eligion des Grecs et des Romains, et de tous les autres peuples de la
terre
, à l’exception des Juifs. Ce mot est composé de d
jusqu’au berceau même de l’humanité. Dieu, en plaçant l’homme sur la
terre
, s’était fait connaître à lui comme son créateur,
aissa survivre que la famille du juste Noé, qui servit à repeupler la
terre
. Les mêmes causes produisirent des effets à peu p
e dépositaire de la loi et pour rendre témoignage de la vérité sur la
terre
, perdirent peu à peu la trace de leur origine et
ses propres lumières, dut être le soleil, dont la chaleur féconde la
terre
et dont la clarté l’illumine. Il était naturel qu
it, et qui a tant d’influence sur les saisons. L’air qui enveloppe la
terre
, les eaux qui l’arrosent et qui l’entourent comme
tourent comme une ceinture, le feu qui échauffe ses entrailles, et la
terre
elle-même ; tous ces éléments qui paraissent avoi
manière que le ciel, l’atmosphère, la surface et les entrailles de la
terre
furent peuplés de dieux et de déesses innombrable
pour ne prendre qu’un exemple, le grain de blé passe six mois sous la
terre
, et reparaît ensuite pour être moissonné. Que va
robée à tous les yeux par le dieu qui règne dans les entrailles de la
terre
. Ce n’est pas tout ; on fut entraîné à faire l’ap
our qu’ils occupent. Après les dieux de l’Olympe viendront ceux de la
terre
, et, plus tard, les divinités des enfers. Nous no
la figure d’un vieillard aveugle, ayant sous ses pieds le globe de la
terre
, et tenant dans ses mains l’urne qui renferme le
ce des dieux : Avant tout, dit-il, fut le Chaos ; ensuite parurent la
Terre
, base éternelle de l’univers ; le Tartare, abîme
erre, base éternelle de l’univers ; le Tartare, abîme ténébreux de la
terre
, et l’Amour, le plus beau des immortels, tyran de
’Amour, le plus beau des immortels, tyran des dieux et des hommes. La
Terre
ou Titéa produisit d’abord le Ciel, Uranus, dont
, la Mer, dont les abîmes sont immenses et les flots indomptables. La
Terre
seule donna aussi naissance aux Cyclopes. Brontès
n œil qui s’ouvrait comme un large cercle au milieu de leur front. La
Terre
, de son mariage avec le Ciel ou Uranus, eut l’Océ
Mnémosyne, Phébé, Téthys, et enfin Saturne. Ce furent les Titans. La
Terre
et le Ciel enfantèrent encore trois autres fils,
taient forts, violents, farouches, les plus féroces des enfants de la
Terre
et du Ciel. Nous verrons dans l’histoire de Satur
rrons dans l’histoire de Saturne comment les enfants du Ciel et de la
Terre
se comportèrent envers leur père. Premiers âge
es crimes de l’humanité, quatre races différentes avaient paru sur la
terre
. Les dieux firent d’abord paraître la race d’or.
eil, et la vie, la jouissance de tous les biens. Les richesses que la
terre
produisait sans culture étaient partagées égaleme
eignit : tous ceux qui la composaient descendirent dans le sein de la
terre
, et devinrent des génies protecteurs de l’humanit
inférieure à la précédente. L’enfance de ces nouveaux habitants de la
terre
durait cent ans. Les soins efféminés de leurs mèr
ir les dieux et de les adorer. Jupiter les rappela dans le sein de la
terre
, et ils devinrent aussi des génies terrestres inf
t séparés du séjour des hommes, et relégués vers les extrémités de la
terre
, dans une contrée où règnent l’abondance et le bo
ils n’avaient ni villes fortifiées, ni armes de guerre ; et, comme la
terre
donnait d’elle-même des fruits abondants, ils ne
artagea en quatre saisons : pour la première fois la chaleur brûla la
terre
, qui fut aussi glacée par le froid. Les hommes bâ
lacée par le froid. Les hommes bâtirent des cabanes et tirèrent de la
terre
, par leur travail, les dons de Cérès. Le siècle d
imes de tout genre. Une race d’hommes née du sang des géants, dont la
terre
fut arrosée, lorsque ces monstres furent vaincus
l’imprévoyance. L’industrieux Prométhée forma l’homme du limon de la
terre
, mais ce n’était qu’une statue inanimée qui atten
moelle se consume lentement, et qui lui permit de transporter sur la
terre
son précieux larcin. L’étincelle du feu céleste a
s livres saints, Dieu façonna le corps de l’homme avec le limon de la
terre
, et il y souffla son esprit pour l’animer. Promét
e, de l’aveu de Jupiter, délivra l’illustre victime, qui reçut sur la
terre
les honneurs divins. Origine de la femme. J
ec une boîte renfermant tous les maux qui devaient se répandre sur la
terre
. Prométhée, soupçonnant le piége qu’on lui tendai
Que produisit d’abord le débrouillement du Chaos ? — Que produisit la
terre
? — Quel est le nombre, quels sont les noms et em
uel est le nombre, quels sont les noms et emplois des Cyclopes ? — La
terre
ne s’unit-elle pas avec le Ciel ? — Quels enfants
naquirent de cette union ? — Combien de races se sont succédé sur la
terre
avant le siècle de fer ? — Comment finit la premi
de Saturne. Saturne, l’un des Titans, était fils du Ciel et de la
Terre
, que les Grecs appelaient Uranus et Titéa. Uranus
ère, et les plongeait, à leur naissance, dans les profonds abîmes. La
Terre
gémissait de cette cruauté, et voulait délivrer s
fit couler son sang, dont les gouttes tombèrent sur la surface de la
terre
, et produisirent plus tard les Furies. Saturne, a
le chassa du ciel pour régner à sa place. Séjour de Saturne sur la
terre
. Saturne, exilé, se réfugia en Italie, dans la
n souvenir de l’âge d’or, pendant lequel l’égalité avait régné sur la
terre
. Saturne représente le temps. La plupart des fait
ble lui attribue sont allégoriques. Elle le dit fils du Ciel et de la
Terre
, parce que le temps a commencé lorsque le Ciel et
l et de la Terre, parce que le temps a commencé lorsque le Ciel et la
Terre
furent sortis du chaos ou du néant. Le temps, c’e
doraient comme le plus puissant des dieux, le maître du ciel et de la
terre
. Nous savons déjà les circonstances de sa naissan
bientôt à soutenir une guerre terrible contre les Géants, fils de la
Terre
, et qu’il faut bien se garder de confondre avec l
nt recouverte d’écailles impénétrables. Ces redoutables enfants de la
Terre
entreprirent d’assiéger Jupiter jusque dans le ci
la foudre, avait été enseveli sous le mont Etna. Les tremblements de
terre
et les éruptions du volcan sont causés par les mo
vements et la colère de ce Géant. Jupiter était vainqueur, lorsque la
Terre
, par un dernier effort, fit sortir de son sein le
’air, que les hautes montagnes semblent vouloir escalader. Lorsque la
terre
se forma, les montagnes sortirent de son sein, en
erre de la nature. Les montagnes sont devenues des Géants, fils de la
Terre
; et l’éruption des volcans a été expliquée par l
a vérité en supposant que les montagnes étaient sorties du sein de la
terre
. Typhon, le dernier et le plus terrible des fils
in de la terre. Typhon, le dernier et le plus terrible des fils de la
Terre
, représente la fureur des vents. C’est de lui que
dieux le terrible Briarée, géant aux cent bras, fils invincible de la
Terre
. Celui-ci, éclatant de gloire, se plaça près du f
a sévèrement son épouse rebelle ; il la suspendit entre le ciel et la
terre
avec une chaîne d’or, et attacha une enclume à ch
ar leur breuvage. Hébé, déesse de la jeunesse, fille du Ciel et de la
Terre
, suivant Hésiode, de Jupiter et de Junon, suivant
es, finirent par le chasser honteusement. Voyage de Jupiter sur la
terre
. — Lycaon. Jupiter quitta plusieurs fois le ci
e. — Lycaon. Jupiter quitta plusieurs fois le ciel pour visiter la
terre
. La fable raconte de lui beaucoup de voyages et d
ent sur la Thessalie. Aussitôt tous les éléments se déchaînent sur la
terre
; les vents soufflent avec violence, le tonnerre
etez derrière vous les os de votre aïeule ; vous repeuplerez ainsi la
terre
. » Deucalion et sa femme, comprenant le sens de l
e sens de l’oracle, prirent des pierres, qui sont les ossements de la
Terre
, aïeule du genre humain, et ces pierres se transf
autres dieux. Le mouvement de sa tête faisait trembler l’Olympe et la
terre
entière ; il représentait l’Éther, ou l’air pur d
r des dieux une autre divinité ? — Jupiter ne voyagea-t-il pas sur la
terre
? — Quel fut le châtiment de Lycaon ? — Racontez
Son humeur vindicative mit souvent le trouble dans l’Olympe et sur la
terre
. Les noces de cette déesse furent célébrées avec
furent célébrées avec magnificence : tous les dieux du ciel et de la
terre
s’y rendirent avec empressement ; une seule nymph
e entendait. Ce ne fut pas le terme de ses malheurs : reléguée sur la
terre
, elle eut d’abord à éviter les poursuites du dieu
s elle fut en butte aux persécutions de Junon, qui fit promettre à la
Terre
de ne lui donner aucun asile ; mais Neptune, touc
nom de Pythien. D’autres font naître le serpent Python du limon de la
terre
, après le déluge de Deucalion. Apollon l’aurait a
ans la force de l’âge, non pour venger sa mère, mais pour délivrer la
terre
. Quoi qu’il en soit, le monstre succomba sous ses
l’heureuse influence du soleil qui dessèche les marais et assainit la
terre
. Apollon, qu’on appelle aussi Phébus, était le pl
nouveau guide détourna le char de sa route accoutumée, et embrasa la
terre
. Jupiter le foudroya et le précipita dans l’Érida
légende est le souvenir poétique d’une sécheresse qui aura désolé la
terre
à une époque reculée. Ce ne fut pas la seule doul
e ses travaux, le dieu fut chassé du ciel. Séjour d’Apollon sur la
terre
. Pendant son exil sur la terre, Apollon fut ré
du ciel. Séjour d’Apollon sur la terre. Pendant son exil sur la
terre
, Apollon fut réduit à garder les troupeaux d’Admè
our se soulager, sans parjure, d’un fardeau trop pesant, il creusa la
terre
et lui confia le secret qui l’oppressait ; puis i
bla le trou dépositaire de sa confidence. Des roseaux sortirent de la
terre
fraîchement remuée et trahirent l’infortune de Mi
ugé par Midas, et défié par Marsyas, est le symbole des poëtes sur la
terre
. La ruse, le mauvais goût et l’envie s’acharnent
pas payé. Achevons rapidement le récit des aventures d’Apollon sur la
terre
, jusqu’au moment où il fut rappelé dans l’Olympe
a tour d’où elles avaient pris leur essor, et se brisa la tête sur la
terre
qu’il teignit de son sang. Cette aventure exprime
, que les Grecs croyaient située au point central de la surface de la
terre
, s’élevait un temple fameux consacré à Apollon, o
thie s’asseyait sur un trépied, placé au-dessus d’une ouverture de la
terre
, d’où s’élevaient des vapeurs qui, montant à son
gea-t-il et comment fut-il puni ? — Quel fut le sort d’Apollon sur la
terre
? — Ne fut-il pas défié par le dieu Pan ? — Quell
des Troyens ? — Quelles furent les autres aventures d’Apollon sur la
terre
? — Apollon n’avait-il pas un temple au pied du m
trois noms différents : elle est tout ensemble déesse du ciel, de la
terre
et des enfers. Au ciel on la nomme Phébé2, et ell
ciel on la nomme Phébé2, et elle conduit le char de la lune ; sur la
terre
on l’appelle Diane, et elle préside à la chasse ;
le soleil passe successivement dans sa marche apparente autour de la
terre
. Les anciens rattachaient l’existence de ces dive
ce. Suivant la fable, cette balance est celle d’Astrée, qui quitta la
terre
pour remonter au ciel lorsque commença le siècle
te des constellations, est le géant chasseur, tué par Diane. Ainsi la
terre
a peuplé la voûte céleste, et l’imagination des G
ux qui ferait le présent le plus utile aux mortels. Neptune frappa la
terre
de son trident et en fit sortir un cheval. Les di
le fer de sa lance. Un olivier chargé de fruits sortit du sein de la
terre
, et les dieux décidèrent que la déesse l’avait em
leur messager : c’est par son entremise qu’ils communiquaient avec la
terre
et les enfers. Il naquit sur le mont Cyllène en A
nt à la cour céleste, et Mercure, enfin chassé, alla retrouver sur la
terre
Apollon, devenu berger. Vous savez déjà qu’il ne
ans la guerre des Géants, et délivra ensuite Mars, que ces fils de la
Terre
avaient enchaîné et jeté dans une prison, où il r
antique divinité qui sortit du chaos8 en même temps que le ciel et la
terre
, et dont la naissance précéda celle des dieux eux
— Comment la représente-t-on ? Deuxième partie. Divinités de la
terre
. § 1. Cybèle. Naissance, culte, images
de Cybèle. Cybèle, fille d’Uranus et de Titéa, est la déesse de la
terre
. On lui donne les noms de Rhéa, d’Ops et de Vesta
présente ordinairement Cybèle assise, pour montrer la stabilité de la
terre
; elle porte un tambour ou un disque, emblème des
terre ; elle porte un tambour ou un disque, emblème des vents que la
terre
renferme dans ses cavernes ; elle tient aussi une
. Elle eut de Jupiter une fille nommée Proserpine. Cérès parcourut la
terre
avec Bacchus, dieu de la vigne, enseignant aux ho
acchus, dieu de la vigne, enseignant aux hommes l’art d’ensemencer la
terre
et de faire du pain. Le sens de cette allégorie e
du mont Etna, en Sicile. Pluton, sortant à l’improviste du sein de la
terre
, enleva la fille de Cérès, et l’emporta sur son c
e se mit alors à sa recherche, un flambeau à la main, et parcourut la
terre
en demandant partout des nouvelles de sa fille.
l’épouse de Pluton, mais qu’elle passerait six mois de l’année sur la
terre
. L’indiscret Ascalaphe fut changé en hibou. On vo
Cette fable représente les hommes avides qui, au lieu de cultiver la
terre
, se hâtent de jouir de ses productions, et, suiva
uez-nous les principales aventures de Cérès pendant son voyage sur la
terre
. — Comment punit-elle Érésichton ? — Où célébrait
urent révolus. Bacchus fut élevé par Silène, fils de Mercure et de la
Terre
, d’autres disent du dieu Pan et d’une nymphe. Ce
la guerre des Géants, il fit des prodiges de valeur. Descendu sur la
terre
, il fit la conquête des Indes. Accompagné du fidè
si difforme, que Jupiter, d’un coup de pied, le précipita du ciel en
terre
. La chute ne fut pas mortelle, mais Vulcain eut l
e . Il délivra Junon, que Jupiter avait suspendue entre le ciel et la
terre
. Il serait trop long de compter tous les ouvrages
omment représente-t-on Vulcain ? § 5. Divinités subalternes de la
terre
. Palès. — Flore. — Pomone. — Vertumne. — Pri
tumne. — Priape. — Pan. — Satyres. — Nymphes. Cybèle représente la
terre
, Cérès l’agriculture, Proserpine le blé, Bacchus
, Bacchus la vigne, Vulcain le feu. Après ces grandes divinités de la
terre
, il faut citer Palès, déesse des pâturages et des
aines et les Oréades peuplaient les montagnes. Ainsi non-seulement la
Terre
était une déesse, mais d’innombrables divinités p
te. Questionnaire. Quelles sont les divinités subalternes de la
terre
? — Qu’est-ce que Palès, Flore et Pomone ? — Qu’e
t-ce que les Satyres et les Faunes ? — Quelles sont les nymphes de la
terre
? Troisième partie. Divinités de la mer.
. Neptune fut puni de ses mauvais desseins par l’exil. Relégué sur la
terre
, il travailla avec Apollon à relever les muraille
que marine avec un bruit si étrange et si violent, que les fils de la
Terre
, épouvantés, cédèrent la victoire aux dieux. Les
neige et les tempêtes. Aurore. Aurore, fille de Titan et de la
Terre
, et, selon quelques poëtes, mère des Vents, sort
et des Enfers. Suivant Hésiode, le Tartare est aussi distant de la
terre
que la terre l’est du ciel. Une enclume d’airain
. Suivant Hésiode, le Tartare est aussi distant de la terre que la
terre
l’est du ciel. Une enclume d’airain tombant du ci
l roulerait neuf nuits et neuf jours, et arriverait le dixième sur la
terre
; une enclume d’airain tombant de la terre rouler
riverait le dixième sur la terre ; une enclume d’airain tombant de la
terre
roulerait neuf nuits et neuf jours, et arriverait
inte de ses voiles sombres. Au-dessus sont les bases éternelles de la
terre
et de la mer. Là, sont les limites du monde, lieu
pine. Les autres poëtes ont placé ce séjour ténébreux au centre de la
terre
, et voici la description qu’ils en donnent. Sur l
es, séjour des justes, sont placés par les uns dans l’intérieur de la
terre
, et par d’autres dans des îles lointaines ; il fa
ue et Rhadamanthe. Les juges des Enfers avaient été des rois de la
terre
renommés par leur sagesse. Minos, fils de Jupiter
Les Furies, nées, selon Hésiode, du sang d’Uranus, fécondé par la
Terre
, et, selon d’autres, de la Nuit et de l’Achéron,
de cette coupable obéissance. Il demanda à Pluton de retourner sur la
terre
, promettant de revenir sans délai ; mais il viola
en épousant Clia, sa fille. Comme ce crime ne pouvait s’expier sur la
terre
, le coupable eut recours à Jupiter, qui l’admit à
Junon ; la déesse avertit Jupiter, qui se contenta de renvoyer sur la
terre
l’audacieux Ixion. Mais, comme celui-ci ne cessai
n vain de les saisir. C’est Tantale, roi lydien jadis puissant sur la
terre
. Les dieux étaient venus s’asseoir à sa table ; p
et de myrtes. Comme elles ont bu l’eau du Léthé, les souvenirs de la
terre
n’altèrent point leur bonheur ; les sages y parle
fois aux Enfers, la première pour délivrer Thésée qu’il ramena sur la
terre
, après avoir enchaîné Cerbère ; et la seconde, po
’Eurysthée après l’accomplissement de ses douze travaux, parcourut la
terre
, prenant partout la défense des opprimés et faisa
il lutta contre le géant Antée, roi d’Irasa, fils de Neptune et de la
Terre
. Hercule le terrassa trois fois ; mais, le géant
is fois ; mais, le géant reprenant de nouvelles forces en touchant la
terre
, Hercule le souleva et l’étouffa dans ses bras. A
rer le coursier et désarçonna le cavalier. Bellérophon retomba sur la
terre
, où il erra depuis, en proie à une profonde mélan
s, lorsque le vaisseau fut arrivé en Mysie, Hercule s’avança dans les
terres
à la recherche d’Hylas, et, comme il tardait à re
isa en deux parties, dont la première forma le ciel, et la seconde la
terre
: entre la terre et le ciel, Brahmâ plaça l’éther
es, dont la première forma le ciel, et la seconde la terre : entre la
terre
et le ciel, Brahmâ plaça l’éther. Il créa success
vement les astres, les plantes, les arbres et les animaux. Lorsque la
terre
fut préparée pour recevoir l’espèce humaine, Brah
Brahman naquirent les hommes destinés à entretenir la religion sur la
terre
; de son bras droit, Brahmâ fit sortir ensuite un
ses frères Vichnou et Siva, dans le séjour des dieux, il parut sur la
terre
sous quatre formes successives, et dans des âges
Comme sa fonction était de conserver le monde, toutes les fois que la
terre
était menacée d’une catastrophe, il ne manquait p
Haïagriva (tâchez de retenir ce nom), avait emporté les Védas, et la
terre
, privée de cette source de vérité et de lumière,
ait exposée à tomber dans la barbarie. Vichnou parcourut longtemps la
terre
sans pouvoir atteindre le ravisseur ; il découvri
nt la catastrophe qui aurait anéanti l’univers. Grâce à cet appui, la
terre
reprit sa place accoutumée, et tout rentra dans l
trois trompes, et un superbe cheval à trois têtes. Une autre fois la
terre
faillit disparaître ; un géant terrible, l’ayant
a poursuite du géant, l’atteignit et le vainquit ; puis, ramassant la
terre
, il la rapporta sur ses défenses victorieuses. Pl
ambeaux. Après ces premiers exploits, Vichnou ne paraîtra plus sur la
terre
que sous la forme humaine. Voici l’occasion de sa
sa parole ; alors Vamana, développant un corps prodigieux, mesura la
terre
d’un pas, le ciel de l’autre, et du troisième il
uveraineté du sombre royaume.16 » Vichnou vint régner ensuite sur la
terre
, dans la personne de Rama, pour instruire les hom
e nom de Crichna, Vichnou fut un héros bienfaisant, qui parcourait la
terre
en délivrant les peuples de la tyrannie des mauva
des préceptes et des exemples de vertu. Sa dernière apparition sur la
terre
nous le montre sous le nom de Bouddha, réformateu
ou ; car c’est lui qu’il rencontrait dans ses combats en faveur de la
terre
et des hommes, sous la forme de ces génies malfai
ou ? — Combien de fois et sous quelles formes Vichnou parut-il sur la
terre
? — Que fit-il sous la forme d’un poisson ? — Pou
il consistait dans l’adoration des éléments, comme l’eau, le feu, la
terre
, l’air et les vents, et dans celle de la voûte ét
monde et à veiller sur les âmes vertueuses. Ormuzd règne sur l’Iran,
terre
de lumière et de justice ; mais son séjour est da
s la plus élevée des trois sphères célestes, qui communiquent avec la
terre
par le pont Tchinevad, dont les abords sont gardé
la nature, les volcans, la foudre, les tempêtes, les tremblements de
terre
, les maladies, sont l’ouvrage d’Ahriman, et les e
aire. Sa demeure est dans les enfers ; c’est de là qu’il monta sur la
terre
pour corrompre, sous la forme d’un serpent, Mesch
res, eut pour sœur et pour femme Isis. Ce couple céleste parut sur la
terre
et vint régner en Égypte. Ils commencèrent par ét
état de barbarie, et ils enseignèrent aux hommes l’art de cultiver la
terre
. Après avoir civilisé l’Égypte, Osiris en laissa
eu de commencement et qui n’aura pas de fin. Il produisit d’abord la
terre
glacée de Ginongapap et la terre brûlante de Musp
pas de fin. Il produisit d’abord la terre glacée de Ginongapap et la
terre
brûlante de Muspelheim ; le contact de la glace e
géant Ymer, dont le sang noya toute sa race. Ce meurtre produisit la
terre
, car la chair du géant forma le continent et les
session du ciel ; puis ils firent l’homme et la femme pour peupler la
terre
. Toutefois, leur puissance était menacée par un d
céleste, ou l’arc-en-ciel, par lequel les dieux communiquent avec la
terre
. Les sens de ce dieu sont si déliés, qu’il distin
us le frêne Ygdrasil, dont les racines pénètrent les entrailles de la
terre
, et dont les rameaux couvrent le monde entier. Da
les héros admis dans ce séjour y retrouvent une image embellie de la
terre
; ils se livrent, à travers les airs, de terrible
pour progéniture le serpent Midgard, dont les anneaux enveloppent la
terre
, Héla ou la mort qui règne aux enfers, et le loup
t l’éternelle verdure était le symbole de la puissance qui féconde la
terre
et renouvelle les saisons. Questionnaire. Q
fils ? — Quel fut son premier exploit ? — Quelle est l’origine de la
terre
? — Combien les Scandinaves reconnaissent-ils de
branches, de dix couples humains, dont les descendants peuplèrent la
terre
. [Translator: Mondot] [Translator : J.-B. Dugas-M
nce l’instruit. Les arts sont inventés, les hommes se multiplient, la
terre
se peuple, les précipices, les montagnes, les mer
tout, et firent, malgré la raison, tous les dieux qu’on adore, sur la
terre
. « Du temps d’Abraham et peu après, la connaissan
de Salem, était le pontife du Dieu très-haut qui a fait le ciel et la
terre
. Abimelech, roi de Gérar, et son successeur, qui
avantage de leur berceau. Les premières familles se multiplièrent. La
terre
ne souriait plus à l’homme ; elle ne produisait p
les douces illusions de l’espérance. En pénétrant plus avant dans les
terres
, on ne rencontra plus en quelque sorte que les dé
mitif. Cependant il fallut travailler ou périr : quelques portions de
terre
furent cultivées ; mais celui dont les sueurs suf
s’opposer à leurs rapines. Les instrumens qui servaient à féconder la
terre
devinrent des instrumens de mort ; la guerre naqu
eurtres, les vengeances, la cupidité, l’injustice, vinrent inonder la
terre
. L’homme, alors tout entier à ses besoins, à ses
l en avait déjà perdu la connaissance lorsqu’il s’était éloigné de sa
terre
natale. Chaque génération qui suivit s’écarta de
La tradition du déluge universel, dit Bossuet, se trouve par toute la
terre
: l’arche où se sauvèrent les restes du genre hum
it le partage des trois enfans de Noé et la première distribution des
terres
. « La mémoire de ces trois premiers auteurs des n
i déshonora les peuples qui s’étaient enfoncés le plus avant dans les
terres
. Les patriarches avaient transmis aux premiers le
peut disputer aux Chaldéens d’être un des plus anciens peuples de la
terre
. Nemrod en fut le premier roi. Il est regardé com
l la divisa en deux : une de ces parties forma le ciel, et l’autre la
terre
; alors les monstres de formes irrégulières dispa
parurent. Bel partagea ensuite les ténèbres, sépara le ciel d’avec la
terre
, et arrangea l’univers. Après avoir détruit les a
à un des dieux de lui couper la tête à lui-même, de mêler avec de la
terre
le sang qui coulerait, et d’en former les hommes
urtout à l’endroit où il est dit que les ténèbres couvraient alors la
terre
mêlée avec l’eau. Les monstres dont on vient de l
comme exhorté lui-même à la production de ce chef-d’œuvre, prit de la
terre
qu’il détrempa avec de l’eau, et lui souffla un e
’histoire et la fin de toutes choses ; de cacher ses mémoires sous la
terre
dans la ville du soleil, nommée Sippara ; de cons
de largeur et cinq de longueur ; il n’y fut pas plus tôt entré que la
terre
fut inondée. Quelque temps, après, voyant les eau
les laissa aller, ils ne revinrent plus ; ce qui lui fit juger que la
terre
commençait à être suffisamment découverte. Il fit
agne, il en sortit avec sa femme, sa fille et le pilote ; il adora la
terre
, éleva un autel, sacrifia aux dieux ; ensuite lui
nt à paraître et à luire. Un violent degré de chaleur communiqué à la
terre
produisit des vents et des nuées qui tombèrent en
réveilla les animaux intelligens qui commencèrent à se mouvoir sur la
terre
et dans la mer, etc., etc. » Cette portion du fr
ant la tradition des Égyptiens, dit : « Au commencement le ciel et la
terre
n’avaient qu’une forme, étant mêlée ensemble par
leur mouvement circulaire. La matière solide tomba en bas et forma la
terre
et la mer, d’où sortirent les animaux et les pois
les poissons, à peu près comme on voit encore en Égypte sortir de la
terre
, détrempée par les eaux du Nil, une infinité d’in
’univers a été produit par Jupiter. L’empirée, le profond tartare, la
terre
et l’océan, les dieux immortels et les déesses, t
ables à la connaissance d’un seul principe, créateur du ciel et de la
terre
; mais ayant trouvé que le culte des astres et de
ts, il prescrivit à l’égard du soleil, principe de la fécondité de la
terre
, quelques cérémonies religieuses, telles qu’elles
ze autres pyramidales noires, source de tous les maux répandus sur la
terre
. Les Perses donnaient au bon principe le nom d’Or
re, la rapidité de sa course, sa régularité à éclairer tour-à-tour la
terre
entière, et à porter partout la fécondité, fit cr
orent encore aujourd’hui les barbares, savoir, le soleil, la lune, la
terre
, les astres et le ciel. C’est aussi le sentiment
en détail. On fit présider une divinité à chacune de ses parties. La
terre
fut adorée sous les noms du Rhéa, de Tellus, d’Op
mœurs. Telle est celle qui dit que Jupiter envoie les étoiles sur la
terre
, pendant le jour, pour s’informer des actions des
pente des hommes vers le mal. Cette fille, dit-il, parcourt toute la
terre
avec une célérité incroyable ; ses sœurs, filles
ectures sur l’origine des fables. En voyant tous les peuples de la
terre
, à l’exception du peuple de Dieu, adopter avideme
sainte a été altérée à mesure que la corruption s’est répandue sur la
terre
. Dès que le premier anneau de cette chaîne sacrée
imaux qu’ils tuaient à la chasse ; elles leur firent connaître que la
terre
étant cultivée rapporte des fruits propres à nour
des dieux, où l’on rencontrait toujours Jupiter, Saturne, le Ciel, la
Terre
. Les Grecs ne savaient rien de plus sur leur orig
du ciel à cause de sa difformité, se cassa la jambe en tombant sur la
terre
, et gagna sa vie en exerçant le métier de forgero
sme peuvent se diviser en dieux du ciel, dieux de la mer, dieux de la
terre
, et dieux des enfers. Nous viendrons ensuite aux
noms étaient : Cœlus, Saturne, Génius, le Soleil, Pluton, Bacchus, la
Terre
et la Lune. On donnait les noms Indigètes et Semo
De même Vesta prisca, ou Titée, ou Tellus, noms qui tous désignent la
terre
, était la plus ancienne des déesses. Ils eurent p
n bon prince, est le plus grand bien que le ciel puisse accorder à la
terre
! II n’est que trop nécessaire de le redire aux h
innocence et les vertus primitives que l’abondance qui régnait sur la
terre
. Nous serons alors portés à croire qu’ils devaien
d’avril vient du mot latin aperire, ouvrir, parce que dans ce mois la
terre
ouvre son sein pour produire toutes choses. Quelq
oire de Cybèle. Quoique Cybèle soit au nombre des divinités de la
terre
, nous allons donner son histoire, parce qu’elle é
lier. On l’appelait aussi Ops et Tellus, parce qu’elle présidait à la
terre
, comme Saturne, son époux, présidait au ciel ; el
de Rhea, qui dérive du grec et signifie couler, parce que c’est de la
terre
que toutes choses proviennent. Ordinairement on r
airement on représente Cybèle assise, pour montrer la stabilité de la
terre
. (Voyez la fig. 4) Elle porte un tambour ou un di
fig. 4) Elle porte un tambour ou un disque, symbole des vents que la
terre
renferme : on lui voit sur la tête une couronne f
celle d’une femme forte ; et, pour mieux désigner la fertilité de la
terre
, on lui donne la grosseur d’une femme près d’acco
aient d’une forme ronde, pour les rendre conformes à la rondeur de la
terre
. Les fêtes de Cybèle se nommaient Megalizia, et s
vec douleur, est cachée sous cette fable. Le culte de Cybèle et de la
Terre
est extrêmement ancien. Plusieurs auteurs disent
veu, jusque dans la Phrygie, où ils introduisirent les mystères de la
Terre
et de la mère des dieux. Ils assurent que Cybèle
rie est la même que Rhéa. La déesse Astergatis était le symbole de la
terre
, et les Égyptiens l’honoraient en même temps que
lune, sous le nom d’Isis. Telle paraît être l’origine du culte de la
terre
, qui passa, avec les autres cérémonies des Égypti
ille allèrent s’établir dans l’Égypte, que l’Écriture Sainte nomme la
terre
de Mesraïm ou d’Ammon ou Noammon. Jupiter Sérapis
et aux Titans ses parens. Après cette guerre, qui dura dix années, la
Terre
prédit à Jupiter qu’il remporterait une victoire
ès conforme à ce que rapporte la Genèse. Noé, disent-ils, partagea la
terre
entre ses trois enfans, Cham, Japhet et Sem. L’Af
ivilèges divins pendant un siècle. Les Géans, enfans du Ciel et de la
Terre
, étaient d’une taille monstrueuse et d’une force
t à la Lune, de paraître et de découvrir ses desseins ; il devança la
Terre
qui voulait soutenir ses enfans, et, d’après le c
thée, reprenait de nouvelles forces toutes les fois qu’il touchait la
terre
. Pallas le saisit au milieu du corps, et le trans
ne tua Gration, et les Parques ôtèrent la vie à Agrius et à Thaon. La
Terre
, irritée de cette victoire, redoubla d’efforts, e
cile, y fut accablé par Jupiter sous le mont Etna. Les tremblemens de
terre
, dit la fable, sont les efforts de Typhon pour so
en grec signifie ciel, fils et successeur d’Acmon, épousa Titée ou la
Terre
, et en eut plusieurs enfans, qui prirent de leur
nciennes histoires, et qui les a fait regarder comme les enfans de la
Terre
. Ces princes, étant plus grands et plus robustes
et de Titée, pour publier qu’ils étaient les enfans du Ciel et de la
Terre
. Uranus surpassa tellement son père Acmon et ses
qui restent de cette histoire, que Jupiter fut attaqué par mer et par
terre
. Parmi les fables conservées sur la manière dont
et les travaux de la culture eurent changé ce vaste accroissement de
terre
en plaines les plus fertiles du globe, les Égypti
raient la partie inférieure annonçaient qu’il était invisible pour la
terre
et les mortels. Le sceptre et la victoire figurai
s lui, et s’arrêter sur sa tête. Lorsque Jupiter voulait parcourir la
terre
, il conservait rarement ses attributs divins. Dan
blement grossi par les pluies ou les fontes de neige, déborda sur les
terres
en culture, et les ravagea. Hercule fit élever de
ner aux eaux du fleuve la possibilité de porter la fertilité dans les
terres
en les arrosant ; les poëtes célébrèrent ce bienf
les maux, qui, dans l’instant, s’échappèrent et se répandirent sur la
terre
. Épyméthée regrettant trop tard sa fatale curiosi
malheureuse Io des persécutions de Junon. La déesse fit sortir de la
terre
un taon qui poursuivait sans cesse la fille d’Ina
, un autre à Samos sous celui de Samia : quelquefois on la nommait la
Terre
, comme on donnait à Jupiter le nom de pluie ou d’
pluie ou d’air, parce que l’un et l’autre causent la fertilité de la
terre
. De toutes les divinités du paganisme, il n’y en
: on la regarde comme la première inventrice de l’art de cultiver la
terre
. Pluton, son frère, lui ayant enlevé sa fille Pro
ulait exprimer par cette fable le temps où elle paraît à la vue de la
terre
, et le temps où elle disparaît. On l’explique enc
e travail et de recherches. La fontaine Aréthuse, qui coulait sous la
terre
, fut témoin de l’enlèvement de Proserpine par Plu
ans l’astronomie. Ce fut lui qui le premier représenta le globe de la
terre
par une sphère ; ce qui fit imaginer la fable dan
des sept merveilles du monde, et fut renversée par un tremblement de
terre
. L’histoire dit que les Sarrasins ayant pris cett
i signifient le rouge, le lumineux, le resplendissant, et qui aime la
terre
. Le premier désigne le lever du soleil, dont les
eprésente le coucher du soleil ; on le voit alors se rapprocher de la
terre
. Le Soleil préside aux douze signes du zodiaque,
igne de la Vierge ou Astrée. Pendant le siècle d’or, elle habitait la
terre
; mais lorsqu’il fut fini, ne pouvant supporter l
ans le ciel avec les autres dieux ; elle fut la dernière à quitter la
terre
, et se retira dans la partie du ciel qui fait le
la fable, Jupiter, Neptune et Mercure, faisant ensemble le tour de la
terre
, allèrent loger chez un certain Œnopéus ou Hyrieu
i avait été tué pour servir à leur repas. Ils le formèrent avec de la
terre
détrempée dans de l’eau. Orion devint un grand ch
ue lui causait sa séparation d’avec Procris. Aurore le renvoya sur la
terre
, et lui fit don d’un javelot qui ne manquait jama
u’ils devaient tenir dans leur course ; ils embrasèrent le ciel et la
terre
. Jupiter foudroya Phaéton, et le précipita dans l
nstre, disent les poëtes, avait été formé avec le limon laissé sur la
terre
par les eaux du déluge. Cette fable ressemble bea
s l’ont transmise. Junon, poursuivant partout sa rivale, obtint de la
Terre
qu’elle ne lui donnerait aucun asile ; Latone, do
Python, victoire qu’il faut attribuer au soleil, qui, en éclairant la
terre
et desséchant le limon, fait périr les reptiles v
encontra Neptune, qui, disgracié comme lui par Jupiter, parcourait la
terre
. L’ingrat Laomédon, après les avoir employés l’un
e soin de conduire le char du soleil et de répandre la lumière sur la
terre
. Cicéron distinguait quatre Apollon : les trois
sage est toujours riant, et un seul de ses pieds touche légèrement la
terre
. (Fig. 16.) 6. Érato. Son nom vient du mot grec e
s bergers de Thessalie se vantaient de faire descendre la lune sur la
terre
par la force de leurs enchantemens. Lorsqu’elle v
Lorsqu’elle venait à s’éclipser, ils assuraient qu’elle venait sur la
terre
, et s’y rendait à leurs ordres. Diane naquit avec
lée Phazelis, parce qu’ils la cachèrent dans un fagot de bois. Sur la
terre
, Diane présidait à la chasse : Soixante nymphes,
e surnom la rapidité avec laquelle ses rayons arrivent du ciel sur la
terre
. On donnait à ces rayons le nom de flèches, comme
aient Apollon et Diane, à cause de la lumière qu’ils répandent sur la
terre
, avaient une seconde origine, qu’il est utile de
nom de Phœbé. Sa naissance inconnue la fit regarder comme fille de la
Terre
. Cette première Phœbé devait sa plus grande céléb
rande célébrité à l’oracle situé au pied du Parnasse, que lui céda la
Terre
sa mère. Apollon et Diane partagèrent d’abord cet
er, les habitans du pays supposèrent qu’une divinité favorable, ou la
Terre
elle-même, rendait ses oracles par cette ouvertur
e un chien, est le fidèle compagnon de Moïse. Bacchus, en frappant la
terre
avec son thyrse, en fait sortir des flots de vin.
par le consentement des autres dieux, maître absolu du ciel et de la
terre
, épousa Métis, qui passait pour la personne la pl
ait son nom. Aussitôt Neptune, d’un coup de trident, fit sortir de la
terre
un superbe cheval, symbole de la valeur belliqueu
eur fît abandonner leurs coutumes barbares, leur apprit à cultiver la
terre
, et surtout l’olivier, pour lequel le terrain se
efois on la voit portée par un globe, pour désigner qu’elle domine la
terre
. Dans les victoires navales, on la voit sur une p
au pied du mont Cythérée. Les pieds délicats de la déesse touchent la
terre
, et les fleurs naissent sous ses pas. Les Heures,
roserpine qu’il passerait six mois dans les enfers et six mois sur la
terre
. On éleva des temples au favori de Vénus. Dans ce
e des jours et des nuits, en disant qu’Adonis passait six mois sur la
terre
, et six mois dans les enfers. Nous n’essayerons p
ichesses que produit le commerce de la mer. Lorsque Vénus parcourt la
terre
ou les cieux, son char est tiré par des colombes
e n’en reconnaît qu’un seul, produit en même temps que le chaos et la
terre
: il a voulu peindre, par ce personnage allégoriq
: il a voulu peindre, par ce personnage allégorique, l’instant où la
terre
fut peuplée par les hommes et par les animaux. Il
e de leur origine les a fait regarder comme les fils du Ciel et de la
Terre
. Leur premier établissement se fit probablement a
hthée, quatrième roi d’Athènes. On le disait sans mère, ou fils de la
Terre
. Ses jambes étaient torses et contrefaites ; pour
m de dieu à trois têtes, à cause de sa puissance dans le ciel, sur la
terre
et dans les enfers, ou, selon quelques poëtes, pa
de s’y baigner et d’y puiser de l’eau. Presque tous les peuples de la
terre
faisaient des libations à l’Océan, aux mers, aux
Histoire d’Océan et de Téthys. Océan était fils du Ciel et de la
Terre
. Il était à juste titre regardé comme le premier
t le plus grand amas, et qu’il les communique aux autres mers et à la
terre
par cette admirable circulation des fleuves, des
ort avec l’histoire, et portant ce nom parce que la mer environne les
terres
. Quelques anciens cependant la croient fille d’un
ersonnages produisit la fable de Neptune frappant avec son trident la
terre
, dont il fait sortir un superbe cheval. L’origine
Une violente irruption de la mer détruisit les digues, et laissa les
terres
couvertes de cadavres et de limon après s’être re
temple. Phorcys ou Phorcus, dieu marin, était fils de Pontus et de la
Terre
; d’autres disent de Neptune. Il était père des G
femme très-cruelle, qui pillait les voyageurs ; Hercule en purgea la
terre
. Saron était regardé comme le dieu particulier de
Homère comme un redoutable géant. Ovide le dit fils du ciel et de la
Terre
. Il habitait la mer, il en sortit pour secourir l
être rangées parmi les divinités de la mer. Celles qui habitaient la
terre
portaient généralement le nom de nymphes. Celles
tte allégorie sert à peindre la vitesse des vents. Divinités de la
terre
Les souvenirs altérés et trop faibles de la t
La force, le nombre et l’adresse, assuraient à l’homme l’empire de la
terre
; il en jouissait sans reconnaissance, et ne song
nsi que l’homme étendit sans cesse le nombre des dieux du ciel, de la
terre
, de la mer et des enfers. La terre elle-même devi
le nombre des dieux du ciel, de la terre, de la mer et des enfers. La
terre
elle-même devint une divinité. Les bois, les camp
douze grands dieux dont nous avons parlé précédemment. Jupiter et la
Terre
étaient les deux premiers. Le Soleil et la Lune,
s Eventus étaient les sixièmes. La première, parce que, sans elle, la
Terre
est aride, et ne produit rien ; le second, dont l
procurer de bonnes récoltes. Tels étaient les principaux dieux de la
terre
. Leurs fonctions et leurs noms prouvent qu’ils ne
s. Démogorgon. Cette divinité allégorique était le génie de la
terre
. On avait tant de crainte et de vénération pour s
t de mousse, pâle et défiguré, habitant toujours les entrailles de la
terre
. Il avait pour compagnons l’Éternité et le Chaos.
sur laquelle il s’assit, et, s’étant élevé en l’air, il environna la
terre
et forma le ciel. Ayant passé sur les monts Acroc
rmer avec cette matière de feu le Soleil, qu’il donna pour époux à la
terre
. « Ils produisirent le Tartare et la nuit. Démogo
douleurs qu’éprouvait le Chaos, fit sortir la Discorde du fond de la
terre
, pour qu’elle habitât sa superficie ; elle fut le
e l’ancienne tradition. Les Arcadiens furent les premiers à croire la
terre
animée par un génie ; c’est d’eux qu’il reçut le
qu’il reçut le nom Démogorgon. Parmi les différens noms portés par la
terre
, le plus ancien de tous est Titée ou Titaïa, qui
rre, le plus ancien de tous est Titée ou Titaïa, qui signifie boue ou
terre
, comme Uranus signifie le ciel. Le chaos seul éta
s signifie le ciel. Le chaos seul était plus ancien que le ciel et la
terre
. On le nommait arbitrairement Ops, Tellus, et sou
Proserpine, Rhéa, Diane, ou Cybèle. Parmi les différentes fêtes de la
Terre
, celle appelée la fête de la bonne déesse était s
remiers magistrats de la république. On représentait ordinairement la
Terre
sous la forme d’un globe. Du dieu Terme. L
ociétés. Sans lui la faiblesse serait dépouillée par la force, et les
terres
resteraient incultes ; car l’homme ne travaille q
particuliers s’offraient sur les propriétés. Les deux possesseurs de
terres
qui se touchaient se rendaient, chacun de leur cô
eïa veillait aux blés pendant qu’ils étaient encore renfermés sous la
terre
. Ségesta les protégeait pendant la moisson, et Tu
t placée dans le Capitole ; il était au nombre des grands dieux de la
terre
et des campagnes. Populonia, dont le nom signifi
, ravage, empêchait la grêle et la foudre de détruire les biens de la
terre
. Pilumnus présidait à la mouture des grains, et
rculius, parce qu’il avait, le premier, enseigné l’usage de fumer les
terres
. Hippona était la déesse des écuries et des jume
passa pour le fils de Minerve. Les soins qu’il donna à la culture des
terres
le firent placer parmi les divinités champêtres,
n honorait son génie, surtout aux jours de naissance. On parsemait la
terre
avec des fleurs, et on lui offrait du vin dans de
des Gnomes, des Sylphes, des Salamandres. Les premiers habitaient la
terre
, les seconds l’air, et les troisièmes le feu ; ma
y présidait, parce qu’elles sont renfermées dans les entrailles de la
terre
. Adès signifie triste et sombre. Orcus vient du l
s mines d’or et d’argent. Ce travail ne pouvant s’exercer que sous la
terre
, on publia qu’il avait pénétré jusqu’aux enfers e
oser, fut changée en fontaine ; et le dieu des enfers, entrouvrant la
terre
d’un coup de son sceptre, disparut à tous les yeu
ers, pour désigner le temps où les semences restent enfermées dans la
terre
. Jupiter arrange ce différent et réconcilie Cérès
s avec Pluton, pour désigner les nouvelles moissons qui couvrirent la
terre
. Quelques savans prétendent que Cérès était reine
’elle alla dans l’Attique pour instruire Triptolème des travaux de la
terre
, et que ce fut sa fille qui fut enlevée par Pluto
r représenter la saison pendant laquelle les semences restent sous la
terre
, et celle où elles reparaissent. De la métemps
ur de mille ans dans ces lieux enchanteurs, elles retournaient sur la
terre
animer d’autres hommes, ou même des animaux. Avan
t avait à la main une quenouille, qui tenait au ciel et touchait à la
terre
. La robe de Lachésis était parsemée d’étoiles ; e
e qui voltigeait au gré des vents, pendant qu’elle s’approchait de la
terre
pour éteindre la torche qu’elle tient à la main.
die, qui coule d’un rocher, et forme un ruisseau qui se cache sous la
terre
; son eau était mortelle ; voilà pourquoi les poë
ue les dieux juraient par le Styx, ils devaient avoir une main sur la
terre
et l’autre sur la mer. Le nom de Styx signifie ea
ls à ces redoutables divinités. On les réservait pour les dieux de la
terre
et de la mer, que l’on nommait dieux supérieurs.
noire. Les pontifes, pendant les prières, baissaient la main vers la
terre
, au lieu de l’élever vers le ciel. En général, on
à l’occident, du côté de la Libye. Ovide attribue les tremblemens de
terre
de la Sicile aux mouvemens qu’il fait pour se dég
ayé de tromper Pluton, et de se rendre immortel, en retournant sur la
terre
. On trouve dans l’histoire que pendant sa jeuness
iter, parce qu’elle cherchait à brouiller les dieux, elle vint sur la
terre
exercer toutes ses fureurs. On attribuait à cette
me fut divinisé sous le nom d’Uranus, l’air sous celui de Jupiter, la
terre
sous les noms de Rhéa, de Tellus, de Cybèle et d’
a vapeur qui produit le tonnerre, C’est Jupiter armé pour effrayer la
terre
; Un orage terrible, aux yeux des matelots, C’est
es traits d’un vieillard aveugle, ayant sous ses pieds le globe de la
terre
, entre les mains l’urne qui renfermait le sort de
creusa sa retraite, Les bras au haut du corps se trouvèrent liés : La
terre
heureusement se durcit sous nos pieds, L’univers
es Titans. Du Chaos naquirent le Ciel, sous le nom d’Uranus, et la
Terre
, sous les noms de Tellus, de Rhéa et de Titea. Ce
ux qui pendaient autour de leur corps. Tous ces fils du Ciel et de la
Terre
portèrent le nom générique de Titans, de celui de
turne. 8. Uranus détrôné par Saturne. Tous les enfants que la
Terre
mettait au jour étaient odieux à Uranus, leur pèr
dès qu’ils étaient nés, il les plongeait dans de profonds abîmes. La
Terre
, qui gémissait de cette barbarie, fit, avec des m
e, le chassa du ciel et régna à sa place. 10. Saturne exilé sur la
terre
. Saturne, chassé du ciel, se réfugia en Italie
s, encore sauvages. Il leur donna des lois, leur apprit à cultiver la
terre
et les rendit si heureux, que ce règne fut appelé
s ce nom, est une allégorie continuelle. Il est fils du Ciel et de la
Terre
, parce que le temps, qui n’est que la durée mesur
jusqu’à nos jours. Questionnaire. 8. Pourquoi les enfants de la
Terre
étaient-ils odieux à Uranus, leur père ? Comment
ux à Uranus, leur père ? Comment les trait-il ? Quel moyen employa la
Terre
pour se venger ? Quelles divinités naquirent du s
ybèle, fille d’Uranus et de Tellus, fut, comme celle-ci, déesse de la
Terre
. Tellus ne représentait en quelque sorte que la T
i, déesse de la Terre. Tellus ne représentait en quelque sorte que la
Terre
nue et aride, tandis que Cybèle fut l’emblème de
e femme robuste, enceinte et assise, pour indiquer la fécondité de la
terre
et sa stabilité. Auprès d’elle est un tambour, em
ar. Ses temples avaient une forme arrondie, pour rappeler celle de la
terre
. 16. Vesta, les Vestales. On donne quelquef
En quoi diffère-t-elle de Tellus, sa mère, qui représentait aussi la
terre
? Quelle fut, d’après Diodore, la naissance et l’
Il fut le plus grand des dieux, le maître souverain du ciel et de la
terre
. Sa mère, pour le dérober à la voracité de Saturn
es Géants, voulant venger la défaite des Titans, comme eux fils de la
Terre
, entreprirent, à leur tour, de détrôner Jupiter.
es ennemis, Porphyrion, Alcyonée, Eurytus, Encelade, ont succombé. La
Terre
alors, pour venger ses fils, fait sortir de son s
anciens croyaient que les éruptions du volcan et les tremblements de
terre
étaient causés par les mouvements et la colère de
e la révolte. Il la suspend, par une chaîne d’or, entre le ciel et la
terre
, et lui attache une pesante enclume à chaque pied
ment coiffée et garnie de grelots14. 22. Voyages de Jupiter sur la
terre
. Lycaon. Jupiter, en s’attribuant l’empire du
droit de souveraineté sur le monde entier ; il parcourait souvent la
terre
, sous diverses formes que l’on appelle métamorpho
ucos, en grec, signifie loup.) 23. Philémon et Baucis. De cette
terre
ingrate, Jupiter passe en Phrygie, accompagné de
jetez derrière vous les os de votre mère : vous repeuplerez ainsi la
terre
. » [Ovide] Interprétant le sens obscur de l’orac
nt le sens obscur de l’oracle, ils comprirent que cette mère était la
terre
, et ses ossements, les pierres qu’elle renferme.
iméthée (imprévoyant). Le premier ayant formé un homme du limon de la
terre
, Minerve, frappée de la beauté de cette œuvre, vo
rule, et dont la moelle se consume lentement. Il apporta ainsi sur la
terre
le feu céleste, dont il anima sa statue d’argile.
te, d’où sortirent tous les maux qui n’ont cessé depuis de désoler la
terre
. Il ne resta au fond de la boîte, que l’Espérance
rois. …………………………………………………… Que peuvent contre lui tous les rois de la
terre
? En vain ils s’uniraient pour lui faire la guerr
Hébé, Ganymède, Momus ? 22. Pourquoi Jupiter parcourait-il souvent la
terre
? Racontez l’histoire de Lycaon. 25. Racontez la
avec une grande magnificence ; toutes les divinités du ciel et de la
terre
y furent invitées, et s’y rendirent. Une seule ny
allégorique, Junon, considérée comme l’air grossier qui enveloppe la
terre
, est unie à l’air plus élevé et plus pur dont Jup
mbole de la guerre. Minerve, du fer de sa lance, ouvrit le sein de la
terre
, et en fit sortir un olivier, symbole de la paix.
haine jalouse. Elle suscita contre elle le serpent Python, et pria la
Terre
de ne donner à sa rivale aucun asile. Alors Neptu
encore une autre origine. Le serpent Python serait né du limon de la
terre
après le déluge de Deucalion, et Apollon l’aurait
t Apollon l’aurait tué, non pour venger Latone, mais pour délivrer la
terre
. Dans le sens allégorique, il est certain que le
urs exhalaisons et purifie l’atmosphère. 35. Exil d’Apollon sur la
terre
. La victoire d’Apollon fut suivie de cruelles
areil fardeau sans violer sa promesse, fait à l’écart un trou dans la
terre
, y dépose à voix basse son fatal secret, et le re
x basse son fatal secret, et le renferme soigneusement. Mais de cette
terre
fraîchement remuée sortirent des roseaux qui répé
érimentée de Phaéton laissa dévier le char de sa route, et embrasa la
terre
. Jupiter le précipita d’un coup de foudre dans le
’autres, l’explication poétique d’une sécheresse qui aurait désolé la
terre
. 37. Apollon, dieu de la poésie ; les Muses.
35. Quels furent les malheurs d’Apollon ? La cause de son exil sur la
terre
? Les disgrâces qu’il y éprouva ? Racontez l’aven
séjours et trois noms distincts. On l’appela Diane ou Artémise sur la
terre
, Phébé ou la Lune au ciel, et Hécate dans les enf
le soleil passe successivement, dans sa marche apparente autour de la
terre
. Ce cercle s’appelle Zodiaque, d’un mot grec (zôo
Cette balance est celle de Thémis, ou encore celle que laissa sur la
terre
la déesse de la justice, retournant au ciel, lors
es qu’il exciterait dans l’Olympe, et les maux qu’il causerait sur la
terre
, voulut le faire périr dès sa naissance. Mais sa
rne et de Cybèle, était la déesse de l’agriculture. Elle parcourut la
terre
, comme on va le voir, enseignant aux hommes l’art
voulait partager le triste séjour, sortant tout à coup du sein de la
terre
, enleva la fille de Cérès et la transporta dans s
umé deux flambeaux aux feux du mont Etna, Cérès se mit à parcourir la
terre
, et la nuit et le jour, demandant partout des nou
l’épouse de Pluton, mais qu’elle passerait six mois de l’année sur la
terre
. On peut reconnaître dans cette ingénieuse histoi
tinée du grain de blé, qui reste enseveli six mois dans le sein de la
terre
et reparaît ensuite pour être moissonné. L’allégo
ruit du travail ; elles consistent surtout dans les productions de la
terre
, qui seules peuvent satisfaire les besoins de l’h
consistaient à faire le tour des champs pour obtenir la fertilité des
terres
et l’abondance des fruits31. Enfin il y avait des
sous la figure d’une femme robuste, pour indiquer la fertilité de la
terre
. Elle tient dans ses mains une gerbe et une fauci
elle allégorie trouve-t-on dans le double séjour de Proserpine sur la
terre
et dans les enfers ? Quelle autre allégorie dans
nstruit, on le confia aux Muses et à Silène, fils de Mercure et de la
Terre
, ou, selon d’autres, de Pan et d’une nymphe. Silè
on, il contribua puissamment à la victoire. Revenu de l’Olympe sur la
terre
, il marcha à la conquête des Indes, mais en héros
ent pleins de joie à un dieu qui leur enseignait l’art de cultiver la
terre
, de faire le vin et d’extraire le miel. C’est l’h
i difforme, que Jupiter d’un coup de pied le précipita du ciel sur la
terre
. Dans cette chute il se cassa la cuisse et resta
n lui certains auteurs ? Chapitre XV. Divinités inférieures de la
terre
. Palès. – Flore. — Pomone. — Priape. — Pan. Terme
ès. — Flore. Les grandes divinités terrestres étaient Cybèle ou la
terre
, Cérès ou l’agriculture, Proserpine ou le blé, Ba
’univers était peuplé de ces divinités. Les Nymphes qui habitaient la
terre
prenaient différents noms suivant leur séjour. Le
ciens n’avaient pas seulement créé des dieux pour chaque partie de la
terre
, ils en avaient placé jusque dans leurs maisons,
Questionnaire. 65. Quelles étaient les divinités supérieures de la
terre
? A quoi présidaient les divinités inférieures ?
ensuite de ce que son frère s’était arrogé l’empire du ciel et de la
terre
, il conspira avec les autres dieux pour le détrôn
. Ce complot ayant échoué, Neptune fut chassé du ciel. Relégué sur la
terre
, il travailla avec Apollon, exilé comme lui, à re
se étendue des eaux ne manqua pas d’être peuplée, comme le ciel et la
terre
, d’une foule d’êtres, aux formes bizarres, nés de
ailes de papillon. 81. Aurore. Aurore, fille de Titan et de la
Terre
, était, selon quelques auteurs, mère des Vents, p
de ses doigts de roses les portes de l’Orient, répand la rosée sur la
terre
et fait croître les fleurs. Questionnaire.
ens avaient des Enfers, le Tartare est aussi avant dans le sein de la
terre
que celle-ci est éloignée du ciel. Une enclume d’
bant du ciel roulerait neuf jours et neuf nuits avant de toucher à la
terre
, et autant de temps avant d’arriver au fond du Ta
es en dérobent l’entrée. Au-dessus sont les fondements éternels de la
terre
et de la mer, les limites du monde, lieux hideux
x âmes des morts le souvenir des maux qu’elles avaient endurés sur la
terre
, et même de ce qu’elles y avaient été ; alors, pa
tre, emblème de son autorité souveraine. Ces juges avaient été sur la
terre
des rois renommés par leur sagesse et leur justic
s, et, pour les atteindre, traversait d’une course rapide le ciel, la
terre
et les mers. C’est ce qu’expriment les ailes, la
? Racontez l’histoire de chacun d’eux, pendant qu’ils étaient sur la
terre
. 85. Comment nomme-t-on les trois Furies ? Commen
e Tartare est peuplé de ces hommes affreux qui, après avoir désolé la
terre
par leur perversité, subissent des châtiments pro
olonté, il voulut l’en punir, et demanda à Pluton de retourner sur la
terre
, promettant de revenir sans délai ; mais il viola
. Titye se rendit coupable d’un crime pareil. Ce géant, fils de la
Terre
, dont le corps couvrait neuf arpents, voulut atte
els, parmi lesquels les Titans, ces fils orgueilleux du Ciel et de la
Terre
, sont enchaînés aux portes mêmes du Tartare. Mais
e bonheur ne s’y compose que des plaisirs du corps et des joies de la
terre
. Ce sont encore des courses de chars, des luttes
té. Les païens ne s’étaient pas contentés de remplir le ciel et la
terre
de leurs faux dieux : ils avaient personnifié de
ite d’Até, ou l’Injure. Celle-ci, altière, présomptueuse, parcourt la
terre
d’un pied léger en blessant les hommes et les die
e cette courte vie, A placé parmi nous deux êtres bienfaisants, De la
terre
à jamais aimables habitants, Soutiens dans les tr
de à sa-source, Ce monstre s’enhardit et s’accroît dans sa course. La
terre
l’enfanta pour se venger des cieux Elle aime à pu
écrasa leur tonnerre, Son front est dans l’Olympe et ses pieds sur la
terre
; Rien ne peut égaler son bruit tumultueux, Rien
d’une force extraordinaire et d’un grand courage, ils parcouraient la
terre
et principalement la Grèce, en la délivrant des m
e cavalier. Depuis ce moment Bellérophon vécut triste et isolé sur la
terre
jusqu’à sa mort53, qui arriva une génération avan
aux que lui avait imposés Eurysthée, Hercule continua de parcourir la
terre
pour la purger des monstres de tout genre, hommes
. En Libye, Hercule vainquit le géant Antée, fils de Neptune et de la
Terre
, roi d’Irasa. Ce monstre avait fait vœu d’élever
rois fois, mais le géant reprenait de nouvelles forces en touchant la
terre
. Enfin le héros le souleva en l’air et l’étouffa
dans l’horreur de la guerre, Centaures ni Géants, fiers enfants de la
terre
, Ce que tout l’univers n’osa jamais tenter, Une f
onna pour épouse Hébé, déesse de la jeunesse. Hercule avait eu sur la
terre
, de ses diverses femmes, un grand nombre d’enfant
Le commandement fut d’abord déféré à Hercule ; mais quand il eut pris
terre
en Mysie, pour aller à la recherche du jeune Hyla
n vœu fait par Orphée. On entra ensuite dans l’Hellespont, et on prit
terre
un peu au delà de la Troade. Ce fut alors qu’Herc
’on puise toujours l’orgueil avec le sang. Inconnu dans le sein d’une
terre
étrangère, Je me croyais encore au trône de mon p
urs ennemis. Lorsqu’il fut sorti d’un bois consacré aux Euménides, la
terre
s’entrouvrit pour le recevoir, et il disparut dan
ne et de Rhéa, eut pour femme Isis, sa sœur. Descendus du ciel sur la
terre
, les deux époux régnèrent en Egypte, fondèrent la
ypte, dont il laissa le gouvernement à Isis, et se mit à parcourir la
terre
, à la tête d’une armée nombreuse, soumettant les
oir et de la science. Dans ce système, Isis serait la lune, l’air, la
terre
et surtout l’Egypte, fertilisée par le Nil. On la
a nature, les tempêtes, les foudres, les volcans, les tremblements de
terre
, les maladies, les vices, sont l’œuvre d’Ahriman.
riman. Son séjour est dans les enfers ; c’est de là qu’il vint sur la
terre
pour corrompre, sous la forme d’un serpent, Mesch
eu de branches, de couples humains dont les descendants peuplèrent la
terre
. Mais la lutte entre Ormuzd et Ahriman ne doit du
divisa en deux parties : la première forma le ciel, et la seconde la
terre
, entre lesquels, il plaça l’éther. Il créa ensuit
ensuite les astres, les plantes, les arbres et les animaux. Quand la
terre
fut ainsi préparée pour recevoir l’espèce humaine
rible au peuple entier, Les parias ; le jour à regret les éclaire, La
terre
sur son sein les porte avec colère, Et Dieu les r
is à reprendre sa place au séjour divin, Brahma parut, dit-on, sur la
terre
sous plusieurs formes successives. D’abord, sous
nt plus nombreuses que celles de Brahma, parce que chaque fois que la
terre
était menacée de quelque grand malheur, il venait
poisson, atteint le géant au fond des eaux, le tue et rapporte sur la
terre
les livres sacrés. 2° Une lutte terrible s’était
uction. 3° Peu après, un énorme géant, nommé Poladas, ayant aplati la
terre
, la roula comme une feuille de papier, et l’empor
glier, poursuivit le géant, le défit, et rapporta sur ses défenses la
terre
à sa place accoutumée. 4° Un autre géant, nommé H
aille si prodigieuse, qu’un de ses pas mesurait toute l’étendue de la
terre
. Il posa l’autre sur la tête du géant, qu’il préc
géant, qu’il précipita dant l’abîme. Vichnou vint ensuite habiter la
terre
, à deux époques différentes, pour défendre les ho
ne et expire à l’instant. 9° La dernière apparition de Vichnou sur la
terre
eut lieu sous le nom de Bouddha75, le saint, le s
encement des temps, le créateur Allfadher (père de tout) produisit la
terre
glacée de Nifleim et la terre brûlante de Muspelh
r Allfadher (père de tout) produisit la terre glacée de Nifleim et la
terre
brûlante de Muspelheim. Leur contact engendra des
céleste, de l’arc-en-ciel, par lequel les dieux communiquent avec la
terre
. Les sens de ce dieu sont si subtils qu’il aperço
Frigga ou Frya, fille de Niord et épouse d’Odin. Comme emblème de la
terre
, elle recueille les dépouilles mortelles des homm
om était écrit kao. 5. « Au commencement Dieu a créé le ciel et la
terre
, et la terre était inutile, informe, vide, invisi
t kao. 5. « Au commencement Dieu a créé le ciel et la terre, et la
terre
était inutile, informe, vide, invisible, confuse.
d’autres, de la Nuit et de l’Achéron. Sophocle les fait naître de la
Terre
et des Ténèbres ; Epiménide les suppose sœurs de
présidait aux richesses qui sont renfermées dans les entrailles de la
terre
. Adès veut dire sombre et triste. Orcus paraît ve
43. Les anciens plaçaient les Champs-Elysées, soit au centre de la
terre
, soit aux îles Canaries, qu’ils appelaient îles F
de Salem, était le pontife du Dieu Très-Haut qui a fait le ciel et la
terre
. Abimélech, roi de Gérare et son successeur qui p
nt le pied de la tour de Babel pour se disperser sur la surface de la
terre
, les enfants de Noé oublièrent le vrai Dieu pour
a vapeur qui produit le tonnerre, C’est Jupiter armé pour effrayer la
terre
. Un orage terrible aux yeux des matelots, C’est N
ieux. On appelait Chaos cette masse informe dans laquelle le ciel, la
terre
, la mer et tous les éléments fuient confondus pen
in, des ailes de chauve-souris et un manteau parsemé d’étoiles. 5. La
Terre
parut ensuite. Elle enfanta le Ciel, Uranus, avec
ter. Ce qui signifie sans doute que ce sont les vapeurs sorties de la
terre
qui produisent le tonnerre et les éclairs. 6. Enf
es de la terre qui produisent le tonnerre et les éclairs. 6. Enfin la
Terre
épousa Uranus et de cette monstrueuse alliance na
? Comment était-elle représentée ? 5. Quels furent les enfants de la
Terre
? Pourquoi dit-on qu’elle donna le jour aux Cyclo
le jour aux Cyclopes ? 6. Quels furent les enfants d’Uranus et de la
Terre
? Chapitre II. Saturne ou le Temps. 1. Ura
précipitait, à mesure qu’ils naissaient, dans les sombres abîmes. La
Terre
son épouse, indignée de cette barbarie, produisit
aisait point la guerre, Le blé, pour se donner, sans peine ouvrant la
terre
, N’attendait pas qu’un bœuf pressé par l’aiguillo
ir de cet âge d’or, où la liberté régnait avec l’égalité sur toute la
terre
, si des désordres affreux et d’épouvantables excè
allégorique qui représente le Temps. On le dit fils du Ciel et de la
Terre
, parce que le temps n’a commencé qu’avec la créat
ortes d’avantages aux mortels, et Tellus parce qu’elle présidait à la
terre
, comme Saturne au ciel. Enfin on la surnommait Rh
ommait Rhéa, d’un mot grec qui signifie couler, parce que c’est de la
terre
que tous les biens découlent. 2. On représentait
elle tenait des clefs dans ses mains pour marquer les trésors que la
terre
renferme dans son sein ; elle portait un tambour,
tempêtes ; ses vêtements étaient verts par allusion à la parure de la
terre
au printemps, et le char où elle était montée éta
it montée était traîné par des lions, pour figurer le mouvement de la
terre
balancée dans les airs par son propre poids. 3. L
e Vesta, la déesse du feu. On distingua trois divinités de ce nom, la
Terre
, femme d’Uranus ou du Ciel et mère de Saturne, Cy
il jouissait en paix de son souverain pouvoir, les géants, fils de la
Terre
, l’attaquèrent avec une force et une vigueur extr
u soleil une étincelle pour les animer. Le souverain du ciel et de la
terre
, irrité de tant d’audace, chargea Vulcain d’attac
s les maux de la nature qui y étaient renfermés se répandirent sur la
terre
. L’espérance seule resta au fond. C’est ce que Ro
dultère D’adversité dont l’influence altère Les plus beaux dons de la
terre
et des cieux ? L’antiquité nous met devant les ye
dangereux. Fatal désir de voir et de connaître ! Elle l’ouvrit, et la
terre
en vit naître, Dans un instant, tous les fléaux d
ici ces actions infâmes qui supposent dans le maître du ciel et de la
terre
les passions les plus viles et les plus odieuses.
ait dégradé. 8. Dans les voyages que les poëtes lui font faire sur la
terre
pour éprouver la vertu des hommes, Jupiter ne man
tres contrées, Jupiter fut frappé de la corruption qui régnait sur la
terre
. Dans son courroux, il résolut la perte du genre
lie. A sa voix, tous les éléments de la nature se déchaînèrent sur la
terre
, le tonnerre se fît entendre, les vents mugirent,
t Parnasse en Béotie. L’oracle leur ayant commandé, pour repeupler la
terre
, de se couvrir la tête d’un voile et de jeter der
ière eux les os de leur aïeule, ils crurent que cette aïeule était la
terre
, les os des pierres, et firent ce que le dieu leu
vait des temples chez toutes les nations et des oracles dans toute la
terre
. On lui sacrifiait des chèvres, des brebis et de
de Philémon et de Baucis ? 10. Pour quel motif Jupiter inonda-t-il la
terre
? Comment Deucalion et Pyrrha furent-ils sauvés ?
calion et Pyrrha furent-ils sauvés ? Que tirent-ils pour repeupler la
terre
? 11. Quels rapports y a-t-il entre ces fables et
ses compagnes dans la plaine d’Enna en Sicile. Il l’enleva, frappa la
terre
de son trident et descendit avec elle aux enfers.
ait été métamorphosée en une fontaine dont les eaux se perdaient sous
terre
, avait vu passer le dieu avec sa proie. Elle en a
ne sortirait chaque année du noir séjour et passerait six mois sur la
terre
. 3. Cérès donna aussi naissance à Plutus, le dieu
ses voyages, la bonne déesse enseigna aux hommes l’art de cultiver la
terre
, et mérita d’être adorée comme la déesse de l’agr
e fils de Cérès ? 4. Pourquoi la bonne déesse fut-elle honorée sur la
terre
? Quelles sont les fêtes établies en son honneur
endant plusieurs années le dieu exilé se vit contraint de voyager sur
terre
. 3. Il garda d’abord les troupeaux d’Admète, roi
pas à s’écarter de sa route accoutumée, et Phaéton allait embraser la
terre
entière, lorsque Jupiter le frappa de sa foudre e
au trop lourd pour la discrétion du zélé serviteur. Il fit un trou en
terre
, se pencha dessus et prononça à voix basse les pa
férents. Ainsi on la nommait Lune ou Phébé dans le ciel, Diane sur la
terre
, et Hécate dans les enfers. Au ciel elle conduisa
e dans les enfers. Au ciel elle conduisait le char de la lune, sur la
terre
elle présidait à la chasse, et aux enfers elle ét
ciel composent votre cour. En descendant des cieux vous venez sur la
terre
Régner dans nos vastes forêts ; Votre noble l
it jeté sur elle et sur ses nymphes des regards indiscrets. 3. Sur la
terre
on la vénérait comme la déesse de la chasse. La f
rincipales fonctions ? Quels noms lui donnait-on dans le ciel, sur la
terre
et dans les enfers ? 2. Comment les poëtes la sur
-t-elle au chasseur Actéon ? 3. Sous quel titre la vénérait-on sur la
terre
? Comment était-elle représentée ? 4. Quel était
it le plus utile présent aux compagnons de Cécrops. Neptune frappa la
terre
de son trident, et il en sortit un coursier magni
ous les dieux furent dans l’admiration. Minerve de son côté ouvrit la
terre
avec sa lance, et l’on en vit soudain sortir un o
s qui la retinrent longtemps captive sur un trône entre le ciel et la
terre
. En vain les autres divinités cherchèrent-elles à
issance. Sémélé ne put soutenir la majesté du maître du ciel et de la
terre
, et tomba frappée de mort. Jupiter sauva le jeune
rs, et, partout où il passait, il enseignait aux hommes à labourer la
terre
et à cultiver la vigne. Ce dernier trait, sur leq
délicieux s’élevèrent dans les environs de Paphos et d’Amathonte ; la
terre
se couvrit de verdure, des ruisseaux limpides cou
ue Vénus quittait souvent le séjour des dieux pour se promener sur la
terre
. Elle montait alors sur un char formé par des coq
bres royaumes pendant six mois de l’année et qu’il reviendrait sur la
terre
. On fit de ce mortel privilégié une espèce de die
présentées ? 5. Que dit la fable des voyages que Vénus faisait sur la
terre
? Quelle fut la destinée d’Adonis ? 6. Quelle grâ
hommes divinisèrent et qu’ils dirent naître du Ciel (Uranus) et de la
Terre
(Titéa). L’Océan épousa Téthys, et de leur allian
iration contre le souverain des dieux, Neptune avait été exilé sur la
terre
où il eut beaucoup à souffrir de la perfidie de L
t consacré à ce dieu, parce qu’on dirait qu’il l’avait fait sortir de
terre
d’un coup de trident. On lui immolait aussi des t
? Qui lui donna l’empire des mers ? Quelles furent ses aventures sur
terre
? 4. Qui épousa Neptune ? Comment obtint-il la ma
enfers. Les païens se figuraient le palais de ce dieu au centre de la
terre
et le croyaient entouré de murs impénétrables et
ononcer sur leur destinée. Ces trois personnages avaient régné sur la
terre
. Minos avait été roi de Crète et avait fait le bo
rès avoir ainsi oublié toutes les peines qu’elles avaient eues sur la
terre
, elles se livraient aux occupations qui leur offr
ans l’activité et le travail. 10. Le dieu des enfers était haï sur la
terre
. Il eut peu de temples, et l’on ne lui sacrifiait
tu, soit parce qu’elles sortent, comme tous les métaux, du sein de la
terre
. Questionnaire. 1. Qu’était Pluton ? Qui lui
és subalternes n’habitaient pas dans le ciel, elles résidaient sur la
terre
, et c’est pour ce motif qu’on les plaçait dans un
ble d’énumérer toutes les divinités particulières que renfermaient la
terre
, la mer et les enfers. Les érudits les comptaient
Chapitre I. Des divinités champêtres. 1. Après avoir divinisé la
terre
sous le nom de Cybèle, les païens eurent une foul
e d’autres divinités du second ordre qui présidaient à tout ce que la
terre
enfante et produit. Parmi cette multitude de divi
s une corne d’abondance, en signe des bienfaits qu’elle répand sur la
terre
, et elle est couronnée de feuilles de vigne et de
la main en signe de folie. 5. L’Aurore était fille du Soleil et de la
Terre
, et, selon quelques poëtes, elle était mère des V
e partie. Des divinités allégoriques. Non contents de diviniser la
terre
et ses productions, le ciel et tous ses phénomène
a Justice, appelée Thémis par les Grecs, était fille du Ciel et de la
Terre
. Les poëtes ont fait naître de Thémis l’Equité, l
it aussi à la justice. On disait qu’elle avait fixé son séjour sur la
terre
pendant l’âge d’or et qu’elle en avait été ensuit
laçait sur un globe, pour montrer que son empire s’étend sur toute la
terre
. On lui offrait des fruits, des fleurs et des cou
et jura quelle n’y rentrerait plus. Depuis ce temps Até parcourut la
terre
avec une effrayante rapidité, semant partout les
de l’allégorie, le récit de la malédiction portée par Dieu contre la
terre
après la chute du premier homme. Cette touchante
meurt en naissant dans son germe infecté ; Les épis renversés sur la
terre
languissent ; Le ciel s’en obscurcit, les astres
isme a ennoblie, était elle-même placée parmi les dieux funestes à la
terre
. On la faisait naître du Luxe et de la Paresse qu
dorateurs la discrétion. 6. La Renommée était fille de Titan et de la
Terre
et messagère de Jupiter. Elle publiait dans l’uni
ux, Dont la voix ressemble, au tonnerre, Et qui des pieds touchant la
terre
, Cache sa tête dans les cieux ? C’est l’inconsta
palais de la Renommée : « Au milieu de l’univers, entre l’Océan, les
terres
et les plaines célestes, aux confins de ces trois
e elle-même voit ce qui se passe dans le ciel, dans l’Océan et sur la
terre
, et son regard scrutateur interroge tout l’univer
racer sur la pleine un pénible sillon. Aussitôt du sein de la
terre
Tes yeux verront de toutes parts
La lutte fut terrible parce que toutes les fois qu’Anthée tombait, la
Terre
, sa mère, lui donnait de nouvelles forces. Hercul
s flots, Des airs, en ce moment, a troublé le repos, Et du sein de la
terre
une voix formidable Répond, en gémissant, à ce cr
trembler le rivage. Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La
terre
s’en émeut, l’air en est infecté, Le flot qui l’a
Thésée et de tous les autres demi-dieux. Comme eux, ils purgèrent la
terre
des monstres et des brigands qui la remplissaient
rande bonté. Un coup de tonnerre l’avertit de sa fin prochaine, et la
terre
s’entrouvrit doucement pour le recevoir. 7. Les f
le foudroya et le fit entrer avec son char dans les entrailles de la
terre
. Calchas, qui devait à Apollon la connaissance du
ndeur des génies bienfaisants (devatas). Ensuite il fit le ciel et la
terre
, le soleil et la lune, et forma les sept régions
r sauver Manou du déluge ; une seconde, en sanglier, pour soulever la
terre
du fond des eaux ; une troisième, en tortue, pour
ce du Soleil ; une septième, en la personne de Rama, pour délivrer la
terre
des tyrans qui l’opprimaient ; une huitième, en l
ture ; enfin on en voit qui passent des journées entières étendus par
terre
se laissant baigner par la pluie qui tombe par to
me inspirés les livres des Védas. Ils se donnent pour les dieux de la
terre
, et prétendent sérieusement que quand Brahma voul
historiens rapportent qu’ils adoraient les éléments, comme le feu, la
terre
et l’eau ; mais les Parses ou les Parsis, leurs d
prémunir les Juifs contre les séductions qu’ils trouveraient dans la
terre
étrangère, leur écrit une lettre où il fait la de
les herbes vénéneuses et tout ce qui leur paraissait nuisible sur la
terre
, étaient au contraire à leurs yeux le produit du
du pont par les saints anges (izeds), où elle est introduite dans une
terre
de délices ; mais, si elle a mal vécu, elle reste
la métempsycose, et ne voyaient dans le soleil, la lune, le ciel, la
terre
, le Nil et toute la nature, que le reflet de la D
igure d’un taureau ou d’un bœuf ; Isis au contraire était la lune, la
terre
, le principe passif, et il lui donnait pour symbo
sant, le roi de la mort et de la destruction, et Nephtys, sa sœur, la
terre
inféconde, la sécheresse et la stérilité. 3. La f
utiles. Les Egyptiens disaient qu’il leur avait appris à cultiver la
terre
, à planter la vigne, à faire le vin, à employer l
vaient aussi que la mort ne rompt point les rapports du ciel et de la
terre
, et qu’au delà de la tombe le juste s’intéresse t
ensait que les ombrés descendaient de leurs nuages pour annoncer à la
terre
un bon ou un mauvais succès. Le montagnard croyai
allait cueillir le samolus à jeun et de la main gauche, l’arracher de
terre
sans le regarder, et le jeter de la même manière
ient dans une saie blanche ; car il ne fallait pas qu’elle touchât la
terre
. Alors on immolait deux taureaux blancs dont les
subalternes, et ils croyaient que ces intelligences présidaient à la
terre
, à l’eau, à l’air, au feu, au soleil, à la lune,
passait pour un pont au moyen duquel les dieux communiquaient avec la
terre
. Odin embrassait de son regard immense tout l’uni
iance avec Odin était pour eux le symbole de l’union du ciel et de la
terre
. La mythologie islandaise place sous sa dépendanc
euillage, et, après avoir rafraîchi ses branches, elle retombe sur la
terre
, où elle forme la rosée dont les abeilles compose
ni mer, ni rivage, ni zéphyrs rafraîchissants. On ne voyait point de
terre
en bas, ni de ciel en haut ; tout n’était qu’un v
èrent le globe ; de son sang ils formèrent la mer et les fleuves ; la
terre
, de sa chair ; les grandes montagnes, de ses os ;
rs furent distingués, et les années eurent leur nombre. Ils firent la
terre
ronde, et la ceignirent du profond Océan, sur les
’est descendue la race des hommes qui a eu la permission d’habiter la
terre
. » [Translator : Mennechet] [Sturluson] 7. Au m
Loup, Fenris, et le Serpent, Migdard, dont les anneaux enveloppent la
terre
. Tous ces génies malfaisants, dit l’Edda, seront
d’Œdipe, 138. Antiope, ép. de Lycus, 134. Anthée, géant, fils de la
Terre
, 115. Anthela, bourg, 154. Anubis, chien, div.
17 et suiv. Cyclades, îles de la Médit., 127. Cyclopes, fils de la
Terre
, 13, 32, 50. Cygne, métam. d’Orphée et const., 1
attaquent la Grèce, 75 ; leur religion, 182, 183. Géants, fils de la
Terre
, 24 ; explication de leur fable, 25. Gémeaux, co
pe, 152. Terme, son culte, 79. Terminales, fêtes du dieu Terme 80.
Terre
, son hist., 43 ; mère d’Anthée, 115. Terreur, ha
ésias, devin, 110, 140, 159. Tisiphone, furie, 71. Titéa, nom de la
Terre
, 61. Tithon, époux de l’Aurore, 85. Titan, fils
m de la Terre, 61. Tithon, époux de l’Aurore, 85. Titan, fils de la
Terre
, son hist., 13, 14. Titans ou Géants, 21, 25, 72
fus de tous les éléments. Le soleil et la lune n’éclairaient pas ; la
terre
n’était point suspendue au milieu de l’espace, et
parurent le soleil, la lune, les étoiles, les animaux de l’air, de la
terre
et des mers, et enfin l’homme. On vit d’abord fle
t enfin l’homme. On vit d’abord fleurir l’innocence et la justice. La
terre
produisait sans culture, et des fleuves de lait e
pureté, fut condamné à se vêtir, à bâtir des maisons et à cultiver la
terre
[Fig. 7]. Il fut suivi de l’âge d’airain, où comm
, résolut de les exterminer par un déluge universel. La surface de la
terre
fut inondée, et le genre humain périt tout entier
quelque temps le sens de ces paroles, comprit qu’il s’agissait de la
terre
, mère commune des hommes, et des pierres de la te
s’agissait de la terre, mère commune des hommes, et des pierres de la
terre
, qui sont comme les os de ce grand corps. Ils en
s hommes, et celles de Pyrrha furent changées en femmes [Fig. 11]. La
terre
, ainsi repeuplée, vit renaître les arts et le cul
us la figure d’un vieillard aveugle, ayant un pied sur le globe de la
terre
, et la tête surmontée d’une couronne d’étoiles, p
onne d’étoiles, pour indiquer que tout lui était soumis : le ciel, la
terre
et les enfers. Il tenait en main un livre ou une
tés, après le Destin, étaient Uranus ou Cœlus (le Ciel) et Tellus (la
Terre
), qu’on appelait aussi Titéa. Uranus épousa la Te
l) et Tellus (la Terre), qu’on appelait aussi Titéa. Uranus épousa la
Terre
, et de leur mariage naquirent les Titans, géants
sa les peuples encore sauvages de l’Italie, leur apprit à cultiver la
terre
, et fit fleurir chez eux l’abondance et la paix.
son règne furent troublés par la révolte des Géants 7, enfants de la
Terre
, qui tentèrent d’escalader le ciel en entassant m
it les feux que lance ce volcan, et qu’il causait des tremblements de
terre
toutes les fois qu’il voulait changer de place. A
. Prométhée, fils du Titan Japet, ayant formé un homme du limon de la
terre
, monta au ciel par le secours de Minerve, et y dé
happèrent aussitôt tous les maux qui depuis n’ont cessé de désoler la
terre
[Fig. 26] : il ne resta au fond que l’Espérance 9
e déesse était d’une humeur querelleuse, il descendait souvent sur la
terre
pour s’y désennuyer10. On se figurait ce dieu ave
es déployées [Fig. 27]. D’un signe de tête il ébranlait le ciel et la
terre
. [Fig. 27] Il avait des temples dans toutes le
Boileau , (trad. d’ Homère.) On lui attribuait les tremblements de
terre
; témoin cet autre passage d’ Homère : L’enfer s
e son trident ne fasse entrer le jour, Et, par le centre ouvert de la
terre
ébranlée, Ne fasse voir du Styx la rive désolée ;
i était-ce une impiété chez les anciens que de ne pas jeter un peu de
terre
sur un cadavre qu’on rencontrait sur une route ou
s, Eaque et Rhadamanthe, juges incorruptibles, qui avaient été sur la
terre
des rois renommés par leur sagesse et leur justic
a longtemps avec Bacchus, enseignant aux hommes l’art d’ensemencer la
terre
. Inconsolable de la perte de sa fille Proserpine,
upiter le trouva si laid, qu’il le précipita d’un coup de pied sur la
terre
; dans sa chute il se cassa la cuisse, et il rest
it son nom. Le dieu des eaux, d’un coup de son trident, fit sortir de
terre
un cheval, emblème de la guerre ; et Minerve, d’u
la médecine et des beaux-arts, était fils de Jupiter et de Latone. La
Terre
avait promis à Junon de ne donner aucun asile à c
xa l’île de Délos, qui flottait alors dans la mer, et sur laquelle la
Terre
n’avait aucun droit. Latone s’y réfugia sous la f
avait trois fonctions, trois séjours et trois noms différents. Sur la
terre
, on l’appelait Diane, et elle présidait à la chas
r. Suivant Hésiode, l’Amour était, avec le Chaos, le Tartare et la
Terre
, un des quatre grands principes des êtres. Dans l
le représenta d’abord sous la forme d’une borne ou d’un pieu fiché en
terre
; dans la suite on lui donna une tête humaine pla
u plus agile. Thémis et Astrée. Thémis, fille du Ciel et de la
Terre
, présidait à la justice. On la représentait avec
Astrée, sa fille, descendit du ciel, dans l’âge d’or, pour habiter la
terre
. Au commencement de l’âge d’airain, elle retourna
essité. La Nécessité, déesse inflexible, était adorée par toute la
terre
. Sa puissance était si grande, que Jupiter lui-mê
, soit d’un mortel et d’une déesse, ou qui s’étaient illustrés sur la
terre
par de grandes vertus et des talents supérieurs.
Cadmus vengea leur mort en tuant le monstre, dont il sema les dents à
terre
par le conseil de Minerve. Des hommes armés en so
bois consacré aux Euménides [Fig. 99]. C’est là qu’il disparut de la
terre
, au milieu des foudres et des éclairs. [Fig. 99
e. Les vents le conduisirent ensuite sur les côtes de Sicile, sur les
terres
des Cyclopes, géants monstrueux, qui vivaient san
’ils conservent encore, et que l’Afrique perdit sa verdure. Enfin, la
Terre
, se voyant périr, implore le secours de Jupiter,
oujours de la foudre dont Phaéton fut frappé, se contente de raser la
terre
, et la haine qu’il a conçue pour le feu lui fait
s lacs et les étangs. Calisto. Lorsque Jupiter descendit sur la
terre
pour éteindre le feu que le char du Soleil y avai
ierre de touche. La nymphe Écho. Écho, fille de l’Air et de la
Terre
, nymphe de la suite de Junon, avait encouru par s
la dernière syllabe des mots qui lui étaient adressés. Exilée sur la
terre
, elle vit Narcisse et l’aima sans pouvoir s’en fa
ecret lui pesa. N’osant le confier à personne, il fit un trou dans la
terre
, et y dit tout bas : « Midas, le roi Midas a des
as : « Midas, le roi Midas a des oreilles d’âne. » Puis il remplit de
terre
le trou, comme pour y enfermer ses paroles. Peu d
, qui n’avait pu la secourir pendant l’obscurité, arrosa de nectar la
terre
qui recouvrait le corps de Leucothoé, et l’on en
ne lui témoigna que du mépris. Alors, dans sa douleur, elle se jeta à
terre
, renonçant à tout aliment, et les yeux tournés ve
l. Alphée et Aréthuse. Après avoir en vain cherché par toute la
terre
sa fille Proserpine, Cérès était retenue en Sicil
du blé. Elle brise les charrues, fait périr les bœufs et condamne la
terre
à une affreuse stérilité. Une naïade, nommée Arét
e Aréthuse, sort alors du fond des eaux, et représente à Cérès que la
terre
n’est point coupable de l’enlèvement de sa fille,
de ce dieu, que Proserpine passerait alternativement six mois sur la
terre
et six mois dans le séjour de son époux. À son re
che encore à me poursuivre ; et, Diane m’ayant ouvert un passage sous
terre
, je suis venue me réfugier dans cette contrée, et
esse. Apollon et Diane, à la prière de leur mère, descendirent sur la
terre
et tuèrent à coups de flèches la famille entière
sang. Effrayée, elle veut s’enfuir ; mais ses pieds s’attachent à la
terre
, et elle est elle-même métamorphosée en lotos. El
s Soient portés en cent lieux par la Nymphe aux cent voix ? Qu’ont la
terre
et la mer, si l’on n’ose décrire Ce qu’il faut de
ux. « Au commencement, dit l’ écrivain sacré, Dieu créa le ciel et la
terre
. Mais la terre était informe et stérile ; les tén
cement, dit l’ écrivain sacré, Dieu créa le ciel et la terre. Mais la
terre
était informe et stérile ; les ténèbres couvraien
la Genèse (ch. VI, v. 4) : « Il y avait en ce temps des géants sur la
terre
. » 8. La fable de Prométhée est visiblement une
vant les livres saints, Dieu forma le corps de l’homme du limon de la
terre
et y souffla son esprit pour l’animer. 9. L’allé
n de blé qui reste d’abord enfoui pendant six mois dans le sein de la
terre
. 20. Aphrodite, surnom de Vénus, vient d’un mot
s premiers étoient placés au ciel, ou tenoient le premier rang sur la
terre
, dans la mer et aux enfers ; comme Saturne, Cybèl
mphitrite, Pluton, Proserpine, etc. Les seconds étoient placés sur la
terre
, dans la mer et aux enfers, mais n’y tenoient qu’
ses arrêts : Il voit sous les yeux de Cérès Croître les trésors de la
terre
: Il reconnoît le dieu des mers, A ces sons qui c
a vapeur qui produit le tonnerre, C’est Jupiter armé pour effrayer la
terre
; Un orage terrible aux yeux des matelots, C’est
conviennent que c’étoit une masse informe, dans laquelle le ciel, la
terre
, la mer, et tous les élémens se trouvoient confon
gabonde en ses flots inconstans Mit à couvert ses muets habitans : La
terre
enfin, cette tendre nourrice, De tous nos biens s
ivinité allégorique, représentée tenant sous ses pieds le globe de la
terre
, et dans ses mains une urne dans laquelle est ren
e, D’un bras de fer courbe le front des rois, Tient sous ses pieds la
terre
assujétie, Et dit au Tems : « Exécute mes lois ».
le Fuit, et revient sans cesse à ce palais terrible ; Et de-là sur la
terre
il verse à plaines mains Et les biens et les maux
enez, troupe choisie, Goûter en paix la céleste ambroisie, Loin d’une
terre
importune à nos yeux ; Et chez le Ciel, père comm
vos haines, Ni que je veuille, au gré de vos chagrins, Abandonner la
Terre
à ses destins. Aux dieux créés les passions permi
rement le règne de Saturne : on vivoit alors dans l’innocence ; et la
terre
produisent d’elle-même, sans avoir besoin d’être
terre produisent d’elle-même, sans avoir besoin d’être cultivée : La
Terre
féconde et parée, Marioit l’Automne au Printems :
é du ciel, se réfugia dans l’Italie, et y enseigna l’agriculture ; la
terre
devenant moins féconde à proportion que les homme
t l’abondance, Disparaissent les saints autels ; Déjà Phœbus brûle la
terre
: Borée à son tour la resserre ; Son sein épuise
eurtre usurpe des lauriers. Lamotte. L’Age de fer est le tems où la
terre
, souillée par des crimes, ne produisoit plus rien
poëtes feignent que, pendant l’Age d’or, tous les dieux habitoient la
terre
, et contribuoient à rendre les hommes heureux, en
s de vertus : Pendant la courte durée De cet Age radieux, Qui vit la
terre
honorée De la présence des Dieux, L’homme instrui
le. Cybèle, épouse du Ciel, mère de Saturne, étoit la déesse de la
terre
, et la mère de tous les dieux ; c’est pourquoi on
pourquoi on l’appelle la grande mère. On lui attribue la fécondité de
terre
: J’y vois de toutes parts, prodigue en ses larg
faut point la confondre avec une autre Cybèle, fille du Ciel et de la
terre
, épouse de Saturne, et plus connue sous le nom de
te durée. Gresset. On suppose que cette seconde Cybèle régna sur la
terre
avec Saturne ; et on, lui attribue souvent le bon
es jouissoient pendant l’Age d’or : Et si l’aimable Cybèle Sur cette
terre
infidèle Daignoit redescendre encor, Pour faire v
e, l’en chassa peu de tems après et se rendit maître du ciel et de la
terre
. Il épousa Junon, sa sœur ; partagea avec ses frè
Mais ton vaste empire comprend. Les cieux, l’enfer, la
terre
et l’onde : Les dieux ont partagé le mond
ouvoir plus grand. Fontenelle. Les Titans, ou les Géans, fils de la
Terre
et de Titan, entreprirent de rétablir leur père s
e Climène, voulant imiter le plus grand des dieux, fit des statues de
terre
, et, pour les animer, monta au ciel par le secour
te ; et tous les maux, qui y étoient renfermés, se répandirent sur la
terre
: Ignores-tu donc encore Que tous les fléaux tir
ltère D’adversités, dont l’influence altère Les plus beaux dons de la
terre
et des cieux ? L’antiquité nous mit devant les ye
angereux. Fatal désir de voir et de connoître ! Elle l’ouvrit ; et la
terre
en vit naître, Dans un instant, tous les fléaux d
ns vos nobles chansons ; Il est tout, il remplit les deux, l’onde, la
terre
, Il dispense à nos champs les jours et les moisso
œur du maître du tonnerre ! Moi, la reine des dieux, du ciel et de la
terre
! Ah ! périsse ma gloire ; et faisons voir à tous
i persécutoit Latone, au point de ne lui laisser aucun endroit sur la
terre
où elle pût s’arrêter. Esculape, fils d’Apollon,
Tantôt le Soleil embrase le ciel ; tantôt il s’approche si près de la
terre
, qu’il lui fait craindre une combustion prochaine
; Et l’Hélicon, jadis mon séjour ordinaire, Aujourd’hui me paroît une
terre
étrangère. Campistron. Pégase est un cheval aîl
à Delphes, ville de la Phocide, qui passoit pour être le milieu de la
terre
; à Délos, isle de la mer Egée, lieu de la naissa
oit couvert de la peau de Python, serpent horrible, né du limon de la
terre
, après le déluge de Deucalion, et qu’Apollon tua,
ple Hécate. On l’appelle la Lune ou Phébé dans le ciel ; Diane sur la
terre
; Hécate dans les enfers. Les trois fonctions qui
ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vous venez sur la
terre
Régner dans les vastes forêts ; Votre nob
t changé en lion, pour les combattre : C’est lui qui, des fils de la
Terre
Châtiant la rébellion, Sous la forme d’un fier li
es dieux, mais sur-tout de Jupiter : Moi qui suis, comme on sait, en
terre
et dans les cieux, Le fameux messager du souverai
t sur son origine ; les uns disent qu’elle est fille du Ciel et de la
terre
; les autres, qu’elle doit le jour à Jupiter et à
ant, si tendre et si cruel, Porte en sa foible main les destins de la
terre
; Donne avec un souris, ou la paix, ou la guerre,
voit éclore Et les fruits de Pomone, et les présens de Flore ; Et la
terre
n’attend, pour donner ses moissons, Ni les vœux d
t Vulcain qui fait le tonnerre, Dont le maître des Dieux épouvante la
terre
. Lamotte. II avoit sous ses ordres les Cyclopes
qu’un œil au milieu du front. Les uns étoient enfans du Ciel et de la
Terre
; et les autres, de Neptune et d’Amphitrite. Les
précipite avec lui. Rousseau. Après que les dieux eurent quitté la
terre
, on prétend que le Ciel envoya Minerve habiter pa
belle et la plus utile. Minerve, d’un coup de lance, fit sortir de la
terre
un olivier tout fleuri ; Neptune, d’un coup de so
e dans ces détails, en supposant que les dieux, fatigués d’habiter la
terre
, retournent au ciel où ils doivent recevoir leur
vos haines, Ni que je veuille, au gré de vos chagrins, Abandonner la
terre
à ses destins. Aux dieux créés les passions permi
s rivières et des fontaines. Il épousa Thétys, fille du Ciel et de la
Terre
, dont il eut Nérée et Doris qui se marièrent ense
des dieux, mon père !… Cris impuissans et vains regrets ! Au char la
terre
ouvre une voie, Et déjà le Styx voit la proie Que
ssissoit que des larmes des méchans. Achéron, fils du Soleil et de la
Terre
, ayant fourni de l’eau aux Titans, lorsqu’ils fai
vant leur mort. Hercule l’enchaîna, et s’en fit suivre jusques sur la
terre
, quand il retira des enfers Alceste, épouse d’Adm
uivirent Achille au siège de Troie. Ces deux juges avoient été sur la
terre
des rois judicieux, équitables ; et on les crut d
son frère, De Jupiter tous deux fils adorés, Et tous deux rois sur la
terre
honorés. Rousseau. Rhadamante, roi de Lycie, fi
. Seconde partie de la Fable. Des Dieux du second Ordre. La
Terre
avoit ses dieux, ainsi que le ciel, la mer et les
terrestres, nous ne comprendrons pas seulement celles qui habitent la
terre
, mais encore celles qui y ont quelque rapport. Ce
de l’enlèvement de sa fille Proserpine, qu’elle chercha par toute la
terre
, sans prendre aucun repos. On dit qu’elle avoit p
a main. La Nuit est la déesse des ténèbres, et fille du Ciel et de la
Terre
. On la représente en long habit de deuil, parsemé
emme qui tient un doigt sur la bouche. Thémis, fille du Ciel et de la
Terre
, est la déesse de la justice. Elle a eu deux enfa
Elle se réfugie dans le Ciel, quand la guerre vient la chasser de la
terre
: Aimable Paix, vierge sacrée, Descends de la vo
eux. Dont la voix ressemble au tonnerre, Et qui des pieds touchant la
terre
, Cache sa tête dans les cieux ? C’est l’inconsta
meurt en naissant dans son germe infecté ; Les épis renversés sur la
terre
languissent : Le ciel s’en obscurcit, les astres
ager leurs innocens plaisirs. La nymphe Echo, fille de l’Air et de la
Terre
, aimoit Narcisse qui n’étoit épris que de lui seu
, Je n’ai pu m’empêcher d’exciter la colère De l’épouse du dieu de la
terre
et des cieux. J’ai comparé ma gloire à sa gloire
dans une irruption que Ptérélaüs, roi de Télèbe, avoit faite sur ses
terres
, laissa son royaume et sa fille à Amphitrion. Alc
elles estropioient ou tuoient leurs enfans mâles. Hercule délivra la
terre
de deux tyrans très-cruels : le premier, nommé Di
te sein des tyrans il porte le trépas. Et pour en délivrer la
terre
, Le foudre est moins fort que son bras.
qui lui déchiroit le foie. Il attaqua Antée, fils de Neptune et de la
Terre
, qui habitoit les déserts de la Lybie, où il mass
mmes. Hercule s’appercevant qu’il le terrassoit en vain, parce que la
terre
lui donnoit de nouvelles forces, l’éleva en l’air
au massacre de sa famille : Reste du sang d’un roi, noble fils de la
Terre
, Je suis seule échappée aux fureurs de la guerre
es ; quel espoir d’une illustre maison ! Le fer moissonna tout, et la
terre
humectée But à regret le sang des neveux d’Erecth
le, et marchant sur ses pas, J’entrepris de venger et d’affranchir la
terre
De monstres, de méchans échappés au tonnerre. De
sur la plaine un pénible sillon. Aussi-tôt du sein de la
terre
Tes yeux verront de toutes parts
oit, et qu’il ne la regarderoit point qu’elle ne fût de retour sur la
terre
. Orphée appercevoit déjà la lumière : il se retou
lieu même où il seroit conduit par un bœuf ; Après avoir erré sur la
terre
et sur l’onde, Sans trouver Euro
lle, qui alarmoit souvent Œdipe : Leur courage promet des héros à la
terre
: Mais, si vous n’étouffez cette fatale guerre Qu
n appelle souvent les Atrides, du nom de leur aïeul. O ma patrie ! ô
terre
à tous les miens fatale, Redoutable berceau des e
ais, puisqu’il faut enfin que j’arrive au tombeau, Voudrois-je, de la
terre
inutile fardeau, Trop avare d’un sang reçu d’une
x ; Tantôt son bras invincible Fait rougir de leur sang et la
terre
et les eaux. Campistron. Patrocle, fils de Ménœ
roit d’abord sur les vainqueurs des Troyens, et embrasseroit toute la
terre
. Il rassemble tous ceux qui avoient échappé à la
utus, 110 — Perd sa fille Proserpine, 113 — La cherche par toute la
terre
, et la trouve aux enfers, 98-113 Cérès, comment
e, 10-16 — Du second ordre, 10-112 — Le rang qu’ils tenoient sur la
terre
, dans la mer et aux enfers, 11 — Leur nombre, la
rence mise entr’eux, 10-87 — Ils quittent le ciel, 29 — Habitent la
terre
, 15-19 — Sont indignés contre Jupiter, 32 — Fon
13 Flore, déesse des fleurs, ibid. — Le rang qu’elle tenoit sur la
terre
, 12 — Comment on la représente, 113 Flotte des
lent piller le temple de Delphes, 122 Géants, fils de Titan et de la
Terre
, 28 — Voyez Titans et Cyclopes. Géans d’Epidaur
esse, 13 — Son nom désigne la Prudence, 14 — Jupiter l’envoie sur la
terre
, 80 — Se dispute avec Neptune, 81 — Elle donne
Palès, déesse des bergers, etc. 113 — Le rang qu’elle tenoit sur la
terre
, 11 Palladium, statue de Minerve, 83 — — D’Athè
te, ibid. Pan, dieu des bergers, 122 — Le rang qu’il tenoit sur la
terre
, 11 — Ses danses, 124 — Comment on le représent
Pomone, déesse des fruits,113 Pomone, le rang qu’elle tenoit sur la
terre
, 11 Porte d’ivoire et de corne pour les songes,
est funeste, 21 — Il est remis sur le trône, 22 — Son règne sur la
terre
fut l’âge d’or, 22-23 — Comme il récompensa Janu
ichore, une des neuf Muses, 49-55-56 — Comment on la représente, 55
Terre
, (la) confondue dans le chaos, 16 — Les dieux qu
Vénus, Diane, Uranus, Saturne, Genius, le Soleil, Pluton, Bacchus, la
Terre
et la Lune. Les douze premiers composaient le con
nom de chaos. Le Ciel était le plus ancien des Dieux, et Vesta, ou la
Terre
, la première déesse. Ils eurent pour enfants Tita
t-on Saturne ? II. — Cybèle ou Vesta. Cybèle, Déesse de la
terre
, est fille du Ciel et épouse de Saturne ; on l’ap
guerre redoutable à soutenir contre les Titans ou Géants, fils de la
Terre
, qui se révoltèrent contre son autorité. Ces Tita
tes ont supposé que les éruptions de ce volcan et les tremblements de
terre
qu’il produit venaient des efforts désespérés du
Prométhée, fils de Japet, ayant formé des statues d’hommes avec de la
terre
délayée, les anima au moyen du feu du ciel qu’il
ui y étaient enfermés, en sortirent aussitôt et se répandirent sur la
terre
. L’espérance seule resta au fond de la boite. La
u fond de la boite. La corruption se répandait de plus en plus sur la
terre
, et les hommes attirèrent sur eux par leurs crime
ent retirées, Deucalion et Pyrrha, se trouvant isolés au milieu de la
terre
désolée, allèrent consulter l’oracle de Thémis, q
: par ces mots l’oracle entendait des pierres, qui sont les os de la
terre
. Les deux époux obéirent, et les pierres lancées
que jetait Pyrrha se métamorphosaient en femmes ; c’est ainsi que la
terre
se couvrit de nouveaux habitants. On donnait à Ju
de côté et d’autre, elle rencontra des paysans qui travaillaient à la
terre
près d’un marais, et, comme elle était fort altér
ut la destruction du serpent Python, monstre énorme né du limon de la
terre
, et que Junon avait mis à la poursuite de Latone.
le besoin de se décharger du poids de ce secret, fit un trou dans la
terre
, et dit à voix basse en collant sa bouche sur le
ciel ils privent le monde de lumière, tantôt s’approchant trop de la
terre
ils menacent de l’embraser. Jupiter, irrité de ce
Hécate dans les enfers, la Lune 19 ou Phœbé au ciel, et Diane sur la
terre
. C’est de là que viennent les noms de triple Héca
donne ? — Sous le nom de Diane, quelles étaient ses fonctions sur la
terre
? — Quel culte lui rendait-on ? — Comment la repr
urs. Il vint ensuite en Égypte, où il apprit aux hommes à cultiver la
terre
, et leur enseigna l’art de faire le vin. Dans tou
Mars et la ceinture de Vénus. Pour le punir, son père l’exila sur la
terre
; mais Mercure s’y livra encore à son penchant fa
sur son origine : suivant les uns, elle était fille du Ciel et de la
Terre
; suivant d’autres, elle doit le jour à Jupiter e
voir mis un jour entier à parcourir l’espace qui sépare le ciel de la
terre
, Vulcain tomba dans l’île de Lemnos29, dont les h
part à la conspiration des Dieux contre Jupiter, il fut exilé sur la
terre
avec Apollon, et réduit à travailler pour le roi
l’objet le plus utile au genre humain. Minerve fit aussitôt sortir de
terre
un olivier tout fleuri ; d’un coup de son trident
onnaissait une grande puissance sur les îles, les presqu’îles, et les
terres
qui avoisinent les rivages. C’est encore à lui qu
les rivages. C’est encore à lui qu’on attribuait les tremblements de
terre
. Neptune eut un grand nombre d’enfants, parmi les
îna, malgré ses cris, sur un char d’ébène ; puis, ayant entrouvert la
terre
d’un coup de son sceptre, le farouche ravisseur d
ssi Pallas, du nom d’un des Titans qu’elle tua lorsque ces fils de la
Terre
voulurent escalader le ciel. On fait honneur à Mi
res le fer, qui jusqu’alors n’avait servi qu’à féconder le sein de la
terre
; ce fut encore lui qui enseigna aux hommes l’art
lle alluma deux torches au feu du mont Etna, et se mit à parcourir la
terre
, la nuit comme le jour, décidée à ne pas se repos
ent d’un char attelé de deux dragons, au moyen duquel il parcourut la
terre
en instruisant les hommes des secrets de l’agricu
n était infini ; l’imagination des poëtes en avait peuplé le ciel, la
terre
et les eaux. Chaque homme avait même sa divinité
Divinités terrestres. Thémis. Thémis, fille du Ciel et de la
Terre
, mère de la Loi et de la Paix, était la Déesse de
aux mines d’or et d’argent qui se trouvent dans les entrailles de la
terre
; c’est pourquoi quelques poëtes le confondent av
nt est-il représenté ? Aurore. Aurore, fille de Titan et de la
Terre
, préside à la naissance du jour. Elle aurait voul
ie et Parthénope. Après avoir longtemps inutilement cherché et sur la
terre
et sur la mer la fille de Cérès, elles vinrent se
être chassés de l’Olympe. L’Achéron était un fils du Soleil et de la
Terre
qui avait été changé en fleuve pour avoir fourni
en Lydie, ayant reçu dans son palais les Dieux qui voyageaient sur la
terre
, et voulant éprouver leur divinité, leur avait se
ent sans appel. On le représente tenant sous ses pieds le globe de la
terre
, et dans ses mains l’urne qui contient le sort de
sente-t-on ? La Renommée. La Renommée, fille de Titan et de la
Terre
, avait mission de parcourir l’univers en proclama
et de Thémis, et on la confond souvent avec Astrée, qui résida sur la
terre
sous l’âge d’or, et qui, chassée enfin par les cr
it de soulever entre les Dieux. Ce fut alors qu’elle descendit sur la
terre
, où elle préside aux querelles entre les particul
ignard, Questions. Comment la Discorde est-elle venue habiter la
terre
? — Par quel artifice troubla-t-elle les noces de
nalèrent la naissance de Persée ? — De quels monstres délivra-t-il la
terre
? — Que raconte-t-on de son séjour en Mauritanie
sement sorti de ces terribles épreuves, Hercule se mit à parcourir la
terre
pour exterminer les monstres et les tyrans qui la
mes que ce monstre vomissait. En Libye il rencontra Antée, fils de la
Terre
, géant énorme, qui étouffait sous le poids de son
rsaire recouvrait de nouvelles forces à chaque fois qu’il touchait la
terre
, il l’enleva dans ses bras vigoureux, et l’étouff
mpara de ses dents, suivant le conseil de Minerve, et les sema sur la
terre
. Ces dents donnèrent aussitôt naissance à des hom
’Attique, où il se fixa, et où il fut englouti dans un tremblement de
terre
. Ses deux fils, Étéocle et Polynice, qui s’étaien
66 ; ce dernier, ayant reçu chez lui les Dieux qui voyageaient sur la
terre
, et voulant éprouver leur divinité, leur offrit à
outres, les vents déchaînés causèrent une tempête qui le jeta sur les
terres
des Lestrigons, anthropophages qui dévorèrent plu
ais enfin, sans trahir son secret par la parole, il frappa du pied la
terre
à l’endroit où elles étaient enterrées, et Ulysse
l fut chassé par la peste ; de là il se rendit en Epire, ensuite prit
terre
à Drépane, en Sicile, où il vit mourir son père A
casion l’oracle, qui d’abord avait été regardé comme appartenant à la
Terre
, puis à Thémis, fut dévolu au Dieu des vers, qui
s et à de nombreuses purifications ; puis le consultant se couchait à
terre
, et il se sentait entraîné, les pieds en avant, d
toutes parts. C’était sur le sommet de ces voûtes que se trouvait la
terre
des jardins, et elle formait une couche assez épa
nt dans leur inextricable réseau. Il y avait autant de bâtiments sous
terre
; ces constructions étaient destinées à la sépult
otre ère, fut renversée quatre-vingts ans après par un tremblement de
terre
; en 672, un Juif en acheta les débris, qui avaie
t Deucalion nous rappelle exactement Noé. La tentative des fils de la
terre
pour escalader le ciel ne rappelle-t-elle pas exa
du monde entre Jupiter et ses frères est un souvenir du partage de la
terre
que Noé fit entre ses trois enfants. Cham, qui eu
pte sous le nom de Jupiter Ammon, et l’on sait que l’Écriture appelle
terre
d’Ammon l’Égypte, où Cham alla fixer sa résidence
leur rendait pour calmer leur fureur. L’histoire des divinités de la
terre
nous offre, comme celle des Dieux du ciel, des tr
ui vint dans l’Attique enseigner à Triptolème les moyens de rendre la
terre
fertile. Suivant d’autres auteurs, il faut la con
mme il fut le premier à exploiter des mines dans les entrailles de la
terre
, on en fit le souverain de l’empire des ténèbres.
rs. Ce voyage, que les compagnons de Jason accomplirent en partie par
terre
en traînant leur bâtiment après eux, eut pour pri
tune ? — Qu’y a-t-il de vrai dans ce que l’on dit des divinités de la
terre
? — Comment explique-t-on les croyances des ancie
millions de kilomètres du soleil, et qui a 800 fois la grosseur de la
terre
; elle emploie plus de vingt-neuf ans à faire sa
ions de kilomètres du soleil, laquelle a 1,470 fois la grosseur de la
terre
, et emploie près de douze ans à faire sa révoluti
d’Apollon. Cette ville passait parmi les anciens pour le milieu de la
terre
: Jupiter, pour le marquer, fit voler en même tem
ers de justes mouvements. ( Danchet ). 19. La Lune, satellite de la
terre
, est cinquante fois plus petite que cette planète
érents : par le premier, elle se meut en forme d’ellipse autour de la
terre
, par le second, elle se meut sur elle-même ; par
r elle-même ; par le troisième, elle se meut autour du soleil avec la
terre
, qui l’entraîne dans sa révolution annuelle. 20.
de kilomètres du soleil, laquelle a un seizième de la grosseur de la
terre
, et qui opère sa rotation en 24 heures, et sa rév
ns de kilomètres du soleil, ayant en grosseur les neuf-dixièmes de la
terre
, et qui achève sa rotation en 22 heures 23 minute
création. 36. On nomme ainsi toute l’étendue d’eau qui environne la
terre
. On lui donne différents noms : 1° le grand Océan
Quant à Dédale, il atteignit heureusement les côtes d’Italie et prit
terre
à Cumes, où il construisit un temple en l’honneur
réé la Fable ; elle a peuplé de ses Divinités imaginaires le Ciel, la
Terre
, la Mer, le Ténare, et consacré ses mensonges ria
égaux ; Et je confonds dans la poussière L’esclave et les rois de la
terre
, Dont je dévore les tombeaux. » Laurence 6.
. Celui dont la Vaste puissance, Embrasse la
Terre
et les Cieux, Jupiter, ignoré des Mortels et des
eux par les lois de la guerre, Ce Dieu vainquit Saturne, exilé sur la
terre
, L’Aigle reçut le don de l’immortalité. Le nouvea
ion, Écrasèrent l’orgueil de leur rebellion. Du sang de ses enfans la
terre
au loin fumante Craignit de voir sa race avec eux
irrité de ce dernier attentat le chassa du Ciel. Apollon exilé sur la
terre
, fut réduit à garder les troupeaux d’Admette, et
isan de Lemnos, De l’Océan mobile a ciselé les flots, Et l’orbe de la
Terre
environné de l’onde, Et le Ciel radieux, voûte im
figure diffère, et pourtant se ressemble ; Elle sied à des sœurs. La
terre
offre à la fois, Ses hameaux, ses cités, ses fleu
ntissant qui porte le tonnerre, Ton disque ouvre la nue et rassure la
terre
. Baour-Lormian 13. Bacchus, Fils de Jupiter
r, Dont il perce les airs lorsque, d’un vol rapide, Il franchit ou la
Terre
ou la plaine liquide. Le Dieu prêt à partir fait
u’on desirait en eux ; Lui seul était parfait. Telles gens sur la
terre
, Se rencontrent souvent : d’un mépris bien si
Phrygie à un monstre marin. D’un coup de trident, il fit sortir de la
terre
le premier cheval, et enseigna l’art de dompter c
é suivent les mouvemens ; Tous ces volcans éteints, qui du sein de la
terre
Jadis allaient aux cieux défier le tonnerre ; Ceu
les profondes eaux vont rentrer à leur tour ? Échanges éternels de la
terre
et de l’onde, Qui semblent lentement se disputer
renversés, le couteau dans le flanc, Ils mordent la poussière, et la
Terre
est vengée, La Terre boit leur sang
c, Ils mordent la poussière, et la Terre est vengée, La
Terre
boit leur sang. O vous ! démons sortis des té
tel Hymen, une union si chère, Si l’on en voit, c’est le Ciel sur la
Terre
. Voltaire 35. Le même à d’Argental. On disa
élas ! ce jaloux caractère, De l’Olympe, en nos jours, a passé sur la
Terre
; Nos simples demi-dieux ne veulent point d’égal.
est que je le connais, mon père ; Et presque toujours sur la
Terre
, Je l’ai vu l’ami des méchans, Florian
Du moins nous ne reverrons plus Les sots dont la
Terre
est couverte. Et puis, tout est aveugle en cet hu
Le Dieu qui porte des grelots, Ne laissa pas d’être utile à la
Terre
, D’abolir des abus, de réparer des maux,
Portant le désordre et l’effroi, Sépara les Cieux de la
Terre
. La Terre, en ces premiers instan
l’effroi, Sépara les Cieux de la Terre. La
Terre
, en ces premiers instans, Parut soumis
Souverain absolu de ses fougueux sujets, enfans de l’Air et de la
Terre
, il les tenait renfermés dans les antres les plus
ofonde ; Le jour fuit, l’éclair brille, et le tonnerre gronde ; Et la
terre
et le ciel, et la foudre et les flots, Tout prése
lille 53. Tempête. On lève l’ancre, on part, on fuit loin de la
terre
: On découvrait déjà les bords de l’Angleterre :
laine : L’ambre plus pur exhale ses odeurs ; Un gazon frais couvre la
terre
ardente, Et fait jaillir une moisson de fleurs ;
s De coins dorés et de pavis ; Mille grenades entr’ouvertes Sèment la
terre
de rubis : Orange douce et parfumée, Limons et po
pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades timides, Le fruit sur la
terre
tombé Brille, s’élève en pyramides, Et remplit le
t du marteau, ni le cri de la scie ; Les chars ne roulent plus sur la
terre
durcie. Par-tout un long silence image de la mort
On finirait ses jours, sans les noircir de crimes, Si l’homme sur la
terre
était toujours enfant. Ah ! qu’il serait un être
et divine, L’année a parcouru le cercle des saisons, Depuis que cette
terre
, hélas ! où nous marchons, Du respectable Anchise
s mains, le lait, le vin sacré, Et le sang le plus pur ont humecté la
terre
. De fleurs il la parfume, et s’écrie : « O mon pè
. Doigni. Déesses. Cybèle ou Rhéa, Fille du Ciel et de la
Terre
, femme de Saturne et Mère des Dieux. On la r
eux dans leur guerre, De leur sang, l’un par l’autre, ils arrosent la
terre
. Heurtant avec horreur leurs casques radieux, Ils
garder au bain. La biche lui est consacrée. On l’appelle Diane sur la
Terre
, Phébé dans le Ciel, (Voy. Nuit.) Hécate aux Enfe
éventé. Du son lointain des cors bientôt épouvanté, Il part, rase la
terre
; ou, vieilli dans la feinte, De ses pas, en saut
aque ennemi la mort. Alors, las de traîner sa course vagabonde, De la
terre
infidèle il s’élance dans l’onde, Et change d’élé
nte diversement son origine. Les uns la disent Fille du Ciel et de la
Terre
; les autres, de Jupiter et de Dioné. Plusieurs l
Mer, et c’est l’opinion la plus reçue. Au moment de sa naissance, la
Terre
sous ses pas, s’émailla de fleurs ; autour d’elle
lle de Cécrops ; il crut l’emporter sur elle, en faisant sortir de la
terre
, avec son trident, un superbe coursier. Minerve,
le a tracé l’histoire. L’œil étonné voit sa lance d’airain Frapper la
terre
avec un long murmure ; Et l’olivier qui jaillit d
ême toujours. On croit que cette forme est un mystique emblême, Et la
Terre
et Vesta, l’une et l’autre est la même : L’une et
ns appui soutenue, énorme et vaste boule, Dans les airs en suspens la
Terre
nage et roule. Le globe, par son poids, centre de
verre emprisonne au dedans. Sphérique en ses contours, l’image de la
Terre
S’éloigne également de tous les points du verre.
bèle. Pendant qu’elle cherchait sa fille Proserpine par toute la
terre
, elle arriva chez Eleusius, Roi de l’Attique. Ell
cependant que sa fille passerait six mois de l’année avec elle sur la
terre
. Cette Déesse préside particulièrement aux moisso
ançait au printemps ton aigle déchaînée, Pour annoncer la foudre à la
Terre
étonnée. Au retour des combats tes vertueux guerr
int les mœurs. Saint-Lambert 79. Thémis, Fille du Ciel et de la
Terre
, et Déesse de la Justice. On la figure avec un
oyez Gaîté et Nature champêtre . Aurore, Fille de Titan et de la
Terre
. A la naissance du matin, elle ouvrait les po
e siècle heureux où cette Déesse descendit du ciel et vint habiter la
terre
. Enchantée de l’innocence de ces premiers temps,
vés sans combats, Des blés sauvés de la faux des soldats. J’y vois la
terre
enfanter des miracles ; Et la nature attentive à
ereins agitaient un air pur : Les fruits d’eux-même abondaient sur la
terre
: Les élémens n’étaient jamais en guerre, Jamais
ol au-dessus du tonnerre, Des ailes sont ses pieds, et le Ciel est sa
Terre
. Il la frappe, indigné d’avoir mordu le frein : S
e, toujours vagabonde, elle volait jour et nuit d’une extrémité de la
terre
à l’autre. Elle se plaçait sur les lieux les plus
e à sa source, Ce monstre s’enhardit, et s’accroît dans sa course. La
Terre
l’enfanta, pour se venger des Cieux ; Elle aime à
crasa leur tonnerre, Son front est dans l’Olympe, et ses pieds sur la
Terre
, Rien ne peut égaler son bruit tumultueux, Rien n
gloire, et la honte. Virgile. — Delille 112. Entre le Ciel, la
Terre
, et l’empire des ondes, S’élève un vieux Palais,
eux, Dont la voix ressemble au Tonnerre, Et qui des pieds touchant la
terre
, Cache sa tête dans les Cieux ? C’est l’inconstan
Vendée, en sa fatale guerre, De Français égorgés couvrait au loin la
terre
; Et le sujet des rois, l’esclave des tyrans, De
t la division parmi les Dieux. Chassée du Ciel, elle vint troubler la
Terre
. Ennemie du bonheur des hommes, elle éteignait le
malheur, Par ses forfaits du Ciel chassée, Vers cette
terre
, hélas ! jusqu’alors fortunée, Dir
nger le crime, elles tourmentaient les scélérats et les impies sur la
terre
. Sans cesse acharnées contre eux, elles les pours
C’étaient trois sujets excellens ; Tout l’Enfer et toute la
Terre
Rendaient justice à leurs talens. La Mort
Leur nourriture est friande et légère. Quelques Eurus, envoyés sur la
terre
, Leur apportaient les parfums des autels : Sur de
Qui d’un dragon terrible à tous les yeux, Dispersa les débris sur la
terre
fumante. d’Arnaud 135. Thésée, Fils d’Égée,
plane sur nos têtes. Immobile d’étonnement La
Terre
garde le silence : On croit voir une nue
de ses ans l’éclatante carrière ! Le seul nom de son fils remplit la
terre
entière ; Ce nom fait son bonheur autant que son
le temps, loin des yeux de mon père, » Je teindrai de mon sang cette
terre
étrangère. » J’ai vu tomber Patrocle ; Hector me
nt son parjure : une flèche tomba sur le pied dont il avait frappé la
terre
. Sa plaie exhalant bientôt une odeur infecte et i
l’autre connus par d’affreuses misères, Le destin nous rassemble aux
terres
étrangères, Et peut-on envier à deux cœurs malheu
tré son nom. Les Dieux irrités des crimes des hommes, engloutirent la
terre
sous les eaux : le genre humain y périt. Deucalio
ds pluvieux, Ordonne à l’Aquilon de leur livrer la guerre, Et rend la
terre
au ciel, et le ciel à la terre. La mer calme
n de leur livrer la guerre, Et rend la terre au ciel, et le ciel à la
terre
. La mer calme ses flots ; l’humide Souverain
encor souillés ; Et l’onde qui décroît, semble accroître le monde. La
terre
a reparu, solitude profonde, Où se tait du néant
temple ont touché les degrés, Chacun d’eux à genoux prosterné sur la
terre
, Du seuil religieux baise humblement la pierre. S
soit légitime. Non, non, jamais les Dieux n’ont ordonné le crime. La
Terre
est en effet l’aïeule des humains. Les pierres so
s ébauchés par le ciseau des arts. Le limon emprunté des fanges de la
terre
, D’une chair animée enveloppe la pierre. La veine
rmé des flèches du tonnerre, Renversa sous ses coups les enfans de la
terre
. Des rochers de l’Etna, l’un d’eux est écrasé ; U
. A leur affreux supplice échappa Prométhée : Il frémit, en voyant la
terre
inhabitée ; Et ses fils malheureux à jamais englo
; » Il projette, exécute, et l’homme est modelé. Colardeau 155.
Terre
, éveille-toi ; la Déesse (Minerve.) Vient éclaire
s’écartèrent de leur route, et s’approchant ou s’éloignant trop de la
terre
, ils y brûlaient ou y glaçaient tout. Jupiter for
fuis en tremblant. Quand Phaëton eut vu de la hauteur du monde La
terre
disparaître, au loin, au loin profonde, Il pâlit
.….….….….….….….….….…. Les nuages brûlans s’exhalent en fumée : La
terre
en ses hauteurs est d’abord enflammée, Elle se fe
sous les Romains Les destins ont promis l’empire des humains. La
terre
au loin se fend, et sous ses voûtes sombres La lu
ente est remplie. Mon fils, que de dangers ont menacé ta vie ! Que la
Terre
et Neptune ont trahi mes souhaits ! Et que j’ai c
nds donc que le Ciel et ses astres divers, Le globe de la Lune, et la
Terre
et les Mers, D’un principe commun, d’une ame univ
à que sont nés l’homme et les animaux, Peuple immense des Airs, de la
Terre
et des Eaux. Cette vigueur, ce feu dont la source
es douleurs, Le chagrin, les desirs, la joie et les terreurs. Vers la
terre
toujours ce vil fardeau l’entraine ; Et même, qua
n puisa toujours l’orgueil avec le sang : Inconnu, dans le sein d’une
terre
étrangère, Je me croyais encor au trône de mon pè
r punir le plus noir des forfaits, La Grèce vient d’armer le Ciel, la
Terre
et l’Onde, Déjà ses bataillons, secondant sa
Dont l’une en ces jardins va promener ses ondes, Et l’autre, sous la
terre
, en un profond canal, Aux bains de la Cité va ver
, et trois fois il a pâli de crainte. Mais lorsqu’il reconnaît sur la
terre
tombé, Déchiré, teint de sang, le voile de Thisbé
qu’il avait commis en dérobant le feu du Ciel, envoya Pandore sur la
terre
avec la boîte fatale où étaient renfermés tous le
er, Quand il parlait ainsi, la paix la plus profonde, Le repos sur la
terre
et le calme sur l’onde, Promettaient aux humains
este ; Cet innombrable essaim s’échappa dans les airs, Retomba sur la
terre
et traversa les mers. Les plaisirs, la santé, la
lie. Ses noces furent très-brillantes : tous les Dieux du Ciel, de la
Terre
, des Eaux, des Enfers y assistèrent. La Discorde
yable Couvre l’Univers : La
Terre
tremblante Frémit de terreur
Dieu plus fort que toi dépend ta destinée : Tu peux faire trembler la
Terre
sous tes pas, Des Enfers déchaînés allumer la col
il descendit aux Enfers, combattit la Mort, et ramena Alceste sur la
terre
. Les adieux d’Alceste mourante, à son Époux.
t la femme d’Hector ! Ah ! qu’aujourd’hui plutôt sous des monceaux de
terre
, Le gouffre du tombeau dans ses flancs me resserr
igué par la crainte, De ses tigres altiers, ne redoute l’atteinte. La
Terre
avec respect s’incline sous ses pas : C’en est fa
infinies, L’oiseau nagea dans l’air, le poisson sous les eaux ; Et la
terre
en ses champs reçut les animaux ; Mais il manquai
roits, Et, roi des animaux, leur imposât des lois. Alors, soit que la
Terre
, et jeune et vigoureuse, Recelât dans son sein un
la brute, esclave tributaire, Courba sou front servile, et regarda la
Terre
, L’homme avec majesté lève un front gracieux, Et
jusques aux sombres bords ; J’ouvrirai sous mes pas les antres de la
Terre
: J’irai braver Pluton, j’irai chercher les morts
et d’un amour si tendre. Chœurs. Que le Ciel, que la
Terre
et l’Onde Brillent de mille feux divers
é : son corps qui se resserre, S’arrondit en anneaux, et rampe sur la
terre
. Ses flancs de taches d’or et d’azur émaillés Dér
r dont le genou le serre, Sous son lourd bouclier l’étreint contre la
terre
, Détache les liens de son casque d’airain, Les en
: Mes humides cheveux se fondent en rosée. Sous mes pieds en étang la
terre
s’est creusée. Je deviens une source, et je pours
flammée, Pour se mêler à moi, poursuit mon onde aimée. Diane ouvre la
terre
, et dans ses flancs ouverts, Je me cache, et roul
ive est tout prêt : il va finir ma vie. Enfoncé dans les flancs d’une
terre
ennemie, Placé dans des rochers où l’a fixé ma ma
, Dieux, hâtez le retour. Que Teucer me retrouve, et qu’il rende à la
terre
Le cadavre sanglant de son malheureux frère ; De
nter. A jamais avec toi je m’en vais habiter. O jour ! ô Salamine ! ô
terres
paternelles ! Fleuves sacrés, et vous, mes nourri
s Satyres sur-tout le pleurèrent ensemble. Humide de leurs pleurs, la
terre
les rassemble, Et forme un nouveau fleuve, au cou
e mirant dans sa vaste opulence ; Palais pompeux, ameublemens exquis,
Terres
, châteaux sur l’orphelin conquis ; Chez ses amis
flambeau ; Et je ne puis entrer dans la barque fatale. Repoussé de la
terre
et de l’onde infernale, Ceyx de ton amour n’atten
C’est Philomèle, c’est l’Amour212. Écho, Fille de l’Air et de la
Terre
. Nymphe qui se plaisait aux bords du fleuve
lle qui, sans asile en ce vaste univers, Se vit bannir du Ciel, de la
terre
et des mers ; Jusqu’à ce que Délos, flottante et
ieux trésors des fertiles moissons. La Nature en effet y demande à la
Terre
, Sans travaux et sans soins, un tribut volontaire
. Achéménide aux Troyens, sur Polyphème. « … Je fus jeté sur ces
terres
sauvages. Du Cyclope inhumain, terreur de ces riv
ent l’antre assassin. Lui, (dieux ! d’un tel fleau n’affligez plus la
terre
!) Semble d’un front hautain défier le tonnerre.
il menaçant, nous poursuivent encore : Famille impitoyable, et que la
terre
abhorre, Debout, cachant dans l’air leurs fronts
. Le même 221. Python. Monstrueux Serpent, né du limon de la
terre
après le déluge de Deucalion. Junon, jalouse de L
lots indignés. De l’écume empoisonnée De ce reptile fatal, Sur la
terre
profanée, Naquit un germe infernal, Et de là, nai
vent prête même force Au vice qu’à la vertu : De la céleste rosée, La
terre
fertilisée, Quand les frimats ont cessé, Fait éga
rcle l’environne. De son auguste front le calme s’est troublé ; Et la
Terre
, et les Mers, et les Cieux ont tremblé. Ovide. —
x. Là, du sang des humains on voit suer les marbres, On voit fumer la
terre
, on voit rougir les arbres, Tout y parle d’horreu
r, De l’Olympe brillant nuancèrent l’azur. Ici le soc en main, sur la
terre
docile, Le laboureur joyeux trace un sillon facil
ive idolâtre, Etendre en verts gradins son riche amphithéâtre ; Et la
terre
, par l’homme apportée à grands frais, D’un sol en
des morts, Brisant l’urne qui les resserre, Par les entrailles de la
terre
Son onde arrive sur ces bords. Non loin, sous deu
us ces fléaux, tous ces monstres divers Qui vont épouvanter l’air, la
terre
et les mers ; Géroyn, de trois corps formant un c
’après plusieurs siècles de félicité, elles devaient retourner sur la
terre
, elles buvaient les eaux du fleuve Léthé, pour ou
etraçant les scènes de la guerre : Ici, des javelots enfoncés dans la
terre
; Là, des coursiers sur l’herbe errant paisibleme
e, D’un bras de fer couvre le front des Rois, Tient sous ses pieds la
Terre
assujettie, Et dit au Temps : exécute mes lois244
répands tes bienfaits. Tantôt, loin de nos yeux dans les flancs de la
terre
, En rubis enflammés tu transformes la pierre ; Tu
ujets désolés t’adressent leurs soupirs ? Si par l’ambition de la
Terre
bannie Tu crois devoir ta haine à tes profanateur
eurs bras sanglans. De quels débordemens de sang et de carnage La
Terre
a-t-elle vu ses flancs plus engraissés ? Et quel
, Du fier Mars et de toi sait discerner le prix : Ton sceptre rend la
Terre
en délices féconde ; Le sien ne fait régner que l
heur fut jaloux. d’Arnaud 252. Douleur, Fille de l’Air et de la
Terre
. On la représente sous la figure d’une femme
Qui l’arracha de ses forêts. Sous la main du travail, la
Terre
fit éclore Les prémices heureux de sa fécondité :
vagabond, le Dace sanguinaire, Et le guerrier Latin, conquérant de la
Terre
, Craint tes funestes coups : De l’Orie
ux faibles athlètes, Périssables travaux du reste des Mortels ! De la
terre
, en extase, obtenir des autels, Voilà l
n abyme. On lira l’Enéide, et Tityre, et les Bois, Tant que Rome à la
terre
imposera des lois ; On relira les vers que Tibull
s sont dans les Fables. Voltaire 261. S’il est un Mortel sur la
terre
Digne d’échapper au tombeau, Ce n’est point l’ama
Ithaque, S’il n’eût eu pour guide Mentor. Dieux ! sous mes pas la
terre
s’ouvre ! Quels objets ! quel abîme affreux ! Mon
ouble sa rage, Tisiphone, sortant du gouffre des Enfers, Epouvante la
Terre
, empoisonne les airs ; Et sur les corps pressés d
ois ; Ils comblent le bercail, s’entassent dans les plaines ; Dans la
terre
avec eux on enfouit leurs laines : En vain l’onde
.― Deguerle 276. Ce don brillant, ce don suprême, Sur la
Terre
émané des rayons éternels, Nous approc
Génie étincelle et fermente sans cesse, Des prodiges des Cieux, de la
Terre
et des Mers. Il forme une immense rich
bare, il croit ou feint de croire honorer le Ciel en ensanglantant la
Terre
, et chérit la Religion en lui déchirant le sein.
à table ou dorment dans leur lit : J’interroge les Dieux, l’Air et la
Terre
et l’Onde. Le puissant Jupiter fait son tour en d
a fraude et les combats : Libre, paisible, heureux dans le sein de la
Terre
, Il n’entend point gronder les foudres de la guer
, Nous font braver cent fois l’inclémence des airs, Les dangers de la
terre
et le péril des mers. Des plus heureux climats, d
r, ce calme, objet de nos travaux, Que nous cherchions en vain sur la
Terre
et les eaux. Bernis 289. Des champs d’O-Taï
qui poursuit un grand nom ? Disciples des neuf Sœurs, qui consolez la
Terre
, Césars, qui l’embrasez des flambeaux de la guerr
temps. Quoi ! le Grand Homme, quoi ! le Sage, Qui des arts sur la
Terre
allume le flambeau ? Lui qui par des bienfaits y
arer ; et le mois de l’année que l’on passait sur cet heureux coin de
terre
semblait être le commencement d’un nouvel âge d’o
vapeur qui produit le tonnerre, C’est Jupiter, armé pour foudroyer la
terre
. Un orage, terrible aux yeux des matelots, C’est
en physique, ne connaissaient que quatre éléments, l’air, le feu, la
terre
, et l’eau. Étudions aujourd’hui les divinités qui
ûte éthérée, et qui avaient une action plus ou moins puissante sur la
terre
et sur les mers. L’Olympe. Les dieux du prem
aturne et de Rhée. Saturne exilé des parvis célestes descendit sur la
terre
, il demeura pendant quelques siècles en Italie ;
ssesseur de l’empire du ciel. Les Titans et les Géants, enfants de la
Terre
, lui firent une guerre terrible : ils entrepriren
ans la mer formaient des îles, tandis que celles qui tombaient sur la
terre
y faisaient des montagnes. Jupiter effrayé appela
ieux. On dit que Jupiter, desirant connaître où était le milieu de la
terre
, fit partir deux aigles en même temps, l’un vers
ucune nouvelle de sa chère Europe, ordonna à ses fils de parcourir la
terre
pour la trouver. Cadmus dirigea son voyage vers l
int assez, ajouta-t-il, de donner à Jupiter l’empire du ciel et de la
terre
, les peuples de l’antiquité étendirent son domain
ais la nuit il l’enferme. Un antre est sa prison ; Elle a pour lit la
terre
, et couche sur la dure ; Se nourrit d’herbe amère
douloureux liens, fut précipité de l’Olympe, et qu’en tombant sur la
terre
il se cassa la jambe. L’orgueilleuse déesse, indi
l’on veut changer de place9. Vénus descendit plus d’une fois sur la
terre
. Un jour, dans une forêt de Syrie, elle aperçut l
les tempêtes sur les côtes d’Afrique où Didon, qui venait de fuir la
terre
de Phénicie, après la mort de son époux Sichée, c
able, et les oiseaux qui y passaient en volant tombaient morts sur la
terre
. Les dieux permirent à Énée d’entrer dans les Enf
us armée. Soit que Vénus habitât l’Olympe ou qu’elle descendît sur la
terre
, elle était toujours accompagnée des Grâces. L
ouvements et dans toutes ses actions. Il va sans cesse du ciel sur la
terre
, et de la terre dans le ciel : il descend dans le
s toutes ses actions. Il va sans cesse du ciel sur la terre, et de la
terre
dans le ciel : il descend dans les enfers, et le
elle Psyché fit l’admiration de toutes les divinités du ciel et de la
terre
. La Volupté naquit de cet hymen. Les moralistes v
r jalouse contre ses rivales, exila Latone du Ciel, et fit jurer à la
Terre
de ne point lui accorder d’asile, non plus qu’aux
urs, le cours des saisons, et répandait à son gré la fécondité sur la
terre
. Malgré tant de nobles qualités et tant de brilla
ents légers jadis légers rivaux, En racines changés, s’attachent à la
terre
; Une écorce naissante autour d’elle se serre ; S
où les Zéphirs rafraîchissent les hommes, et où la rosée désaltère la
terre
. Il mêlait aussi dans ses chansons les fruits dor
r le secret, ni n’osant le confier à personne, il fit un trou dans la
terre
en un lieu retiré, dit tout bas dans ce trou : M
reilles d’âne ; et n’eut pas sitôt parlé, qu’il recouvrit le trou de
terre
, comme pour y enterrer sa parole. On ajoute que d
a Marsyas à un arbre, et l’écorcha vif. Cet acte de cruauté irrita la
Terre
, qui changea le sang de Marsyas en un fleuve de P
n Apollon était prompt à s’enflammer pour les jeunes habitantes de la
terre
. Il vit la nymphe Clymène, la plus belle des Océa
oublient le frein. Le char enflammé du soleil passant trop près de la
Terre
, brûle les plaines, tarit les fleuves, et met à s
ées la couleur noire que leurs descendants montrent encore. Enfin, la
Terre
, sortant des profondes cavernes où elle s’était c
, une des plus aimables des jeunes divinités, fille de Titan et de la
Terre
. La douce clarté qu’amène sa présence prépare nos
. Lorsqu’elle se montre, un vent frais, appelé Aure, se répand sur la
terre
, et annonce son retour aux fleurs et aux oiseaux
terminé à respecter la foi conjugale, consentit qu’il demeurât sur la
terre
, et lui fit présent, en s’éloignant de lui, d’un
cette déesse. Jupiter en voyageant pour réparer les maux causés à la
Terre
par l’imprudence de Phaéton, rencontra dans une f
troupeau : il assistait à leur jugement ; et les reconduisait sur la
terre
, pour les faire passer dans de nouveaux corps, ap
ivinités qui ferait le meilleur présent aux hommes. Neptune frappa la
terre
de son trident, et fit naître le cheval ; mais Mi
t trois sœurs, filles de Phocrys, dieu marin, et de Céto, fille de la
Terre
. Méduse, l’une d’entre elles, avait des cheveux d
« Qu’un regard de mes yeux. « Les plus grands dieux du ciel, de la
terre
et de l’onde, « Du soin de se venger se reposent
uit Méduse, et lui coupa la tête. Des gouttes de sang qui tombèrent à
terre
, se formèrent autant de serpents dont la Libye a
e la Sicile étaient principalement l’objet de sa sollicitude ; aucune
terre
ne fut plus féconde en blé que le vallon d’Enna d
our-à-tour le ciel et les enfers. Aussitôt l’abondance reparut sur la
terre
. L’Attique, province chère aux dieux, avait beauc
on char, attelé de deux dragons, et lui ordonna de parcourir toute la
terre
, pour enseigner un art si nécessaire à ses habita
statue de cette déesse, pour obtenir la conservation des fruits de la
terre
. Tout dieu veut aux mortels se faire reconnaître
chaîne à laquelle Jupiter l’avait suspendue, il fut précipité sur la
terre
, et se rompit la cuisse ; ce qui le rendit boiteu
mé des fleches du tonnerre, Renversa sous ses coups les enfants de la
Terre
. Des rochers de l’Etna l’un d’eux est écrasé ; Un
s. A leur affreux supplice échappa Prométhée ; Il frémit en voyant la
Terre
inhabitée, Et ses fils malheureux à jamais englou
des preuves de la faiblesse de leur cœur. On honorait quelquefois la
terre
sous le nom de Vesta : voilà pourquoi son temple
os qui semblaient destinés à remplir l’intervalle entre le ciel et la
terre
. Pour se ranger parmi les demi-dieux, il fallait,
s avons vu les voyages que les habitants de l’Olympe faisaient sur la
terre
n’être pas inutiles à la propagation de leur race
dmis dans l’Olympe, apaisa enfin le courroux de Junon ; il eut sur la
terre
de nombreux autels, et il devint l’époux d’Hébé.
es campagnes ; La cime des forêts tremble au front des montagnes ; La
terre
éprouve au loin d’affreux ébranlements, Et les ch
: ces derniers monstres avaient été engendrés par Thaumas, fils de la
Terre
, et par Électre, fille de l’Océan. Ils naquirent
e triste royaume des Ombres, et tous les lieux qui s’étendent sous la
Terre
. Après la guerre contre les Géants, les Cyclopes
apprit l’enlèvement de sa fille. Après avoir inutilement parcouru la
terre
pour la trouver, elle monte sur son char, travers
retraçant les scènes de la guerre. Ici, des javelots enfoncés dans la
terre
; Là, des coursiers sur l’herbe errant paisibleme
a puissance ? Hier, nous l’avons vue pénétrer dans les cavernes de la
terre
, et la peupler de divinités de toute sorte ; aujo
s anciennes divinités des eaux étaient l’Océan, fils du Ciel et de la
Terre
; il épousa Téthys, grande déesse des mers, une d
ges. Nérée fut un des premiers dieux marins, fils de l’Océan et de la
Terre
: il épousa Doris, fille de l’Océan et de Téthys
e dieu qui avait le plus de puissance ; elle s’étendait jusque sur la
terre
, qu’il ébranlait et entr’ouvrait à son gré. L’En
de son trident ne fasse entrer le jour, Et par le centre ouvert de la
Terre
ébranlée. Ne fasse voir du Styx la rive désolée,
l’Olympe. La première déité qui doit nous occuper aujourd’hui est la
Terre
elle-même, adorée en différents lieux sous le nom
les divinités de second ordre qui peuplaient les vastes flancs de la
Terre
. Les Montagnes. Plusieurs des montagnes qui
se durcissent en pierre : Ses pieds sont des rochers affermis sur la
terre
. Sa hauteur est immense, et par l’ordre des dieux
s bosquets ; c’est la voix de la nymphe Écho, fille de l’Air et de la
Terre
. Jupiter l’ayant mise dans la confidence de ses a
incurable. Plein de desirs, et d’amour éperdu, Languissamment sur la
terre
étendu, Ce fol amant, d’un œil insatiable, Fixe,
ciens, n’étaient pas seulement des masses d’eau roulant au milieu des
terres
; c’étaient des divinités puissantes : ils étaien
nner avec furie, et se consumer. « Il ne peut plus se répandre sur la
terre
; il est contraint de se tenir dans son lit, et l
Aurore, ou le soir, lorsque Apollon jette ses derniers regards sur la
Terre
, on voit sortir des plus frais bocages la jeune F
nature. Qu’elle était féconde cette imagination qui s’élançait de la
terre
jusqu’aux étoiles les plus éloignées, en modifian
l’herbe verte, comme les prémices et les premières productions de la
terre
. Les libations étaient d’eau pure. On offrait aux
fait des merveilles de la création de l’univers. Avant que la mer, la
terre
, et le ciel qui les environne, eussent été produi
ient le chaos. Hésiode fait cette espèce de généalogie : le chaos, la
terre
, les enfers et l’amour. Rousseau a fait ainsi la
gabonde en ses îlots inconstans Mit à couvert ses muets habitans ; La
terre
, enfin, cette tendre nourrice, De tous nos biens,
lairait point ; la lune n’avait ni son croissant, ni son décours ; la
terre
n’était point suspendue au milieu des airs, et la
nature elle-même, termina ces combats, en séparant le ciel d’avec la
terre
, la terre d’avec les eaux, et l’air le plus pur d
le-même, termina ces combats, en séparant le ciel d’avec la terre, la
terre
d’avec les eaux, et l’air le plus pur d’avec l’ai
, eut la région la plus élevée ; l’air fut mis au-dessous du feu ; la
terre
, toute pesante qu’elle est, trouva son équilibre
t les parties les plus basses. Dieu arrondit ensuite la surface de la
terre
, et répandit les eaux par-dessus. Il permit aux v
de feuilles, aux montagnes de s’élever, aux vallées de s’abaisser. La
terre
fut partagée en cinq zones ou parties, qui répond
ivines ; les poissons habitèrent les eaux ; les quadrupèdes eurent la
terre
pour demeure ; les oiseaux voltigeant dans l’air,
’univers un être plus parfait. Prométhée forma l’homme avec un peu de
terre
qu’il détrempa dons l’eau ; et, au lieu que tous
; et, au lieu que tous les autres animaux ont la tête penchée vers la
terre
, l’homme seul la lève vers le ciel. Aussitôt que
piter le chassa du ciel. Saturne, dépouillé de ses états, vint sur la
terre
. Il se réfugia dans un coin de l’Italie, où régna
le bonheur. Un peuple agriculteur, à ses leçons docile, Ensemença la
terre
, et la rendit fertile. Saturne en fut aimé : ce b
s, la probité, l’innocence et les beaux-arts furent en honneur sur la
terre
, et il mérita le nom d’âge d’or. La terre fécond
s furent en honneur sur la terre, et il mérita le nom d’âge d’or. La
terre
féconde et parée Mariait l’Automne au Printemps :
ux. Cybèle Cybèle, femme de Saturne et fille du Ciel et de la
Terre
, a plusieurs noms dans les poètes : elle est appe
remier ordre. On la nommait aussi Ops et Tellus : Tellus veut dire la
terre
; parce que, comme Saturne avait présidé au ciel,
que, comme Saturne avait présidé au ciel, de même elle présidait à la
terre
, et procurait toutes sortes de secours aux mortel
de Rhea, du mot grec rheo, qui signifie couler, parce que c’est de la
terre
que toutes choses proviennent. On représente ordi
te ordinairement cette déesse assise, pour montrer la stabilité de la
terre
, portant un disque ou un tambour, symbole des ven
lle de Saturne ; et que l’ancienne Vesta est la même que Cybèle et la
Terre
. Le culte de l’une et de l’autre est à peu près l
le fit avancer sans résistance. Comme l’ancienne Vesta présidait à la
terre
, la plus jeune présidait au feu. Numa Pompilius,
epuis, mêle ses eaux avec celles d’Aréthuse. En faisant son cours sur
terre
, la nymphe vit passer Pluton avec celle qu’il enl
it six mois de l’année dans les enfers, et les six autres mois sur la
terre
. Cet enlèvement est regardé comme une allégorie q
ne est la vertu de la semence. Le grain, après avoir été jeté dans la
terre
pour germer, en sort ensuite pour mûrir : c’est P
ir : c’est Proserpine qui est six mois aux enfers, et six mois sur la
terre
. Quelquefois, on représente Cérès tenant à la mai
reine de Grèce, et qu’elle a appris à ses sujets l’art de cultiver la
terre
; que, par ce moyen, les Grecs se sont nourris de
e, son frère, suscita les Géans contre l’usurpateur. Ces enfans de la
terre
étaient des hommes d’une grandeur et d’une force
ent les hommes, sortirent de la boîte fatale et se répandirent sur la
terre
. Il n’y resta que la seule espérance ; mais cette
ltère D’adversités, dont l’influence altère Les plus beaux dons de la
terre
et des cieux ? L’antiquité nous mit devant les ye
dangereux. Fatal désir de voir et de connaître ! Elle l’ouvrit, et la
terre
en vit naître, Dans un instant, tous les fléaux d
céda au siècle d’or, c’est-à-dire, que la vertu régnait encore sur la
terre
, mais avec moins d’empire qu’au siècle précédent.
qui vint à son secours sous la forme d’un bélier, qui, en frappent la
terre
de son pied, lui découvrit une source. En reconna
ir pour Jupiter une de ces foudres qu’il lance en grand nombre sur la
terre
. La foudre était composée de trois rayons de grêl
ent qu’un œil au milieu du front. Les Cyclopes, fils du Ciel et de la
Terre
, et, selon d’autres, de Neptune et d’Amphitrite,
se la plus utile à la ville, lui donnerait son nom. Neptune frappa la
terre
de son trident, et il en sortit un cheval ; Miner
royable, nommé Python. Ce monstre s’était formé du limon resté sur la
terre
après le déluge, Junon fit plus, elle pria la ter
imon resté sur la terre après le déluge, Junon fit plus, elle pria la
terre
de de ne point donner retraite à Latone ; la terr
plus, elle pria la terre de de ne point donner retraite à Latone ; la
terre
s’y engagea : l’infortunée fut contrainte de cher
assant près d’un marais, elle pria des paysans qui travaillaient à la
terre
de lui donner un peu d’eau pour apaiser sa soif ;
ouleur fut si violente, qu’elle se laissa mourir de faim. Couchée par
terre
, la nuit et le jour, les cheveux en désordre et l
le d’Apollon, ou, selon d’autres, d’Hypérion et de Théa : Titan et la
Terre
. Les anciens, qui ont prodigué les noms de dieux
Dans ton vol, trop timide ou trop ambitieux, « Evite également et la
terre
et les cieux : « Suis le milieu ; c’est là le che
ce qui les guidait, ils prirent l’écart, et embrasèrent le ciel et la
terre
. Jupiter craignant pour lui-même, foudroya l’impr
er de peur d’encourir la colère du roi, cet homme fit un trou dans la
terre
, et s’y enterra. Quelques temps après, il crût da
one, et sœur d’Apollon. On la nommait Lune dans le ciel, Diane sur la
terre
, et Hécate ou Proserpine dans les enfers. Sous ce
posent votre cour. En descendant des cieux, vous venez sur la
terre
Régner dans les vastes forêts ;
nt, elle pria Jupiter de lui donner le don de chasteté. Diane, sur la
terre
, prenait plaisir à poursuivre les animaux des boi
ur à la victoire que Jupiter remporta sur les monstrueux enfans de la
terre
. Pendant le combat, le maître des dieux lui criai
ée ; Triceps, à trois têtes, ses fonctions l’appelant au ciel, sur la
terre
et dans les enfers ; Vialis, de via, chemin : on
alogie avec l’histoire ; son nom vient de ce que la mer environne les
terres
. Par Neptune, les anciens entendaient l’élément d
lle de l’Océan et sœur d’Iris, ou, selon d’autres de Neptune et de la
Terre
. Elles étaient trois, Céléno, Ocypéto et Aëlo : c
Eole pour roi. Les philosophes se sont figurés que les vapeurs de la
terre
mêlées aux influences des astres, étaient la caus
es vents ; c’est pourquoi quelques-uns les font fils du Ciel et de la
Terre
. Quand on entreprenait quelque voyage sur mer, on
ou orient ; Zéphyr, le plus agréable et le plus propre à féconder la
terre
, souffle du couchant ou occident. Le plus violent
, il la changea en fontaine ; ensuite d’un coup de pied, il ouvrit la
terre
et rentra avec sa proie dans son royaume. Là, rè
esses, et qu’il y présidait comme étant renfermées dans le sein de la
terre
. Le nom d’Urgus lui est venu du latin urgere, par
parce que le temps mûrit avec lenteur les trésors dans le sein de la
terre
; d’autres prétendent qu’il est fils de Cérès et
eurs âmes erraient sur le rivage, jusqu’à ce qu’on eut jeté un peu de
terre
sur leurs dépouilles mortelles. Caron exigeait de
tête du coupable, et lui brillent le sein, commençant pour lui sur la
terre
les supplices éternels du Tartare. De sinistres
délices où demeuraient les âmes de ceux qui avaient bien vécu sur la
terre
. Les frimas, les pluies, la neige ne venaient poi
ndent Typhon et Titye. Titye Titye, fils de Jupiter et de la
Terre
, énorgueilli de sa taille gigantesque et de sa fo
l’homme. Quelques auteurs font naître Uranus (le Ciel), et Thitea (la
Terre
), de l’Océan et de la Nuit. On dépeint cette divi
d’une main un grand voile, et tournant de l’autre un flambeau vers la
terre
, pour l’éteindre ; enfin on la voit ailleurs sur
Nuit exprimait les sucs assoupissans pour les répandre ensuite sur la
terre
. Au milieu du palais, on voyait un lit d’ébène co
es dieux, en reconnaissance de ce qu’il leur avait appris à fumer les
terres
. Ses autres enfans furent les Faunes, qu’on mit d
: on lui offrait des sacrifices pour la conservation des fruits de la
terre
. Vertumne Vertumne, dieu des jardins et
ands salons. Oh ! que j’honore en sa misère Cet aveugle errant sur la
terre
, Sous le fardeau des ans pressé, Jadis si grand p
pent. On l’honorait surtout le jour de sa naissance, en répandant par
terre
une grande quantité de fleurs, et en lui présenta
vait son génie particulier, par l’opinion où l’on était que l’air, la
terre
, les eaux étaient remplis d’êtres invisibles qui
; D’un bras de fer courbe le front des rois, Tient sous ses pieds la
terre
assujétie, Et dit au temps : « Exécute mes lois.
e, Fuit et revient sans cesse à ce palais terrible ; Et de là, sur la
terre
il verse à pleines mains Et les biens et les maux
n voile léger flotte sur ses épaules, et descend à longs plis jusqu’à
terre
; elle tient dans ses mains un frein et un compas
adressés. Rousseau. Thémis Thémis, fille du Ciel et de la
Terre
, était regardée comme la déesse de la justice, do
édon, Lycus, Péryclymène ; il étouffa dans ses bras Antée, fils de la
Terre
, à qui la fable donne soixante-quatre coudées de
e sous la condition qu’il ne la regarderait point qu’il ne fut sur la
terre
. Proserpine, à ce prix, couronnait sa tendresse
ncesse, Agénor ordonna à Cadmus d’aller chercher sa sœur par toute la
terre
, jusqu’à ce qu’il l’eût trouvée. Ayant parcouru i
avait au milieu du front. Arrivé près de la Toscane, Ulysse envoya à
terre
quelques hommes de son équipage. Circé, fameuse m
s rois, que donner à des dieux ? C’est le cœur qui fait tout : que la
terre
et que l’onde Apprêtent un repas pour les maîtres
réé la Fable ; elle a peuplé de ses Divinités imaginaires le Ciel, la
Terre
, la Mer, le Ténare, et consacré ses mensonges ria
. Celui dont la Vaste puissance, Embrasse la
Terre
et les Cieux, Jupiter, ignoré des Mortels et des
eux par les lois de la guerre, Ce Dieu vainquit Saturne, exilé sur la
terre
, L’Aigle reçut le don de l’immortalité. Le nouvea
Ecrasa sous leur poids les Géans terrassés. Du sang de ses enfans la
Terre
au loin fumante, Craignit de voir sa race avec eu
irrité de ce dernier attentat le chassa du Ciel. Apollon exilé sur la
terre
, fut réduit à garder les troupeaux d’Admette, et
isan de Lemnos, De l’Océan mobile a ciselé les flots, Et l’orbe de la
Terre
environné de l’onde, Et le cercle des Cieux, voût
figure diffère, et pourtant se ressemble, On reconnoît des sœurs. La
Terre
offre à la fois, Ses hameaux, ses cités, ses fleu
ntissant qui porte le tonnerre, Ton disque ouvre la nue et rassure la
terre
. Baour-Lormian 16. Bacchus, Fils de Jupite
r, Dont il perce les airs lorsque, d’un vol rapide, Il franchit ou la
Terre
ou la plaine liquide. Le Dieu prêt à partir fait
u’on désiroit en eux ; Lui seul étoit parfait. Telles gens sur la
terre
, Se rencontrent souvent : d’un mépris bien si
Phrygie à un monstre marin. D’un coup de trident, il fit sortir de la
terre
le premier cheval, et enseigna l’art de dompter c
renversés, le couteau dans le flanc, Ils mordent la poussière, et la
Terre
est vengée, La Terre boit leur
s mordent la poussière, et la Terre est vengée, La
Terre
boit leur sang. O vous ! démons sortis des t
tel Hymen, une union si chère, Si l’on en voit, c’est le Ciel sur la
Terre
. Voltaire 35. Le même à d’ Arge ntal . O
je le connois, mon père ; Et presque toujours sur la
Terre
, Je l’ai vu l’ami des méchans, F
Du moins nous ne reverrons plus Les sots dont la
Terre
est couverte. Et puis, tout est aveugle en cet hu
e Dieu qui porte des grelots, Ne laissa pas d’être utile à la
Terre
, D’abolir des abus, de réparer des maux,
Portant le désordre et l’effroi, Sépara les Dieux de la
Terre
. La Terre, en ces premiers ins
froi, Sépara les Dieux de la Terre. La
Terre
, en ces premiers instans, Parut soumi
Souverain absolu de ses fougueux sujets, enfans de l’Air et de la
Terre
, il les tenoit renfermés dans les antres les plus
fort 54. Tempête. On lève l’ancre, on part, on fuit loin de la
terre
: On découvroit déjà les bords de l’Angleterre :
laine : L’ambre plus pur exhale ses odeurs ; Un gazon frais couvre la
terre
ardente, Et fait jaillir une moisson de fleurs ;
s De coins dorés et de pavis ; Mille grenades entr’ouvertes Sèment la
terre
de rubis : Orange douce et parfumée, Limons et po
pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades timides, Le fruit sur la
terre
tombé Brille, s’élève en pyramides, Et remplit le
t du marteau, ni le cri de la scie ; Les chars ne roulent plus sur la
terre
durcie. Par-tout un long silence image de la mort
On finiroit ses jours, sans les noircir de crimes, Si l’homme sur la
terre
étoit toujours enfant. Ah ! qu’il seroit un être
et divine, L’année a parcouru le cercle des saisons, Depuis que cette
terre
, hélas ! où nous marchons, Du respectable Anchise
s mains, le lait, le vin sacré, Et le sang le plus pur ont humecté la
terre
. De fleurs il la parfume, et s’écrie : « O mon pè
gni 66. Déesses Cybèle ou Rhéa, Fille du Ciel et de la
Terre
, femme de Saturne et Mère des Dieux. On la r
eux dans leur guerre, De leur sang, l’un par l’autre, ils arrosent la
terre
. Heurtant avec horreur leurs casques radieux, Ils
arder au bain. La biche lui est consacrée. On l’appelle Diane sur la
Terre
, Phébé dans le Ciel, (Voy. Nuit), Hécate aux Enfe
nte diversement son origine. Les uns la disent Fille du Ciel et de la
Terre
; les autres de Jupiter et de Dioné. Plusieurs la
Mer, et c’est l’opinion la plus reçue. Au moment de sa naissance, la
Terre
sous ses pas, s’émailla de fleurs ; autour d’elle
lle de Cécrops ; il crut l’emporter sur elle, en faisant sortir de la
terre
, avec son trident, un superbe coursier. Minerve,
le a tracé l’histoire. L’œil étonné voit sa lance d’airain Frapper la
terre
avec un long murmure ; Et l’olivier qui jaillit d
distance, Et perce également, embrassant l’Univers, L’épaisseur de la
terre
, et le cristal des airs. Dubois-Fontanelle 76.
bèle. Pendant qu’elle cherchoit sa fille Proserpine par toute la
terre
, elle arriva chez Eleusius, Roi de l’Attique. Ell
cependant que sa fille passeroit six mois de l’année avec elle sur la
terre
. Cette Déesse préside particulièrement aux moisso
ançoit au printemps ton Aigle déchaînée, Pour annoncer la foudre à la
Terre
étonnée. Au retour des combats tes vertueux guerr
nt les mœurs. Saint-Lambert 78. Thémis, Fille du Ciel et de la
Terre
, et Déesse de la Justice. On la figure avec un
oyez Gaîté et Nature champêtre. Aurore, Fille de Titan et de la
Terre
. A la naissance du matin, elle ouvroit les po
e siècle heureux où cette Déesse descendit du ciel et vint habiter la
terre
. Enchantée de l’innocence de ces premiers temps,
vés sans combats, Des blés sauvés de la faux des soldats. J’y vois la
terre
enfanter des miracles ; Et la nature attentive à
reins agitoient un air pur : Les fruits d’eux-mêmes abondoient sur la
terre
: Les élémens n’étoient jamais en guerre, Jamais
e, toujours vagabonde, elle voloit jour et nuit d’une extrémité de la
terre
à l’autre. Elle se plaçoit sur les lieux les plus
étoit infatigable, elle ne se taisoit jamais. Entre le Ciel, la
Terre
, et l’empire des ondes, S’élève un vieux Palais,
t la division parmi les Dieux. Chassée du Ciel, elle vint troubler la
Terre
. Ennemie du bonheur des hommes, elle éteignoit le
malheur, Par ses forfaits du Ciel chassée, Vers cette
terre
, hélas ! jusqu’alors fortunée, Dir
nger le crime, elles tourmentoient les scélérats et les impies sur la
Terre
. Sans cesse acharnées contre eux, elles les pours
Guerre : C’étoient trois sujets excellens ; Tout l’Enfer et toute la
Terre
Rendoient justice à leurs talens. La Mort leur fi
Leur nourriture est friande et légère. Quelques Eurus, envoyés sur la
terre
, Leur apportoient les parfums des autels : Sur de
Qui d’un dragon terrible à tous les yeux, Dispersa les débris sur la
terre
fumante. d’Arnaud 131. Thésée, Fils d’Egée
lane sur nos têtes. Immobile d’étonnement La
Terre
garde le silence : On croit voir une nu
nt son parjure : une flèche tomba sur le pied dont il avoit frappé la
terre
. Sa plaie exhalant bientôt une odeur infecte et i
l’autre connus par d’affreuses misères, Le destin nous rassemble aux
terres
étrangères, Et peut-on envier à deux cœurs malheu
tré son nom. Les Dieux irrités des crimes des hommes, engloutirent la
terre
sous les eaux : le genre humain y périt. Deucalio
emple ont touché les degrés, Chacun d’eux à genoux, prosterné vers la
terre
, Du seuil avec respect baise humblement la pierre
est légitime : Non, non, les Dieux jamais n’ont ordonné le crime. La
terre
est en effet l’aïeule des humains : Les pierres s
s ébauchés par le ciseau des arts. Le limon emprunté des fanges de la
terre
, S’anime, s’organise et fait vivre la pierre ; La
rmé des flèches du tonnerre, Renversa sous ses coups les enfans de la
terre
. Des rochers de l’Etna, l’un d’eux est écrasé ; U
. A leur affreux supplice échappa Prométhée : Il frémit, en voyant la
terre
inhabitée ; Et ses fils malheureux à jamais englo
; Il projette, exécute, et l’homme est modelé. Colardeau 153.
Terre
, éveille-toi ; la Déesse (Minerve.) Vient éclaire
s’écartèrent de leur route, et s’approchant ou s’éloignant trop de la
terre
, ils y brûloient ou y glaçoient tout. Jupiter for
’enfuis en tremblant. A peine Phaéton eût vu, dans l’étendue, La
Terre
au loin, au loin abymée et perdue, Il pâlit, il c
s chevaux de Phœbus… Les nuages brûlans s’exhalent en fumée. La
terre
en ses hauteurs est d’abord enflammée, Elle se fe
ous les Romains, Les destins ont promis l’Empire des humains. La
terre
au loin se fend, s’entr’ouvre, et la Iumière Des
ente est remplie. Mon fils, que de dangers ont menacé ta vie ! Que la
Terre
et Neptune ont trahi mes souhaits ! Et que j’ai c
nds donc que le Ciel et ses astres divers, Le globe de la Lune, et la
Terre
et les Mers, D’un principe commun, d’une ame univ
à que sont nés l’homme et les animaux, Peuple immense des Airs, de la
Terre
et des Eaux. Cette vigueur, ce feu dont la source
es douleurs, Le chagrin, les désirs, la joie et les terreurs. Vers la
terre
toujours ce vil fardeau l’entraine ; Et même, qua
n puisa toujours l’orgueil avec le sang : Inconnu, dans le sein d’une
terre
étrangère, Je me croyois encor au trône de mon pè
r punir le plus noir des forfaits, La Grèce vient d’armer le Ciel, la
Terre
et l’Onde, Déjà ses bataillons, secondant sa
Dont l’une en ces jardins va promener ses ondes, Et l’autre, sous la
terre
, en un profond canal, Aux bains de la Cité va ver
qu’il avoit commis en dérobant le feu du Ciel, envoya Pandore sur la
terre
avec la boîte fatale où étoient renfermés tous le
er, Quand il parloit ainsi, la paix la plus profonde, Le repos sur la
terre
et le calme sur l’onde, Promettoient aux humains
este ; Cet innombrable essaim s’échappa dans les airs, Retomba sur la
terre
et traversa les mers. Les plaisirs, la santé, la
lie. Ses noces furent très-brillantes : fous les Dieux du Ciel, de la
Terre
, des Eaux, des Enfers y assistèrent. La Discorde
able Gronde dans les airs : Un voile effroyable Couvre l’Univers : La
Terre
tremblante Frémit de terreur : L’Onde turbulente
Dieu plus fort que toi dépend ta destinée : Tu peux faire trembler la
Terre
sous tes pas, Des Enfers déchaînés allumer la col
il descendit aux Enfers, combattit la Mort, et ramena Alceste sur la
Terre
. Les adieux d’Alceste mourante, à son Epoux.
t la femme d’Hector ! Ah ! qu’aujourd’hui plutôt sous des monceaux de
terre
, Le gouffre du tombeau dans ses flancs me resserr
igué par la crainte, De ses tygres altiers, ne redoute l’atteinte. La
Terre
avec respect s’incline sous ses pas : C’en est fa
infinies L’oiseau nagea dans l’air, le poisson sous les eaux ; Et la
terre
en ses champs reçut les animaux ; Mais il manquoi
roits, Et, Roi des animaux, leur imposât des lois. Alors, soit que la
Terre
, et jeune et vigoureuse, Recelât dans son sein un
la brute, esclave tributaire, Courba sou front servile, et regarda la
Terre
, L’homme avec majesté lève un front gracieux, Et
jusques aux sombres bords ; J’ouvrirai sous mes pas les antres de la
Terre
: J’irai braver Pluton, j’irai chercher les morts
d’un amour si tendre. Ch œu rs . Que le Ciel, que la
Terre
et l’Onde Brillent de mille feux divers
rps la moitié se resserre, Rampe, s’alonge en queue, et glisse sur la
terre
. Le tissu de sa peau, de taches azuré, Se nuance
orps se dissout et distile à longs flots. Sous mes pieds en bassin la
terre
s’est creusée, Et mes cheveux épars se fondent en
nde fidelle Court et veut se mêler à mon onde rebelle. Diane ouvre la
terre
, et la terre en son sein, Par des détours obscurs
ourt et veut se mêler à mon onde rebelle. Diane ouvre la terre, et la
terre
en son sein, Par des détours obscurs, me fraye un
ive est tout prêt : il va finir ma vie. Enfoncé dans les flancs d’une
terre
ennemie, Placé dans des rochers où fa fixé ma ma
, Dieux, hâtez le retour. Que Teucer me retrouve, et qu’il rende à la
terre
Le cadavre sanglant de son malheureux frère ; De
nter. A jamais avec toi je m’en vais habiter. O jour ! ô Salamine ! ô
terres
paternelles ! Fleuves sacrés, et vous, mes nourri
rs, Les Satyres sur-tout à l’envi le pleurèrent ; Leurs larmes sur la
terre
ensemble se mêlèrent ; Et de-là naît un fleuve, h
e mirant dans sa vaste opulence ; Palais pompeux, ameublemens exquis,
Terres
, châteaux sur l’orphelin conquis ; Chez ses amis
Sois plus modeste, impérieux Arcas : Penses-tu conserver les
terres
, les contrats, Qu’à ses foibles voisins arracha t
r n’écouter que vous. Dumas 219. Echo, Fille de l’Air et de la
Terre
. Nymphe qui se plaisoit aux bords du fleuve
honneurs que l’on rend à la fille de Cée, Elle, qui vit le Ciel et la
terre
, et les mers, La vouloir sans pitié, bannir de l’
ieux trésors des fertiles moissons. La Nature en effet y demande à la
Terre
, Sans travaux et sans soins, un tribut volontaire
— Delille 227. Python. Monstrueux Serpent, né du limon de la
terre
après le déluge de Deucalion. Junon, jalouse de L
ots indignés. De l’écume empoisonnée De ce reptile fatal, Sur la
terre
profanée. Naquit un germe infernal : Et delà, nai
vent prête même force Au vice qu’à la vertu : De la céleste rosée, La
terre
fertilisée, Quand les frimats ont cessé, Fait éga
ur, secouant ses cheveux, Il fit trembler l’Olympe, et les mers et la
terre
, Et sa bouche indignée exhala sa colère. Ovide.—
x. Là, du sang des humains on voit suer les marbres, On voit fumer la
terre
, on voit rougir les arbres, Tout y parle d’horreu
r, De l’Olympe brillant nuancèrent l’azur. Ici le soc en main, sur la
terre
docile, Le laboureur joyeux trace un sillon facil
des morts, Brisant l’urne qui les resserre, Par les entrailles de la
terre
Son onde arrive sur ces bords. Non loin, sous deu
e, D’un bras de fer couvre le front des Rois, Tient sous ses pieds la
Terre
assujettie, Et dit au Temps : exécute mes lois257
répands tes bienfaits. Tantôt, loin de nos yeux dans les flancs de la
terre
, En rubis enflammés tu transformes la pierre ; Tu
urs rives dévastées : L’Apennin a tremblé jusqu’en ses fondemens ; La
terre
ouvre en tous lieux des abymes fumans, Des plus f
jets désolés t’adressent leurs soupirs ? Si par l’ambition de la
Terre
bannie Tu crois devoir ta haine à tes profanateur
urs bras sanglans. De quels débordemens de sang et de carnage La
Terre
a-t-elle vu ses flancs plus engraissés ? Et quel
, Du fier Mars et de toi sait discerner le prix : Ton sceptre rend la
Terre
en délices féconde ; Le sien ne fait régner que l
eur fut jaloux. D’Arnaud 264. Douleur, Fille de l’Air et de la
Terre
. On la représente sous la figure d’une femme
Qui l’arracha de ses forêts. Sous la main du travail, la
Terre
fit éclorre Les prémices heureux de sa fécondité
vagabond, le Dace sanguinaire, Et le guerrier Latin, conquérant de la
Terre
, Craint tes funestes coups : De l’Ori
ux foibles athlètes, Périssables travaux du reste des Mortels ! De la
terre
, en extase, obtenir des autels, Voilà
n abyme. On lira l’Enéide, et Tityre, et les Bois, Tant que Rome à la
terre
imposera des lois ; On relira les vers que Tibull
es yeux fais ton prix. Latouche 275. S’il est un Mortel sur la
terre
Digne d’échapper au tombeau, Ce n’est point l’ama
s d’Ithaque, S’il n’eût eu pour guide Mentor. Dieux ! sous mes pas la
terre
s’ouvre ! Quels objets ! quel abyme affreux ! Mon
ouble sa rage, Tisiphone, sortant du gouffre des Enfers, Epouvante la
Terre
, empoisonne les airs ; Et sur les corps pressés d
ois ; Ils comblent le bercail, s’entassent dans les plaines ; Dans la
terre
avec eux on enfouit leurs laines : Envain l’onde
eguerle 291. Ce don brillant, ce don suprême, Sur la
Terre
émané des rayons éternels, Nous ap
Génie étincelle et fermente sans cesse, Des prodiges des Cieux, de la
Terre
et des Mers. Il forme une immense
bare, il croit ou feint de croire honorer le Ciel en ensanglantant la
Terre
, et chérit la Religion en lui déchirant le sein.
à table ou dorment dans leur lit : J’interroge les Dieux, l’Air et la
Terre
et l’Onde. Le puissant Jupiter fait son tour en d
a fraude et les combats : Libre, paisible, heureux dans le sein de la
Terre
, Il n’entend point gronder les foudres de la guer
, Nous font braver cent fois l’inclémence des airs, Les dangers de la
terre
et le péril des mers. Des plus heureux climats, d
ur, ce calme, objet de nos travaux, Que nous cherchions envain sur la
Terre
et les eaux. Bernis 306. Des champs d’O-Ta
qui poursuit un grand nom ? Disciples des neuf Sœurs, qui consolez la
Terre
, Césars, qui l’embrasez des flambeaux de la guerr
emps. Quoi ! le Grand Homme, quoi ! le Sage, Qui des arts sur la
Terre
allume le flambeau ? Lui qui par des bienfaits y
Elle supposait qu’un être supérieur appelé Démogorgon ou Génie de la
terre
avait tiré les élémens des Ténèbres, lesquels por
avoir : l’Erèbe, le Tartare et la Nuit ; ou l’Erèbe, le Tartare et la
Terre
; et chez Hésiode, le grand historien de la théog
ntos ou l’Océan, d’où naquirent Phorcys, Thaumas, Eurybie, Céto et la
Terre
; puis après avoir établi cette espèce de généalo
Ouranos ou Uranus, ou le Ciel, et le marièrent à sa sœur Titée ou la
Terre
, appelée aussi Gê, Géa, Géris et Apia. Cette alli
ux, que l’on supposait devoir se trouver au fond des entrailles de la
terre
. Cette exécution des centimanes ayant fort déplu
les de la terre. Cette exécution des centimanes ayant fort déplu à la
Terre
, celle-ci voulut, pour se venger de son vieil épo
ssitôt après cette mutilation, le sang d’Uranus ayant rejailli sur la
terre
, il put encore cependant la féconder, et la rendr
i fit mettre au jour Aphrodite. Enfin, dégoûtée de son vieux mari, la
Terre
fit alliance avec la Mer, qui alors portait le no
et dont l’origine fut long-temps attribuée à la seule puissance de la
Terre
; il en résulta trois fils, Nérée, Thaumas, Phorc
’espace occupé par le Ciel, ainsi que la surface et l’intérieur de la
Terre
, qui ne tarda pas à ne plus être qu’une personnif
ecque ; cependant on reconnaissait encore pour fils d’Uranus et de la
Terre
Andès, Anitus, Anax, Ostase, de Syrie, Inceste, E
itée, surtout dans l’île de Crète, donnant pour père à Uranus et à la
Terre
, un roi scythe appelé Acmon, fils lui-même de Man
’honneur d’être mis au rang des dieux, avec le titre de Très-Haut. La
Terre
, de son côté, fut, comme on le sait déjà, fort in
que nous connaissons une partie des résultats des inconstances de la
terre
, il est utile de bien nous fixer sur ses diverses
rs points de vue sous lesquels elle était envisagée. Ainsi la vieille
Terre
, l’antique épouse d’Uranus, c’est-à-dire la matiè
thée ou la Mère des Dieux. Sous cette forme de grande génératrice, la
Terre
, alors connue sous le nom de Cybèle, n’était plus
n sommeil par un songe impur, et du haut du ciel laissa tomber sur la
terre
une écume divine qui donna lieu à un génie hermap
ctère d’homme ; mais aussitôt après cette mutilation on vit sortir de
terre
un amandier dont les fruits mûrs éveillèrent tell
Atys, privé de force immédiatement après qu’il devient infidèle à la
Terre
, cette vieille planète son amante, si bien caract
de suite femme de Chrone ou Saturne, déjà connu pour être fils de la
Terre
, laquelle n’est qu’un synonyme de Rhéa. Mais qu’o
ment dit Saturne, après avoir mutilé Uranus, à la demande de Gê ou la
Terre
sa mère, et après avoir épousé Rhée sa sœur, se f
om grec signifie abeille, et que d’autres les fassent enfans ou de la
Terre
ou des Pluies. Leur patrie est aussi incertaine,
voués au culte particulier de Rhée, sa mère, qui au fond n’est que la
Terre
, comme le seront pour nous par la suite toutes se
filles Hestia ou Vesta, Cérès et Junon, doit être considérée comme la
Terre
. Son nom dérivant du grec veut dire couler, parce
la Terre. Son nom dérivant du grec veut dire couler, parce que de la
terre
découlent toutes les choses. Quelques savans fais
ou Rhée. En effet, déesse du feu et spécialement du feu central de la
terre
, elle devait le jour à Saturne et à Rhée, ou, sui
a Prisca, représentée tenant un tambour à la main pour montrer que la
Terre
renferme les vents dans son sein, et une seconde
leur chemin. Vesta était donc la déesse du feu, de l’intérieur, de la
terre
, et la patrone de la virginité. On appelait Estié
Porte-faulx, Vitisator ou le vignicole, était fils d’Uranus et de la
Terre
, et frère des Titans. Après avoir obtenu de Titan
s de colère, il l’arracha de dessus son trône et le précipita vers la
terre
. Ainsi chassé des cieux vers l’an 2,000, suivant
ou 1,325 av. J.-C., suivant les autres, il tomba sur cette langue de
terre
que les Grecs appelaient Hespérie, et que nous no
uples qu’il dirigeait, en leur montrant à vivre de peu, à cultiver la
terre
et à la rendre fertile. Dès-lors aussi, il instit
lle de l’Aurore et d’Astérus, roi d’Arcadie, descendit du ciel sur la
terre
pour ajouter au bonheur des hommes. Plus tard, à
rfectionnant tous les jours. Saturne, après un assez long exil sur la
terre
, remonta vers le ciel, où il fut spécialement cha
ère, il veut qu’on sache en outre que le Temps aussi, descendu sur la
terre
, peut dévorer le monde ; enfin, en laissant pour
nous allons maintenant suivre en détail. Un oracle, que le ciel et la
terre
avaient rendu, ayant prédit à Saturne qu’un de se
e heureux de la fécondité générale et de la puissance nutritive de la
terre
. Alors une partie fut prise pour le tout : sous l
renfermés dans le Tartare, et que Jupiter, par le conseil de Gê ou la
Terre
, venait de délivrer en tuant Campée, qui était pr
, nous le voyons, pour fuir les traits foudroyans, se plonger dans la
terre
qui lui ouvrait son sein, et se trouver immédiate
de ses oncles ; et pendant ce démêlé, elle descendit des cieux sur la
terre
, et resta auprès des hommes pendant tout le siècl
fond du Tartare, sous la garde de Campée, monstre femelle, née de la
Terre
et probablement d’Uranus, et dont le nom grec sig
Dieux choisis, et nommés Uranus, Saturne, Genius, Bacchus, Pluton, la
Terre
, le Soleil et la Lune, auxquels on joignit et l’o
cain, Mercure, Apollon, Junon, Minerve, Diane, etc. ; les Dieux de la
Terre
, Cybèle, Vesta, Pan, les Faunes, les Nymphes, les
t les forces pouvaient remuer les rochers et les montagnes. Nés de la
Terre
fécondée du sang qui coula de la plaie d’Uranus m
Lune et au Soleil de paraître, de peur de découvrir ses desseins à la
Terre
, mère des Géans, qui cherchait à les secourir ; p
onée au-delà du cercle de la lune où il expire privé du secours de la
terre
, et fait rouler son char sur Encelade, qui veut a
us n’avons point parlé, en citant les Géans, d’un monstre, fils de la
Terre
, auquel on attribue sa naissance. Il s’appelait É
tre, à tort, avec les Géans. Considéré par les uns comme enfant de la
Terre
et de l’Érèbe, c’est à Junon, selon d’autres, qu’
i remit deux œufs, et lui dit qu’en les déposant soigneusement sur la
terre
, il en naîtra bientôt un être assez formidable po
n. Aloé était un assez brave homme, quoique issu des Titans et de la
Terre
; il avait épousé Iphimédie, fille de Triops ou T
aussi : la race impure, insolente et impie qui se trouvait habiter la
terre
, et qui, plus d’une fois, avait pris part aux div
a paix au séjour des Dieux. Cependant les eaux s’étant retirées et la
terre
suffisamment desséchée, Jupiter voulut la repeupl
verses guerres que nous avons vues, fut chassé du ciel et jeté sur la
terre
. Ce qui nous prouve que chez les Dieux d’autrefoi
de férule, rempli d’une mœlle pareille à l’amadou, et revient sur la
terre
animer sa statue, et communiquer ainsi aux mortel
ire tous les dons, celle qui la porte, et lui dit de descendre sur la
terre
et d’aller l’offrir à Prométhée. Ce qu’elle fait
Pyrrha de l’alliance d’Épiméthée avec Pandore. Ce repeuplement de la
terre
, par la seule habileté de Prométhée, n’est pourta
le fut par Deucalion et Pyrrha, qui décidèrent que leur mère était la
Terre
, et que ses os étaient les pierres. Dès-lors ils
probablement, dépeuplèrent autrefois quelques-unes des contrées de la
terre
. On en rapporte un arrivé, en effet, vers l’époqu
n, il ne s’échappa qu’un seul homme et une femme, qui repeuplèrent la
terre
en jetant derrière eux, non des pierres, mais les
eut Déjanire, Clymène, Méléagre et Gorgée, père de Thoas. Dès que la
terre
fut ainsi repeuplée, Jupiter, du haut de son trôn
suivons les légendes vulgaires. Lycaon, rejeton des Titans et de la
Terre
, est probablement le roi primordial de l’Arcadie,
reille obéissance, obtint de Pluton la permission de retourner sur la
terre
pour punir sa femme, puis en suite ne voulut plus
humanité. La jalousie du pouvoir le tourmentait comme un grand de la
terre
; un seul exemple le prouvera suffisamment : Péri
itable Jupiter, d’un Dieu puissant, toujours chéri et respecté sur la
terre
. Si Jupiter eut souvent à punir, il eut aussi que
oulut les visiter. Il se fait donc suivre par Mercure, descend sur la
terre
et entre avec lui dans la cabane des époux. A leu
ainsi Arrachion, après avoir vaincu tous ses adversaires, fut jeté à
terre
et étranglé par le dernier qui lui restait à comb
d’un nombreux cortége, dans lequel on remarquait la Renommée, que la
terre
, disait Virgile, avait enfantée pour publier les
rmenter l’ame des méchans sous le nom d’Euménides ou de Furies sur la
terre
, et sous celui de chiennes du Styx dans les enfer
a Discorde ou l’Injure chez les Romains ; sa fâcheuse présence sur la
terre
, disaient ces peuples, venait de ce qu’elle avait
u de Gabie chez les Volsques, Héra ou la maîtresse, ou la dame, ou la
terre
prise dans son sens le plus large, Henniocha ou q
s en temps conter fleurettes aux diverses belles de l’Olympe et de la
terre
. Ces nombreuses infidélités étaient loin de plair
dans le sein de cette déesse, mais seulement par sa volonté et sur la
terre
qu’il vint au jour. Plusieurs mythologues, peu so
de cuivre ou d’or, et la suspend avec une enclume entre le ciel et la
terre
; il était même si furieux, que Vulcain ayant vou
est due à une goutte de lait, tombée du sein de cette déesse, sur la
terre
. Quoique pour mieux l’honorer, les Romains donnas
urne, lui fit produire Typhoé, et son jaloux orgueil fit surgir de la
terre
le dieu Mars. Cependant quelques mythologues font
t de Tharcos. A ces Cabires on rattachait Anax, fils du Ciel et de la
Terre
, et Actyle, fils de Zethès et de Philomèle, tué a
espèces de magiciens métallurgiques, voués au culte d’Uranus et de la
Terre
. Les noms de ces dieux métallurgiques de la Crète
faisant son lit, et glissant sur l’arc-en-ciel pour descendre sur la
terre
, aidée du battement de ses ailes : c’était enfin
chement de Latone ; elle fait également promettre à sa grand’-mère la
Terre
, de ne pas fournir la plus petite place où cette
t de se fixer voulut obtenir de Jupiter la promesse que la portion de
terre
dont elle était souveraine, deviendrait par la su
es brutes de la nature, combattant pour soutenir le vieux culte de la
terre
, contre Apollon, menaçant de lui faire succéder l
rs en esclavage. Peut-être ce Titye ou Tityus, dont le nom signifiait
terre
ou boue, était-il un Tyran de Panope, ville de Ph
ueil, se plaignit à ses deux enfans, qui soudain, descendirent sur la
terre
pour la venger. L'occasion ne tarda pas, car quel
but qu’on lui prêtait, ainsi elle se nommait Diane ou Artémise sur la
terre
, et alos elle présidait à la chasse, aux chasseur
, Neptune et Minerve furent loger un jour en faisant un voyage sur la
terre
. Ces Dieux voyant qu’il les recevait aussi bien q
dre de femme avec lui. Aussitôt les Dieux, après avoir détrempé de la
terre
avec de l’eau, en avoir rempli la peau du bœuf qu
ollon de la nommer ainsi que Minerve la Vierge blanche. Diane sur la
terre
, à part ses amours secrets qui ne comptent pas pu
pour que ses amours avec Endymion ne fussent point divulguées sur la
terre
. Pour la mettre en possession de sa nouvelle char
te dans cet empire qu’aux ames pour lesquelles on avait offert sur la
terre
une Hécatombe ou sacrifice de cent victimes, et l
rillant, Elée ou le compâtissant, Eléléen ou le tournant autour de la
terre
, Elios et Elion, et Hélios ou le Soleil, Enholmos
se, Teneatès ou de Tenéæ près Corinthe, Thargelios ou qui échauffe la
terre
, Thelxinoé, Thorius qui voit tout, à Thésène, The
t dont Junon se servit au profit de sa haine, était né, dit-on, de la
Terre
après le déluge de Deucalion. Appollodore raconte
sons pestilentielles qui s’élevèrent pendant le desséchement de cette
terre
fétide et qui furent dissipées par la chaleur bie
éjà elle était enchaînée au bord de la mer, quand Hercule descendit à
terre
avec une foule de ses compagnons appelés Argonaut
irruption de la mer détruisit les digues et laissa en se retirant les
terres
couvertes de cadavres et de limon. Bientôt la cha
l’horizon grec borné au couchant par la mer. Pendant son exil sur la
terre
, Apollon inventa les accords mélodieux de la lyre
piter et de Mnémosyne ou la mémoire, fille elle-même du Ciel et de la
Terre
, et sœur par conséquent de Saturne et de Rhée. Ju
rence. Apollon, tout en étant de retour au ciel, revenait donc sur la
terre
où ses talens lui suscitèrent plusieurs jaloux, d
rou et se retira. Quelque temps après des roseaux ayant poussé sur la
terre
et s’étant desséchés, répétaient les paroles indi
re : c’était, disait-on, la balance dont Astrée s’était servie sur la
terre
pour purger les hommes avant qu’elle retournât au
on. A peine Apollon fut-il retourné au ciel que son culte prit sur la
terre
le plus grand développement, tant en Grèce que pl
nneur d’Apollon-soleil et de Diane-lune comme auteurs des biens de la
terre
dont on leur offrait les prémices cuits dans un v
s de sa vie. Apollon avait un culte généralement répandu sur toute la
terre
; en Perse, en Egypte, en Grèce, en Italie, le Di
sur laquelle il traversait les airs. Il prédisait les tremblemens de
terre
, chassait la peste, apaisait les tempêtes et fit
à diverses intelligences célestes faisant connaître aux peuples de la
terre
leurs volontés par l’entremise de certains indivi
interpréter ces phrases ou de lire cette volonté aux astres ou sur la
terre
, et de la transmettre toujours d’une manière ambi
upiter ; aussitôt il lui apparut sous la forme d’un bélier, frappa la
terre
du pied et en fit jaillir une source. Alors on lu
our. On la disait fille de Titan, ou de Pallas, ou du Soleil et de la
Terre
, ou, suivant Hésiode, de Théa et d’Hypérion, et s
vie par la jalousie ou par la vengeance de Diane qui fit sortir de la
terre
un scorpion dont la piqûre le fit mourir, ou bien
de la médecine. Apollon, pendant ses séjours, tant au ciel que sur la
terre
, eut de nombreuses intrigues : beau, brillant, of
quoique souvent on le fasse passer aussi pour fils du Soleil et de la
Terre
, ou de Canacé ; Cléobule était une nymphe qu’Apol
llon : alors désespérée elle se laissa mourir de faim, couchée sur la
terre
, les cheveux épars et les yeux continuellement to
de la loi de l’inflexible destin, le Dieu du jour arrosa de nectar la
terre
qui renfermait ses dépouilles mortelles, et aussi
sée, roi des Lapithes, ou, suivant d’autres, du fleuve Pénée et de la
Terre
, attira l’attention du dieu, qui la transporta en
dans le temple de Bacchus. Aloé, fils du Soleil et de Circé ou de la
terre
ou de Canacé, reçut de son père pour héritage l’A
au meurtre de Ténagès, son frère ; Castalius passait pour fils de la
terre
, mais habituellement on lui donne Apollon Delphiq
peut les considérer comme d’habiles cavaliers qui, sans mettre pied à
terre
, lançaient de loin leurs traits et fuyaient aussi
as, ils tarissent les rivières et brûlent les montagnes. A la fin, la
terre
desséchée jusqu’aux entrailles porte ses plaintes
ons d’épouse, passe généralement pour une des filles du Ciel et de la
Terre
, comme nous l’avons indiqué, en parlant des Titan
se toute puissante, puisqu’elle était censée disposer des biens de la
terre
, et que les Grecs supposaient l’intelligence qui
Grecs supposaient l’intelligence qui apprit aux hommes à cultiver la
terre
, à semer et récolter les grains, à faire le pain,
caverne inconnue à tous les Dieux. Elle y resta si long-temps que la
terre
, frappée de stérilité, par suite de cette absence
evint et avec elle on vit renaître l’abondance et la fertilité sur la
terre
. Aussi depuis ce jour, elle fut pour la Grèce la
s bras et se plongeant dans un gouffre qu’il vient de faire ouvrir en
terre
sous ses pas d’un coup de son trident, il l’empor
dant on assure que Minerve donna la première charrue qui parut sur la
terre
à Myrmex, sa jeune favorite, laquelle, ayant ajou
ent remonter à Eumèle, roi de Patres, lequel lui apprit à cultiver la
terre
et à construire des maisons et même des villes. C
x et de recevoir des mains de Jupiter même le secret d’ensemencer les
terres
et de faire venir des moissons ; mais plus effray
uis ces évènemens n’offre plus rien de remarquable. C'est toujours la
terre
, si on la considère dans son ensemble de Cérès, m
ans son ensemble de Cérès, mère, et de Proserpine, sa fille, c’est la
terre
éclairée, quand elle est Cérès seulement, et la t
fille, c’est la terre éclairée, quand elle est Cérès seulement, et la
terre
interne et obscure lorsqu’elle est sous la forme
e interne et obscure lorsqu’elle est sous la forme de sa fille. Cette
terre
éclairée tout en se couvrant de moissons a besoin
eté. S'unit-elle avec Jupiter, on voit que sans le maître du monde la
terre
ne peut rien ; est-ce avec Neptune qu’elle fait m
tune qu’elle fait momentanément alliance, c’est pour nous dire que la
terre
a besoin du concours de l’eau pour engendrer ; la
la lumière dans les ténèbres, et vice versâ ; on faisait trembler la
terre
sous leurs pieds ; on cherchait a les effrayer pa
fs. Le neuvième jour enfin, ou Plémochoé, c’est-à-dire le vaisseau de
terre
, nom qui lui venait de celui d’un vase à fond pla
es, se faisait lentement, en contemplant successivement le ciel et la
terre
et en prononçant un mot mystique mal expliqué jus
contraire, comme celui qui devait avoir montré aux hommes à fouir la
terre
, des béliers entourés de guirlandes de narcisses
vec une faucille à la main, ou deux enfans à la mamelle ou traînant à
terre
deux cornes d’abondance. Cérès est rarement nue,
ription d’une seule déesse, est la personnification allégorique de la
terre
productive, mais n’accordant sa fertilité à l’hom
ansport et au nettoyage des grains ; Consiva et Ops, la semence de la
terre
; Falacer, dieu romain des arbres fruitiers ; Fau
ns : Seïa, dieu italique, présidant à la conservation des semences en
terre
; Segetia, déesse des moissons ; Semina et Séra,
r ou Subruncinator, dieu latin des sarclages ; Tellurus ou dieu de la
terre
cultivable ; Terensis, dieu latin du battage des
té l’une des femmes de Jupiter. C'était une fille de l’Ether et de la
Terre
, ou suivant les Phéniciens d’Uranus qui, voulant
les tristes résultats qui suivent souvent de pareils mariages sur la
terre
. Vénus accepta tout en boudant ; mais se promit e
de l’Olympe ; bientôt elle compta pour amant tant au ciel que sur la
terre
, Jupiter, Mars, Mercure, Apollon, Bacchus, Adonis
l’olympe un dieu brillant qui revenait de passer un long exil sur la
terre
, et dont Jupiter à la fin avait reconnu la puissa
us le cri du mourant ; aussitôt celle-ci se précipite éperdue vers la
terre
, court à travers les ronces et les rochers, se je
alheur, Cypris veut au moins qu’un souvenir de son amant reste sur la
terre
; elle recueille donc quelques gouttes du sang de
té exerçait ses malices dans le sombre empire comme au ciel et sur la
terre
, elle s’attache donc aussitôt à Proserpine, et la
lui pendant l’hiver, ou les apparitions périodiques des fruits de la
terre
. Mais le positif, c’est qu’il y a dans le sens ca
trop comment satisfaire ses désirs incertains, elle descendit sur la
terre
, prit la figure de la belle Lycaste, épouse de Bu
s s’enivrèrent de toutes les voluptés qu’ils purent recueillir sur la
terre
et dans les cieux. De ce rapprochement naquirent
le prouve enfin la puissance énorme que la beauté peut exercer sur la
terre
. Du reste, nous avons dit qu’elle avait sous sa d
bite à raison de 26,718 lieues par heure. Elle est plus petite que la
terre
, sa distance moyenne du soleil, est de 24,966,000
gée, c’est-à-dire arrivée à l’endroit de sa course le plus près de la
terre
. Enfin l’on peut rattacher à Vénus, plusieurs div
i, indignée des vices et de la corruption des hommes, avait quitté la
terre
en même temps que Némésis. Compagne de la beauté,
Eros, et que Vénus l’adopta. Sapho le donne pour fils au ciel et à la
terre
; Alcée à Erix ou la discorde, fécondée par l’air
s à leur perte. Alors il fut, d’après Hésiode, fils du Chaos et de la
Terre
; d’après Simonide, de Vénus et de Mars ; d’après
vengeances. Ainsi Vénus ayant appris un jour que certain peuple de la
terre
lui comparait une nommée Psyché ou ame, fille d’u
syne déesse de la mémoire, que l’on a vue déjà fille du ciel et de la
terre
, et qui fut également séduite par Jupiter, sous l
ux regards jaloux de Junon la fit se cacher dans les entrailles de la
terre
, où elle mit au monde le géant Tityas ou Titye, q
el arriva le fameux déluge, ou du moins un des fameux déluges dont la
terre
ou quelques unes de ses parties furent couvertes.
urveillant incommode. L'habile messager descend donc bien vite sur la
terre
, se fait lui-même humble berger ; puis aux doux a
il porta le nom de Tellumo par allusion aux richesses que renferme la
terre
. Plutus avait un frère appelé Philomèle, qui, nég
cap. Alors brandissant sa lance, elle fit trembler l’Olympe, gemir la
terre
, bouillonner l’Océan, et frappa de stupeur les co
peinture et la broderie ; elle mit Pandore, avant sa descente sur la
terre
, en état de filer, de tisser, de broder et de cou
s utile aux nouveaux habitans serait vainqueur. Neptune fit sortir de
terre
d’un coup de trident un superbe cheval que l’on a
dépouille d’un monstre terrible que nous appellerons dragon. Né de la
terre
sur le sol phrygien, il vomissait des torrens de
institutions législatives. Elles le faisaient passer pour fils de la
terre
et de Praxithée femme d’un Erichthée ou Erichthon
vons enfant de Vulcain et de Minerve. Ceux qui donnaient à Cécrops la
terre
pour mère, l’avaient en conséquence appelé Gègénè
87 avant J.-C., avait un nom qui signifiait à la fois contestation en
terre
; il semblerait donc être venu après Cécrops et C
finit par s’ennuyer dans le sombre empire de Pluton et revint sur la
terre
pour continuer à enseigner à ses habitans à vivre
ance de ce qu’il avait le premier accouplé les bœufs pour labourer la
terre
. On mettait auprès de lui un tronc de chêne pour
passait pour être né à Malé dans l’île de Lesbos, et pour fils de la
terre
et de Mercure ou d’Uranus. Lorsque Bacchus fut de
ris, ou de Calisto, ou de Mercure, et de Pénélope ou du ciel et de la
terre
; il vint au monde avec les cuisses, les jambes,
l ayant vu Pan la tuer en la jetant de rage contre un rocher, pria la
Terre
de la faire revivre sous une autre forme, et alor
grosse coquille, il en tira des sons si effrayans, que les fils de la
Terre
, saisis de peur, s’échappèrent en désordre, et vo
ur marquer les possessions, lorsque l’on commence l’ensemencement des
terres
, on le représentait sous forme d’une borne, comme
. Quant à celui qui revenait des enfers, il se mettait à parcourir la
terre
sur un petit cheval appelé Cyllarus. Plusieurs an
n chercha dans ces contrées à faire croire à leur réapparition sur la
terre
; du reste leur culte jouissait partout de la plu
l au repos, pour montrer qu’ils n’étaient jamais tous les deux sur la
terre
, espèce d’immortalité astronomique, indiquant peu
ie, dont nous donnerons bientôt la description. 11° Antée, fils de la
Terre
et de Neptune, était un géant de 64 coudées de ha
e fils d’Alcmène, après l’avoir terrassé trois fois, s’aperçut que la
Terre
, sa mère, lui rendait de nouvelles forces à chaqu
volé des chevaux à Apollon, pendant qu’il était simple berger sur la
terre
, enleva encore à Hercule douze chariots richement
pour défendre l’approche de ces fruits Hespérius ou Ladon, fils de la
Terre
ou de Typhoé et d’Echidna, dragon terrible à cent
à cette demande, Atlas se serait débarrassé sur lui du fardeau de la
terre
et serait allé les lui chercher, puis lorsqu’il r
ace et Triceps ou qui possède un triple pouvoir, tant au ciel, sur la
terre
, que dans les enfers ; Trismégiste ou trois fois
ou le messager présidant aux chemins, Trophonius ou qui restait sous
terre
, Xudân ou le portier chez les Etrusques. Puis vie
t la donna à Ganymède ; puis le chassa de l’Olympe et l’envoya sur la
terre
garder les troupeaux avec Apollon ; mais bientôt
corps, de les conduire aux enfers, et rarement de les ramener sur la
terre
. Mercure ne fut pas toujours le messager amoureux
ec la vertu, vif ou mort, de toujours savoir ce qui se passait sur la
terre
; Eudorus, fils de Polymèle, fut élevé par son gr
On croyait que ces lares étaient les ames des hommes vertueux sur la
terre
, qui intercédaient les Dieux, pour leurs parens e
représentait par de petites figurines d’argent, d’ivoire, de bois, de
terre
, qu’on plaçait au coin du foyer ou derrière la po
r et d’Etna, fille de Vulcain, qui se cacha dans les entrailles de la
terre
, pour se soustraire aux regards de la jalouse Jun
e Junon ; au terme de l’accouchement, ces frères jumeaux sortirent de
terre
; on leur éleva un temple où ils prononçaient des
t et veulent venger leur sœur ; mais son sang qui vient de toucher la
terre
, ayant donné naissance à une foule de serpens, ai
st plus connu sous le nom de Sterquilinus, inventeur de la fumure des
terres
. Ce Pilumne devait être le père de Damnas et aïeu
i mourut en le mettant au monde, d’où l’on supposa qu’il sortit de la
terre
, qu’on lui donna ensuite pour mère. Il voulut, on
lexicacus ou le libérateur, Asphalion et Asphaliée ou qui affermit la
terre
; Basileus ou le roi chez les Trézéniens ; Cerule
ou d’Egée dans l’Eubée ; Ennosigeus et Ennosichton ou qui ébranle la
terre
; Epacteus ou qui préside aux rivages à Samos ; E
lées ; Saturnius ou le fils de Saturne ; Sisichthon ou qui ébranle la
terre
; Stabilitor ou l’affermisseur ; Suniarate ou de
fermisseur ; Suniarate ou de Sunium ; Téméliouque ou qui consolide la
terre
; Taureus et Tauriceps ou le cornu ; Tritentifer
eut l’empire des mers. Quand les Dieux, chassés par les enfans de la
terre
, se retirèrent en Égypte, Neptune les y suivit so
, et les condamna, nous l’avons vu, à rester pendant une année sur la
terre
. Nous nous souvenons aussi pourquoi Neptune irrit
e présent le plus utile. Neptune, d’un coup de son trident, frappe la
terre
et soudain le cheval s’élance du sein de la terre
trident, frappe la terre et soudain le cheval s’élance du sein de la
terre
; mais la sage Minerve donne naissance à l’olivie
x, et que l’on croyait assez puissant pour exciter les tremblemens de
terre
, faire sortir les îles du fond des eaux, affermir
e Rhésus ; Salamine, mère de Cenchrius ; Syma, mère de Chthonius ; la
Terre
, mère d’Antée, de Céto et d’Ogygès ; Théophane, f
Harpyes subalternes. On les supposait remplir les mêmes fonctions sur
terre
que les furies remplissaient dans les enfers ; on
, après un combat opiniâtre, il le tue, puis il sème ses dents sur la
terre
Soudain, des masses d’hommes armés ou Spartes sur
d’eux, et pour le prouver, il fut seul jusqu’au bois de Colone, où la
terre
s’entr’ouvrit et l’engloutit pour toujours. Après
fut obligé de fuir le long de l’Ismène. Soudain Jupiter entr’ouvre la
terre
et chevaux, char, écuyer, prince, tout s’englouti
eut : Alithersus, Énudus, Parthénope, Périlas et Samos ; Antée, de la
terre
ou d’Astypalée ; Anthès d’Alcée, fut écorché par
he Oncée, ou bien il était le cheval que Neptune avait fait sortir de
terre
d’un coup de son trident devant Athènes ; on l’at
appris qu’elle avait un commerce avec Neptune, son père ; Céto de la
terre
, Chius d’une nymphe de l’île déserte de Chio ; Ch
vents, divinités inférieures que l’on faisait enfans du ciel et de la
terre
, ou à Athènes, d’Astréus et d’Héribée ou d’aurore
moins le plus redouté ; car il causait les orages, les tremblemens de
terre
; il était toujours enveloppé de brouillards dans
ujours enveloppé de brouillards dans les cieux et de poussière sur la
terre
; suivant Pindare, il était le roi des vents, il
Grèce ; d’autres le croyant né dans le pays, le faisaient fils de la
terre
, et de quelqu’un des insulaires. Ils lui font, en
anube, transportèrent à bras, pendant plus de cinquante lieues sur la
terre
, leur vaisseau qui manquait d’eau, le mirent à fl
tira donc bien vite ce tison précieux, l’éteignit et fut le cacher en
terre
; mais le roi son mari ayant oublié Diane ou Cérè
elques mots. Cet Océan, comme on le sait, était fils du ciel et de la
terre
, il régnait sur la mer, les fleuves et les rivièr
it rendu père d’Aceste. Dyras, dieu-fleuve de la Thessalie, sortit de
terre
pour prêter secours à Hercule. Égée, fleuve confo
s lorsqu’il en but. Méandre, fleuve de la grande Phrygie, fils de la
terre
et de l’Océan, et père de Cyanée, mère de Caunus
d’Atys, coulait en grande partie dans la Phrygie, il était fils de la
terre
ou d’un roc primordial. Scamandre, fils de Coryb
ent pénible, elle voulut fuir, mais en vain ; ses pieds attachés à la
terre
s’y implantèrent, formèrent des racines, et son c
, ou le dieu sauveur ; Dis ou qui préside aux richesses du sein de la
terre
; Iao et Jou et Juve ou le grand Pluton-Jupiter-S
els ; Postulio ou le demandeur des bords du lac Curtius, parce que la
terre
s’étant entr’ouverte dans cette localité, les aus
ne d’Eleusis, il la trouve de son goût, la saisit, l’enlève, ouvre la
terre
d’un coup de son trident et se précipite avec ell
oires, brûlait de l’encens entre ses cornes, tournait sa tête vers la
terre
et lui ouvrait le ventre avec un instrument appel
sence divine, de fille divine, de fille de l’éblouissante lumière, de
terre
en surface prise comme Cérès et en noyau comme ép
des morts n’était pas tout-à-fait le même. Les Grecs qui bornaient la
terre
éclairée aux cîmes de l’Atlas et aux colonnes d’H
re empire en quatre départemens distincts : dans le plus voisin de la
terre
, ils plaçaient l’Erèbe, que l’on prenait souvent
Plus loin on trouvait le Tartare, prison des Dieux : il supportait la
terre
et les mers, il était placé à une égale distance
sées, que Lucien plaçait dans la lune, Plutarque dans le centre de la
terre
, Denys, le géographe, dans les îles Blanches, d’a
s îles Fortunées ou Heureuses, Homère et Hésiode, à l’extrémité de la
terre
sur les bords de l’Océan, et le plus grand nombre
s l’haleine des vents ne venait altérer, et des trois moissons que la
terre
y produisait ; elles y écoutaient avec bonheur le
t environ mille ans dans les champs Elysées, puis retournaient sur la
terre
habiter d’autres corps. Presque tout alors avait
x manes, qu’à l’instant où cette victime avait les yeux fixés vers la
terre
, puis en brûlant l’animal tout entier, avec les l
pas toujours coulé dans le séjour des morts. Fils du soleil et de la
terre
, il promenait le cristal de ses ondes au milieu d
perdre le souvenir des maux que leurs corps avaient soufferts sur la
terre
. Sur le bord de ses ondes tranquilles, comme sur
nt à cause de la mauvaise qualité de ses eaux qui, disparaissant sous
terre
, avaient laissé supposer qu’elles se rendaient au
e tribunal terrible qui était chargé de juger les actes commis sur la
terre
par les ames des morts que Mercure lui amenait. C
es Champs Élysées. Il eut pour se faire aider dans ses travaux sur la
terre
, Andrée ou Andrié, cru fils d’Ananius, et Anion,
ennis, c’est à dire l’épouse de l’Érebe, était fille du ciel et de la
terre
, suivant quelques auteurs, ou plus généralement d
e cachait sous la figure des êtres inanimés, tels que les plantes, la
terre
, les rochers et les fleuves. Les songes vrais, qu
nt, la durée et la fin de l’existence de tous les êtres vivans sur la
terre
, portaient les noms et surnoms suivans : Carmènes
; elles déterminaient le temps que chaque mortel devait rester sur la
terre
; elles ne lui révélaient qu’une partie de ses de
hommes ; elle tenait une quenouille descendant du ciel jusque sur la
terre
et chargée de laine blanche ou noire, ou mêlée de
’était elle qui chantait les évènemens passés ; elle demeurait sur la
terre
et présidait d’une manière spéciale aux destinées
ruit, des espèces de fantômes que l’on nommait Hécatées, sortaient de
terre
, et prédisaient l’avenir. Cette déesse n’était, p
de la Discorde suivant les autres ; de Saturne d’après Hésiode, de la
Terre
et des Ténèbres selon Sophocle, et même Épiménide
s son sein leurs flambeaux. Elles faisaient commencer pour lui sur la
terre
, les supplices éternels des enfers. Toutes les to
était le symbole des rigoles qui portent sur les champs l’eau dont la
terre
s’imbibe continuellement. Les têtes des Égyptides
mme qui s’offrirait à ses regards lorsqu’il aurait mis le pied sur la
terre
de Crète. En arrivant dans ses états, le premier
sur un vaisseau qu’elle fait préparer secrètement et s’éloigne d’une
terre
qui lui était désormais odieuse, pour aller cherc
nt tenant l’occasion par les cheveux. Demogorgon, génie ou dieu de la
terre
en Arcadie. Démon, génie invisible qui, chez les
un temple à Athènes. Incubones, génies gardiens des entrailles de la
terre
; ils portaient, disait-on, de petits chapeaux qu
personnifiait le serment et qu’Hygin a fait fils de l’Ether et de la
terre
. Juventa et Juventas, déesse de la jeunesse, prés
Vitulation, dans laquelle on lui offrait les prémices des biens de la
terre
; Voltumna et Volumnia, déesse étrusque des délib
aissa pour enfans ou du moins se scinda et donna naissance à To ou la
Terre
, supposée ainsi être un mâle, et à Potiri ou le C
e l’Egypte, et montra l’usage que l’on pouvait faire des fruits de la
terre
; il substitua des lois douces et humaines aux co
monde au bonheur de ses sujets et répandre les lumières par toute la
terre
. Dans ce dessein, il confia le gouvernement de se
gea Triptolème d’aller enseigner aux Athéniens l’art d’ensemencer les
terres
. Pendant l’absence d’Osiris, son frère Typhon s’é
jours comme une Cérès, ou comme la puissance divine qui fertilise les
terres
, étaient célébrées par les Egyptiens, à l’instant
n la peint aussi couronnée de tours ou de cornes droites, et ayant la
terre
sous les pieds, pour marque de sa puissance. Har
t un génie égyptien qu’il faut prendre pour la personnification de la
terre
, en tant qu’elle est fécondante et qu’elle possèd
du bonheur. Nefté est plutôt une divinité passive qu’active. C’est la
terre
inféconde, mais que l’on peut féconder. Osiris eu
mais à tout l’espace intermédiaire qui se trouve entre la lune et la
terre
; et, par conséquent, ayant sous sa domination le
estre, Bouto II, ou l’atmosphère ; Athor II, ou l’eau, et Nefté ou la
terre
. Quand on féminise Pooh, on lui substitue habitue
ains, comme Fta, pour emblème le vase sacré avec lequel il stimule la
terre
, la colonne de stabilité à quatre plateaux, le sc
res eut pour femme la dynaste Nefté ou Natfé, ou Rhée ou Cérès, ou la
Terre
des Grecs, déesse formant la transition de Bouto
piter ; puis l’on connaissait Baal-Thurz, ou Mars, Baal-Pharas, ou la
terre
, et Baal-Gad ou Baal-tide, ou Vénus-Uranie, qui p
trouvent trois écuelles de bois et une vingtaine de petites boules de
terre
qui servent, lorsqu’on veut le consulter sur un é
pêche et à la navigation. Kossi n’est autre chose qu’un sac rempli de
terre
blanche et surmonté de cornes, placé dans une pet
nin comme l’être suprême, comme l’invisible créateur du ciel et de la
terre
, et comme souverainement bon. Ils ne lui rendent
ar excellence avec Agd, qui n’est autre que la Cybèle des Grecs ou la
terre
personnifiée. Ce feu père d’Agdistis que nous avo
, la partie supérieure devint le ciel, et la partie inférieure fut la
terre
. De sa tête sortit l’espèce humaine. Omorka est l
inférieure de la tête entourée de rayons, semblant se diriger vers la
terre
. Nous avons vu naître Eon et Protogone, d’Agd et
ombats qu’il entreprit. Il fut navigateur, guerrier et commerçant sur
terre
; au ciel, il était le soleil. On le représentait
oitié poisson et moitié homme ; il passait pour fils du ciel et de la
Terre
. Ce fut lui qui montra aux habitans de la Syrie à
a aux habitans de la Syrie à se servir de la charrue pour labourer la
terre
et la rendre fertile ; aussi le regarde-t-on comm
l, pour pleurer la mort de Thammouz ; la statue du soleil se jeta par
terre
; même le lendemain elles retournèrent dans leurs
rons plus loin les diverses catégories ; puis il créa Mritloka, ou la
terre
, avec ses deux luminaires, et enfin, il forma les
uras, ou génies funestes et amis des ténèbres et du mal. Cependant la
terre
restait sans habitans ; alors, pour la peupler, B
livres sacrés des Indiens prétend que Brahmâ ne peupla point ainsi la
terre
, mais qu’il donna naissance à quatre fils, Brahmâ
utcham ou béatitude ; ensuite elle s’évapora et ne revint plus sur la
terre
. Les filles d’Aghdi furent mariées à neuf des plu
le ; elle est tout-à-fait exclusivement terrestre ; cependant, sur la
terre
, sous la terre, dans les cieux et dans les enfers
out-à-fait exclusivement terrestre ; cependant, sur la terre, sous la
terre
, dans les cieux et dans les enfers, rien n’égale
-dessous du Souarga, il plaça Bhouloka, ou Mritloka, autrement dit la
terre
. Quant aux groupes principaux des créations de B
s-haut, Brahmâ est condamné à rester sur la surface de Mritloka ou la
terre
, comme dans un purgatoire, pour y subir quatre in
soir, en jetant trois fois de l’eau avec les creux de la main sur la
terre
et vers le soleil, qu’ils adorent ensuite comme l
r et le purificateur des hommes, l’irrigateur et le fertilisateur des
terres
et des plantes, et le protecteur de la navigation
u fond des eaux, les ames des pécheurs, qui ne doivent revenir sur la
terre
qu’après de longues épreuves, et lavées de toutes
c’est cette puissance calorifique qui existe dans les cieux et sur la
terre
. On le représente avec deux visages, l’un, symbol
ait la police du monde ; il présidait à la prospérité des biens de la
terre
, et quoique dieu bienfaisant, c’est celui auquel
les campagnes, ainsi que ses chapelles toutes ornées de chevreaux en
terre
cuite. Amogha, épouse de l’ermite Santanou : un
ussi ne peut-il être représenté. Cependant, il s’est manifesté sur la
terre
, en s’incarnant sous les traits de Mecis, fervent
phant, lequel s’étant emparé de la couronne avec sa trompe, la jeta à
terre
et la foula aux pieds. Alors Dourouvaça, furieux,
rs portent de petites statues de cette déesse, formées d’une certaine
terre
sacrée, gardée par des prêtres. Les initiés à ses
u le roi de la justice, et gouverne et juge les vivans, au nord de la
terre
, dans l’Inde septentrionale, séjour des Dieux. Mr
uffrances des damnés, chercha à éteindre les flammes en renversant la
terre
et en enlevant tout ce qui brûle dans les enfers,
mense que fit sortir de sa chevelure mouillée l’ange qui préside à la
terre
en défendant Samanakodom ; ensuite, il fut précip
r le mont Mérou, qui s’enfonçait déjà dans la mer, et empêcher que la
terre
changeât de face et s’abimât sous les eaux. Alors
nou se métamorphosa en un sanglier nommé Varaha. Alors, il souleva la
terre
sur ses défenses et l’arracha une seconde fois au
e les lui accorder, aussitôt Vichnou, dans ces trois pas, embrasse la
terre
, le ciel et l’enfer. A cette vue, Bali s’avoue va
endue. En effet, tantôt Vichnou s’abaisse, se sacrifie pour sauver la
terre
d’une perte certaine, et s’incarne comme membre d
ennemis et n’exigeant de ses adorateurs que foi, amour, mépris de la
terre
et abnégation de soi-même ; alors, à lui seul, il
n sanglier, se présenta à Erouniakcha, le mit en pièces, et ramena la
terre
au-dessus des eaux. Erounia, ou Erounia-Raciapa,
e ; aussitôt Vamana développe ses jambes immenses, mesure d’un pas la
terre
, de l’autre le ciel, et du troisième va embrasser
ue nul Dieu ne pouvait vaincre, Rama n’ayant plus rien à faire sur la
terre
, bâtit un temple sur la rive de l’Hanoumanou, en
t de Krichna. On le représente enfant, ayant une main et deux pieds à
terre
; tantôt il est dansant, tantôt méditant, tantôt
’un cheval lancé au galop, dont trois pieds seulement poseront sur la
terre
; le quatrième sera levé pour la vengeance. Dès q
ième sera levé pour la vengeance. Dès qu’il le laissera tomber sur la
terre
, les pécheurs seront précipités dans l’abîme, la
tomber sur la terre, les pécheurs seront précipités dans l’abîme, la
terre
sera réduite en cendres, et la tortue qui soutien
ent et l’injurièrent ; à la fin le vieillard ramené violemment sur la
terre
les foudroya d’un seul regard. Satiadjit, adorat
ia ou l’habitante du lotos ; Louki ou Lokadjanitri ou Lokamata, ou la
terre
; Gaouri ou l’abondante ; Mohani-Maïa, ou la ravi
lles ; elle a aussi près d’elle un sac ouvert et semble verser sur la
terre
les richesses et l’abondance, comme une semence f
et funeste produisant la discorde et la misère ; elle défertilise les
terres
et dessèche les ames. Elle est la personnificatio
hmi, et de tout ce qui est bon et beau, laborieux et productif sur la
terre
comme aux cieux. Aussi finit-elle par tomber dans
ini. Accompagnée du fils de Dévaki, elle fit le tour de l’Inde, de la
terre
et des cieux. Elle fut cause de la guerre dans la
e la guerre dans laquelle le géant aux cinq têtes périt. Bhoumi ou la
Terre
éplorée, s’étant jetée à ses genoux en lui donnan
été blessé de la flèche qui fait aimer. Sambara, terrible fils de la
Terre
, épris des charmes de Rati, veuve de Kama, jeta P
mouillé que les lèvres de Rahou, le décapita. Son corps resta sur la
terre
, mais sa tête s’éleva dans les cieux, où elle fai
is yeux ; Tripourandaga, ou l’habitant des trois villes : le ciel, la
terre
et l’enfer ; Vamadeva, ou le dieu nain ; Viroubak
l’humidité primitive que la chaleur du soleil rend productive pour la
terre
féconde et pour l’eau caractérisée par le Gange,
ec lui les ames des pécheurs, et les précipiter dans les flammes. Sur
terre
, on leur offre des victimes humaines ; de cette K
servateur, et du destructeur, j’ai donc fait le tour du ciel et de la
terre
, ainsi mon voyage est terminé. Skanda s’avoua vai
fle attaque quelquefois les Dieux et les force à aller mendier sur la
terre
. Mais, en définitive, les Dieux viennent toujours
mmortelles. Enfin il résolut d’aller prêcher sa doctrine par toute la
terre
, et de rendre les hommes meilleurs. Ni les pleurs
rses dans les saints qui l’avaient précédé. Aussitôt Gotama frappa la
terre
de son pied, et Okien Tingri, le génie tutélaire
les de toute morale, puis, à l’âge de quatre-vingts ans, il quitta la
terre
et son enveloppe corporelle pour se réabsorber en
ur le bûcher de leurs époux. De plus, suivant les Brahmes, hors de la
terre
sacrée de Bharatha, ou de l’Inde, point de salut
, et monté au ciel tout en venant réhabiliter l’espèce humaine sur la
terre
, se localise dans le seul grand prêtre du Bouddhi
lais de Ghougor, Dieu des enfers. Ces ames reviennent quelquefois sur
terre
pour annoncer des malheurs et pour effrayer les p
on débarque des marchandises, on commence d’abord par poser l’idole à
terre
en continuant toujours de faire du feu. Le soir,
e quatre pouces de hauteur. Chaque année, les Chinois établis sur une
terre
étrangère renvoient leur idole pour en faire reve
pas il est innocent et acquitté ; car Foudo, pendant qu’il était sur
terre
, restait des années entières dans une fournaise a
et du Coromandel ; puis il envoya des disciples dans l’intérieur des
terres
, pour y répandre sa doctrine, et fit parvenir ain
’ils percevaient un dixième des revenus et possédaient un dixième des
terres
. Leurs sectateurs fort puissans, sous l’ancienne
Alors surgiront de ce vaste incendie un nouveau ciel et une nouvelle
terre
, dégagés de toute ombre, de tous crimes, et dont
evad. Ardibéhecht préside au feu, à la santé, aux productions de la
terre
et à la grandeur de l’univers, au dixième mois de
asfand ; seulement c’est une déesse, née d’Ormuzd ; elle préside à la
terre
et à l’agriculture, elle donne du courage aux hom
iculture, elle donne du courage aux hommes et de douces chaleurs à la
terre
; elle recueillit les restes de Kaïomorts. On lui
atificateur du peuple céleste et des hommes qui ont été justes sur la
terre
; c’est lui qui est chargé de recevoir les ames j
éroch, ou Tachter, ou Tir, Ized qui préside aux eaux de pluie et à la
terre
. Il est sur terre ce qu’est Ormuzd au ciel ; auss
ou Tir, Ized qui préside aux eaux de pluie et à la terre. Il est sur
terre
ce qu’est Ormuzd au ciel ; aussi l’invoque-t-on a
, il est chargé de puiser les eaux, et de les envoyer en pluie sur la
terre
. Il est tantôt sous la forme d’un cheval héroïque
ui préside à la santé. Zémiad, Ized femelle chargée de présider à la
terre
. Enfin, nous terminerons cette liste des Izeds pa
son rival, il lui fut impossible de rester, et il redescendit sur la
terre
sous la forme d’un serpent ; alors, il souilla d’
surrection générale. Alors une comète, traversant l’espace, heurta la
terre
et l’embrasa : les ames aussitôt se purifièrent d
ait et sent. Ce génie malfaisant fait tous ses efforts pour rendre la
terre
stérile, la couvrir de désastres, de plaies et de
i ramasse les graines, tombant de l’arbre-homme, et les répand sur la
terre
. Dans les processions en son honneur, on prend de
ose toujours être le véritable Hom-Arbre, planté dans le Kerman ou sa
terre
de prédilection ; deux Parsis sont chargés de cet
e fit périr à trente ans. La semence de ce premier homme tomba sur la
terre
, où le soleil la purifia ; l’Amchasfand Sapandoma
humains dont neuf, montés sur le taureau Sarécéokh, ne mirent pied à
terre
que sur les six Kechvars extérieurs du disque ter
gne primordial qui représente toutes les montagnes, et, par suite, la
terre
; il est l’emblème mâle de la génération. Cependa
ait le premier des Dieux après Peroun ; il présidait aux fruits de la
terre
; il avait sa fête le vingt-quatre juin ; elle se
part très-active. Nehallenie était à la fois l’onde irrigatrice, la
terre
fertilisée, et la lune à lueur pâle et bienfaisan
nom d’Alfafak, tous les Alfes ensemble. Avant qu’Alfader eût créé la
terre
, le monde, disent les légendes Islandaises, était
e dispensateur des pluies, du soleil, du beau temps, des fruits de la
terre
, des richesses et de l’abondance. S'étant épris d
’horribles souffrances, qui lui font pousser de tels hurlemens que la
terre
en est ébranlée. La captivité de Loke ne sera pas
t l’audace de faire charger de fers Grimnir, ou Odin, descendu sur la
terre
. Alors Agnar, âgé de dix ans, présenta au dieu en
mbek ou Iabmékérul, un des plus puissans esprits de l’intérieur de la
terre
; il préside dans Iabmé-Aimo, ou séjour des ames,
veillaient les richesses minérales qu’elles renfermaient. Iord ou la
terre
était fille de la Nuit et d’Annar, femme d’Odin e
n enfant dans ses bras. Lif et Lifthrasour, couple qui repeuplera la
terre
lorsqu’elle aura été détruite par le feu. Après l
étruite par le feu. Après la destruction du monde, dit la légende, la
terre
, par la seule énergie de ce couple fécondant, qui
et dispensant à son gré les produits de la chasse et les fruits de la
terre
. Paive, déesse du soleil, est une des trois divi
ins et en sacrifices. Les Valkiries sont des déesses habitant soit la
Terre
, où elles vont sur les champs de batailles tranch
, Dieu celte, adoré par les Gaulois et les Germains, était fils de la
terre
. Il avait sous sa domination la terre, les lieux
les Germains, était fils de la terre. Il avait sous sa domination la
terre
, les lieux souterrains, le sombre empire et la mo
u-Mars, ou de Cybèle. Hertus ou Heria, ou la divinité présidant à la
terre
chez les Suèves, qui lui portaient le plus grand
et l’on brûlait du suif en son honneur. Potrimp était le dieu de la
terre
et de tout ce qui a vie, et avec Pikollos et Perk
rtout les mains si longues que, quoique debout, il pouvait toucher la
terre
avec ses doigts sans se baisser. Kafa, Laighne e
mmençant notre voyage théocratique du nouveau monde par les premières
terres
américaines que l’on rencontre dans l’Océan, nous
bienfaisant de la Californie, passe pour le créateur du ciel et de la
terre
; mais bientôt Touparan, ou le principe du mal, v
lototl était l’esprit méchant ennemi des hommes, ne descendant sur la
terre
toujours sous la figure d’un hibou savant, que po
e Lancihuati, était le dieu du Miclan ou enfer, placé au milieu de la
terre
: il recevait les ames des coupables, tandis que
abaiba, mère des dieux chez les habitans de Panama ; elle vint sur la
terre
pour montrer et inventer toutes les choses nécess
te contrée ne prononçaient jamais son nom sans avoir d’abord craché à
terre
. A la Floride, on regardait ce dieu comme le souv
ns, est le créateur des rats et des vers qui ravagent les biens de la
terre
et les plantes. Lorsque ces peuples veulent se re
allée de Bogota. Botchica, furieux contre son épouse, la chassa de la
terre
. Elle, par son art magique, s’éleva dans les airs
un mauvais génie chez les Brésiliens : il enlevait furtivement de la
terre
les corps inhumés, si les parens du défunt n’avai
taient aussi ses images au bout de longs bâtons qu’ils enfonçaient en
terre
, et ordonnaient aux villageois de lui apporter de
a-Rahai, que l’on regarde aussi comme l’excitateur des tremblemens de
terre
, ce qui lui fait prendre le nom de O'Maouve. Aprè
r et d’Halmael, ou le couple divin primordial ; elle descendit sur la
terre
alors stérile, et la rendit productive ; car sa p
de tous ces enfans, Tane et Tarra quittèrent le ciel pour habiter la
terre
, excepté Taunou. Les Tavides sont des êtres surn
ation des principaux Dieux adorés jadis ou encore actuellement sur la
terre
; elle n’est pas aussi complète que nous aurions
357. Demodestas, 332. Démodocus, 115, 372. Démogorgon, ou génie de la
terre
, 3, 380. Démolée, 326. Démoléon, 243, 293, 359, 3
ux (les) de la mer, 33. Dieux de la Polynésie, 497. Dieux (les) de la
terre
, 33. Dieux (les) d’élite, 32. Dieux (les) de l’en
4. Termïnalis, 22. Terpsichore, 96, 133. Terpsicratie, 239. Terra, 5.
Terre
(la), 3, 3, 5, 33, 118, 141, 176, 268, 385, 396.
Titanomachie, 34. Titans, 3, 11, 89, 278. Titarise, 293. Titée, ou la
Terre
, 3, 5, 128. Tithie, 66. Tithion, 128. Tithon, 118
a vapeur qui produit le tonnerre, C’est Jupiter armé pour effrayer la
terre
. Un orage terrible, aux yeux des matelots, C’est
le, Fuit et revient sans cesse à ce palais terrible ; Et de là sur la
terre
il verse à pleines mains Et les biens et les maux
cti : c’étoient Saturne, Génius, le Soleil, Orcus, Bacchus, Janus, la
Terre
et la Lune. Les Dieux compris dans la seconde cla
n conçoit par le Cahos cette masse informe, dans laquelle le ciel, la
terre
, la mer, tous les élémens étoient confondus. Ava
Le Ciel passe communément pour le plus ancien des Dieux ; comme la
Terre
ou Tellus passe pour la plus ancienne des Déesses
oi. Il enseigna l’agriculture aux hommes ; il leur apprit à fumer les
terres
; et le temps de son règne fut appelé Age d’or. V
aisoit point la guerre ; Le bled pour se donner sans peine ouvrant la
terre
, N’attendoit pas qu’un bœuf, pressé par l’aiguill
t l’abondance, Disparoissent les saints Autels ; Déjà Phébus brûle la
terre
; Borée à son tour la resserre : Son sein épuise
donnoit du premier du secours aux humains, et qu’elle présidoit à la
terre
, comme Saturne au ciel. Nous omettons plusieurs a
t représentoit-on Cybèle ? R. On la représentoit assise, parce que la
terre
est stable ; de plus on lui donnoit un tambour qu
de plus on lui donnoit un tambour qui est le symbole des vents que la
terre
renferme, et elle avoit la tête ceinte d’une cour
es Géans contre l’usurpateur ; mais Jupiter terrassa ces enfans de la
Terre
à coups de foudre, et les accabla sous les montag
les maux de la nature, qui y étoient renfermés, se répandirent sur la
terre
; l’espérance resta au fond. Voici ce qu’en du pr
ultère D’adversités dont l’influence altère Les plus beaux dons de la
terre
et des cieux ? L’antiquité nous mit devant les ye
dangereux. Fatal désir de voir et de connoître ! Elle l’ouvrit, et la
terre
en vit naître, Dans un instant, tous les fléaux d
œur du maître du tonnerre ! Moi, la Reine des Dieux, du Ciel et de la
Terre
! Ah ! périsse ma gloire ; et faisons voir à tous
noms divers Apollon étoit-il connu ? R. On le nommoit Apollon sur la
terre
, et Phébus dans le ciel, parce qu’il conduisoit l
mais il le fit si maladroitement, qu’il pensa embraser le ciel et la
terre
. Roi des Dieux, armez-vous ; il n’est plus temps
ple Hécate. On l’appelle la Lune ou Phébé dans le ciel ; Diane sur la
terre
; Hécate dans les enfers. Les trois fonctions qui
ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vous venez sur la
terre
Régner dans les vastes forêts3 ; Votre no
es lois. (Fontenelle.) D. Comment Diane étoit-elle considérée sur la
terre
? R. Elle étoit considérée comme la Déesse des ch
ur un âne. D. Que fit Bacchus devenu grand ? R. Il parcourut toute la
terre
, et fit la conquête des Indes. On le regarde même
n dit Rousseau dans les vers suivans ; C’est lui qui, des Fils de la
Terre
Châtiant la rebellion, Sous la forme d’un fier li
r la naissance de Vénus ? R. Les uns la disent fille du Ciel et de la
Terre
, les autres de Jupiter et de Dioné : la plupart p
t Vulcain qui fait le tonnerre, Dont le maître des cieux épouvante la
terre
. (Lamotte.) On le regardoit comme le Dieu du feu
us belle et la plus utile. Minerve, d’un coup de lance, fit sortir de
terre
un olivier tout fleuri ; Neptune, d’un coup de so
des cieux, mon père !… Cris impuissans et vains regrets ! Au char la
terre
ouvre une voie, Et déjà le Styx voit la proie Que
rétend être un soupirail de l’Enfer. On avance que les tremblemens de
terre
ne sont autre chose que les mouvemens qu’ils font
) Seconde partie de la Fable. Des Dieux du second ordre. La
Terre
avoit ses Dieux, ainsi que le Ciel, la Mer et les
uit. D. La nuit n’est-elle pas considérée comme une Divinité de la
terre
? R. Oui, elle est la Déesse des ténèbres, et fil
? R. Oui, elle est la Déesse des ténèbres, et fille du Ciel et de la
Terre
. On la représente en long habit de deuil, parsemé
is. D. Qu’étoit Thémis ? R. Thémis, fille du Ciel et de la Thémis.
Terre
, est la Déesse de la Justice. On la représente av
eux, Dont la voix ressemble au tonnerre, Et qui des pieds touchant la
terre
, Cache sa tête dans les cieux ? C’est l’inconstan
it meurt en naissant de son germe infecté ; Les épis renversés sur la
terre
languissent : Le ciel s’en obscurcit, les astres
D. Qu’étoit Echo ? R. Echo étoit une Nymphe, fille de l’Air et de la
Terre
, qui répétoit les sons. Elle aima éperdument Narc
tous les étrangers qui abordoient dans ses états. 10.° Il délivra la
terre
d’un autre tyran, nommé Busiris, roi d’Egypte, qu
sein des tyrans il porte le trépas ; Et pour en délivrer la
terre
, Le foudre est moins fort que son bras.
e foie. Il défit et étouffa dans ses bras le géant Anthée, fils de la
terre
. Il habitoit les déserts de la Lybie, où il massa
de marcher sur ses pas, et s’appliqua particulièrement à délivrer la
terre
des monstres qui la désoloient. Résolu de périr
le, et marchant sur ses pas, J’entrepris de venger et d’affranchir la
terre
De monstres, de méchans échappés an tonnerre. (Ra
vroit, et qu’il ne la regarderait pas qu’elle ne fut de retour sur la
terre
. Orphée appercevoit déjà la lumière : il se retou
lieu même où il seroit conduit par un bœuf : Après avoir erré sur la
terre
et sur l’onde, Sans trouver Europe ma sœur
voile effroyable Couvre l’univers ; La
terre
tremblante Frémit de terreur ;
e-six ans après qu’il fut fait, il fut renversé pan un tremblement de
terre
. Un marchand Juif en acheta les débris, et en cha
colonies très-nombreuses, après s’être avancées dans l’intérieur des
terres
avec l’espoir d’y trouver plus de repos et de bon
ompues encore. La vertu, la vérité, ne trouvèrent plus d’asile sur la
terre
; elles remontèrent dans le ciel, et furent rempl
’autre, excitaient la fureur : de nouveaux combats ensanglantaient la
terre
; et combien ne fallut-il pas de meurtres pour co
se celui qui la suit. Aussitôt que cette grande vérité fut admise, la
terre
offrit le spectacle de quelques familles heureuse
s ; les eaux s’écoulaient au travers du mont Ptoüs. Des éboulemens de
terre
, et le limon entraîné par le fleuve Colpias, qui
es sources de l’Océan. A l’instant même de sa naissance, il frappa la
terre
d’un coup de pied, et fit jaillir la fontaine Hip
ntaine Hippocrène, si célèbre parmi les poëtes ; ensuite il quitta la
terre
et vola au séjour des immortels. Il habite le pal
eux circonstances, en disant que Pégase ne resta qu’un instant sur la
terre
, et dirigea son vol vers le séjour des dieux. Per
s ; et la fontaine Hippocrène, que Pégase fait jaillir en frappant la
terre
de son pied, désigne que les productions du génie
happé à son puissant ennemi, vint aborder dans une île éloignée de la
terre
ferme : là, son fils Icare voulut descendre avec
égal de son maître. Il inventa la roue dont se servent les potiers de
terre
. Ayant un jour rencontré une mâchoire de serpent
pour retrouver les restes du grand Thésée. Un aigle qui béquetait la
terre
, fit découvrir un tombeau dans lequel on trouva l
yage d’Anacharsis a écrit sur le plus illustre des héros. « Toute la
terre
est pleine du bruit de son nom et des monumens de
ule qu’on adore est un fantôme de grandeur, élevé entre le ciel et la
terre
comme pour en combler l’intervalle. Le véritable
l’attirer sur la mer ; et, lui ayant coupé tous les passages vers la
terre
, où il allait se rafraîchir et prendre de nouvell
. Cette victoire produisit la fable d’Antée, fameux géant, fils de la
Terre
. Pendant son combat contre Hercule, il reprenait
e, il reprenait de nouvelles forces toutes les fois qu’il touchait la
Terre
, sa mère ; mais le héros, l’ayant saisi dans ses
s, l’ayant saisi dans ses bras nerveux, le tint élevé au-dessus de la
Terre
, et l’étouffa. Cet Antée avait bâti la petite vil
, et d’empêcher que l’Océan, revenant à leur suite, ne ramenât sur la
terre
le désordre et la confusion qui régnaient au temp
tous les biens ; c’est-à-dire, que l’ancien bras du fleuve devint une
terre
très-fertile. Œnée, roi de Calydon, récompensa ce
mmit ce crime : le fleuve Achéloüs, dans un débordement, entraîna des
terres
qui bientôt formèrent des petites îles ; Alcméon
de ce fleuve les entraîna, et les métamorphosa en amas de sable et de
terre
. Parmi les travaux d’Hercule il faut remarquer le
stant et faible Athamas que Néphélé avait empoisonné les grains de la
terre
, et qu’elle causait la famine qui désolait la vil
s été labouré. Après ce travail, il était ordonné de semer dans cette
terre
des dents de dragon ; elles devaient sur-le-champ
the, sous le prétexte d’un accommodement. Ce jeune prince descendit à
terre
; Jason et Médée le firent massacrer, et firent d
l’orage cessa. Depuis ce temps, les feux que l’on voit souvent sur la
terre
se nommaient les feux de Castor et Pollux. Lorsqu
exauça la prière de Pollux. Ils se succédaient alternativement sur la
terre
et dans le royaume des morts. Cette fable est fon
es autels délaissés, envoya un sanglier monstrueux qui bouleversa les
terres
, déracina les arbres et ravagea les campagnes. Le
emplit l’oracle dans toute son étendue. « L’inceste triomphait sur la
terre
; mais le ciel se hâta d’en arrêter le cours. Des
fils de Capanée, entrèrent à la tête d’une armée formidable, sur les
terres
de leurs ennemis. « On en vint bientôt aux mains,
tacheraient au sang d’Œdipe tant qu’il en resterait une goutte sur la
terre
, mirent une autre famille sur le trône. Ils chois
es de s’accoutumer à tout, excepté au repos et au bonheur. « Toute la
terre
avait les yeux fixés sur les campagnes de Troie,
e en a faite. Dans l’espoir de garantir ce temple des tremblemens de
terre
, on le bâtit dans un lieu marécageux ; mais, pour
enfermer sa fille Danaé. Ce temple fut détruit par un tremblement de
terre
: il fut englouti dans une crevasse. On le rempla
il paraît que l’architecte a voulu lui donner la forme du globe de la
terre
, et un très-grand nombre de temples antiques avai
dieux, qui remplissaient les niches, ont été pillées ou cachées sous
terre
. Lorsque le célèbre Michel-Ange eut bien étudié l
’abord consulté ; Eschyle, dans sa tragédie des Euménides, dit que la
Terre
d’abord y rendit des oracles, ensuite, Thémis, et
rendit des oracles, ensuite, Thémis, et après elle Phœbé, fille de la
Terre
et mère de Latone. Cette dernière transmit ses dr
médier à cet accident assez fréquent. On dressa sur l’ouverture de la
terre
une machine que l’on nomma trépied, parce qu’elle
nous apprend rien sur la vie de Trophonius ; il dit seulement que la
terre
s’étant entr’ouverte sous ses pieds, il fut englo
ites échelles. Une seconde caverne se présente ; il faut se coucher à
terre
, et tenir dans chaque main une composition de mie
aient. On sortait de l’antre comme on y était entré, en se couchant à
terre
, et les pieds les premiers. Aussitôt l’on demanda
it à ses amis la santé, et découvrait tous les trésors cachés sous la
terre
. Ces chroniques, plus poétiques que fidèles, dise
e et le temple : ces intelligences en dirigeaient les opérations ; la
terre
, l’eau, le feu, l’air, le soleil, la lune, les as
l’air et l’homme qui doit toujours vivre ; et avant que le ciel et la
terre
fussent, ce dieu était déjà avec les géans. Il es
abitans de la Grèce croyaient que le dieu céleste s’était uni avec la
terre
pour produire les divinités subalternes, l’homme
’était là-dessus qu’était fondée la vénération qu’ils avaient pour la
terre
. Ils l’appelaient la terre mère, la mère des dieu
ondée la vénération qu’ils avaient pour la terre. Ils l’appelaient la
terre
mère, la mère des dieux. Les Phéniciens adoraient
; les Grecs et les Romains, Saturne et Ops. Les Scythes servaient la
terre
comme une épouse du dieu suprême ; Tacite attribu
euples du nord de la Germanie. On ne saurait douter que Hertus, ou la
terre
, dont il parle, n’ait été la même que la Fréa des
mblablement qu’une divinité subalterne, née de l’union d’Odin avec la
Terre
. L’Edda l’appelle le plus vaillant des fils d’Odi
ur portier. L’arc-en-ciel était le pont qui communiquait du ciel à la
terre
; Hiemdal veillait à ses extrémités pour empêcher
frémit avec tant de rage, que c’est lui qui cause des tremblemens de
terre
. Il y restera captif jusqu’à la fin des siècles ;
euillage, et, après avoir rafraîchi ses branches, elle retombe sur la
terre
, où elle entretient la rosée dont les abeilles co
ord. Le dieu suprême était regardé comme le créateur du ciel et de la
terre
. Ce que la mythologie islandaise nous a conservé
t ni mer, ni rivage, ni zéphyrs rafraîchissans. On ne voyait point de
terre
en has, ni de ciel en haut ; tout n’était qu’un v
èrent le globe ; de son sang ils formèrent la mer et les fleuves ; la
terre
, de sa chair ; les grandes montagnes, de ses os ;
rs furent distingués, et les années eurent leur nombre. Ils firent la
terre
ronde, et la ceignirent du profond Océan, sur les
est descendue la race des hommes, qui a eu la permission d’habiter la
terre
. » On doit reconnaître dans cette narration, les
on devait ajouter à la témérité des peuples les plus belliqueux de la
terre
. Les habitans du Nord joignaient à cette doctrine
, dit l’Edda, un âge barbare, un âge d’épée, où le crime infestera la
terre
, où les frères se souilleront du sang de leurs fr
oins du monde, les vents souffleront avec fureur, la gelée durcira la
terre
, trois hivers semblables se succéderont sans qu’a
ont, le grand dragon se roulera dans l’Océan, et par ses mouvemens la
terre
sera inondée, les arbres seront déracinés, les ro
enris, déchaîné, ouvrira sa gueule énorme, qui touche au ciel et à la
terre
; le feu sortira de ses naseaux et de ses yeux ;
et se rassemblent ; le grand frêne agite ses branches ; le ciel et la
terre
sont pleins d’effroi. Les dieux s’arment, les hér
tout, et la flamme s’élève jusqu’au ciel ; mais bientôt une nouvelle
terre
sort du sein des flots, ornée de vertes prairies
taient autorisées. La seconde fête était instituée en l’honneur de la
Terre
on de la déesse Frigga. On demandait les plaisirs
s présenter. Les prémices des récoltes et les plus beaux fruits de la
terre
couvraient les autels des dieux. Par la suite, on
y précipitait quelquefois une victime dévouée à Frigga, déesse de la
terre
. Elle était agréable à la déesse, si elle allait
rts de l’histoire, que cet usage barbare était presque général sur la
terre
. Les Gaulois ont offert longtemps des hommes à le
stoire, plus elle apprend que ces riches et belles contrées furent la
terre
natale de nos premiers pères, et qu’elles furent
pour le placer sur cette couche d’argile. On recouvrait le tout d’une
terre
choisie, et quatre pierres rangées aux quatre côt
blance de culte entre des peuples séparés par tant de mers et tant de
terres
. » Ce rapprochement explique parfaitement le par
soleil, le premier jour de la canicule, après qu’on avait offert à la
terre
un sacrifice d’expiation, dans lequel on employai
a vapeur qui produit le tonnerre, C’est Jupiter armé pour effrayer la
terre
. Un orage terrible aux yeux des matelots, C’est N
e, D’un bras de fer courbe le front des rois, Tient sous ses pieds la
terre
assujettie, Et dit au Temps : « Exécute mes lois.
ble, Fuit et revient sans cesse à ce palais terrible, Et de là sur la
terre
il verse, à pleines mains, Et les biens et les ma
aos ? R. Le Chaos est cette masse informe, dans laquelle le ciel, la
terre
, la mer, touts les éléments étoient confondus. A
bonde en ses flots inconstants Mit à couvert ses muets habitants : La
Terre
enfin, cette tendre nourrice De touts nos biens s
? R. Saturne étoit fils du Ciel, le plus ancien des dieux, et de la
Terre
, la plus ancienne des déesses. Le Ciel s’appeloit
la plus ancienne des déesses. Le Ciel s’appeloit encore Uranus, et la
Terre
étoit aussi nommée Vesta. Mais elle doit être alo
isoit point la guerre ; Le blé, pour se donner, sans peine ouvrant la
terre
, N’attendoit pas qu’un bœuf, pressé par l’aiguill
cours, parce qu’elle donnoit du secours aux humains : Tellus signifie
terre
, parce qu’elle présidoit à la terre, comme Saturn
urs aux humains : Tellus signifie terre, parce qu’elle présidoit à la
terre
, comme Saturne présidoit au ciel. Enfin, elle eut
ut dire, je coule, parce que toutes choses coulent, proviennent de la
terre
. D. Comment représente-t-on Cybèle ? R. Elle est
R. Elle est représentée assise, parce que les anciens regardoient la
terre
comme stable. Elle tient un disque ou un tambour,
stable. Elle tient un disque ou un tambour, symbole des vents que la
terre
renferme dans son sein, et qui en sortent avec br
grand et le plus puissant des dieux : c’étoit le roi du ciel et de la
terre
. Une voie en tout temps par les dieux fréquentée
rcle l’environne. De son auguste front le calme s’est troublé ; Et la
terre
, et les mers, et les cieux ont tremblé. ( Ovide,
-t-il tranquillement ? R. Non. Les Titans, ou les géants, fils de la
Terre
et de Titan, entreprirent de rétablir leur père s
vouloit se remuer ou changer de côté, il causoit des tremblements de
terre
. Encelade, malgré son air rébarbatif, Sous le te
éthée, petit-fils du Ciel, ayant voulu imiter Jupiter, fit avec de la
terre
, quelques statues d’hommes, et, pour les animer,
les maux de la nature, qui y étoient renfermés, se répandirent sur la
terre
. L’espérance seule resta au fond. Voici ce que J.
tère D’adversités, dont l’influence altère. Les plus beaux dons de la
terre
et des cieux ? L’antiquité nous mit devant les ye
dangereux. Fatal desir de voir et de connoître ! Elle l’ouvrit, et la
terre
en vit naître, Dans un instant, touts les fléaux
upiter se présente à lui sous la forme d’un bélier, frappe du pied la
terre
, et fait jaillir une source abondante. Bacchus, e
s puissant des dieux, » Armant contre un seul peuple et le ciel et la
terre
, » Vainement je me lasse à lui livrer la guerre !
ce un tel emportement ! Elles croyoient pourtant, s’inclinant vers la
terre
, Agiter sur leur tête une corne étrangère. D. Po
la nymphe Cyanè, qu’il changea en fontaine. Le dieu, ayant ouvert la
terre
d’un coup de son trident, rentra dans ses états a
s fêtes, on faisoit le tour des champs, pour obtenir la fertilité des
terres
et l’abondance des fruits. Le vin étoit banni des
Cérès. On lui immoloit un porc, parce que cet animal, en fouillant la
terre
, détruit les semences. D. Quelle vengeance Cérès
impétueux l’indocile colère : S’ils n’étoient retenus, soudain cieux,
terre
, mers, Devant eux rouleroient emportés dans les a
nsi que de destin. Je m’écrie, emporté par l’instinct qui m’agite : O
terre
où je suis né ! pour jamais je te quitte ; Et je
llants, Chefs-d’œuvre du Très-Haut, comme lui bienfaisants. Sur cette
terre
horrible, et des Anges haïe, Dieu n’a point répan
son sein leurs flambeaux dévorants, elles commencent pour lui, sur la
terre
, les supplices éternels du Tartare. Le parricide
La Nuit est la déesse des ténèbres : elle est fille du Ciel et de la
Terre
. On la représente avec, un vêtement noir parsemé
s, et commencez par l’Achéron. R. L’Achéron, fils du Soleil et de la
Terre
, n’a pas toujours coulé dans les enfers. Mais com
le dans la bouche de leurs morts. Ceux qui n’avoient pas reçu, sur la
terre
, les honneurs de la sépulture, erroient cent ans
? R. Oui. Titye, géant dont le corps étendu couvroit neuf arpents de
terre
, voulut attenter à l’honneur de Latone. Apollon e
des dieux infernaux, parce que les richesses se tirent du sein de la
terre
, séjour des divinités infernales. Tantôt on le fa
produiroit la chose la plus belle et la plus utile. Neptune frappa la
terre
de son trident, et en fit sortir un beau cheval.
leurs trônes, Lance la foudre, ébranle l’univers, Et fait trembler la
terre
en peuplant les enfers. D. Comment représente-t-
e fit Bacchus, lorsqu’il fut devenu grand ? R. Il parcourut toute la
terre
, et fit la conquête des Indes avec une armée d’ho
contre Latone le serpent Python, qui la poursuivoit sans relâche. La
Terre
avoit juré à la reine des dieux de ne point donne
i considéré comme le dieu du jour. D. Comment Apollon délivra-t-il la
terre
du serpent Python ? R. Apollon tua à coups de fl
à coups de flèches ce serpent monstrueux, qui étoit né du limon de la
terre
après le déluge de Deucalion, et dont les poursui
tisan de Lemnos De l’Océan mobile a ciselé les flots, Et l’orbe de la
Terre
environné de l’onde, Et le ciel radieux, voûte im
figure diffère, et pourtant se ressemble ; Elle sied à des sœurs. La
Terre
offre à la fois Ses hameaux, ses cités, ses fleuv
nt trop bas, ils tarissent les rivières, et brûlent les montagnes. La
Terre
, desséchée jusqu’aux entrailles, porte ses plaint
le violoit. Le barbier, embarrassé de son secret, fit un trou dans la
terre
, en approcha la bouche, et dit à voix basse, que
octe Uranie, étudiant la sphère, Sait mesurer les cieux et diviser la
terre
. Diane. D. De qui Diane étoit-elle fille ?
ne, et sœur d’Apollon ; on là nommoit Lune dans le ciel, Diane sur la
terre
, Hécate dans les enfers ; et sous ces trois diffé
ciel composent votre cour. En descendant des cieux, vous venez sur la
terre
Régner dans les vastes forêts ; Votre no
s lois. ( Fontenelle.) D. Comment Diane étoit-elle considérée sur la
terre
? R. Elle étoit considérée comme la déesse des c
pommes d’or des orangers. Accourez, Naïades timides, Le fruit, sur la
terre
tombé Brille, s’élève en pyramides, Et remplit le
es malheurs de la nymphe Echo. R. Echo étoit fille de l’Air et de la
Terre
. Junon, piquée de ce que cette nymphe l’avoit amu
st la déesse de la justice ? R. C’est Thémis, fille du Ciel et de la
Terre
. On la représente ordinairement avec une balance
vec sa mère. Elle descendit du ciel, dans l’âge d’or, pour habiter la
terre
. Mais les crimes des hommes la formèrent de quitt
e à sa source, Ce monstre s’enhardit, et s’accroît dans sa course. La
Terre
l’enfanta, pour se venger des cieux ; Elle aime à
crasa leur tonnerre, Son front est dans l’Olympe, et ses pieds sur la
terre
; Rien ne peut égaler son bruit tumultueux, Rien
re, et la honte. ( Virgile, trad. de M. Delille.) Entre le ciel, la
terre
, et l’empire des ondes, S’élève un vieux palais a
eux, Dont la voix ressemble au tonnerre, Et qui des pieds touchant la
terre
, Cache sa tête dans les cieux ? C’est l’inconstan
it meurt en naissant de son germe infecté ; Les épis renversés sur la
terre
languissent : Le ciel s’en obscurcit, les astres
se durcissent en pierre ; Ses pieds sont des rochers affermis sur la
terre
; Sa hauteur est immense, et, par l’ordre des die
e qu’il donna à Thésée pour prix de sa valeur. 7°. Hercule délivra la
terre
de deux tyrans fameux, Diomède et Busiris. Diomè
, Dans le sein des tyrans il porte le trépas ; Et pour en délivrer la
terre
, Le foudre est moins fort que son bras. ( La Mott
ur le mont Caucase. Il défit le géant Antée, fils de Neptune et de la
Terre
. Ce géant massacroit touts les passants, pour acc
rânes d’hommes. Hercule le terrassa trois fois, mais en vain : car la
Terre
, sa mère, lui rendoit des forces nouvelles, chaqu
jusques aux sombres bords ; J’ouvrirai sous mes pas les antres de la
terre
: J’irai braver Pluton, j’irai chercher les morts
sa de marcher sur les traces de ce héros, et entreprit de délivrer la
terre
des monstres qui la désoloient. Résolu de périr
le, et marchant sur ses pas, J’entrepris de venger et d’affranchir la
terre
De monstres, de méchants échappés au tonnerre. (
s, jusqu’à ce qu’elles en atteignissent la longueur. Thésée purgea la
terre
de ce monstre. Scyron étoit un fameux brigand qu
rs sont vains « Si la Crète, dit-il, s’oppose à mes desseins, » Si la
terre
et la mer me ferment le passage, » Que l’air m’ou
uvre un chemin pour sortir d’esclavage. » Minos possède en vain et la
terre
et les flots ; » L’air est libre pour moi ; je ne
es flots, Des airs en ce moment a troublé le repos ; Et du sein de la
terre
une voix formidable Répond en gémissant à ce cri
trembler le rivage Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La
terre
s’en émeut, l’air en est infecté, Le flot qui l’a
rpent naître des bataillons, » Et vaincre ces soldats enfantés par la
terre
, » Qui touts ne respiroient que le sang et la gue
le temps qu’il régnoit en Thessalie, un grand déluge inonda toute la
terre
, et fit périr touts les hommes ; Deucalion et Pyr
e leur grand’mère n’étoient autre chose que les pierres, parce que la
terre
est la mère commune de touts les hommes. Ils en r
s d’Hercule étoit Télèphe, roi de Mysie. Les Grecs avoient ravagé les
terres
des Mysiens, et Achille avoit blessé Télèphe. Un
res mains D’un grand voile ont couvert les travaux des humains, Et la
terre
, et le ciel, et les Grecs, et leur trame. Un sile
e ses ans l’éclatante carrière ! » Le seul nom de son fils remplit la
terre
entière ; » Ce nom fait son bonheur autant que so
le temps, loin des yeux de mon père, » Je teindrai de mon sang cette
terre
étrangère. » J’ai vu tomber Patrocle ; Hector me
it à Troie, une des flèches tomba sur le pied dont il avoit frappé la
terre
; il s’y forma un ulcère qui jetoit une odeur inf
ardente soif de l’or !) Égorge Polydore, et saisit son trésor ; Et la
terre
cacha sa victime sanglante. ( Virgile, trad. de M
acier se recourbe émoussé. Leur sang, plus d’une fois, avoit rougi la
terre
, Ils luttoient tout couverts de sueur, de poussiè
s, vaisseaux contre vaisseaux, » Courent ensanglanter et la mer et la
terre
! » Qu’une haine éternelle éternise la guerre ! »
e colosse fut-il renversé ? R. Il fut renversé par un tremblement de
terre
, cinquante-six ans après qu’il eut été construit.
rtueuse est le plus grand des biens qu’un homme puisse obtenir sur la
terre
. Elle embellit pour lui les dons de la fortune, e
lié devient bientôt fureur. Ce n’est plus un serpent qui rampe sur la
terre
, C’est un géant armé qui brave le tonnerre, Qui,
risant pour les voleurs, Pout ses parents, ou pour la
terre
. Mais que dire du troc que la fortune fit ? Ce s
vie, Ne possédoit pas l’or, mais l’or le possédoit. Il avoit dans la
terre
une somme enfouie, Son cœur avec, n’ayant d’au
les doux, dit Jésus-Christ, parce que ce sont eux qui posséderont la
terre
. » Et comment ne la possèderoient-ils pas ? C’est
ments étaient confondus : le soleil ne répandait point sa lumière, la
terre
n’était pas suspendue dans les airs, et la mer ét
eu, pour mettre fin à cette lutte prolongée, sépara le ciel d’avec la
terre
, la terre d’avec les eaux, et l’air le plus pur d
ettre fin à cette lutte prolongée, sépara le ciel d’avec la terre, la
terre
d’avec les eaux, et l’air le plus pur d’avec l’ai
irmament, les poissons habitèrent les eaux, les quadrupèdes eurent la
terre
pour demeure, et les oiseaux voltigeant dans l’ai
mort. Section première. Dieux supérieurs. § 1. Le Ciel et la
Terre
. Le plus ancien des dieux était le Ciel ou Cœl
re. Le plus ancien des dieux était le Ciel ou Cœlus, qui épousa la
Terre
ou Titéa. De ce mariage naquirent deux filles, no
es mœurs respectées ; l’abondance, la paix, l’égalité, maintenues. La
terre
, sans être déchirée par le soc, fournissait toute
ûlantes chaleurs se firent sentir tour à tour ; il fallut cultiver la
terre
et l’arroser des sueurs de l’ouvrier. A ces deux
ctérisé l’Age de fer. Dans ce dernier âge, la bonne foi, bannie de la
terre
, fit place à la trahison et à la violence ; on ne
Vesta3. Enfin on la nomme Tellus et Ops, parce qu’elle présidait à la
terre
, et procurait aux hommes protection, secours et r
la clef qu’elle tient à la main désigne les trésors que le sein de la
terre
renferme en hiver et qu’il donne en été. Elle est
dre, s’abîma dans les profondeurs du tartare. Le crime régnait sur la
terre
. Prométhée, fils de Japet, avait fait une statue
le pied dans son royaume. Jupiter quitta l’Olympe et descendit sur la
terre
pour être témoin de ses attentats ; il vint en Ar
t et d’autres semblables, que Jupiter envoya le déluge, et changea la
terre
en une mer immense. Les plus hautes montagnes ava
racle de Thémis, à Delphes, pour apprendre les moyens de repeupler la
terre
: « Sortez du temple, s’écria Thémis, couvrez d’u
n ordre qui lui paraissait cruel ; mais bientôt, réfléchissant que la
Terre
est notre mère commune, et que les pierres qu’ell
e de Jupiter, était la reine des dieux, la maîtresse du ciel et de la
terre
, la protectrice des royaumes et des empires. Elle
se trouva enveloppée. Junon étonnée de ce phénomène descendit sur la
terre
, dissipa le nuage, et découvrit Io qui venait d’ê
ris, fille de Junon, messagère des dieux, portait leurs ordres sur la
terre
, sous les eaux et jusqu’aux enfers. Vouée en même
’il ébranlait à son gré. Les secousses violentes, les tremblements de
terre
étaient son ouvrage. L’enfer s’émeut au bruit de
le plus léger brouillard. Le Léthé y coule avec un doux murmure ; une
terre
féconde y renouvelle ses productions trois fois l
de sa proie, le dieu pousse avec vigueur ses chevaux noirs, ouvre la
terre
d’un coup de son sceptre, et s’enfonce dans le té
que six mois de l’année dans les enfers, et qu’elle passerait sur la
terre
les six autres mois. — On représente Pluton avec
ie et aux enchantements ; son pouvoir s’étendait sur la mer et sur la
terre
, dans le tartare et dans les cieux. Peuples, rois
onna ensuite un char attelé de deux dragons, et l’envoya par toute la
terre
pour y enseigner l’agriculture. De retour de ses
ui était immolé, parce que cet animal, en creusant et en fouillant la
terre
, y détruit le germe des moissons. § 10. Minerv
oduirait la chose la plus utile à la nouvelle cité. Neptune frappa la
terre
de son trident et fit naître le cheval, qui est l
a. Elle obtint seulement qu’il passerait chaque année six mois sur la
terre
et six mois dans les enfers. On lui éleva des tem
e eut son châtiment ; il fut banni du ciel et condamné à errer sur la
terre
, soumis aux mêmes infortunes, aux mêmes accidents
« Dans ton vol trop timide ou trop ambitieux, Évite également et la
terre
et les cieux. Suis le milieu : c’est là le chemin
rd’hui ; ce fut alors que l’Afrique perdit pour jamais sa verdure. La
Terre
, calcinée jusque dans ses fondements, gémit, s’ag
de friponnerie et d’audace le firent bannir du ciel : il vint sur la
terre
, en Thessalie, où il passa son adolescence et sa
à la cour céleste : on l’y rappela ; et comme il avait montré sur la
terre
beaucoup d’adresse et d’intelligence, Jupiter le
bunal de Minos ; c’était lui enfin qui ramenait ces mêmes âmes sur la
terre
après mille ans écoulés, et les introduisait dans
vec ses doigts de rose les portes de l’orient, répand la rosée sur la
terre
et fait croître les fleurs. Le Sommeil et la Nuit
es géants, et exaltèrent outre mesure le courage de ces enfants de la
Terre
. Point de vie, point de couleur dans leurs chants
té. § 22. Thémis. Thémis ou la Justice, fille du Ciel et de la
Terre
, tient un glaive d’une main et une balance de l’a
que la justice doit être secondée de la force. Pendant l’âge d’or, la
terre
fut son séjour de prédilection ; mais les crimes
ale. Le jour de sa fête (appelée Terminales), les deux possesseurs de
terres
contiguës se rendaient ensemble près de la borne
rins. § 8. L’Océan et Téthys. L’Océan, fils du Ciel et de la
Terre
, épousa Téthys déesse des eaux, et de ce mariage
es qu’ils en retiraient pour le commerce et pour la fertilisation des
terres
. Les Égyptiens, les premiers, déifièrent le Nil.
liberté. S’il oubliait un seul moment de veiller sur eux, le ciel, la
terre
, la mer, seraient bouleversés et tous les élément
vec Pluton, parce que l’or et l’argent se tirent des entrailles de la
terre
. § 22. Comus Comus, dieu des festins, de l
tée, elle court, elle vole, le jour et la nuit, d’une extrémité de la
terre
à l’autre, divulguant avec la même assurance ce q
’un génie supérieur, il réussit à former un homme avec le limon de la
terre
, et il communiqua la vie à cette masse insensible
ur épouse à Prométhée. Cette femme, la première qui ait existé sur la
terre
, fut appelée Pandore ; rien n’était plus beau qu’
, ne s’occupa qu’à exterminer les scélérats et les tyrans auxquels la
terre
était livrée. Busiris, roi d’Égypte, immolait sa
e, lui serre la gorge et l’étrangle. Antée, fils de Neptune et de la
Terre
, avait cent pieds de hauteur. Il se mettait en em
é au combat par cet horrible géant, le terrassa, mais en vain ; caria
Terre
, sa mère, lui donnait des forces nouvelles toutes
a fiancée, lutta corps à corps pour la conserver, et fut renversé par
terre
. Il revêtit alors la forme d’un serpent, et crut
le et trompeur ! Arrivés sur les côtes de la Troade, ils envoyèrent à
terre
Hylas puiser de l’eau dans un fleuve nommé Ascani
habitât le séjour des morts tout le temps que Castor passerait sur la
terre
. De cette manière, ils vivaient et mouraient alte
» Cadmus obéit sans bien comprendre l’ordre de la déesse, laboure la
terre
, et y répand les dents du monstre. Trois jours ap
e, et y répand les dents du monstre. Trois jours après, les mottes de
terre
commencent à se mouvoir, et il en voit sortir d’a
t il se disposait à prendre les armes, lorsqu’un de ces enfants de la
terre
s’adressant à lui : « Suspends tes coups, lui dit
récipitait dans la mer. Thésée lui infligea le même supplice. Mais la
terre
et la mer refusèrent de recevoir le corps d’un se
gnent à lui ; le combat s’engage avec fureur, et en peu d’instants la
terre
est jonchée de morts. Les Centaures y périrent pr
nt les tigres, les panthères et les lions même de le faire pâlir ! La
Terre
qui se croyait bravée par cette jactance, suscita
ans le territoire de Calydon, un horrible sanglier, qui ravageait les
terres
d’Œnée, déracinait les arbres fruitiers, et désol
de foudre, Payant précipité lui et son char dans les entrailles de la
terre
. Alcméon, informé de la fatale nouvelle, exécuta
ois jours ; on immolait ensuite un bélier, on en étendait la peau par
terre
, on dormait dessus, et l’on recevait durant le so
et comme Minos insistait avec menaces, on lui proposa de descendre à
terre
et de se rendre au palais, pour y terminer à l’am
les passions ne venaient point chercher son cœur. Le ciel envia à la
terre
un jeune homme digne d’un meilleur séjour. Jupite
la mort, lorsque Hercule, qui naviguait vers la Colchide, descendit à
terre
avec les Argonautes. Hésione lui conta sa peine,
une biche d’une taille extraordinaire et d’une rare beauté, étendue à
terre
et palpitante ; ce prodige réveille le courage de
’égorgent. Les traits sifflent, les javelots volent dans les airs, la
terre
est couverte de morts. Dans cette confusion génér
t, et l’enfonce dans la poitrine du Troyen, qui tombe sans vie sur la
terre
. Vainqueur, il le dépouille de ses armes, lui per
ats, il se perce le sein avec une épée qu’il avait reçue d’Hector. La
terre
, mouillée de son sang, fit naître une fleur sembl
complète, si Bacchus, qui protégeait les Grecs, n’eut fait sortir de
terre
un cep de vigne dont les branches embarrassèrent
rtis de Ténédos, traversent le bras de mer qui sépare cette île de la
terre
ferme, s’élancent sur Laocoon et sur ses deux fil
Il refusa. Mais dans le feu de la conversation, il frappa du pied la
terre
à l’endroit où elles étaient enfouies : Ulysse in
; il résista aux sollicitations des habitants, quitta avec regret une
terre
hospitalière, et s’embarqua. Les vents le poussèr
ée et celles de l’avare Pygmalion. La princesse fugitive prit d’abord
terre
dans l’île de Chypre, d’où elle fit enlever cinqu
trop pesant pour lui, il va dans une plaine éloignée, il y creuse la
terre
, et raconte tout bas, dans le trou qu’il a fait,
ant de cette manière avoir enseveli son secret. Peu de mois après, la
terre
produisit en cet endroit une forêt de roseaux, qu
oua une haine éternelle, la bannit de l’Olympe, et fit promettre à la
Terre
de ne lui accorder aucun lieu pour se reposer. Pe
de verser des larmes, qui forment la rosée, et que boit avidement la
terre
languissante. — A en croire la Fable, les Éthiopi
ut équipé et mis en mer. La moitié de la route était parcourue, et la
terre
également distante des deux côtés, lorsque, à l’e
on corps la sépulture, et sollicita la permission de retourner sur la
terre
pour la châtier : Pluton le lui permit, à conditi
les Magiciennes (ou Sorcières) exerçaient leur empire au ciel, sur la
terre
et dans les enfers ; qu’elles pouvaient commander
e. Dans son empressement, ou son trouble, elle déposa le nourrisson à
terre
sur une touffe d’ache (sorte de persil), et les c
er fait de poutres de palmier, et recouvert d’un fond considérable de
terre
. Dans ce sol artificiel croissaient les légumes,
mer d’Égypte. Quatre-vingts ans après son érection, un tremblement de
terre
l’ayant renversé, les peuples voisins, désirant q
de deux cents lieues : autre exagération77. Un premier tremblement de
terre
le diminua de moitié ; un deuxième le réduisit à
mes ; des dieux pauvres, exilés du ciel et obligés d’embrasser sur la
terre
la profession de maçon ou de berger, doivent para
ensemble qu’une seule et même divinité. 4. En latin tellus veut dire
terre
, et ops secours. 5. Cet Hercule Idéen n’est pas
tna, montagne de Sicile. Les Romains attribuaient les tremblements de
terre
de cette île, aux mouvements que fait Encelade po
torisés par l’exemple des Dieux, chaque vice avoit des temples sur la
terre
et un protecteur dans le ciel. Les brigands même,
u Jour et du Chaos ; le plus ancien des Dieux ; il eut pour épouse la
Terre
, sa sœur, appelée Ghé ou Titéa, nom qui signifie
sœur, détrôna son père et devint maître souverain des cieux et de la
terre
. Il défit et foudroya les Titans, géans rebelles,
ométhée, fils de Japet et frère d’Epiméthée, ayant fait des hommes de
terre
et d’eau, les anima du feu céleste qu’il tira du
époux Epiméthée qui l’ouvrit, et tous les maux se répandirent sur la
terre
, mais l’espérance se trouva au fond de la boîte.
t, etc. Il ne pouvoit faire divorce. Jupiter, maître du ciel et de la
terre
, n’avoit point créé les hommes, aussi n’y avoit-i
par le Styx, il falloit que les Dieux eussent une main étendue sur la
terre
et l’autre sur les mers. Le Styx, dit Hésiode ,
la terre et l’autre sur les mers. Le Styx, dit Hésiode , forme sous
terre
un ruisseau toujours couvert d’une sombre nuit, s
t que l’homme existe, c’est le pardon ; ils ne méritent jamais sur la
terre
des récompenses. On voyoit encore aux enfers les
phone et Alecton. Elles ne sortoient des enfers que pour aller sur la
terre
tourmenter les coupables. On les représente coiff
ilence devant celui qui devoir recevoir l’expiation ; on enfonçoit en
terre
le glaive qui avoit donné la mort, l’expiateur fa
mère de Proserpine qu’elle eut de Jupiter. Elle chercha par toute la
terre
, sa fille enlevée par Pluton ; après beaucoup de
obtint de Jupiter, que sa fille passeroit six mois de l’année sur la
terre
. Cérès enseigna l’agriculture à Triptolème, fils
, lui donneroit son nom. Neptune, d’un coup de trident, fit sortir de
terre
un cheval, et Minerve fit naître l’olivier. On lu
ortoit au cou une bulle d’or. Numa, qui les avoit dotées, assigna des
terres
particulières sur lesquelles il leur attribua des
n chariot, fuyoit aussi avec sa famille, les rencontra, il mit pied à
terre
avec sa femme et ses enfans, et fit monter les ve
se sépulcrale formoit une espèce de caveau creusé assez avant dans la
terre
. On y mettoit une lampe allumée dont la sombre lu
endue, on retiroit l’échelle, alors, avec précipitation et à force de
terre
et de pierres, on combloit l’ouverture de la foss
et l’Amour au-delà du fleuve. Ce Typhon étoit un monstre, fils de la
Terre
et du Tartare. Il avoit cent têtes de serpent, se
Cyclopes, Brontès, Stérope et Pyracmon, étoient fils du Ciel et de la
Terre
, et les autres de Neptune et d’Amphitrite. Apollo
dans son sein, fut chassée du Ciel par Junon, qui fit promettre à la
Terre
de ne point lui donner d’asile. L’infortunée, tou
ue-là, cachée sous les eaux, n’avoit point pris part au serment de la
Terre
. Mais cette île étoit flottante ; Apollon, depuis
uge, Junon, toujours irritée contre Latone, fit naître du limon de la
terre
un serpent monstrueux, nommé Python, qu’elle char
ton monta sur ce char, ne put conduire les coursiers, mit le feu à la
terre
et fut foudroyé par Jupiter. Ses sœurs, Phaétuse,
e meurtre, bannit Apollon du Ciel. Ce Dieu disgracié descendit sur la
terre
, se réfugia en Thessalie où il garda les troupeau
eura sur pied pendant 1360 ans, et ne tomba que par un tremblement de
terre
. Cette statue pouvoit étonner et même effrayer pa
Soleil, le précédoit sur le sien. Elle étoit fille de Titan et de la
Terre
, et suivant Hésiode, d’Hypérion et de Thia. Elle
de l’autre elle répand des roses pour marquer que les fleurs, dont la
terre
se pare, doivent leur fraîcheur à la rosée du mat
us, lui fit présent d’une belle rose, la première qui ait paru sur la
terre
. Depuis ce temps il fut d’usage d’avoir une rose
gaîté. Thémis. Déesse de la Justice, fille du Ciel et de la
Terre
, c’est-à-dire, d’Uranus et de Titéa. Jupiter la f
; les Crénées, aux fontaines ; les Epygies étoient les nymphes de la
terre
. Les Limoniades présidoient aux fleurs, etc. Palè
qu’elle donnoit au Dieu Pan, il la précipita contre des rochers ; la
Terre
touchée de compassion, métamorphosa cette malheur
mère, livre II de l’Iliade, qui connoissoit toutes les plantes que la
terre
produit et leurs différens usages. Acèse, fille
ge, et l’obtint. Cela fait, il fut question de lui donner un nom : la
Terre
prétendoit que cet honneur lui appartenoit parce
omme ayant fait l’ouvrage, Saturne jugea ce différend en faveur de la
Terre
, puisque l’homme a été fait de terre (ex humo) ;
gea ce différend en faveur de la Terre, puisque l’homme a été fait de
terre
(ex humo) ; mais il ordonna que la Déesse de l’in
omme tant qu’il vivroit, qu’après sa mort son corps retourneroit à la
Terre
, et que son ame iroit se réunir à la divinité. Il
figure d’une tuille, d’une pierre carrée ou d’un pieu planté dans la
terre
. 1. Ne dessinant point la figure, je n’ai pas
oit la peau du monstre Égis, vaincu par Minerve. Ce monstre, né de la
terre
, vomissoit feu et flamme avec des tourbillons d’u
ométhée. Jupiter, pour punir les hommes de leurs crimes, submergea la
terre
et ne sauva du déluge que Philémon et Baucis, Deu
substitué aux Fées d’autres êtres fabuleux, habitans des airs, de la
terre
, du feu et des eaux : les Sylphes, les Gnomes, le
nt avec les sages, et ne me souvenant du rôle que j’avais joué sur la
terre
que comme d’un rêve pénible. Mais vers le seizièm
toujours à la bouche le nom de Dieu ; mais l’ombre était rentrée sous
terre
sans attendre ma réponse. De retour chez moi, je
présentait le germe précieux du blé qui reste six mois enfoui dans la
terre
, et, les six autres mois de l’année, se développe
e deuil dure six mois, les six longs mois que le soleil passe sous la
terre
, auprès de la pâle et froide Proserpine. Enfin, i
aimé, qui la vivifie de ses rayons ; les hommes se réjouissent, et la
terre
se gonfle d’amour sous les caresses du printemps.
de ce culte étaient de grands poëtes. Antée. Géant, fils de la
Terre
. Hercule Libyen le terrassa, mais trois fois il l
ent les flottes romaines, qu’en les transportant dans l’intérieur des
terres
. Plusieurs généraux les avaient déjà châtiés ; on
et ne la réduisit qu’en l’arrachant, comme Hercule fit d’Antée, à la
terre
natale. Mais, comme il est difficile de transport
les portiers revêches. Cérès. Cérès, la personnification de la
Terre
féconde, a deux époux : Jupiter, c’est-à-dire l’A
ssance mystérieuse qui élabore les semences dans les entrailles de la
terre
. La malheureuse mère se met à la recherche de sa
u blé reste enfoui dans le sillon, puis il apparaît à la lumière : la
terre
s’en réjouit, et, triomphante, étale au soleil se
, dont nous naquit Amour, ce noble enfant, médiateur du ciel et de la
terre
. » Quelle admirable mythologie ! Comme cela est
t s’élève et monte par delà les nuages célestes. Tous les êtres de la
terre
sont comme frappés de stupeur. Les vents calmés é
te flotte une aigrette. On le rencontre sur mer quelquefois ; mais la
terre
est son élément favori. Il est omnivore et mange
les divins buveurs d’ambroisie conserveraient ils sur les fils de la
Terre
? Le dieu, gardien inflexible des limites assigné
r un exprès pour eux. Quant à nous autres, qui n’avons été mis sur la
terre
que pour servir de matière à l’ambition des conqu
reur a pu s’établir. A la race sauvage des premiers conquérants de la
terre
, des guerriers, des forts, de ceux qui luttaient
bablement de petites tanières aux portes basses, aux toits à fleur de
terre
, comme les paysans d’Europe en construisent encor
la ceinture, il ne nous coûtera rien d’admettre qu’il se promène sur
terre
un sapin à la main. Je tiens d’un pèlerin qu’entr
ù il le dévorait. Nulle force vivante ne semblait pouvoir délivrer la
terre
de ce monstre. Hercule avait pensé d’abord à le s
touffer entre tes bras, comme tu étouffas ce pauvre Antée, fils de la
Terre
.” Hercule, d’un revers de ses doigts, envoya Lach
e très-subtile. Il voyait les métaux cachés dans les entrailles de la
terre
. Castor et Pollux s’étaient blottis dans le creux
it Ovide en ses Fastes, quand le sommeil éteint tous les bruits de la
terre
, les aboiements des chiens et les chants des oise
on a donné le nom de Furies à ce qu’il y a de plus repoussant sur la
terre
, — aux femmes en colère. Minos, Éaque et Rhada
n au figuré est une grosse injure : « C’est bien à vous, petit ver de
terre
, petit Myrmidon que vous êtes ! … » ( Molière, Fe
ont le malheur de lever un peu moins haut que vous la tête sur cette
terre
où nous rampons : vous les appelez nains, avorton
bon temps où les hommes et les dieux vivaient fraternellement sur la
terre
. Midas, roi de Phrygie, avait reçu chez lui et tr
ls la transforment en un grand drame qui a pour théâtre le ciel et la
terre
, et où les dieux interviennent pour personnifier
es dieux n’avaient pas encore oublié leur parenté avec les fils de la
Terre
, Prométhée, un des Titans, était admis dans la ma
à la table des dieux. Au milieu de ses grandeurs, il n’oublia pas la
terre
, sa patrie. Ne voulant pas qu’une si belle demeur
t de toute végétation. Prométhée l’enleva au ciel et l’apporta sur la
terre
. C’était peu de lui avoir assuré la vie, son bien
les maux s’envolèrent avec un fracas horrible et s’abattirent sur la
terre
. C’est ainsi que furent neutralisés les bienfaits
ur qui saisit l’imagination. Représentez-vous les hommes jetés sur la
terre
nouvelle encore et à peine remise des grandes con
t chaque chose commença à entrer en sa place. Ensuite vinrent Ciel et
Terre
. De leur hymen naquirent Saturne et les Géants au
les Géants aux cent bras, c’est-à-dire les forces destructives que la
terre
à son origine recélait dans son sein. Entre Ciel
sède une voix articulée, seul entre tous les êtres qui rampent sur la
terre
, et qui se meuvent dans les airs ou dans la mer p
ygmées habitaient dans des cavernes ; selon Pline, dans des huttes de
terre
. Non-nosus les dit noirs et velus de la tête aux
et il appelle Thésée, pour lui recommander encore sa fille. Alors la
terre
tremble et s’entr’ouvre lentement pour recevoir Œ
ouffre, il se laisse aller doucement, il s’enfonce par degrés dans la
terre
, il disparoît, la terre se referme, se raffermit,
er doucement, il s’enfonce par degrés dans la terre, il disparoît, la
terre
se referme, se raffermit, et le ciel redevient se
ésiter à s’armer pour détendre la patrie. « Sa tendre nourrice, cette
terre
qui, lorsqu’au sortir du berceau nous rampions su
mber dans un endroit où elle se convertit en laurier. Le lendemain la
terre
s’ouvrit sous lui, et l’engloutit avec son char e
u tyran cet horrible supplice. Il combattit le géant Antée fils de la
terre
, qu’il étouffa dans ses bras en le tenant en l’ai
as en le tenant en l’air, parce que toutes les fois qu’il touchoit la
terre
il en recevoit de nouvelles forces. Hercule exter
is les Colonnes d’Hercule. Il vainquit Erix à la lutte. Il délivra la
terre
d’une infinité de brigands entre autres d’Albion,
ollon et Neptune bannis alors de l’Olympe10, condamnés à vivre sur la
terre
, du travail de leurs mains, se mirent à son servi
la Déesse, pour s’en venger, suscita un sanglier qui vint ravager les
terres
de Calydon. Les Princes de la contrée s’étant réu
rsistèrent dans leurs prétentions. Achéloüs, fils de l’Océan et de la
Terre
, et père des Syrènes et de plusieurs Nymphes, pri
idice à condition qu’il ne la regarderoit que lorsqu’il seroit sur la
terre
, il ne put commander à son impatience, il retourn
ra le champ, sema les dents du dragon ; et lorsqu’il vit sortir de la
terre
les combattans armés, il lança au milieu d’eux un
syrthe, frère de Médée. On atteignit bientôt le ravisseur. Jason prit
terre
avec Absyrthe, sous prétexte d’entrer en accommod
rs personnages fameux dans la Mythologie. Le premier étoit fils de la
Terre
, il vivoit dans un antre où Junon se réfugia lors
quelques-uns disent de Démophoon, fut encore une fille de Priam ; la
terre
s’entr’ouvrit sous ses pas et l’engloutit, comme
, errant sur les rives affreuses du Cocyte ; Enée à son retour sur la
terre
lui éleva un monument. Hélène se retira dans l’îl
s avec autant de gloire ; ensuite enlevé par Vénus, il disparut de la
terre
. Les Romains l’honorèrent sous le nom de Jupiter
e reconduire à Ithaque. Sa navigation fut heureuse, il revit enfin sa
terre
natale. Sous le déguisement d’un vieux mendiant,
es anciens croyoient que ces légumes engraissoient et bonnifioient la
terre
qui les produit. Ils consacroient aux morts ces m
nd de la boîte de Pandore, pour adoucir tous les maux répandus sur la
terre
. Cette divinité eut plusieurs temples à Rome, les
Autres divinités allégoriques43. La Renommée. Fille de la
Terre
et messagère de Jupiter. Les Grecs lui rendirent
ux, Dont la voix ressemble au tonnerre, Et qui, des pieds touchant la
terre
, Cache sa tête dans les cieux ? C’est l’inconsta
ité tient un immense fuseau de diamans, qui, d’un bout, touchoit à la
terre
et dont l’autre bout se perdoit dans les cieux. L
renferme le sort des humains, et ayant sous ses pieds le globe de la
terre
. Il étoit né du Chaos et de la Nuit. Quoiqu’il fu
fille de l’Erèbe et de la Nuit. La Nuit étoit fille du ciel et de la
terre
, elle épousa l’Acheron dont elle eut les furies e
u soleil et de l’autre, une corne d’abondance qu’elle renverse sur la
terre
et de laquelle tombent des perles, des pierreries
qu’elle tient de la main droite et dont la pointe est baissée vers la
terre
. Echéchiria ou Ecéchiria étoit la Déesse des Trèv
ne balle. Une balle qui ne s’élève jamais davantage qu’en se jetant à
terre
est, dit-on, l’image de l’Humilité. La Curiosi
mnon. 29. C’est dans cette pièce qu’on appelle la sépulture dans une
terre
étrangère, une éternelle et dernière hospitalité
u. 44. C’est parce que les Dieux sont clémens qu’on les adore sur la
terre
; le plus grand de tous est le Destin, mais ses a
commercio, lo splendore delle scienze e delle lettere, le scoperte di
terre
e di oceani remoti e sconosciuti, chiamandovi il
o della scuola pitagorica — essere un Dio diffuso dappertutto, per le
terre
, per lo mare, e per l’alto cielo(1) ; e dallo ste
e per l’alto cielo(1) ; e dallo stesso poeta su le prime il cielo, le
terre
, i mari, il lucido globo della Luna, ed i pianeti
o della stabilità, onde gli autori de’popoli stando fermi nelle prime
terre
fondarono le città, Dea delle quali è Cibele. Fu
Fu detta Vesta, Dea delle divine cerimonie presso i romani, perchè le
terre
in quel tempo arate furono le prime are del mondo
Occidente, la regione dell’ Etna, la Campania del Sud e in genere le
terre
vulcaniche erano naturalmente sede del culto di E
oce più del vento, co’ suoi alati calzari narravasi che percorresse e
terre
e mari, ad annunziare alle genti la volontà di Gi
nato, poi anche in Attica e nelle isole di Lenno, Imbro e Samotracia,
terre
ricche di greggi e di pascoli. In Samotracia era
devano con sè un po’ di fuoco quelli che andavano a colonizzare altre
terre
, per mostrare che essi mantenevano sempre un cota
lla Iapigia verso la Grecia, e da Onchesmo città dell’ Epiro verso le
terre
orientali dell’ Ellade). II. Divinità seconda
a la loro sorgente. I fiumi poi, benefici portatori di lecondità alle
terre
, erano fra i Greci, oggetto di un vero culto. Ave
ingraziarlo. Il suo culto era sparso largamente, ma più fioriva nelle
terre
delle coste e nelle isole. Nell’ interno son da r
Melicerte Palemone, diffusasi dalle regioni dell’ istmo a molte altre
terre
ed isole greche. Eran considerati come genii bene
della vita universale. Un tale culto di Rea si diffuse anche in altre
terre
, ad es. in Arcadia, in Messenia, nell’ Elide; ma
s), fondatore della città di Fere in Tessaglia; regnava sulle fertili
terre
poste in vicinanza del lago Bebeide (ora Bio). Fr
dal di lui morso cominciò a correre all’ impazzata vagando per molte
terre
d’ Europa e d’ Asia, finchè si posò in Egitto. Iv
iviso la sovranità dell’ Attica in guisa che ad Egeo toccò Atene e le
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vicine, Pallante ebbe la parte meridionale della
o; questi a patto di esser liberato delle Arpie che infestavan quelle
terre
, ciò che fu fatto dai Boreadi, consentì a istruir
ssalto la città, i Greci contentavansi di scorrerie e saccheggi nelle
terre
vicine e così si trascinò per ben dieci anni la g
ti in qualsivoglia regione del mondo : anche Dante diceva, « Che le
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d’Italia tutte piene « Son di tiranni, ed un Marc
r nove anni, assaltarono la città ; e invece facevano scorrerie sulle
terre
vicine, saccheggiavano le altre città e ne menava
prima di Colombo e di Paolo Toscanella supponeva l’esistenza di nuove
terre
in mezzo all’Oceano, ma credeva che non fossero a
flotta di 20 navi partì dalle spiaggie della Troade in cerca di nuove
terre
per fondarvi un regno ; e nel suo corso marittimo
occò, per quanto affermano i poeti e principalmente Virgilio, diverse
terre
e diverse isole, cioè la Tracia, l’isola di Delo,
ttà, molti Tebani esularono insiem con lui ed andarono a cercar nuove
terre
ed una nuova patria. Credevasi inoltre che anche
s’alzò per l’aria colla spoglia del suo trionfo. Scorse a volo molte
terre
, finchè giunto alle spiaggie della Libia, quella
paeso. Il re vi rimase morto(b) (21). Ercole, dopo d’aver purgato le
terre
d’ Augia, erasi trasferito appresso Desameno, re
olidoro, figlio di Priamo, che lo dissuadeva di trattenersi in quelle
terre
. Polidoro stesso gli narrò altresì, che Polinnest
le strada dovea intraprendere. Gli fu risposto, che si riducesse alle
terre
, popolate un tempo da’ suoi antenati. Spiegò quin
a sua famiglia s’abbattè nell’ombra d’Anchise da cui apprese in quali
terre
avrebbe regnato, e quali sanguinose battaglie avr
el re ambasciatori, che ne ottenessero di essere accolti nelle di lui
terre
. Latino v’acconsentì ; e diede anzi a conoscere c
sj ; perchè egli tentava d’impedire che i Greci passassero per le sue
terre
(6). Non trovavasi rimedio che guarisse quella fer
nove giorni la nave avea tenuto il corso felice alla volta di quelle
terre
, quando Ulisse, sorpreso dal sonno, lasciò a’ suo
inchè potessero rimettersi di nuovo con favorevo le vento alle patrie
terre
. Soggiunse, che Ulisse, da cui egli era fierament
che si chiamava Achemonide, figlio di Adamasto d’Itaca, rimase nelle
terre
de’ Ciclopi. Colui dovette rimanersene colà, finc
asciò erede del trono, perchè col mezzo di lui eransi liberate quelle
terre
da un serpente, che andava facendone orribile gua
emico, corsero tutti alle armi per impedirgli che entrasse nelle loro
terre
. V’accorse tra quella moltitudine anche Altemene,
a ad esso i suoi Penati ; e inoltre gli comanda che cerchi loro altre
terre
, erga altre mura 32. E quando Enea li consegna a
e ella aveva molti magnifici tempii, la maggior parte dotati di molte
terre
. A Comane nell’Asia Minore ne aveva uno servito,
pericolosissimo, e succedeva pur troppo di soventi che per evitare le
terre
alla sinistra, si radeva troppo da vicino quelle
tauri. Una quantità di buoi o di tori divenuti furiosi devastavano le
terre
vicine del monte Pelia in Tessaglia. Alcuni giova
e la mira di privarlo della protezione degli Ateniesi, e relegarlo in
terre
sconosciute, ricusa le di lui offerte. Liberatosi
erita. Ne’ primi anni si occuparono i Greci a saccheggiare le città e
terre
dintorno, finchè nel decimo anno, tratte le navi
ometeo, re di Tessaglia. Una terribili inondazione che devastò le sue
terre
fu l’origine di questo diluvio. Deucalione si rif
tieri le donne ; e credettero che talvolta uscisser dal mare, e sulle
terre
vicine facessero stragi e devastazioni. Tali ci f
a che gira all’intorno, perchè vedevano da ogni parte dove finivan le
terre
da loro conosciute, una immensa e per loro incomm
i Potestà e giudici dell’antica repubblica fiorentina, tolti da altre
terre
, « Come suol esser tolto un uom solingo « Per co
le. Introduz. al Giornale — La Società. ….tant qu’il y aura sur la
terre
ignorance et misère, des livres de la nature de c
esprit de parti n’éveille pas les passions, et n’ensanglante point la
terre
— Les viellies réligions ne sont plus à craindre
icarsi di quest’oltraggio gli spinse contro un cignale che devastò le
terre
di Calidone. Gli altri principi della contrada si
u re della contrada chiamata col suo nome, ed il primo che coltivò le
terre
della Grecia. 556. Argolea. — Soprannome dato ad
endicarle. Il Dio per sodisfare le ninfe del suo seguito, mandò sulle
terre
di Cefeo, un mostro che riempi di spavento e deso
dalla fontana Castalia ad esse consagrata. 992. Castalio. — Re delle
terre
che circondavano il monte Parnaso. Apollo amò pas
io egli si oppose a che Didone coi suoi seguaci si stabilissero sulle
terre
soggette al suo comando, ma l’astuta principessa
fu ch’Eleno, figlio Di Priamo, re nostro, era a quel regno Di greche
terre
assunto, e che di Pirro E del suo scettro e del s
gne, a cagione delle fosse fatte dalla corrente, per modo che le loro
terre
divennero affatto inatte alla coltivazione. Da ci
olle preghiere la placarono(d). Troppo lungo sarebbe il ridire quante
terre
e quanti mari girasse Cerere prima di ritornarsen
el suo tenebroso regno Plutone. Temette questo Dio, che, aprendosi la
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in voragini, penetrasse qualche raggio di luce gi
a dalla carestia, consultarono l’Oracolo. Questo rispose, che le loro
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rimarrebbono sempre sterili, qnando non avessero
ni le usurpazioni. Il predetto Re, dopo aver distribuito al popolo le
terre
, inalzo sul monte Tarpeo un piccolo tempio a Term
le sublimi stanze La figlia di Fenice, e le parea Veramente veder due
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in lite. Per lei sembianza avean di donna entramb
a Cerere affidò la sua figlia. Delo cuna del dio, e sola fra tutte le
terre
pietosa a Latona, gli die di Delio la volgare den
erribile sdegno: divora la peste i loro bestiami, la grandine le loro
terre
, i vecchi con recisi capelli piangono sopra i fig
lla guerra, e fa sì che i feri uffici della milizia pei mari e per le
terre
tutte dormono sopiti. La colonia otriculana avrà
in mezzo alli spezzati monti, E breve spazio l’amistà disgiunge Delle
terre
compagne. Or lei rapita All’Italia, natura all’on
primi anni si occuparono i Greci a prender e saccheggiare le città e
terre
dell’ intorno, finchè nel decimo anno tratte le n
i prendi Per compagni a’ tuoi fati : e com’ è d’uopo Cerca loro altre
terre
, ergi altre mura ; Chè dopo lungo e travaglioso e
cce sciolte, E ha di là ogni pilosa pelle, Manto127 fu, che cercò per
terre
molte ; Poscia si pose là dove nacqu’ io ;128 On
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