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1 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
struction. Ce sera dans les chefs-d’œuvre des grands maîtres que l’on trouvera tous ces noms ; et les charmes qu’ils ont su répa
dre dans leurs ouvrages dédommageront des efforts de mémoire. Si l’on trouve que les réflexions contenues dans les commencemen
il n’est point d’histoire, quelque ancienne qu’elle soit, où l’on ne trouve des vestiges manifestes de la nouveauté du monde.
mée contre lui : partout il cherchait la sûreté, le repos, partout il trouvait la fatigue et la mort ; et peur combler son malhe
iens royaumes établis. Ils étaient petits dans les premiers temps. On trouve dans la seule Égypte quatre principautés : celle
mmes se nommait Protogone, et la première mère Aéòn ; ce fut elle qui trouva que les fruits des arbres étaient bons, et pouvai
s hommes, qui furent nommés Lumière, Feu et Flamme. Ce furent eux qui trouvèrent l’usage du feu, en frottant deux morceaux de bois
création de l’homme, peut-être même celle du fruit défendu ; et l’on trouve les géans dont parle l’Écriture Sainte. On doit a
qui ont enseigné cette doctrine, et Vossius assure que Zoroastre la trouva établie chez les Perses. On ne sait point qui éta
ance d’un seul principe, créateur du ciel et de la terre ; mais ayant trouvé que le culte des astres et des planètes était la
s’élever jusqu’à l’idée d’une substance immatérielle et invisible, ne trouvèrent rien dans la nature de plus beau que le soleil ;
tres comme le plus ancien, et que ce fut en Égypte qu’il commença. On trouve dans Platon que les premiers hommes qui habitèren
soleil et à la lune. Dans les détails qu’il en fait, non-seulement il trouve ceux que nous avons déjà nommés ; mais encore Cœl
s deux astres. Il paraît que c’est jusque-là qu’il faut remonter pour trouver l’origine de la métempsycose, idée dont on abusa
dant que les poëtes ne se bornaient point à peindre des chimères. Ils trouvaient dans la mémoire des hommes et dans l’histoire du
éternelle. La vanité fut une des premières sources des fables. On ne trouva point la vérité assez surprenante, assez belle ;
e, par la suite des temps, on a voulu écrire ces actions, on n’a plus trouvé que des traditions confuses ; et, en les consacra
e s’agrandir en croyant à tout ce qui est au-dessus de lui ; aussi il trouve des charmes à tout ce qui l’étonne. Le repos et l
des dieux, et c’est dans les histoires altérées de ces chefs que l’on trouve l’origine des premiers demi-dieux et des premiers
ne compta plus que par olympiades, et c’est depuis ce temps qu’on ne trouve plus autant de fables dans l’histoire des Grecs.
te des temps, les Grecs voulurent lire leur ancienne histoire, ils la trouvèrent remplie de mots phéniciens, qu’ils ne manquèrent
ions et les fables ; et souvent ils abusèrent des équivoques que l’on trouve fréquemment dans la langue phénicienne. Par exemp
ent fondée sur une équivoque. Les Phéniciens étant arrivés en Sicile, trouvèrent une fontaine environnée de saules, qu’ils nommère
romaines devaient leur origine à l’Égypte et à la Phénicie ; si on y trouve des changements, c’est que les Grecs joignaient à
que leur premier soin est d’y faire adopter leur culte. Souvent ils y trouvent de la résistance. Cadmus, avant essayé d’introdui
Cependant Cybèle, ayant mis au monde Jupiter en même temps que Junon, trouva moyen de le cacher, et le remplaça par une pierre
t par la suite nommée le mont Capitolin s’appelait Saturnin ; et nous trouvons dans Denys d’Halicarnasse et dans Justin, que l’I
de l’Asie-Mineure, d’où il arriva dans la Grèce et dans l’Italie. On trouvera que l’idolâtrie et les fables ont presque toutes
vorer. Nous apercevrons alors que Jupiter, conseillé par la prudence, trouva le moyen de délivrer de leurs prisons ses frères
e de montagnes se nomma, pour la même cause, l’Océan Atlantique. Nous trouvons aussi dans les anciens que Pluton fut gouverneur
tirent tout l’avantage qu’ils pouvaient tirer de cette expérience, et trouvèrent moyen de la renouveler et de se l’approprier. On
tyran cruel qui avait fait long-temps le malheur de l’Égypte. On lui trouve encore un autre sens beaucoup plus vraisemblable 
ouilla de son royaume, et lui donna quelque emploi dans sa cour. L’on trouve aussi dans l’histoire, que Jupiter avant de parti
einte de sa férocité. En cherchant l’explication de cette fable, nous trouvons que Lycaon, prince très-inférieur à Jupiter, abus
dégâts ; elles se trouvèrent trop faibles, et furent rompues. Hercule trouva moyen de les réparer, et laissa subsister quelque
rne son père ; la fable de Lycaon en est une preuve incontestable. On trouve cependant quelques exemples, mais très-rares, de
feu des cailloux ; d’autres disent que Prométhée, prévoyant qu’il ne trouverait pas de feu sur le Caucase, prit la précaution d’e
ous les hommes et tous les animaux. La nymphe Chéloné dédaigna de s’y trouver . Mercure la précipita dans un fleuve, et la chang
parfaite de la jalousie). Cependant Mercure, à la demande de Jupiter, trouva moyen d’endormir entièrement Argus par les sons d
que son culte était presque plus général que celui de Jupiter. On le trouvait dans l’Europe, l’Asie, l’Afrique, et surtout dans
garde contre la surprise). En cherchant le sens de-cette fable, on trouve que les conseils d’Ascalaphe déterminèrent Proser
it point. Tithon, sûr de l’immortalité, ne songea qu’au bonheur qu’il trouvait auprès d’Aurore ; il oublia que le temps a des ai
n jeune ambitieux qui fait une entreprise au-dessus de ses forces. On trouve cependant un véritable Phaéton, grand astronome,
Apollon, pour punir le larcin, eut recours a ses traits ; mais il les trouva dérobés. Ce fut pendant cet exil que Daphné, fill
la lyre, la flûte était l’instrument préféré. Apollon, avec sa lyre, trouva le moyen d’unir à la beauté du chant le charme de
sseurs. Arcas, son propre fils, ayant atteint l’âge pendant lequel on trouve tant de charmes à la chasse, rencontra sa mère sa
savans croient que les poëtes ont peint Moïse dans leur Bacchus. Ils trouvent de si grandes ressemblances entre l’un et l’autre
t Moïse ; nous allons donner la fable de sa naissance, telle qu’on la trouve dans les poëtes grecs. Il était fils de Jupiter e
origine de cette fable extraordinaire sur la naissance de Bacchus, on trouve que Sémélé périt peu après l’embrasement de son p
ach, qui signifie à la fois filer et toile d’araignée. En général, on trouve beaucoup de fables allégoriques réunies à l’histo
poëtes sur cette déesse, ne peuvent rien éclaircir, parce que l’on y trouve un mélange continuel de physique, de morale et d’
is, un lieu fort élevé, du haut duquel on s’élançait dans la mer pour trouver un remède à l’amour. Des filets artistement tendu
ient hideuses. Ces statues étaient creuses, et dans leur intérieur on trouvait les images des Grâces. (Leçon aussi douce qu’elle
ais le printemps leur était principalement consacré comme à Vénus. On trouvait que les fleurs rappelaient leur image. Toute la G
Le silence qu’ils gardent sur son origine porte à croire que, pour la trouver , il faut remonter jusqu’à Tubalcaïn. Le troisième
il réforma la langue égyptienne, et lui donna des règles exactes. Il trouva des noms pour des choses d’usage qui n’en avaient
si l’on ajoute les Naïades, les Napées, les Lymniades, etc., etc., on trouvera que les divinités des eaux étaient innombrables.
l’empire de Saturne, lui continua le commandement des flottes, et le trouva toujours fidèle à seconder ses desseins. Les prin
sse, elle attire des insectes qui bientôt se changent en abeilles. On trouve dans l’histoire un Protée, roi d’Égypte, vivant v
joutait encore. Elle fut placée dans le Panthéon de Rome ; mais on ne trouve aucune trace de son histoire parmi les Grecs. Ve
s tenaient leurs noms des emplois qu’ils avaient, et jamais on ne les trouve parmi les dieux des Grecs. Des Satyres, des Fa
ur et à la surprise qu’inspira la vue des premiers singes. On ne leur trouve aucune autre origine raisonnable. Le dieu Pan ten
a pas corps, et l’on publia que la magicienne Circé, désespérée de le trouver insensible, l’avait changé en pivert. Canente ne
de crimes, le Travail, la Mort et le Sommeil, frère de la Mort. On y trouve la Guerre et la Discorde, ayant pour chevelure de
dont l’une veille toujours. Parvenu dans cette affreuse demeure, on, trouve d’abord les âmes de ceux qui sont morts presqu’en
, les amans que le désespoir a fait mourir. En sortant de ce bois, on trouve la demeure des héros morts les armes à la main. P
l vit aborder sur le rivage un taureau d’une extrême blancheur. Il le trouva si beau qu’il ne voulut point l’immoler, et le ga
mper Pluton, et de se rendre immortel, en retournant sur la terre. On trouve dans l’histoire que pendant sa jeunesse il avait
la punition des Danaïdes telle que nous l’avons dit précédemment. On trouve aussi dans le Tartare, Œdipe, Étéocle, Polynice,
ui peut seule assurer le bonheur, fut adorée par les anciens, et l’on trouve encore dans le quatrième livre de la Cité de Dieu
’un œuf de corneille, sous la forme d’un serpent. Un aventurier ayant trouvé moyen d’introduire un de ces reptiles dans un œuf
n temple que l’on élevait en l’honneur d’Esculape, publia qu’il avait trouvé cet œuf, et que c’était Esculape lui-même qui s’é
2 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
, après s’être avancées dans l’intérieur des terres avec l’espoir d’y trouver plus de repos et de bonheur, tombèrent bientôt da
irent des générations plus corrompues encore. La vertu, la vérité, ne trouvèrent plus d’asile sur la terre ; elles remontèrent dan
cher une protection plus puissante que celle des hommes, on espéra la trouver dans le ciel ; mais le vrai Dieu n’étant plus con
n bonheur réel récompensa le premier, tandis que le second ne pouvait trouver un instant de repos. Ce fut ainsi que l’expérienc
ène. Cet extrait suffira pour prouver qu’en recourant à l’histoire on trouvera toutes les époques auxquelles vécurent les person
t arrivé avant le déluge d’Ogygès : c’était dans cet intervalle qu’on trouvait les dieux dont nous avons déjà parlé dans cet ouv
demi-dieux et les héros : c’est aussi dans ce second espace que l’on trouve les marbres de Paros ou d’Arundel. Enfin les troi
ait surnommer Jupiter, comme nous l’avons dit à l’article de ce dieu, trouva moyen de corrompre la fidélité des gardes de la j
annon, général des Carthaginois, pénétra jusque dans leur pays : il y trouva des femmes dont la course égalait en vitesse cell
ncue par Persée. M.  Fourmont, ayant recours aux langues orientales, trouve dans les noms des trois Gorgones ceux de trois va
is vaisseaux qui faisaient le commerce sur la côte d’Afrique, où l’on trouvait de l’or, des dents d’éléphant, des cornes de dive
idne. La description qu’ils en font était entièrement allégorique. On trouvait dans la Lycie plusieurs montagnes couvertes de gr
celui qui les portait. Dans le second volume du Tesoro Britannico, on trouve une médaille sur laquelle Bellérophon paraît au m
presque toutes les lois qu’il fit adopter aux Lacédémoniens. Joseph trouvait que Minos seul pouvait être comparé à Moïse. Cet
e et de toutes ses résolutions, elle les fit connaître à Minos ; elle trouva même le moyen de lui faire remettre les clefs de
, depuis ce temps, la mer Icarienne. Dédale, étant parvenu en Sicile, trouva enfin auprès de Cocalus un asile qui lui avait ôt
ue comme la marque de sa première victoire. En arrivant à Athènes, il trouva la maison d’Égée remplie de troubles. Les poëtes
. Les Centaures étaient des peuples de la Thessalie, qui les premiers trouvèrent l’art de dompter les chevaux, et de les employer
Aïdonée. Cette prison de Thésée était dans l’île de Cichyros, où l’on trouve le marais Achérusin et les fleuves Achéron et Coc
aigle qui béquetait la terre, fit découvrir un tombeau dans lequel on trouva les cendres et les armes de ce héros. Les Athénie
involontaire, et vint se soumettre aux ordres d’Eurysthée. Ce prince trouva son repentir si grand et sa soumission si franche
. Il donna la chasse à quelques lions dans la forêt de Némée. Il s’en trouva un beaucoup plus grand que les autres, qu’il tua,
ur ville, en l’honneur d’Hercule ; les caractères phéniciens que l’on trouvait sur ces colonnes firent croire qu’Hercule lui-mêm
d’être immolée lorsqu’Alcide rencontra la Mort, et la combattit ; il trouva moyen de la vaincre et de lui lier les mains avec
ui prouve le perfide conseil donné par Médée aux filles de Pélias. On trouve au contraire que ce prince n’existait plus au ret
a ses voyages. Parvenu sur les bords de la petite rivière d’Évène, il trouva que la fonte des neiges en avait fait un torrent
cle, du funeste projet d’Ino, fit équiper secrètement un vaisseau. Il trouva moyen d’enlever une partie des trésors de son pèr
ille située au pied du mont Dindyme, et dont Cysicus était roi. Ils y trouvèrent des géans à six bras et à six jambes (c’est-à-dir
é par Ancée. Une tempête les força d’aborder à l’île d’Arécie, où ils trouvèrent les enfans de Phryxus, qu’Éétès, leur aïeul, envo
at contre ses habitans. La fable peignit ce combat en disant qu’ils y trouvèrent des oiseaux qui leur lançaient des plumes meurtri
à plusieurs tragédies dans lesquels les événemens furent altérés. On trouve même avec regret la preuve que le fameux tragique
t le génie des langues orientales et leurs véritables significations, trouve dans les mots phéniciens l’explication de ces fab
brèrent ses funérailles avec la plus grande pompe. Jason et Médée s’y trouvèrent , sans aucune surprise ni réclamation de la part d
ide n’a pu détruire les monumens et les écrits de son temps ; et l’on trouve dans plusieurs auteurs anciens, que les Corinthie
ès, une nouvelle fable vint encore flétrir la mémoire de Médée. On la trouve dans Ovide. Médée, dit-il, après avoir massacré
. Pour expliquer cette fable, il faut observer que, dans ce temps, on trouvait dans les palais des chambres qui avaient la forme
celle de toute l’antiquité et des historiens les plus graves : on le trouve sur toutes les listes des Argonautes qui ont été
en préférant à tout ce que nous pourrions écrire les détails que l’on trouve dans le Voyage du jeune Anacharsis. « La colère
forfaits, et déchira ses entrailles de ses propres mains : Agamemnon trouva son trône et son lit profanés par un indigne usur
res soutenues par des piliers. Autour de ces grandes chambres., on en trouvait de plus petites, où se reposaient ceux qui montai
. Le même Hérodote ajoute que, près de cette chapelle, en dehors, on trouvait un autel d’or, sur lequel on n’immolait que des a
. On a suivi par tout l’ordre corinthien. Du temps du pape Eugène, on trouva près de cet édifice une partie de tête en bronze
de cet édifice une partie de tête en bronze représentant Agrippa. On trouva en même temps un pied de cheval et un morceau de
, dit Pausanias , est une des villes les plus ornées de la Grèce. On trouve auprès de cette ville un bois sacré ; et c’est da
yé pour savoir si ce lieu ne contenait pas des trésors. Son corps fut trouvé loin de là. Les prêtres, probablement instruits d
hrétienne eut triomphé de l’idolâtrie, les oracles tombèrent, et l’on trouva dans les antres et les cavernes les marques de l’
gardent comme un mélange bizarre qui ne mérite aucune confiance. On y trouve les mystères de la rédemption, les miracles du Sa
utour de ce temple était un bois sacré, nommé l’Altis, dans lequel on trouvait les statues érigées en l’honneur de ceux qui avai
ercher dans des contrées inconnues à ses ennemis, la liberté qu’il né trouvait plus dans sa patrie. Son véritable nom était Frig
croit que ce dernier fut composé par Sœmond , surnommé le Savant. On trouve encore plusieurs fragmens de cette première Edda 
éans. Un jour que les fils de Bor, ou des dieux, s’y promenaient, ils trouvèrent deux morceaux de bois flottans, qu’ils prirent, e
eux que de prétendre les renfermer dans une enceinte de murailles. On trouve encore en Danemarck, en Suède, en Norwège, au mil
cavité, qui servait probablement à recevoir le sang des victimes. On trouvait ordinairement auprès, des pierres à feu, car tout
e consistait à donner de plus grandes proportions à ces autels. On en trouve encore un en Sélande, dont les pierres sont d’une
ur les sommets des collines. Dans quelques endroits de la Norwège, on trouve aussi des grottes taillées dans le roc avec une p
la foi chrétienne, il fit raser ce temple et briser les idoles. On y trouva des richesses immenses, et, entre autres, un anne
di de l’île. Dans chacun de ces temples, dit un auteur de ce pays, on trouvait une chapelle particulière ou lieu sacré. C’est là
aux engraissés ; à Frigga, le pourceau le plus grand que l’on pouvait trouver  ; à Odin, des chevaux, des chiens, des faucons, e
e Troubadours. Il paraît que c’est jusque-là qu’il faut remonter pour trouver l’origine de ces romans de chevalerie, si singuli
ns de Toulouse ; mais tous ajoutent que, lorsque dans ces colléges on trouvait un sujet qui annonçait de grandes dispositions, o
n que les premiers Bretons n’élevaient aucun temple à la divinité. On trouve même dans les poésies d’ Ossian, que ce barde sub
elle des druides avaient la même origine ; les différences que l’on y trouvait peuvent avoir été causées par les guerres, l’éloi
le héros à la guerre. Dans les temps brillans de la chevalerie, nous trouvons sans cesse les tableaux de ces mêmes mœurs et de
ifices humains dont cet empereur leur interdit absolument l’usage. On trouvait encore des druides dans le pays Chartrain jusqu’a
3 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
n mille inventions, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa main des fleurs toujours écloses. D. Les
bles brûlants de l’Arabie, fut pris d’une soif ardente, et ne pouvoit trouver une goutte d’eau. Dans cette extrémité, Jupiter s
ilence, et c’étoit un crime que de révéler ce qui s’y étoit passé. On trouve dans les anciens auteurs, deux autres fêtes insti
le Besoin importun Habite avec la Faim, aux entrailles à jeun. Va la trouver  ; dis-lui qu’implacable harpie, Elle aille se cac
rrose le Pénée. La Faim, dans touts les temps, si contraire à Cérès, Trouve un plaisir cruel à remplir ses décrets. Un tourbi
emande de Neptune. Mais le dieu des eaux lui envoya un dauphin qui la trouva au pied du mont Atlas, et vainquit sa résistance.
pareillement Manes des divinités qui présidoient aux tombeaux ; Aussi trouve-t -on souvent sur les tombes des anciens, ces deux l
poids et mesures. Homère lui attribue l’invention de la lyre. Mercure trouva une tortue sur le sable du Nil ; il la vida avec
ès, elles la conduisirent avec pompe dans le ciel. Touts les dieux la trouvèrent si belle, que chacun d’eux voulut l’épouser. Jupi
goût pour Anchise, descendant de Tros, fondateur de Troie, le venoit trouver sur le mont Ida. Ce prince osa se vanter de son b
voit fait verser du vin. Le vieux Silène s’enivra. Des paysans qui le trouvèrent , le parèrent de guirlandes, et l’amenèrent à Mida
a pareillement de Marsyas. R. Marsyas étoit un satyre de Phrygie. Il trouva la flûte que Minerve avoit rejetée, parce que cet
r de la flûte, et le dieu des bergers, des bois et des prairies. Pan trouva le premier cet art ingénieux De former sur la flû
otège mes génisses Contre la faim cruelle et le loup inhumain, Que je trouve le soir le nombre du malin ; Qu’autour de mon ber
st plus père, Dédale cherche au loin le jeune téméraire. Icare, où te trouver  ? Il appelle à grands cris Icare, et sur les eaux
s, elle se retira à Athènes. D. Quelle fut la fin de Médée ? R. Elle trouva un asile, auprès d’Egée, roi de Corinthe, qui mêm
bravé la fureur ; Pour mieux jouir encor d’une entière vengeance, Je trouve une autre cour, un roi dont la naissance, Pour m’
cents, venoient d’elles-mêmes se placer les unes sur les autres. Nous trouvons dans cette fiction un emblème ingénieux du pouvoi
se construire ; L’autre, près de périr par la fureur des flots, Sait trouver dans leur sein la vie et le repos : Un dauphin, t
toit un fameux sculpteur. Il fit une statue de Vénus en ivoire, et la trouva si belle, qu’il pria la déesse d’animer cet ouvra
son épée. Cependant Thisbé sortit du lieu où elle s’étoit cachée, et trouva Pyrame expirant. Elle ramassa l’épée fatale et se
lle, l’attentat de Térée, et la situation où elle étoit réduite. Elle trouva le moyen de faire passer la tapisserie à sa sœur.
roi de Corinthe, ayant conduit par hasard son troupeau dans ce lieu, trouva le jeune prince, le détacha et l’emporta. La rein
lle se rendit Œdipe, après avoir tué Laïus ? R. Il alla à Thèbes, et trouva cette ville désolée par le Sphinx. C’étoit un mon
reur, à la vue de cet abominable festin. Thyeste, transporté de rage, trouva un vengeur dans un fils qu’il avoit eu d’une unio
rdant Télèphe comme son ennemi, lui refusoit ses secours. Mais Ulysse trouve moyen de lever cette difficulté. Il prit de la ro
arde trop long-temps à paroître, il vient lui-même la demander. Il la trouve avec sa mère, qui l’avoit retenue auprès d’elle.
cri de rage ; L’infidelle s’est vu par-tout envelopper, Et je n’ai pu trouver de place pour frapper : Chacun se disputoit la gl
coulent autour de moi ! ……… Quoi ! Pyrrhus, je te rencontre encore ! Trouverai -je par-tout un rival que j’abhorre ? Percé de tan
hiloctète avoit gardées avec lui à Lemnos, chargèrent Pyrrhus d’aller trouver ce héros, et de l’amener devant Troie. Il étoit q
s sa caverne, avec la soif du carnage et l’espoir de la vengeance, la trouva déserte, et frémit de fureur, lorsqu’il entendit
terrible, Monstre hideux, l’horreur des monstres des forêts, Que sans trouver la mort nul n’aborda jamais, Cet ennemi des dieux
sées de suite. Ulysse approuva cette résolution, dans l’espérance d’y trouver un moyen de se venger des prétendants. Touts essa
emiers transports, Je me sentis glacer en revoyant ces bords : Je les trouvai déserts, tout avoit fui l’orage. Un seul homme al
, pour s’assurer si l’argent y avoit été déposé. La somme énoncée s’y trouva  ; Palamède lut lapidé. On lui attribue le jeu des
ur mère. Après la prise de la ville, on la chercha long-temps sans la trouver  ; mais enfin, Ulysse la surprit parmi les tombeau
igation d’Énée. Il feint qu’après le départ du héros troyen, Junon va trouver le roi des vents, et lui demande d’exciter une te
s desirs. IV. Pour bien vivre, il faut s’abstenir des choses que l’on trouve répréhensibles dans les autres. V. La félicité du
se mit à voyager dans toute la Grèce. De retour dans sa patrie, il la trouva déchirée par la guerre civile. Athènes tourna les
et vieux fuyoient sa vue. La pauvre Vérité restoit là morfondue, Sans trouver un asile où pouvoir habiter.         A ses yeux v
es être pareillement utiles à la jeunesse ? R. Oui ; les jeunes gens trouvent dans la fable des préceptes également propres à f
tte s’exprime ainsi :       Nous pouvons touts tant que nous sommes, Trouver ici de quoi corriger nos défauts,       Et, disci
e toi.                Je n’aurois jamais, quant à moi,                 Trouvé ce secret, je l’avoue. Le Renard sort du puits, l
société goûte les fruits de cet heureux changement, et se réjouit de trouver dans les femmes la réunion des agréments extérieu
rice, de fantaisie en fantaisie, les amenant au point de ne plus rien trouver qui puisse les satisfaire ; cette mère n’exigeant
r les repas et le sommeil, un air pur, et l’exercice. Or, les enfants trouvent difficilement la réunion de ces avantages dans la
e personne à bien lire à haute voix. Ce point est trop négligé. Aussi trouve-t -on peu de personnes qui lisent bien. Une demoisel
ans talents, ne peut être heureux. Il s’ennuie par-tout et ne sauroit trouver nulle part de vraies jouissances. Écoutons M.  De
fournis de l’inconstance de la fortune ! Combien de personnes se sont trouvées dans la nécessité de tirer parti des connoissance
nard. Un Lion décrépît, goulteux, n’en pouvant plus, Vouloit que l’on trouvât remède à la vieillesse. Alléguer l’impossible aux
comparoître aux pieds de ma grandeur ; Si dans son composé quelqu’un trouve à redire,            Il peut le déclarer sans peu
’à son appétit            Dame baleine étoit trop grosse. Dame fourmi trouva le ciron trop petit,            Se croyant, pour
’en avoir. De qui nous a servis, la vue est importune :            On trouve honteux de devoir            Les secours que, dan
devoir            Les secours que, dans l’infortune, On n’avoit point trouvé honteux de recevoir. D. Quels soins les personne
e livré à l’ambition se laisse-t-il rebuter par les difficultés qu’il trouve sur son chemin ? Il se refond, il se métamorphose
is que le galant à grands pas se retire, L’homme au trésor arrive, et trouve son argent                                 Absent
pour lui, fait les frais du cordeau. Aussi bien que l’argent le licou trouva maitre, L’avare rarement finit ses jours sans pl
outa du dépôt, l’enleva sans rien dire. Notre avare, un beau jour, ne trouva que le nid. Voilà mon homme aux pleurs : il gémit
t que dans son corps elle avoit un trésor. Il la tua, l’ouvrit, et la trouva semblable A celles dont les œufs ne lui rapportoi
s-tu fait de tes pieds ? Au moment qu’elle rit, Son tour vient, on la trouve . Elle croit que ses ailes        La sauront garan
plaisirs qu’elle lui offroit, lorsque le chef de la religion vint le trouver et lui dit : Prince, rien n’est plus chancelant q
nstant échappé ne renaîtroit plus. Souvenez-vous sur-tout que vous ne trouverez dans cette île que ce que vous y aurez fait trans
heureux dans une autre île où vous serez un jour transférés. Vous ne trouverez dans cette dernière île, vous ne porterez dans la
ns touts les âges : ces plaisirs se renouvellent sans cesse, nous les trouvons par-tout, nous pouvons à touts les instants nous
edans. Je ne sais pas l’endroit ; mais un peu de courage Vous le fera trouver , vous en viendrez à bout. Remuez votre champ dès
4 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
dit, dans quelques journaux, qu’il étoit étrange et bizarre de ne pas trouver riantes les fictions de la Mythologie ; cependant
il de fables.   Un seul journal (toujours très-malveillant pour moi,) trouve aussi qu’il est très-étrange de mettre la Mytholo
ans moquerie, comme sans fiel, je demanderai au censeur, si l’on peut trouver très-étrange l’idée de dessiner les attributs des
malveillance la plus décidée (sans qu’on puisse deviner son motif) ne trouve à faire que de telles critiques, loin d’en être b
, dans une mauvaise barque, Danaë et son fils, et que l’un et l’autre trouvèrent un azile à la Cour de Polydecte. Le Roi devint am
devint parricide en tuant Laïus. Delà, Œdipe se rendit à Thèbes où il trouva la Cour et la ville dans la plus grande désolatio
nous a nourris pour l’habiter et la défendre un jour au besoin ». On trouve ces belles sentences dans l’Œdipe de Sophocle :
reux de Proserpine. Enfin il arriva couvert de gloire à Athènes où il trouva tout en confusion par la révolte des Pallantides,
et par les intrigues de Médée, qui, s’étant sauvée de Corinthe, avoit trouvé un asile auprès d’Egée, séduit par ses artifices
que lorsque les deux époux entrèrent dans la chambre nuptiale, ils y trouvèrent des Dragons énormes envoyés par Diane oubliée par
sur le rivage et partirent : Admète vint reprendre la statue qu’elle trouva liée avec des branches d’arbres, parce que les Sa
paniens et fonda la ville de Petilie. Il fut tué par les Rhodiens. On trouve dans le Philoctète de Sophocle, cette admirable m
ier volume, à la suite de l’article des Muses. Jason. On va trouver encore dans cette histoire tous les crimes et tou
n est universellement convenu de les appeler de riantes fictions ; et trouver le contraire est, dit-on, un étrange paradoxe ! L
oit respecté la pudeur. Il députa Phénix, Ajax et Ulysse. Les députés trouvèrent Achille devant sa tente, jouant de la lyre ; en l
Troie, arriva à Buthrote, chez les Chaoniens, où régnoit Hélénus ; il trouva , dans un bosquet sacré, Andromaque faisant un sac
ronne sur la tête. Oreste alors étoit enfant. Electre, sa sœur ainée, trouva le moyen de le soustraire à la rage de Clytemnest
Mycènes, et caché chez Electre, il attendoit un instant favorable. Il trouva le moyen de s’introduire dans le temple avec son
e trouble et il dit : fut-elle innocente ou coupable ? Il est prêt à trouver innocente la meurtrière de son père, qu’il vient
tue de Diane, ayant été embrassée par ces meurtriers, qui avoient cru trouver un asile dans son temple, il falloit aussi purifi
après cette lettre Palamède fut cité devant le tribunal des Chefs, on trouva dans sa tente la somme d’argent et il fut lapidé.
il doit aborder heureusement en nageant, dans l’île des Phéaciens. Il trouva sur le rivage la belle Nausicaa, fille du Roi Alc
més les vents nuisibles, et que ses matelots déchaînèrent, en croyant trouver un vin précieux dans ces outres merveilleuses, se
e, il alla en Italie où il rencontra une femme qui pleuroit ; croyant trouver le sens de l’oracle dans cette aventure, il bâtit
, et dans le moment où l’on renverse l’urne pour compter les voix, on trouve toutes les boules noires changées en blanches, My
ut absous et eut la liberté de partir ; à l’embouchure de l’Esare, il trouva le tombeau du célèbre Crotone, il y jeta les fond
e habile et industrieuse et il n’ajoute pas qu’elle fut belle38. On trouve une conformité très-remarquable dans les mœurs de
gli Nelle sventure tu mi consigli Et sol contento sento per te39. On trouve dans la Jérusalem délivrée une belle peinture all
n’en connoissent pas la hauteur ceux qui prétendent se tripler ». On trouve dans Métastase ces jolis vers sur l’Amour et l’Am
t très-brillant. 6. Scylla qui trahit son père Nisus pour Minos. On trouvera son histoire dans le troisième volume de cet ouvr
des Dieux, après leur mort, dans le pays où ils étoient nés. 25. On trouvera l’horrible histoire de Pélops dans le volume des
5 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
s, une pierre emmaillotée, qu’il dévora immédiatement. Plus tard elle trouva encore moyen de soustraire à la férocité de ce pè
un pays rempli pour lui d’amers souvenirs. Il s’enfuit en Asie, où il trouva Neptune, banni comme lui, qui s’était mis au serv
ôt après elles la conduisirent avec pompe dans l’Olympe. Les Dieux la trouvèrent si belle, que chacun d’eux voulut l’épouser. Mais
our le maître des eaux ; mais Neptune lui députa deux dauphins qui la trouvèrent au pied du mont Atlas, et qui, l’ayant persuadée
l’empire lui était échu en partage, empêchèrent longtemps ce Dieu de trouver une compagne. Voyant ses vœux repoussés par les m
es les actions des autres Dieux. Neptune ayant créé le taureau, Momus trouva que les cornes auraient dû être placées près des
fussent mieux dirigés ; Minerve avait construit une maison, Momus la trouva mal imaginée, en ce qu’on ne pouvait la transport
dre dans la personne de Vénus, il se moqua de sa chaussure ; enfin il trouvait toujours matière à exercer sa verve satirique. On
core Nérée qui instruisit Hercule de la contrée et de l’endroit où il trouverait les pommes merveilleuses du jardin des Hespérides
rant par la douceur de leur chant dans ces passages dangereux. Ulysse trouva moyen d’échapper à leurs séductions en bouchant a
gloire en l’engageant dans quelque entreprise périlleuse où il devait trouver la mort. Il lui persuada donc que le plus sûr moy
e héros grec n’aurait pu triompher de si grands dangers, s’il n’avait trouvé un appui inattendu à la cour du roi Æètes : Médée
son tuteur ? — Pouvez-vous dire ce qu’était la Toison d’or ? — Jason trouva-t -il des compagnons pour aller tenter la conquête d
r à la porte du temple, et de fonder une ville en cet endroit. Cadmus trouva en effet un bœuf qui se mit à marcher devant lui,
ait pas son père, et l’oracle qu’il alla consulter lui répondit qu’il trouverait ses parents en Phocide65 ; il se hâta donc de se
a main de son fils se trouva ainsi accomplie. Parvenu à Thèbes, Œdipe trouva cette ville dans un grand trouble causé par le Sp
; Ulysse alla donc demander à Philoctète de lui révéler le lieu où il trouverait ces armes. Philoctète résista longtemps à ses sol
ers temples semblent aussi avoir été construits en Egypte, et l’on en trouve encore qui furent taillés dans des rochers à des
vaient été enfouis pendant près de neuf siècles, et le bronze qu’il y trouva forma la charge de neuf cents chameaux, c’est-à-d
es dans les pays étrangers. Quand il revint au bout de dix années, il trouva ses lois tombées en désuétude, et en mourut de ch
ité de l’âme et d’une vie à venir, dans laquelle les méchants doivent trouver la punition de leurs crimes, comme les bons y tro
échants doivent trouver la punition de leurs crimes, comme les bons y trouveront la récompense de leurs belles actions. Les idolât
es Demi-Dieux et des Héros, comme dans celle des principaux Dieux, on trouve un fond de faits historiques modifiés et défiguré
qui régnait sur les trois îles Baléares. Passant en Afrique, Hercule trouva Atlas, qui régnait sur des montagnes tellement él
3,300 mètres ; son principal cratère a une lieue de tour. Empédocle y trouva la mort en voulant y descendre. 6. Chaîne de mon
Dilès ou Idili, petite île de l’Archipel, et l’une des Cyclades. On y trouve encore quelques débris du temple célèbre qu’on y
il avec la terre, qui l’entraîne dans sa révolution annuelle. 20. On trouve encore les ruines de la ville et du temple près d
el, et elles prenaient soin du char et des chevaux du soleil. 26. On trouve encore les ruines de ces temples dans l’île de Ch
a cire et des plumes il forma des ailes pour lui et pour son fils, et trouva ainsi moyen de traverser les airs. Ce ne fut qu’e
occupait à peu près le centre, à l’ouest de la Cappadoce. 67. On ne trouve aujourd’hui aucune trace de l’ancienne Troie au v
lèbre. Mais sur un rocher voisin, que l’on croit être le Pergania, on trouve des débris de construction, une citerne taillée d
prédite, il se rendit à Colophon, où il mourut de chagrin pour s’être trouvé moins habile qu’un autre devin nommé Mopsus. 71.
e, renommée autrefois par le luxe et la richesse de ses habitants. On trouve ses ruines dans les environs de Baïes, et l’on pe
t avait près de 100 kilomètres de circonférence. Ses ruines, que l’on trouve dans les environs de Bagdad, n’ont été positiveme
l’Égypte fondée par Osiris, sur la rive occidentale du Nil. 92. On trouve encore aujourd’hui quelques vestiges de ce labyri
6 (1866) Dictionnaire de mythologie
rié, commode, agréable, facile à quitter, facile à reprendre, où l’on trouve la table des matières en tête de chaque page.
lle aura lu ses journaux, ses revues, ses brochures, ses romans, elle trouvera que Saturne, Jupiter et les douze grands dieux ma
minable réduit. Quand je me retournai, mon guide avait disparu. Je me trouvai seul au milieu d’une effroyable armée de monstres
si répandu dans toute l’antiquité qu’il est peu de pays où l’on n’en trouve des vestiges. A Dium en Macédoine, à Alexandrie e
nnes à qui la fable est peu familière les allusions qu’elles pourront trouver dans leurs lectures ; car la poésie, l’éloquence,
e à la livre ; ils ne pouvaient se consoler que quand ils lui avaient trouvé un successeur, et nous le mangeons à la mode ou e
ule vint en aide au géant et le soulagea quelque temps du fardeau. On trouve dans les livres des allusions à cette fable : — I
it pas assez imposante pour inspirer la crainte et le respect, on lui trouva un costume plus en rapport avec ses nouvelles fon
pauvre asile de ma chaumière.” « — Conduis-moi, dit la déesse, tu as trouvé le secret de me persuader.” — Et quittant la pier
la prairie sauvage des pavots calmants et soporifiques. Entrée, elle trouve la maison pleine de deuil ; déjà on croyait l’enf
e si vous ne personnifiez pas ses idées, et quelles personnifications trouverez -vous qui soient plus vivantes qua celles des Grec
’on le saluât quand il lui arrivait d’éternuer en voiture . Enfin, on trouve dans l’Anthologie cette épigramme d’ Ammien contr
allait que Xénophon fût parfaitement venu du dieu Éternuement pour le trouver toujours à point nommé dans les circonstances dif
rts, hardis pourchasseurs de nymphes ? Non, vous avez fait souche. On trouve encore aujourd’hui, non plus dans les forêts, mai
asteurs, des laboureurs, des fondateurs de villes. Ces nouveaux venus trouvent dans les sillons de vastes ossements, leur bêche
compatissant. Le conte des Géants et des Pygmées est un de ceux qu’on trouve en circulation chez tous les peuples du monde. Il
aint-Pierre de Rome, il se dirigea pieusement vers un bénitier, qu’il trouva élevé à plus de quinze pieds du sol quand il fut
dit l’autre, mais je n’ai pas compris. — Ni moi, répond X… » Ils vont trouver un savant du quartier, un ancien chef d’instituti
chiavel : les gondoliers même chantent, dit-on, les octaves du Tasse. Trouvez -vous en France des paysans qui comprennent Racine
pas un animal fabuleux : il existe, il s’appelle loup cervier ; on le trouve en Russie, en Sibérie, en Lithuanie, dans le nord
istoire naturelle, en un seul vers, mises à la portée des enfants. Je trouve , dans un commentaire sur les fables de La Fontain
Français du dernier siècle ornaient leur style et leurs tombeaux. On trouve cependant encore en province des cimetières hanté
it une maison, Vulcain forge un homme. Momus, choisi pour arbitre, ne trouva qu’à gloser. Planter des cornes à un taureau de c
son. Mortels qui mesurez 1 mètre 56 centimètres, taille moyenne, vous trouvez bien ridicules ceux de vos frères qui ont le malh
daignaient pas mes avis ; faites comme eux, écoutez-moi, vous vous en trouverez bien. » Il est un peu prolixe en ses discours,
à celle du théâtre français. La difficulté pour lui n’était pas d’en trouver une ; elles abondent dans la légende et dans l’hi
rtant et nous rendre confiance, c’est que dans tous les âges il s’est trouvé de nobles et vaillants esprits qui ont protesté,
prudent, avait demandé la sagesse. Mais, pour un Salomon, combien on trouverait de Midas ! Bacchus, non sans rire, exauce la priè
a sainteté du foyer. Pénélope brode en l’absence de son mari ; Sextus trouve Lucrèce occupée à filer la laine au logis. La cor
celles qui sont tirées de la Fable, comme sentant leur pédantisme. Je trouve dans un abrégé d’histoire cette jolie phrase : « 
uelque idée sous cette légende, personne ne s’en avisait. Comme on en trouvait d’aussi ridicules dans d’autres religions, on jug
avouer qu’avec des problèmes aussi naïfs, le sphinx, de nos jours, ne trouverait personne à dévorer, et que nos interprètes de réb
er. ADONIS. — Nous avons de La Fontaine un poëme d’Adonis, où l’on trouve des vers charmants, et entre autres celui-ci tant
ie judiciaire est une superstition fort ancienne et fort répandue. On trouve dans les écrits de Ptolémée un chapitre sur l’inf
7 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
istorique. Cependant qu’on ne se persuade pas que dans cet ouvrage on trouvera une suite non interrompue de faits chronologiques
e l’union de Crios avec Eurybie, vinrent : Astrée uni à Eos, que l’on trouvera plus loin, Pallas uni à Styx, d’où leurs enfans :
on. Si nous voulons savoir l’histoire de cette féconde déité, nous la trouvons dans Diodore. Il nous apprend que Cybèle, étant p
dans la Mythologie composite des Grecs, n’a point de jeunesse : on la trouve tout de suite femme de Chrone ou Saturne, déjà co
rencontra un personnage fort adroit, nommé Mercure, qui aussitôt lui trouva un expédient. Pour cela, il engage une partie de
un autel un feu sacré qu’on ne devait jamais laisser éteindre, il s’y trouvait entretenu par de jeunes vierges appelées Vestales
s il fut sur les bords de la mer, monta un vaisseau qu’il fabriqua ou trouva tout construit, et fit voile vers le Tibre, à l’e
chute du ciel, Entorie, fille d’Icarius et mère de Janus, qu’il avait trouvé sur le trône, et avec lequel il régnait. C’est un
insi que ses sœurs, s’en séparer. Allégorie dont le sens est facile à trouver , en réfléchissant que Chrone ou Saturne signifie
grottes des monts Pélasgiques, où elle mit au monde un fils que l’on trouve quelquefois appelé Dolops, et que l’on connaît pl
sœur jumelle de Pluton. Saturne recueilli par Janus, dans le Latium, trouva le bonheur, et le prodigua aux peuples qu’il diri
pte, ou de César aux empereurs romains. Cependant, si l’on tient à en trouver un tant soit peu historique, c’est au Jupiter fil
oriens, en père, fille et sœur ; puis, dans Amalthée, il ne faut plus trouver qu’une nymphe-chèvre, emblème de la nourrice par
manes. Ces foudres produisaient l’effet rapide et instantané que nous trouvons encore aujourd’hui dans le tonnerre. Seulement, p
un globe sur ses épaules. Passant maintenant aux autres Titans, nous trouverons Pallas, génie funeste, confondu ou peut-être ne f
e arme divine. Enfin, arrivant au dernier des rivaux de Jupiter, nous trouvons TyphŒ, monstre particulier, dont l’histoire fut à
ec Alcmène, femme d’Amphitrion, et à plusieurs autres enfans que nous trouverons plus loin. formation de l’olympe. — Libre ainsi
de l’autre côté du fleuve, elle et l’amour, par deux poissons qu’ils trouvèrent sur la rive. Jupiter resta donc seul à lutter con
s poètes nous les ont représentés, sont les punitions que méritent et trouvent toujours l’ambitieux, l’ingrat et le fanfaron qui
e en un soufflet, fable assez obscure, à laquelle il est difficile de trouver un sens allégorique. Mylius ou Mylinus roi de Cr
s ne sachant comment faire sans se compromettre, elle fut secrètement trouver la belle Flore et lui demanda le moyen d’avoir au
n berger appelé Pâris, fils de Priam, roi de Troie, n’avait pas voulu trouver Junon plus belle que Vénus et Minerve. Mais en pa
n des chars, on en vit succéder plusieurs autres, parmi lesquelles on trouve le nom de Calybé. Ces prêtresses, appelées encore
Biton, fils de Cydippe, prêtresse de cette Junon d’Argos, n’ayant pas trouvé de bœufs pour conduire le char de leur mère au te
es. Voulant éviter de renvoyer à la fin de l’histoire de Jupiter pour trouver les enfans que Junon eut de son auguste époux ou
ant lesquels on allumait des feux où l’on jetait les animaux que l’on trouvait  ; on célébrait aussi à Rome des Céramices. Romulu
l’un des compagnons habituels de Vulcain ; parmi leurs descendans, on trouve Atreneste, fils d’Argès et de Phrygie. Nous les v
ces grandes figures allégoriques. Dans le nombre de ces divinités, on trouve  : Alémone déesse de l’allaitement, Cuba qui prési
e manière, ils disent que Niobée, fille d’Assaon et femme de Philote, trouva la beauté de ses enfans supérieure à celle des La
ine levée le voyait dans les plaines, et le soleil et son coucher l’y trouvait encore. Cette passion était si forte, qu’elle mor
sur la côte européenne du Bosphore une statue dans un temple où l’on trouvait aussi cell de Diane. Nous venons de dire que cett
t un temple d’Apollon, bâti par Manto l’une de ses maîtresses, il s’y trouvait une source dont l’eau abrégeait les jours et dont
. Admète ayant été attaqué d’une maladie mortelle ou du moins s’étant trouvé dans la position de subir la mort, Apollon trompa
ou de Corinthe, et d’Epimède ou Eurimède, fille de Sisyphe, que nous trouverons avec les enfans d’Eole, dont il faisait partie. C
i, s’étant éprise d’un coupable amour pour le jeune héros, et l’ayant trouvé insensible, imita la femme de Putiphar à l’égard
punit ou récompensa avec plus ou moins de justice, nous pourrions en trouver un très grand nombre ; mais nous nous contenteron
aux Chaldéens l’art des augures, sorte de divination qui consistait à trouver les secrets de l’avenir par l’inspection du vol,
ou augures consultaient ensuite les livres auguraux dans lesquels ils trouvaient l’explication des signes qu’ils avaient remarqués
n entrait dans une caverne en forme de four, au milieu de laquelle on trouvait un trou dans lequel il fallait descendre par des
odice, fille de Priam. Amphiaraus ou Amphiaras, roi d’Argos, que nous trouverons devant Thèbes. Amphiloque, fils d’Amphiaras qu’il
e des sorciers et des enchanteurs, mère de la fameuse Scylla que nous trouverons auprès de Carybde, lors du retour d’Ulysse dans s
e, sa sœur, elle découvrit l’intrigue, la dénonça à son père, ou même trouva moyen de tuer sa sœur. Cette cruelle et vindicati
ns en revue les enfans qui résultèrent de ces diverses intrigues nous trouvons parmi ses fils : Acréphée dont la mère est restée
les métamorphoser le fit adjoindre aux puissances cabiriques que nous trouverons commandées par Vulcain. Il fut aussi l’Hynodoter
mparfaites ; mais si l’on cherche le sens morale de cette fable, on y trouve l’emblème de la présomption et de la témérité, co
île de Rhodes. Si nous continuons la liste des enfans d’Apollon, nous trouvons Hypérénor, fils d’Alcyonée ; Iamus, devin, premie
n enfance par les chiens de son nourricier, cependant son aïeul ayant trouvé sa naissance équivoque et coupable, punit sa mère
s Grecs les surnommaient destructeurs, ils devaient le plaisir qu’ils trouvaient à détruire, à une punition de Vénus qu’ils avaien
r des fleurs dans le vallon d’Enna, tout à coup Pluton l’aperçoit, la trouve de son goût, l’enlève dans ses bras et se plongea
e au sein de son noir séjour pour en faire sa femme, faute d’avoir pu trouver parmi les déesses de l’Olympe quelque belle qui v
sur la plage par des corsaires crétois et désirs pour gagner son pain trouver des enfans à nourrir ; ils la ramènent au palais
ès revint en Sicile où elle resta une ou deux années, puis enfin elle trouva un premier indice de l’objet de ses recherches, c
de Lemnos à l’heure indiquée par Apollon comme celle du rendez-vous, trouve ensemble les deux amans et pour les empêcher de s
en son honneur des fêtes appelées Orgies, pareilles à celles que nous trouverons en parlant de Bacchus. Puis il fit élever à cette
ais elle se rattache davantage à de longues séries de faits, que nous trouverons plus tard, en parlant de Thésée et de la guerre d
e cette mer, disait-on, que Vénus, conseillée par Apollon avait enfin trouvé sans se noyer un terme à son amour pour Adonis, e
er du promontoire dans les flots. Souvent moins heureux que Vénus, on trouvait la mort avec la fin de ses peines. Ainsi Deucalio
lons reconnaître Vénus, d’après ses statues ou ses portraits, nous la trouvons représentée sous ses différens attributs. Ainsi n
ois Grâces. Si l’on cherche les fonctions de toutes ces divinités, on trouve d’abord les Heures sous les noms d’Hégémone et d’
e et morale, la plus parfaite. Nous avons dit qu’après les Grâces, on trouvait encore à la suite de Vénus : les jeux, les ris, P
nce enfin excita dans le cœur de Vénus une telle jalousie qu’elle fut trouver son fils, lui fit jurer qu’il punirait son indign
tin. A son réveil, elle étend les bras, cherche, cherche encore, veut trouver son amant ; mais, ô chagrin ! il avait disparu. A
Psyché désolée de ne pouvoir quitter une vie aussi malheureuse, ni trouver une mort qu’elle désirait, s’abandonne enfin à sa
renommée que son fils était malade, alors elle vole auprès de lui, le trouve en effet souffrant et couché qui attend ses soins
é qu’on lui accordât la plus belle en mariage, union dans laquelle il trouva le bonheur, ainsi qu’une charmante et nombreuse f
urons le cercle des noms de toutes les maitresses de Jupiter, nous en trouverons beaucoup sur lesquelles il y a fort peu de choses
-même d’Elatus. Elle avait épousé Alée dont elle eut Céphée, que nous trouverons parmi les Argonautes et compagnon d’Hercule ; l’a
passons maintenant aux maîtresses les plus célèbres de Jupiter, nous trouvons  : Astérie, fille du titan Ceus et de Phébée, fut
is de la pesanteur du cercueil, l’ouvrirent et furent bien surpris de trouver dedans une pierre au lieu du corps de la princess
mer, et abandonna sa famille. La seconde résista. Après Alcmène, nous trouvons pour amante de Jupiter : Antiope, Thébaine célèb
cheur ayant aperçu la barque l’amena à la côte, ouvrit le coffre et y trouva la mère et le fils encore vivans ; alors il les c
que rien ne rendit célèbre. La dernière maîtresse de Jupiter que nous trouvons sous notre plume est Sémélée, fille de Cadmus et
urs relations, prit les traits de Béroé nourrice de Sémélée et fut la trouver . Elle lui conseilla de demander à son amant qu’il
le nom d’Isis. Si l’on cherche à ramener cette fable à l’histoire, on trouve qu’Io, prêtresse de Junon fut aimée d’Apis, roi d
passait pour l’homme le plus sage de son temps, consulté par Jupiter trouva le moyen de le réconcilier avec son épouse, en lu
saient porter Plutus dans ses bras. Quant à la mauvaise fortune on la trouvait toujours exposée sur un navire sans mât, sans tim
e la reprit, et vécut avec elle sans lui faire aucun reproche, il lui trouva même des charmes qu’elle n’avait pas avant son en
que de colère elle jeta son instrument en promettant la mort à qui le trouverait  : ce fut, nous le savons, le pauvre Marsyas qui s
ls de Neptune. Ce Posidon, non satisfait de l’avoir emporté sur Mars, trouva encore contre lui Athâna ou Minerve, qui lui disp
de Cécrops, est tellement douteuse que, dans les vieilles fables, on trouve ce législateur dépeint sous les traits d’un homme
es plus importans, nous passons aux fils du maître des Dieux, nous en trouverons beaucoup sur lesquels il sera inutile de nous arr
de ces enfans et les fit exposer auprès d’une forêt, mais ils furent trouvés et recueillis par des bergers qui prirent le soin
ée déchiré, comme nous venons de le voir, par sa propre famille, nous trouvons encore Lycurgue, fils de Dryas et roi de Thrace.
e d’un de ses ennemis. Cette invention fut assez naturelle, car ayant trouvé sur le rivage une grosse coquille, il en tira des
mes bornes. Avant d’abandonner Bacchus et son cortége, dans lequel on trouvait encore les Cobales ou génies malins et mystificat
er pendant les tempêtes ; ensuite ils furent en Colchide, où nous les trouverons avec Jason et tous les Argonautes, prendre part à
e de ses flèches. Ce fut pendant qu’il poursuivait cette biche, qu’il trouva sur les bords du Danube l’olivier, dont il transp
Eurysthée, se mit à la recherche de ces pommes, sans savoir où il les trouverait  ; d’abord il interroge les nymphes de l’Éridan ou
e, ne se passa pas tout-à-fait ainsi, car selon d’autres, après avoir trouvé Atlas, il l’aurait prié de lui procurer trois de
premier mariage avec Althée, plusieurs enfans, au nombre desquels on trouve Déjanire et Méléagre que nous rencontrerons bient
énèle, fils d’Androgée et frère d’Alcé ; plus rarement encore Hercule trouva son maître ; cependant, un jour après avoir été j
t toujours et formaient son escorte. Parmi ces compagnons fidèles, on trouve  : Admète, roi de Thessalie, dont l’épouse fut sau
es voleurs, passait pour fils de Jupiter ou de Bacchus ; il doit donc trouver sa place à la suite de ce dernier ou parmi les en
Proserpine, et le quatrième de Jupiter et de Cyllène. Mais Cicéron en trouva cinq qu’il place dans l’ordre suivant : l’un fils
son tombeau. Si maintenant nous arrivons à la fable de ce Dieu, nous trouvons que suivant les Grecs, ce Mercure appelé chez eux
voya sur la terre garder les troupeaux avec Apollon ; mais bientôt il trouva l’occasion de faire sa paix avec Jupiter ; car Ju
açant des cordes harmoniques sur la carapace d’une tortue qu’il avait trouvé . Mercure, on s’en souvient, fit don à Pandore du
enir les bonnes grâces de plus d’une jolie nymphe. Dans ce nombre, on trouve  : Acacallis, mère de Cydon ; Alcidamie, mère de B
os qu’avec Taurus. Quoi qu’il en soit, si nous suivons la fable, nous trouvons que Minos, informé de cette exécrable naissance,
ir la haine de Minos, ne voulant lui donner asile, il fut chercher et trouver l’hospitalité vers l’an 1260 av. J. C. auprès de
tre entre les mains de Minos ; du reste, ce roi de Crète, on le sait, trouva également la mort chez ce roi Sicilien, mais on i
e des monstres qu’il voulait combattre. Aussitôt, il part, arrive, et trouve les trois gorgones endormies ; alors, sachant qu’
vantage les efforts réunis d’Ajax et de Teucer ; puis enfin, lui-même trouve la mort malgré l’appui de Jupiter son père ; et i
éthus, fils de Jupiter et d’Antiope et frère d’Amphion, fut exposé et trouvé par des bergers qui prirent soin de son enfance.
aus une grotte du mont Atlas. Neptune, après de vains efforts pour la trouver , fut obligé de mettre à sa recherche un Dauphin q
ain haute de sept coudées. Si nous suivons les fêtes de Neptune, nous trouvons que les Consuales étaient les fêtes pendant lesqu
s jetons un coup d’œil sur les nombreux enfans du Dieu des eaux, nous trouvons d’abord parmi ses filles : Bensémélée, ou enfant
r aucune trace. A la fin, incertain sur ce qu’il devait faire pour la trouver , il fut consulter l’oracle de Delphes, qui lui ré
uspendit l’enfant par les pieds à un arbre du mont Cithéron où il fut trouvé par le berger Phorbas qui le remit à Polybe son m
implement l’histoire, nous dirions avec les historiens que cet enfant trouvé retourna dans sa patrie, vers l’an 1194 av. J.-C.
son voyage et finit par arriver à Thèbes, sa véritable patrie, qu’il trouva désolée par les cruelles dévastations du Sphinx,
t vengé. De suite on fait les perquisitions les plus minutieuses pour trouver son meurtrier. OEdipe lui-même s’y livre avec ard
arrivés à Némée, une soif brûlante vint les assaillir. Ne sachant où trouver une source pour se désaltérer, ils prient Hypsipy
une blessure mortelle à ce jeune enfant, et Hypsipyle, de retour, le trouva mort. Les guerriers témoins de son malheur établi
re à Amphiaras Clytemnestre fille de ce même Thespius, que nous avons trouvé en parlant d’Hercule, il est probable qu’il faut
sur sa route. Il les défit tous, excepté un seul. Dans leur nombre on trouvait Atys, fiancé à Ismène, fille d’OEdipe, puis Eumèd
détrôné par Amphiaras, Adraste fut obligé de fuir sa patrie, mais il trouva un asile chez Polybe, son aïeul maternel, auquel
n prince purement Sicilien, nous le prenons pour Dieu des vents, nous trouvons d’après la fable qu’il commandait sur les sept îl
la présence de plusieurs princes Siciliens du nom d’Eole. Ainsi l’on trouve d’abord que le Dieu de vents devait être l’arrièr
imène, Thessalus et Tisandre. Parmi les autres fils de Neptune, nous trouvons encore Peon, né d’Hellé ; Pérate, issu de Calchin
cés de retourner vers le midi, abordèrent à l’île de Lemnos où ils ne trouvèrent que des femmes ou espèces d’amazones ; car nous l
avait sauvé la vie, et arrive sans elle au palais de ses aïeux, qu’il trouve dans le plus grand deuil, à cause de la mort d’Ég
dit-on, Thésée revint des enfers, et ayant été pour voir sa femme, il trouva dans ses mains un billet par lequel elle avait la
ons aux Dieux et Divinités qui étaient forcés d’obéir à Neptune, nous trouvons d’abord le vieil Océan et sa sœur et épouse Téthy
le nomme aujourd’hui Aspropotamo, ou fleuve Blanc. Achéron, nous le trouverons en parlant des enfers. Acis, fils du dieu Faune
yte, Phlegeton, Stix et Léthée, nous n’en disons rien ici, car on les trouvera décrits fort en détail, quelques pages plus loin,
on grand père le défendit. Plus tard, à son retour de Colchide, ayant trouvé son père mort, il fut avec le secours des Argonau
r légèrement souffletée ; mais malheur aux autres esclaves que l’on y trouvait , car elles étaient impitoyablement flagellées. En
ges à un grand nombre de déesses, mais toujours en vain. Les unes lui trouvaient un teint beaucoup trop noir, les autres disaient
mphes, cueillant des fleurs dans une prairie voisine d’Eleusis, il la trouve de son goût, la saisit, l’enlève, ouvre la terre
és de sépulture. Dans le second département de l’empire de Pluton, on trouvait l’enfer des méchans, où chaque crime recevait sa
s Dieux précipitaient dans ce lieu d’horribles tourmens. Plus loin on trouvait le Tartare, prison des Dieux : il supportait la t
s impétueux ; près de cette première porte, ajoutaient les Latins, on trouvait le chemin qui conduisait à l’Achéron, chemin couv
de quelque fléau ; mais l’homme injustement poursuivi, était sûr d’y trouver un asile inviolable dans la ville de Corine, en A
grands coupables qui étaient torturés dans les enfers ; ainsi l’on y trouvait Etéocle et Polynice, Ixion, Œdipe, Phlégias, Salm
qu’il avait également eus de différentes femmes, parmi lesquelles on trouve Argyphie, mère de Lyncée et de Protée, Caliadne,
devait lui appartenir. Au nombre des trésors de son père, Atrée avait trouvé le bélier à toison d’or chrysomalle, qui avait ét
toison, sans femme et sans royaume, et de se réfugier en Épire, où il trouva un asile, mais où il fut bientôt poursuivi par At
amemnon qui, avant de partir pour la guerre de Troie, que nous allons trouver dans quelques lignes, lui confia la régence de so
t il fit sa maîtresse et son esclave. A son retour dans ses états, il trouva son épouse Clytemnestre, livrée à la plus infâme
cle qui présidait à Delphes, il apprit qu’Athènes était le lieu où il trouverait un terme à ses maux. Aussitôt il court à Athènes,
par la suite acccomplirent les desseins de leur père. Oreste s’étant trouvé à Delphes en même temps que Pyrrhus, le fit massa
géant de sept coudées de hauteur, qu’on a appelé Lichès, il avait été trouvé à Tégée. Quant à Pylade, il se maria à Électre et
uerre de Troie avec détails nous passons aux principaux chefs qui s’y trouvaient , nous devons parler d’abord de Ménélas et d’Hélèn
s, ayant appris cet enlèvement, revint aussitôt dans son palais et le trouva vide. Alors, il fit connaître à tous les chefs de
mède perdit le palladium qu’il avait avec lui. Arrivé à Argos, il n’y trouva que des chagrins. Egialée, son épouse, égarée par
de Palamède, un Phrygien qu’il fit tuer, et sur le cadavre duquel on trouva ces missives ; alors, Palamède fut lapidé, mais n
vint aborder dans l’île d’Ortygie ou de Calypso. Le lendemain, il fut trouvé nu et couvert de fange par Calypso, nymphe de ces
nous récapitulons la vie de ce héros, espèce d’Hercule voyageur, nous trouvons qu’il eut pour femmes et maîtresses, Pénélope, Ci
trigue amoureuse avec Achille qui, dans la chaleur du combat, l’ayant trouvée devant lui dans les rangs ennemis, la frappa de m
is fut-il né qu’on l’abandonna sur le mont Ida. Bientôt des pâtres le trouvèrent enveloppé de ses langes dont la richesse leur fit
et présente à l’assemblée les ornemens qui l’entouraient quand il fut trouvé sur le mont Ida. Priam, à cette vue, reconnaît le
ié. Si nous parcourons la liste des autres guerriers troyens, nous en trouvons plusieurs qui se sont fait remarquer avec plus ou
les enfans ; puis ils se réfugient dans le temple de Minerve, où ils trouvent un abri sous l’égide de la déesse. On représente
it avec Diomède, et pénétrant jusque sous les tentes des Thraces, ils trouvèrent Rhésus endormi ; alors Diomède le perça de son ép
ns défense ; et, le seul qui aurait pu la sauver, Corèbe, son fiancé, trouva la mort dans la ville incendiée. Ne sachant au mi
ne, Samedi. Si nous reprenons la continuation des Dieux divers, nous trouvons  : Anthéles, espèces de Dieux lares ou pénates Gr
s ; mais Tibère supprima dans tout l’empire Romain les asiles qui s’y trouvaient . Ata ou Até ou l’injustice ; Automatie, déesse d
urnons aux dieux divers que nous avons encore à faire connaître, nous trouvons  : Jocus, dieu de la saillie et du badinage. Jugat
eligions de ces peuples. Si nous parcourons les dieux égyptiens, nous trouvons que leurs fondateurs avaient eu l’habileté de jet
ment et le plus souvent de faire découvrir. Quand les prêtres avaient trouvé leur nouveau dieu Apis, ils le conduisaient avec
les bords du Nil, sans pouvoir réussir. Enfin, aidée par Anubis, elle trouva le coffre qui contenait le corps d’Osiris sur la
nnu la demeure sépulcrale d’Osiris, l’enlève, et le lendemain Isis ne trouve plus qu’un tombeau vide ; et, privée de son époux
ec sa mère, il fut mis en pièces par les Titans. Isis, sa mère, ayant trouvé son cadavre dans le Nil, le ressuscita et lui don
t elle prévoyait les dangers, et à l’aide de quelques chiens, elle le trouva dans les bois où sa mère l’avait abandonné ; elle
ct pour les ames des morts, qu’ils pensaient devoir momentanément s’y trouver renfermés ; dès-lors, ici les loups étaient vénér
’ Egypte, nous parcourons les côtes et l’intérieur de l’Afrique, nous trouvons d’abord sur la côte septentrionale, Carthage la b
in analogue d’Adonis, et dont La Fontaine a fait un démon. Enfin l’on trouvait Baal-Tséphon, ou Séphon, des Égyptiens, dieu term
age à Téréniffe, où l’on adorait beaucoup des dieux du continent nous trouvons  : Achgouaïa Xerax, dieu conservateur de Ténériff
e pour s’en frotter le corps. En traversant la mer des Indes, nous ne trouvons guère à Madagascar, méritant de fixer notre atten
ceux de l’Asie. Ainsi, dans l’Arabie, pays mixte, pour les mœurs, on trouve  : Allat ou Allata, déesse arabe, que l’on regard
Astarté est encore souvent confondue avec Achtoret, divinité que l’on trouve en rapport avec Baal, et qui généralement est reg
jouit de la récompense due à sa piété ; quant à vous, marchez et vous trouverez , dans la ville du soleil, les saints livres que X
luant du Tigre et de l’Euphrate, et adorez les dieux. Ils marchèrent, trouvèrent les livres et bâtirent Babylone. Memroum est le
’est l’énergie productrice. A la tête de cette trinité indienne, nous trouverons d’abord : Brahma, que l’on surnomme aussi Abaricé
ialoka ; il est réservé pour Brahmâ et les Brahmes ; au-dessous, l’on trouve au midi, le Veikounta, ou demeure de Vichnou, pro
sont attribués à Içouara, Bharata, Pavana et Kallinatha ; ensuite on trouve les sons qui ne dépassent point six ou sept, et s
s subalternes échelonnées après celles qui viennent de précéder, nous trouvons  : Aienar, ou Aiena Rapen, fils de la belle Mohan
endiant sacré, se présenta à elle et chercha à la séduire, tant il la trouva belle ; Amogha repoussa avec indignation ses prop
it être que temporaire, et qu’il ne l’obtiendrait que quand il aurait trouvé quelqu’un qui se chargerait de ses années ; ses e
ir les persécutions les plus terribles, et pour le perdre, ils furent trouver Ganéça et le prièrent d’aller sous la forme d’une
es incarnations de Sita, Radha et Roukmini ; transformations que nous trouverons dans quelques pages plus détaillées à l’article q
éral de Vichnou, et si nous entrons dans de plus grands détails, nous trouvons  : Satiavrata, radjah serviteur de Naraïana, ou d
lité, jura de s’en venger sur celle qui en était cause. Elle fut donc trouver son frère Ravana, et, d’accord avec lui, ils enle
te le centre du globe. C'est là que les soixante mille Ikchvakavas le trouvèrent absorbé dans une profonde méditation, auprès du b
quelle un corbeau étend ses ailes sinistres. Cette glaçante déesse ne trouva point d’époux parmi les dieux ; cependant à la fi
e sous la forme de Santanou, fils de Kourou, frère de Iadou, et Ganga trouvée sur les bords du fleuve qui porte son nom fut ado
aca. On connaît de plus une innombrable quantité de noms, dont on en trouvera beaucoup indiqués dans le tome 9, page 183 des mé
it une vierge parfaite. Ses parens, après bien des recherches, lui en trouvèrent une dans la famille de Chakia. Alors il voulut bi
des Brahmes, ou prêtres brahmaïques. En effet, dans le Bouddhisme, on trouve une monarchie religieuse à étages multipliés, sur
du prêtre sur qui ne l’est pas ; au contraire, dans le Bouddhisme, on trouve une hiérarchie sacerdotale tout à fait graduée. A
ise Bouddhique, possède en outre divers ordres religieux. Ainsi, l’on trouve les Bhikchou, ou ceux qui renoncent au mariage et
on en connaît beaucoup d’autres plus inférieurs encore ; ainsi, l’on trouve . Chin-Hoan, dieu protecteur des villes et des pr
ousa Simmios-Daï-Miosin ; mais ne pouvant en avoir d’enfant, elle fut trouver les Kamis, qui la fécondèrent, et elle pondit cin
de Foung-O, par des voleurs qui le cachèrent si bien qu’on ne put le trouver  ; mais Foutoque sortit, se mit sur les eaux et ar
fut mis dans les fers par ordre de Barzom, et il n’en sortit que pour trouver la mort sous les armes de Roustam. Poeriodekech
ieux et ses mages, ou prêtres, pour nous diriger vers la Russie, nous trouvons sur notre passage tous les peuples de la Sibérie
s connus aujourd’hui sous les noms de Russie, Pologne et Bohème, nous trouvons des peuples repoussant la fatalité, croyant à un
Eadit tige des hommes nobles. Si nous suivons la liste des Ases nous trouvons  : Niord, ou Niordr, ou Niordour, le premier des
s hommes morts de maladie, entrent seuls dans la demeure d’Héla. Nous trouvons encore dans les religions du nord de l’Europe, co
rrie, placée sur un banc en pierre de tuf. A côté de cet Irminsul, on trouvait  : Asminius, espèce d’Hermès chez les Chérusques,
enfans dont ils se méfiaient : alors si l’enfant était adultérin, il trouvait infailliblement la mort : au contraire, les flots
despotes des temps anciens : ainsi, dans la liste de ces dieux, nous trouvons  : Eirgeadmhar ou Airgiomdhar, fils de Slirlamb à
la dureté de son usurpation, il laissa subsister le culte qu’il avait trouvé . Les légendes irlandaises lui donnent quatre fils
es premières terres américaines que l’on rencontre dans l’Océan, nous trouvons  : Les Zèmes, dieux malfaisans des Antilles, auxqu
ge, indiquer quelques-uns des dieux qu’ils adorent. Dans ce nombre on trouve  : Barhalamaicapal, ou le dieu créateur et fabric
iverses orthographes de la plupart des auteurs. Cependant quand on ne trouvera pas un nom à A, par exemple, il faudra le cherche
8 (1823) Mythologie des dames
diriger les entretiens et d’ordonner les plaisirs. Eugène n’avait pu trouver encore le moyen d’augmenter les agréments de ce s
de sa chère Europe, ordonna à ses fils de parcourir la terre pour la trouver . Cadmus dirigea son voyage vers la Grèce. Dans l’
rer sa sœur, il consulta l’oracle d’Apollon qui lui répondit : « Vous trouverez dans un champ voisin une génisse ; vous la suivre
s’arrêtera. Vous donnerez le nom de Béotie à cette contrée. » Cadmus trouva la génisse dont lui avait parlé l’oracle, et desi
ombien de fois, pour implorer Argus, Elle cherche ses bras, et ne les trouve plus. Elle voudrait se plaindre, et sa voix l’épo
mes feux que Mars. Ce dieu, qui connaissait aussi la médecine, ne put trouver de remède contre la jalousie : un jour, ayant ren
n jour Vénus prêta complaisamment cette ceinture à Junon, et celle-ci trouva dans le cœur de Jupiter tous les feux des premier
ême dieu pour le prier de lui ôter un privilège si incommode. Apollon trouva dans Marsyas, berger de Phrygie, et fils d’Olympu
oreilles par les sons. Minerve, qui avait inventé la flûte, mais qui trouvait que cet instrument lui enflait les joues et la dé
d’Apollon. Huitième entretien. Dans l’Olympe des anciens, on trouve le type de tous les caractères des hommes ; et ce
aux, mais c’est en vain ; et tandis qu’il parcourt le bocage, Mercure trouve le moyen de lui enlever ses flèches et son carquo
une princesse portait un fruit de ses amours avec Jupiter : elle alla trouver sa rivale déguisée en vieille femme, et lui persu
mes génisses « Contre la faim cruelle et le loup inhumain ; « Que je trouve le soir le nombre du matin ; « Qu’autour de mon b
née, roi de Calydon, alla la demander en mariage à son père ; mais il trouva un rival redoutable dans le fleuve Achéloüs, fils
ambrosie. Les dieux terrestres s’accommodaient de ce qu’ils pouvaient trouver  : le vin était pour eux une liqueur précieuse. On
suit dans l’ombre32. Sous le vestibule de ces tristes demeures, ils trouvent le Deuil assis auprès des Remords ; les pâles Mal
dans son périlleux voyage. A peine a-t-il avancé quelques pas, qu’il trouve de nouveaux monstres sous les figures les plus bi
ollon. A peine eurent-ils mis le pied sur le rivage des morts, qu’ils trouvèrent le chien Cerbère qui faisait retentir ces vastes
nt un vautour cruel dévore les entrailles toujours renaissantes. Énée trouve aussi dans cet affreux séjour Tantale, qui, pour
est aussi puissant qu’inexorable. Proserpine. Pluton n’ayant pu trouver de femme à cause de la tristesse de son royaume e
yaume et de son caractère, résolut d’enlever la première déesse qu’il trouverait de son goût. Un jour qu’il était sorti des Enfers
candeur de son âge ! en ce désordre horrible, Un chagrin si léger la trouve encor sensible. Le ravisseur farouche, impatient
vement de sa fille. Après avoir inutilement parcouru la terre pour la trouver , elle monte sur son char, traverse l’immense éten
parent un bûcher, et lorsqu’elles veulent prendre son corps, elles ne trouvent en sa place qu’une fleur qui porte le nom de ce m
s les forêts que l’on rencontrait en foule des divinités, et que l’on trouvait des phénomènes merveilleux. Dans la forêt de Dodo
ce, mourut en se dévorant lui-même. C’est aussi dans les forêts qu’on trouve les Faunes, dieux champêtres, qu’on voit errer çà
les poissons qui sont dans ses gouffres sentent l’embrasement, et ne trouvent point d’asile dans leurs cavernes les plus profon
t l’existence du dieu Terme. Lorsqu’on pénétrait dans les jardins, on trouvait bientôt une autre divinité, dont la figure bizarr
sait des vergers et des jardins dans la maison d’un ancien Romain, on trouvait bientôt de nouveaux autels et de nouvelles divini
eure des hommes on pénétrait dans les étables et dans les écuries, on trouvait le dieu Fumier, honoré par les Romains, comme une
elligence, On pourrait sans être devin Y connaître votre destin. J’y trouve mainte et mainte ligne, Qui se croisant, se recro
9 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
ère partie de votre existence, ne sauroit vous être étranger, ni vous trouver indifférens. J’ai donc lieu de croire que vous ap
n mille inventions, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sons sa main des fleurs toujours écloses. Nom
         Serpent, cygne, ou quel qu’autre chose ;               Je ne trouve pas cela beau, Et ne m’étonne pas si parfois on e
ée de ses rivales, prit la figure de Béroé, nourrice de Sémélé ; vint trouver celle-ci, lui conseilla de demander à Jupiter de
Qui, couvert de mille lauriers Moissonnés jusqu’aux bords du Gange, A trouvé mille fois plus grand D’être le Dieu de la vendan
Heures, sitôt sa naissance, l’enlevèrent dans le ciel ; les Dieux la trouvèrent si belle, qu’ils la nommèrent Déesse de l’Amour.
t en Leucadie un lieu fort élevé, d’où on se jetoit dans la mer, pour trouver un remède à l’amour ; mais on ne se faisoit aucun
èle, régnoit dans les Enfers. Ce Dieu étoit si laid, qu’il ne pouvoit trouver de Déesse qui voulût l’épouser. Il enleva Proserp
ans les campagnes de Sicile. Les cris et les plaintes de la Déesse le trouvèrent inflexible. Cybèle. O mes compagnes ! ô ma
   Écoutez-nous, Dieux redoutables ; Que nos vœux, que nos cris, vous trouvent favorables ! (Lamotte.) Les eaux de l’Achéron so
r de la flûte, et le Dieu des bergers, des bois et des prairies. Pan trouva le premier cet art ingénieux De former sur la flû
on, époux d’Alcmène, étoit occupé à la guerre de Thèbes, Jupiter vint trouver Alcmène, sous la forme de son mari, à laquelle il
ure étoit enfermé dans un Labyrinthe, dont il n’étoit pas possible de trouver l’issue. Ariadne donna à Thésée un peloton de fil
admus d’aller chercher sa sœur, et de ne pas revenir avant de l’avoir trouvée . Après avoir voyagé long-temps, inutilement, il c
r un bœuf : Après avoir erré sur la terre et sur l’onde,        Sans trouver Europe ma sœur ; Après avoir en vain cherché son
se construire ; L’autre, près de périr par la fureur des flots, Sait trouver dans leur sein la vie et le repos, Un dauphin, tr
rbre sur le mont Cithéron. Un des bergers de Polybe, roi de Corinthe, trouve cet enfant, le détache et, le présente à la reine
pas fils de Polybe. Ayant consulté l’Oracle, il lui fut répondu qu’il trouveroit son père dans la Phocide, province de la Grèce. Œ
e n’eût point voulu d’un précepte sévère ; Pour le prendre il falloit trouver cet hameçon. Ainsi ce Phrygien 7 que l’univers re
les vertus et les vices. Tous, et particulièrement les jeunes gens, y trouveront des leçons utiles. On y rencontre par-tout des pr
r l’esprit et le cœur.       Nous pouvons tous tant que nous sommes, Trouver ici de quoi corriger nos défauts,       Et discip
et du Vautour de M.  Richer, (Paris, 1748, L. 1 F. 14). L’aigle avoit trouvé une huître qui tenoit bon contre les coups de bec
être un géant       Qui n’a pas plus d’une coudée. Aristote n’a pas trouvé notre vrai nom :       Orgueil et petitesse ensem
10 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
’air fut mis au-dessous du feu ; la terre, toute pesante qu’elle est, trouva son équilibre au milieu de l’univers, et les eaux
, de roi qu’il était, il se fit laboureur, Et sous le chaume enfin il trouva le bonheur. Un peuple agriculteur, à ses leçons d
ime des plus grands de rapporter un mot de ce qui s’y était passé. On trouve encore dans les anciens auteurs deux autres fêtes
rouvre à la première secousse, puis se referme ; le bras de Milon s’y trouva pris, et tons les efforts de cet homme autrefois
rsailles une statue de cet athlète par le célèbre Pujet ; l’artiste a trouvé plus noble de le faire dévorer par un lion. Polyd
e ; car, Enée étant sur mer pour aller s’établir en Italie, elle alla trouver Eole, et lui promit Déiopée, la plus belle de ses
rieux de se voir dédaigné, s’en vengea sur son rival : un jour, ayant trouvé Acis auprès de son amie, il lui lança un morceau
vilége de poète, présente le dieu Mars dans un appareil qui mérite de trouver place ici. Ce dieu, dit-il, voulant plaire à Vénu
irait ? dépouillé de ses honneurs, de sa puissance, le fils de Latone trouva dans la vie champêtre et paisible le bonheur qu’i
Pendant son exil, Apollon vit Daphné, fille du fleuve Pénée : il la trouva belle et le lui dit ; mais Daphné, sans vouloir l
tre fils, ambitieuse mère !      Où vas-tu, jeune téméraire ? Tu dois trouver la mort dans la gloire où tu cours.      En vain
nt punie : Marsyas en est la preuve. Ce Satyre était un phrygien ; il trouva le fifre que Minerve avait jeté et accablé de mal
Symbole qu’on donnait à Bacchus. Suivant les poètes, Bacchus a trouvé l’usage du vin, et il est le premier qui ait atte
, Qui, couvert de mille lauriers Moissonnés jusqu’au bord du Gange, A trouvé mille fois plus grand D’être le dieu de la vendan
e et Lucien racontent que cette invention se fit de cette manière. Il trouva une tortue morte sur le sable du Nil ; il la vida
n parcourant les rivages de la Grèce, de la Sicile et de l’Italie, on trouvait dans le moindre hameau un temple ou au moins un a
agne charmante, et par son rang des consolations de l’amitié, Neptune trouvait son sort déplorable, lorsque deux de ses sujets d
confidens, et se reposa sur eux du soin de son bonheur. Ils allèrent trouver Amphitrite, et n’épargnèrent rien pour lui procur
mains. On les appelait aussi oiseaux stymphalides ; tout ce qu’elles trouvaient , elles le dérobaient, ou le laissaient infecté de
de Méduse. Chassé par Atlas des royaumes de Corse et de Sardaigne, il trouva un asile à la cour de son père, c’est-à-dire, qu’
alie. L’une se cache sous sa roche, Où tout nocher qui s’en approche Trouve le trépas qui l’attend : L’autre, dans sa soif re
méchans ; enfin les dieux Mânes commis à la garde des tombeaux. Aussi trouve-t -on souvent sur les tombes des anciens ces deux le
y cherchent en vain le corps de celui qu’elles regrettent ; elles ne trouvent à sa place qu’une fleur nouvelle. Les anciens con
cause de la mort de cette princesse. Aussitôt le fils de Cyrène alla trouver sa mère dans la grotte profonde qu’elle habitait
, après avoir pris différentes formes pour avoir occasion de la voir, trouva moyen de lier conversation avec elle, et sous la
our juge des chefs-d’œuvre de Neptune, de Vulcain et de Minerve, n’en trouva pas un qui méritât ce nom. Il blâma Neptune de n’
Andromède, de Cassiopée, etc. Il n’y eut pas jusqu’au monstre qui n’y trouvât sa place sous le signe de la baleine. Le cheval P
re de ses sujets. Les Centaures étaient des peuples de Thessalie, qui trouvèrent les premiers l’art de dompter les chevaux et de s
bravé la fureur ; Pour mieux jouir encor d’une entière vengeance, Je trouve une autre cour, un roi dont la puissance, Pour m’
s d’aller chercher sa sœur par toute la terre, jusqu’à ce qu’il l’eût trouvée . Ayant parcouru inutilement divers pays, il s’arr
se construire ; L’autre, près de périr par la fureur des flots, Sait trouver dans leur sein la vie et le repos. Un dauphin, tr
re par les pieds à un arbre. Un berger de Polybe, roi de Corinthe, le trouva dans cet état ; il l’emporta et le donna secrètem
’oracle, pour savoir de qui il tenait le jour ; on lui répondit qu’il trouverait son père dans la Phocide. Il y alla, et tua Laïus
es, surnommée des sept preux, à cause des vaillans capitaines qui s’y trouvèrent . Le dévouement de Ménécée, fils de Créon, qui se
s. Agamemnon et Oreste Agamemnon, de retour dans son palais, trouva dans sa famille des ennemis plus redoutables que
11 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
n mille inventions, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa main des fleurs toujours écloses. Boilea
aureau,         Serpent, cygne, ou quelqu’autre chose ;         Je ne trouve point cela beau, Et ne m’étonne pas si par fois o
rs. Quinault. Plein d’impatience de l’emporter sur son rival, il va trouver Climène sa mère, qui le confirme dans son projet 
ambitieuse mère !               Où vas-tu, jeune téméraire ? Tu dois trouver la mort dans la gloire où tu cours.              
yeux en larmes, Des cris touchans vient me frapper. Quel art me fait trouver des charmes Aux pleurs que je sens m’échapper ? L
Du jeune Endymion on voit briller l’amante. Rousseau. Jupiter ayant trouvé ce berger dans l’appartement de Junon, le condamn
e toute insulte. Il y avoit un grand nombre de ces pyramides, dont on trouve encore des restes précieux, dignes des recherches
, Qui, couvert de mille lauriers Moissonnés jusqu’au bord du Gange, A trouvé mille fois plus grand D’être le Dieu de la vendan
rès, elles la conduisirent avec pompe dans le ciel. Tous les dieux la trouvèrent si belle, que chacun d’eux voulut l’épouser : Jup
s les terrestres lieux, Leur tenir lieu de tous les autres dieux. Ils trouveront en vous leur bien solide : Nul dieu ne manque où
ue le Palladium seroit dans l’enceinte de ses murs. Diomêde et Ulysse trouvèrent le moyen de l’enlever ; et la ville fut prise peu
ans : L’une se cache sous sa roche, Où tout nocher qui s’en approche Trouve le trépas qui l’attend ; L’autre dans sa soif ren
e à Cérès. Lamotte. Cérès chercha sa fille par tout le monde, et la trouva enfin aux enfers, où elle descendit, sur la parol
    Ecoutez-nous, dieux redoutables ; Que nos vœux, que nos cris vous trouvent favorables ! Lamotte. Le Styx, le plus célèbre
pendant cent ans :         Le Styx… est certain fleuve         Qu’on trouve en allant en enfer, Dont, après le trépas, chaque
de la flûte, et le dieu des bergers, des bois et des prairies : Pan trouva le premier cet art ingénieux De former sur la flû
a ; et, l’ayant forcé de se réfugier dans un antre d’où il ne pouvoit trouver le moyen d’échapper, il le prit à la gorge et l’é
aure étoit renfermé dans un labyrinte dont il n’étoit pas possible de trouver l’issue. Ariadne, fille de Minos, facilita l’entr
t entré. Minos y renferma Dédale avec Icare ; mais ce célèbre artiste trouva le moyen d’échapper, en attachant des ailes à ses
bravé la fureur ; Pour mieux jouir encor d’une entière vengeance, Je trouve une autre cour, un roi dont la puissance, Pour m’
n fils d’aller chercher Europe, et de ne point revenir qu’il ne l’eût trouvée . Cadmus, ayant parcouru inutilement toute l’Asie,
; Après avoir erré sur la terre et sur l’onde,                  Sans trouver Europe ma sœur ; Après avoir en vain cherché son
se construire ; L’autre, près de périr par la fureur des flots, Sait trouver dans leur sein la vie et le repos : Un Dauphin, t
rbre sur le mont Cithéron. Un des bergers de Polybe, roi de Corinthe, trouve cet enfant, le détache, et le présente à la reine
oit point le fils de Polybe, alla consulter l’Oracle, et apprit qu’il trouveroit son père dans la Phocide, province de la Grèce. Œ
is et ses larmes         Désarmer ce jeune lion :         Son cœur ne trouve plus de charmes         Que dans la chûte d’Ilion
remiers transports, Je me sentis glacer en revoyant ces bords. Je les trouvai déserts, tout avoit fui l’orage. Un seul homme al
les il fend les airs, et s’échappe d’un labyrinthe, parce qu’il avoit trouvé le moyen de faire aller les vaisseaux à la voile 
on, etc. Les vices sont presque toujours punis. Tout ce que l’on peut trouver de repréhensible dans la morale et dans les dieux
Perd sa fille Proserpine, 113 — La cherche par toute la terre, et la trouve aux enfers, 98-113 Cérès, comment on la représen
in, attiré par les sons de la lyre d’Arion, 161 Dédale, 143 — Avoit trouvé le moyen de faire aller les vaisseaux à la voile,
qui y préside, 53 Rhodes, île célèbre, 61 — Hélène s’y retire et y trouve la mort, 148 Ris, enfans de Vénus, 73 Rocher de
12 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
enfans l’explication de ces attributs, les jeunes personnes puissent trouver quelque intérêt dans la lecture de ce petit ouvra
qu’une partie de la Mythologie, mais qui n’est point un abrégé ; on y trouvera même des recherches que ne contiennent point des
nt entièrement fausses. J’ai parlé ailleurs de celle qu’on a prétendu trouver dans les pommes d’or du jardin des Hespérides, do
i de la Vertu, etc.) Au milieu d’une multitude de Fables absurdes, on trouve encore dans la Mythologie, outre ces allégories c
n’étudient point assez l’Histoire et la Mythologie ; ils pourroient y trouver mille sujets intéressans et nouveaux. On commence
iste, lugubre, effrayant et tragique dans ce volumineux recueil. On y trouve une multitude de monstres affreux : les Furies, l
d’ Homère, et les personnages intéressans des tragédies grecques, on trouvera qu’ils ont tous le caractère que je viens de trac
les Furies, etc., devoient avoir des mœurs barbares ; et en effet on trouve une grande férocité dans leurs poëmes, dans leurs
fs et vrais de leurs ouvrages, cette même ignorance nous y fait aussi trouver souvent des finesses et des délicatesses qui n’y
voile son visage pour dérober ses larmes aux yeux des Grecs, qui les trouveroient d’autant plus inexcusables, que le sacrifice d’Ip
t leur cynisme effronté à d’autres égards, cette délicatesse que nous trouvons si sublime, n’est communément que dans l’expressi
entre elles eurent le choix de leur supplice, d’autres le prévinrent, trouvèrent le moyen de s’évader ou de se donner la mort. Cap
Myrrha, fille de Cynire, une passion incestueuse pour son père. Elle trouva le moyen, à l’insçu de Cynire, de se substituer l
on étoit accréditée par la croyance où l’on étoit que Jupiter n’avoit trouvé d’autre remède à l’excès de sa passion pour Junon
ire des Dieux. D’après une ancienne fable, Minerve, dans ses voyages, trouva l’os de la jambe d’un cerf, dont elle fit une flû
us terrible malédiction contre celui qui oseroit le ramasser. Marsyas trouva cette flûte, et à force de s’exercer, il parvint
ui avoit fait présent. Il courut aussitôt pour saisir sa proie, et il trouva la malheureuse Procris baignée dans son sang et m
La déesse du Silence s’appeloit Angérone. Voici une Fable que l’on a trouvée dans l’Encyclopédie anglaise (Chamber’s Dictionar
de J. C., et cet Empereur donna l’ordre à Stilicon de les brûler. On trouve chez les anciens d’autres recueils prophétiques d
rmes. Achille l’étrangla ; mais lorsqu’il voulut le dépouiller, il ne trouva que des plumes ; Neptune l’avoit métamorphosé en
rètement à quelques jeunes veaux les marques requises. Quand on avoit trouvé le bœuf Apis on le conduisoit au bout de quarante
13 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
u jour, qui voudrait ravir son origine divine au christianisme, et en trouver le germe et les éléments dans les conceptions con
Vint ensuite le culte de la nature, dans laquelle les hommes crurent trouver l’image de Dieu. Alors on adora les choses où il
Dieu, et de la folie des hommes construisant la tour de Babel. On y a trouvé aussi une image de quelques grandes scènes de la
se en Phrygie, accompagné de son fils Mercure. Les deux voyageurs n’y trouvent pas un accueil plus hospitalier ; Mille logis y
et jeta la flûte de dépit, en vouant à une mort funeste celui qui la trouverait . Le satyre Marsyas fut la victime de cette impréc
Après bien des courses infructueuses, Cérès revint en Sicile, où elle trouva le voile de Proserpine près de la fontaine de Cya
avisseur de Proserpine ? Qu’obtint-elle de Jupiter ? Quelle allégorie trouve-t -on dans le double séjour de Proserpine sur la ter
ait le pays, avait fait verser du vin, pour l’attirer. Des paysans le trouvèrent , et l’ayant paré de guirlandes, le conduisirent à
et afin de le surprendre, ils se couvrent de peaux de phoques. Ils le trouvent endormi au milieu de son troupeau, se précipitent
tés infernales qui présidaient aux tombeaux. Aussi, chez les anciens, trouvait -on sur ces monuments les lettres initiales D.  M.
de serpents et un poignard à la ceinture. Voici le portrait qu’on en trouve dans la Henriade : Ce monstre impétueux, sanguin
prit sa course vers ce pays, situé au delà de l’Océan occidental. Il trouve les trois sœurs endormies. Comme il aurait été in
ui porte encore le nom d’Atlas. De là le héros arrive en Ethiopie, et trouve Andromède, fille de Céphée, exposée sur un rocher
le de Sériphe, avec le trophée qui avait été exigé de son courage, il trouve Danaé, sa mère, en butte aux violences de Polydec
e conduisit vers un rocher énorme et lui ordonna de le soulever. Il y trouva une épée qui devait le faire reconnaître de son p
s qu’ils avaient inventés. Après ces exploits il arrive à Athènes. Il trouve la ville violemment agitée par des dissensions. L
t remplacé par Ancée. De là ils passèrent dans l’île d’Arécie, où ils trouvèrent les enfants de Phryxus, qu’Eétès, leur aïeul, env
chantements des Sirènes (n° 77). Arrivés à l’île des Phéaciens, ils y trouvent la flotte d’Eétès, qui n’avait cessé de les pours
dipe lui-même le récit de cet événement : Dans un chemin étroit j’ai trouvé deux guerriers Sur un char éclatant que traînaien
Abandonnant la Phocide, Œdipe porte ses pas errants vers Thèbes. Il trouve la ville désolée par le Sphinx, qu’Apollon avait
Odyssée. Enfin Agamemnon, le chef de l’entreprise, de retour à Argos, trouve son trône et son lit souillés par Egisthe, et reç
eux-ci ne pouvaient réunir naturellement. Lorsque le dieu était enfin trouvé , la joie succédait à la douleur, comme si Osiris
i l’emblème du soleil, ainsi que l’indique cette inscription que l’on trouve sur plusieurs monuments. Au dieu du soleil, l’in
t le caractère de l’histoire religieuse des Indous ? Quelles traces y trouve-t -on de la vérité primitive ? Quel est leur dieu su
es et les bardes ? Quels souvenirs, quels monuments-de leur existence trouve-t -on en France ? Quelles étaient les principales su
lles de Saturne et d’Evonyme. En général, il ne faut pas s’attendre à trouver dans la Mythologie, qui est née de l’imagination
dans les premières familles de Rome. A cette époque la difficulté de trouver des filles nobles pour exercer ce sacerdoce fit p
ntion de la lyre, la flûte était l’instrument par excellence. Apollon trouva le moyen d’unir à la beauté du chant les accords
29. Psyché veut dire âme ; c’est une allégorie ingénieuse qui ne peut trouver place ici. 30. On croit que la fameuse statue de
14 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
e nouvelle forme conservait encore des charmes, Junon, feignant de la trouver de son goût, la demanda à Jupiter avec tant d’ins
t du lait ; puis on refermait la tombe sur sa tête. Mais les Vestales trouvaient , dans les égards de leurs concitoyens et dans la
inuer ses courses durant la nuit. Parvenue au lac de Syracuse, elle y trouva le voile de Proserpine, et comprit que le ravisse
il au milieu du front. Marié à Vénus, déesse de la beauté, Vulcain ne trouva pas dans cette alliance le bonheur qu’il en espér
un satyre nommé Marsyas. Marsyas, habile musicien de Phrygie, ayant trouvé près d’une fontaine la flûte que Minerve y avait
crier : « Je suis Actéon, reconnaissez Actéon, votre maître ! » il ne trouve plus de paroles, plus de voix, et il meurt déchir
s de Triple Déesse, de Triple Hécate, de Déesse à trois formes, qu’on trouve quelquefois dans les poètes ; de là aussi les sac
é, gardait alors les bœufs du roi Admète : Mercure, berger comme lui, trouva commode de se procurer un troupeau à peu de frais
squ’à la dernière. Dans la douleur que lui causait cette perte, il va trouver Cyrène, sa mère, au fond de la grotte qu’elle hab
age Protée, fils de l’Océan, est sans doute parvenu à ton oreille. Va trouver , au bord de la mer carpatienne, ce devin célèbre
habitaient auprès des tombeaux, et prenaient soin des cendres qui s’y trouvaient renfermées. On leur adressait des prières, on leu
l’oracle de Delphes pour apprendre où il devait enfin se fixer. « Tu trouveras , a lui dit l’oracle, dans un champ désert, une gé
ntr’eux, pour le mortifier, lui dit qu’il n’était qu’un pauvre enfant trouvé , un fils adoptif. Tourmenté par ce reproche, Œdip
es, trompa la vigilance des gardes, sortit de Thèbes pendant la nuit, trouva le corps et le brûla. Surprise dans ce pieux devo
roi de Calydon. Banni de sa patrie pour un homicide involontaire, il trouva un asile honorable en Argolide, chez le roi Adras
ussant un cri d’effroi, il appelait Dédale à son secours, il tombe et trouve la mort dans cette mer qui fut appelée de son nom
ette fable est sans doute que Dédale, qui, durant sa captivité, avait trouvé l’art de mettre des voiles à sa barque, se sauva
visible de la durée et de la prospérité du royaume. Le lendemain Ilus trouva près de sa tente le palladium, qu’il crut être to
au même instant, sans qu’on aperçoive aucune trace de sa retraite. On trouve en sa place une biche d’une taille extraordinaire
lles étaient enfouies : Ulysse interpréta ce signe, creusa le sol, et trouva les flèches. Philoctète s’embarqua pour l’Asie av
de finir la guerre sans les flèches d’Hercule. Il fallait donc aller trouver Philoctète, adoucir son ressentiment, et le condu
natique, et l’accable de tant de malédictions et de menaces, qu’il ne trouve plus de salut que dans ses vaisseaux. Il y remont
uite à Délos, visita les Strophades et l’île de Crète, où il espérait trouver l’empire que lui avaient promis les destins. De l
la Phrygie sous une figure humaine, furent partout rebutés, et ils ne trouvèrent d’asile que sous le toit hospitalier de Philémon
ésaltérée, s’éloigne et retourne vers les forêts ; sur sa route, elle trouve le voile qu’avait perdu Thisbé, et le met en pièc
ces de l’animal, et tremble pour les jours de Thisbé ; mais lorsqu’il trouve le voile sanglant, il ne doute plus de l’accident
n me livrait ce monstre exécrable ! dans la fureur qui me possède, je trouverais des forces pour le mettre en pièces, pour briser
ès, elles s’avancent lentement vers la source fatale : mais elles n’y trouvent plus le corps de celui qu’elles regrettent. A sa
rine de soupe. L’appétit assaisonne les mets les plus communs : Cérès trouvait celui-ci délicieux. Un jeune enfant, nommé Stelli
ruse digne de l’enfer. Elle se déguisa en vieille femme pour l’aller trouver , couvrit sa tête de cheveux blancs, rendit sa pea
charme de ses vers et de sa voix. Nouvelles mortifications : elle le trouve aussi glacé que jamais. Alors, n’écoutant plus qu
rche longtemps sa maison ; et, lorsque après beaucoup de peine il l’a trouvée , personne ne veut le reconnaître, excepté son frè
au temple de Delphes. Étant descendu un jour au fond d’un abîme, il y trouva un squelette humain d’une grandeur extraordinaire
lie de feu, qui fut son tombeau. En horreur à tout le monde, Ixion ne trouva nulle part un asile, et supplia vainement les prê
L’oracle parla d’abord en vers ; mais quelques malins voyageurs ayant trouvé étrange que le dieu de la poésie fît des vers dép
vre sur les bords du Nil et sur les rivages de la Méditerranée, et le trouva enfin à Byblos, en Phénicie, où les flots l’avaie
le croyait naturels, mais qui étaient l’ouvrage des prêtres. Une fois trouvé , on le nourrissait pendant quarante jours à Nilop
icules. Mais la mythologie offre çà et là des fables morales, où l’on trouve , sous le voile de l’allégorie, d’excellents préce
15 (1850) Précis élémentaire de mythologie
n mille inventions, Orne, élève, embellit, agrandit toutes choses, Et trouve sous sa main des fleurs toujours écloses. 6. L’
airain que les dieux allaient consulter pour y lire l’avenir, qui s’y trouvait écrit en lettres ineffaçables. Il portait encore
fille appelée Proserpine. Pluton, le dieu des enfers, qui ne pouvait trouver une épouse, parce qu’aucune déesse ne voulait hab
tait fils de Jupiter et de Junon. Quand il vint au monde, son père le trouva si laid et si difforme qu’il lui donna un coup de
s ses expéditions, Bacchus revint à Naxos où il avait été élevé. Il y trouva l’infortunée Ariane que Thésée, le roi d’Athènes,
te, sans craindre de se blesser et de répandre leur sang ; enfin tous trouvaient le bonheur dans l’activité et le travail. 10. Le
sa demeure est semée. Il a presque toujours la paupière fermée. Je le trouvai dormant sur un lit de pavots : Les Songes l’entou
éduire par les chants des Sirènes. Arrivés à l’île des Phéaciens, ils trouvèrent la flotte et l’armée d’Eétès dont ils trompèrent
outer ni la guerre, ni les vains soucis ; ta seule occupation sera de trouver les boissons et les mets qui pourront te plaire e
monstres qui infestaient l’Attique. 2. Quand il arriva à Athènes, il trouva dans cette ville Médée, l’épouse cruelle de Jason
naissance ? A quel signe son père voulait-il le reconnaître ? 2. Que trouva-t -il à Athènes quand il s’y présenta pour la premiè
il ouvrit les lettres de Prœtus. Son étonnement fut grand quand il y trouva un acte d’accusation contre Bellérophon. Il ne vo
ice ! Eurydice ! 3. On bâtit un temple à Orphée à l’endroit où l’on trouva sa tête. Apollon le changea en cygne, et sa lyre
érober à tous ces maux et prit le chemin de la Phocide. 5. Un jour il trouva dans un défilé étroit un vieillard qui lui en dis
ir ? L’oracle avait dit que ce monstre périrait aussitôt qu’on aurait trouvé le mot de son énigme. Œdipe le trouva, et dit que
périrait aussitôt qu’on aurait trouvé le mot de son énigme. Œdipe le trouva , et dit que cet animal était l’homme qui, dans so
ice, et deux filles, Antigone et Ismène. Le pays des Thébains s’étant trouvé en proie à une peste cruelle, l’oracle consulté d
rincesse outragée et le mit à mort. — Diomède, a son retour de Troie, trouva ses Etats dans un tel désordre qu’il fut obligé d
ne ! Ils crurent qu’il avait perdu la raison et se retirèrent. Ulysse trouva moyen de sortir de la caverne en se cachant avec
Souvent l’ambiguïté de leurs réponses contribua beaucoup à les faire trouver véridiques. D’autres fois leurs paroles, en assur
ons et se rendre compte de tous les témoignages contradictoires qu’on trouve à ce sujet dans les auteurs de l’antiquité, il fa
Jérémie, qui voulait prémunir les Juifs contre les séductions qu’ils trouveraient dans la terre étrangère, leur écrit une lettre où
là qu’Ormuzd attend tous les hommes jour les juger. Quand une âme est trouvée juste par Ormuzd, elle est conduite au delà du po
élever des tombeaux et des temples dans tous les lieux où elle avait trouvé un des restes de son époux. Horus succéda à Osiri
qu’on avait rendu les derniers honneurs au mort, il s’agissait de lui trouver un successeur, et on le cherchait dans toute l’Eg
gure d’un aigle ; sur la langue celle d’un escarbot. Quand on l’avait trouvé , le deuil faisait place à la joie, et ce n’était
s révélant des couleurs de la poésie. Nous avons cru qu’on aimerait à trouver ici leurs paroles sur la création. « Dans l’auror
géants. Un jour que les fils de Bor ou des dieux s’y promenaient, ils trouvèrent deux morceaux de bois flottants, qu’ils prirent,
16 (1845) Mythologie de la jeunesse
infernaux ou génies des morts, qui veillaient sur les tombeaux. Aussi trouve-t -on souvent sur les tombes des anciens ces deux le
le dieu du feu et des forgerons. Lorsqu’il vint au monde, Jupiter le trouva si laid, qu’il le précipita d’un coup de pied sur
on, Momus fut choisi pour juger de l’excellence de leurs ouvrages. Il trouva que les cornes du taureau étaient mal plantées, e
uant le Minotaure, monstre moitié homme, moitié taureau [Fig. 92], et trouva l’issue du Labyrinthe, où ce montre était enfermé
soit d’Argus, qui présida à sa construction, soit des Argiens qui s’y trouvaient en plus grand nombre ; soit enfin du mot grec arg
rixe qui s’était engagée entre eux [Fig. 98]. Arrivé à Thèbes, Œdipe trouva la ville désolée par le Sphinx 38. Ce monstre, qu
inces grecs, pour la plupart, furent moins heureux qu’Énée. Agamemnon trouva son trône occupé par un indigne usurpateur, et pé
ge. Obligé de passer devant les rochers qu’habitaient les Sirènes, il trouva moyen d’échapper à leurs séductions. Il boucha so
après avoir fait de vains efforts pour se traîner jusqu’à lui. Ayant trouvé moyen de pénétrer jusqu’à Pénélope, Ulysse l’entr
endait plus les rugissements de la lionne, revient un moment après et trouve Pyrame expirant. Après avoir cherché en vain à le
rit et fort avare. Des paysans lui ayant amené Silène, qu’ils avaient trouvé ivre, il le rendit à Bacchus, qui, charmé de retr
rèce, j’étais la plus passionnée pour la chasse, et, quoiqu’on pût me trouver quelques attraits, je n’aspirais point à la réput
rêt d’Aricie, où Numa avait coutume de se promener seul, et n’y ayant trouvé qu’une source, ils s’imaginèrent que la nymphe av
ailes sont le symbole du génie et de l’inspiration. 30. Les savants trouvent une explication de cette prééminence d’Eurysthée
17 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
ire et de l’imagination, y orner son esprit sans infecter son cœur, y trouver à la fois un cours de Poésie, et une école de Mor
se plaisaient à redire De son luth enchanteur les sons harmonieux. Il trouva le bonheur dans ce désert sauvage. Se plaire en t
; Sur-tout celui qui brille au quartier des Lombards. Là, vous pouvez trouver , au gré de vos caprices, Des sucres arrangés en g
e murmure amoureux           De l’onde qui l’appelle encore.    On y trouve ces mots gravés sur un rocher : Mortels : Eloigne
irs plus touchans. Samos lui rouvre un sein qui l’a nourrie, Et Junon trouve en cette île fleurie, Ces plaisirs purs qui naiss
ège mes génisses Contre la faim cruelle et le loup inhumain ; Que je trouve le soir le nombre du matin, Qu’autour de mon berc
yeux en larmes, De cris touchans vient me frapper ; Quel art me fait trouver des charmes Aux pleurs que je sens m’échapper ? L
De mon sang odieux arroser leurs tombeaux ; Dût le Parthe vengeur me trouver sans défense, Dût le ciel égaler le supplice à l’
t laisser cheoir sur vous les peines de mes crimes ! Puissiez-vous ne trouver dedans votre union Qu’horreur, que jalousie, et q
te, A Berlin vous rendant visite, Atropos vint avec le Temps, Croyant trouver des cheveux blancs, Front ridé, face décrépite, E
s humains. Là, les Mânes nouveaux, ignorant les chemins, Ne savent où trouver , dans les demeures sombres, Le palais de Pluton e
fleuves s’engloutissent. Orateurs et clients, dans ce monde nouveau, Trouvent près de Minos une ombre du barreau ; Et de la cou
, de l’usage de la parole. Arrivés à Colchos, Jason et ses compagnons trouvèrent la Toison d’or suspendue à un arbre et défendue p
e. Si jamais, disent-ils, l’homme a fléchi les Dieux, Si ses maux ont trouvé grace devant leurs yeux, O Thémis, apprends-nous
st plus père, Dédale cherche au loin le jeune téméraire. Icare, où te trouver  ? Il appelle à grands cris Icare, et sur les eaux
ter le bandeau qu’ils mettaient sur ma vue.) Dans un chemin étroit je trouvai deux guerriers, Sur un char éclatant que traînaie
ée, s’enfonça son épée dans le corps. Thisbé reparut un moment après, trouva Pyrame expirant, et se perça le sein de la même é
ntiers : Hector, c’est toi qu’il cherche entre mille guerriers ; Il a trouvé Cygnus : une autre destinée Lui réservait Hector
rêts de Stymphale ; Lassée et de fatigue et du poids des chaleurs, Je trouve un ruisseau pur qui glisse entre des fleurs. Des
abe des mots. Echo voulut plaire au beau Narcisse. Au désespoir de le trouver insensible, elle abandonna sa riante demeure, all
vient à moi ? A peine achève-t-il, Echo répète, moi. Mais où donc te trouver  ? viens, je t’attends, approche. Tandis qu’il che
mes,             En ont-ils moins de cruauté ?             Où peut-on trouver des charmes,             Quand on perd sa liberté
t proche de ce bord, Défend cette contrée, en protège l’abord. On n’y trouve en tout temps que des chèvres sauvages, Errantes
les respects et les vœux. Sous un air plus connu, la Divinité peinte Trouverait moins d’encens, et ferait moins de crainte ; Tant
Druide craint, en abordant ces lieux, D’y voir ce qu’il adore, et d’y trouver ses Dieux. Il n’est rien de sacré pour des mains
us en tâterez quelque jour, Et lorsqu’aux ténébreux rivages Vous irez trouver vos ouvrages, Vous ferez rire à votre tour. Le m
son, l’eau d’un fleuve ou d’une source pure ; Sur un lit de gazon ils trouvent le sommeil, Et jamais les soucis n’ont hâté leur
Pour les conduire au Temple, on chercha des taureaux ; A peine on put trouver deux buffles inégaux. On vit des malheureux, pour
forts mûrit utilement            Ces vérités dont le Génie             Trouve le germe en un moment. Barthe 277. Génies.
it profonde        N’ensevelit ses jours plus constamment ; Aussi lui trouva-t -on les mœurs un peu sauvages ; En trois siècles,
x avaient cachés. Assis tranquillement sous nos foyers antiques, Nous trouvons , dans le sein de nos Dieux domestiques, Cette dou
18 (1800) Cours de mythologie pp. -360
ire et de l’imagination, y orner son esprit sans infecter son cœur, y trouver à la fois un cours de Poésie, et une école de Mor
se plaisoient à redire De son luth enchanteur les sons harmonieux. Il trouva le bonheur dans ce désert sauvage. Se plaire en t
par le murmure amoureux         De l’onde qui l’appelle encore. On y trouve ces mots gravés sur un rocher : Mortels : Éloigne
rs plus touchans. Samos lui r’ouvre un sein qui l’a nourrie, Et Junon trouve en cette Ile fleurie, Ces plaisirs purs qui naiss
mes genisses Contre la faim cruelle & le loup inhumain ; Que je trouve le soir le nombre du matin, Qu’autour de mon berc
yeux en larmes, De cris touchans vient me frapper ; Quel art me fait trouver des charmes Aux pleurs que je sens m’échapper ?
x De mon sang odieux arroser leurs tombeaux. Dût le Parthe vengeur me trouver sans défense, Dût le ciel égaler le supplice à l’
t laisser cheoir sur vous les peines de mes crimes ! Puissiez-vous ne trouver dedans votre union Qu’horreur, que jalousie, et q
te, A Berlin vous rendant visite, Atropos vint avec le Temps, Croyant trouver des cheveux blancs, Front ridé, face décrépite, E
vains, Se perdant au hasard dans les régions sombres, Incertains où trouver la cour du Roi des ombres. La ville a mille accès
, de l’usage de la parole. Arrivés à Colchos, Jason et ses compagnons trouvèrent la Toison d’or suspendue à un arbre et défendue p
re. Si jamais, dirent-ils, l’homme a fléchi les Dieux Si ses maux ont trouvé grace devant leurs yeux, O Thémis, apprends-nous
ter le bandeau qu’ils mettoient sur ma vue.) Dans un chemin étroit je trouvai deux Guerriers, Sur un char éclatant que traînoie
ée, s’enfonça son épée dans le corps. Thisbé reparut un moment après, trouva Pyrame expirant, et se perça le sein de la même é
ppelle envain : interdit et confus, Il vient, passe, revient et ne me trouve plus. Ciel ! que deviens-je ? A jeun et la gueule
abe des mots. Echo voulut plaire au beau Narcisse. Au désespoir de le trouver insensible, elle abandonna sa riante demeure, all
ent à moi ? A peine achève-t-il, Echo répette : Moi. Mais, où donc te trouver  ? Viens, je t’attends, approche. Tandis qu’il che
             En ont-ils moins de cruauté ;                 Où peut-on trouver des charmes,                 Quand on perd sa lib
t proche de ce bord, Défend cette contrée, en protège l’abord. On n’y trouve en tout temps que des chèvres sauvages, Errantes
les respects et les vœux. Sous un air plus connu, la Divinité peinte Trouveroit moins d’encens, et feroit moins de crainte ; Tant
Druide craint, en abordant ces lieux, D’y voir ce qu’il adore, et d’y trouver ses Dieux. Il n’est rien de sacré pour des mains
us en tâterez quelque jour, Et lorsqu’aux ténébreux rivages Vous irez trouver vos ouvrages, Vous ferez rire à votre tour. Le m
son, l’eau d’un fleuve ou d’une source pure ; Sur un lit de gazon ils trouvent le sommeil, Et jamais les soucis n’ont hâté leur
Pour les conduire au Temple, on chercha des taureaux ; A peine on put trouver deux buffles inégaux. On vit des malheureux, pour
rit utilement                Ces vérités dont le Génie                 Trouve le germe en un moment. Barthe 292. L ’ Esprit
uit profonde       N’ensevelit ses jours plus constamment ; Aussi lui trouva-t -on les mœurs un peu sauvages ; En trois siècles,
x avoient cachés. Assis tranquillement sous nos foyers antiques, Nous trouvons , dans le sein de nos Dieux domestiques, Cette dou
19 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
e sans l’appui d’une main tendre et amie. Il avoue, d’ailleurs, qu’on trouve des femmes d’un esprit sage et d’un cœur aimant.
devint funeste ; dans le temple des Muses, leurs vers et leur musique trouvèrent des juges sévères et des rivales facilement victo
hoses d’échapper aux poursuites de ceux qui venaient le consulter. On trouve un exemple mémorable de cette puissance de Protée
ans bornes. Un homme tombé dans cet abîme roulerait un an entier sans trouver un point d’appui. Les dieux mêmes redoutent ce ch
sa demeure est semée. Il a presque toujours la paupière fermée. Je le trouvai dormant sur un lit de pavots ; Les Songes l’entou
t à la Méditerranée qui se confondirent au détroit de Gibraltar. Nous trouvons encore Hercule délivrant l’Italie des brigandages
irigea alors vers le lieu indiqué, au delà de l’Océan occidental ; il trouva les Gorgones endormies : c’en était fait de lui s
nfin à l’île de Sériphe, apportant le trophée qu’il avait promis ; il trouva sa mère exposée aux violences de Polydecte, mais
s d’autres aventures ? — Qu’arriva-t-il à Hippolyte, son fils ? — Que trouva-t -il à son retour dans Athènes ? — Comment mourut T
 Que devint Ménélas ? — Quelles furent les aventures d’Ulysse ? — Que trouva-t -il à son retour ? — Comment mourut-il ? App
s prêtres qui les accomplissent sont les Mages, caste puissante qu’on trouve mêlée dans l’histoire aux événements les plus imp
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