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1 (1800) Cours de mythologie pp. -360
lard qui chancelle. Roman 17. Entrée de Bacchus dans Athènes.      Venu des bords du Gange, où son char conquérant Porta
mains.     L’Hiver n’enchaîne plus les foudres de Bellone, La gloire vient d’ouvrir le cirque des guerriers ; Et de ses fier
lus chères. Anyte, Citoyenne d’Epidaure. —  *** 27     Souvent tu viens chercher l’ombre de cet ormeau, Ces bois sont les
e une Grace, et frais comme un bouquet                 Dont les roses viennent d’éclorre. Ses yeux étoient cachés ; un bandeau l
ongs travaux, Fut reçu dans le Ciel, tous les Dieux s’empressèrent De venir au-devant de ce fameux Héros. Mars, Minerve, Vénu
les remerçioit tous, Quand Plutus qui vouloit être aussi de la fête, Vint d’un air insolent lui présenter la main, Le Héros
     Mon fils, lui dit alors Jupin, Que t’a donc fait ce Dieu ? d’où vient que la colère                 A son aspect troubl
Auprès du Fils n’est bonne à rien. François de Neufchâteau 40.      Venez donc dans les champs, vous que l’ennui dévore ; E
vous que l’ennui dévore ; Et vous, fils de Chiron, élèves d’Epidaure, Venez  : la main des Dieux, sensible à tous nos maux, En
Castel 41. La Femme compatissante. Conte .                    Je viens vous conter mon chagrin, Dit Perrette à son médec
trejetoient         Les chandeliers, comme on dit, à la tête. Le mari vint tout seul présenter sa requête, Disant que tous l
ux Brillent sur le sein de l’Automne. O sœur aimable du Printems ! Tu viens acquitter ses promesses ; Si tes biens sont moins
. L’Amour que l’Automne rappelle, Descend du Ciel dans nos vergers Et vient offrir à la plus belle Les pommes d’or des orange
ouvre nos treilles, L’ambre qui pare nos coteaux. Un second printemps vient d’éclore, Le Ciel répand des rayons d’or, L’amara
son enfance, Qu’un noble hymen l’unit à Jupiter… Plus d’une fois elle vient s’y cacher, Respirer seule et jouir d’elle-même :
er, Respirer seule et jouir d’elle-même : Sans cour, sans pompe, elle vient y chercher La liberté qui fuit le rang suprême :
rcher La liberté qui fuit le rang suprême : De son front grave elle y vient détacher Tous ses ennuis avec son diadême : Elle
grave elle y vient détacher Tous ses ennuis avec son diadême : Elle y vient rire : (on rit peu dans les Cieux.) Je la plaindr
les bois.     Tous les Dieux des forêts, des fleuves, des montagnes, Viennent féliciter leurs heureuses compagnes ; Et de leurs
eur ramage,                Tout-à-coup un épais nuage,                 Vint voiler le flambeau des Cieux :                La
ous conduit. Indifférentes et légères, Vous échappez à qui vous suit. Venez dans mon humble réduit, Vous n’y serez point étra
le l’Age d’or, ce siècle heureux où cette Déesse descendit du ciel et vint habiter la terre. Enchantée de l’innocence de ces
uvoir des Dieux.     Melpomène, les yeux en larmes, De cris touchans vient me frapper ; Quel art me fait trouver des charmes
bergers que sa voix enchante : Des tranquilles biens qu’elle chante, Viennent étudier le prix ; Et tous deux osent après elle,
yre Pour célébrer le double Mont, Si j’en ai soutenu la gloire, Muse, viens payer ma victoire, D’un laurier digne de mon fron
s, et je plains leur foiblesse… Dorat 101. Danses Provençales.      Venez  : transportons-nous dans ces belles contrées, Des
chéri, A nos membres sans force, à mon sang appauvri,                 Viens redonner un nouvel être. Sitôt que le Zéphyr, ren
t ses flexibles rameaux, S’élèvera, chargé de son jeune feuillage, Tu viendras avec moi jouir sous ces berceaux Du frais qu’on y
mens de la foudre mourante. Un peuple curieux en assiége les murs, Il vient , il va, revient, et cent récits obscurs Amas tum
Et toi, rival de Mars, Invincible Pompée ! Où donc est ton courage ? Viens  ! Pluton à Pharsale apprête le carnage : Là, du s
semer la haine et la division parmi les Dieux. Chassée du Ciel, elle vint troubler la Terre. Ennemie du bonheur des hommes,
en toutes les maisons.                Voilà pourquoi les consolations Viennent toujours bien tard soulager la misère. Fallet 11
ois. Alors des rives du Cocyte, A Berlin vous rendant visite, Atropos vint avec le Temps, Croyant trouver des cheveux blancs
Rendoient justice à leurs talens. La Mort leur fit accueil. La Peste vint ensuite : On ne pouvoit nier qu’elle n’eût du mér
oit l’emporter : La Mort même étoit en balance ; Mais les Vices étant venus , Dès ce moment la Mort n’hésita plus, Elle choisi
le mourant.                J’implore, ô Jupiter, tes foudres réunis, Viens te montrer, mon père, en tonnant sur ton fils. Mo
leurs :     Mon fils, répond Cyrène, en pâlissant de crainte ; Qu’il vienne  : et quel est donc le sujet de sa plainte ? Qu’on
tu poursuivis sa fidelle Euridice… (Voy. Orphée.) Cyrène de son fils vient calmer les alarmes : Cher enfant, lui dit-elle, e
ps pressés le sein des Néréides ;           On vit un essaim de héros Venir briguer l’honneur d’une illustre conquête ; Orphé
la Grèce mensongère ! Ils osèrent braver les abymes des flots, Et tu viens d’envahir l’empire du Tonnerre.     Mais le Des
eux comme vous, Notre appui, mon Hector, est tombé sous vos coups. Je viens redemander ses dépouilles funestes ; Prenez tous
uiller ma main du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle vapeur vient obscurcir les airs ? Grace au Ciel, on m’entr’ouv
ensible à mes cris ; J’implore ton secours, chère ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère ; Prends
l’Oracle que la ville de Troie ne céderoit qu’aux flèches d’Hercule, vinrent les demander à Philoctète. Vaincu par leurs prièr
voyageurs ouvert, N’attire les vaisseaux dans ce triste désert. On ne vient à Lemnos que poussé par l’orage, Et depuis si lon
dans les yeux. Hector croit voir Achille ; et d’un ton de menace : «  Viens , dit-il, recevoir le prix de ton audace. Patrocle
, Voit ses rangs dispersés, tout son camp saccagé ; C’est Achille qui vient dévancé par sa gloire, Hector n’est plus, et Patr
té, (c’étoit Penthésilée) Vénus pour la figure et Mars dans la mêlée, Vient , la hache à la main, la douleur sur le front, d’u
s le charme attrayant d’un sourire enchanteur, De sentimens plus doux vient pénétrer le cœur. Si du feu des combats son œil b
delé. Colardeau 153.     Terre, éveille-toi ; la Déesse (Minerve.) Vient éclairer tous les humains : La Gloire à la suivre
Elle descend chez Prométhée Qu’elle embrase par ce discours :     «  Viens donner une ame nouvelle « Aux mortels à l’erreur
is : « Du feu du Ciel qu’une étincelle « Pénètre les sens endormis. «  Viens , la gloire suit le courage… « Déjà je vois à ton
: Je ne puis annoncer tes victoires nouvelles,               Si tu ne viens à mon secours. C’est par toi qu’aux mortels il n
          Si tu veux m’y servir de guide. De quoi l’esprit humain ne vient -il pas à bout, Quand pour se délivrer d’un péril
ée, Le frappe de son thyrse, et s’écrie : Evohé, A mon secours, Ino : venez , Autonoë : Un affreux sanglier désole ces campagn
e est en cendre ? Mon Hector même, hélas ! ne pourroit nous défendre. Viens ici : cet autel, nous protégera tous ; Ou du moin
les flammes Ont par l’expiation purifié ces ames, Lorsque l’heure est venue , un Dieu lui même alors En foule les conduit sur
rable. « Fuyez ! fuyez ! dit-il, d’une voix lamentable ; « Ce présent vient des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots,
a mourante paupière.     Bientôt Phébé, du haut de son char argenté, Vient colorer les airs de sa pâle clarté. Les enfans d’
s les demeures sombres, J’irai de mon supplice épouvanter les Ombres. Viens , je te suis. Voltaire 168. Tantale, Fils d
onde : C’en est fait : pour punir le plus noir des forfaits, La Grèce vient d’armer le Ciel, la Terre et l’Onde,     Déjà se
ce s’apprête : Pyrrhus, dans la poussière, aux pieds de tes remparts, Vient souiller tes cheveux et ta coupable tête.     Dé
elle… Le jour trop long pour eux, coule trop lentement ; Mais la nuit vient  : Thisbé s’échappe adroitement, Tourne les gonds
et le déchire, Et rodant en grondant, dans les bois se retire. Pyrame vient , pâlit : ses regards alarmés. Ont observé les pas
ns pas ! O vous, hôtes cruels de ces grottes obscures, Tigres, lions, venez , je m’offre à vos morsures. N’épargnez pas mon sa
es, lions, venez, je m’offre à vos morsures. N’épargnez pas mon sang, venez me déchirer. Mais c’est craindre la mort que de l
connoît point de lois.     Dans les champs que l’hiver désole Flore vient établir sa cour : L’Alcyon fuit devant Eole, Eole
tans ; Et de tristes crêpes voilées, Autour de leurs noirs Mausolées, Viennent errer de temps en temps. Beauharnais 180. Ins
delle et chère ! Elle respire encore au cœur de son époux. Hélas ! il vient souvent dans cette solitude             Qu’elle s
mage anticipée ! Triste et dernier Soleil !… jour affreux, hâte-toi ! Viens tirer le rideau… tout est fini pour moi ! Young.
es efforts, par les Dieux, peuvent être trahis ; Je le sais : le jour vient , où la triste Pergame Doit voir plonger ses murs
éplorée, incertaine, Au milieu des mourans, des morts et des débris. Venez , suivez mes pas, joignez-vous à mes cris. Venez,
morts et des débris. Venez, suivez mes pas, joignez-vous à mes cris. Venez , j’ignore encor, si la Reine est sauvée, Si de so
ns de ce coursier, sa main cherche un apui ; Les Thyades en feu vont, viennent devant lui : Impuissant écuyer, vers l’escadron a
n plus fidèle amant ; Je t’épouse, et pour dot je t’ouvre l’Empirée : Viens , et que ta couronne, à la voûte sacrée, Dirige le
ul.     Présent des Dieux, doux charme des humains, O divine Amitié ! viens pénétrer nos ames ;           Les cœurs éclairés
              Loin de troubler ce favorable asile,               J’y viens goûter la paix que vous donnez C’est ici des Héro
               O mon frère ! est-ce vous ? Pollux.     C’est moi qui viens briser la chaîne qui te lie ; C’est moi qui t’ai
Et le visage en pleurs : « O moitié de mon ame, « Ne m’abandonne pas, viens , et prends cette main, « Tant qu’il me reste enco
t gémir : sa voix n’est plus qu’un sifflement. Hermione frémit : d’où vient ce changement, Et que vois-je, dit-elle ? elle cr
voure à longs traits le plaisir de se voir…. O toi ! qui que tu sois, viens calmer mes tourmens ! Pourquoi donc me fuis-tu ?
rais, Diane aime à baigner ses pudiques attraits. Ce jour même elle y vint  : une Nymphe empressée A déjà détaché sa robe ret
agiter mes cheveux. Je tremble, je pâlis : Diane, entends mes vœux ; Viens , et si je te plus, sauve-moi d’un outrage. La Dée
me couvre d’un nuage. Alphée appelle envain : interdit et confus, Il vient , passe, revient et ne me trouve plus. Ciel ! que
le vainqueur de l’Inde étoit moins gracieux, Le jour que d’Ariane il vint sécher les larmes.                       La froid
igés en répandent des larmes. Sors du lit nuptial, ô plaintive Vénus, Viens pleurer avec nous l’objet de ta tendresse, Viens
, ô plaintive Vénus, Viens pleurer avec nous l’objet de ta tendresse, Viens en habit de deuil, et répète sans cesse Ces lamen
er dans les forêts ; Vois sur un lit pompeux l’époux que tu déplores, Viens à lui, quoique mort il est charmant encore, Et le
estinée Par quelque étoile est sans nous dominée, Ou si les sots pour venir à leurs fins, Ont des secrets inconnus aux plus f
les dons de son ame angélique. Pour l’achever, un maniveau d’auteurs Vient l’étourdir de concerts séducteurs. A le chanter l
            Ah ! si je te suis chère encore,     Ecoute mes regrets, viens essuyer mes pleurs. Ton absence me cause une fray
mes désirs ;             Sans cesse une crainte nouvelle              Vient empoisonner mes plaisirs.                 Revien
rs ;             Ah ! si je te suis chère encore, Ecoute mes regrets, viens essuyer mes pleurs.     Elle achevoit ces mots,
e leur mère eût sauvé du tombeau ! Mais c’est peu que les lois que tu viens d’interrompre, Appellent sur ton fils la mort ou
l’influence impure, La Santé régne aux champs sur un lit de verdure. Viens aux champs, jeune Eglé, viens y nourrir ton fils 
régne aux champs sur un lit de verdure. Viens aux champs, jeune Eglé, viens y nourrir ton fils ; Apporte son berceau sous des
toile l’action barbare de Térée, et la fit parvenir à sa Sœur. Progné vint à la tête d’une troupe de femmes le jour de la fê
lle ans que l’on ne vous a vue ; Je ne me souviens pas que vous soyez venue , Depuis le temps de Thrace, habiter parmi nous.  
à quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talens si beaux ? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles :       
s les bois où sa fougue l’emporte, Il s’arrête, il s’écrie. Amis, qui vient à moi ? A peine achève-t-il, Echo répette : Moi.
? A peine achève-t-il, Echo répette : Moi. Mais, où donc te trouver ? Viens , je t’attends, approche. Tandis qu’il cherche au
leçons, de qui ? d’une Immortelle. Que l’on juge entre nous : qu’elle vienne , dit-elle, Quelle vienne. Vaincue, à tout je me s
mortelle. Que l’on juge entre nous : qu’elle vienne, dit-elle, Quelle vienne . Vaincue, à tout je me soumets.     Pallas, qui
me conseiller. Que prétend ma rivale ? Veut-elle l’emporter ? Que ne vient -elle ici ? N’ose-t-elle à mes yeux paraître ?… La
leur tissure fragile. Sans cesse les ressorts élevés, abaissés, Vont, viennent , tour-à-tour, poussés et repoussés. Chacune voit
large et creux Se couronne, à l’entour, de myrtes amoureux. Dryope y vint un jour. Hélas ! l’infortunée Etoit loin de prévo
prochez-vous de moi, si la pitié vous touche ; Que votre bouche encor vienne presser ma bouche ; Et, puisqu’il ne m’est plus p
z-vous ?                 Craignez la mer en courroux,                  Venez dans ces lieux paisibles                 Goûter l
contagieux : Et vous, enfans des nuages. Vents, ministres des orages, Venez , fiers tyrans du Nord ; De vos brûlantes froidure
la tristesse ; Quittez, pour quelque temps, ces jardins si chéris, Et venez dans ces lieux contempler la Nature ; De ces rocs
es chansons. Dans des lieux, autrefois ensevelis sous l’onde, Un jour viendra , sans doute, où Neptune en fureur Couvrira de nou
lle main a creusé ces abymes terribles !237             Mille objets viennent à la fois, M’effrayer, me charmer de leurs beauté
doit sur sa métamorphose, Plaindre ou féliciter le Père de Daphné. Là vient le Sperchius de saules couronné, Le Céphise qui c
on si touchant, Parois ici, tendre Virgile, Divinité du sentiment… Il vient brillant comme l’Aurore, Et d’une main il tient e
ts, les prières, la plainte, Et notre encens, détrempé de nos pleurs, Viennent , hélas ! comme autant de vapeurs, Se dissiper aut
nal d’un combat furieux, Il ébranla du Ciel la voûte inaccessible, Et vint porter sa plainte au Monarque des Dieux.     Ma
Pourquoi trop peu sensible aux misères, humaines, Mercure malgré moi vint -il t’en délivrer ?     La Discorde dès-lors avec
entre jamais sans transports d’allégresse ; J’appelle mes enfans, ils viennent m’entourer. Au plus jeune sur-tout je vole avec i
in de charmes, Et le plaisir touchant de répandre des larmes. L’amour vint en pleurant s’unir à l’amitié : Ce couple pour ja
’annonçant les alarmes,         Sous un vêtement de deuil,         Tu viens occuper le seuil         D’un palais rempli de la
oms sont beaux ; mais ils sont dans les Fables* Voltaire 274.      Viens donc, Compagne chaste et pure, Fille du Ciel, obj
 Viens donc, Compagne chaste et pure, Fille du Ciel, objet vainqueur, Viens sous mon toit, viens dans mon cœur Habiter avec l
chaste et pure, Fille du Ciel, objet vainqueur, Viens sous mon toit, viens dans mon cœur Habiter avec la Nature ! Du fond de
t doux. Ah ! si vous négligiez cet avis salutaire,         La Liberté venue hors de saison,         Ne seroit plus qu’une bel
u’au moraliste enfin nos gens eurent recours, Et que fort à propos il vint à leur secours.                De sa morale une o
hilosophique .     Tristes ambitieux, ne quittez point la Cour ; Ne venez point ici profaner mon bocage ; Je suis la Libert
de Vole après un bien qui te fuit, Ma voix, de l’erreur qui te guide, Vient dissiper l’épaisse nuit ; Abandonne un espoir fri
degrés, c’est lentement Que des yeux délicats s’ouvrent à la lumière, Viens donc, et si tu veux céder à ma prière,         Ch
.                C’est là que la raison humaine De ses travaux actifs vient puiser l’aliment. Elle y boit à longs traits les
et un mauvais. Le premier inspiroit le bien, le second le mal. De-là vient l’expression latine, Genio indulgere, suivre son
alze 295.     Quel éclair perce la nue ? Quelle est la Divinité Qui vient offrir à ma vue Tant de grâce et de beauté ? Qui,
is ma Déesse ! C’est l’Imagination.     Reine aimable des mensonges, Viens -tu, mère des erreurs, De l’ivresse où tu nous plo
us n’avons que l’image…     Or mes amis, laissez là nos penseurs, Et venez tous dans ce riant asile Epanouir votre Gaîté fa
e ces Royaumes sombres Le plus cruel Tyran de l’Empire des Ombres. Il vient , le Fanatisme est son horrible nom : Enfant dénat
is de croître ensemble, Qui changeant à-la-fois de saison et de lieu, Viennent tous à l’envi rendre hommage à Jussieu, L’Indien
’humble innocence A-t-elle sur nos cœurs conservé sa puissance ? D’où vient qu’une Bergère, assise sur les fleurs, Simple dan
modeste silence, Fait tomber à ses pieds l’audace et la licence. D’où vient qu’un Villageois, assis sous un ormeau, Juge des
Qui peut l’avoir rendu le Dieu du voisinage ? Les pasteurs rassemblés viennent autour de lui, Chercher dans ses leçons leur joie
uoi de la Renommée              M’agite la flamme enflammée ? D’où me vient cet espoir qui poursuit un grand nom ? Disciples
tières] Voltaire. Sur l’Amitié. 275. [Table des matières] Latouche. [ Viens donc, Compagne chaste et pure, etc.]. 276. [Tabl
2 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
illard qui chancelle. Roman 15. Entrée de Bacchus dans Athènes.     Venu des bords du Gange, où son char conquérant Porta
de fucus, de roseaux, De la Flore des mers invisible héritage, Qui ne viennent à nous qu’apportés par l’orage ; Éponges, polypie
qui de loin semblent un vaste écueil. Souvent avec Buffon vos yeux y viennent lire Les révolutions de ce bruyant empire, Ses co
mains.    L’Hyver n’enchaîne plus les foudres de Bellonne, La gloire vient d’ouvrir le cirque des guerriers ; Et de ses fier
plus chères. Anyte, Citoyenne d’Épidaure. —  ***27    Souvent tu viens chercher l’ombre de cet ormeau, Ces bois sont les
t comme une Grâce, et frais comme un bouquet           Dont les roses viennent d’éclore. Ses yeux étaient cachés ; un bandeau le
s richesses,          Fit présent d’un bandeau fatal :          De-là vient qu’il s’y prend si mal          Pour distribuer s
ongs travaux, Fut reçu dans le Ciel, tous les Dieux s’empressèrent De venir au-devant de ce fameux Héros. Mars, Minerve, Vénu
les remerçiait tous, Quand Plutus qui voulait être aussi de la fête, Vint d’un air insolent lui présenter la main, Le Héros
      Mon fils, lui dit alors Jupin, Que t’a donc fait ce Dieu ? d’où vient que la colère          A son aspect trouble tes s
s les cœurs d’une sainte épouvante. Romains, dit cette voix, pourquoi venir si loin ? Ce n’est pas Apollon dont vous avez bes
entrejetaient       Les chandeliers, comme on dit, à la tête. Le mari vint tout seul présenter sa requête, Disant que tous l
vengeresse…    Défendez que personne, au milieu d’un banquet, Ne vous vienne donner un avis indiscret. Ecartez ce fâcheux qui
juste embarras, Vous adressent leurs vœux, et vous tendent les bras. Venez à leur secours ; offrez-leur à la ronde La liqueu
as. Venez à leur secours ; offrez-leur à la ronde La liqueur qui vous vient des bords de la Gironde, Le vin de Malvoisie et c
n féconde S’élève autour de l’antre, et se penche sur l’onde. La nuit vient les cueillir, et répand dans les airs Leur baume
x Brillent sur le sein de l’Automne. O sœur aimable du Printemps ! Tu viens acquitter ses promesses ; Si tes biens sont moins
L’Amour que l’Automne rappelle, Descend du Ciel dans nos vergers, Et vient offrir à la plus belle Les pommes d’or des orange
ouvre nos treilles, L’ambre qui pare nos côteaux. Un second printemps vient d’éclore, Le Ciel répand des rayons d’or, L’amara
t quel plaisir encor, lorsqu’échappé dans l’air Un rayon du printemps vient embellir l’Hiver, Et, tel qu’un doux souris qui n
son enfance, Qu’un noble hymen l’unit à Jupiter… Plus d’une fois elle vient s’y cacher, Respirer seule et jouir d’elle-même :
er, Respirer seule et jouir d’elle-même : Sans cour, sans pompe, elle vient y chercher La liberté qui fuit le rang suprême :
rcher La liberté qui fuit le rang suprême : De son front grave elle y vient détacher Tous ses ennuis avec son diadême : Elle
grave elle y vient détacher Tous ses ennuis avec son diadême : Elle y vient rire : (on rit peu dans les Cieux.) Je la plaindr
les bois.    Tous les Dieux des forêts, des fleuves, des montagnes, Viennent féliciter leurs heureuses compagnes ; Et de leurs
teur superbe, S’il rencontre des cerfs errans en paix sur l’herbe, Il vient au milieu d’eux, humiliant son front, Leur confie
uirlandes : Méritez ses faveurs, et vous serez savans. Jeunes filles, venez , et sous vos doigts mouvans Que la laine amollie
de Flore. Elle avait un jardin délicieux où les Heures et les Grâces venaient cueillir leurs bouquets. On célébrait tous les an
eur ramage,                Tout-à-coup un épais nuage,                 Vint voiler le flambeau des Cieux :                La
ous conduit. Indifférentes et légères, Vous échappez à qui vous suit. Venez dans mon humble réduit, Vous n’y serez point étra
le l’Age d’or, ce siècle heureux où cette Déesse descendit du ciel et vint habiter la terre. Enchantée de l’innocence de ces
ouvoir des Dieux.    Melpomène, les yeux en larmes, De cris touchans vient me frapper ; Quel art me fait trouver des charmes
bergers que sa voix enchante : Des tranquilles biens qu’elle chante, Viennent étudier le prix ; Et tous deux osent après elle,
yre Pour célébrer le double Mont, Si j’en ai soutenu la gloire, Muse, viens payer ma victoire, D’un laurier digne de mon fron
ts, et je plains leur faiblesse… Dorat 103. Danses Provençales.     Venez  : transportons-nous dans ces belles contrées, Des
acle chéri, A nos membres sans force, à mon sang appauvri,             Viens redonner un nouvel être. Si-tôt que le Zéphyr, r
t ses flexibles rameaux, S’élèvera, chargé de son jeune feuillage, Tu viendras avec moi jouir sous ces berceaux Du frais qu’on y
mens de la foudre mourante. Un peuple curieux en assiège les murs, Il vient , il va, revient, et cent récits obscurs, Amas tum
Et toi, rival de Mars, Invincible Pompée ! Où donc est ton courage ? Viens  ! Pluton à Pharsale apprête le carnage : Là, du s
semer la haine et la division parmi les Dieux. Chassée du Ciel, elle vint troubler la Terre. Ennemie du bonheur des hommes,
en toutes les maisons.                Voilà pourquoi les consolations Viennent toujours bien tard soulager la misère. Fallet.
ois. Alors des rives du Cocyte, A Berlin vous rendant visite, Atropos vint avec le Temps, Croyant trouver des cheveux blancs
 Rendaient justice à leurs talens. La Mort leur fit accueil. La Peste vint ensuite : On ne pouvait nier qu’elle n’eût du mér
        La Mort même était en balance ;         Mais les Vices étant venus ,       Dès ce moment la Mort n’hésita plus,      
34. Hercule mourant.    J’implore, ô Jupiter, tes foudres réunis, Viens te montrer, mon père, en tonnant sur ton fils. Mo
pleurs :    Mon fils, répond Cyrène, en pâlissant de crainte ; Qu’il vienne  : et quel est donc le sujet de sa plainte ? Qu’on
tu poursuivis sa fidelle Euridice… (Voy. Orphée.) Cyrène de son fils vient calmer les alarmes : Cher enfant, lui dit-elle, e
s pressés le sein des Néréides ;            On vit un essaim de héros Venir briguer l’honneur d’une illustre conquête ; Orphé
la Grèce mensongère ! Ils osèrent braver les abîmes des flots, Et tu viens d’envahir l’empire du Tonnerre.    Mais le Desti
ouiller ma main du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle vapeur vient obscurcir les airs ? Grace au ciel, on m’entr’ouv
ensible à mes cris ; J’implore ton secours, chère ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère ; Prends
l’Oracle que la ville de Troie ne céderait qu’aux flèches d’Hercule, vinrent les demander à Philoctète. Vaincu par leurs prièr
voyageurs ouvert, N’attire les vaisseaux dans ce triste désert. On ne vient à Lemnos que poussé par l’orage, Et depuis si lon
dans les yeux. Hector croit voir Achille ; et d’un ton de menace : «  Viens , dit-il, recevoir le prix de ton audace. » Patroc
té, (c’était Penthésilée) Vénus pour la figure et Mars dans la mêlée, Vient , la hache à la main, la douleur sur le front, D’u
s le charme attrayant d’un sourire enchanteur, De sentimens plus doux vient pénétrer le cœur. Si du feu des combats son œil b
odelé. Colardeau 155.    Terre, éveille-toi ; la Déesse (Minerve.) Vient éclairer tous les humains : La Gloire à la suivre
, Elle descend chez Prométhée Qu’elle embrase par ce discours :    «  Viens donner une ame nouvelle » Aux mortels à l’erreur
is : » Du feu du Ciel qu’une étincelle » Pénètre les sens endormis. »  Viens , la gloire suit le courage… » Déjà je vois à ton
ous côtés embrasse. D’un regard indiscret profanant ce saint lieu, Il vient examiner les mystères du Dieu. Agavé la première,
rtée Le frappe de son thyrse, et s’écrie : Evoë. A mon secours, Ino ; venez , Autonoë ; Un sanglier farouche erre dans nos cam
les flammes Ont par l’expiation purifié ces ames, Lorsque l’heure est venue , un Dieu lui même alors En foule les conduit sur
nérable. « Fuyez ! Fuyez ! dit-il, d’une voix lamentable ; Ce présent vient des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots,
ta mourante paupière.    Bientôt Phébé, du haut de son char argenté, Vient colorer les airs de sa pâle clarté. Les enfans d’
royais encor au trône de mon père, Et toux ceux qu’à mes yeux le sort venait offrir, Me semblaient mes sujets, et faits pour m
s les demeures sombres, J’irai de mon supplice épouvanter les Ombres. Viens , je te suis. Voltaire 168. Tantale, Fils de
onde : C’en est fait : pour punir le plus noir des forfaits, La Grèce vient d’armer le Ciel, la Terre et l’Onde,    Déjà ses
ce s’apprête : Pyrrhus, dans la poussière, aux pieds de tes remparts, Vient souiller tes cheveux et ta coupable tête.    Déj
d’elle ; Pyrame jeune, aimable, et Thisbé jeune et belle…    Le soir vient  : dans les mers le char trop lent du jour Se repl
ux de flamme ardens. Teinte du sang des bœufs déchirés par ses dents, Vient se désaltérer dans la source voisine. Aux rayons
pas ! O vous ! hôtes sanglans de ces grottes obscures, Tigres, lions, venez  : j’implore vos morsures. Punissez mon forfait ;
Tigres, lions, venez : j’implore vos morsures. Punissez mon forfait ; venez me déchirer ; Mais c’est craindre la mort que de
ois.              Dans les champs que l’hiver désole           Flore vient établir sa cour :           L’Alcyon fuit devant
idèle et chère ! Elle respire encore au cœur de son époux. Hélas ! il vient souvent dans cette solitude         Qu’elle se pl
mage anticipée ! Triste et dernier Soleil !… jour affreux, hâte-toi ! Viens tirer le rideau… tout est fini pour moi ! Young.
es efforts, par les Dieux, peuvent être trahis ; Je le sais : le jour vient , où la triste Pergame Doit voir plonger ses murs
éplorée, incertaine, Au milieu des mourans, des morts et des débris. Venez , suivez mes pas, joignez-vous à mes cris. Venez,
morts et des débris. Venez, suivez mes pas, joignez-vous à mes cris. Venez , j’ignore encor, si la Reine est sauvée, Si de so
s de ce coursier, sa main cherche un appui ; Les Thyades en feu vont, viennent devant lui : Impuissant écuyer, vers l’escadron a
n plus fidèle amant ; Je t’épouse, et pour dot je t’ouvre l’Empirée : Viens , et que ta couronne, à la voûte sacrée, Dirige le
eul.    Présent des Dieux, doux charme des humains, O divine Amitié ! viens pénétrer nos ames ;           Les cœurs éclairés
ns fortunés,         Loin de troubler ce favorable asile,         J’y viens goûter la paix que vous donnez C’est ici des héro
               O mon frère ! est-ce vous ? Pollux.     C’est moi qui viens briser la chaîne qui te lie ; C’est moi qui t’ai
Et le visage en pleurs : « O moitié de mon ame ! Ne m’abandonne pas, viens , et prends cette main, Tant qu’il me reste encor
eut gémir : sa plainte est un long sifflement. Hermione frémit : D’où vient ce changement ? Et que vois-je, dit-elle ! Elle c
avoure à longs traits le plaisir de se voir… O toi ! qui que tu sois, viens calmer mes tourmens ! Pourquoi donc me fuis-tu ?
lots toujours frais, Diane aime à baigner ses modestes attraits. Elle vient sous la grotte : une Nymphe empressée A déjà déta
Diane ! entends mes vœux ; Toi qu’adore Dictine, ô puissante Déesse ! Viens , m’écriai-je, viens secourir ma faiblesse ; Ne m’
vœux ; Toi qu’adore Dictine, ô puissante Déesse ! Viens, m’écriai-je, viens secourir ma faiblesse ; Ne m’abandonne pas, s’il
le vainqueur de l’Inde était moins gracieux, Le jour que d’Ariane il vint sécher les larmes.                        La fro
igés en répandent des larmes. Sors du lit nuptial, ô plaintive Vénus, Viens pleurer avec nous l’objet de ta tendresse, Viens
, ô plaintive Vénus, Viens pleurer avec nous l’objet de ta tendresse, Viens en habit de deuil, et répète sans cesse Ces lamen
rer dans les forêts ; Vois sur un lit pompeux l’époux que tu déplore, Viens à lui, quoique mort il est charmant encore, Et le
estinée Par quelque étoile est sans nous dominée, Ou si les sots pour venir à leurs fins, Ont des secrets inconnus aux plus f
les dons de son ame angélique. Pour l’achever, un maniveau d’auteurs Vient l’étourdir de concerts séducteurs. A le chanter l
astre du jour             Hâte-toi d’éclairer le Monde :              Viens rétablir par ton retour             La paix dans
e leur mère eût sauvé du tombeau ! Mais c’est peu que les lois que tu viens d’interrompre, Appellent sur ton fils la mort ou
l’influence impure, La santé règne aux champs sur un lit de verdure. Viens aux champs, jeune Eglé, viens y nourrir ton fils 
règne aux champs sur un lit de verdure. Viens aux champs, jeune Eglé, viens y nourrir ton fils ; Apporte son berceau sous des
toile l’action barbare de Térée, et la fit parvenir à sa sœur. Progné vint à la tête d’une troupe de femmes le jour de la fê
lle ans que l’on ne vous a vue ; Je ne me souviens pas que vous soyez venue , Depuis le temps de Thrace, habiter parmi nous.  
à quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talens si beaux ? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles :       
es bois se perd loin de sa suite. Il s’arrête, il s’écrie : Amis, qui vient à moi ? A peine achève-t-il, Echo répète, moi. Ma
oi ? A peine achève-t-il, Echo répète, moi. Mais où donc te trouver ? viens , je t’attends, approche. Tandis qu’il cherche au
leçons, de qui ? d’une Immortelle. Que l’on juge entre nous : qu’elle vienne , dit-elle, Qu’elle vienne… Vaincue, à tout je me
ortelle. Que l’on juge entre nous : qu’elle vienne, dit-elle, Qu’elle vienne … Vaincue, à tout je me soumets.    Pallas, qui d
conseiller. Que prétend ma rivale ? Me vaincre dans mon art ? Que ne vient -elle ici ? N’ose-t-elle à mes yeux paraître ? La
leur tissure fragile. Sans cesse les ressorts élevés, abaissés, Vont, viennent tour-à-tour, poussés et repoussés. Chacune avec a
un lac environné Forme un large bassin, de myrtes couronné. Dryope y vint un jour : hélas ! l’infortunée Etait loin de prév
ste destinée. Aux Nymphes de ces bords, ô regrets ! ô douleurs ! Elle venait offrir des guirlandes de fleurs. Un enfant, espér
prochez-vous de moi, si la pitié vous touche ; Que votre bouche encor vienne presser ma bouche ; Et puisque vers mon fils je n
que vers mon fils je ne puis me baisser, Soulevé dans vos bras, qu’il vienne m’embrasser. Je meurs ; vous entendez ma parole d
où courez-vous ?             Craignez la mer en courroux,              Venez dans ces lieux paisibles             Goûter les p
contagieux : Et vous, enfans des nuages. Vents, ministres des orages, Venez , fiers tyrans du Nord ; De vos brûlantes froidure
la tristesse ; Quittez, pour quelque temps, ces jardins si chéris, Et venez dans ces lieux contempler la Nature ; De ces rocs
uses chansons Dans des lieux autrefois ensevelis sous l’onde. Un jour viendra , sans doute, où, Neptune en fureur Couvrira de no
uite de laurier, et enfin d’or.    Jaloux de consacrer aux siècles à venir D’un triomphe si beau l’immortel souvenir, Il éta
on si touchant, Parais ici, tendre Virgile, Divinité du sentiment… Il vient brillant comme l’Aurore, Et d’une main il tient e
ts, les prières, la plainte, Et notre encens, détrempé de nos pleurs, Viennent , hélas ! comme autant de vapeurs, Se dissiper aut
son sein. O quel combat alors ébranle son bassin ! Le volcan à la mer vient rendre sa secousse, Et heurte avec fracas les ond
nal d’un combat furieux, Il ébranla du Ciel la voûte inaccessible, Et vint porter sa plainte au Monarque des Dieux.    Mais
, Pourquoi trop peu sensible aux misères humaines, Mercure malgré moi vint -il t’en délivrer ?    La Discorde dès lors avec
entre jamais sans transports d’allégresse ; J’appelle mes enfans, ils viennent m’entourer. Au plus jeune sur-tout je vole avec i
in de charmes, Et le plaisir touchant de répandre des larmes. L’amour vint en pleurant s’unir à l’amitié : Ce couple pour ja
ntes amoureuses Appellent de la nuit les heures paresseuses ! La nuit vient , et dans l’ombre, excités par l’amour, Ses yeux r
nument. Le jour fuit : rien, hélas ! ne paraît sur la route : « Il ne vient point ! demain il reviendra, sans doute », Dit-el
çant les alarmes,            Sous un vêtement de deuil,            Tu viens occuper le seuil            D’un palais rempli de
ps favorable, Du mortel tout-puissant, par le sort adopté,             Venaient entourer la table, Et s’enivraient du vin de sa p
doux. Ah ! si vous négligiez cet avis salutaire,          La Liberté venue hors de saison,          Ne serait plus qu’une be
u’au moraliste enfin nos gens eurent recours, Et que fort à propos il vint à leur secours.             De sa morale une ou d
philosophique .    Tristes ambitieux, ne quittez point la Cour ; Ne venez point ici profaner mon bocage ; Je suis la Libert
de Vole après un bien qui te fuit, Ma voix, de l’erreur qui te guide, Vient dissiper l’épaisse nuit ; Abandonne un espoir fri
degrés, c’est lentement Que des yeux délicats s’ouvrent à la lumière, Viens donc, et si tu veux céder à ma prière,           
eine.            C’est là que la raison humaine De ses travaux actifs vient puiser l’aliment. Elle y boit à longs traits les
et un mauvais. Le premier inspirait le bien, le second le mal. De-là vient l’expression latine, Genio indulgere, suivre son
Balze 279.    Quel éclair perce la nue ? Quelle est la Divinité Qui vient offrir à ma vue Tant de grâce et de beauté ? Qui,
ais ma Déesse ! C’est l’Imagination.    Reine aimable des mensonges, Viens -tu, mère des erreurs, De l’ivresse où tu nous plo
ous n’avons que l’image…    Or mes amis, laissez là nos penseurs, Et venez tous dans ce riant asile Epanouir votre Gaîté fac
e ces Royaumes sombres Le plus cruel Tyran de l’Empire des Ombres. Il vient , le Fanatisme est son horrible nom : Enfant dénat
is de croître ensemble, Qui changeant à-la-fois de saison et de lieu, Viennent tous à l’envi rendre hommage à Jussieu, L’Indien
’humble innocence A-t-elle sur nos cœurs conservé sa puissance ? D’où vient qu’une Bergère, assise sur les fleurs, Simple dan
modeste silence, Fait tomber à ses pieds l’audace et la licence. D’où vient qu’un Villageois, assis sous un ormeau, Juge des
Qui peut l’avoir rendu le Dieu du voisinage ? Les pasteurs rassemblés viennent autour de lui, Chercher dans ses leçons leur joie
rquoi de la Renommée            M’agite la flamme enflammée ? D’où me vient cet espoir qui poursuit un grand nom ? Disciples
c. 28. [Table des matières] Anyte, citoyenne d’Epidaure. Souvent tu viens , etc. 29. [Table des matières] Gresset. Eglogue
3 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
flétrir tout ce qu’il touche, l’expérience et la lassitude du malheur vinrent enfin rendre quelque moralité au monde. On sentit
es ; leur exemple entraîna ; les associations se formèrent ; l’amitié vint doubler le nombre, la force elle bonheur de ces f
onnent bientôt les cavernes, les creux des arbres et les forêts, pour venir habiter des cabanes, des bourgs, des villes. Quel
Grèce. Quelque temps après, les colonies égyptiennes et phéniciennes vinrent changer les mœurs, les coutumes et la religion de
es de leurs trop nombreux habitans chercher de nouveaux climats : ils vinrent dans l’Occident, apportant avec eux leurs arts, l
oriques les plus certaines prouvent qu’Inachus quitta la Phénicie, et vint dans la Grèce fonder le royaume d’Argos, environ
aüs, contemporain de Moïse. Il abandonna l’Égypte avec sa famille, et vint dans le royaume d’Argos, sous le règne de Gélanor
olontairement Acrisius, son grand-père, quitta le royaume d’Argos, et vint s’établir à Mycène. Cet extrait suffira pour prou
ue, s’élevèrent d’autant plus considérablement, que de grandes pluies vinrent ajouter à l’inondation. La Béotie se trouva bient
ue ce fut sous le règne de Triopas, septième roi d’Argos, que Cécrops vint d’Égypte s’établir dans l’Attique. Il épousa la f
itta les côtes de la Phénicie et les environs de Tyr et de Sidon pour venir avec une colonie former un nouvel établissement d
ot héros. On explique diversement son origine ; quelques anciens font venir ce mot de éros, amour, pour signifier que les hér
Augustin, dans ses recherches sur l’idolâtrie, prouve que le mot héro vient du mot grec héra, que portait Junon. L’un des fil
ls leur érigèrent d’abord des tombeaux remarquables, sur lesquels ils venaient faire des libations aux jours anniversaires ; ils
ordonnant d’aller tuer Méduse et de lui rapporter sa tête. Les dieux vinrent au secours de Persée ; Minerve lui prêta son miro
horcus, dit Hésiode , eut de Céto deux filles, Péphrédo et Enyo, qui vinrent au monde avec des cheveux blancs. Il fut aussi le
dévorer lorsque Persée, monté sur Pégase, l’aperçut du haut des airs, vint à son secours, tua le monstre, brisa ses chaînes
nt que ce héros s’approchait d’Argos en vainqueur, voulut le voir, et vint au-devant de lui jusqu’à Larisse, sur le fleuve P
âtit la ville de Milet. Ensuite il pénétra plus avant dans l’Asie, et vint au pays des Myliades, qui, peu de temps après, se
les cérémonies, le vent devint bon ; Thésée fit tendre les voiles, et vint aborder en Crète. Sa beauté, sa jeunesse, son mai
nd nombre d’excellens rameurs. Dédale, échappé à son puissant ennemi, vint aborder dans une île éloignée de la terre ferme :
un grand parti du génie de cet habile homme, fit proposer à Minos de venir traiter cette affaire à l’amiable. Ce prince impr
l ne sut point triompher de la jalousie ; elle le rendit criminel, et vint ternir sa gloire. Il s’était plu à former Talus,
sse. Interrogé sur cette occupation extraordinaire, il répondit qu’il venait d’enterrer un serpent. La réponse parut suspecte 
es premières années, fit prévoir qu’il serait un héros. Hercule étant venu voir Pitthée, quitta sa peau de lion pour se mett
s oublia tous ses bienfaits et favorisa ses ennemis. Castor et Pollux vinrent à la tête d’une armée reprendre leur sœur Hélène.
s désigner. Il faut seulement observer que l’origine de ce nom paraît venir du mot phénicien karokel, marchand. Ce nom se don
urer à Thèbes ; il alla se faire expier de son crime involontaire, et vint se soumettre aux ordres d’Eurysthée. Ce prince tr
feu aux roseaux pour en purger entièrement ces marais, et la culture vint ensuite rendre ce lieu très-fertile : ce qui fit
d’être injuste et ingrat envers Hercule. Aïdonée, roi de Thesprotie, vint au secours d’Augias ; mais il fut battu et blessé
, prince de Mauritanie et d’Hespérie. Hercule défit les corsaires, et vint attaquer Busiris, qu’il tua. Atlas, pour le récom
afin d’obtenir la liberté d’Admète. L’échange fut accepté, et Alceste venait d’être immolée lorsqu’Alcide rencontra la Mort, e
et fut tuée par Achille. Quinte-Curce assure qu’une de leurs reines vint voir Alexandre. Hercule voulut accompagner les A
endu l’horreur de son peuple. Ayant appris qu’Alcimède, femme d’Éson, venait d’avoir un fils, il chercha tous les moyens de le
ès, roi d’une partie de la Thessalie, sachant l’arrivée de son neveu, vint à Iolchos, accompagné de son fils Admète ; il env
des mesures pour détrôner l’usurpateur. Accompagné de sa famille, il vint au palais du roi, demanda la couronne qui lui app
ques-uns croient qu’il fut construit à Argos ; d’autres enfin le font venir du mot argivos, parce qu’il portait les Grecs. On
endrier et de réformer l’ancien ; il l’apporta dans le moment où l’on venait d’achever les sacrifices. Il donna ses conseils,
qu’elle avait appris de sa mère Hécate, à soulager et guérir ceux qui venaient la consulter. Enfin, ils rapportent que cette rei
e s’éloigner ; ils s’embarquèrent sur un vaisseau nommé le Dragon, et vinrent à Corinthe, où Créon, qui y régnait, n’osa leur r
ue les Corinthiens eux-mêmes engagèrent. Médée à quitter Iolchos pour venir prendre possession d’un trône qui lui appartenait
e avec indignation ; et, devenue l’horreur et l’effroi du monde, elle vint chercher un asile dans Athènes. Rien, dans l’hist
et méprisable à toute la Grèce. Long-temps après, une nouvelle fable vint encore flétrir la mémoire de Médée. On la trouve
dans Ovide. Médée, dit-il, après avoir massacré les enfans de Jason, vint se réfugier à Athènes, et prit assez d’empire sur
n cygne, Vénus prit la forme d’un aigle et se mit à sa poursuite ; il vint se réfugier auprès de Léda, et quelque temps aprè
it attaché le sort de Méléagre. Ils disent qu’à l’instant où ce héros vint au monde, les Parques mirent dans le feu un tison
e ; mais le ciel se hâta d’en arrêter le cours. Des lumières odieuses vinrent effrayer les deux époux. Jocaste termina ses info
périr beaucoup de monde de part et d’autre ; déjà le vaillant Capanée venait d’être précipité du haut d’une échelle contre le
tête d’une armée formidable, sur les terres de leurs ennemis. « On en vint bientôt aux mains, et les Thébains ayant perdu la
voisines. Sa puissance, augmentée de celle de Ménélas, son frère, qui venait d’épouser Hélène, héritière du royaume de Sparte,
e Priam, fut destiné à faire éclore ces semences de division. « Pâris vint en Grèce, et se rendit à la cour de Ménélas, où l
ar des larmes et par des jeux funèbres. La trêve expirait, et l’on en venait encore aux mains. « Souvent, au plus fort de la m
Impatiens de se signaler dans cette carrière ouverte aux nations, ils venaient successivement joindre leurs troupes à celles de
erprétait ce bruit, et, sur ce murmure, annonçait l’avenir à ceux qui venaient la consulter. Par la suite, on mit plus d’artific
ent pour des oracles, et bientôt sa célébrité devint si grande, qu’on venait la consulter de toutes parts, malgré les dangers
d’aller consulter Apollon. Alexandre, avant son expédition de l’Asie, vint à Delphes pendant le temps du silence. Il pria la
temple de Trophonius, avec sa statue, ouvrage de Praxitèle. Lorsqu’on vient consulter cet oracle, avant de descendre dans l’a
éternelle jeunesse, de sorte que la triste et languissante vieillesse vint succéder à ses belles années ; et du temps d’Énée
cquit bientôt en Suède la même autorité qu’en Danemarck ; les Suédois vinrent en foule lui rendre leurs hommages, et déférèrent
rées par la douceur de ses chants, quittaient leurs noirs abîmes pour venir se ranger autour de lui. Autant son éloquence, so
morales que l’on tirait de ces dogmes. Enfin la croyance d’une vie à venir cimentait cet édifice religieux ; des supplices c
in nombre d’âmes ; ces âmes étaient le droit d’Odin. On croyait qu’il venait souvent dans la mêlée, enflammer la fureur des co
’en exhalaient sans cesse, jusqu’à ce qu’un souffle de chaleur, étant venu du midi, fondit ces vapeurs, et en forma des gout
e après la mort, et sur les dernières destinées de ce monde. « Il viendra un temps, dit l’Edda, un âge barbare, un âge d’ép
leur prodiguait tellement des caresses et des promesses pour la vie à venir , qu’ils se félicitaient quelquefois eux-mêmes de
émêler dans leurs cœurs la volonté des dieux, les biens ou les maux à venir . Les tristes restes des objets sacrifiés étaient
e merveilleux des châteaux enchantés, des fées, des nains, des géans, vint succéder aux tableaux les plus sublimes de la poé
les grandes actions réveillèrent le génie de quelques hommes. Ceux-ci vinrent remplacer les bardes, sous le nom de Troubadours.
t croire qu’ils entendaient la voix des morts ; et lorsque le sommeil venait les surprendre au milieu de leurs rêveries, ils r
se, on croyait que les âmes des pères descendaient de leurs nuages et venaient prédire le bon ou le mauvais succès : elles avert
ux esprits que l’on attribuait la plupart des effets naturels. L’écho venait -il frapper les oreilles, c’était l’esprit de la m
ue, dès les temps les plus reculés, ces premiers navigateurs du monde venaient apporter leurs marchandises dans la Grande-Bretag
mais nous n’entrerons pas dans de plus grands détails sur ces cultes venus des étrangers, puisque toutes les histoires, tout
e séparant, ont altéré la pureté de leur religion primitive. Les uns, venus parterre du côté du Nord, sous le nom de Scythes,
e, de leurs habillemens et de leurs fonctions. Le nom des druides vient sans aucun doute, du mot celtique deru, qui veut
ation que, s’ils se présentaient au moment où deux armées allaient en venir au combat, ou l’avaient même commencé, on déposai
chantant des hymnes et des cantiques. Un héraut, portant un caducée, venait après eux ; trois druides le suivaient, et portai
mêmes mœurs et de ce même respect pour les femmes ; la reconnaissance venait encore y ajouter ; car, dès qu’un chevalier était
si habiles, que leur réputation se répandit dans tout l’univers ; on venait les consulter de toutes parts, et leurs décisions
4 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
ets, les prières, la plainte, Et notre encens détrempé de nos pleurs, Viennent , hélas ! comme autant de vapeurs, Se dissiper aut
Développant, dans cette nuit profonde, Les éléments pêle-mêle diffus, Vint débrouiller leur mélange confus, Et, variant leur
s’appeloient les fêtes Mégalésiennes, ou les jeux Mégalésiens. Ce mot vient d’un adjectif grec qui signifie grande, parce que
esta au fond. Voici ce que J.-B. Rousseau dit à ce sujet : D’où peut venir ce mélange adultère D’adversités, dont l’influenc
rènes. D. Pourquoi Jupiter fut-il surnommé Stator ? R. Ce surnom lui vient du verbe latin stare, qui signifie s’arrêter, en
sorte de formes, pour se retirer des mains qui le retenoient ; de là vient qu’on dit d’un homme qui joue toute sorte de pers
n féconde S’élève autour de l’antre, et se penche sur l’onde. La nuit vient les cueillir, et répand dans les airs Leur baume
passoit les ombres dans une barque pour une pièce de monnoie ; de là vient que les Grecs et les Romains mettoient une obole
lle étoit particulièrement honorée dans l’île de Chypre, d’où lui est venu le nom de Cypris. Elle avoit, dans cette île, plu
e dans tout l’éclat de sa gloire. Exigez qu’aux Thébains lui-même il vienne apprendre Un choix pour vous si glorieux ; Qu’arm
er, ne pouvoit plus échapper aux poursuites du monstre ; mais Neptune vint au secours de l’infortunée Latone. Le dieu de la
da Phaéton au Soleil ? R. Phaéton expliqua à son père le sujet de sa venue , et le conjura de lui accorder une grâce, sans la
les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vous venez sur la terre          Régner dans les vastes forê
a cire plusieurs bouts de roseau, et en forma la flûte. D. Dites d’où vient l’expression de terreur panique. R. Les Grecs on
an jeta l’épouvante dans cette armée qui fut taillée en pièces. De là vient l’expression de terreur panique. D. En quels lieu
ains célébroient en son honneur des fêtes appelées Lupercales. Ce mot vient du nom d’une grotte située sur le mont Palatin, d
x Brillent sur le sein de l’Automne. O sœur aimable du Printemps ! Tu viens acquitter ses promesses, Si tes biens sont moins
L’Amour, que l’Automne rappelle, Descend du ciel dans nos vergers, Et vient offrir à la plus belle Les pommes d’or des orange
ouvre nos treilles, L’ambre qui pare nos coteaux. Un second printemps vient d’éclore, Le ciel répand des rayons d’or, L’amara
ents de la foudre mourante. Un peuple curieux en assiége les murs. Il vient , il va, revient ; et cent récits obscurs, Amas tu
er, pour être dévorée par un monstre marin. Persée, monté sur Pégase, vint la délivrer, et pétrifia le monstre en lui présen
ils de Jupiter et d’Alcmène femme d’Amphitrion roi de Thèbes. Jupiter vint se présenter à Alcmène, sous les traits d’Amphitr
Évène, dont les eaux étoient extrêmement grossies. Le centaure Nessus vint s’offrir de lui-même pour passer Déjanire sur son
insi : Présent des dieux, doux charme des humains, O divine amitié ! viens pénétrer nos ames,          Les cœurs éclairés de
ses pleurs. Mon fils ! répond Cyrène en pâlissant de crainte, Qu’il vienne  : et quel est donc le sujet de sa plainte ? Qu’on
s, Et du gouffre écumant fait tournoyer les flots. Cyrène de son fils vient calmer les alarmes : Cher enfant, lui dit-elle, e
qu’elle lui avoit rendu, et la délaissa dans l’île de Naxos. Bacchus vint la consoler de l’infidélité de son amant, et l’ép
R. Pirithoüs, roi de Thessalie, jaloux des grands succès de Thésée, vint avec une armée ravager les états de ce prince, af
flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se rou
it en avoir reçue, et le prioit d’en tirer vengeance. C’est de là que vint l’usage d’appeler Lettres de Bellérophon, celles
ans elle. Cadmus, après avoir parcouru inutilement diverses contrées, vint consulter l’oracle de Delphes, qui lui ordonna de
connoît ces beaux vers de Brébœuf sur Cadmus. C’est de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parl
la maison et la famille du poëte Pindare qui y avoit pris naissance. Viens servir l’ardeur qui m’inspire : Déesse, prête-moi
lle ans que l’on ne vous a vue ; Je ne me souviens pas que vous soyez venue , Depuis le temps de Thrace habiter parmi nous.   
quelque rustique ? Le désert est-il fait pour des talents si beaux ? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles :       
à Œdipe d’un ton de hauteur de lui laisser le passage libre ; ils en vinrent aux mains sans se connoître, et Laïus fut tué. D.
les demeures sombres ; J’irai de mon supplice épouvanter les ombres ; Viens , je te suis. ( Voltaire.) D. Achevez le récit de
de rendre Hésione ; et, ayant fait entr’eux une ligue puissante, ils vinrent , les armes à la main, redemander Hélène devant Tr
t la ruine de Troie. 1°. Il étoit nécessaire qu’un descendant d’Eaque vînt au siége de la ville ; et ce descendant étoit Ach
ne bussent de l’eau du Xanthe ; Rhésus étoit un roi de Thrace, qui ne vint au secours de Troie que la dixième année du siége
oler aux dieux. Mais, comme elle tarde trop long-temps à paroître, il vient lui-même la demander. Il la trouve avec sa mère,
glants il faudra l’arracher. Aussi barbare époux qu’impitoyable père, Venez , si vous l’osez, la ravir à sa mère. D. Par quel
ouiller ma main du plus affreux des crimes. Mais quoi ! quelle vapeur vient obscurcir les airs ? Grâce au ciel, on m’entr’ouv
ensible à mes cris ; J’implore ton secours, chère ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère ; Prends
en partage à Agamemnon. Chrysès, revêtu de ses ornements sacerdotaux, vint redemander sa fille, qui lui fut refusée. Apollon
s à son char, et le traîna trois fois autour des murs de Troie. Priam vint redemander le corps de son fils à son vainqueur,
nt Troie, qu’on le chargea d’aller à Lemnos pour engager Philoctète à venir au camp des Grecs avec les flèches d’Hercule. Ce
lieux enlever ma princesse, Et regagner le port, où bientôt nos amis Viendront couverts du sang que je vous ai promis. Hermione.
as-tu pas dû cent fois te le faire redire ? Toi-même ayant le coup me venir consulter ? Y revenir encore… ou plutôt m’éviter 
lle épaisse nuit tout à coup m’environne ! De quel côté sortir ? d’où vient que je frisonne ? Quelle horreur me saisit ? grâc
ai réservé. Mais que vois-je ? à mes yeux Hermione l’embrasser ! Elle vient l’arracher au coup qui le menace ! Dieux ! quels
fflent sur vos têtes ? A qui destinez-vous l’appareil qui vous suit ? Venez -vous m’enlever dans l’éternelle nuit ? Venez ; à
appareil qui vous suit ? Venez-vous m’enlever dans l’éternelle nuit ? Venez  ; à vos fureurs Oreste s’abandonne… Mais non, ret
voyageurs ouvert, N’attire les vaisseaux dans ce triste désert. On ne vient à Lemnos que poussé par l’orage ; Et depuis si lo
paisiblement dans son île, lorsque Télégone, qu’il avoit eu de Circé, vint à Ithaque pour voir son père. Pendant qu’on le re
on ouvrit la barrière. « Le voilà, dit Achille enflammé de colère ; » Viens , ton sang va payer le sang de mon ami ! » Le vain
Peins-toi dans ces horreurs Andromaque éperdue : Voilà comme Pyrrhus vint s’offrir à ma vue, Voilà par quels exploits il su
e. Il se fit aimer de la nymphe Œnone, et l’épousa. D. Quel événement vint troubler le bonheur de Pâris ? R. Ce fut la disp
Discorde, qui en avoit été exclue, et qui vouloit venger son affront, vint , au milieu d’un nuage, et jeta sur la table du fe
plus belle femme de l’univers. Pâris adjugea la pomme à Vénus. De la vint la haine de Junon et de Minerve contre les Troyen
roit de l’arrêt d’un berger. ( La Motte.) D. A quelle occasion Pâris vint -il à la cour de Priam, son père ? R. Priam fit c
unir Laocoon de sa témérité. Deux affreux serpents, sortis de la mer, vinrent droit à l’autel, où sacrifioit Laocoon, se jetère
rable. « Fuyez ! fuyez ! dit-il, d’une voix lamentable ; » Ce présent vient des Grecs, c’est le don de la mort. » A ces mots,
ur ta mourante paupière. Bientôt Phébé, du haut de son char argenté, Vient colorer les airs de sa pâle clarté. Les enfants d
èle sa destinée et celle de ses descendants. De retour des enfers, il vient camper sur les bords du Tibre. Là, l’accomplissem
hais, le barbare : » II falloit le haïr, quand ce monstre imposteur » Vint partager ton trône et séduire ton cœur. » Voilà d
en tout cent portes. Toutes ces portes étoient d’airain massif ; d’où vient que lorsque Dieu promit à Cyrus la conquête de Ba
mausolée ? R. On a donné ce nom à touts les tombeaux magnifiques. Il vient du roi Mausole, à qui Artémise, son épouse, reine
iété de sentiments, il n’y ait quelque point fixe ou touts les hommes viennent se réunir. » On attribue à Thalès, plusieurs sen
faut point publier ce qu’on a dessein de faire, afin que si l’on n’en vient point à bout, on n’ait pas le chagrin de se voir
rfondue, Sans trouver un asile où pouvoir habiter.         A ses yeux vient se présenter         La Fable, richement têtue,  
Tenez, arrangeons-nous ;         Qu’un même intérêt nous rassemble : Venez sous mon manteau ; nous marcherons ensemble.     
convient pas à vous-mêmes, Repartit le vieillard. Tout établissement Vient tard et dure peu. La main des parques blêmes. De
votre exemple. C’est des parents mêmes, a dit le vertueux Rollin, que vient le mal, par le mauvais exemple qu’ils donnent à l
arts. Médecins au Lion viennent de toutes parts ; De touts côtés lui vient des donneurs de recettes.             Dans les vi
heure Veut qu’on aille enfumer Renard dans sa demeure, Qu’on le fasse venir . Il vient, est présenté ; Et, sachant que le Loup
qu’on aille enfumer Renard dans sa demeure, Qu’on le fasse venir. Il vient , est présenté ; Et, sachant que le Loup lui faiso
e encore un coup de toi. Sa plainte fut de l’Olympe entendue. Mercure vient . Elle n’est pas perdue, Lui dit ce dieu ; la conn
e roi des dieux ne sait auquel entendre. Son fils Mercure aux criards vient encor : A chacun d’eux il en montre une d’or. Cha
ine : La Besace. Jupiter dit un jour : Que tout ce qui respire S’en vienne comparoître aux pieds de ma grandeur ; Si dans so
peut le déclarer sans peur ;            Je mettrai remède à la chose. Venez , Singe ; parlez le premier, et pour cause ; Voyez
t nuit, Et rendre sa chevance à lui-même sacrée. Qu’il allât ou qu’il vînt , qu’il bût ou qu’il mangeât, On l’eût pris de bie
toute heure, bons dieux ! ne tient-il qu’à cela ?            L’argent vient -il comme il s’en va ? Je n’y touchois jamais. — D
nature s’éveille ;      Dès le matin, une aurore vermeille             Vient nous arroser de ses pleurs, Nectar délicieux des
œuf revenant du labeur,        Une fourmi s’étoit nichée.        D’où viens -tu ? lui cria sa sœur,        Et que fais-tu si h
ria sa sœur,        Et que fais-tu si haut perchée ?        — D’où je viens  ? Peux-tu l’ignorer ?        Répondit-elle ; ma c
ais menti,        Dit que le lièvre est reparti. Le pauvre malheureux vient mourir à son gîte.        La perdrix le raille et
i vite ; Qu’as-tu fait de tes pieds ? Au moment qu’elle rit, Son tour vient , on la trouve. Elle croit que ses ailes        La
ouir des plaisirs qu’elle lui offroit, lorsque le chef de la religion vint le trouver et lui dit : Prince, rien n’est plus c
n’ont pas su prévenir la fin qui les menaçoit ; et le jour fatal est venu , sans qu’ils eussent rien fait pour adoucir leur
i manque le moins. Un riche laboureur, sentant sa fin prochaine, Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins. Gardez-vous
inconvénient en mettant ses filles en pension, si on les fait ensuite venir chez soi toutes les semaines. L’innocence des mœu
5 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
eurs autels, les esprits ambitieux qui auraient voulu se permettre de venir chercher à y démêler la vérité. Il ne faudra donc
e s’élevait, suivant Varron, à plus de trente mille chez les Romains. Viennent ensuite les religions égyptienne, hindoue, persan
Syriens leur apporter leurs dieux, leurs héros et leurs fables. De là vint cette théogonie confuse, qui pourtant fut le berc
ia ou Cybèle, Thémis et Mnémosyne, Phébé et Thétys. En seconde ligne viennent les Cyclopes : Brontès, Stérope et Argès, ou Harp
l’une et l’autre comme les astres. De l’union de Crios avec Eurybie, vinrent  : Astrée uni à Eos, que l’on trouvera plus loin,
impuissance causée par une mutilation résultant de sa propre main, ou venue d’une main étrangère, divine ou humaine. Voici co
ain, ou venue d’une main étrangère, divine ou humaine. Voici comme il vint au monde : Jupiter, que nous venons de voir fils
lle avait eu en réalité d’un prêtre nommé Calaüs. N’importe d’où lui vint cet enfant, la mère d’Atys, plus généralement con
ou des Pluies. Leur patrie est aussi incertaine, quoiqu’on les fasse venir , conduits par Deucalion, de l’Eolide dans la Phoc
suite toutes ses filles. Les noms de quelques-uns de ces prêtres sont venus jusqu’à nous ; ainsi on remarque Bienne, Cyllène,
quel les prêtres s’empressèrent d’accorder la divinisation ; et de là vint Jupiter, qu’en style burlesque les premiers appel
îles, les environs et toute la partie orientale appelée Arménie, d’où venaient ses ancêtres. Alors il se reposa de ses conquêtes
e la branche aînée, il les dévorait, comme on l’a vu, à mesure qu’ils venaient au monde. Quant à Jupiter, il est né sans que nou
l’onde, et va promptement chercher, dans cet empire humide, Egéon qui vient avec ses frères. Aussitôt ils se placent auprès d
souverain les a fait surgir autour de lui, prenons-les donc comme ils viennent , lors même qu’en arrivant, ils troublent la filia
ome on célébrait en leur honneur des fêtes appelées Consenties. Puis vinrent les huit grands Dieux auxiliaires appelés Patrice
aussi sérieuse que celle des Titans, habilement soulevée par Saturne, vint le troubler dans son repos et lui donner de vives
é, ils avaient des formes colossales, des pieds de serpens, d’où leur venait le surnom d’anguipèdes, des bras nombreux, mais b
posés les uns sur les autres. Bientôt ils furent assez élevés pour en venir aux mains avec les Dieux. Alors le combat devint
ère de Jupiter, se soumettant au conseil de Minerve, un simple mortel vint au secours des divinités aux abois. Cela pressait
e putatif. Il fut en harmonie avec leur taille gigantesque, d’où leur vient le nom d’Aloïdes. Cette taille avait été le résul
’airain, où il resta près de treize mois, jusqu’à ce que Mercure soit venu l’en tirer, par un stratagème dont le secret n’a
is bien plus justement irrité contre ce savant des temps fabuleux. Il venait , lui Prométhée, d’immoler deux bœufs, d’en arrach
ien close, renfermant la récapitulation de tous les présens dont elle vient d’être comblée ; puis il nomme Pandore, c’est-à-d
t un anneau de fer supportant un petit fragment du Caucase, d’où nous vint , dit-on, l’origine des bagues. Prométhée, représe
iade, ou avec un quatrième fils d’Haliphron et de la nymphe Iophossa, vint du sud de la Scythie s’établir dans la Thessalie,
et Calycé. Dorus devint père de Xantippe qui épousa Pleuron ; d’où vint Agénor, lequel de son alliance avec Epicaste, fil
humains. Plus tard les Grecs civilisés supposèrent que Jupiter étant venu chez ce roi pour y recevoir l’hospitalité, Lycaon
t pour ainsi dire avec Diane et les forêts de l’Arcadie, d’où lui est venu le surnom de Diane-Pélasgique qu’on lui donne sou
our avoir enchaîné la Mort et l’avoir retenue jusqu’à ce que Mars fût venu la délivrer, à la prière de Pluton, dont l’empire
e, bien des années après, que Mercure, sur un ordre positif des Dieux vînt le saisir et le ramener de force auprès de Pluton
de Mercure, auquel elle découvrit que ses frères, en jouant ensemble, venaient d’inventer l’art de la lutte. Le Dieu s’étant bie
couronne fut décernée à Arrachion, qui n’était plus. Après le ceste, venait le disque, jeu consistant à se tenir d’un pied en
al, dont la forme et la pesanteur variait au gré des concurrens. Puis venaient les jeux d’adresse et de légèreté. Les juges ou h
us ; le Latiar était une fête annuelle que tous les peuples du Latium venaient célébrer à Rome en l’honneur de Jupiter-Latiaris,
ines étaient coiffés d’un flammeum ou voile couleur de feu, d’où leur venait leur nom, mais lui se couvrait la tête de l’Albog
le avait un culte chez les Athéniens et un temple à Rome. Après celle venait Nicée en Grèce, ou la Victoire des Romains. Elle
de cette déesse, mais seulement par sa volonté et sur la terre qu’il vint au jour. Plusieurs mythologues, peu soucieux de s
mme, un devin pour prononcer : ils convinrent d’appeler Tirésias, qui vint , et se rangea du côté de Jupiter. Alors, dans sa
igé le tiers du royaume, et Mégapenthe ayant refusé, une des Prœtides vint à mourir ; alors celui-ci doubla sa demande, et l
remière prêtresse de Héra, dans un temple entre Argos et Mycène, d’où vint le nom de Junon Argiva. A cette prêtresse à laque
r et d’ivoire, et assise sur un trône. Les fleurs qui la couronnaient venaient des bords du fleuve Artarion, et l’eau servant da
Vulcain enivré par Bacchus : alors il oublia sa haine pour Junon, et vint rompre ses chaînes. Il fabriqua aussi les armes d
mier ordre. Cependant Ardalus passe pour avoir inventé la flûte, d’où vient aux muses le surnom d’Ardalides. Brothée que l’on
s dieux, et l’assemblée tenue à Athènes sous Cranaüs l’acquitta. D'où vint depuis l’établissement de l’Aréopage ; du reste,
e, fille de Pandion, roi d’Athènes laissa Philomèle sœur de sa femme, venir avec elle, malgré les répugnances que Pandion mon
nt la fête par un repas si bien somptueux et délicat, que de là était venu le proverbe : Saliares dapes, ou repas saliens. C
s et Pavoriens, qui leur sacrifiaient un chien ou une brebis. Ensuite venaient la Fureur, le Tumulte, ou la Consternation, l’Eff
uré sept ou neuf jours, parce qu’Ilithye l’accoucheuse ne voulait pas venir la secourir ; en effet, disent-ils, ni Dioné, ni
en or ; Ilithye gagnée par ce présent, se dédoublant alors de Junon, vint à l’insu de celle-ci délivrer Latone, et lui aide
ise et pour toujours immobile, auprès des corps de ses enfans qu’elle venait d’arroser de ses larmes. La vie lui échappa donc
ans, qui tendent leurs mains vers le serpent Python à l’instant qu’il vient pour les étouffer. Diane, fille de Latone et de
ues se basant sur ce que le mot Endymion signifiait dormeur, d’où lui vint le surnom du Dormeur de Latma, ont prétendu qu’ap
e allégorie de la paresse des bergers dormant souvent lorsque la lune vient dissiper l’obscurité de la nuit. On donne encore
ruautés en cachant la statue de Diane dans un fagot de bois, d’où lui vint le nom de Phaselis, et en l’emportant en Italie,
appelées Arctoi, âgées de cinq à dix ans, et vêtues en robes jaunes, venaient se consacrer à la déesse, et l’on appliquait un l
isme les assistans ne fuyaient pas les dangereuses attaques quand ils venaient à se détacher du bûcher. Les Limnatidies étaient
, né en Crète, avait Corybas pour père ; le troisième, appelé Nomios, venait d’Arcadie ; le quatrième était le fils de Jupiter
Dracio dont les déprédations continuelles empêchaient les fidèles de venir sacrifier au temple de Delphes. Son corps, laissé
é sans sépulture, ne tarda pas à infecter tous les environs, d’où lui vint probablement le nom de Python, nom que les astron
e sa sœur, le fit prisonnier et allait le faire périr, lorsqu’Alceste vint s’offrir volontairement aux vainqueurs pour sauve
e l’ambassadeur en prison. Dès qu’il apprit ce manque de foi, Hercule vint assiéger la ville de Troie, la saccagea, tua Laom
la chasse, son frère Déliade ou Alcimène ou Bellerus, d’où lui était venu le surnom de Bellérophon ou meurtrier de Bellérus
ur rencontré les Muses, leur fit beaucoup d’accueil et leur offrit de venir se reposer dans son palais. A peine eurent-elles
diction faite à son père, pauvre laboureur, un jour qu’un aigle était venu se poser sur le joug de ses bœufs. En mémoire de
a part de Jupiter, Midas lui consacra le charriot sur lequel il était venu en Phrygie. Ce roi avait pour ami le dieu Pan. Ce
s tous ses voyages. Le hasard leur fit rencontrer à Nisa, Apollon qui venait d’être exilé du ciel, le hasard voulut aussi que
heureusement célèbre plus tard par les suicides de divers personnages venus pour éteindre dans les eaux qui baignaient ce pro
roi arcadien Elate, tué à la chasse par un serpent appelé Seps, d’où vint à la contrée où il mourut le nom de Sepsa. Enfin
plus particulièrement une personnification du soleil, nous le voyons venir d’Égypte en Grèce, y perdre son nom d’Osiris et y
e pour purger les hommes avant qu’elle retournât au ciel ; ensuite il venait dans celui du Scorpion ou octobre : c’était lui q
peine de détruire lui-même à coups de flèches tous ces animaux, d’où vient à ce dieu le surnom de Sminthé, lequel aussi, par
e exhalaison prophétique, disait-on, et au bord de laquelle la Pythie venait s’inspirer en respirant ce gaz délirant. Quelques
e fer auxquelles on donna la forme et le nom d’un trépied. Mais on ne venait pas s’inspirer au hasard sur ce trépied divin. D'
ellule, afin qu’elle pût s’y reposer ou y mourir des fatigues qu’elle venait d’éprouver, chose du reste fort indifférente au p
struit le temple de cet oracle. Il eut pour successeur Evangèle, d’où vint aussi le nom d’évangiles que l’on donna souvent a
pris et conduit comme suspect en prison. Peu de temps après Leucippe vint chercher son père, déguisée sous les habits d’un
les deux plus grands poètes et chanteurs des temps anciens ; ensuite vint le fameux Homère, fils de Climène. Il vivait l’an
r d’Opis et d’Hécaërge dans laquelle il disait que cette déesse était venue du pays des Hyperboréens en Achaïe et à Délos. Pa
, et c’était le propre jour de ses noces, l’hamadryade Eurydice qu’il venait d’épouser, fuyant le long d’un fleuve les poursui
se chérie qu’il adorait, mais en le menaçant en même temps qu’un jour viendrait qu’il désirerait n’avoir jamais revu sa femme. Ma
sac de Lyrnesse, et tomba en partage au roi Agamemnon. Son père étant venu la réclamer, elle lui fut refusée. Cependant une
ou, suivant d’autres, Lycius, fils de Cléonis, eut l’indiscrétion de venir informer Apollon que sa maîtresse était infidèle,
les bords d’un fleuve, dans une fondrière couverte de lauriers, d’où vient la fable, dont le sens moral semble rappeler la p
r, et Thyas qui la première fut honorée du sacerdoce de Bacchus, d’où vient aux bacchantes le nom de Thyades. Centaure, fils
e d’homme et le corps et les jambes de chevaux ou de bœufs, d’où leur vint les surnoms d’Hippocentaures et de Bucentaures ;
ribué à Apollon ; il était tellement ami de Phaéton que la mort étant venue frapper celui-ci, Cycnus abandonna ses états pour
dérée comme repos bienfaisant. D'autres idées étrangères à la Grèce y vinrent encore ajouter à celles qui précèdent ; aussi, pa
inisé prit son origine en Phénicie, puisqu’il passa en Egypte d’où il vint en Grèce avec toutes les colonies grecques nomade
ès, semé les premiers grains récoltés dans la Grèce. Peut-être ce nom vient -il aussi de Rharos, père de Triptolème, Sito ou d
également sous les noms de Parthénios, Anthion ou Calichoros. A peine venait -elle de s’asseoir, qu’elle voit arriver, pour pui
ndant par une grace toute spéciale, il accorde à sa sœur que sa fille viendra passer alternativement six mois auprès d’elle, pu
s mains de Jupiter même le secret d’ensemencer les terres et de faire venir des moissons ; mais plus effrayés que lui de cet
uoi qu’il en soit, l’on croit généralement que l’Eumolpe de Thrace ne vint qu’accidentellement à Eleusis, et qu’il fut tour-
égyptienne donnèrent lieu à des récits selon lesquels Eumolpe serait venu ou d’Egypte ou de Thrace. Bientôt on fondit toute
Jupiter, qui se composait des peaux saignantes des victimes que l’on venait d’immoler à Jupiter-Mîlichios ou Ctesios ; on jeû
ver à Eleusis sous un figuier, pour imiter Cérès, et l’on suppose que venait ensuite un échange rapide de saillies caustiques
ème prêtre chargé spécialement de l’autel, et figurant la lune ; puis venait en sous-ordre l’Archonte roi, chargé des prières
e cnéore ou de sarriette et de cnyse ou conyse, ou d’herbe aux puces. Venaient ensuite les jours des processions. Ceux de ces jo
ait Cérès d’une manière particulière. Les Argiens la supposaient être venue d’Égypte, après avoir été reçue dans le Péloponès
de quelques pieux serviteurs ou desservans des temples de Cérès sont venus jusqu’à nous, ainsi tels sont ceux de la prêtress
urs ; enfans nés suivant les anciens, de divers générateurs, et de là venait l’idée de courtisane que toujours on rapprochait
ururent pour sauver sa statue ; mais tout-à-coup une verdure nouvelle vint à couvrir le bois. Ce conte une fois admis, les p
itable déesse des fruits était encore toute romaine : c’était Pomone, venue , dit-on d’abord, d’Etrurie. Elle présidait à la r
vin cuit, mais qu’ils ne buvaient pas, comme on l’a dit quelquefois. Venait ensuite un festin dans lequel dominait la Burrani
né complètement, et ne sachant plus comment faire de l’argent, il lui vint la pénible idée de vendre cette fille chérie, et
oirs de l’humanité, de la foi conjugale et de la maternité ; ensuite, viennent les heures des sacrifices, des repas, de la prome
ant, agaçant, caressant les désirs de la pudeur enfantine ; après eux venaient les charmes, la volupté, les transports, la langu
jalousie des déesses. Jupiter alors l’adopta pour fille et lui dit de venir occuper le trône de la beauté. Depuis ce jour ell
te augmenta sa puissance. On y voyait en outre les Ris, après les ris venaient Pothios ou le désir, conduits par Gélos ou Gélasi
t un sanglier, les crins hérissés et les yeux étincelans, s’élance et vient à lui ; le chasseur le voit, puis avec l’impruden
elle et séduisante Vénus, descendre jusque dans l’empire des morts et venir avec le plus gracieux sourire, confier à Proserpi
celle-ci refusa de rendre son amant : de là nouveaux débats, et de là vint l’intervention et la décision précédente de Jupit
trouvé sans se noyer un terme à son amour pour Adonis, et que Jupiter venait calmer la fougue de ses passions. Profitant avec
ilets et des barques aux environs, prêts à recueillir les malades qui venaient à l’exemple des dieux, demander aux flots la guér
ter au bûcher le cercueil où son corps était placé, quand une colombe vint à en sortir et disparut dans les airs : dès-lors
Alors Eros peut être pris pour fils de tous les personnages que nous venons d’indiquer ; puis le nom d’Eros signifiant amour,
s, excepté l’Amour et la Discorde, qui n’eurent pas la permission d’y venir . Cependant Vénus, saisissant la circonstance, dit
auprès de ses parens, elle leur prodigua tous ses soins. Chaque jour venait développer ses graces ; sa beauté ravissante exci
s. A peine l’Amour a-t-il promis à sa mère de la venger, qu’un oracle vient épouvanter la contrée. Il annonce que les Dieux o
ou faisaient entendre les concerts les plus agréables. Enfin la nuit vint  ; Psyché se coucha ; bientôt au milieu des ombres
elle arrive dans la petite ville où règne sa sœur aînée. Alors il lui vient une pensée de vengeance : elle lui raconte que l’
que l’amour alors est représenté ayant un doigt sur la bouche ; puis vient l’amour divin, il n’a plus rien de payen, il est
, à laquelle il ressemblait ; sa perte l’ayant rendu inconsolable, il venait pleurer sur les bords d’une fontaine et n’adoucis
te fable une couleur plus historique encore, disent que des marchands venus pour trafiquer sur la côte de Phénicie, ayant vu
sur un vaisseau dont la proue était décorée d’un taureau blanc, d’où vint la fable de Jupiter, transformé en taureau pour e
é. On institua même en son honneur une fête nommée Hellotia, d’où lui vient le nom d’Europe-Hellotès ; dans cette fête, les r
oyons qu’Inachus était un fils de l’Océan et de Thétis, c’est-à-dire, venu probablement de Phénicie dans la Grèce où il fond
m régna dans l’Argolide vers l’an 1661 av. J.-C. Son nom du reste est venu jusqu’à nous, en conservant son expression redout
t, en disant qu’après un grand festin donné par les Dieux Pænia étant venue pour ramasser les restes, Porus enivré par les fu
si appelée, on ne sait trop pourquoi ; soit, disait-on, parce qu’elle venait du cerveau de Jupiter ; soit parce qu’elle était
ait née le troisième mois ; soit encore parce qu’on la supposait être venue au monde après Apollon et Diane ; soit enfin que
l’égide qu’elle portait sur sa poitrine de l’image de Pallas : de là vint l’origine du Palladium ou statue de Minerve-Palla
y fut importé vers l’année 1556 ou 1582 par Cécrops, qui de l’Égypte vint s’établir dans l’Attique, et y popularisa cette m
ur, mais on les prolongea ensuite, pendant quatre et cinq jours, d’où vint leur nom ; les Sthénies étaient, à Argos, des fêt
Cécrops, parlons de cet importateur du culte de Minerve à Athènes. Il vint , dit-on, ou de Phénicie ou d’Egypte ou de Saïs, a
signifiait à la fois contestation en terre ; il semblerait donc être venu après Cécrops et Cranaüs son successeur. La naiss
nner harmonieusement. Peu de temps après, accompagné de son frère, il vint à Thèbes, délivra sa mère et la vengea des outrag
in instrument, et à ces accords mélodieux les pierres se mouvaient et venaient se ranger en ordre sur les murs Thébains. Plus ta
es peuples, dans l’origine, portaient le nom d’Aones avant que Cadmus vînt se fixer dans ce pays avec une colonie phénicienn
raison de quoi l’on criait dans ses fêtes. Déliez la ceinture ? d’où vint le nom de Dithyrambe que l’on donna ensuite aux h
Hyès ou du nom de Sémélée ou de la saison pluvieuse, pendant laquelle venaient toujours ses fêtes ; Iacchos ou le fils de Cérès 
e remit entre les mains de Jupiter, qui le plaça dans sa cuisse, d’où vint à Bacchus son nom de Bimater ou à deux mères. Que
rhéniens, inspirés par Junon, firent violence à leur pilote Acétès et vinrent enlever ce dieu. C'étaient Alcimédon, Dictys, Eth
du gouvernail en place du pilote ; malheureusement pour eux, le dieu vint à se réveiller, et dans sa colère, aussitôt il le
oi à tous les peuples de cette grande péninsule. Les nations voisines vinrent se soumettre d’eux-mêmes à Bacchus et subirent av
eux. Un jour en se promenant au pied d’un rocher contre lequel la mer venait briser ses flots, il entendit une voix touchante
, ne voulut pas se laisser séduire par les femmes de la Thrace, qu’il venait d’enivrer ; alors celles-ci furieuses, le mirent
urs tapisseries en feuilles de lierre. De Thèbes, le culte de Bacchus vint à Argos ; alors deux fois on tenta inutilement de
de Bacchus sans faire connaître les dieux et déesses subalternes qui venaient après lui et formaient son véritable cortége. Nou
Calisto, ou de Mercure, et de Pénélope ou du ciel et de la terre ; il vint au monde avec les cuisses, les jambes, les pieds,
eillans en leur donnant des cornes et des pieds de chèvre ; d’où leur venait le nom de Capripèdes. Ensuite, quand ils arrivaie
ient des oracles, savoir : Fauna aux femmes, Faunus aux hommes ; d’où vint le nom des oracles Fatidiques, Fatuelis et Fatuel
x d’Amate et roi des Arborigènes dans le Latium, où nous verrons Enée venir y épouser sa fille Lavinie et fonder ainsi la tig
e manifesta chez ces descendans d’Hercule qui pensant que cette peste venait pour les punir de leur crime, élevèrent un temple
s enfans de Léda et de son mari Tyndare. De cette naissance douteuse, vinrent les noms et surnoms qu’on leur donnait : on les a
garder en outre comme divinités tutélaires de la navigation : à peine venait -on de lever l’ancre du Promontoire de Sigée, qu’u
nfans : Hallen, Amphiction et Protogénie. Il est probable qu’il était venu du midi de la Scythie s’établir près du mont Parn
pleurant ils s’écrièrent dans cette posture. voilà le Mélampyge, d’où vint la menace proverbiale des Grecs : « Prends garde
Olivarius ou à la massue d’Olivier, Opsigonos ou né tard parce qu’il vint au monde après Eurysthée, Polyphagus ou qui mange
pendant, avec la pudeur dans les yeux et la modestie dans les gestes, vint simplement lui offrir les hauts faits que produis
de brûler la plaie à mesure qu’il couperait une tête, mais un cancre vint au secours du reptile. Néanmoins, Hercule écrasa
qu’Hercule à son retour de l’expédition des Argonautes, fut obligé de venir assiéger Troie, séjour de Laomédon, qu’il immola
utel à Jupiter sauveur : autel autour duquel les peuples des environs vinrent , chaque année, célébrer une fête en l’honneur d’H
t lui barer le passage ; mais ils sont vaincus. Alors l’amazone OElla vient bravement l’attaquer ainsi que l’audacieuse Proth
re de ses exploits, l’Asie, l’Afrique, l’Espagne et l’Italie. A peine venait -il de rentrer dans le Péloponèse, qu’il se signal
cœur, dès qu’il voudra devenir volage. Hercule ayant tué ce centaure, vint reprendre Déjanire et tous deux continuèrent leur
feu est-il allumé, que le tonnerre se fait entendre et que la foudre vient purifier les restes de ce mortel, que Jupiter élè
osa ses cendres dans un tombeau et lui dressa un autel, sur lequel on vint lui offrir de nombreux sacrifices. Puis les Théba
ne, mort pendant l’expédition ; mais bientôt les descendans de Témène vinrent à s’éteindre avec la personne de Meltas, quoique
lequel elle s’éteignit. Les noms des principaux descendans d’Hercule venus jusqu’à nous avec le titre d’Héraclides sont : Ag
qui restait sous terre, Xudân ou le portier chez les Etrusques. Puis viennent ses doubles noms, en raison des doubles rôles qu’
r à reculons, afin d’en faire perdre les traces ; mais le dieu berger vint réclamer ses bœufs au jeune enfant, qui sans s’ef
l il avait donné, pour prix du secret, la plus belle des vaches qu’il venait d’enlever, Mercure le soupçonna de l’avoir dénonc
amours, après qu’il l’eût entendu dire en présence de tous les Dieux venus pour voir Mars et Vénus, pris dans le réseau invi
Eurytus ; Carmenta ou Carmentis ou la Thémis des Grecs, prophétesse, venue d’Arcadie en Italie, et divinisée à Rome, son vra
Evandre, fils de Carmente, fut le chef de la colonie d’Arcadiens, qui vint s’établir en Italie, aux environs du mont Aventin
prix. Cependant, après sa victoire, Myrtile ayant eu l’imprudence de venir le sommer de tenir sa parole, Pelops, indigné, le
er. Norax, fils d’Erythrée, fut le chef de la colonie d’Ibériens, qui vint habiter la Sardaigne ; Palestre, née de mère inco
cide ; Lycabas et Phlégias par Phinée ; et le chef Éthiopien, Zacore, venu au secours de Persée, est mis à mort par Argus. M
rchelaüs, tous ses fils. Mestor épousa Lysidice, fille de Pélops d’où vint Hippothoé, père de Taphius, duquel naquit Ptéréla
licie, où il embrassa la cause de ses habitans contre les Lyciens qui venaient les attaquer. Là, il se couvrit de gloire ; et ap
es divers héros étrangers qui débarquèrent sur le sol de la Grèce, et vinrent y imposer leur loi. Aussi, d’après Vossius, conna
t par conséquent une foule de femmes, de maîtresses et d’enfans, d’où vint qu’on lui prêta diverses formes, sous lesquelles
hée, fils de Larisse, Actor, fils d’Agamède. Agénor, roi de Phénicie, vint , suivant quelques historiens, s’établir l’an 1535
d’Argos, dont il épousa la fille ; mais après la mort de son père, il vint réclamer la part de sa succession, et il fut conv
s, marcha contre Thèbes avec une armée commandée par sept chefs, d’où vint que l’on donna à cette campagne le nom d’expéditi
nt Argos pour marcher sur Thèbes : arrivés à Némée, une soif brûlante vint les assaillir. Ne sachant où trouver une source p
que contre la même ville, à la tête des fils des premiers chefs, d’où vint le nom d’Épigone, que l’on donna à ces chefs de l
er dans des villes les habitans de l’Eubée et de la Béotie, d’où leur vint le nom d’Aoniens ; Arpiatres. Arion était un che
es Dieux secondaires et très-inférieurs, avaient peu de divinités qui vinssent se grouper autour d’eux. Cependant nous citerons
ses côtes des feux près de tous les écueils sur lesquels les navires vinrent se perdre, en croyant se sauver. Nausithous, fils
ne, une inondation effrayante, connue sous le nom de déluge d’Ogygès, vint submerger ses domaines vers l’an 37 de son règne,
inconnue, les uns lui donnèrent Neptune pour père, comme le supposant venu par mer dans la Grèce ; d’autres le croyant né da
fit monter tout son monde sur un seul navire, qu’il appela Argo, d’ou vint à ces guerriers navigateurs, le nom d’Argonautes.
du roi Pitthée. Il n’était encore âgé que de sept ans, lorsqu’il vit venir chez son grand-père Pitthée, Hercule couvert de l
u vieux Thésée, jusqu’à ce que ses frères les Dioscures ou Tyndarides vinssent la delivrer de l’esclavage. Ce Pirithoüs descenda
on ami fut retenu prisonnier par Aïdonnée, jusqu’à ce qu’Hercule soit venu le délivrer ; d’où vint la fable imaginée pour fa
nier par Aïdonnée, jusqu’à ce qu’Hercule soit venu le délivrer ; d’où vint la fable imaginée pour faire croire que Pirithoüs
charger de chaînes Pélée, jusqu’à ce que Jupiter, son grand-père, fût venu à son secours, en envoyant le délivrer par Castor
la fuite et épousa Ménélas ; puis fut ensuite enlevée par Pâris, d’où vint la guerre de Troie. Peu de temps après ces noces,
eu des mers lui-même. On leur immolait des taureaux blancs, d’où leur venait les surnoms de Tauriceps et de Taurophages ; quel
s eaux des paillettes d’or. D'autres disent que cette prérogative lui venait d’une plante qui portait de l’or. Il fut père d’E
r Pluton. Néréides. Après les grandes Divinités de la mer, on voyait venir une troupe de jeunes filles, soumises aux volonté
et l’humanité, elles étaient préposées à diverses spécialités. De là, viennent les noms de Dryades, Hamadryades, Oréades, Napées
sis, en Arcadie, dans lequel se trouvait une île flottante, d’où leur vint le nom Corycides. Elles habitaient, disait-on, au
les abattre, fallait-il que les prêtres eussent déclaré que ces bois venaient d’être abandonnés par les nymphes. Eurydice, femm
nombre de quatre ; Calliphaé, Synallaxis, Pégée et Jasis. Leurs noms venaient des eaux de ce fleuve qui, prises en bains, passa
fleuve Ismenus, près de Thèbes. Lélégéides, nymphes dont le nom leur venait des Lélèges, peuple d’Asie. Limnades, ou Limniad
le cheveu fatal, qui, disait-on, retenait les mortels à la vie, d’où venait que les chevelures des morts étaient offertes à c
dernier et retint le premier prisonnier, jusqu’à ce que Hercule soit venu le délivrer. Proserpine devint même jalouse de so
ause de leur extrême flexibilité, soit parce qu’elles étaient censées venir dans les prairies du sombre empire. Cette allégor
n, mais la satiété, continuelle suivante de l’hymen, ne tarda point à venir la tourmenter : l’occasion seule lui manquait au
temps éternel, du parfum des fleurs que jamais l’haleine des vents ne venait altérer, et des trois moissons que la terre y pro
plusieurs jours autour du sombre asile où ils étaient déposés ; de là venait l’usage de les appeler en faisant trois fois le t
ortait le nom d’ Algos ou la Douleur, l’Aloès en est l’emblême ; puis venaient Androctasée ou l’ Homicide, couvert d’armures et
un autel, sur lequel, avant de partir pour les combats, les guerriers venaient lui immoler des victimes, en lui faisant l’offran
els des enfers. Toutes les tortures, tous les malheurs étaient censés venir d’elles. C'est surtout le cœur qu’elles cherchaie
résentait des serpens furieux et appelait à hauts cris ses sœurs pour venir la seconder. Elle avait un temple environné de cy
où, disait-on, le vieil Œdipe, aveugle et banni par ses enfans, était venu chercher un asile. Lyssa était la rage personnifi
de quitter le ciel, parce qu’elle le troublait par ses fureurs : elle vint se réfugier sur les bords de l’Achéron, qu’elle p
’Argolide ; mais, bientôt Agamemnon et Ménélas, secourus par Tyndare, vinrent à leur tour les chasser de Mycènes. Que devint Th
à lire l’avenir dans les entrailles palpitantes d’un taureau que l’on venait d’immoler. Peu de temps après qu’Agamemnon eut ép
armes, il refusa arrogamment de rendre cette Chryséis à son père, qui vint lui apporter la rançon de sa fille ; il s’en irri
r dans le temple d’Apollon, en attendant qu’Egisthe et Clytemnestre y vinssent rendre graces aux dieux de les avoir délivrés d’u
de tenir le serment qu’ils avaient fait de se liguer contre celui qui viendrait troubler le ménage de l’époux qu’elle aurait choi
iam, sous prétexte de traiter du rachat d’Hésione ou de son héritage, vint à Sparte quelque temps avant ou pendant l’absence
rdre de Pâris, afin d’être plus assuré de sa fidélité ; aussi, de là, vinrent que les Arcadiens donnaient aux eunuques le nom d
pour lui rendre la liberté, avait persuadé à la populace, que Pyrrhus venait pour piller son temple. Cependant on assure aussi
ius, et fut blessé par Pandore. Plus tard, il blessa Vénus, qui était venue au secours d’Énée, et même, il se mesura contre l
s après, Ulysse et Néoptolème retournèrent à lui et le supplièrent de venir à Troie ; d’abord il refusa, puis enfin il consen
qu’en crevant avec un tison enflammé l’œil unique de ce monstre, qui venait , pour se réjouir de sa capture, de s’enivrer en b
le sauva malgré lui, en s’écriant que c’était Aoutis ou Personne qui venait ainsi de le blesser. Les Cyclopes, trompés par ce
ant un mât avec lequel il fut balotté l’espace de neuf jours, puis il vint aborder dans l’île d’Ortygie ou de Calypso. Le le
nt ensuite dans le port des Phéaciens, où Nausikaa, fille d’Alcinoüs, vint avec ses compagnes. Cette princesse, voyant cet i
damas, fut tué par Agamemnon ; Corèbe, fils de Migdon et d’Anaximène, vint secourir Priam et se fit tuer par Pénélée ; Crito
x du même nom, l’un, père d’Hippocoon, et l’autre de Nisus, d’où leur vint le nom d’Hyrtacides ; Hyrtius, fils de Gyrtius, M
me et Cocher de Pylémène, fut tué par Antiloque ; Naste, chef Carien, vint secourir priam ; Néamas, tué par Mérione ; Noéron
accidentellement par Sarpédon ; Penthésilée, reine des Amazones, qui vint au secours de Priam, eut, pendant le siége, une i
bâtir seulement sous son règne Pergame ou la citadelle de Troye, d’où vient que souvent cette ville fut surnommée Ilion. On p
e Ilion. On prétend qu’alors le Palladium ou petite statue de Minerve vint à tomber du ciel ; aussitôt Ilos, pour conserver
s lui ayant demandé le salaire convenu pour les fortifications qu’ils venaient d’achever, il le leur refusa et les força même de
la population s’augmenta par les émigrations des peuples voisins qui venaient se soumettre aux sages et douces lois qu’il avait
e, que l’on avait envoyés en Lydie, pendant le siége de Troie, et qui vinrent après le départ des Grecs rebâtir la ville et fon
ubitablement fait mourir, si l’ombre de Pélée, père d’Achille, ne fût venue s’y opposer. Andromaque, après la mort de Néoptol
nce, les reçut avec des transports de joie, sans penser que les Grecs viendraient bientôt avec mille vaisseaux redemander Hélène et
t un jour endormi dans un temple avec Cassandre sa sœur, deux dragons vinrent leur lécher les oreilles et, depuis ce moment, il
s prairies du Simoïs. Aussitôt l’infortuné monarque supplie Rhésus de venir à son secours : celui-ci y consentit et arriva pe
fut de même des prophéties de Cassandre, fille de Priam et d’Hécube ; venue au monde le même jour que son frère Hélénus, elle
l’Italiote, tué par Camille ; Évandre ; Gylippe et ses neuf fils, qui vinrent avec Pallas, fils d’ Évandre ; Ladon, venu avec É
e et ses neuf fils, qui vinrent avec Pallas, fils d’ Évandre ; Ladon, venu avec Évandre ; Ménète, de la suite de Pallas et t
en paix pendant quatre ans ; mais, alors, les Etrusques étant encore venus l’attaquer, il y eut une bataille sanglante près
cessivement par plusieurs villes, il était arrivé jusqu’à Rome ; d’où vint que cette immense et toute-puissante cité s’arrog
à peine âgé de seize ans, eut à se défendre contre les Etrusques qui vinrent l’attaquer dans ses états. Cependant, aidé par le
fils nommé Iule, qui se contenta de la qualité de Grand-Prêtre ; puis viennent les descendans plus ou moins historiques de Sylvi
e n’étaient pas encore terminés lorsque Énée, poussé par une tempête, vint aborder dans ces nouveaux états. Didon le reçut a
rendait des oracles que les habitans des contrées les plus éloignées venaient chercher. On le représente tantôt sous la forme h
il tua le roi, parce qu’il voulait s’opposer à ses desseins ; puis il vint en Macédoine, et y chargea Triptolème d’aller ens
ple dans le grand Delta, à peu de distance de la mer, où les pélerins venaient la consulter sur l’avenir. Har-Pokrat, issu d’Os
apports involontaires d’Osiris et de Nefté, déesse des élémens. Etant venu au monde avant le terme, il fut exposé dans une f
d aux 5, 6, 23 et 32e dynastes. Au-dessous des décans et sous-décans, venaient des dieux planétaires, divinités également du sec
ou Melkarth ou Adonis ; puis, au-dessous de ce grand Baal, ou soleil, venait le Baal des Carthaginois, ou Saturne, ou Moloch,
à perdre la vie, à condition que les limites de l’empire de Carthage viendraient jusqu’au lieu où ils étaient. On y consentit ; al
el ; ensuite chaque nègre fait son offrande, et se met à fumer ; puis viennent les prières générales pour une bonne récolte. On
és d’aller aux pieds de la statue et de dire : Maramba, ton serviteur vient se justifier devant toi. Si le prévenu est coupab
ssement, où ils resteraient éternellement ensevelis, si la chaleur ne venait les développer ; mais le grand dieu-feu, le dieu-
res gigantesques et monstrueuses. Mais, lorsque le temps de créer fut venu , Baal coupa Omorka en deux ; alors, la partie sup
de la Phénicie ; on le regardait même comme le roi des dieux, car il venait immédiatement après Chrône. On le représentait av
ité réunie formait la puissance suprême. Après ces dieux, nous voyons venir  : Lunus, ou la lune-dieu, honoré à Carrhes, en Mé
Phénicie. L'on peut supposer qu’après le dieu civilisateur Taaut, il vint quelques autres souverains qui furent également d
de toutes choses, enterra dans la ville du soleil les mémoires qu’il venait d’écrire, construisit un vaisseau d’une grandeur
tortures les plus atroces, toutes les statues des dieux de l’univers vinrent se réunir dans le temple de Baal, pour pleurer la
scendre à ses vœux. Après ces dieux, pour ainsi dire, bons principes, venaient  : Moloch, le plus célèbre et le plus terrible de
second âge ; sous la forme de Viaça et de Mouni, poète et auteur, il vint pendant le Douaparaïouga, ou troisième âge du mon
empare de lui et l’extermine de ses propres mains. Après les Daitias, viennent les Danavas ou Danous, également mauvais génies,
ui le menaçait, s’empara des deux époux, pour empêcher que Vichnou ne vînt au monde ; mais, malgré tous ses efforts, Vichnou
mportent des épis, et les attachent au turban de leurs maris. Ensuite vient la procession, on porte la statue de la déesse, d
à Devadi la moitié de ses états que celui-ci refusa. Ensuite la pluie vint , et tout fut oublié. Eiadia, Radjah fils de Nago
x fois : déjà neuf incarnations ou avatars ont eu lieu, et la dixième viendra pour mettre un terme à la sinistre époque dans la
gorger ses enfans mâles. Déjà, il en avait égorgé sept. Enfin Vichnou vint au jour, mais de cette fois sa mère s’y prit si b
uvait en attendre ; car, Krichna, quoique enfant, tua les Daïtias qui venaient pour exécuter les ordres de Kansa, son oncle. Mal
p de bataille. Avant la victoire, il se mit aux genoux de Rama, qu’il venait secourir, et l’adora ; ensuite, il se mit à la qu
débarrasser, elle en brisa un, et l’autre qui contenait Garoudha, ne vint à son terme que plusieurs siècles après. A peine
nt ses mains, et la cinquième lui servait de siége. Plus tard, il lui vint une sixième tête : aussitôt Vichnou pose sur cett
te antique de Bhavani, dut se fondre avec celui des trois dieux, d’où vint l’union de Bhavani à Siva, lorsque pour pacifier
surtout de buffles, que les Hindous immolent au pied de ses autels ; vient ensuite le 14 de Margasircha, ou novembre-décembr
Après qu’ils eurent subi tous deux une nouvelle transmigration, Gana vint à renaître sous la forme de Santanou, fils de Kou
endant on le voit quelquefois placé sur un énorme éléphant. Kaouciki vint au monde en sortant du sein de Bhavani, lorsque c
t le crâne de Brahmâ. C'est lui Vairava qui à la fin des siècles doit venir tout détruire par l’ordre de Siva. Mahécha, ou M
es force à aller mendier sur la terre. Mais, en définitive, les Dieux viennent toujours à se venger de Mahécha, avec le secours
eux de Parvati, il voulut essayer sur Siva lui-même, le pouvoir qu’il venait d’en recevoir, mais Siva, instruit de ses intenti
ecevoir, mais Siva, instruit de ses intentions, s’esquiva, et Vichnou vint au secours de Siva, en revêtant les traits de Par
es religieuses dures et cruelles auxquelles ils se soumettent ; ainsi viennent les Sâniâci, qui sont les plus anciens et les plu
retomba dans un puits qui se trouvait derrière lui et se noya : d’où vint que Bouddha-Gotama institua la deuxième station,
a terre de son pied, et Okien Tingri, le génie tutélaire de ce globe, vint au contraire témoigner qu’il les possédait ; alor
cinq disciples au jeûne de quarante-neuf jours. En vain Esroun-Tingri vint -il lui offrir dans son hermitage une Kourda ou ro
emier Bouddha, réformateur positif mourir l’an 950 avant J.-C. ; puis vint Maha-Ka ou Maha Kaciapa, de la caste Brahmaïque,
ande ressemblance, même par les insignes. Après le conseil des Lamas, viennent les Lamas secondaires, dont le nombre est en rais
mariés ; quant aux Lamas, ils appartiennent à l’ordre des Arhan, puis viennent les Vadjra-Atcharias, ou religieux se destinant à
n’était autre chose que la lumière que Confucius avait prédit devoir venir un jour de l’occident. Bientôt la religion de Fô
t une confession et des indulgences à la manière des chrétiens. Enfin viennent les Boudsoïtes, ou adorateurs de Boudso, autremen
ensemble un commerce éternel. Après ces sept grands Dieux spirituels viennent  : Les Tsisingodaï, ou Dieux terrestres au nombre
t celui de Boungo, il est nommé Ousa-fatsman. Après ces grands Dieux viennent les Kamis, ou héros indigènes du Japon, auxquels
orages. C'est lui qui embrasa l’univers lorsque les hommes en furent venus à un tel état de perversité, qu’ils méprisaient m
x chevaux blancs très-maigres et d’un grand nombre de peuple. Ensuite viennent deux chevaux gras, suivis des prêtres et des gran
s. Enfin, fatigué de la vie, il se donna volontairement la mort, d’où vient que ses adorateurs se tuent sans difficulté, croy
rveilleuse et exemplaire par sa piété ; plus tard, les rois eux-mêmes vinrent le visiter et lui présenter leurs hommages. Un jo
ait consacré à Amerdad. Les Izeds ou Yzeds, génies de deuxième ordre, viennent immédiatement après les Amchasfands, et comme eux
ront certains caractères pour les consacrer au bon principe ; ensuite venait l’offrande du pain et du vin, et, à la fin, on me
ir la peine due à leur péché, jusqu’à ce que la résurrection générale vienne les délivrer. Fréfak, fils de Siamak, et de Bech
ire, et aux sons harmonieux de la Kandela ou lyre, les meules de foin vinrent d’elles-mêmes dans les granges, les flots de la m
; on le consultait au moment des semailles pour savoir si les plantes viendraient à hauteur d’homme. La personne qui le consultait
tenir debout, un pied en l’air, et c’était un mauvais présage, si 'on venait à s’appuyer sur les deux pieds. Zermagea, Die
, disaient les légendes de ces peuples, est un génie funeste qui doit venir un jour, suivi des génies du feu, envahir le ciel
en est ébranlée. La captivité de Loke ne sera pas éternelle ; un jour viendra où lui et les siens anéantiront l’univers. On le
cependant, Fenrir en attrape une partie dans sa vaste gueule ; de là viennent les éclipses. Avant d’être engloutie tout-à-fait
re et du tonnerre, qui lui était opposé. Après ces deux grands dieux, venaient  : Mannus, espèce de dieu-Mars, ou de Cybèle. He
ux sur une même planche ; mais comme les oiseaux ne manquaient pas de venir manger ou déranger quelques-uns de ces gâteaux, o
ux pieds de Milèse, qui arma aussitôt un vaisseau, traversa la mer et vint punir les assassins. Milèse ou Miless, Spain,
ts sans se baisser. Kafa, Laighne et Louaçat, étaient trois pêcheurs venus d’Espagne, ou grands dieux des Tuatha-Dadans, qui
onctuellement. Cette Deirdre était fille de Fiehim, né de Dill ; elle vint au monde pendant le séjour de Qonnor, roi d’Oulad
ux macérations les plus dures et au jeûne le plus rigoureux ; ensuite venaient les réjouissances. Kiouasa était le dieu des Vir
u ciel et de la terre ; mais bientôt Touparan, ou le principe du mal, vint l’attaquer ; mais celui-ci fut défait et plongé,
elle Anaikondi qui le mit au monde sur les montagnes, d’où bientôt il vint dans la plaine enseigner aux sauvages habitans l’
ux pour chanter et se nourrir du suc des fleurs. Après ces divinités, venaient au Mexique les douze grands dieux suivans : Omét
Mexique. On célébrait sa fête par le sacrifice d’une femme : ensuite venaient des jeux ; puis le soir, les prêtres couraient le
cution des lois, et aux écoles ecclésiastiques ; puis, en sous ordre, venaient les prêtresses, et les différens ordres religieux
rcevons : Dabaiba, mère des dieux chez les habitans de Panama ; elle vint sur la terre pour montrer et inventer toutes les
e du bien, qui a pour antagoniste Houékoub, le principe du mal ; puis viennent le soleil et son épouse Antoumalgouen et Epounamo
6 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
ser la tâche à un autre, et m’abstenir d’une nouvelle publication. Il vient un âge où l’on n’imprime qu’avec défiance ; un âg
le trompa la vigilance de son époux, et substitua à Jupiter dont elle venait d’accoucher, une pierre emmaillotée, que Saturne
it que les habitants du ciel auraient le dessous tant qu’un mortel ne viendrait pas les secourir. Jupiter, réduit aux derniers ab
ympe et descendit sur la terre pour être témoin de ses attentats ; il vint en Arcadie, entra dans le palais de Lycaon, et y
énomène descendit sur la terre, dissipa le nuage, et découvrit Io qui venait d’être métamorphosée en vache. Mais comme la nymp
retenir le feu sacré, symbole de la perpétuité de l’empire. Si le feu venait à s’éteindre, le deuil était général dans la vill
nait amèrement des rigueurs du sort : un dauphin, témoin de sa peine, vint lui offrir son intervention et son ministère. Il
tu qu’elle avait un sujet de chagrin, s’approcha d’elle et la pria de venir se reposer dans la maison de son père. Cérès y en
me des moissons. § 10. Minerve. Minerve, déesse de la sagesse, vint au monde d’une manière extraordinaire. Jupiter, é
hon, travaillait si bien en broderie que les curieux de tous les pays venaient s’extasier devant ses tableaux. Ce concert unanim
et chacun la demandait en mariage : Jupiter l’accorda à Vulcain, qui venait d’inventer les foudres sous lesquelles avaient pé
ondateur et roi d’Athènes ; 2° Érichthonius, autre roi d’Athènes, qui vint au monde avec des jambes torses, et qui, pour cac
ne cita Mars en jugement devant un tribunal auguste que les Athéniens venaient d’instituer. L’accusé exposa l’affaire à ses juge
un vif démêlé avec Épaphus. Dans la dispute ils s’échauffèrent et en vinrent aux injures. Épaphus alla jusqu’à reprocher à Pha
, coulait une eau fraîche et limpide. Diane, fatiguée de ses courses, venait d’y arriver avec les nymphes de sa suite pour s’y
mpêcha. Tant de friponnerie et d’audace le firent bannir du ciel : il vint sur la terre, en Thessalie, où il passa son adole
 17. Bacchus. Bacchus, dieu du vin, fils de Jupiter et de Sémélé, vint au monde dans l’île de Naxos, et fut porté par Me
un temple devenu bientôt célèbre, et où, des trois parties du monde, venaient en foule les adorateurs, quoiqu’il fallût travers
fermé dans les temps de paix, et qui s’ouvrait aussitôt qu’une guerre venait à éclater. Alors les chefs de la nation, les magi
un orage, et contraintes de chercher un abri. Pyréné, roi de Phocide, vint à leur rencontre, et leur offrit dans son palais
la musique, traversèrent la Thessalie et une partie de la Grèce, pour venir disputer aux Muses le prix du chant. « Si vous êt
qu’attendent la pauvreté et le malheur ; Lachésis tourne le fuseau où vient s’enrouler le fil que lui a transmis sa sœur ; At
Pan, né en Arcadie, était le dieu des campagnes et des bergers. Il vint au monde avec des jambes et des pieds de bouc, av
de l’année, de ses variations et de l’inconstance des choses. Son nom vient d’un mot latin qui signifie « tourner, changer. »
rtout, elles forment, autour des troncs, une danse légère, à laquelle viennent souvent se joindre les Satyres aux pieds de chèvr
s eaux traversaient le fond des mers sans se mêler à l’onde salée, et venaient s’unir, toujours pures et limpides, aux eaux d’Ar
es et les faisaient fuir ; mais la vue du feu les réjouissait : de là vient qu’en Italie on plaçait de petites lampes dans le
inistrateurs des pompes funèbres. Elle avait à Rome un temple où l’on venait apporter un denier d’argent (50 centimes) pour ch
ffrait depuis plusieurs siècles des douleurs atroces, lorsque Hercule vint en Scythie, et tua le vautour. — On explique ces
ter la désolation sur ces bords. Hercule s’en saisit, le garrotta, et vint l’offrir à Eurysthée. 8° Diomède, roi de Thrace,
visageaient. Persée accepta sans crainte la proposition, et les dieux vinrent à son aide. Minerve lui prêta son bouclier, aussi
crisius. Acrisius, apprenant la marche triomphale de son petit-fils, vint à sa rencontre jusqu’à Larisse, pour le féliciter
ait à son tour chassé ou mis à mort par un fils d’Éson. Dès que Jason vint au monde, sa mère, pour le dérober aux poursuites
consentit à l’épouser. Plus tard, lorsque Thésée, héritier du trône, vint à Athènes, Médée forma le projet de se défaire de
la nature entière était sensible à ses accords. Les lions, les ours, venaient lécher ses pieds ; les fleuves remontaient vers l
ifique tombeau, où, chaque année, gens de lettres, artistes, savants, venaient apporter le tribut de leurs unanimes regrets. Les
us distingués d’entre les Lapithes y étaient conviés. Les Centaures y vinrent avec empressement. Le plaisir brillait sur tous l
roi Adraste, qui lui donna en mariage une de ses filles : la seconde venait d’épouser un autre prince fugitif, Polynice, fils
belles dents, ouvre le crâne et en arrache la cervelle… Minerve, qui venait pour secourir Tydée et lui rendre sa première vig
Minerve. Les plus fameux athlètes de l’Attique et de Mégare y étaient venus dans le même but. Androgée les surpassa tous et r
même solliciter l’alliance des princes voisins, équipe une flotte, et vient mettre le siége devant Mégare. Scylla, fille de N
les écueils, et se brisa. Dédale poursuivit sa course périlleuse, et vint descendre à Cumes, en Italie, où il bâtit un temp
n’appréhendait rien de ces ouvertures ; il accepte la proposition, et vient aux appartements du roi, où il est reçu avec les
l se retirait souvent dans les forêts du mont Ida, où les passions ne venaient point chercher son cœur. Le ciel envia à la terre
s de Troie, lorsque Apollon et Neptune, tous deux bannis de l’Olympe, vinrent lui offrir de l’aider dans son entreprise. L’offr
nestre sa mère, avec ses deux sœurs et le jeune Oreste. Pour la faire venir au camp, son père feignit de vouloir, avant le dé
ersaire, qui, plus fort et plus adroit, allait triompher, quand Vénus vient au secours de son favori, l’enveloppe d’un nuage
ille de Troie ne pouvait être prise sans le secours d’Achille, Ulysse vint à Scyros, déguisé en marchand, et offrit des bijo
e tient devant la porte de Scée, attendant Achille, et impatient d’en venir aux mains avec lui. Hécube et Priam, tremblant po
vautours. Mais, dès la nuit suivante, les larmes du vieux Priam, qui vint baiser ses pieds, en redemandant les restes d’Hec
être guérie que par celui qui l’avait faite. » Achille, sollicité de venir au camp de Télèphe et de panser la plaie, répondi
r dans votre citadelle, non-seulement les Grecs ne songeraient plus à venir attaquer les Troyens, mais, au contraire, tel est
nt enlevé les chevaux de Rhésus, roi de Thrace, et tué ce prince, qui venait avec son armée au secours des Troyens. Après la r
blanchir ses robes. Ce jour même, conduite par Minerve, elle y était venue avec ses compagnes laver des étoffes précieuses,
héros tel qu’Ulysse fait du bruit ; la nouvelle de son trépas serait venue jusqu’à moi. Peut-être que, jeté dans une île dés
minés elle proposait ce défi : ils l’acceptèrent cependant. Le peuple vint en foule au palais. Chacun des prétendants s’effo
s, lorsque Oreste, qui préparait dans l’ombre une vengeance terrible, vint à la cour de Mycènes, favorisé par Électre, et so
ve l’arrête, et lui défend de les poursuivre. « Oreste, dit-elle, est venu par ordre d’Apollon dans cette contrée, pour s’af
ir : « Modère, lui dit-elle, modère cette fureur, si l’odieux taureau vient lui-même te livrer ses cornes pour les briser. Ig
eauté, était fils du fleuve Céphise et de la nymphe Liriope. Quand il vint au monde, sa mère consulta le devin Tirésias sur
’amour. En descendant des montagnes, les nymphes voient Narcisse, qui venait d’expirer, et ne peuvent retenir leurs gémissemen
de de l’eau pour se désaltérer. « Vous me sauverez la vie, dit-elle ; venez à mon aide ! » Mais les Lyciens, excités par Juno
défiait de la discrétion du berger, il fit semblant de se retirer, et vint peu après, sous une autre figure et avec une autr
ttez que ma sœur Philomèle, dont je suis séparée depuis si longtemps, vienne me voir : j’implore a cette grâce de votre bonté.
et de l’Aurore, fut dès son adolescence un héros. Neveu de Priam, il vint avec dix mille guerriers au secours de son oncle,
e je prononçais votre nom. Ce n’est a point une personne suspecte qui vient vous annoncer cette nouvelle ; ce ne sont point d
érès parcourait le monde, cherchant de tous côtés sa fille que Pluton venait d’enlever, elle se sentit accablée de fatigue et
rêve plus qu’aux moyens d’éclaircir son doute. Quand donc la nuit est venue , et que le jeune prince fatigué repose, elle s’ap
s 50 filles, et de chercher en Asie ou en Europe un établissement. Il vint d’abord à Rhodes, où il consacra une statue à Min
pour vous, exigez qu’il vous en donne une marque infaillible ; qu’il vienne vous voir dans tout l’appareil de sa gloire et av
 » Sémélé, au comble de la joie, se hâte de poursuivre : « Quand vous viendrez me voir, lui dit-elle, paraissez avec toute la ma
mé dont les coups sont inévitables. Dans cet appareil éblouissant, il vint accomplir le vœu imprudent de Sémélé : le palais
a Grèce ; Épiménide y fut regardé comme un homme chéri du ciel, et on vint le consulter comme un oracle. Il mourut âgé d’env
ir cachée dans les taillis. Céphale, épuisé de fatigue et de chaleur, vint par hasard se reposer sous un arbre voisin, et, d
d’un accent passionné, appela le souffle rafraîchissant du zéphyr : «  Viens , douce Brise, viens ! Je ne suis rien sans toi ;
é, appela le souffle rafraîchissant du zéphyr : « Viens, douce Brise, viens  ! Je ne suis rien sans toi ; sans toi je succombe
viens ! Je ne suis rien sans toi ; sans toi je succombe, et je péris. Viens , Brise tant désirée, viens à moi ! » Sa femme qui
s toi ; sans toi je succombe, et je péris. Viens, Brise tant désirée, viens à moi ! » Sa femme qui entend des paroles si tend
et mourut pour lui. Hercule arriva en Thessalie le jour même où elle venait d’expirer ; et Admète, malgré l’affliction qu’il
ne pas redescendre aux Enfers. Il fallut recourir à la force. Mercure vint le prendre au collet, et le reconduisit chez Plut
le trône et la vie. Alexandre le Grand, avant son expédition d’Asie, vint à Delphes, dans un des mois où l’oracle ne donnai
ne de mort pour quiconque tuait un ibis, même par mégarde. Ce respect venait des services que cet oiseau rend à l’Égypte, en y
es César qui descendait de Vénus par Énée, fils d’Anchise. 13. De la viennent les noms de Cypris, de Cythérée et d’Érycine, don
Jocaste. 46. Épigones signifie, en grec, les Descendants, Ceux qui viennent après. Diomède, fils de Tydée, est le plus célèbr
7 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
leurs pas, vers des plages inconnues. Bientôt la plus triste réalité vint remplacer les douces illusions de l’espérance. En
ses fureurs, les meurtres, les vengeances, la cupidité, l’injustice, vinrent inonder la terre. L’homme, alors tout entier à se
s colonies policées, et conduites par des chefs habiles et courageux, vinrent les arracher à cet état déplorable, en leur appor
l’ambition s’est jouée sans bornes de la vie des hommes ; ils en sont venus à ce point de s’entre-tuer sans se haïr : le comb
serviraient d’appui. La vérité fut couverte d’un voile ; le mensonge vint en quelque sorte lui prêter ses vêtemens, et, pou
nités égales en puissance et éternelles. Ils crurent que tout le bien venait du bon principe, et tout le mal du mauvais. Ce sa
spirituels et si polis, ne durent leurs lumières qu’aux colonies qui vinrent les policer. Cependant le commencement de l’idolâ
mes avaient été se réunir aux astres, d’où elles étaient sorties pour venir animer leur corps ; ce fut ainsi qu’ils furent re
des Grecs. Cette division des temps, il faut bien le remarquer, nous vient des Grecs et des Romains, qui ne connaissaient pa
des colonies orientales. Lorsque les Phéniciens ou les Égyptiens vinrent s’établir dans la Grèce, ils furent forcés d’appr
bâti avec de la cire et les ailes des abeilles qu’Apollon avait fait venir des pays hyperboréens. Plus on étudie les origine
éloigné de leur origine, qu’ils surent que les noms des dieux étaient venus d’Égypte : ils allèrent alors consulter l’oracle
èce, et lui demandèrent s’ils recevraient les noms des dieux qui leur venaient des barbares. Sur la réponse de l’oracle qu’ils d
çurent ces mêmes noms. On ignore jusqu’à présent d’où chaque dieu est venu , s’il existe de tout temps, quelle est sa forme ;
t sa forme ; pour moi, (poursuit cet historien), je crois qu’ils sont venus d’Égypte ; et, si l’on me dit que les Égyptiens n
teux qu’Inachus, qui fut le premier de tous, Danaüs, et ceux qui sont venus par la suite, n’aient apporté avec eux et la conn
u ciel, dieux de la mer, dieux de la terre, et dieux des enfers. Nous viendrons ensuite aux dieux subalternes, sur le séjour desq
ens pour remonter sur son trône, il le chassa du ciel. Le roi détrôné vint se réfugier en Italie, auprès de Janus, roi du pa
Janus prit son nom de cette aventure, et fut appelée Latium, nom qui vient du mot latere, cacher. En mémoire du séjour de Sa
uel ce prince avait mis son peuple belliqueux. Le nom du mois d’avril vient du mot latin aperire, ouvrir, parce que dans ce m
Thessalie, environ cent quarante-six ans avant la prise de Troie. Il vint par mer dans le Latium ; et quelques-unes de ses
que Cybèle était fille d’un roi de Phrygie ; elle quitta ce pays pour venir dans le Latium, où elle épousa Saturne. Ce fut el
lle elle avait été exposée. Quelques étymologistes croient que ce nom vient d’un mot hébreu qui signifie enfanter avec douleu
t une telle importance à la conservation du feu sacré, que, lorsqu’il venait à s’éteindre, on interrompait tous les exercices
ce nom auguste. Cet usage ne cessa qu’après la prise de Troie. De là vient que tant de peuples différens se vantaient que Ju
qu’aucun des dieux ne pourrait leur ôter la vie si quelque mortel ne venait au secours du Ciel. Jupiter alors défendit à l’Au
voulait soutenir ses enfans, et, d’après le conseil de Pallas, il fit venir Hercule pour combattre avec lui. Ce héros avec se
pent ; la vue de ce monstre épouvanta tellement les dieux qui étaient venus au secours de Jupiter, qu’ils s’enfuirent du ciel
à de nouveaux dangers, il songea sérieusement à se défendre. Saturne vint bientôt après dans son île de Crète, dont il étai
éservé tout l’Orient, la Grèce, ses îles, et la partie de l’Asie d’où venaient ses ancêtres. On s’aperçoit sans doute que, dans
a pris soin de notre enfance, nous sont toujours les plus chers. D’où vient donc le charme qu’ils ont pour nous ? Ne serait-c
s compagnons, quitta le mont Ida, situé dans l’île de Crète, et qu’il vint jusque dans l’Élide. Ce fut là, qu’en mémoire de
reilles, pour qu’il pût entendre les prières de quelque côté qu’elles vinssent , La figure de la justice se trouvait toujours pla
qu’il avait dans la Libye, portait des cornes de bélier. Le mot ammon vient du grec, et veut dire sable. La fable dit que cet
s les sables de la Libye, et mourant de son, s’adressa à Jupiter, qui vint à lui sous la forme d’un bélier pour lui montrer
Achéloüs se métamorphosa en taureau, et sous cette nouvelle forme, il vint attaquer son rival, qui, après l’avoir terrassé u
les, mais très-rares, de ces sacrifices barbares ; et lorsque Cécrops vint s’établir à Athènes, il abolit pour jamais cette
n fragment de rocher du Caucase. On croit même que c’est de là qu’est venue la coutume de porter des anneaux et des bagues. P
orter des anneaux et des bagues. Prométhée profita de sa liberté pour venir passer le reste de ses jours dans la Grèce. Après
tuels, elle s’élança dans la mer, passa la Méditerranée à la nage, et vint aborder dans l’Égypte, où elle reprit sa première
tendaient descendre de ces fourmis. On les nommait Myrmidons, mot qui vient du mot myrmex, fourmi. La manière la plus ordinai
s allèrent prendre leur repas, et s’endormirent paisiblement. La mort vint les surprendre pendant leur sommeil. Depuis ce te
nce, lui donna les pommes d’or du jardin des Hespérides, que le héros venait conquérir par ordre d’Eurysthée, roi de Mycènes.
guer de celui qui fut emporté par un coup de vent. Ce second Hespérus vint s’établir dans l’Occident ; et c’est d’après lui
a. Juin, signe de l’Écrevisse. On croit qu’elle représente celle qui vint piquer Hercule tuant l’hydre de Lerne. Juillet,
Aurore fit un second enlèvement qui eut des suites cruelles. Céphale venait d’épouser Procris : leur tendresse était mutuelle
eauté ne purent la sauver : il fallut obéir à l’oracle ; mais Hercule vint à son secours, et tua le monstre. L’avare Laomédo
ges n’ont pu lui survivre. On croit généralement que le nom des Muses vient du grec muein, expliquer les mystères. On les nom
de ses pieds touche légèrement la terre. (Fig. 16.) 6. Érato. Son nom vient du mot grec eros, amour. Elle inspire les poésies
in de prévoir l’avenir. Les nombreuses histoires des oracles vérifiés viennent à l’appui de cette opinion. Si leurs réponses, en
la lune sur la terre par la force de leurs enchantemens. Lorsqu’elle venait à s’éclipser, ils assuraient qu’elle venait sur l
enchantemens. Lorsqu’elle venait à s’éclipser, ils assuraient qu’elle venait sur la terre, et s’y rendait à leurs ordres. Dian
et l’autre sous ce nom. La plupart des autres noms donnés à la déesse venaient des lieux où elle était particulièrement honorée.
tié, tuèrent le pontife Thoas, emportèrent la statue de la déesse, et vinrent la déposer en Italie, où elle fut appelée Phazeli
eurs ne peuvent convenir qu’à ce roi d’Égypte. Ils disent que ce dieu vint au secours de Jupiter dans la guerre contre les G
s été inventée par les hommes, mais que son origine est céleste. Elle vient au monde toute armée, parce que le sage, fort de
ignifie dommage, et représentait les malheurs de la guerre. Peut-être vient -il aussi du mot hébreu Arists, fort et terrible.
attacher le même prix à ses trophées sanglans, et les abandonner pour venir déposer ses lauriers aux pieds de la beauté. Le g
lheureuse Sappho, à laquelle la Grèce donnait le nom de dixième Muse, vint encore ajouter à sa célébrité. Désespérée de l’in
qu’une épine avait fait couler. On lui dédiait le myrte, parce qu’il vient ordinairement sur le bord des eaux, où la déesse
ais se faire attendre ; ils se plaisaient à répéter qu’une grâce qui vient trop lentement cesse d’être une grâce . Tous les
Grecs nous l’ont transmise. Il était fils de Jupiter et de Junon. Il vint au monde avant terme et contrefait : Jupiter le r
. Le charme de leur chant attirait les nautoniers, et leurs vaisseaux venaient se briser contre les écueils. Leucosie, Ligie et
n avait pour ces lieux un respect religieux ; et c’est de là qu’était venue la coutume de sacrifier aux mânes sous des arbres
hrace, où les Bacchantes avaient déchiré le malheureux Penthée, était venu dans la Lydie, auprès du mont Tmolus, où croissai
xcellens vins. Silène se promenait dans le pays, monté sur un âne, et venait souvent méditer ou se reposer auprès d’une fontai
u’il allait passer le lac. Aussitôt quarante juges s’assemblaient, et venaient s’asseoir en forme de cercle sur les bords de ce
ans les entrailles de la terre. Adès signifie triste et sombre. Orcus vient du latin urgere, pousser, parce que ce dieu pouss
t forcé de s’éloigner ; il rassembla ceux qui suivaient son parti, et vint du côté d’Argos. Il attaqua Gélanor, roi de ce pa
ympe par Jupiter, parce qu’elle cherchait à brouiller les dieux, elle vint sur la terre exercer toutes ses fureurs. On attri
(Fig. 65.) Son nom vient de commessari, manger : on croit aussi qu’il vient d’une espèce de chanson très-familière aux ancien
er même étaient les objets de ses plus sanglantes railleries. Son nom vient du mot grec momos, reproche. Il blâmait les dieux
’était ainsi déguisé. Cette fable fut crue par le peuple, et la foule venait adorer cette divinité de la santé. Les prêtres, h
ant j’unis à mes maux les pleurs de sa perte ; et, si quelque plaisir vient me surprendre, je me le reproche, il me semble qu
8 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
ns le langage ordinaire. Suivant le conseil du sage Rollin, dont nous venons d’exposer les idées, et que nous nous ferons touj
u mal, on associa à l’idée d’un dieu bon celle d’un génie malfaisant. Vint ensuite le culte de la nature, dans laquelle les
donnèrent-elles le jour ? Faites connaître trois Géants fameux. D’où vient le nom de Titans ? A qui était-il donné ? Qu’étai
ient chargées d’entretenir dans le temple un feu perpétuel. Lorsqu’il venait à s’éteindre, les Romains se croyaient menacés de
outenu par la Prudence et la Justice. A droite, siégeait Junon ; puis venaient Neptune, Mercure, Apollon, Mars et Vulcain ; à ga
ce, avare et sanguinaire, faisait périr, disait-on, les étrangers qui venaient dans ses États. Quoique Jupiter, en entrant dans
s services rendit-elle à Jupiter dans la guerre des Géants ? D’où lui vient le nom Pallas ? Qu’était-ce que son égide ? Qu’ét
eu de Clymène, irrité de ce qu’Epaphus contestait sa céleste origine, vint lui exposer le sujet de sa douleur. Apollon jura
e dieu, lui confia le soin de verser le nectar à la place d’Hébé, qui venait d’être disgraciée. Ganymède n’avait pas encore ét
lle était particulièrement honorée dans l’île de Chypre, d’où lui est venu le nom de Cypris. Elle avait aussi des temples cé
avaux, les ouvriers qui le secondaient, et ses divers ateliers ? D’où vient le nom de volcan ? Quels services rendit Vulcain
le blé, Bacchus ou la vigne, Vulcain ou le feu ; mais après celles-ci venaient plusieurs divinités inférieures qui présidaient a
ée à un rocher, attendait la mort, lorsque le vaisseau des Argonautes vint à passer. Hercule promit de la délivrer si Laoméd
rs Grecs donnaient le nom de Neptune à tous les princes étrangers qui venaient chez eux par mer, ou qui avaient étendu leur domi
il prenait toutes les formes pour échapper aux instances de ceux qui venaient le consulter. Tel que le vieux pasteur des troup
vée, apprit de l’oracle que Protée seul pourrait le lui découvrir. Il vient avec trois de ses compagnons armés pour s’emparer
pour voler à la poursuite du ravisseur. N’ayant pu l’atteindre, elles vinrent se réfugier sur les bords de la mer, entre l’île
ant lorsque les Argonautes, dans la fuite qui suivit leur expédition, vinrent longer ces rivages, les Sirènes firent de vains e
irement lorsque cette déesse sort du sein des flots, pour annoncer la venue du soleil. Aurore aima passionnément deux chasseu
régna sur l’Ethiopie et sur plusieurs vastes contrées de l’Orient. Il vint au siége de Troie avec dix mille guerriers et y f
. Egyptus, roi d’Egypte, avait aussi cinquante fils, pour lesquels il vint demander en mariage les filles de Danaüs. Le roi
emples. C’était là que les savants et les artistes se réunissaient et venaient déposer leurs ouvrages, comme un hommage à la pai
ls de Danaé périrait dans cette périlleuse entreprise. Mais les dieux vinrent à son secours. Minerve lui prêta son égide, Pluto
rand-père. Le roi d’Argos, informé du retour de son petit-fils, était venu se réfugier à la cour du roi de Larisse, pour éch
e bonne heure le courage qui devait illustrer sa vie. Un jour Hercule vint voir Pitthée, et déposa dans le vestibule du pala
é par Cerbère, et Thésée fut retenu prisonnier, jusqu’à ce qu’Hercule vînt le délivrer. Quand il reparut à Athènes, le bruit
yais encore au trône de mon père ; Et tous ceux qu’à mes yeux le sort venait offrir Me semblaient mes sujets et faits pour m’o
onnaît la crainte, Guidé par la Fortune en ces lieux pleins d’effroi, Vint , vit le monstre affreux, l’entendit et fut roi. (
ent le ciel de serments effroyables. Près d’un taureau mourant qu’ils viennent d’égorger, Tous, la main dans le sang, jurent de
aucoup de guerriers, les deux frères ennemis, Etéocle et Polynice, en viennent à un combat singulier. Ils se précipitent avec fu
appelés à venger leurs pères par Adraste, qui seul avait survécu. Ils viennent assiéger Thèbes, la prennent et massacrent l’odie
it. Récitez la description poétique de ce monstre. Quel nouveau fléau vint affliger Thèbes ? Racontez les malheurs d’Œdipe ;
que les Epigones ? Quel fut le résultat de la nouvelle guerre qu’ils vinrent faire aux Thébains ? Quels furent les derniers re
de Mycènes. Les deux époux vivaient heureux, lorsque le fils de Priam vint rompre leur union en enlevant Hélène. Aussitôt Mé
l’Asie Mineure, les plus illustres guerriers et même des rois étaient venus se ranger sous ses ordres : d’abord Pâris, le rav
ccombe. Achille, dans sa douleur, jure de le venger. Thétis, sa mère, vient le consoler et lui apporte de nouvelles armes, ch
tour des murs de Troie son corps attaché à son char victorieux. Priam vient dans la tente d’Achille demander, en suppliant, l
Ils feignent en effet de partir. Les Troyens ouvrent leurs portes et viennent contempler le prétendu don offert à Minerve. En v
eurs murs, dont ils abattent un pan, pour lui livrer passage. La nuit venue , Sinon, à un signal donné, ouvre les flancs du ch
que l’on peignait ainsi qu’un fleuve immense Où, la coupe à la main, venaient puiser les arts. Virgile sur toi seul attachait
ne qui exista entre les Grecs et les Troyens ? Comment Priam était-il venu en Grèce ? Pourquoi Pâris enleva-t-il Hélène ? De
sie et de la musique. Il pénètre en Ethiopie, où une foule de Satyres viennent grossir son armée et l’égayer de leurs danses. De
grande, que les hommes les plus illustres de l’Egypte et de la Grèce venaient s’entretenir avec eux et se faire initier à leurs
en distinguent deux ; ils regardent le premier comme un astronome qui vint à Babylone 2459 ans avant J.-C. Ils placent le be
l’œuvre d’Ahriman. Son séjour est dans les enfers ; c’est de là qu’il vint sur la terre pour corrompre, sous la forme d’un s
’Inde. Enfin, pendant le siècle noir, le siècle de fer des Indous, il vint faire paraître, sous le nom de Kalidaça, les poëm
our donner de l’importance et de l’autorité aux divers écrits dont il vient d’être question. 137. Vichnou ; ses métamorpho
e chaque fois que la terre était menacée de quelque grand malheur, il venait à son secours pour le prévenir ou le réparer. Nou
a l’autre sur la tête du géant, qu’il précipita dant l’abîme. Vichnou vint ensuite habiter la terre, à deux époques différen
guerriers, qui entendent les hennissements de son cheval. Après Odin vient son fils aîné Thor, le dieu de la force, le maîtr
r est le fléau des mauvais génies et le vengeur des dieux. Niord, qui vient ensuite, est le Neptune des Scandinaves, le dieu
tances ; il entend croître l’herbe des champs et la laine des brebis. Viennent ensuite Vidar, dieu du silence, qui doit tuer le
it armé d’une hache, et on l’honorait surtout par l’effusion du sang. Venaient ensuite quelques autres dieux, que l’on croit avo
s, traité 2. Principalement les Grecs et les Romains. 3. Idolâtrie vient aussi du grec : de eidôlon, idole ou image, et de
iné par une pomme de pin. 33. Volcan vient de l’italien volcano, qui vient lui-même du latin Vulcanus, en français Vulcain.
entrailles de la terre. Adès veut dire sombre et triste. Orcus paraît venir d’un mot latin qui signifie pousser, parce que ce
les faux dieux de la Phénicie et de l’Egypte : C’est de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parl
talie qui fut appelée Grande-Grèce, à cause de ces mêmes colonies qui vinrent s’y établir après le siége de Troie. Teucer bâtit
ique consigné dans le Nouveau Testament. 75. C’est de Bouddha qu’est venu le Bouddhisme, l’une des quatre sectes qui partag
9 (1866) Dictionnaire de mythologie
es. A quoi pense donc l’auteur, de vouloir rajeunir ces vieilleries ? Vient -il de l’autre monde ? A coup sûr il n’est pas de
nt de vos loisirs. Tout ce que notre siècle crée de noble et de grand vient d’elle ou porte son empreinte. Elle est immortell
pas sa stupeur ! Aux obscurités de la langue que d’autres obscurités viendront s’ajouter ! Quelles énigmes ! Quelle nuit profond
ville de Thèbes. Les pierres obéissaient à sa lyre, et d’elles-mêmes venaient se placer les unes sur les autres. — Le Lecteur :
une teinte de leurs mœurs ; si quelque allusion détournée à la fable vient obscurcir le sens d’un passage, le professeur exp
r le reste de ses jours. Et c’est à cette jeunesse studieuse que vous venez sérieusement proposer d’apprendre le nom des chev
nnent en gros le sens, et cela leur suffit. Qu’ont-elles besoin qu’on vienne leur expliquer de vieilles métaphores dont elles
dignes païens ! Et ce bonheur a duré trois siècles. Votre Révolution vint me tirer brusquement de ma douce quiétude. Je cru
s tristes débris du dernier naufrage de mon culte. Entrez, me dit-il, venez voir l’ombre d’une religion gardée par l’ombre d’
d’ivoire, jusqu’à Philopémen, qui fut le dernier des Grecs, tous sont venus s’y asseoir Orphée y est monté vivant, et Thésée
er dans le Styx, ce qui eût été un grand malheur ; car il n’aurait pu venir conter ce qu’il avait vu aux enfers, et nous n’au
ale ; J’entends le vieux nocher sur la rive infernale. Quand Fénelon vint demander le passage, Caron lui montra le poing et
r de ses épaules l’édifice céleste. Dans son voyage en Libye, Hercule vint en aide au géant et le soulagea quelque temps du
main. Ils voudraient pouvoir tousser et cracher en Romains. L’exemple vient d’en haut. Dernièrement, un de nos princes fait c
lon qui n’est guère sensible que quand les courants du nord et du sud viennent à se rencontrer. Il remonte et descend à peu près
étincelante, suspendue au plafond par un crin de cheval, s’abaisse et vient menacer la tête de l’heureux convive. Dès lors, i
, toujours menaçante, toujours prête à tomber, jusqu’à ce que la mort vienne enfin le trancher de ses mains secourables. On a
te île le reçurent avec transport et le défendirent contre Minos, qui vint le réclamer à la tête d’une grande flotte. L’autr
, qui mettent sa pénétration en défaut. Dieu vous bénisse. D’où vient cet usage de dire à quelqu’un qui éternue : Dieu
le siége de l’intelligence, est sacré, et sacré aussi tout ce qui en vient . Aristote (pour ne pas remonter plus haut) assur
tion : il est nommé général. Il fallait que Xénophon fût parfaitement venu du dieu Éternuement pour le trouver toujours à po
feu secret. Or, quand, par la volonté de Notre-Seigneur-Père, ce feu vient à prendre au démon, il le chasse du corps, et, l’
, si galant homme qu’il soit, qu’il a une étoile, parce qu’il ne peut venir à la pensée de personne que les étoiles sont fait
s Caudines ? Cette image est fort respectable sans doute, puisqu’elle vient des Romains, mais ceux qui la lisent la comprenne
and nous nous armons pour la défense de nos foyers (pro focis), il ne vient à l’esprit de personne de verser son sang pour la
n foyer sera la justice. » Géants, Pygmées. La fable des Géants vient d’une ancienne tradition qu’on retrouve au bercea
des pasteurs, des laboureurs, des fondateurs de villes. Ces nouveaux venus trouvent dans les sillons de vastes ossements, le
, tous ceux qui désiraient plaire au peuple le plus délicat du monde, venaient sacrifier. Mais peu étaient exaucés. Le peintre A
s yeux discrets comme une éblouissante vision. Quant aux profanes qui viennent , sans être conviés, se mêler à leurs mystères, el
aît ce quatrain de Boileau : Mais aujourd’hui qu’enfin la vieillesse venue , Sous mes faux cheveux blonds déjà toute chenue,
ubler les ombres dans leur repas mystérieux. Après la fête des morts, venait celle des vivants. On s’invitait entre parents, o
urs prêts, pour les motifs les plus frivoles, à déserter l’enfer et à venir troubler le repos des hommes. De là des terreurs
vivants en sursaut. Des oisifs réunis dans un salon les invitent, ils viennent sans trop se faire prier, entrent poliment, cause
e : Momus a pris pour adjoints       Des rimeurs d’école. De Momus vient momerie, terme général dont se servaient nos père
urer. Nous n’avons guère jusqu’à présent que de beaux discoureurs. Il viendra quelqu’un qui rendra le poignard de Melpomène plu
anchant. Mais… je serai mort. » — Aujourd’hui que ce quelqu’un-là est venu , que dirait Voltaire de ce changement qu’il prédi
es meubles. Il est vrai qu’elles ne se montrent pas encore, mais cela viendra  : il faut bien leur donner le temps de se familia
le était un fleuve de Phrygie qui roulait de l’or dans son lit. De là vient que l’on dit d’un prodigue que sa bourse est un P
C’est une nymphe en pleurs qui se plaint de Narcisse. [Boileau] D’où viennent les éruptions de l’Etna ? Des forges des Cyclopes
erveilles. Mais voilà qu’au milieu de ses métamorphoses l’appétit lui vient  : il s’assied à une table opulente, il veut mange
ne pomme de discorde entre Rome et Carthage. » Un autre compilateur viendra ensuite qui dira : « La Sicile était une pomme de
n, Il se crut supérieur à Jupiter et voulut d’éprouver. Un jour qu’il venait d’immoler deux taureaux, il mit d’un côté les os,
ient dans la ville avec des torches allumées : celui dont le flambeau venait à s’éteindre se retirait de la lutte et cédait so
que Saturne était un père dénaturé qui mangeait ses enfants aussitôt venus au monde, et que Rhéa sa femme lui donna le chang
utrement, ce qui était auparavant, ce qu’ils sont eux-mêmes, d’où ils viennent et où ils retourneront. Et ne croyez pas qu’ils e
dans la masse, et chaque chose commença à entrer en sa place. Ensuite vinrent Ciel et Terre. De leur hymen naquirent Saturne et
plus ridicule qu’un poëte qui s’y débat, en attendant le dieu qui ne vient pas. Vulcain. Cyclopes. Vulcain, fils disgr
. Boileau se plaint en assez méchants vers d’un noir Vulcain qui lui vient rompre la tête avec un fer qu’il apprête . Vulcai
10 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
sa du ciel et s’empara de sa puissance. Déchu de sa grandeur, Saturne vint chercher un asile en Italie, où Janus, roi du pay
es dans les familles les plus distinguées de Rome ; si ce foyer sacré venait à s’éteindre, la ville se croyait menacée des plu
les éruptions de ce volcan et les tremblements de terre qu’il produit venaient des efforts désespérés du géant que la montagne r
oie, qui renaissait toujours ; ce supplice dura jusqu’à ce qu’Hercule vînt y mettre un terme et délivrât Prométhée. Les Dieu
in, Jupiter voulut connaître par lui-même toute l’étendue du mal : il vint en Arcadie, et alla demander l’hospitalité à Lyca
vinité de son hôte, lui servit à manger les membres d’un enfant qu’il venait d’égorger. Jupiter, justement irrité, saisit sa f
, la Lune 19 ou Phœbé au ciel, et Diane sur la terre. C’est de là que viennent les noms de triple Hécate, de Déesse à trois form
e femmes armés seulement de thyrses22, de cymbales et de tambours. Il vint ensuite en Égypte, où il apprit aux hommes à cult
n. Vulcain, fils de Jupiter et de Junon, était le Dieu du feu. Il vint au monde si laid et si difforme, que Jupiter, ne
u qui sont conduits par sa sœur Bellone. Questions. Comment Mars vint -il au monde, et quelles étaient ses attributions 
e tenant une bourse à la main ; ils disaient qu’il était boiteux pour venir et qu’il avait des ailes pour s’enfuir, voulant e
main une marotte, symbole de la folie, et de l’autre un masque qu’il vient d’arracher. Questions. Qu’était-ce que Momus
x qu’il avait saisis, formèrent des sons doux et plaintifs ; et de là vint l’invention de la flûte rustique ou des pipeaux,
orsque Pâris traversait la mer, emmenant sur son navire Hélène, qu’il venait d’enlever, Nérée lui apparut au milieu des flots,
lement cherché et sur la terre et sur la mer la fille de Cérès, elles vinrent se fixer dans la mer de Sicile sur des écueils au
Aussi s’en prenait-on quelquefois à ces divinités des afflictions qui venaient frapper les familles, et on les punissait en les
ouleuvre et un poignard, Questions. Comment la Discorde est-elle venue habiter la terre ? — Par quel artifice troubla-t-
oëtes qu’Atlas43 supportait le ciel sur ses épaules. Un autre exploit vint mettre le comble à sa renommée. Cassiope, épouse
avait délivrée ; cependant Phinée, qui avait été fiancé à Andromède, vint avec ses compagnons troubler la fête du mariage e
nvolontairement la mort à son aïeul, qu’il ne connaissait pas, et qui venait à sa rencontre. Ainsi s’accomplit l’arrêt du dest
r Cerbère, et Thésée resta enchaîné à un rocher jusqu’à ce qu’Hercule vînt le délivrer. Thésée vit la fin de sa carrière aff
se livra-t-il encore à des entreprises dangereuses ? — Quels chagrins vinrent attrister la fin de sa carrière ? — Comment mouru
ason fut-elle connue, qu’une foule de jeunes princes et de capitaines vint se ranger sous ses ordres et partager les hasards
Jason et ses compagnons furent nommés les Argonautes, et ce nom leur venait du navire Argo, sur lequel ils s’embarquèrent au
ux les cadavres des deux enfants qu’elle avait eus de lui, et qu’elle venait d’égorger61. Elle se rendit à Athènes, où elle de
des sons si ravissants, que les pierres, sensibles à cette harmonie, venaient d’elles-mêmes se ranger à leur place64. Cadmus s’
sait depuis longtemps du pouvoir souverain, lorsqu’une peste terrible vint ravager la ville de Thèbes et ses environs. Après
é, alla demander du secours à son beau-père, Adraste, roi d’Argos, et vint assiéger Thèbes avec une armée commandée par sept
irconstance remarquable signala son arrivée à Thèbes ? — Quel malheur vint le frapper dans sa vieillesse ? — Quelle fut la f
avait mangée fut remplacée par une épaule d’ivoire. Devenu grand, il vint à la cour d’Œnomaüs, roi d’Élide et de Pise. Ce r
uverte. Elle ne tarda pas à se présenter. Pâris, fils de Priam, était venu en Grèce pour réclamer sa tante Hésione, enlevée
de Laerte et d’Anticlée. Au moment où commença la guerre de Troie, il venait d’épouser Pénélope, fille d’Icare. Désirant reste
ient appris à redouter, les soldats de Priam reculèrent ; mais Hector vint attaquer Patrocle, et le fit succomber sous ses c
ur lui et sur tout son peuple le courroux de la vindicative Junon. Il vint à Troie à l’occasion des jeux publics que l’on y
pendant Ménélas, et il allait succomber sous ses coups, lorsque Vénus vint l’arracher à son ennemi victorieux. Il blessa Dio
ent, sous peine de mort, de prononcer son nom, qui n’en est pas moins venu jusqu’à nous83. Le temple d’Apollon à Delphes éta
trailles des victimes ; les Augures, qui prédisaient les événements à venir d’après le vol des oiseaux. Les sacrifices que l’
Les Oracles étaient les réponses que les Dieux faisaient à ceux qui venaient les consulter. Il est à peine besoin d’ajouter qu
s prêtres, qui recevaient des présents considérables de tous ceux qui venaient interroger les Dieux. L’oracle de Dodone 86 est r
au milieu des sables du désert. Bientôt on la crut inspirée, et l’on vint en foule la consulter des pays les plus éloignés.
et qui se nommait Démophile, ou Hérophile, ou encore Amalthée ; elle vint proposer à Tarquin l’Ancien de lui vendre les rec
d’une foule de fables ridicules. Cérès était une reine de Sicile qui vint dans l’Attique enseigner à Triptolème les moyens
ont toujours eu le sentiment de l’immortalité de l’âme et d’une vie à venir , dans laquelle les méchants doivent trouver la pu
ie, il se rendit en Italie, où il fut tué par Énée. 74. Rhésus était venu au secours de Troie ; mais un traître nommé Dolon
11 (1850) Précis élémentaire de mythologie
ation des éléments et des grandes merveilles de la nature, l’homme en vint à se déifier lui-même. Un père, plongé dans une d
, Développant dans cette nuit profonde Les éléments pêle-mêle diffus, Vint débrouiller ce mélange confus, Et variant leurs f
ocence et de bonheur qu’on a appelé l’âge d’or. Après cet âge fortuné vînt l’âge d’argent, puis l’âge d’airain et l’âge de f
dans le Latium ? Comment les poëtes nommèrent-ils les autres âges qui vinrent après l’âge d’or ? 5. Quels dons fit Saturne à Ja
on célébrait à Rome ? 4. Comment s’appelaient ses prêtres ? D’où leur venaient ces noms ? Quels sacrifices offraient-ils ? Quels
mbé ainsi que Briaré aux cent bras, et Encelade, frappé de la foudre, venait d’être enseveli pour des siècles sous l’Etna, lor
ut don. 5. Jupiter voulut aussi faire à Pandore un présent. Il la fit venir , lui remit une boîte magnifique bien fermée, et l
a au fond. C’est ce que Rousseau a exprimé dans ces vers : D’où peut venir ce mélange adultère D’adversité dont l’influence
ait fils de Jupiter et de Latone, fille du Titan Cœus et de Phébé. Il vint au monde dans l’île de Délos. Sa mère s’y était c
n lui donne pour exprimer ce ministère le surnom de Phœbus. Ce surnom vient des deux mots phos et bios, qui signifient lumièr
ier, ayant entendu Epaphus contester la divinité de son origine, s’en vint un jour près de son père les yeux baignés de larm
des chevaux. Questionnaire. 1. De qui Apollon était-il fils ? Où vint -il au monde ? Quelle vengeance Junon exerça-t-ell
la nuit. C’est sans doute pour ce motif que la fable ajoute que Diane vint au monde en même temps qu’Apollon. Indépendamment
s les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux vous venez sur la terre     Régner dans nos vastes forêts ;
l, et fut regardé comme le dieu des marchands. Son nom de Mercure lui vient même de mercatura qui signifie commerce. 5. Ces f
e était chacune de ces manières ? 6. Quels noms lui donnait-on ? D’où venaient ces noms ? Chapitre X. Minerve. 4. Nous av
t d’un violent mal de tête. Aussitôt après sa naissance, cette déesse vint au secours de son père et l’aida de ses conseils
s géants, il avait été fait prisonnier, et il avait fallu que Mercure vint à son aide pour lui rendre la liberté. Dans la gu
est alors que Jupiter lui adressa les violents reproches que le poëte vient d’exprimer. 3. Aussi les Grecs, qui ont inventé c
I. Vulcain. 1. Vulcain était fils de Jupiter et de Junon. Quand il vint au monde, son père le trouva si laid et si diffor
ire. 1. Qu’est-ce que Vulcain ? Comment le traita Jupiter quand il vint au monde ? Où fut-il exilé ? Que fit-il dans son
nt, dit-il, ces sœurs à la main sacrilége ? Que Pallas les défende et vienne en leur faveur Opposer son égide à ma juste fureu
ofonds gémissements en mémoire du deuil et du chagrin de Vénus ; puis venaient les joies, les danses dissolues et tumultueuses q
Neptune était, comme Jupiter, fils de Cybèle et de Saturne. Quand il vint au monde, sa mère le déroba à l’avide férocité de
. Ulysse, roi d’Ithaque, errant sur les mers après la ruine de Troie, vint à traverser la mer non loin de ces rochers triste
ent où ils se disposaient à piller le temple de Delphes. De là serait venue l’expression de terreur panique. D’autres préten
la préposa le premier à la vénération de ses compagnons. Son nom lui vient , d’après quelques étymologistes, de palea, paille
elles victimes lui offrait-on ? Comment était-il représenté ? 4. D’où vient l’expression de terreur panique ? 5. Qu’est-ce qu
ède. 1. Comus était le dieu des festins et de la joie. Son nom lui vient d’une chanson qu’on chantait dans les repas. Pour
qu’aux environs Jamais le chant des coqs ni le bruit des clairons Ne viennent au travail inviter la nature. Un ruisseau coule a
digne du séjour des immortels. Pour le transporter dans l’Olympe, il vint lui-même, sous la figure d’un aigle, s’abattre à
sa céleste demeure. Questionnaire. 1. Qu’était Comus ? D’où lui venait son nom ? Que faisaient les jeunes gens pour l’ho
Jupiter promène dans les nues. Là s’agite un peuple léger, là vont et viennent mille vaines rumeurs vraies ou fausses, des parol
mnos, où ils furent accueillis avec empressement par les Amazones qui venaient d’égorger leurs époux. Ils séjournèrent deux ans
expédition ? Quels sont les grands hommes qui en firent partie ? D’où vint à cette expédition le nom qu’elle porte ? 4. Qui
au. Elle envoya donc contre lui deux dragons énormes. Hercule les vit venir à lui en souriant, les saisit de ses bras robuste
e. Il reconnut dans Thésée son fils, et chassa Médée dont la perfidie venait d’être dévoilée. Thésée fut comblé de gloire et p
5. Minos, après avoir ainsi puni Dédale, apprit que son fils Androgée venait d’être tué par des Athéniens pour avoir remporté
entreprise. Ariane, la fille de Minos, fut touchée de son courage et vint à son secours. Elle lui donna le fil à l’aide duq
dévoré par Cerbère et Thésée fut retenu captif jusqu’à ce qu’Hercule vînt le délivrer. 8. Après sa délivrance, Thésée épous
rtueux Hippolyte alarmé repoussa vivement les coupables paroles qu’il venait d’entendre. Phèdre se vengea de ce dédain en calo
flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se rou
obatès se mit d’abord à célébrer des fêles en l’honneur de l’hôte qui venait le visiter. Il y avait déjà neuf jours que duraie
ellérophon était-il fils ? Quels surnoms lui a-t-on donnés ? D’où lui vient le nom de Bellérophon ? Quelles furent ses aventu
rs de Thèbes au son de sa lyre. Les pierres, sensibles à ses accords, venaient se placer d’elles-mêmes à l’endroit qu’il désirai
ture à Cadmus, comme l’a si bien dit Brébeuf : C’est de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parl
de l’Attique à Colone, dans un bois consacré aux Euménides. De là il vint à Athènes, où Thésée le reçut avec une grande bon
it également périr Créon et son épouse. Les chefs argiens qui étaient venus mettre le siége devant Thèbes ne furent pas plus
vinrent ses fils Etéocle et Polynice ? Quels furent les guerriers qui vinrent au secours de Polynice ? Comment les frères ennem
ors roi. Pâris, fils de Priam, le successeur de ces princes outragés, vint en Grèce, à la cour de Ménélas, et usa de représa
remparts d’Ilion. 8. Après cette atroce vengeance, le fils de Thétis vint rendre les honneurs funèbres aux mânes de Patrocl
ne des scènes les plus déchirantes. On y vit entrer le roi Priam, qui venait redemander en pleurant les restes inanimés de son
lessa au talon d’une flèche empoisonnée qui lui donna la mort. Thétis vint avec une troupe de nymphes pleurer sur le corps d
attributs de Shiva ? Comment ce dieu est-il représenté ? 5. D’où est venue la métempsycose ? Quelles sont, d’après les Indie
le faîte de son palais. Isis, instruite de tout ce qui s’était passé, vint à Byblos, et s’assit éplorée au bord d’une fontai
blos, et s’assit éplorée au bord d’une fontaine où les femmes du pays venaient puiser de l’eau. Ceux qui la virent furent touché
t aux esprits qu’on attribuait la plupart des effets naturels. L’écho venait -il frapper les oreilles, c’était l’esprit de la m
rophétique10. » 4. Leurs prêtres portaient le nom de druides. Ce nom venait du mot celtique deru qui signifie chêne. Ils se d
’en exhalaient sans cesse, jusqu’à ce qu’un souffle de chaleur, étant venu du midi, fondit ces vapeurs, et en forma des gout
12 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
e, Développant dans cette nuit profonde Les élémens pêle-mêle diffus, Vint débrouiller ce mélange confus ; Et, variant leurs
u destin, Jupiter le chassa du ciel. Saturne, dépouillé de ses états, vint sur la terre. Il se réfugia dans un coin de l’Ita
tre les autres, et se heurtaient comme des béliers. Le nom de Curètes vient , dit-on, de l’île de Crète, où ils avaient élevé
tenir un feu perpétuel. On regardait comme un grand malheur si ce feu venait à s’éteindre, et on interrompait tous les exercic
fligea d’une faim qu’on ne pouvait apaiser. Métra, sa fille, désirant venir à son secours, pria les dieux de lui donner la ve
Apollon, la connaissance de la musique ; Mercure, l’éloquence : de là vint le nom de Pandore, qui signifie tout don. Cette e
s dans leurs désirs. Telle fut l’origine du siècle de fer. D’où peut venir ce mélange adultère D’adversités, dont l’influenc
es déserts de la Lybie, et, mourant de soif, s’adressa à Jupiter, qui vint à son secours sous la forme d’un bélier, qui, en
nt pas de longue durée. Au moment où l’homme commence, La vieillesse vient l’avertir Qu’il est déjà temps de finir ; Et bien
ù il s’était rendu, porta le nom du dieu qu’on y avait absous : de là vient le nom d’Aréopage ; areos et pagos, deux mots gre
n, signifie en français un coq. Encore aujourd’hui, le coq annonce la venue du soleil, comme s’il voulait avertir Mars de se
avait conduite. Diane, comme fille de Jupiter, naquit toute savante ; venue la première, elle ne fut pas plutôt née, qu’elle
it les murailles de Troyes. Neptune ayant conspiré contre Jupiter, venait aussi d’être banni du ciel. Apollon et lui s’étan
eut plusieurs enfans, entre autres, Memnon, roi d’Egypte, qui, étant venu au secours de Priam, fut tué par Achille, au siég
eux d’en rendre. La Pythie à Delphes ne donnait de réponse à ceux qui venaient la consulter, qu’au commencement du printemps ; d
ollon. Les Grecs, les étrangers, les particuliers et les princes même venaient à Delphes en personne, ou y envoyaient pour appre
rince s’en étant moqué, elle jeta dans le feu trois de ses livres, et vint lui présenter les six autres, lui en demandant la
es deux fils et les étouffent ; puis, saisissant Laocoon lui-même qui venait au secours de ses enfans, ils le font mourir dans
x du ciel composent votre cour.         En descendant des cieux, vous venez sur la terre                Régner dans les vaste
it cette demande indiscrète. Le maître des dieux, pour la satisfaire, vint la voir avec le magnifique appareil de sa puissan
tna, où le cyclope Polyphème le fit son esclave, jusqu’à ce qu’Ulysse vint l’en tirer. Silène était alors accompagné de ses
licence et dissipe les soucis ; le nom de Bromius, Jacchus, Bacchus, vient du bruit et des cris que faisaient les Bacchantes
mmes qui avaient fait leur temps dans les Champs-Elysées. Cette fable vient sans doute de ce que le prince qu’on honore sous
sa conduite. Si Junon garde son appartement, le maître des dieux, qui vient d’entamer une intrigue, l’envoie porter ses lettr
e : « Songez qu’il est cruel d’oser sacrifier     « Un jeune cœur qui vient nous confier « Son espoir, son bonheur, ou sa pei
autels. Suada ou Pitho est souvent regardée comme sa compagne. Pitho vient d’un mot grec qui signifie persuader. Vénus avait
lier s’en étant déféré, se jeta sur Adonis et le mit en pièces. Vénus vint trop tard au secours de son favori, il venait de
orable, lorsque deux de ses sujets devinant la cause de ses chagrins, vinrent secrètement lui offrir leurs services sans intérê
nt de ce que les poètes ont donné ce nom aux princes inconnus, ou qui venaient par mer s’établir dans quelque nouvelle contrée ;
d’or et d’argent ; en se jouant, ils soulevaient les eaux… Après eux venaient des tritons qui sonnaient de la trompette avec le
ie ; voici son histoire. Scylla. — Nisus Minos, roi de Crète, vint mettre le siége devant Mégare pour venger la mort
vent du nord ou septentrion ; Auster est celui du midi au sud ; Eurus vient du levant ou orient ; Zéphyr, le plus agréable et
Phinée et toute la Thrace. Ces deux frères avaient des ailes qui leur vinrent en même temps que les cheveux. Ils furent tués pa
parce qu’ils s’étaient opposés à ce que le vaisseau retournât d’où il venait , pour reprendre Hercule, occupé à chercher le jeu
mme étant renfermées dans le sein de la terre. Le nom d’Urgus lui est venu du latin urgere, parce qu’il pousse à la mort. Ce
au lieu de poil, ne s’opposait point au passage des âmes lorsqu’elles venaient dans le noir séjour : mais il mettait à leur sort
i avaient bien vécu sur la terre. Les frimas, les pluies, la neige ne venaient point attrister les habitans de ce beau séjour. O
rès un temps marqué, les unes et les autres quittaient ces lieux pour venir habiter de nouveaux corps ; et afin de perdre le
t se permettre le doute. Il est présumable que le mot terreur panique vient des forêts épaisses et sombres, qu’on dit être la
paille, qui sert de litière aux bestiaux. Quelques étymologistes font venir son nom de Palea, paille. Il est certain qu’on cé
à cultiver les jardins et les arbres, surtout les pommiers, d’où lui vient son nom. Ce poète ajoute qu’elle vivait du temps
e ce mot Pénates, puisque leur nom, leur culte et leurs mystères nous viennent des Samothraces et des Phrygiens. Ils s’appelaien
cœurs faux, dangereux, Soyez de fer, d’acier pour eux. Mais qu’un sot vienne à m’apparaître Exaucez ma prière, ô dieux ! Ferme
ets, les prières, la plainte, Et notre encens détrempé de nos pleurs, Viennent , hélas ! comme autant de vapeurs, Se dissiper aut
bole de la paix. Les demi-dieux ou héros Persée On fait venir le mot de héros du nom de Junon, qui, en grec, s’
nsuite, il épousa la princesse. Phinée, à qui elle avait été promise, vint au palais avec des troupes pour tuer son rival. P
t le premier commanderait à l’autre ; Junon fit en sorte qu’Eurysthée vînt au monde avant Hercule ; celui-ci fut par là dans
e de Lemnos : mais sa présence étant devenue nécessaire aux Grecs, il vint au siége de Troyes, où Machao, célèbre médecin, g
n de fil qui lui aida à retrouver son chemin ; il tua le Minotaure et vint retrouver ses compagnons. Dans l’excès de sa reco
, Orphée, Lyncée et plusieurs autres grands capitaines de la Grèce, à venir partager le péril et la gloire de cette expéditio
e faire succéder à son père, elle voulut empoisonner Thésée lorsqu’il vint à Athènes, mais son projet criminel étant découve
, et donna le signal aux Grecs. Ceux-ci, faisant voile à petit bruit, vinrent fondre sur la ville et la réduisirent en cendres.
13 (1845) Mythologie de la jeunesse
et du but que nous avons tâché d’atteindre dans ce petit traité, qui vient après tant d’autres. Il nous a semblé qu’en cherc
artare ; mais Tellus, qui aimait ses enfants malgré leur laideur, fit venir Saturne, et, après l’avoir excité à la révolte, l
entit ; et, fidèle, à sa parole, il dévorait ses fils aussitôt qu’ils venaient au monde. Cependant sa femme Rhéa fille d’Uranus
chèrent sous la forme de différents animaux et même de plantes. De là vint le culte que les Égyptiens rendaient aux animaux
Jupiter et de Junon, était le dieu du feu et des forgerons. Lorsqu’il vint au monde, Jupiter le trouva si laid, qu’il le pré
, parée comme pour un jour de noces. Zéphyre, par l’ordre de l’Amour, vint l’en arracher pendant qu’elle dormait, et la tran
profonde léthargie ; mais l’Amour, qui n’avait pas cessé de l’aimer, vint l’arracher à ce sommeil de mort, et l’emporta au
es ; mais, plus tard, Jupiter lui creva les yeux, et les richesses de vinrent indifféremment le partage des bons et des méchant
mme il délibérait s’il retournerait sur ses pas, le centaure Nessus33 vint s’offrir pour passer Déjanire sur son dos. Mais à
, il fut retenu prisonnier dans les Enfers jusqu’au moment où Hercule vint le délivrer. À son retour il eut le malheur de pe
on [Fig. 97]. Par hasard, Phorbas, berger de Polybe, roi de Corinthe, vint en ce lieu, et, attiré par les cris de l’enfant,
t, à la tête d’une armée formidable, les principaux chefs de la Grèce vinrent mettre le siège devant Troie. [Fig. 102] Les p
de la caverne ; mais Polyphème les aperçoit à la clarté du feu qu’il vient d’allumer, et en empoigne deux qu’il dévore. Le l
la magicienne avait apprivoisés, et qui, au lieu de se jeter sur eux, viennent en rampant les caresser. Circé les accueille avec
rains d’ambre. Cycnus, roi de Ligurie, parent de Phaéton et son ami, vint aussi pleurer sur les bords du fleuve. Il déplora
Il était en guerre avec les Thébains, et Térée, roi de Thrace, étant venu à son secours, le délivra de ses ennemis. Pandion
de son propre fils Itys dans un festin. Progné invite donc son mari à venir seul au repas qu’elle avait préparé, et lui allèg
lle ans que l’on ne vous a vue : Je ne me souviens pas que vous soyez venue Depuis le temps de Thrace habiter parmi nous.    
que rustique ? Les déserts sont-ils faits pour des talents si beaux ? Venez faire aux cités éclater leurs merveilles.        
s’avisa de le suivre secrètement. Un jour, épuisé de fatigue, Céphale vint se reposer non loin d’un buisson où elle s’était
tres45. Nisus et Scylla. Nisus régnait à Mégare, lorsque Minos vint assiéger cette ville. Le sort de Nisus et des Még
champêtre de Pan à la lyre d’Apollon. Apollon, pour le punir, lui fit venir des oreilles d’âne. Midas prenait grand soin de c
ndait, dit la légende, un son harmonieux lorsque les rayons du soleil venaient à la frapper. On représentait l’Aurore assise sur
lle d’Orchame, roi d’Assyrie, et d’Eurynome, fut aimée du Soleil, qui venait la visiter sous la forme d’une colombe. Clytie, s
l’instant le bord, et je vois paraître Alphée, le dieu du fleuve. Il vient à moi, et je fuis comme la colombe devant l’éperv
poursuivre ; et, Diane m’ayant ouvert un passage sous terre, je suis venue me réfugier dans cette contrée, et je n’y ai revu
dé par une prêtresse dont le nom, en grec, signifiait colombe : de là vint la fable que les colombes et les chênes de la for
t six mois dans le sein de la terre. 20. Aphrodite, surnom de Vénus, vient d’un mot grec aphros, qui veut dire écume. Le cul
ier ou une cuirasse couverte de la peau de la chèvre Amalthée. Ce nom vient d’un mot grec qui signifie chèvre. 23. Endymion
Fable, qui embellit tout, en a fait un chasseur aimé de la lune, qui venait le visiter pendant son sommeil. 24. Les six autr
on imagina la métamorphose de fourmis en hommes. 44. Aura, veni  : Viens , aura. En latin, aura veut dire brise, haleine du
14 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
bat homicide Le devoir engage ses jours, Pallas, volant à son secours Vient le couvrir de son Egide : S’il se voue au maintie
, Développant dans cette nuit profonde, Les élémens pêle-mêle diffus, Vint débrouiller leur mélange confus, Et variant leurs
ets, les prières, la plainte, Et notre encens détrempé de nos pleurs, Viennent , hélas ! comme autant de vapeurs, Se dissiper aut
n exprimée. Jupiter parle ainsi aux autres dieux : Suivez-moi donc : venez , troupe choisie, Goûter en paix la céleste ambroi
ut ce que l’on peut dire et savoir de mieux sur ce sujet : D’où peut venir ce mélange adultère D’adversités, dont l’influenc
encore de le voir de ce sublime étage,         Dans celui des hommes venir , ……………………………………………… ………………………………………………. Si, dans
, montagne célèbre, placée entre la Thessalie et la Macédoine ; de-là vient que les poëtes appellent le Ciel, l’Olympe, quand
r à tous, Que ces dieux si puissans ne sont rien près de nous. Qu’ils viennent à mes dons comparer leurs largesses ? Je veux lui
souffle divin m’enflâme ? D’où naît cette soudaine horreur ? Un dieu vient échauffer mon ame D’une prophétique fureur. Loin
Muses. On l’appelle encore le sacré Vallon, et on dit que les poëtes viennent y rêver, s’y promener, y implorer les secours don
opre à la douleur : Melpomène, les yeux en larmes, Des cris touchans vient me frapper. Quel art me fait trouver des charmes
ux bergers que sa voix enchante, Des biens tranquilles qu’elle chante Viennent étudier le prix ; Et tous deux osent après elle,
le registre des âges, Consacrant les nobles images Que la gloire lui vient offrir, Sans cesse en cet auguste livre Notre sou
les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vous venez sur la terre         Régner dans les vastes forêt
enter ma terreur : Reine, malgré Diane et toute sa puissance, Nous te venons d’un fils annoncer la naissance ; Eteins, et de n
u’il mérita d’être mis au nombre des sept merveilles du monde : de-là vient le nom de mausolées que l’on donne aux monumens é
passer pour l’épouse de Jupiter ; Exigez qu’aux Thébains lui-même il vienne apprendre                     Un choix pour vous
ujours la victoire         Rangea les peuples sous ma loi,         Je viens prendre part à la gloire         D’un vainqueur a
ui fait la science du négociant ; son nom seul semble l’indiquer : il vient du mot latin mercatura, qui signifie le commerce.
s, et faisoit infailliblement aimer la personne qui le portoit. Junon vint un -jour consulter Vénus sur les moyens qu’elle p
rées Où Céphise roule ses Eaux, Que mon hommage vous attire ; Graces, venez toucher ma lyre, Et tirez-en des sons nouveaux.
ourquoi, trop peu sensible aux misères humaines, Mercure, malgré moi, vint -il t’en délivrer ? Rousseau. Pendant le siège d
er le retour du printems : Dans les champs que l’hiver désole, Flore vient rétablir sa cour ; L’Alcyon fuit devant Eole, Eol
barque où l’on n’entroit point sans payer : Vous qui voulez passer, venez , Mânes errans.         Venez, avancez, tristes Om
nt sans payer : Vous qui voulez passer, venez, Mânes errans.          Venez , avancez, tristes Ombres ;         Payez le tribu
prends, Ou retournez errer sur ces rivages sombres. Quinault, De-là vient que les Grecs et les Romains mettoient une obole
lioient le passé : O vous que le sort livre à des maux déplorables ! Venez chercher ici la fin de vos malheurs :         Ave
x enfers Quelque puissance aux mortels plus fatale, Que tardez-vous ? venez , troupe infernale, Puisque le Ciel a remis en vos
        Par mes soins, les champs de Cybèle, De fruits et de moissons viennent d’être couverts : De mes dons précieux la richess
une branche d’olivier. Elle se réfugie dans le Ciel, quand la guerre vient la chasser de la terre : Aimable Paix, vierge sa
a terre : Aimable Paix, vierge sacrée, Descends de la voûte azurée : Viens voir tes temples relevés, Et ramène au sein de no
le sort de Prométhée. La Discorde, chassée du ciel par Jupiter, est venue exciter encore plus de troubles parmi les hommes,
jetta l’épouvante dans cette armée, qui fut taillée en pièces : de-là vient l’expression de Terreur Panique, pour signifier u
hés. Tandis qu’Amphitrion étoit occupé à la guerre de Thèbes, Jupiter vint tromper Alcmène, sous la forme de son mari, à laq
cipita dans l’abîme. Ce fut dans ces tristes circonstances qu’Hercule vint voir Admète. Touché de la douleur de son ami, et
ré par Cerbère ; et Thésée resta aux enfers, jusqu’au tems où Hercule vint le délivrer. Ils firent ensemble la guerre aux Am
fille, Qui peut-être rougis du trouble où tu me vois, Soleil ! je te viens voir pour la dernière fois. Racine. Le remords
lanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant, Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant. A trav
le demande, et l’obtient : Mais chacune a son but. Cependant la nuit vient . Médée, après le coup d’une si belle amorce, Prép
à la mémoire de ce poëte, qui est l’inventeur de la poésie lyrique : Viens servir l’ardeur qui m’inspire, Déesse, prête-moi
Et, pour moi, je sens bien que je le hais toujours. Racine. Ils en vinrent enfin à un combat singulier, qu’ils désiroient de
qui lui refusoit le passage dans ses Etats. Les Grecs l’engagèrent à venir avec eux au siège de Troie : ils comptoient beauc
par des bergers. Pâris, qui ne connoissoit point encore sa naissance, vint disputer un prix que Priam avoit proposé à la jeu
otte. Priam demanda une trêve de quelques jours, pendant laquelle il vint avec une partie de sa famille, et de riches prése
ur d’Hélène. Th. Corneille. Pyrrhus, fils d’Achille et de Déïdamie, vint , avec un renfort de troupes, se joindre aux Grecs
éfugié : L’indigne mort d’un père excitant mon courroux, Je pars, je viens à Troie : elle cède à mes coups. Alors, il t’en s
x mille hommes avant la prise de leur ville. La flotte des vainqueurs vint donner contre le promontoire Capharée, voisin de
lle épaisse nuit tout â-coup m’environne ? De quel côté sortir ? d’où vient que je frissonne ! Quelle horreur me saisit ? Gra
iflent sur vos têtes ? A qui destinez-vous l’appareil qui vous suit ? Venez -vous m’enlever dans l’éternelle nuit ? Venez ; à
appareil qui vous suit ? Venez-vous m’enlever dans l’éternelle nuit ? Venez  ; à vos fureurs Oreste s’abandonne. Racine. Ore
le défaisoit la nuit ce qu’elle en avoit fait pendant le jour : de-là vient que, pour désigner un ouvrage fort long à finir,
15 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
de vérité, les faux dieux attestent le Dieu véritable, et ils ne sont venus que pour remplir le vide qu’avait fait dans les â
nous décrirons le séjour qu’ils occupent. Après les dieux de l’Olympe viendront ceux de la terre, et, plus tard, les divinités de
, dans une contrée où règnent l’abondance et le bonheur. L’âge de fer vint ensuite ; il succéda aux siècles héroïques, et n’
raconte de lui beaucoup de voyages et de métamorphoses dont le récit viendra plus tard. Dans un de ces voyages, entrepris pour
me de vers, et les livraient ainsi à la curiosité de ceux qui étaient venus consulter la prêtresse. Ces tourments de l’inspir
jeune fils le soin de servir aux dieux le nectar et l’ambroisie. Hébé venait d’être disgraciée, et Ganymède était encore sur l
t-elle fille ? — Quel est son cortége ? — Quel fut son époux ? — D’où venait son pouvoir ? — Que fit la Discorde pendant les n
nt, dit-il, ces sœurs à la main sacrilége ? Que Pallas les défende et vienne en leur faveur Opposer son égide à ma juste fureu
ée à un rocher, attendait la mort, lorsque le vaisseau des Argonautes vint à passer. Hercule se fit fort de la délivrer si L
hangeait souvent de forme, pour échapper aux importunités de ceux qui venaient le consulter. Ses filles, remarquables par la grâ
yait par diverses métamorphoses d’échapper aux poursuites de ceux qui venaient le consulter. On trouve un exemple mémorable de c
lques poëtes, mère des Vents, sort du sein des flots pour annoncer la venue du Soleil. Elle eut pour époux Tithon, chasseur r
st Tantale, roi lydien jadis puissant sur la terre. Les dieux étaient venus s’asseoir à sa table ; pour tenter leur divinité,
qu’aux environs Jamais le chant des coqs ni le bruit des clairons Ne viennent au travail inviter la nature. Un ruisseau coule a
s hommes, et avait ordonné qu’elle fût exposée sur un rocher. Zéphyre vint l’en arracher et la transporta dans un palais dél
t alors dans une funeste léthargie mais l’Amour, la prenant en pitié, vint la réveiller, l’emporta au ciel, où Jupiter, malg
les spectateurs ; ce vieillard, c’était Acrisius lui-même, qui était venu chercher un asile à la cour du roi de Larisse, en
ls du même nom, dont nous parlerons plus tard. Après ces exploits, il vint à Athènes pour s’y faire reconnaître. Comme il av
Lemnos, où ils furent accueillis avec empressement par les femmes qui venaient d’égorger tous les hommes, et se trouvaient maîtr
assauts vainement tentés, les frères ennemis, Étéocle et Polynice, en vinrent à un combat singulier, où tous deux périrent. On
édit la ruine de Thèbes, et l’événement justifia sa prédiction. On en vint bientôt aux mains ; les Thébains, ayant perdu la
si. Hélène et Ménélas vivaient heureux, lorsque Pâris, fils de Priam, vint à leur cour. Ce jeune favori de Vénus, à laquelle
Achille et Agamemnon se divisèrent. Chrysès, prêtre d’Apollon, était venu réclamer sa fille Chryséis, esclave d’Agamemnon.
ssentiment de l’amitié ; il jura de venger Patrocle. Thétis, sa mère, vint le consoler, et lui apporta de nouvelles armes, o
e feignit de se retirer. Les Troyens sortirent de leurs murailles, et vinrent contempler la machine que les Grecs avaient élevé
l’Inde ; enfin, pendant le siècle noir, siècle de fer des Indous, il vint , sous le nom de Kalidaça, donner à l’Inde les poë
s que la terre était menacée d’une catastrophe, il ne manquait pas de venir à son secours. Un géant, Rakchaça Haïagriva (tâch
e. Vichnou lui laissa la souveraineté du sombre royaume.16 » Vichnou vint régner ensuite sur la terre, dans la personne de
êlent sous les auspices du bon et du mauvais principe ; mais un temps viendra où la défaite d’Ahriman sera consommée par son ad
pour sœur et pour femme Isis. Ce couple céleste parut sur la terre et vint régner en Égypte. Ils commencèrent par établir de
ens, et qu’ils remplaçaient immédiatement toutes les fois que la mort venait leur enlever cet objet de leur culte. Les Égyptie
nris. Les dieux sont parvenus à enchaîner ces monstres ; mais un jour viendra où l’ébranlement du monde leur rendra un moment l
16 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
Développant, dans cette nuit profonde, Les élémens pêle-mêle diffus, Vint débrouiller ce mélange confus, Et variant leurs f
r de le voir de ce sublime étage,               Dans celui des hommes venir , Si, dans les changemens où son humeur l’engage,
. Jupiter, sous prétexte de faire aussi son présent à Pandore, la fit venir et lui donna une boëte, avec ordre de la porter à
ce resta au fond. Voici ce qu’en du premier dit Rousseau : D’où peut venir ce mélange adultère D’adversités dont l’influence
r à tous, Que ces Dieux si puissans ne sont rien près de nous. Qu’ils viennent à mes dons comparer leurs largesses ; Je veux leu
musique et des arts, et en général de tous les ouvrages d’esprit. Il vint au monde et fut élevé dans l’île de Délos. Cette
les eaux tous les soirs, où est Thétis son épouse, et que les Heures viennent tous les matins atteler ses chevaux, afin de reco
les feux du ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vous venez sur la terre         Régner dans les vastes forêt
t Bacchus ? R. Bacchus étoit fils de Jupiter et de Sémélé. D. Comment vint -il au monde ? R. Les Poëtes le font naître de la
éclarée de ses rivales, prit la figure de Béroé, nourrice de Sémélé ; vint trouver celle-ci, lui conseilla de demander à Jup
n Poëte fait parler ainsi Junon : Exigez qu’aux Thébains lui-même il vienne apprendre                         Un choix pour v
qui fait la science du négociant. Son nom seul semble l’indiquer ; il vient du mot latin Mercatura, qui signifie Commerce. Il
de passer les Ames dans une barque pour une pièce de monnoie : de-là vient que les Grecs et les Romains mettoient une obole
.       Par mes soins, les champs de Cybèle De fruits et de moissons viennent d’être couverts ; De mes dons précieux la richess
an jeta l’épouvante dans cette armée qui fut taillée en pièces. De là vient l’expression de terreur panique, pour signifier u
hitrion, époux d’Alcmène, étoit occupé à la guerre de Thèbes, Jupiter vint trouver Alcmène, sous la forme de son mari, à laq
ré par Cerbère ; et Thésée resta aux Enfers jusqu’au temps où Hercule vint le délivrer. Ils firent ensemble la guerre aux Am
lanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant, Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant. ………………
  Ont conquis la Toison. (Voltaire.) D. Par les secours de qui Jason vint -il à bout de son entreprise ? R. Cette fameuse ex
noît ces beaux vers de Brébeuf sur ce Prince : C’est de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parl
peuple est la proie d’une affreuse famine, et une horrible contagion vint mettre le comble à ses maux. On consulte l’Oracle
escroque,            Et cependant Bertrand les croque : Une servante vient , adieu mes gens : Raton            N’étoit pas co
redemandoit sa coignée qu’il avoit perdue : Mercure, pour l’éprouver, vint lui en montrer une d’or, puis une d’argent. Le Bû
x dans les pompes funèbres. D. Quelle est l’origine de ce nom ? R. Il vient du mot Mausole, roi de Carie. Artémise, son épous
, ce qui fait en tout 100. Ces portes étoient d’airain massif ; de là vient que Dieu, permettant à Cyrus la conquête de Babyl
17 (1823) Mythologie des dames
nnemis. Le roi des dieux s’ennuyait quelquefois à la cour céleste, et venait rendre hommage à la beauté des jeunes mortelles.
dans la Grèce les arts qui y étaient inconnus. C’est de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parl
s’avancer dans le bosquet : c’était Junon, Minerve, et Vénus. « Nous venons vers toi, jeune berger, dit Junon, pour terminer
Vénus étaient fort nombreux à Rome. Dans l’un d’eux les jeunes filles venaient déposer aux pieds de la déesse leurs poupées, lor
dieux ; j’étais reine ; j’étais aimée. O trop chers souvenirs ! Mort, viens finir mes tourments… » Ce fut alors que la cruell
on Avec ces yeux perçants devant qui l’avenir, Le passé, le présent, viennent se réunir, Du haut de sa victoire, il regarde sa
à la poursuite de ce dieu : « O Pénée ! ô mon père ! s’écrie-t-elle, viens me sauver de la témérité d’un amant. » Elle ache
as content de ton partage ? « Et cet audacieux, superbe de son art, «  Vient -il me déclarer la guerre de ta part ?… « Ah ! si
aux du roi Admète : il jouait de la flûte, et tous les autres bergers venaient à l’ombre des ormeaux, sur le bord d’une claire f
s d’ardeur que Diane : un jour ce jeune prince, fatigué de sa course, venait d’inviter ses compagnons au repos, et cherchait u
lots toujours frais, Diane aime à baigner ses modestes attraits. Elle vient sous la grotte : une nymphe empressée A déjà déta
e lune annonçaient le moment où cette déesse abandonnait le ciel pour venir sur le mont Lathmos auprès du beau chasseur. Quel
epose la vue et l’ame recueillie. Reine des nuits, l’amant devant toi vient rêver, Le sage réfléchir, le savant observer. Il
; mais, vers la fin du repas, Phinée, oncle de la jeune épouse, étant venu tenter de l’enlever, et de vaincre Persée, celui-
icile à peine de retour, Elle visite encor tous les lieux d’alentour, Vient aux bords de Cyane, et ne peut de sa bouche Appre
ordre de Jupiter, fut enchaîné sur le mont Caucase en Asie : un aigle venait sans cesse dévorer ses entrailles toujours renais
mère fut vaincue par Bellérophon, monté sur le cheval Pégase, et elle vint grossir le nombre des monstres infernaux. Dans le
se jouant, ils soulevaient les flots avec beaucoup d’écume. Après eux venaient des Tritons qui sonnaient de la trompette avec le
réides : il ne se lassait point de chanter ses peines amoureuses : «  Viens , ô viens, Galatée, et sors du sein des mers ; « P
il ne se lassait point de chanter ses peines amoureuses : « Viens, ô viens , Galatée, et sors du sein des mers ; « Parais, je
is une ombre vaine, Ce qui n’est point, ce qui n’est rien de soi, Qui vient , s’éloigne, et revient avec toi. Ouvre les yeux.
tant de morts, combattit Achille, qui eût succombé, si Vulcain ne fut venu à son secours. Lisons ce combat dans l’Iliade :
nt entreprendrais-je de combattre contre vous ? sur-tout lorsque vous venez avec ces flammes dévorantes qui vous environnent 
quel secret pouvoir Es-tu fraîche le jour, et brûlante le soir ? D’où vient que dans la nuit, au déclin de Diane, La résine s
d’Athamane ? Un fleuve de la Thrace en pierre peut changer Quiconque vient y boire, et même s’y plonger. Dans l’eau du Sybar
ins, les Oréades, les Nappées, les Dryades, conduits par le dieu Pan, venaient célébrer leurs fêtes joyeuses. Écho s’éveillait s
roit que le nom de vestibule, donné à la pièce d’entrée d’une maison, vient du culte que l’on y rendait à Vesta. Lorsqu’on pé
tait en rapport avec les plus puissantes divinités de l’Olympe. De là vint la Chiromanchie, ou l’art de connaître les destin
18 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
le lâche Phinée qui avoit abandonné la Princesse dans son infortune, vient avec une troupe de gens armés dans l’intention d’
ce Prince. Comme Pluton étoit aussi surnommé Adès ou Aidonnée, de là vint la fable de la descente de Thésée et de Pyrithoüs
ion des Rois fabuleux d’Athènes, et la généalogie de Thésée : Cécrops vint d’Égypte dans la Grèce sous le règne de Triopas,
avec fermeté, lorsqu’Alceste, instruite du danger où il se trouvoit, vint elle-même se remettre volontairement entre les ma
t. Alors ils déposèrent la statue sur le rivage et partirent : Admète vint reprendre la statue qu’elle trouva liée avec des
ses sacrifices, la Déesse, pour s’en venger, suscita un sanglier qui vint ravager les terres de Calydon. Les Princes de la
seau, lorsque le savant Chiron, tenant Achille enfant entre ses bras, vint prendre congé de Jason ; et après l’avoir embrass
orieux à son vaisseau. Médée, emportant tous les trésors de son père, vint secrètement le rejoindre au commencement de la nu
écouter ; en même temps deux grands serpens, qui sortirent de la mer, vinrent attaquer ses enfans au pied de l’autel, il courut
et l’épousa sans savoir qu’elle étoit sa nièce. Par la suite, Egisthe vint à cette cour, la Reine Pélopée le reconnut et lui
le ? Il est prêt à trouver innocente la meurtrière de son père, qu’il vient d’immoler. Il y a dans ce mouvement inspiré par l
gers sur l’autel de Diane. Oreste fut saisi et condamné, alors Pylade vint offrir sa vie pour sauver celle de son ami, Orest
jax fils de Télamon ; ils se bâtirent pendant un jour entier, la nuit vint , les Héraults les séparèrent ; mais les deux adve
ule que honteuse, cependant à la fin il accepte la proposition ; Ajax vient , et comme il a les yeux fascinés par la Déesse, i
etite fille de Cadmus, Ino, admise au nombre des divinités de la mer, vient à son secours, elle lui donne une écharpe divine
d’une robe éclatante que sa main embellissoit de tableaux lorsqu’on vint lui annoncer la mort d‘Hector, la Reine Areté, fe
l’Imagination : Quel éclair perce la nue, Quelle est la Divinité Qui vient offrir à ma vue Tant de graces et de beauté ? Qui
19 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
bsurdes traditions ou sur des opinions dont la connoissance n’est pas venue jusqu’à nous. Il est évident aussi que la plupart
la prise de Troie. Lorsque dans les Perses (d’ Eschyle), un courrier vient annoncer la défaite des Perses, Atossa, mère de X
nous trouvons si sublime, n’est communément que dans l’expression, ne vient point de l’ame, et ne fut produite que par des us
puissance vengeresse les retint cloués à cette place fatale. Hercule vint les délivrer, il emmena facilement Thésée, mais i
tue resteroit à Troie. Les Grecs, sous la conduite d’Agamemnon, étant venus assiéger Troie, Ulysse et Diomède passèrent par d
il lui accorderoit ce qu’elle vouloit lui demander, elle exigea qu’il vînt la voir dans toute sa gloire. L’éclat du Dieu emb
de Vesta, mais encore à la porte de chaque maison particulière, d’où vient le nom de vestibule. Numa Pompilius, qui institua
t chez elle, par des jeunes gens qui ignoroient qui elle étoit. De là vint la coutume de faire marcher devant elles un licte
ur genre de mort. Le jour terrible de l’exécution d’une vestale étant venu , toutes les affaires, tant publiques que particul
consacrée. Voici les principaux surnoms de Vénus : Aphrodite (mot qui vient du grec et qui signifie écume) et Anadiomène (sor
t au milieu des airs avec deux fortes enclumes aux pieds, que Vulcain vint délivrer sa mère, que Jupiter le précipita dans l
Mercure, fils de Jupiter et de Maïa, et Messager des Dieux. Ce nom vient , dit-on, de marchands ou marchandises. Les Grecs
avoir fait les fonctions de prêtresse dans le temple de Diane ; delà vint qu’elles assistoient toutes aux brauronies. Diane
, témoin de ce combat musical, récusa ce jugement, et Apollon lui fit venir des oreilles d’âne. Le satyre Marsyas osa aussi d
in. Voici l’histoire de ce Memnon, roi d’Ethiopie : Priam l’engagea à venir à son secours dans la ville de Troie, assiégée pa
il leur étoit consacré ; c’est peut-être de cette consécration qu’est venue l’idée que l’ail préserve du mauvais air. On couv
20 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLV. La spedizione degli Argonauti alla conquista del Vello d’oro » pp. 331-341
a lo stridor si sente, « Percosso intorno dall’orribil penne : « Ecco venir le Arpie brutte e nefande, « Tratte dal cielo a o
ntre, e lunga coda « Come di serpe che s’aggira e snoda. « Si sentono venir per l’aria e quasi « Si veggon tutte a un tempo i
21 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XIII. Difetti e vizii del Dio Giove » pp. 69-72
esissimi e spaventevoli incendii ; ed anche il fulmine (che credevasi venir dal Cielo e dalla mano stessa di Giove) comunica
22 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte II. Degli dei inferiori o terrestri — XXXVII. Gli Dei Dei Fiumi » pp. 285-289
ne regioni30. Il fiume Acheloo fu battagliero quanto Rodomonte, e osò venir tre volte a singolar tenzone con Ercole per otten
23 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXII. Marte » pp. 138-143
arino ; « Cotal m’apparve, s’io ancor lo veggia, « Un lume per lo mar venir sì ratto, Che’l muover suo nessun volar pareggia.
24 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXIII. Venère, Cupido e le Grazie » pp. 144-151
le accezioni del verbo avvenirsi pongono anche quella che significa «  venir bene adatto per convenienza di eleganza, piacevol
25 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XVIII. Apollo considerato come Dio della Poesia e della Musica e maestro delle nove Muse » pp. 104-114
nissimo e verissimo. 133. Dante invocando Apollo così gli dice : «  Venir vedra’ mi al tuo diletto legno, « E coronarmi all
26 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXXII. Gli Oracoli » pp. 242-252
e dalla quale esalavano vapori inebrianti da allucinar la vista e far venir le traveggole, ovvero mofetici da mozzare il fiat
27 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXIX. Plutone re dell’ Inferno e i suoi Ministri » pp. 203-215
do, « Che da cacciar ritorni il signor nostro, « Vedemo l’ Orco a noi venir correndo « Lungo il lito del mar, terribil mostro
28 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXX. Stato delle anime dopo la morte, secondo la Mitologia » pp. 216-231
quale è di ciascuno il genio e ’l fallo, « Tale è il castigo. Indi a venir n’è dato « Negli ampii elisii campi ; e poche sia
29 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Della mitologia in generale. » pp. 17-359
’ ingegno umano, Che nacque all’ uom si vano e si difforme, E li fece venir con l’ arme in mano L’un contro l’ altro, impetuo
fuso, L’aerio volator che in cor ti sente, Te, o Diva, tosto e il tuo venir festeggia ; Salta il gregge ferin ne’ lieti pasch
uo Trionfo la buona Fama : Quale in sul giorno l’amorosa stella Suol venir d’oriente innanzi al sole, Che s’accompagna volen
, Che per tutto ’l desio ch’ardea nel core L’occhio mio non potea non venir meno. Scolpito per le fronti era ’l valore Dell’
ore, rinvolto in lacero bruno, il quale, addietro volgendosi, scorgea venir da lungi la Verità, non meno allegra che modesta,
; e ne furono più che mai persuasi, allorchè ……. due serpenti immani Venir si veggon parimente al lito Ondeggiando coi dorsi
30 (1824) Breve corso di mitologia elementare corredato di note per uso de’ collegi della capitale, e del regno pp. 3-248
voti. Un giorno, mentre Ippolito passeggiava alla riva del mare, fece venir fuori delle acque un mostro metà uomo, e metà ser
campo vergine con seminarci i denti di un dragone, da’ quali dovevano venir fuora alcuni uomini armati, che faceva d’uopo ste
. Assiso sulla riva del mare, ad alta voce la chiamava, pregandola di venir fuori dalle onde. Ma il povero Ciclope non era co
31 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
du pére des dieux lance du haut de l’Olympe sur les têtes coupables, vient fondre sur son ennemi : il le saisit d’une main v
oltraggio. Poscia che l’ora destinata è sorta. In che debbe lor vita venir meno. L’arbore, ch’era verde, si fa smorta, Ed og
nte la Dea lo cangiò in cervo Vede intanto l’irata cacciatrice. Ch’a venir la vendetta non soggiorna, Ch’a lui già crescon s
per far loro traghettare l’Acheronte. V. Caronte. Ed ecco verso noi venir per nave Un vecchio bianco per antico pelo, Grida
; ed altri pretendono che Era significhi aria, e che benissimo poteva venir dato a Giunone un tal soprannome, venendo ella st
uerrieri. Come con lancia in resta, e il tergo ascoso Sotto lo scudo venir dessi a fronte, E sostener la punta delle spade,
toDal flutto d’ogni intorno accumulantesi, Pesto, infranto, già sente venir meno La forza al piede ; inetta alla fatica La ma
schiacciarlo sotto l’immano peso. Come io vidi una nave piccioletta Venir per l’acqua verso noi in quella, Sotto il governo
estra entro la chioma, E vedrai d’ ogni intorno Liete e belle veuture Venir con aureo piede al tuo soggiorno : Allor vedrai,
a moglie, cangiò lo in una giovenca. ……….. Ma previsto Avea Giove il venir della consorte, E della figlia d’Inaco le forme I
32 (1841) Mitologia iconologica pp. -243
Giove in tutta l’aria di sua maestà. Da tal pensiere presa la Dea nel venir ad esso Giove sotto foggie mortali in grazia gli
ondinella. Nascon sotto a’suoi passi erbette, e fiori, Sorride al suo venir l’alma natura Mitigando del sole i gravi ardori.
33 (1880) Lezioni di mitologia
’ode intanto, Di sì soavi accenti s’innamora, E dicea a lui: Qui meco venir puoi, Ch’avrem grata erba ed ombra il gregge e no
Con gli occhi omniveggenti, e dice: figlio, Che vuoi? qual è del tuo venir la mente? Egli risponde: Dell’immenso mondo Pubbl
a: Con facil riso la mestizia eterna Mansuefece. Flegetonte s’alza Al venir del suo re, d’ardenti rivi Spuma l’ispida barba,
nte, che così introduce Caronte nel suo Inferno: « Ed ecco verso noi venir per nave Un vecchio bianco per antico pelo. Grida
destra entro la chioma, E vedrai d’ogni intorno Liete e belle venture Venir con aureo piede al tuo soggiorno: Allor vedrai ch
34 (1855) Della interpretazione de’ miti e simboli eterodossi per lo intendimento della mitologia pp. 3-62
gli apre il cammino del tempo, che circola nello Zodiaco ? 68. Ma per venir meglio a’particolari su la interpetrazione di que
35 (1836) Mitologia o Esposizione delle favole
mandò l’ Invidia ad infettare Aglauro del suo veleno. Ella perciò al venir di Mercurio cercò vietargli l’ ingresso, e fu con
36 (1831) Mitologia ad uso della gioventù pp. -
il pastore Endimione, che scendesse più volte di notte dal cielo per venir a vederlo e che avesse da lui cinquanta figli. Il
37 (1855) Compendio della mitologia pe’ giovanetti. Parte I pp. -389
fuoco, e più volte rifatto ; e l’ultima, da Domiziano, il quale fece venir dalla Grecia quelle colonne di pietra pentelica,
e ’l mantel bruno, Ed a quanti n’incontra di lontano, Che non debban venir , cenna con mano. Luciano ancora descrive l’isola
38 (1897) Mitologia classica illustrata
sacra ad Esculapio; là accorrevano i malati per ottener guarigione e venue in uso pure il metodo dell’ incubazione. La vener
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