculons, afin d’en faire perdre les traces ; mais le dieu berger
vint
réclamer ses bœufs au jeune enfant, qui sans s’ef
l il avait donné, pour prix du secret, la plus belle des vaches qu’il
venait
d’enlever, Mercure le soupçonna de l’avoir dénonc
amours, après qu’il l’eût entendu dire en présence de tous les Dieux
venus
pour voir Mars et Vénus, pris dans le réseau invi
Eurytus ; Carmenta ou Carmentis ou la Thémis des Grecs, prophétesse,
venue
d’Arcadie en Italie, et divinisée à Rome, son vra
Evandre, fils de Carmente, fut le chef de la colonie d’Arcadiens, qui
vint
s’établir en Italie, aux environs du mont Aventin
prix. Cependant, après sa victoire, Myrtile ayant eu l’imprudence de
venir
le sommer de tenir sa parole, Pelops, indigné, le
er. Norax, fils d’Erythrée, fut le chef de la colonie d’Ibériens, qui
vint
habiter la Sardaigne ; Palestre, née de mère inco
cide ; Lycabas et Phlégias par Phinée ; et le chef Éthiopien, Zacore,
venu
au secours de Persée, est mis à mort par Argus. M
rchelaüs, tous ses fils. Mestor épousa Lysidice, fille de Pélops d’où
vint
Hippothoé, père de Taphius, duquel naquit Ptéréla
licie, où il embrassa la cause de ses habitans contre les Lyciens qui
venaient
les attaquer. Là, il se couvrit de gloire ; et ap
es divers héros étrangers qui débarquèrent sur le sol de la Grèce, et
vinrent
y imposer leur loi. Aussi, d’après Vossius, conna
t par conséquent une foule de femmes, de maîtresses et d’enfans, d’où
vint
qu’on lui prêta diverses formes, sous lesquelles
hée, fils de Larisse, Actor, fils d’Agamède. Agénor, roi de Phénicie,
vint
, suivant quelques historiens, s’établir l’an 1535
d’Argos, dont il épousa la fille ; mais après la mort de son père, il
vint
réclamer la part de sa succession, et il fut conv
s, marcha contre Thèbes avec une armée commandée par sept chefs, d’où
vint
que l’on donna à cette campagne le nom d’expéditi
nt Argos pour marcher sur Thèbes : arrivés à Némée, une soif brûlante
vint
les assaillir. Ne sachant où trouver une source p
que contre la même ville, à la tête des fils des premiers chefs, d’où
vint
le nom d’Épigone, que l’on donna à ces chefs de l
er dans des villes les habitans de l’Eubée et de la Béotie, d’où leur
vint
le nom d’Aoniens ; Arpiatres. Arion était un che
es Dieux secondaires et très-inférieurs, avaient peu de divinités qui
vinssent
se grouper autour d’eux. Cependant nous citerons
ses côtes des feux près de tous les écueils sur lesquels les navires
vinrent
se perdre, en croyant se sauver. Nausithous, fils
ne, une inondation effrayante, connue sous le nom de déluge d’Ogygès,
vint
submerger ses domaines vers l’an 37 de son règne,
inconnue, les uns lui donnèrent Neptune pour père, comme le supposant
venu
par mer dans la Grèce ; d’autres le croyant né da
fit monter tout son monde sur un seul navire, qu’il appela Argo, d’ou
vint
à ces guerriers navigateurs, le nom d’Argonautes.
du roi Pitthée. Il n’était encore âgé que de sept ans, lorsqu’il vit
venir
chez son grand-père Pitthée, Hercule couvert de l
u vieux Thésée, jusqu’à ce que ses frères les Dioscures ou Tyndarides
vinssent
la delivrer de l’esclavage. Ce Pirithoüs descenda
on ami fut retenu prisonnier par Aïdonnée, jusqu’à ce qu’Hercule soit
venu
le délivrer ; d’où vint la fable imaginée pour fa
nier par Aïdonnée, jusqu’à ce qu’Hercule soit venu le délivrer ; d’où
vint
la fable imaginée pour faire croire que Pirithoüs
charger de chaînes Pélée, jusqu’à ce que Jupiter, son grand-père, fût
venu
à son secours, en envoyant le délivrer par Castor
la fuite et épousa Ménélas ; puis fut ensuite enlevée par Pâris, d’où
vint
la guerre de Troie. Peu de temps après ces noces,
eu des mers lui-même. On leur immolait des taureaux blancs, d’où leur
venait
les surnoms de Tauriceps et de Taurophages ; quel
s eaux des paillettes d’or. D'autres disent que cette prérogative lui
venait
d’une plante qui portait de l’or. Il fut père d’E
r Pluton. Néréides. Après les grandes Divinités de la mer, on voyait
venir
une troupe de jeunes filles, soumises aux volonté
et l’humanité, elles étaient préposées à diverses spécialités. De là,
viennent
les noms de Dryades, Hamadryades, Oréades, Napées
sis, en Arcadie, dans lequel se trouvait une île flottante, d’où leur
vint
le nom Corycides. Elles habitaient, disait-on, au
les abattre, fallait-il que les prêtres eussent déclaré que ces bois
venaient
d’être abandonnés par les nymphes. Eurydice, femm
nombre de quatre ; Calliphaé, Synallaxis, Pégée et Jasis. Leurs noms
venaient
des eaux de ce fleuve qui, prises en bains, passa
fleuve Ismenus, près de Thèbes. Lélégéides, nymphes dont le nom leur
venait
des Lélèges, peuple d’Asie. Limnades, ou Limniad
le cheveu fatal, qui, disait-on, retenait les mortels à la vie, d’où
venait
que les chevelures des morts étaient offertes à c
dernier et retint le premier prisonnier, jusqu’à ce que Hercule soit
venu
le délivrer. Proserpine devint même jalouse de so
ause de leur extrême flexibilité, soit parce qu’elles étaient censées
venir
dans les prairies du sombre empire. Cette allégor
n, mais la satiété, continuelle suivante de l’hymen, ne tarda point à
venir
la tourmenter : l’occasion seule lui manquait au
temps éternel, du parfum des fleurs que jamais l’haleine des vents ne
venait
altérer, et des trois moissons que la terre y pro
plusieurs jours autour du sombre asile où ils étaient déposés ; de là
venait
l’usage de les appeler en faisant trois fois le t
ortait le nom d’ Algos ou la Douleur, l’Aloès en est l’emblême ; puis
venaient
Androctasée ou l’ Homicide, couvert d’armures et
un autel, sur lequel, avant de partir pour les combats, les guerriers
venaient
lui immoler des victimes, en lui faisant l’offran
els des enfers. Toutes les tortures, tous les malheurs étaient censés
venir
d’elles. C'est surtout le cœur qu’elles cherchaie
résentait des serpens furieux et appelait à hauts cris ses sœurs pour
venir
la seconder. Elle avait un temple environné de cy
où, disait-on, le vieil Œdipe, aveugle et banni par ses enfans, était
venu
chercher un asile. Lyssa était la rage personnifi
de quitter le ciel, parce qu’elle le troublait par ses fureurs : elle
vint
se réfugier sur les bords de l’Achéron, qu’elle p
’Argolide ; mais, bientôt Agamemnon et Ménélas, secourus par Tyndare,
vinrent
à leur tour les chasser de Mycènes. Que devint Th
à lire l’avenir dans les entrailles palpitantes d’un taureau que l’on
venait
d’immoler. Peu de temps après qu’Agamemnon eut ép
armes, il refusa arrogamment de rendre cette Chryséis à son père, qui
vint
lui apporter la rançon de sa fille ; il s’en irri
r dans le temple d’Apollon, en attendant qu’Egisthe et Clytemnestre y
vinssent
rendre graces aux dieux de les avoir délivrés d’u
de tenir le serment qu’ils avaient fait de se liguer contre celui qui
viendrait
troubler le ménage de l’époux qu’elle aurait choi
iam, sous prétexte de traiter du rachat d’Hésione ou de son héritage,
vint
à Sparte quelque temps avant ou pendant l’absence
rdre de Pâris, afin d’être plus assuré de sa fidélité ; aussi, de là,
vinrent
que les Arcadiens donnaient aux eunuques le nom d
pour lui rendre la liberté, avait persuadé à la populace, que Pyrrhus
venait
pour piller son temple. Cependant on assure aussi
ius, et fut blessé par Pandore. Plus tard, il blessa Vénus, qui était
venue
au secours d’Énée, et même, il se mesura contre l
s après, Ulysse et Néoptolème retournèrent à lui et le supplièrent de
venir
à Troie ; d’abord il refusa, puis enfin il consen
qu’en crevant avec un tison enflammé l’œil unique de ce monstre, qui
venait
, pour se réjouir de sa capture, de s’enivrer en b
le sauva malgré lui, en s’écriant que c’était Aoutis ou Personne qui
venait
ainsi de le blesser. Les Cyclopes, trompés par ce
ant un mât avec lequel il fut balotté l’espace de neuf jours, puis il
vint
aborder dans l’île d’Ortygie ou de Calypso. Le le
nt ensuite dans le port des Phéaciens, où Nausikaa, fille d’Alcinoüs,
vint
avec ses compagnes. Cette princesse, voyant cet i
damas, fut tué par Agamemnon ; Corèbe, fils de Migdon et d’Anaximène,
vint
secourir Priam et se fit tuer par Pénélée ; Crito
x du même nom, l’un, père d’Hippocoon, et l’autre de Nisus, d’où leur
vint
le nom d’Hyrtacides ; Hyrtius, fils de Gyrtius, M
me et Cocher de Pylémène, fut tué par Antiloque ; Naste, chef Carien,
vint
secourir priam ; Néamas, tué par Mérione ; Noéron
accidentellement par Sarpédon ; Penthésilée, reine des Amazones, qui
vint
au secours de Priam, eut, pendant le siége, une i
bâtir seulement sous son règne Pergame ou la citadelle de Troye, d’où
vient
que souvent cette ville fut surnommée Ilion. On p
e Ilion. On prétend qu’alors le Palladium ou petite statue de Minerve
vint
à tomber du ciel ; aussitôt Ilos, pour conserver
s lui ayant demandé le salaire convenu pour les fortifications qu’ils
venaient
d’achever, il le leur refusa et les força même de
la population s’augmenta par les émigrations des peuples voisins qui
venaient
se soumettre aux sages et douces lois qu’il avait
e, que l’on avait envoyés en Lydie, pendant le siége de Troie, et qui
vinrent
après le départ des Grecs rebâtir la ville et fon
ubitablement fait mourir, si l’ombre de Pélée, père d’Achille, ne fût
venue
s’y opposer. Andromaque, après la mort de Néoptol
nce, les reçut avec des transports de joie, sans penser que les Grecs
viendraient
bientôt avec mille vaisseaux redemander Hélène et
t un jour endormi dans un temple avec Cassandre sa sœur, deux dragons
vinrent
leur lécher les oreilles et, depuis ce moment, il
s prairies du Simoïs. Aussitôt l’infortuné monarque supplie Rhésus de
venir
à son secours : celui-ci y consentit et arriva pe
fut de même des prophéties de Cassandre, fille de Priam et d’Hécube ;
venue
au monde le même jour que son frère Hélénus, elle
l’Italiote, tué par Camille ; Évandre ; Gylippe et ses neuf fils, qui
vinrent
avec Pallas, fils d’ Évandre ; Ladon, venu avec É
e et ses neuf fils, qui vinrent avec Pallas, fils d’ Évandre ; Ladon,
venu
avec Évandre ; Ménète, de la suite de Pallas et t
en paix pendant quatre ans ; mais, alors, les Etrusques étant encore
venus
l’attaquer, il y eut une bataille sanglante près
cessivement par plusieurs villes, il était arrivé jusqu’à Rome ; d’où
vint
que cette immense et toute-puissante cité s’arrog
à peine âgé de seize ans, eut à se défendre contre les Etrusques qui
vinrent
l’attaquer dans ses états. Cependant, aidé par le
fils nommé Iule, qui se contenta de la qualité de Grand-Prêtre ; puis
viennent
les descendans plus ou moins historiques de Sylvi
e n’étaient pas encore terminés lorsque Énée, poussé par une tempête,
vint
aborder dans ces nouveaux états. Didon le reçut a
rendait des oracles que les habitans des contrées les plus éloignées
venaient
chercher. On le représente tantôt sous la forme h
il tua le roi, parce qu’il voulait s’opposer à ses desseins ; puis il
vint
en Macédoine, et y chargea Triptolème d’aller ens
ple dans le grand Delta, à peu de distance de la mer, où les pélerins
venaient
la consulter sur l’avenir. Har-Pokrat, issu d’Os
apports involontaires d’Osiris et de Nefté, déesse des élémens. Etant
venu
au monde avant le terme, il fut exposé dans une f
d aux 5, 6, 23 et 32e dynastes. Au-dessous des décans et sous-décans,
venaient
des dieux planétaires, divinités également du sec
ou Melkarth ou Adonis ; puis, au-dessous de ce grand Baal, ou soleil,
venait
le Baal des Carthaginois, ou Saturne, ou Moloch,
à perdre la vie, à condition que les limites de l’empire de Carthage
viendraient
jusqu’au lieu où ils étaient. On y consentit ; al
el ; ensuite chaque nègre fait son offrande, et se met à fumer ; puis
viennent
les prières générales pour une bonne récolte. On
és d’aller aux pieds de la statue et de dire : Maramba, ton serviteur
vient
se justifier devant toi. Si le prévenu est coupab
ssement, où ils resteraient éternellement ensevelis, si la chaleur ne
venait
les développer ; mais le grand dieu-feu, le dieu-
res gigantesques et monstrueuses. Mais, lorsque le temps de créer fut
venu
, Baal coupa Omorka en deux ; alors, la partie sup
de la Phénicie ; on le regardait même comme le roi des dieux, car il
venait
immédiatement après Chrône. On le représentait av
ité réunie formait la puissance suprême. Après ces dieux, nous voyons
venir
: Lunus, ou la lune-dieu, honoré à Carrhes, en Mé
Phénicie. L'on peut supposer qu’après le dieu civilisateur Taaut, il
vint
quelques autres souverains qui furent également d
de toutes choses, enterra dans la ville du soleil les mémoires qu’il
venait
d’écrire, construisit un vaisseau d’une grandeur
tortures les plus atroces, toutes les statues des dieux de l’univers
vinrent
se réunir dans le temple de Baal, pour pleurer la
scendre à ses vœux. Après ces dieux, pour ainsi dire, bons principes,
venaient
: Moloch, le plus célèbre et le plus terrible de
second âge ; sous la forme de Viaça et de Mouni, poète et auteur, il
vint
pendant le Douaparaïouga, ou troisième âge du mon
empare de lui et l’extermine de ses propres mains. Après les Daitias,
viennent
les Danavas ou Danous, également mauvais génies,
ui le menaçait, s’empara des deux époux, pour empêcher que Vichnou ne
vînt
au monde ; mais, malgré tous ses efforts, Vichnou
mportent des épis, et les attachent au turban de leurs maris. Ensuite
vient
la procession, on porte la statue de la déesse, d
à Devadi la moitié de ses états que celui-ci refusa. Ensuite la pluie
vint
, et tout fut oublié. Eiadia, Radjah fils de Nago
x fois : déjà neuf incarnations ou avatars ont eu lieu, et la dixième
viendra
pour mettre un terme à la sinistre époque dans la
gorger ses enfans mâles. Déjà, il en avait égorgé sept. Enfin Vichnou
vint
au jour, mais de cette fois sa mère s’y prit si b
uvait en attendre ; car, Krichna, quoique enfant, tua les Daïtias qui
venaient
pour exécuter les ordres de Kansa, son oncle. Mal
p de bataille. Avant la victoire, il se mit aux genoux de Rama, qu’il
venait
secourir, et l’adora ; ensuite, il se mit à la qu
débarrasser, elle en brisa un, et l’autre qui contenait Garoudha, ne
vint
à son terme que plusieurs siècles après. A peine
nt ses mains, et la cinquième lui servait de siége. Plus tard, il lui
vint
une sixième tête : aussitôt Vichnou pose sur cett
te antique de Bhavani, dut se fondre avec celui des trois dieux, d’où
vint
l’union de Bhavani à Siva, lorsque pour pacifier
surtout de buffles, que les Hindous immolent au pied de ses autels ;
vient
ensuite le 14 de Margasircha, ou novembre-décembr
Après qu’ils eurent subi tous deux une nouvelle transmigration, Gana
vint
à renaître sous la forme de Santanou, fils de Kou
endant on le voit quelquefois placé sur un énorme éléphant. Kaouciki
vint
au monde en sortant du sein de Bhavani, lorsque c
t le crâne de Brahmâ. C'est lui Vairava qui à la fin des siècles doit
venir
tout détruire par l’ordre de Siva. Mahécha, ou M
es force à aller mendier sur la terre. Mais, en définitive, les Dieux
viennent
toujours à se venger de Mahécha, avec le secours
eux de Parvati, il voulut essayer sur Siva lui-même, le pouvoir qu’il
venait
d’en recevoir, mais Siva, instruit de ses intenti
ecevoir, mais Siva, instruit de ses intentions, s’esquiva, et Vichnou
vint
au secours de Siva, en revêtant les traits de Par
es religieuses dures et cruelles auxquelles ils se soumettent ; ainsi
viennent
les Sâniâci, qui sont les plus anciens et les plu
retomba dans un puits qui se trouvait derrière lui et se noya : d’où
vint
que Bouddha-Gotama institua la deuxième station,
a terre de son pied, et Okien Tingri, le génie tutélaire de ce globe,
vint
au contraire témoigner qu’il les possédait ; alor
cinq disciples au jeûne de quarante-neuf jours. En vain Esroun-Tingri
vint
-il lui offrir dans son hermitage une Kourda ou ro
emier Bouddha, réformateur positif mourir l’an 950 avant J.-C. ; puis
vint
Maha-Ka ou Maha Kaciapa, de la caste Brahmaïque,
ande ressemblance, même par les insignes. Après le conseil des Lamas,
viennent
les Lamas secondaires, dont le nombre est en rais
mariés ; quant aux Lamas, ils appartiennent à l’ordre des Arhan, puis
viennent
les Vadjra-Atcharias, ou religieux se destinant à
n’était autre chose que la lumière que Confucius avait prédit devoir
venir
un jour de l’occident. Bientôt la religion de Fô
t une confession et des indulgences à la manière des chrétiens. Enfin
viennent
les Boudsoïtes, ou adorateurs de Boudso, autremen
ensemble un commerce éternel. Après ces sept grands Dieux spirituels
viennent
: Les Tsisingodaï, ou Dieux terrestres au nombre
t celui de Boungo, il est nommé Ousa-fatsman. Après ces grands Dieux
viennent
les Kamis, ou héros indigènes du Japon, auxquels
orages. C'est lui qui embrasa l’univers lorsque les hommes en furent
venus
à un tel état de perversité, qu’ils méprisaient m
x chevaux blancs très-maigres et d’un grand nombre de peuple. Ensuite
viennent
deux chevaux gras, suivis des prêtres et des gran
s. Enfin, fatigué de la vie, il se donna volontairement la mort, d’où
vient
que ses adorateurs se tuent sans difficulté, croy
rveilleuse et exemplaire par sa piété ; plus tard, les rois eux-mêmes
vinrent
le visiter et lui présenter leurs hommages. Un jo
ait consacré à Amerdad. Les Izeds ou Yzeds, génies de deuxième ordre,
viennent
immédiatement après les Amchasfands, et comme eux
ront certains caractères pour les consacrer au bon principe ; ensuite
venait
l’offrande du pain et du vin, et, à la fin, on me
ir la peine due à leur péché, jusqu’à ce que la résurrection générale
vienne
les délivrer. Fréfak, fils de Siamak, et de Bech
ire, et aux sons harmonieux de la Kandela ou lyre, les meules de foin
vinrent
d’elles-mêmes dans les granges, les flots de la m
; on le consultait au moment des semailles pour savoir si les plantes
viendraient
à hauteur d’homme. La personne qui le consultait
tenir debout, un pied en l’air, et c’était un mauvais présage, si 'on
venait
à s’appuyer sur les deux pieds. Zermagea, Die
, disaient les légendes de ces peuples, est un génie funeste qui doit
venir
un jour, suivi des génies du feu, envahir le ciel
en est ébranlée. La captivité de Loke ne sera pas éternelle ; un jour
viendra
où lui et les siens anéantiront l’univers. On le
cependant, Fenrir en attrape une partie dans sa vaste gueule ; de là
viennent
les éclipses. Avant d’être engloutie tout-à-fait
re et du tonnerre, qui lui était opposé. Après ces deux grands dieux,
venaient
: Mannus, espèce de dieu-Mars, ou de Cybèle. He
ux sur une même planche ; mais comme les oiseaux ne manquaient pas de
venir
manger ou déranger quelques-uns de ces gâteaux, o
ux pieds de Milèse, qui arma aussitôt un vaisseau, traversa la mer et
vint
punir les assassins. Milèse ou Miless, Spain,
ts sans se baisser. Kafa, Laighne et Louaçat, étaient trois pêcheurs
venus
d’Espagne, ou grands dieux des Tuatha-Dadans, qui
onctuellement. Cette Deirdre était fille de Fiehim, né de Dill ; elle
vint
au monde pendant le séjour de Qonnor, roi d’Oulad
ux macérations les plus dures et au jeûne le plus rigoureux ; ensuite
venaient
les réjouissances. Kiouasa était le dieu des Vir
u ciel et de la terre ; mais bientôt Touparan, ou le principe du mal,
vint
l’attaquer ; mais celui-ci fut défait et plongé,
elle Anaikondi qui le mit au monde sur les montagnes, d’où bientôt il
vint
dans la plaine enseigner aux sauvages habitans l’
ux pour chanter et se nourrir du suc des fleurs. Après ces divinités,
venaient
au Mexique les douze grands dieux suivans : Omét
Mexique. On célébrait sa fête par le sacrifice d’une femme : ensuite
venaient
des jeux ; puis le soir, les prêtres couraient le
cution des lois, et aux écoles ecclésiastiques ; puis, en sous ordre,
venaient
les prêtresses, et les différens ordres religieux
rcevons : Dabaiba, mère des dieux chez les habitans de Panama ; elle
vint
sur la terre pour montrer et inventer toutes les
e du bien, qui a pour antagoniste Houékoub, le principe du mal ; puis
viennent
le soleil et son épouse Antoumalgouen et Epounamo
ser la tâche à un autre, et m’abstenir d’une nouvelle publication. Il
vient
un âge où l’on n’imprime qu’avec défiance ; un âg
le trompa la vigilance de son époux, et substitua à Jupiter dont elle
venait
d’accoucher, une pierre emmaillotée, que Saturne
it que les habitants du ciel auraient le dessous tant qu’un mortel ne
viendrait
pas les secourir. Jupiter, réduit aux derniers ab
ympe et descendit sur la terre pour être témoin de ses attentats ; il
vint
en Arcadie, entra dans le palais de Lycaon, et y
énomène descendit sur la terre, dissipa le nuage, et découvrit Io qui
venait
d’être métamorphosée en vache. Mais comme la nymp
retenir le feu sacré, symbole de la perpétuité de l’empire. Si le feu
venait
à s’éteindre, le deuil était général dans la vill
nait amèrement des rigueurs du sort : un dauphin, témoin de sa peine,
vint
lui offrir son intervention et son ministère. Il
tu qu’elle avait un sujet de chagrin, s’approcha d’elle et la pria de
venir
se reposer dans la maison de son père. Cérès y en
me des moissons. § 10. Minerve. Minerve, déesse de la sagesse,
vint
au monde d’une manière extraordinaire. Jupiter, é
hon, travaillait si bien en broderie que les curieux de tous les pays
venaient
s’extasier devant ses tableaux. Ce concert unanim
et chacun la demandait en mariage : Jupiter l’accorda à Vulcain, qui
venait
d’inventer les foudres sous lesquelles avaient pé
ondateur et roi d’Athènes ; 2° Érichthonius, autre roi d’Athènes, qui
vint
au monde avec des jambes torses, et qui, pour cac
ne cita Mars en jugement devant un tribunal auguste que les Athéniens
venaient
d’instituer. L’accusé exposa l’affaire à ses juge
un vif démêlé avec Épaphus. Dans la dispute ils s’échauffèrent et en
vinrent
aux injures. Épaphus alla jusqu’à reprocher à Pha
, coulait une eau fraîche et limpide. Diane, fatiguée de ses courses,
venait
d’y arriver avec les nymphes de sa suite pour s’y
mpêcha. Tant de friponnerie et d’audace le firent bannir du ciel : il
vint
sur la terre, en Thessalie, où il passa son adole
17. Bacchus. Bacchus, dieu du vin, fils de Jupiter et de Sémélé,
vint
au monde dans l’île de Naxos, et fut porté par Me
un temple devenu bientôt célèbre, et où, des trois parties du monde,
venaient
en foule les adorateurs, quoiqu’il fallût travers
fermé dans les temps de paix, et qui s’ouvrait aussitôt qu’une guerre
venait
à éclater. Alors les chefs de la nation, les magi
un orage, et contraintes de chercher un abri. Pyréné, roi de Phocide,
vint
à leur rencontre, et leur offrit dans son palais
la musique, traversèrent la Thessalie et une partie de la Grèce, pour
venir
disputer aux Muses le prix du chant. « Si vous êt
qu’attendent la pauvreté et le malheur ; Lachésis tourne le fuseau où
vient
s’enrouler le fil que lui a transmis sa sœur ; At
Pan, né en Arcadie, était le dieu des campagnes et des bergers. Il
vint
au monde avec des jambes et des pieds de bouc, av
de l’année, de ses variations et de l’inconstance des choses. Son nom
vient
d’un mot latin qui signifie « tourner, changer. »
rtout, elles forment, autour des troncs, une danse légère, à laquelle
viennent
souvent se joindre les Satyres aux pieds de chèvr
s eaux traversaient le fond des mers sans se mêler à l’onde salée, et
venaient
s’unir, toujours pures et limpides, aux eaux d’Ar
es et les faisaient fuir ; mais la vue du feu les réjouissait : de là
vient
qu’en Italie on plaçait de petites lampes dans le
inistrateurs des pompes funèbres. Elle avait à Rome un temple où l’on
venait
apporter un denier d’argent (50 centimes) pour ch
ffrait depuis plusieurs siècles des douleurs atroces, lorsque Hercule
vint
en Scythie, et tua le vautour. — On explique ces
ter la désolation sur ces bords. Hercule s’en saisit, le garrotta, et
vint
l’offrir à Eurysthée. 8° Diomède, roi de Thrace,
visageaient. Persée accepta sans crainte la proposition, et les dieux
vinrent
à son aide. Minerve lui prêta son bouclier, aussi
crisius. Acrisius, apprenant la marche triomphale de son petit-fils,
vint
à sa rencontre jusqu’à Larisse, pour le féliciter
ait à son tour chassé ou mis à mort par un fils d’Éson. Dès que Jason
vint
au monde, sa mère, pour le dérober aux poursuites
consentit à l’épouser. Plus tard, lorsque Thésée, héritier du trône,
vint
à Athènes, Médée forma le projet de se défaire de
la nature entière était sensible à ses accords. Les lions, les ours,
venaient
lécher ses pieds ; les fleuves remontaient vers l
ifique tombeau, où, chaque année, gens de lettres, artistes, savants,
venaient
apporter le tribut de leurs unanimes regrets. Les
us distingués d’entre les Lapithes y étaient conviés. Les Centaures y
vinrent
avec empressement. Le plaisir brillait sur tous l
roi Adraste, qui lui donna en mariage une de ses filles : la seconde
venait
d’épouser un autre prince fugitif, Polynice, fils
belles dents, ouvre le crâne et en arrache la cervelle… Minerve, qui
venait
pour secourir Tydée et lui rendre sa première vig
Minerve. Les plus fameux athlètes de l’Attique et de Mégare y étaient
venus
dans le même but. Androgée les surpassa tous et r
même solliciter l’alliance des princes voisins, équipe une flotte, et
vient
mettre le siége devant Mégare. Scylla, fille de N
les écueils, et se brisa. Dédale poursuivit sa course périlleuse, et
vint
descendre à Cumes, en Italie, où il bâtit un temp
n’appréhendait rien de ces ouvertures ; il accepte la proposition, et
vient
aux appartements du roi, où il est reçu avec les
l se retirait souvent dans les forêts du mont Ida, où les passions ne
venaient
point chercher son cœur. Le ciel envia à la terre
s de Troie, lorsque Apollon et Neptune, tous deux bannis de l’Olympe,
vinrent
lui offrir de l’aider dans son entreprise. L’offr
nestre sa mère, avec ses deux sœurs et le jeune Oreste. Pour la faire
venir
au camp, son père feignit de vouloir, avant le dé
ersaire, qui, plus fort et plus adroit, allait triompher, quand Vénus
vient
au secours de son favori, l’enveloppe d’un nuage
ille de Troie ne pouvait être prise sans le secours d’Achille, Ulysse
vint
à Scyros, déguisé en marchand, et offrit des bijo
e tient devant la porte de Scée, attendant Achille, et impatient d’en
venir
aux mains avec lui. Hécube et Priam, tremblant po
vautours. Mais, dès la nuit suivante, les larmes du vieux Priam, qui
vint
baiser ses pieds, en redemandant les restes d’Hec
être guérie que par celui qui l’avait faite. » Achille, sollicité de
venir
au camp de Télèphe et de panser la plaie, répondi
r dans votre citadelle, non-seulement les Grecs ne songeraient plus à
venir
attaquer les Troyens, mais, au contraire, tel est
nt enlevé les chevaux de Rhésus, roi de Thrace, et tué ce prince, qui
venait
avec son armée au secours des Troyens. Après la r
blanchir ses robes. Ce jour même, conduite par Minerve, elle y était
venue
avec ses compagnes laver des étoffes précieuses,
héros tel qu’Ulysse fait du bruit ; la nouvelle de son trépas serait
venue
jusqu’à moi. Peut-être que, jeté dans une île dés
minés elle proposait ce défi : ils l’acceptèrent cependant. Le peuple
vint
en foule au palais. Chacun des prétendants s’effo
s, lorsque Oreste, qui préparait dans l’ombre une vengeance terrible,
vint
à la cour de Mycènes, favorisé par Électre, et so
ve l’arrête, et lui défend de les poursuivre. « Oreste, dit-elle, est
venu
par ordre d’Apollon dans cette contrée, pour s’af
ir : « Modère, lui dit-elle, modère cette fureur, si l’odieux taureau
vient
lui-même te livrer ses cornes pour les briser. Ig
eauté, était fils du fleuve Céphise et de la nymphe Liriope. Quand il
vint
au monde, sa mère consulta le devin Tirésias sur
’amour. En descendant des montagnes, les nymphes voient Narcisse, qui
venait
d’expirer, et ne peuvent retenir leurs gémissemen
de de l’eau pour se désaltérer. « Vous me sauverez la vie, dit-elle ;
venez
à mon aide ! » Mais les Lyciens, excités par Juno
défiait de la discrétion du berger, il fit semblant de se retirer, et
vint
peu après, sous une autre figure et avec une autr
ttez que ma sœur Philomèle, dont je suis séparée depuis si longtemps,
vienne
me voir : j’implore a cette grâce de votre bonté.
et de l’Aurore, fut dès son adolescence un héros. Neveu de Priam, il
vint
avec dix mille guerriers au secours de son oncle,
e je prononçais votre nom. Ce n’est a point une personne suspecte qui
vient
vous annoncer cette nouvelle ; ce ne sont point d
érès parcourait le monde, cherchant de tous côtés sa fille que Pluton
venait
d’enlever, elle se sentit accablée de fatigue et
rêve plus qu’aux moyens d’éclaircir son doute. Quand donc la nuit est
venue
, et que le jeune prince fatigué repose, elle s’ap
s 50 filles, et de chercher en Asie ou en Europe un établissement. Il
vint
d’abord à Rhodes, où il consacra une statue à Min
pour vous, exigez qu’il vous en donne une marque infaillible ; qu’il
vienne
vous voir dans tout l’appareil de sa gloire et av
» Sémélé, au comble de la joie, se hâte de poursuivre : « Quand vous
viendrez
me voir, lui dit-elle, paraissez avec toute la ma
mé dont les coups sont inévitables. Dans cet appareil éblouissant, il
vint
accomplir le vœu imprudent de Sémélé : le palais
a Grèce ; Épiménide y fut regardé comme un homme chéri du ciel, et on
vint
le consulter comme un oracle. Il mourut âgé d’env
ir cachée dans les taillis. Céphale, épuisé de fatigue et de chaleur,
vint
par hasard se reposer sous un arbre voisin, et, d
d’un accent passionné, appela le souffle rafraîchissant du zéphyr : «
Viens
, douce Brise, viens ! Je ne suis rien sans toi ;
é, appela le souffle rafraîchissant du zéphyr : « Viens, douce Brise,
viens
! Je ne suis rien sans toi ; sans toi je succombe
viens ! Je ne suis rien sans toi ; sans toi je succombe, et je péris.
Viens
, Brise tant désirée, viens à moi ! » Sa femme qui
s toi ; sans toi je succombe, et je péris. Viens, Brise tant désirée,
viens
à moi ! » Sa femme qui entend des paroles si tend
et mourut pour lui. Hercule arriva en Thessalie le jour même où elle
venait
d’expirer ; et Admète, malgré l’affliction qu’il
ne pas redescendre aux Enfers. Il fallut recourir à la force. Mercure
vint
le prendre au collet, et le reconduisit chez Plut
le trône et la vie. Alexandre le Grand, avant son expédition d’Asie,
vint
à Delphes, dans un des mois où l’oracle ne donnai
ne de mort pour quiconque tuait un ibis, même par mégarde. Ce respect
venait
des services que cet oiseau rend à l’Égypte, en y
es César qui descendait de Vénus par Énée, fils d’Anchise. 13. De la
viennent
les noms de Cypris, de Cythérée et d’Érycine, don
Jocaste. 46. Épigones signifie, en grec, les Descendants, Ceux qui
viennent
après. Diomède, fils de Tydée, est le plus célèbr
leurs pas, vers des plages inconnues. Bientôt la plus triste réalité
vint
remplacer les douces illusions de l’espérance. En
ses fureurs, les meurtres, les vengeances, la cupidité, l’injustice,
vinrent
inonder la terre. L’homme, alors tout entier à se
s colonies policées, et conduites par des chefs habiles et courageux,
vinrent
les arracher à cet état déplorable, en leur appor
l’ambition s’est jouée sans bornes de la vie des hommes ; ils en sont
venus
à ce point de s’entre-tuer sans se haïr : le comb
serviraient d’appui. La vérité fut couverte d’un voile ; le mensonge
vint
en quelque sorte lui prêter ses vêtemens, et, pou
nités égales en puissance et éternelles. Ils crurent que tout le bien
venait
du bon principe, et tout le mal du mauvais. Ce sa
spirituels et si polis, ne durent leurs lumières qu’aux colonies qui
vinrent
les policer. Cependant le commencement de l’idolâ
mes avaient été se réunir aux astres, d’où elles étaient sorties pour
venir
animer leur corps ; ce fut ainsi qu’ils furent re
des Grecs. Cette division des temps, il faut bien le remarquer, nous
vient
des Grecs et des Romains, qui ne connaissaient pa
des colonies orientales. Lorsque les Phéniciens ou les Égyptiens
vinrent
s’établir dans la Grèce, ils furent forcés d’appr
bâti avec de la cire et les ailes des abeilles qu’Apollon avait fait
venir
des pays hyperboréens. Plus on étudie les origine
éloigné de leur origine, qu’ils surent que les noms des dieux étaient
venus
d’Égypte : ils allèrent alors consulter l’oracle
èce, et lui demandèrent s’ils recevraient les noms des dieux qui leur
venaient
des barbares. Sur la réponse de l’oracle qu’ils d
çurent ces mêmes noms. On ignore jusqu’à présent d’où chaque dieu est
venu
, s’il existe de tout temps, quelle est sa forme ;
t sa forme ; pour moi, (poursuit cet historien), je crois qu’ils sont
venus
d’Égypte ; et, si l’on me dit que les Égyptiens n
teux qu’Inachus, qui fut le premier de tous, Danaüs, et ceux qui sont
venus
par la suite, n’aient apporté avec eux et la conn
u ciel, dieux de la mer, dieux de la terre, et dieux des enfers. Nous
viendrons
ensuite aux dieux subalternes, sur le séjour desq
ens pour remonter sur son trône, il le chassa du ciel. Le roi détrôné
vint
se réfugier en Italie, auprès de Janus, roi du pa
Janus prit son nom de cette aventure, et fut appelée Latium, nom qui
vient
du mot latere, cacher. En mémoire du séjour de Sa
uel ce prince avait mis son peuple belliqueux. Le nom du mois d’avril
vient
du mot latin aperire, ouvrir, parce que dans ce m
Thessalie, environ cent quarante-six ans avant la prise de Troie. Il
vint
par mer dans le Latium ; et quelques-unes de ses
que Cybèle était fille d’un roi de Phrygie ; elle quitta ce pays pour
venir
dans le Latium, où elle épousa Saturne. Ce fut el
lle elle avait été exposée. Quelques étymologistes croient que ce nom
vient
d’un mot hébreu qui signifie enfanter avec douleu
t une telle importance à la conservation du feu sacré, que, lorsqu’il
venait
à s’éteindre, on interrompait tous les exercices
ce nom auguste. Cet usage ne cessa qu’après la prise de Troie. De là
vient
que tant de peuples différens se vantaient que Ju
qu’aucun des dieux ne pourrait leur ôter la vie si quelque mortel ne
venait
au secours du Ciel. Jupiter alors défendit à l’Au
voulait soutenir ses enfans, et, d’après le conseil de Pallas, il fit
venir
Hercule pour combattre avec lui. Ce héros avec se
pent ; la vue de ce monstre épouvanta tellement les dieux qui étaient
venus
au secours de Jupiter, qu’ils s’enfuirent du ciel
à de nouveaux dangers, il songea sérieusement à se défendre. Saturne
vint
bientôt après dans son île de Crète, dont il étai
éservé tout l’Orient, la Grèce, ses îles, et la partie de l’Asie d’où
venaient
ses ancêtres. On s’aperçoit sans doute que, dans
a pris soin de notre enfance, nous sont toujours les plus chers. D’où
vient
donc le charme qu’ils ont pour nous ? Ne serait-c
s compagnons, quitta le mont Ida, situé dans l’île de Crète, et qu’il
vint
jusque dans l’Élide. Ce fut là, qu’en mémoire de
reilles, pour qu’il pût entendre les prières de quelque côté qu’elles
vinssent
, La figure de la justice se trouvait toujours pla
qu’il avait dans la Libye, portait des cornes de bélier. Le mot ammon
vient
du grec, et veut dire sable. La fable dit que cet
s les sables de la Libye, et mourant de son, s’adressa à Jupiter, qui
vint
à lui sous la forme d’un bélier pour lui montrer
Achéloüs se métamorphosa en taureau, et sous cette nouvelle forme, il
vint
attaquer son rival, qui, après l’avoir terrassé u
les, mais très-rares, de ces sacrifices barbares ; et lorsque Cécrops
vint
s’établir à Athènes, il abolit pour jamais cette
n fragment de rocher du Caucase. On croit même que c’est de là qu’est
venue
la coutume de porter des anneaux et des bagues. P
orter des anneaux et des bagues. Prométhée profita de sa liberté pour
venir
passer le reste de ses jours dans la Grèce. Après
tuels, elle s’élança dans la mer, passa la Méditerranée à la nage, et
vint
aborder dans l’Égypte, où elle reprit sa première
tendaient descendre de ces fourmis. On les nommait Myrmidons, mot qui
vient
du mot myrmex, fourmi. La manière la plus ordinai
s allèrent prendre leur repas, et s’endormirent paisiblement. La mort
vint
les surprendre pendant leur sommeil. Depuis ce te
nce, lui donna les pommes d’or du jardin des Hespérides, que le héros
venait
conquérir par ordre d’Eurysthée, roi de Mycènes.
guer de celui qui fut emporté par un coup de vent. Ce second Hespérus
vint
s’établir dans l’Occident ; et c’est d’après lui
a. Juin, signe de l’Écrevisse. On croit qu’elle représente celle qui
vint
piquer Hercule tuant l’hydre de Lerne. Juillet,
Aurore fit un second enlèvement qui eut des suites cruelles. Céphale
venait
d’épouser Procris : leur tendresse était mutuelle
eauté ne purent la sauver : il fallut obéir à l’oracle ; mais Hercule
vint
à son secours, et tua le monstre. L’avare Laomédo
ges n’ont pu lui survivre. On croit généralement que le nom des Muses
vient
du grec muein, expliquer les mystères. On les nom
de ses pieds touche légèrement la terre. (Fig. 16.) 6. Érato. Son nom
vient
du mot grec eros, amour. Elle inspire les poésies
in de prévoir l’avenir. Les nombreuses histoires des oracles vérifiés
viennent
à l’appui de cette opinion. Si leurs réponses, en
la lune sur la terre par la force de leurs enchantemens. Lorsqu’elle
venait
à s’éclipser, ils assuraient qu’elle venait sur l
enchantemens. Lorsqu’elle venait à s’éclipser, ils assuraient qu’elle
venait
sur la terre, et s’y rendait à leurs ordres. Dian
et l’autre sous ce nom. La plupart des autres noms donnés à la déesse
venaient
des lieux où elle était particulièrement honorée.
tié, tuèrent le pontife Thoas, emportèrent la statue de la déesse, et
vinrent
la déposer en Italie, où elle fut appelée Phazeli
eurs ne peuvent convenir qu’à ce roi d’Égypte. Ils disent que ce dieu
vint
au secours de Jupiter dans la guerre contre les G
s été inventée par les hommes, mais que son origine est céleste. Elle
vient
au monde toute armée, parce que le sage, fort de
ignifie dommage, et représentait les malheurs de la guerre. Peut-être
vient
-il aussi du mot hébreu Arists, fort et terrible.
attacher le même prix à ses trophées sanglans, et les abandonner pour
venir
déposer ses lauriers aux pieds de la beauté. Le g
lheureuse Sappho, à laquelle la Grèce donnait le nom de dixième Muse,
vint
encore ajouter à sa célébrité. Désespérée de l’in
qu’une épine avait fait couler. On lui dédiait le myrte, parce qu’il
vient
ordinairement sur le bord des eaux, où la déesse
ais se faire attendre ; ils se plaisaient à répéter qu’une grâce qui
vient
trop lentement cesse d’être une grâce . Tous les
Grecs nous l’ont transmise. Il était fils de Jupiter et de Junon. Il
vint
au monde avant terme et contrefait : Jupiter le r
. Le charme de leur chant attirait les nautoniers, et leurs vaisseaux
venaient
se briser contre les écueils. Leucosie, Ligie et
n avait pour ces lieux un respect religieux ; et c’est de là qu’était
venue
la coutume de sacrifier aux mânes sous des arbres
hrace, où les Bacchantes avaient déchiré le malheureux Penthée, était
venu
dans la Lydie, auprès du mont Tmolus, où croissai
xcellens vins. Silène se promenait dans le pays, monté sur un âne, et
venait
souvent méditer ou se reposer auprès d’une fontai
u’il allait passer le lac. Aussitôt quarante juges s’assemblaient, et
venaient
s’asseoir en forme de cercle sur les bords de ce
ans les entrailles de la terre. Adès signifie triste et sombre. Orcus
vient
du latin urgere, pousser, parce que ce dieu pouss
t forcé de s’éloigner ; il rassembla ceux qui suivaient son parti, et
vint
du côté d’Argos. Il attaqua Gélanor, roi de ce pa
ympe par Jupiter, parce qu’elle cherchait à brouiller les dieux, elle
vint
sur la terre exercer toutes ses fureurs. On attri
(Fig. 65.) Son nom vient de commessari, manger : on croit aussi qu’il
vient
d’une espèce de chanson très-familière aux ancien
er même étaient les objets de ses plus sanglantes railleries. Son nom
vient
du mot grec momos, reproche. Il blâmait les dieux
’était ainsi déguisé. Cette fable fut crue par le peuple, et la foule
venait
adorer cette divinité de la santé. Les prêtres, h
ant j’unis à mes maux les pleurs de sa perte ; et, si quelque plaisir
vient
me surprendre, je me le reproche, il me semble qu
ns le langage ordinaire. Suivant le conseil du sage Rollin, dont nous
venons
d’exposer les idées, et que nous nous ferons touj
u mal, on associa à l’idée d’un dieu bon celle d’un génie malfaisant.
Vint
ensuite le culte de la nature, dans laquelle les
donnèrent-elles le jour ? Faites connaître trois Géants fameux. D’où
vient
le nom de Titans ? A qui était-il donné ? Qu’étai
ient chargées d’entretenir dans le temple un feu perpétuel. Lorsqu’il
venait
à s’éteindre, les Romains se croyaient menacés de
outenu par la Prudence et la Justice. A droite, siégeait Junon ; puis
venaient
Neptune, Mercure, Apollon, Mars et Vulcain ; à ga
ce, avare et sanguinaire, faisait périr, disait-on, les étrangers qui
venaient
dans ses États. Quoique Jupiter, en entrant dans
s services rendit-elle à Jupiter dans la guerre des Géants ? D’où lui
vient
le nom Pallas ? Qu’était-ce que son égide ? Qu’ét
eu de Clymène, irrité de ce qu’Epaphus contestait sa céleste origine,
vint
lui exposer le sujet de sa douleur. Apollon jura
e dieu, lui confia le soin de verser le nectar à la place d’Hébé, qui
venait
d’être disgraciée. Ganymède n’avait pas encore ét
lle était particulièrement honorée dans l’île de Chypre, d’où lui est
venu
le nom de Cypris. Elle avait aussi des temples cé
avaux, les ouvriers qui le secondaient, et ses divers ateliers ? D’où
vient
le nom de volcan ? Quels services rendit Vulcain
le blé, Bacchus ou la vigne, Vulcain ou le feu ; mais après celles-ci
venaient
plusieurs divinités inférieures qui présidaient a
ée à un rocher, attendait la mort, lorsque le vaisseau des Argonautes
vint
à passer. Hercule promit de la délivrer si Laoméd
rs Grecs donnaient le nom de Neptune à tous les princes étrangers qui
venaient
chez eux par mer, ou qui avaient étendu leur domi
il prenait toutes les formes pour échapper aux instances de ceux qui
venaient
le consulter. Tel que le vieux pasteur des troup
vée, apprit de l’oracle que Protée seul pourrait le lui découvrir. Il
vient
avec trois de ses compagnons armés pour s’emparer
pour voler à la poursuite du ravisseur. N’ayant pu l’atteindre, elles
vinrent
se réfugier sur les bords de la mer, entre l’île
ant lorsque les Argonautes, dans la fuite qui suivit leur expédition,
vinrent
longer ces rivages, les Sirènes firent de vains e
irement lorsque cette déesse sort du sein des flots, pour annoncer la
venue
du soleil. Aurore aima passionnément deux chasseu
régna sur l’Ethiopie et sur plusieurs vastes contrées de l’Orient. Il
vint
au siége de Troie avec dix mille guerriers et y f
. Egyptus, roi d’Egypte, avait aussi cinquante fils, pour lesquels il
vint
demander en mariage les filles de Danaüs. Le roi
emples. C’était là que les savants et les artistes se réunissaient et
venaient
déposer leurs ouvrages, comme un hommage à la pai
ls de Danaé périrait dans cette périlleuse entreprise. Mais les dieux
vinrent
à son secours. Minerve lui prêta son égide, Pluto
rand-père. Le roi d’Argos, informé du retour de son petit-fils, était
venu
se réfugier à la cour du roi de Larisse, pour éch
e bonne heure le courage qui devait illustrer sa vie. Un jour Hercule
vint
voir Pitthée, et déposa dans le vestibule du pala
é par Cerbère, et Thésée fut retenu prisonnier, jusqu’à ce qu’Hercule
vînt
le délivrer. Quand il reparut à Athènes, le bruit
yais encore au trône de mon père ; Et tous ceux qu’à mes yeux le sort
venait
offrir Me semblaient mes sujets et faits pour m’o
onnaît la crainte, Guidé par la Fortune en ces lieux pleins d’effroi,
Vint
, vit le monstre affreux, l’entendit et fut roi. (
ent le ciel de serments effroyables. Près d’un taureau mourant qu’ils
viennent
d’égorger, Tous, la main dans le sang, jurent de
aucoup de guerriers, les deux frères ennemis, Etéocle et Polynice, en
viennent
à un combat singulier. Ils se précipitent avec fu
appelés à venger leurs pères par Adraste, qui seul avait survécu. Ils
viennent
assiéger Thèbes, la prennent et massacrent l’odie
it. Récitez la description poétique de ce monstre. Quel nouveau fléau
vint
affliger Thèbes ? Racontez les malheurs d’Œdipe ;
que les Epigones ? Quel fut le résultat de la nouvelle guerre qu’ils
vinrent
faire aux Thébains ? Quels furent les derniers re
de Mycènes. Les deux époux vivaient heureux, lorsque le fils de Priam
vint
rompre leur union en enlevant Hélène. Aussitôt Mé
l’Asie Mineure, les plus illustres guerriers et même des rois étaient
venus
se ranger sous ses ordres : d’abord Pâris, le rav
ccombe. Achille, dans sa douleur, jure de le venger. Thétis, sa mère,
vient
le consoler et lui apporte de nouvelles armes, ch
tour des murs de Troie son corps attaché à son char victorieux. Priam
vient
dans la tente d’Achille demander, en suppliant, l
Ils feignent en effet de partir. Les Troyens ouvrent leurs portes et
viennent
contempler le prétendu don offert à Minerve. En v
eurs murs, dont ils abattent un pan, pour lui livrer passage. La nuit
venue
, Sinon, à un signal donné, ouvre les flancs du ch
que l’on peignait ainsi qu’un fleuve immense Où, la coupe à la main,
venaient
puiser les arts. Virgile sur toi seul attachait
ne qui exista entre les Grecs et les Troyens ? Comment Priam était-il
venu
en Grèce ? Pourquoi Pâris enleva-t-il Hélène ? De
sie et de la musique. Il pénètre en Ethiopie, où une foule de Satyres
viennent
grossir son armée et l’égayer de leurs danses. De
grande, que les hommes les plus illustres de l’Egypte et de la Grèce
venaient
s’entretenir avec eux et se faire initier à leurs
en distinguent deux ; ils regardent le premier comme un astronome qui
vint
à Babylone 2459 ans avant J.-C. Ils placent le be
l’œuvre d’Ahriman. Son séjour est dans les enfers ; c’est de là qu’il
vint
sur la terre pour corrompre, sous la forme d’un s
’Inde. Enfin, pendant le siècle noir, le siècle de fer des Indous, il
vint
faire paraître, sous le nom de Kalidaça, les poëm
our donner de l’importance et de l’autorité aux divers écrits dont il
vient
d’être question. 137. Vichnou ; ses métamorpho
e chaque fois que la terre était menacée de quelque grand malheur, il
venait
à son secours pour le prévenir ou le réparer. Nou
a l’autre sur la tête du géant, qu’il précipita dant l’abîme. Vichnou
vint
ensuite habiter la terre, à deux époques différen
guerriers, qui entendent les hennissements de son cheval. Après Odin
vient
son fils aîné Thor, le dieu de la force, le maîtr
r est le fléau des mauvais génies et le vengeur des dieux. Niord, qui
vient
ensuite, est le Neptune des Scandinaves, le dieu
tances ; il entend croître l’herbe des champs et la laine des brebis.
Viennent
ensuite Vidar, dieu du silence, qui doit tuer le
it armé d’une hache, et on l’honorait surtout par l’effusion du sang.
Venaient
ensuite quelques autres dieux, que l’on croit avo
s, traité 2. Principalement les Grecs et les Romains. 3. Idolâtrie
vient
aussi du grec : de eidôlon, idole ou image, et de
iné par une pomme de pin. 33. Volcan vient de l’italien volcano, qui
vient
lui-même du latin Vulcanus, en français Vulcain.
entrailles de la terre. Adès veut dire sombre et triste. Orcus paraît
venir
d’un mot latin qui signifie pousser, parce que ce
les faux dieux de la Phénicie et de l’Egypte : C’est de lui que nous
vient
cet art ingénieux De peindre la parole et de parl
talie qui fut appelée Grande-Grèce, à cause de ces mêmes colonies qui
vinrent
s’y établir après le siége de Troie. Teucer bâtit
ique consigné dans le Nouveau Testament. 75. C’est de Bouddha qu’est
venu
le Bouddhisme, l’une des quatre sectes qui partag
es. A quoi pense donc l’auteur, de vouloir rajeunir ces vieilleries ?
Vient
-il de l’autre monde ? A coup sûr il n’est pas de
nt de vos loisirs. Tout ce que notre siècle crée de noble et de grand
vient
d’elle ou porte son empreinte. Elle est immortell
pas sa stupeur ! Aux obscurités de la langue que d’autres obscurités
viendront
s’ajouter ! Quelles énigmes ! Quelle nuit profond
ville de Thèbes. Les pierres obéissaient à sa lyre, et d’elles-mêmes
venaient
se placer les unes sur les autres. — Le Lecteur :
une teinte de leurs mœurs ; si quelque allusion détournée à la fable
vient
obscurcir le sens d’un passage, le professeur exp
r le reste de ses jours. Et c’est à cette jeunesse studieuse que vous
venez
sérieusement proposer d’apprendre le nom des chev
nnent en gros le sens, et cela leur suffit. Qu’ont-elles besoin qu’on
vienne
leur expliquer de vieilles métaphores dont elles
dignes païens ! Et ce bonheur a duré trois siècles. Votre Révolution
vint
me tirer brusquement de ma douce quiétude. Je cru
s tristes débris du dernier naufrage de mon culte. Entrez, me dit-il,
venez
voir l’ombre d’une religion gardée par l’ombre d’
d’ivoire, jusqu’à Philopémen, qui fut le dernier des Grecs, tous sont
venus
s’y asseoir Orphée y est monté vivant, et Thésée
er dans le Styx, ce qui eût été un grand malheur ; car il n’aurait pu
venir
conter ce qu’il avait vu aux enfers, et nous n’au
ale ; J’entends le vieux nocher sur la rive infernale. Quand Fénelon
vint
demander le passage, Caron lui montra le poing et
r de ses épaules l’édifice céleste. Dans son voyage en Libye, Hercule
vint
en aide au géant et le soulagea quelque temps du
main. Ils voudraient pouvoir tousser et cracher en Romains. L’exemple
vient
d’en haut. Dernièrement, un de nos princes fait c
lon qui n’est guère sensible que quand les courants du nord et du sud
viennent
à se rencontrer. Il remonte et descend à peu près
étincelante, suspendue au plafond par un crin de cheval, s’abaisse et
vient
menacer la tête de l’heureux convive. Dès lors, i
, toujours menaçante, toujours prête à tomber, jusqu’à ce que la mort
vienne
enfin le trancher de ses mains secourables. On a
te île le reçurent avec transport et le défendirent contre Minos, qui
vint
le réclamer à la tête d’une grande flotte. L’autr
, qui mettent sa pénétration en défaut. Dieu vous bénisse. D’où
vient
cet usage de dire à quelqu’un qui éternue : Dieu
le siége de l’intelligence, est sacré, et sacré aussi tout ce qui en
vient
. Aristote (pour ne pas remonter plus haut) assur
tion : il est nommé général. Il fallait que Xénophon fût parfaitement
venu
du dieu Éternuement pour le trouver toujours à po
feu secret. Or, quand, par la volonté de Notre-Seigneur-Père, ce feu
vient
à prendre au démon, il le chasse du corps, et, l’
, si galant homme qu’il soit, qu’il a une étoile, parce qu’il ne peut
venir
à la pensée de personne que les étoiles sont fait
s Caudines ? Cette image est fort respectable sans doute, puisqu’elle
vient
des Romains, mais ceux qui la lisent la comprenne
and nous nous armons pour la défense de nos foyers (pro focis), il ne
vient
à l’esprit de personne de verser son sang pour la
n foyer sera la justice. » Géants, Pygmées. La fable des Géants
vient
d’une ancienne tradition qu’on retrouve au bercea
des pasteurs, des laboureurs, des fondateurs de villes. Ces nouveaux
venus
trouvent dans les sillons de vastes ossements, le
, tous ceux qui désiraient plaire au peuple le plus délicat du monde,
venaient
sacrifier. Mais peu étaient exaucés. Le peintre A
s yeux discrets comme une éblouissante vision. Quant aux profanes qui
viennent
, sans être conviés, se mêler à leurs mystères, el
aît ce quatrain de Boileau : Mais aujourd’hui qu’enfin la vieillesse
venue
, Sous mes faux cheveux blonds déjà toute chenue,
ubler les ombres dans leur repas mystérieux. Après la fête des morts,
venait
celle des vivants. On s’invitait entre parents, o
urs prêts, pour les motifs les plus frivoles, à déserter l’enfer et à
venir
troubler le repos des hommes. De là des terreurs
vivants en sursaut. Des oisifs réunis dans un salon les invitent, ils
viennent
sans trop se faire prier, entrent poliment, cause
e : Momus a pris pour adjoints Des rimeurs d’école. De Momus
vient
momerie, terme général dont se servaient nos père
urer. Nous n’avons guère jusqu’à présent que de beaux discoureurs. Il
viendra
quelqu’un qui rendra le poignard de Melpomène plu
anchant. Mais… je serai mort. » — Aujourd’hui que ce quelqu’un-là est
venu
, que dirait Voltaire de ce changement qu’il prédi
es meubles. Il est vrai qu’elles ne se montrent pas encore, mais cela
viendra
: il faut bien leur donner le temps de se familia
le était un fleuve de Phrygie qui roulait de l’or dans son lit. De là
vient
que l’on dit d’un prodigue que sa bourse est un P
C’est une nymphe en pleurs qui se plaint de Narcisse. [Boileau] D’où
viennent
les éruptions de l’Etna ? Des forges des Cyclopes
erveilles. Mais voilà qu’au milieu de ses métamorphoses l’appétit lui
vient
: il s’assied à une table opulente, il veut mange
ne pomme de discorde entre Rome et Carthage. » Un autre compilateur
viendra
ensuite qui dira : « La Sicile était une pomme de
n, Il se crut supérieur à Jupiter et voulut d’éprouver. Un jour qu’il
venait
d’immoler deux taureaux, il mit d’un côté les os,
ient dans la ville avec des torches allumées : celui dont le flambeau
venait
à s’éteindre se retirait de la lutte et cédait so
que Saturne était un père dénaturé qui mangeait ses enfants aussitôt
venus
au monde, et que Rhéa sa femme lui donna le chang
utrement, ce qui était auparavant, ce qu’ils sont eux-mêmes, d’où ils
viennent
et où ils retourneront. Et ne croyez pas qu’ils e
dans la masse, et chaque chose commença à entrer en sa place. Ensuite
vinrent
Ciel et Terre. De leur hymen naquirent Saturne et
plus ridicule qu’un poëte qui s’y débat, en attendant le dieu qui ne
vient
pas. Vulcain. Cyclopes. Vulcain, fils disgr
. Boileau se plaint en assez méchants vers d’un noir Vulcain qui lui
vient
rompre la tête avec un fer qu’il apprête . Vulcai
sa du ciel et s’empara de sa puissance. Déchu de sa grandeur, Saturne
vint
chercher un asile en Italie, où Janus, roi du pay
es dans les familles les plus distinguées de Rome ; si ce foyer sacré
venait
à s’éteindre, la ville se croyait menacée des plu
les éruptions de ce volcan et les tremblements de terre qu’il produit
venaient
des efforts désespérés du géant que la montagne r
oie, qui renaissait toujours ; ce supplice dura jusqu’à ce qu’Hercule
vînt
y mettre un terme et délivrât Prométhée. Les Dieu
in, Jupiter voulut connaître par lui-même toute l’étendue du mal : il
vint
en Arcadie, et alla demander l’hospitalité à Lyca
vinité de son hôte, lui servit à manger les membres d’un enfant qu’il
venait
d’égorger. Jupiter, justement irrité, saisit sa f
, la Lune 19 ou Phœbé au ciel, et Diane sur la terre. C’est de là que
viennent
les noms de triple Hécate, de Déesse à trois form
e femmes armés seulement de thyrses22, de cymbales et de tambours. Il
vint
ensuite en Égypte, où il apprit aux hommes à cult
n. Vulcain, fils de Jupiter et de Junon, était le Dieu du feu. Il
vint
au monde si laid et si difforme, que Jupiter, ne
u qui sont conduits par sa sœur Bellone. Questions. Comment Mars
vint
-il au monde, et quelles étaient ses attributions
e tenant une bourse à la main ; ils disaient qu’il était boiteux pour
venir
et qu’il avait des ailes pour s’enfuir, voulant e
main une marotte, symbole de la folie, et de l’autre un masque qu’il
vient
d’arracher. Questions. Qu’était-ce que Momus
x qu’il avait saisis, formèrent des sons doux et plaintifs ; et de là
vint
l’invention de la flûte rustique ou des pipeaux,
orsque Pâris traversait la mer, emmenant sur son navire Hélène, qu’il
venait
d’enlever, Nérée lui apparut au milieu des flots,
lement cherché et sur la terre et sur la mer la fille de Cérès, elles
vinrent
se fixer dans la mer de Sicile sur des écueils au
Aussi s’en prenait-on quelquefois à ces divinités des afflictions qui
venaient
frapper les familles, et on les punissait en les
ouleuvre et un poignard, Questions. Comment la Discorde est-elle
venue
habiter la terre ? — Par quel artifice troubla-t-
oëtes qu’Atlas43 supportait le ciel sur ses épaules. Un autre exploit
vint
mettre le comble à sa renommée. Cassiope, épouse
avait délivrée ; cependant Phinée, qui avait été fiancé à Andromède,
vint
avec ses compagnons troubler la fête du mariage e
nvolontairement la mort à son aïeul, qu’il ne connaissait pas, et qui
venait
à sa rencontre. Ainsi s’accomplit l’arrêt du dest
r Cerbère, et Thésée resta enchaîné à un rocher jusqu’à ce qu’Hercule
vînt
le délivrer. Thésée vit la fin de sa carrière aff
se livra-t-il encore à des entreprises dangereuses ? — Quels chagrins
vinrent
attrister la fin de sa carrière ? — Comment mouru
ason fut-elle connue, qu’une foule de jeunes princes et de capitaines
vint
se ranger sous ses ordres et partager les hasards
Jason et ses compagnons furent nommés les Argonautes, et ce nom leur
venait
du navire Argo, sur lequel ils s’embarquèrent au
ux les cadavres des deux enfants qu’elle avait eus de lui, et qu’elle
venait
d’égorger61. Elle se rendit à Athènes, où elle de
des sons si ravissants, que les pierres, sensibles à cette harmonie,
venaient
d’elles-mêmes se ranger à leur place64. Cadmus s’
sait depuis longtemps du pouvoir souverain, lorsqu’une peste terrible
vint
ravager la ville de Thèbes et ses environs. Après
é, alla demander du secours à son beau-père, Adraste, roi d’Argos, et
vint
assiéger Thèbes avec une armée commandée par sept
irconstance remarquable signala son arrivée à Thèbes ? — Quel malheur
vint
le frapper dans sa vieillesse ? — Quelle fut la f
avait mangée fut remplacée par une épaule d’ivoire. Devenu grand, il
vint
à la cour d’Œnomaüs, roi d’Élide et de Pise. Ce r
uverte. Elle ne tarda pas à se présenter. Pâris, fils de Priam, était
venu
en Grèce pour réclamer sa tante Hésione, enlevée
de Laerte et d’Anticlée. Au moment où commença la guerre de Troie, il
venait
d’épouser Pénélope, fille d’Icare. Désirant reste
ient appris à redouter, les soldats de Priam reculèrent ; mais Hector
vint
attaquer Patrocle, et le fit succomber sous ses c
ur lui et sur tout son peuple le courroux de la vindicative Junon. Il
vint
à Troie à l’occasion des jeux publics que l’on y
pendant Ménélas, et il allait succomber sous ses coups, lorsque Vénus
vint
l’arracher à son ennemi victorieux. Il blessa Dio
ent, sous peine de mort, de prononcer son nom, qui n’en est pas moins
venu
jusqu’à nous83. Le temple d’Apollon à Delphes éta
trailles des victimes ; les Augures, qui prédisaient les événements à
venir
d’après le vol des oiseaux. Les sacrifices que l’
Les Oracles étaient les réponses que les Dieux faisaient à ceux qui
venaient
les consulter. Il est à peine besoin d’ajouter qu
s prêtres, qui recevaient des présents considérables de tous ceux qui
venaient
interroger les Dieux. L’oracle de Dodone 86 est r
au milieu des sables du désert. Bientôt on la crut inspirée, et l’on
vint
en foule la consulter des pays les plus éloignés.
et qui se nommait Démophile, ou Hérophile, ou encore Amalthée ; elle
vint
proposer à Tarquin l’Ancien de lui vendre les rec
d’une foule de fables ridicules. Cérès était une reine de Sicile qui
vint
dans l’Attique enseigner à Triptolème les moyens
ont toujours eu le sentiment de l’immortalité de l’âme et d’une vie à
venir
, dans laquelle les méchants doivent trouver la pu
ie, il se rendit en Italie, où il fut tué par Énée. 74. Rhésus était
venu
au secours de Troie ; mais un traître nommé Dolon
ation des éléments et des grandes merveilles de la nature, l’homme en
vint
à se déifier lui-même. Un père, plongé dans une d
, Développant dans cette nuit profonde Les éléments pêle-mêle diffus,
Vint
débrouiller ce mélange confus, Et variant leurs f
ocence et de bonheur qu’on a appelé l’âge d’or. Après cet âge fortuné
vînt
l’âge d’argent, puis l’âge d’airain et l’âge de f
dans le Latium ? Comment les poëtes nommèrent-ils les autres âges qui
vinrent
après l’âge d’or ? 5. Quels dons fit Saturne à Ja
on célébrait à Rome ? 4. Comment s’appelaient ses prêtres ? D’où leur
venaient
ces noms ? Quels sacrifices offraient-ils ? Quels
mbé ainsi que Briaré aux cent bras, et Encelade, frappé de la foudre,
venait
d’être enseveli pour des siècles sous l’Etna, lor
ut don. 5. Jupiter voulut aussi faire à Pandore un présent. Il la fit
venir
, lui remit une boîte magnifique bien fermée, et l
a au fond. C’est ce que Rousseau a exprimé dans ces vers : D’où peut
venir
ce mélange adultère D’adversité dont l’influence
ait fils de Jupiter et de Latone, fille du Titan Cœus et de Phébé. Il
vint
au monde dans l’île de Délos. Sa mère s’y était c
n lui donne pour exprimer ce ministère le surnom de Phœbus. Ce surnom
vient
des deux mots phos et bios, qui signifient lumièr
ier, ayant entendu Epaphus contester la divinité de son origine, s’en
vint
un jour près de son père les yeux baignés de larm
des chevaux. Questionnaire. 1. De qui Apollon était-il fils ? Où
vint
-il au monde ? Quelle vengeance Junon exerça-t-ell
la nuit. C’est sans doute pour ce motif que la fable ajoute que Diane
vint
au monde en même temps qu’Apollon. Indépendamment
s les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux vous
venez
sur la terre Régner dans nos vastes forêts ;
l, et fut regardé comme le dieu des marchands. Son nom de Mercure lui
vient
même de mercatura qui signifie commerce. 5. Ces f
e était chacune de ces manières ? 6. Quels noms lui donnait-on ? D’où
venaient
ces noms ? Chapitre X. Minerve. 4. Nous av
t d’un violent mal de tête. Aussitôt après sa naissance, cette déesse
vint
au secours de son père et l’aida de ses conseils
s géants, il avait été fait prisonnier, et il avait fallu que Mercure
vint
à son aide pour lui rendre la liberté. Dans la gu
est alors que Jupiter lui adressa les violents reproches que le poëte
vient
d’exprimer. 3. Aussi les Grecs, qui ont inventé c
I. Vulcain. 1. Vulcain était fils de Jupiter et de Junon. Quand il
vint
au monde, son père le trouva si laid et si diffor
ire. 1. Qu’est-ce que Vulcain ? Comment le traita Jupiter quand il
vint
au monde ? Où fut-il exilé ? Que fit-il dans son
nt, dit-il, ces sœurs à la main sacrilége ? Que Pallas les défende et
vienne
en leur faveur Opposer son égide à ma juste fureu
ofonds gémissements en mémoire du deuil et du chagrin de Vénus ; puis
venaient
les joies, les danses dissolues et tumultueuses q
Neptune était, comme Jupiter, fils de Cybèle et de Saturne. Quand il
vint
au monde, sa mère le déroba à l’avide férocité de
. Ulysse, roi d’Ithaque, errant sur les mers après la ruine de Troie,
vint
à traverser la mer non loin de ces rochers triste
ent où ils se disposaient à piller le temple de Delphes. De là serait
venue
l’expression de terreur panique. D’autres préten
la préposa le premier à la vénération de ses compagnons. Son nom lui
vient
, d’après quelques étymologistes, de palea, paille
elles victimes lui offrait-on ? Comment était-il représenté ? 4. D’où
vient
l’expression de terreur panique ? 5. Qu’est-ce qu
ède. 1. Comus était le dieu des festins et de la joie. Son nom lui
vient
d’une chanson qu’on chantait dans les repas. Pour
qu’aux environs Jamais le chant des coqs ni le bruit des clairons Ne
viennent
au travail inviter la nature. Un ruisseau coule a
digne du séjour des immortels. Pour le transporter dans l’Olympe, il
vint
lui-même, sous la figure d’un aigle, s’abattre à
sa céleste demeure. Questionnaire. 1. Qu’était Comus ? D’où lui
venait
son nom ? Que faisaient les jeunes gens pour l’ho
Jupiter promène dans les nues. Là s’agite un peuple léger, là vont et
viennent
mille vaines rumeurs vraies ou fausses, des parol
mnos, où ils furent accueillis avec empressement par les Amazones qui
venaient
d’égorger leurs époux. Ils séjournèrent deux ans
expédition ? Quels sont les grands hommes qui en firent partie ? D’où
vint
à cette expédition le nom qu’elle porte ? 4. Qui
au. Elle envoya donc contre lui deux dragons énormes. Hercule les vit
venir
à lui en souriant, les saisit de ses bras robuste
e. Il reconnut dans Thésée son fils, et chassa Médée dont la perfidie
venait
d’être dévoilée. Thésée fut comblé de gloire et p
5. Minos, après avoir ainsi puni Dédale, apprit que son fils Androgée
venait
d’être tué par des Athéniens pour avoir remporté
entreprise. Ariane, la fille de Minos, fut touchée de son courage et
vint
à son secours. Elle lui donna le fil à l’aide duq
dévoré par Cerbère et Thésée fut retenu captif jusqu’à ce qu’Hercule
vînt
le délivrer. 8. Après sa délivrance, Thésée épous
rtueux Hippolyte alarmé repoussa vivement les coupables paroles qu’il
venait
d’entendre. Phèdre se vengea de ce dédain en calo
flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant
Vient
aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se rou
obatès se mit d’abord à célébrer des fêles en l’honneur de l’hôte qui
venait
le visiter. Il y avait déjà neuf jours que duraie
ellérophon était-il fils ? Quels surnoms lui a-t-on donnés ? D’où lui
vient
le nom de Bellérophon ? Quelles furent ses aventu
rs de Thèbes au son de sa lyre. Les pierres, sensibles à ses accords,
venaient
se placer d’elles-mêmes à l’endroit qu’il désirai
ture à Cadmus, comme l’a si bien dit Brébeuf : C’est de lui que nous
vient
cet art ingénieux De peindre la parole et de parl
de l’Attique à Colone, dans un bois consacré aux Euménides. De là il
vint
à Athènes, où Thésée le reçut avec une grande bon
it également périr Créon et son épouse. Les chefs argiens qui étaient
venus
mettre le siége devant Thèbes ne furent pas plus
vinrent ses fils Etéocle et Polynice ? Quels furent les guerriers qui
vinrent
au secours de Polynice ? Comment les frères ennem
ors roi. Pâris, fils de Priam, le successeur de ces princes outragés,
vint
en Grèce, à la cour de Ménélas, et usa de représa
remparts d’Ilion. 8. Après cette atroce vengeance, le fils de Thétis
vint
rendre les honneurs funèbres aux mânes de Patrocl
ne des scènes les plus déchirantes. On y vit entrer le roi Priam, qui
venait
redemander en pleurant les restes inanimés de son
lessa au talon d’une flèche empoisonnée qui lui donna la mort. Thétis
vint
avec une troupe de nymphes pleurer sur le corps d
attributs de Shiva ? Comment ce dieu est-il représenté ? 5. D’où est
venue
la métempsycose ? Quelles sont, d’après les Indie
le faîte de son palais. Isis, instruite de tout ce qui s’était passé,
vint
à Byblos, et s’assit éplorée au bord d’une fontai
blos, et s’assit éplorée au bord d’une fontaine où les femmes du pays
venaient
puiser de l’eau. Ceux qui la virent furent touché
t aux esprits qu’on attribuait la plupart des effets naturels. L’écho
venait
-il frapper les oreilles, c’était l’esprit de la m
rophétique10. » 4. Leurs prêtres portaient le nom de druides. Ce nom
venait
du mot celtique deru qui signifie chêne. Ils se d
’en exhalaient sans cesse, jusqu’à ce qu’un souffle de chaleur, étant
venu
du midi, fondit ces vapeurs, et en forma des gout
e, Développant dans cette nuit profonde Les élémens pêle-mêle diffus,
Vint
débrouiller ce mélange confus ; Et, variant leurs
u destin, Jupiter le chassa du ciel. Saturne, dépouillé de ses états,
vint
sur la terre. Il se réfugia dans un coin de l’Ita
tre les autres, et se heurtaient comme des béliers. Le nom de Curètes
vient
, dit-on, de l’île de Crète, où ils avaient élevé
tenir un feu perpétuel. On regardait comme un grand malheur si ce feu
venait
à s’éteindre, et on interrompait tous les exercic
fligea d’une faim qu’on ne pouvait apaiser. Métra, sa fille, désirant
venir
à son secours, pria les dieux de lui donner la ve
Apollon, la connaissance de la musique ; Mercure, l’éloquence : de là
vint
le nom de Pandore, qui signifie tout don. Cette e
s dans leurs désirs. Telle fut l’origine du siècle de fer. D’où peut
venir
ce mélange adultère D’adversités, dont l’influenc
es déserts de la Lybie, et, mourant de soif, s’adressa à Jupiter, qui
vint
à son secours sous la forme d’un bélier, qui, en
nt pas de longue durée. Au moment où l’homme commence, La vieillesse
vient
l’avertir Qu’il est déjà temps de finir ; Et bien
ù il s’était rendu, porta le nom du dieu qu’on y avait absous : de là
vient
le nom d’Aréopage ; areos et pagos, deux mots gre
n, signifie en français un coq. Encore aujourd’hui, le coq annonce la
venue
du soleil, comme s’il voulait avertir Mars de se
avait conduite. Diane, comme fille de Jupiter, naquit toute savante ;
venue
la première, elle ne fut pas plutôt née, qu’elle
it les murailles de Troyes. Neptune ayant conspiré contre Jupiter,
venait
aussi d’être banni du ciel. Apollon et lui s’étan
eut plusieurs enfans, entre autres, Memnon, roi d’Egypte, qui, étant
venu
au secours de Priam, fut tué par Achille, au siég
eux d’en rendre. La Pythie à Delphes ne donnait de réponse à ceux qui
venaient
la consulter, qu’au commencement du printemps ; d
ollon. Les Grecs, les étrangers, les particuliers et les princes même
venaient
à Delphes en personne, ou y envoyaient pour appre
rince s’en étant moqué, elle jeta dans le feu trois de ses livres, et
vint
lui présenter les six autres, lui en demandant la
es deux fils et les étouffent ; puis, saisissant Laocoon lui-même qui
venait
au secours de ses enfans, ils le font mourir dans
x du ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vous
venez
sur la terre Régner dans les vaste
it cette demande indiscrète. Le maître des dieux, pour la satisfaire,
vint
la voir avec le magnifique appareil de sa puissan
tna, où le cyclope Polyphème le fit son esclave, jusqu’à ce qu’Ulysse
vint
l’en tirer. Silène était alors accompagné de ses
licence et dissipe les soucis ; le nom de Bromius, Jacchus, Bacchus,
vient
du bruit et des cris que faisaient les Bacchantes
mmes qui avaient fait leur temps dans les Champs-Elysées. Cette fable
vient
sans doute de ce que le prince qu’on honore sous
sa conduite. Si Junon garde son appartement, le maître des dieux, qui
vient
d’entamer une intrigue, l’envoie porter ses lettr
e : « Songez qu’il est cruel d’oser sacrifier « Un jeune cœur qui
vient
nous confier « Son espoir, son bonheur, ou sa pei
autels. Suada ou Pitho est souvent regardée comme sa compagne. Pitho
vient
d’un mot grec qui signifie persuader. Vénus avait
lier s’en étant déféré, se jeta sur Adonis et le mit en pièces. Vénus
vint
trop tard au secours de son favori, il venait de
orable, lorsque deux de ses sujets devinant la cause de ses chagrins,
vinrent
secrètement lui offrir leurs services sans intérê
nt de ce que les poètes ont donné ce nom aux princes inconnus, ou qui
venaient
par mer s’établir dans quelque nouvelle contrée ;
d’or et d’argent ; en se jouant, ils soulevaient les eaux… Après eux
venaient
des tritons qui sonnaient de la trompette avec le
ie ; voici son histoire. Scylla. — Nisus Minos, roi de Crète,
vint
mettre le siége devant Mégare pour venger la mort
vent du nord ou septentrion ; Auster est celui du midi au sud ; Eurus
vient
du levant ou orient ; Zéphyr, le plus agréable et
Phinée et toute la Thrace. Ces deux frères avaient des ailes qui leur
vinrent
en même temps que les cheveux. Ils furent tués pa
parce qu’ils s’étaient opposés à ce que le vaisseau retournât d’où il
venait
, pour reprendre Hercule, occupé à chercher le jeu
mme étant renfermées dans le sein de la terre. Le nom d’Urgus lui est
venu
du latin urgere, parce qu’il pousse à la mort. Ce
au lieu de poil, ne s’opposait point au passage des âmes lorsqu’elles
venaient
dans le noir séjour : mais il mettait à leur sort
i avaient bien vécu sur la terre. Les frimas, les pluies, la neige ne
venaient
point attrister les habitans de ce beau séjour. O
rès un temps marqué, les unes et les autres quittaient ces lieux pour
venir
habiter de nouveaux corps ; et afin de perdre le
t se permettre le doute. Il est présumable que le mot terreur panique
vient
des forêts épaisses et sombres, qu’on dit être la
paille, qui sert de litière aux bestiaux. Quelques étymologistes font
venir
son nom de Palea, paille. Il est certain qu’on cé
à cultiver les jardins et les arbres, surtout les pommiers, d’où lui
vient
son nom. Ce poète ajoute qu’elle vivait du temps
e ce mot Pénates, puisque leur nom, leur culte et leurs mystères nous
viennent
des Samothraces et des Phrygiens. Ils s’appelaien
cœurs faux, dangereux, Soyez de fer, d’acier pour eux. Mais qu’un sot
vienne
à m’apparaître Exaucez ma prière, ô dieux ! Ferme
ets, les prières, la plainte, Et notre encens détrempé de nos pleurs,
Viennent
, hélas ! comme autant de vapeurs, Se dissiper aut
bole de la paix. Les demi-dieux ou héros Persée On fait
venir
le mot de héros du nom de Junon, qui, en grec, s’
nsuite, il épousa la princesse. Phinée, à qui elle avait été promise,
vint
au palais avec des troupes pour tuer son rival. P
t le premier commanderait à l’autre ; Junon fit en sorte qu’Eurysthée
vînt
au monde avant Hercule ; celui-ci fut par là dans
e de Lemnos : mais sa présence étant devenue nécessaire aux Grecs, il
vint
au siége de Troyes, où Machao, célèbre médecin, g
n de fil qui lui aida à retrouver son chemin ; il tua le Minotaure et
vint
retrouver ses compagnons. Dans l’excès de sa reco
, Orphée, Lyncée et plusieurs autres grands capitaines de la Grèce, à
venir
partager le péril et la gloire de cette expéditio
e faire succéder à son père, elle voulut empoisonner Thésée lorsqu’il
vint
à Athènes, mais son projet criminel étant découve
, et donna le signal aux Grecs. Ceux-ci, faisant voile à petit bruit,
vinrent
fondre sur la ville et la réduisirent en cendres.
et du but que nous avons tâché d’atteindre dans ce petit traité, qui
vient
après tant d’autres. Il nous a semblé qu’en cherc
artare ; mais Tellus, qui aimait ses enfants malgré leur laideur, fit
venir
Saturne, et, après l’avoir excité à la révolte, l
entit ; et, fidèle, à sa parole, il dévorait ses fils aussitôt qu’ils
venaient
au monde. Cependant sa femme Rhéa fille d’Uranus
chèrent sous la forme de différents animaux et même de plantes. De là
vint
le culte que les Égyptiens rendaient aux animaux
Jupiter et de Junon, était le dieu du feu et des forgerons. Lorsqu’il
vint
au monde, Jupiter le trouva si laid, qu’il le pré
, parée comme pour un jour de noces. Zéphyre, par l’ordre de l’Amour,
vint
l’en arracher pendant qu’elle dormait, et la tran
profonde léthargie ; mais l’Amour, qui n’avait pas cessé de l’aimer,
vint
l’arracher à ce sommeil de mort, et l’emporta au
es ; mais, plus tard, Jupiter lui creva les yeux, et les richesses de
vinrent
indifféremment le partage des bons et des méchant
mme il délibérait s’il retournerait sur ses pas, le centaure Nessus33
vint
s’offrir pour passer Déjanire sur son dos. Mais à
, il fut retenu prisonnier dans les Enfers jusqu’au moment où Hercule
vint
le délivrer. À son retour il eut le malheur de pe
on [Fig. 97]. Par hasard, Phorbas, berger de Polybe, roi de Corinthe,
vint
en ce lieu, et, attiré par les cris de l’enfant,
t, à la tête d’une armée formidable, les principaux chefs de la Grèce
vinrent
mettre le siège devant Troie. [Fig. 102] Les p
de la caverne ; mais Polyphème les aperçoit à la clarté du feu qu’il
vient
d’allumer, et en empoigne deux qu’il dévore. Le l
la magicienne avait apprivoisés, et qui, au lieu de se jeter sur eux,
viennent
en rampant les caresser. Circé les accueille avec
rains d’ambre. Cycnus, roi de Ligurie, parent de Phaéton et son ami,
vint
aussi pleurer sur les bords du fleuve. Il déplora
Il était en guerre avec les Thébains, et Térée, roi de Thrace, étant
venu
à son secours, le délivra de ses ennemis. Pandion
de son propre fils Itys dans un festin. Progné invite donc son mari à
venir
seul au repas qu’elle avait préparé, et lui allèg
lle ans que l’on ne vous a vue : Je ne me souviens pas que vous soyez
venue
Depuis le temps de Thrace habiter parmi nous.
que rustique ? Les déserts sont-ils faits pour des talents si beaux ?
Venez
faire aux cités éclater leurs merveilles.
s’avisa de le suivre secrètement. Un jour, épuisé de fatigue, Céphale
vint
se reposer non loin d’un buisson où elle s’était
tres45. Nisus et Scylla. Nisus régnait à Mégare, lorsque Minos
vint
assiéger cette ville. Le sort de Nisus et des Még
champêtre de Pan à la lyre d’Apollon. Apollon, pour le punir, lui fit
venir
des oreilles d’âne. Midas prenait grand soin de c
ndait, dit la légende, un son harmonieux lorsque les rayons du soleil
venaient
à la frapper. On représentait l’Aurore assise sur
lle d’Orchame, roi d’Assyrie, et d’Eurynome, fut aimée du Soleil, qui
venait
la visiter sous la forme d’une colombe. Clytie, s
l’instant le bord, et je vois paraître Alphée, le dieu du fleuve. Il
vient
à moi, et je fuis comme la colombe devant l’éperv
poursuivre ; et, Diane m’ayant ouvert un passage sous terre, je suis
venue
me réfugier dans cette contrée, et je n’y ai revu
dé par une prêtresse dont le nom, en grec, signifiait colombe : de là
vint
la fable que les colombes et les chênes de la for
t six mois dans le sein de la terre. 20. Aphrodite, surnom de Vénus,
vient
d’un mot grec aphros, qui veut dire écume. Le cul
ier ou une cuirasse couverte de la peau de la chèvre Amalthée. Ce nom
vient
d’un mot grec qui signifie chèvre. 23. Endymion
Fable, qui embellit tout, en a fait un chasseur aimé de la lune, qui
venait
le visiter pendant son sommeil. 24. Les six autr
on imagina la métamorphose de fourmis en hommes. 44. Aura, veni :
Viens
, aura. En latin, aura veut dire brise, haleine du
bat homicide Le devoir engage ses jours, Pallas, volant à son secours
Vient
le couvrir de son Egide : S’il se voue au maintie
, Développant dans cette nuit profonde, Les élémens pêle-mêle diffus,
Vint
débrouiller leur mélange confus, Et variant leurs
ets, les prières, la plainte, Et notre encens détrempé de nos pleurs,
Viennent
, hélas ! comme autant de vapeurs, Se dissiper aut
n exprimée. Jupiter parle ainsi aux autres dieux : Suivez-moi donc :
venez
, troupe choisie, Goûter en paix la céleste ambroi
ut ce que l’on peut dire et savoir de mieux sur ce sujet : D’où peut
venir
ce mélange adultère D’adversités, dont l’influenc
encore de le voir de ce sublime étage, Dans celui des hommes
venir
, ……………………………………………… ………………………………………………. Si, dans
, montagne célèbre, placée entre la Thessalie et la Macédoine ; de-là
vient
que les poëtes appellent le Ciel, l’Olympe, quand
r à tous, Que ces dieux si puissans ne sont rien près de nous. Qu’ils
viennent
à mes dons comparer leurs largesses ? Je veux lui
souffle divin m’enflâme ? D’où naît cette soudaine horreur ? Un dieu
vient
échauffer mon ame D’une prophétique fureur. Loin
Muses. On l’appelle encore le sacré Vallon, et on dit que les poëtes
viennent
y rêver, s’y promener, y implorer les secours don
opre à la douleur : Melpomène, les yeux en larmes, Des cris touchans
vient
me frapper. Quel art me fait trouver des charmes
ux bergers que sa voix enchante, Des biens tranquilles qu’elle chante
Viennent
étudier le prix ; Et tous deux osent après elle,
le registre des âges, Consacrant les nobles images Que la gloire lui
vient
offrir, Sans cesse en cet auguste livre Notre sou
les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vous
venez
sur la terre Régner dans les vastes forêt
enter ma terreur : Reine, malgré Diane et toute sa puissance, Nous te
venons
d’un fils annoncer la naissance ; Eteins, et de n
u’il mérita d’être mis au nombre des sept merveilles du monde : de-là
vient
le nom de mausolées que l’on donne aux monumens é
passer pour l’épouse de Jupiter ; Exigez qu’aux Thébains lui-même il
vienne
apprendre Un choix pour vous
ujours la victoire Rangea les peuples sous ma loi, Je
viens
prendre part à la gloire D’un vainqueur a
ui fait la science du négociant ; son nom seul semble l’indiquer : il
vient
du mot latin mercatura, qui signifie le commerce.
s, et faisoit infailliblement aimer la personne qui le portoit. Junon
vint
un -jour consulter Vénus sur les moyens qu’elle p
rées Où Céphise roule ses Eaux, Que mon hommage vous attire ; Graces,
venez
toucher ma lyre, Et tirez-en des sons nouveaux.
ourquoi, trop peu sensible aux misères humaines, Mercure, malgré moi,
vint
-il t’en délivrer ? Rousseau. Pendant le siège d
er le retour du printems : Dans les champs que l’hiver désole, Flore
vient
rétablir sa cour ; L’Alcyon fuit devant Eole, Eol
barque où l’on n’entroit point sans payer : Vous qui voulez passer,
venez
, Mânes errans. Venez, avancez, tristes Om
nt sans payer : Vous qui voulez passer, venez, Mânes errans.
Venez
, avancez, tristes Ombres ; Payez le tribu
prends, Ou retournez errer sur ces rivages sombres. Quinault, De-là
vient
que les Grecs et les Romains mettoient une obole
lioient le passé : O vous que le sort livre à des maux déplorables !
Venez
chercher ici la fin de vos malheurs : Ave
x enfers Quelque puissance aux mortels plus fatale, Que tardez-vous ?
venez
, troupe infernale, Puisque le Ciel a remis en vos
Par mes soins, les champs de Cybèle, De fruits et de moissons
viennent
d’être couverts : De mes dons précieux la richess
une branche d’olivier. Elle se réfugie dans le Ciel, quand la guerre
vient
la chasser de la terre : Aimable Paix, vierge sa
a terre : Aimable Paix, vierge sacrée, Descends de la voûte azurée :
Viens
voir tes temples relevés, Et ramène au sein de no
le sort de Prométhée. La Discorde, chassée du ciel par Jupiter, est
venue
exciter encore plus de troubles parmi les hommes,
jetta l’épouvante dans cette armée, qui fut taillée en pièces : de-là
vient
l’expression de Terreur Panique, pour signifier u
hés. Tandis qu’Amphitrion étoit occupé à la guerre de Thèbes, Jupiter
vint
tromper Alcmène, sous la forme de son mari, à laq
cipita dans l’abîme. Ce fut dans ces tristes circonstances qu’Hercule
vint
voir Admète. Touché de la douleur de son ami, et
ré par Cerbère ; et Thésée resta aux enfers, jusqu’au tems où Hercule
vint
le délivrer. Ils firent ensemble la guerre aux Am
fille, Qui peut-être rougis du trouble où tu me vois, Soleil ! je te
viens
voir pour la dernière fois. Racine. Le remords
lanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant,
Vient
aux pieds des chevaux tomber en mugissant. A trav
le demande, et l’obtient : Mais chacune a son but. Cependant la nuit
vient
. Médée, après le coup d’une si belle amorce, Prép
à la mémoire de ce poëte, qui est l’inventeur de la poésie lyrique :
Viens
servir l’ardeur qui m’inspire, Déesse, prête-moi
Et, pour moi, je sens bien que je le hais toujours. Racine. Ils en
vinrent
enfin à un combat singulier, qu’ils désiroient de
qui lui refusoit le passage dans ses Etats. Les Grecs l’engagèrent à
venir
avec eux au siège de Troie : ils comptoient beauc
par des bergers. Pâris, qui ne connoissoit point encore sa naissance,
vint
disputer un prix que Priam avoit proposé à la jeu
otte. Priam demanda une trêve de quelques jours, pendant laquelle il
vint
avec une partie de sa famille, et de riches prése
ur d’Hélène. Th. Corneille. Pyrrhus, fils d’Achille et de Déïdamie,
vint
, avec un renfort de troupes, se joindre aux Grecs
éfugié : L’indigne mort d’un père excitant mon courroux, Je pars, je
viens
à Troie : elle cède à mes coups. Alors, il t’en s
x mille hommes avant la prise de leur ville. La flotte des vainqueurs
vint
donner contre le promontoire Capharée, voisin de
lle épaisse nuit tout â-coup m’environne ? De quel côté sortir ? d’où
vient
que je frissonne ! Quelle horreur me saisit ? Gra
iflent sur vos têtes ? A qui destinez-vous l’appareil qui vous suit ?
Venez
-vous m’enlever dans l’éternelle nuit ? Venez ; à
appareil qui vous suit ? Venez-vous m’enlever dans l’éternelle nuit ?
Venez
; à vos fureurs Oreste s’abandonne. Racine. Ore
le défaisoit la nuit ce qu’elle en avoit fait pendant le jour : de-là
vient
que, pour désigner un ouvrage fort long à finir,
de vérité, les faux dieux attestent le Dieu véritable, et ils ne sont
venus
que pour remplir le vide qu’avait fait dans les â
nous décrirons le séjour qu’ils occupent. Après les dieux de l’Olympe
viendront
ceux de la terre, et, plus tard, les divinités de
, dans une contrée où règnent l’abondance et le bonheur. L’âge de fer
vint
ensuite ; il succéda aux siècles héroïques, et n’
raconte de lui beaucoup de voyages et de métamorphoses dont le récit
viendra
plus tard. Dans un de ces voyages, entrepris pour
me de vers, et les livraient ainsi à la curiosité de ceux qui étaient
venus
consulter la prêtresse. Ces tourments de l’inspir
jeune fils le soin de servir aux dieux le nectar et l’ambroisie. Hébé
venait
d’être disgraciée, et Ganymède était encore sur l
t-elle fille ? — Quel est son cortége ? — Quel fut son époux ? — D’où
venait
son pouvoir ? — Que fit la Discorde pendant les n
nt, dit-il, ces sœurs à la main sacrilége ? Que Pallas les défende et
vienne
en leur faveur Opposer son égide à ma juste fureu
ée à un rocher, attendait la mort, lorsque le vaisseau des Argonautes
vint
à passer. Hercule se fit fort de la délivrer si L
hangeait souvent de forme, pour échapper aux importunités de ceux qui
venaient
le consulter. Ses filles, remarquables par la grâ
yait par diverses métamorphoses d’échapper aux poursuites de ceux qui
venaient
le consulter. On trouve un exemple mémorable de c
lques poëtes, mère des Vents, sort du sein des flots pour annoncer la
venue
du Soleil. Elle eut pour époux Tithon, chasseur r
st Tantale, roi lydien jadis puissant sur la terre. Les dieux étaient
venus
s’asseoir à sa table ; pour tenter leur divinité,
qu’aux environs Jamais le chant des coqs ni le bruit des clairons Ne
viennent
au travail inviter la nature. Un ruisseau coule a
s hommes, et avait ordonné qu’elle fût exposée sur un rocher. Zéphyre
vint
l’en arracher et la transporta dans un palais dél
t alors dans une funeste léthargie mais l’Amour, la prenant en pitié,
vint
la réveiller, l’emporta au ciel, où Jupiter, malg
les spectateurs ; ce vieillard, c’était Acrisius lui-même, qui était
venu
chercher un asile à la cour du roi de Larisse, en
ls du même nom, dont nous parlerons plus tard. Après ces exploits, il
vint
à Athènes pour s’y faire reconnaître. Comme il av
Lemnos, où ils furent accueillis avec empressement par les femmes qui
venaient
d’égorger tous les hommes, et se trouvaient maîtr
assauts vainement tentés, les frères ennemis, Étéocle et Polynice, en
vinrent
à un combat singulier, où tous deux périrent. On
édit la ruine de Thèbes, et l’événement justifia sa prédiction. On en
vint
bientôt aux mains ; les Thébains, ayant perdu la
si. Hélène et Ménélas vivaient heureux, lorsque Pâris, fils de Priam,
vint
à leur cour. Ce jeune favori de Vénus, à laquelle
Achille et Agamemnon se divisèrent. Chrysès, prêtre d’Apollon, était
venu
réclamer sa fille Chryséis, esclave d’Agamemnon.
ssentiment de l’amitié ; il jura de venger Patrocle. Thétis, sa mère,
vint
le consoler, et lui apporta de nouvelles armes, o
e feignit de se retirer. Les Troyens sortirent de leurs murailles, et
vinrent
contempler la machine que les Grecs avaient élevé
l’Inde ; enfin, pendant le siècle noir, siècle de fer des Indous, il
vint
, sous le nom de Kalidaça, donner à l’Inde les poë
s que la terre était menacée d’une catastrophe, il ne manquait pas de
venir
à son secours. Un géant, Rakchaça Haïagriva (tâch
e. Vichnou lui laissa la souveraineté du sombre royaume.16 » Vichnou
vint
régner ensuite sur la terre, dans la personne de
êlent sous les auspices du bon et du mauvais principe ; mais un temps
viendra
où la défaite d’Ahriman sera consommée par son ad
pour sœur et pour femme Isis. Ce couple céleste parut sur la terre et
vint
régner en Égypte. Ils commencèrent par établir de
ens, et qu’ils remplaçaient immédiatement toutes les fois que la mort
venait
leur enlever cet objet de leur culte. Les Égyptie
nris. Les dieux sont parvenus à enchaîner ces monstres ; mais un jour
viendra
où l’ébranlement du monde leur rendra un moment l
Développant, dans cette nuit profonde, Les élémens pêle-mêle diffus,
Vint
débrouiller ce mélange confus, Et variant leurs f
r de le voir de ce sublime étage, Dans celui des hommes
venir
, Si, dans les changemens où son humeur l’engage,
. Jupiter, sous prétexte de faire aussi son présent à Pandore, la fit
venir
et lui donna une boëte, avec ordre de la porter à
ce resta au fond. Voici ce qu’en du premier dit Rousseau : D’où peut
venir
ce mélange adultère D’adversités dont l’influence
r à tous, Que ces Dieux si puissans ne sont rien près de nous. Qu’ils
viennent
à mes dons comparer leurs largesses ; Je veux leu
musique et des arts, et en général de tous les ouvrages d’esprit. Il
vint
au monde et fut élevé dans l’île de Délos. Cette
les eaux tous les soirs, où est Thétis son épouse, et que les Heures
viennent
tous les matins atteler ses chevaux, afin de reco
les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vous
venez
sur la terre Régner dans les vastes forêt
t Bacchus ? R. Bacchus étoit fils de Jupiter et de Sémélé. D. Comment
vint
-il au monde ? R. Les Poëtes le font naître de la
éclarée de ses rivales, prit la figure de Béroé, nourrice de Sémélé ;
vint
trouver celle-ci, lui conseilla de demander à Jup
n Poëte fait parler ainsi Junon : Exigez qu’aux Thébains lui-même il
vienne
apprendre Un choix pour v
qui fait la science du négociant. Son nom seul semble l’indiquer ; il
vient
du mot latin Mercatura, qui signifie Commerce. Il
de passer les Ames dans une barque pour une pièce de monnoie : de-là
vient
que les Grecs et les Romains mettoient une obole
. Par mes soins, les champs de Cybèle De fruits et de moissons
viennent
d’être couverts ; De mes dons précieux la richess
an jeta l’épouvante dans cette armée qui fut taillée en pièces. De là
vient
l’expression de terreur panique, pour signifier u
hitrion, époux d’Alcmène, étoit occupé à la guerre de Thèbes, Jupiter
vint
trouver Alcmène, sous la forme de son mari, à laq
ré par Cerbère ; et Thésée resta aux Enfers jusqu’au temps où Hercule
vint
le délivrer. Ils firent ensemble la guerre aux Am
lanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant,
Vient
aux pieds des chevaux tomber en mugissant. ………………
Ont conquis la Toison. (Voltaire.) D. Par les secours de qui Jason
vint
-il à bout de son entreprise ? R. Cette fameuse ex
noît ces beaux vers de Brébeuf sur ce Prince : C’est de lui que nous
vient
cet art ingénieux De peindre la parole et de parl
peuple est la proie d’une affreuse famine, et une horrible contagion
vint
mettre le comble à ses maux. On consulte l’Oracle
escroque, Et cependant Bertrand les croque : Une servante
vient
, adieu mes gens : Raton N’étoit pas co
redemandoit sa coignée qu’il avoit perdue : Mercure, pour l’éprouver,
vint
lui en montrer une d’or, puis une d’argent. Le Bû
x dans les pompes funèbres. D. Quelle est l’origine de ce nom ? R. Il
vient
du mot Mausole, roi de Carie. Artémise, son épous
, ce qui fait en tout 100. Ces portes étoient d’airain massif ; de là
vient
que Dieu, permettant à Cyrus la conquête de Babyl
nnemis. Le roi des dieux s’ennuyait quelquefois à la cour céleste, et
venait
rendre hommage à la beauté des jeunes mortelles.
dans la Grèce les arts qui y étaient inconnus. C’est de lui que nous
vient
cet art ingénieux De peindre la parole et de parl
s’avancer dans le bosquet : c’était Junon, Minerve, et Vénus. « Nous
venons
vers toi, jeune berger, dit Junon, pour terminer
Vénus étaient fort nombreux à Rome. Dans l’un d’eux les jeunes filles
venaient
déposer aux pieds de la déesse leurs poupées, lor
dieux ; j’étais reine ; j’étais aimée. O trop chers souvenirs ! Mort,
viens
finir mes tourments… » Ce fut alors que la cruell
on Avec ces yeux perçants devant qui l’avenir, Le passé, le présent,
viennent
se réunir, Du haut de sa victoire, il regarde sa
à la poursuite de ce dieu : « O Pénée ! ô mon père ! s’écrie-t-elle,
viens
me sauver de la témérité d’un amant. » Elle ache
as content de ton partage ? « Et cet audacieux, superbe de son art, «
Vient
-il me déclarer la guerre de ta part ?… « Ah ! si
aux du roi Admète : il jouait de la flûte, et tous les autres bergers
venaient
à l’ombre des ormeaux, sur le bord d’une claire f
s d’ardeur que Diane : un jour ce jeune prince, fatigué de sa course,
venait
d’inviter ses compagnons au repos, et cherchait u
lots toujours frais, Diane aime à baigner ses modestes attraits. Elle
vient
sous la grotte : une nymphe empressée A déjà déta
e lune annonçaient le moment où cette déesse abandonnait le ciel pour
venir
sur le mont Lathmos auprès du beau chasseur. Quel
epose la vue et l’ame recueillie. Reine des nuits, l’amant devant toi
vient
rêver, Le sage réfléchir, le savant observer. Il
; mais, vers la fin du repas, Phinée, oncle de la jeune épouse, étant
venu
tenter de l’enlever, et de vaincre Persée, celui-
icile à peine de retour, Elle visite encor tous les lieux d’alentour,
Vient
aux bords de Cyane, et ne peut de sa bouche Appre
ordre de Jupiter, fut enchaîné sur le mont Caucase en Asie : un aigle
venait
sans cesse dévorer ses entrailles toujours renais
mère fut vaincue par Bellérophon, monté sur le cheval Pégase, et elle
vint
grossir le nombre des monstres infernaux. Dans le
se jouant, ils soulevaient les flots avec beaucoup d’écume. Après eux
venaient
des Tritons qui sonnaient de la trompette avec le
réides : il ne se lassait point de chanter ses peines amoureuses : «
Viens
, ô viens, Galatée, et sors du sein des mers ; « P
il ne se lassait point de chanter ses peines amoureuses : « Viens, ô
viens
, Galatée, et sors du sein des mers ; « Parais, je
is une ombre vaine, Ce qui n’est point, ce qui n’est rien de soi, Qui
vient
, s’éloigne, et revient avec toi. Ouvre les yeux.
tant de morts, combattit Achille, qui eût succombé, si Vulcain ne fut
venu
à son secours. Lisons ce combat dans l’Iliade :
nt entreprendrais-je de combattre contre vous ? sur-tout lorsque vous
venez
avec ces flammes dévorantes qui vous environnent
quel secret pouvoir Es-tu fraîche le jour, et brûlante le soir ? D’où
vient
que dans la nuit, au déclin de Diane, La résine s
d’Athamane ? Un fleuve de la Thrace en pierre peut changer Quiconque
vient
y boire, et même s’y plonger. Dans l’eau du Sybar
ins, les Oréades, les Nappées, les Dryades, conduits par le dieu Pan,
venaient
célébrer leurs fêtes joyeuses. Écho s’éveillait s
roit que le nom de vestibule, donné à la pièce d’entrée d’une maison,
vient
du culte que l’on y rendait à Vesta. Lorsqu’on pé
tait en rapport avec les plus puissantes divinités de l’Olympe. De là
vint
la Chiromanchie, ou l’art de connaître les destin
le lâche Phinée qui avoit abandonné la Princesse dans son infortune,
vient
avec une troupe de gens armés dans l’intention d’
ce Prince. Comme Pluton étoit aussi surnommé Adès ou Aidonnée, de là
vint
la fable de la descente de Thésée et de Pyrithoüs
ion des Rois fabuleux d’Athènes, et la généalogie de Thésée : Cécrops
vint
d’Égypte dans la Grèce sous le règne de Triopas,
avec fermeté, lorsqu’Alceste, instruite du danger où il se trouvoit,
vint
elle-même se remettre volontairement entre les ma
t. Alors ils déposèrent la statue sur le rivage et partirent : Admète
vint
reprendre la statue qu’elle trouva liée avec des
ses sacrifices, la Déesse, pour s’en venger, suscita un sanglier qui
vint
ravager les terres de Calydon. Les Princes de la
seau, lorsque le savant Chiron, tenant Achille enfant entre ses bras,
vint
prendre congé de Jason ; et après l’avoir embrass
orieux à son vaisseau. Médée, emportant tous les trésors de son père,
vint
secrètement le rejoindre au commencement de la nu
écouter ; en même temps deux grands serpens, qui sortirent de la mer,
vinrent
attaquer ses enfans au pied de l’autel, il courut
et l’épousa sans savoir qu’elle étoit sa nièce. Par la suite, Egisthe
vint
à cette cour, la Reine Pélopée le reconnut et lui
le ? Il est prêt à trouver innocente la meurtrière de son père, qu’il
vient
d’immoler. Il y a dans ce mouvement inspiré par l
gers sur l’autel de Diane. Oreste fut saisi et condamné, alors Pylade
vint
offrir sa vie pour sauver celle de son ami, Orest
jax fils de Télamon ; ils se bâtirent pendant un jour entier, la nuit
vint
, les Héraults les séparèrent ; mais les deux adve
ule que honteuse, cependant à la fin il accepte la proposition ; Ajax
vient
, et comme il a les yeux fascinés par la Déesse, i
etite fille de Cadmus, Ino, admise au nombre des divinités de la mer,
vient
à son secours, elle lui donne une écharpe divine
d’une robe éclatante que sa main embellissoit de tableaux lorsqu’on
vint
lui annoncer la mort d‘Hector, la Reine Areté, fe
l’Imagination : Quel éclair perce la nue, Quelle est la Divinité Qui
vient
offrir à ma vue Tant de graces et de beauté ? Qui
bsurdes traditions ou sur des opinions dont la connoissance n’est pas
venue
jusqu’à nous. Il est évident aussi que la plupart
la prise de Troie. Lorsque dans les Perses (d’ Eschyle), un courrier
vient
annoncer la défaite des Perses, Atossa, mère de X
nous trouvons si sublime, n’est communément que dans l’expression, ne
vient
point de l’ame, et ne fut produite que par des us
puissance vengeresse les retint cloués à cette place fatale. Hercule
vint
les délivrer, il emmena facilement Thésée, mais i
tue resteroit à Troie. Les Grecs, sous la conduite d’Agamemnon, étant
venus
assiéger Troie, Ulysse et Diomède passèrent par d
il lui accorderoit ce qu’elle vouloit lui demander, elle exigea qu’il
vînt
la voir dans toute sa gloire. L’éclat du Dieu emb
de Vesta, mais encore à la porte de chaque maison particulière, d’où
vient
le nom de vestibule. Numa Pompilius, qui institua
t chez elle, par des jeunes gens qui ignoroient qui elle étoit. De là
vint
la coutume de faire marcher devant elles un licte
ur genre de mort. Le jour terrible de l’exécution d’une vestale étant
venu
, toutes les affaires, tant publiques que particul
consacrée. Voici les principaux surnoms de Vénus : Aphrodite (mot qui
vient
du grec et qui signifie écume) et Anadiomène (sor
t au milieu des airs avec deux fortes enclumes aux pieds, que Vulcain
vint
délivrer sa mère, que Jupiter le précipita dans l
Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, et Messager des Dieux. Ce nom
vient
, dit-on, de marchands ou marchandises. Les Grecs
avoir fait les fonctions de prêtresse dans le temple de Diane ; delà
vint
qu’elles assistoient toutes aux brauronies. Diane
, témoin de ce combat musical, récusa ce jugement, et Apollon lui fit
venir
des oreilles d’âne. Le satyre Marsyas osa aussi d
in. Voici l’histoire de ce Memnon, roi d’Ethiopie : Priam l’engagea à
venir
à son secours dans la ville de Troie, assiégée pa
il leur étoit consacré ; c’est peut-être de cette consécration qu’est
venue
l’idée que l’ail préserve du mauvais air. On couv
a lo stridor si sente, « Percosso intorno dall’orribil penne : « Ecco
venir
le Arpie brutte e nefande, « Tratte dal cielo a o
ntre, e lunga coda « Come di serpe che s’aggira e snoda. « Si sentono
venir
per l’aria e quasi « Si veggon tutte a un tempo i
esissimi e spaventevoli incendii ; ed anche il fulmine (che credevasi
venir
dal Cielo e dalla mano stessa di Giove) comunica
ne regioni30. Il fiume Acheloo fu battagliero quanto Rodomonte, e osò
venir
tre volte a singolar tenzone con Ercole per otten
arino ; « Cotal m’apparve, s’io ancor lo veggia, « Un lume per lo mar
venir
sì ratto, Che’l muover suo nessun volar pareggia.
le accezioni del verbo avvenirsi pongono anche quella che significa «
venir
bene adatto per convenienza di eleganza, piacevol
nissimo e verissimo. 133. Dante invocando Apollo così gli dice : «
Venir
vedra’ mi al tuo diletto legno, « E coronarmi all
e dalla quale esalavano vapori inebrianti da allucinar la vista e far
venir
le traveggole, ovvero mofetici da mozzare il fiat
do, « Che da cacciar ritorni il signor nostro, « Vedemo l’ Orco a noi
venir
correndo « Lungo il lito del mar, terribil mostro
quale è di ciascuno il genio e ’l fallo, « Tale è il castigo. Indi a
venir
n’è dato « Negli ampii elisii campi ; e poche sia
’ ingegno umano, Che nacque all’ uom si vano e si difforme, E li fece
venir
con l’ arme in mano L’un contro l’ altro, impetuo
fuso, L’aerio volator che in cor ti sente, Te, o Diva, tosto e il tuo
venir
festeggia ; Salta il gregge ferin ne’ lieti pasch
uo Trionfo la buona Fama : Quale in sul giorno l’amorosa stella Suol
venir
d’oriente innanzi al sole, Che s’accompagna volen
, Che per tutto ’l desio ch’ardea nel core L’occhio mio non potea non
venir
meno. Scolpito per le fronti era ’l valore Dell’
ore, rinvolto in lacero bruno, il quale, addietro volgendosi, scorgea
venir
da lungi la Verità, non meno allegra che modesta,
; e ne furono più che mai persuasi, allorchè ……. due serpenti immani
Venir
si veggon parimente al lito Ondeggiando coi dorsi
voti. Un giorno, mentre Ippolito passeggiava alla riva del mare, fece
venir
fuori delle acque un mostro metà uomo, e metà ser
campo vergine con seminarci i denti di un dragone, da’ quali dovevano
venir
fuora alcuni uomini armati, che faceva d’uopo ste
. Assiso sulla riva del mare, ad alta voce la chiamava, pregandola di
venir
fuori dalle onde. Ma il povero Ciclope non era co
du pére des dieux lance du haut de l’Olympe sur les têtes coupables,
vient
fondre sur son ennemi : il le saisit d’une main v
oltraggio. Poscia che l’ora destinata è sorta. In che debbe lor vita
venir
meno. L’arbore, ch’era verde, si fa smorta, Ed og
nte la Dea lo cangiò in cervo Vede intanto l’irata cacciatrice. Ch’a
venir
la vendetta non soggiorna, Ch’a lui già crescon s
per far loro traghettare l’Acheronte. V. Caronte. Ed ecco verso noi
venir
per nave Un vecchio bianco per antico pelo, Grida
; ed altri pretendono che Era significhi aria, e che benissimo poteva
venir
dato a Giunone un tal soprannome, venendo ella st
uerrieri. Come con lancia in resta, e il tergo ascoso Sotto lo scudo
venir
dessi a fronte, E sostener la punta delle spade,
toDal flutto d’ogni intorno accumulantesi, Pesto, infranto, già sente
venir
meno La forza al piede ; inetta alla fatica La ma
schiacciarlo sotto l’immano peso. Come io vidi una nave piccioletta
Venir
per l’acqua verso noi in quella, Sotto il governo
estra entro la chioma, E vedrai d’ ogni intorno Liete e belle veuture
Venir
con aureo piede al tuo soggiorno : Allor vedrai,
a moglie, cangiò lo in una giovenca. ……….. Ma previsto Avea Giove il
venir
della consorte, E della figlia d’Inaco le forme I
Giove in tutta l’aria di sua maestà. Da tal pensiere presa la Dea nel
venir
ad esso Giove sotto foggie mortali in grazia gli
ondinella. Nascon sotto a’suoi passi erbette, e fiori, Sorride al suo
venir
l’alma natura Mitigando del sole i gravi ardori.
’ode intanto, Di sì soavi accenti s’innamora, E dicea a lui: Qui meco
venir
puoi, Ch’avrem grata erba ed ombra il gregge e no
Con gli occhi omniveggenti, e dice: figlio, Che vuoi? qual è del tuo
venir
la mente? Egli risponde: Dell’immenso mondo Pubbl
a: Con facil riso la mestizia eterna Mansuefece. Flegetonte s’alza Al
venir
del suo re, d’ardenti rivi Spuma l’ispida barba,
nte, che così introduce Caronte nel suo Inferno: « Ed ecco verso noi
venir
per nave Un vecchio bianco per antico pelo. Grida
destra entro la chioma, E vedrai d’ogni intorno Liete e belle venture
Venir
con aureo piede al tuo soggiorno: Allor vedrai ch
gli apre il cammino del tempo, che circola nello Zodiaco ? 68. Ma per
venir
meglio a’particolari su la interpetrazione di que
mandò l’ Invidia ad infettare Aglauro del suo veleno. Ella perciò al
venir
di Mercurio cercò vietargli l’ ingresso, e fu con
il pastore Endimione, che scendesse più volte di notte dal cielo per
venir
a vederlo e che avesse da lui cinquanta figli. Il
fuoco, e più volte rifatto ; e l’ultima, da Domiziano, il quale fece
venir
dalla Grecia quelle colonne di pietra pentelica,
e ’l mantel bruno, Ed a quanti n’incontra di lontano, Che non debban
venir
, cenna con mano. Luciano ancora descrive l’isola
sacra ad Esculapio; là accorrevano i malati per ottener guarigione e
venue
in uso pure il metodo dell’ incubazione. La vener
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