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1 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
e qui paraissait avoir quelque activité, quelque puissance : ainsi le soleil , les astres, qui se faisaient sentir de si loin ;
pas surmonter ? Des forêts immenses qui interceptaient les rayons du soleil , et qu’infectaient des reptiles venimeux ou des a
ui pouvait contribuer à les polir et à leur donner d’autres mœurs. Au soleil couchant, il se retirait dans la mer et passait l
toutes choses ; de cacher ses mémoires sous la terre dans la ville du soleil , nommée Sippara ; de construire ensuite un vaisse
’intelligens et contemplateurs des cieux. Immédiatement après Mob, le soleil , la lune, les étoiles et les autres astres commen
ents et des nuées qui tombèrent en pluie : cette pluie attirée par le soleil forma les orages, et le bruit du tonnerre réveill
grande sécheresse étant survenue, ils étendirent leurs mains vers le soleil , qu’ils regardèrent comme le seul Dieu et le maît
uples l’origine de l’idolâtrie, puisqu’il est dit qu’ils adoraient le soleil . On les voit déjà mêler à leur religion l’inventi
le mouvement de l’air, les parties du feu s’élevèrent et donnèrent au soleil , à la lune et aux autres astres, leur mouvement c
n des peuples n’était qu’une idolâtrie grossière. Frappés à la vue du soleil et des autres astres, ils s’imaginaient que ces c
du monde et les seuls dieux qui le gouvernaient. « Ils nommèrent le soleil Osiris, et la lune Isis. Osiris, disaient-ils, si
re que l’on s’avance. Les Égyptiens adoptèrent huit grands dieux : le Soleil , Saturne, Rhéa, Jupiter, Junon, Vulcain, Vesta et
voulant pas trop effaroucher les esprits, il prescrivit à l’égard du soleil , principe de la fécondité de la terre, quelques c
dieu, principe de tous les êtres, et que s’ils honorent le feu et le soleil , c’est qu’ils le regardent comme l’image la plus
eurs semblables. Il fallut de plus grands objets pour les séduire. Le soleil , par sa beauté, le vif éclat de sa lumière, la ra
e et invisible, ne trouvèrent rien dans la nature de plus beau que le soleil  ; peut-être même que la reconnaissance les y atta
point qu’il n’y eût quelque divinité qui y présidât. Ils adorèrent le soleil et la lune sous les noms d’Osiris et d’Isis. » C
dieux que ceux qu’adorent encore aujourd’hui les barbares, savoir, le soleil , la lune, la terre, les astres et le ciel. C’est
t-il aux Israélites, qu’élevant vos yeux vers le ciel, et y voyant le soleil , la lune et tous les autres astres, vous ne tombi
t passé de l’Égypte dans les pays voisins. Les Ammonites adoraient le soleil sous le nom de Moloch ; les Chaldéens, sous le no
nt d’autres dieux que ceux dont ils recevaient quelque bien, comme le soleil , la lune, le feu. Depuis la découverte de l’Améri
connu que presque tous les peuples de ce vaste continent adoraient le soleil . Les Incas s’appelaient ses fils, comme les héros
is de prouver que tous les dieux du paganisme pouvaient se réduire au soleil et à la lune. Dans les détails qu’il en fait, non
enir animer leur corps ; ce fut ainsi qu’ils furent regardés comme le soleil et la lune, et l’on confondit leur culte avec cel
des Naïades ; l’air et les vents, sous ceux de Jupiter et d’Éole ; le soleil , sous ceux d’Osiris, d’Apollon, etc. ; la lune, s
piété. Le malheureux Anaxagore fut puni de mort pour avoir dit que le soleil n’était point animé, et qu’il n’était qu’une lame
ain n’imagine pas plus d’être jaloux, qu’on ne l’est de la lumière du soleil  ? » Hésiode et Homère ne sont point les invente
ecti : dieux choisis. Leurs noms étaient : Cœlus, Saturne, Génius, le Soleil , Pluton, Bacchus, la Terre et la Lune. On donnait
us les ans, aux calendes de mars, ce feu se renouvelait aux rayons du soleil . On attachait une telle importance à la conser
l ne venait au secours du Ciel. Jupiter alors défendit à l’Aurore, au Soleil et à la Lune, de paraître et de découvrir ses des
hée conçut l’espoir de le voler ; il alluma un flambeau aux rayons du soleil , et, dès qu’il eut communiqué cette flamme célest
Hespéries toutes les régions occidentales de la Grèce. Histoire du Soleil . Les Grecs et les Romains confondaient presqu
Soleil. Les Grecs et les Romains confondaient presque toujours le Soleil avec Apollon. Platon assure qu’il est le même que
ujours le Soleil avec Apollon. Platon assure qu’il est le même que le Soleil . Cicéron dit que le Soleil et la lune sont deux,
on. Platon assure qu’il est le même que le Soleil. Cicéron dit que le Soleil et la lune sont deux, divinités, dont l’une s’app
’un jeune homme qui tient un arc ou une lyre à la main, tandis que le soleil est représenté avec la tête environnée de rayons,
l’on n’observe jamais dans les représentations d’Apollon. Le culte du Soleil est le premier de tous les cultes idolâtres ; nou
. Les Égyptiens, les Phéniciens, les Arabes, les Perses, adoraient le Soleil long-temps avant que l’Apollon des Grecs fût conn
uls Grecs et les Romains confondirent ensemble ces deux divinités. Le soleil était particulièrement adoré dans l’île de Rhodes
nous a conservé les noms des quatre chevaux qui traînaient le char du Soleil . Ovide les nomme Eoüs, Pyroïs, Aéthon et Phlégon,
resplendissant, et qui aime la terre. Le premier désigne le lever du soleil , dont les rayons sont rouges à cet instant ; le s
re est dans tout son éclat ; et le quatrième représente le coucher du soleil  ; on le voit alors se rapprocher de la terre. Le
le coucher du soleil ; on le voit alors se rapprocher de la terre. Le Soleil préside aux douze signes du zodiaque, et chacun d
et chacun de ces signes répond à un mois de l’année ; de sorte que le soleil les parcourt tous pendant le courant de l’année ;
e courant de l’année ; ce qui les a fait appeler les douze maisons du soleil . Mars, signe du Bélier. Il représente celui sur
r au nombre des signes du zodiaque. On attribuait plusieurs enfans au Soleil  : Eéthès et Pasiphaé passaient pour être ses fill
rs de Rhodes furent couverts de fleurs nouvelles. Parmi les enfans du Soleil , Aurore et Phaéton sont les deux plus célèbres. A
s. Histoire de Phaéton. La chute du téméraire Phaéton, fils du Soleil , a trop de célébrité pour la taire. Epaphus, fils
t de la nymphe Io, lui ayant un jour disputé l’honneur d’être fils du Soleil , Phaéton, irrité de cette injure, consulta sa mèr
’aller au palais de son père demander des preuves de sa naissance. Le Soleil ayant juré par le Styx qu’il ne refuserait aucune
d’après Horus, fils d’Osiris, que les Égyptiens confondaient avec le Soleil . Nous allons donner la fable d’Apollon, telle que
il avait pris naissance ; Phœbus, pour faire allusion à la lumière du soleil (Phoïbos signifie clair, pur) ; Pythius, à cause
e sa victoire sur le serpent Python, victoire qu’il faut attribuer au soleil , qui, en éclairant la terre et desséchant le limo
ns, avaient des flèches d’Apollon. Elles représentaient les rayons du soleil . On leur reconnaissait un si grand pouvoir, qu’on
ne, ou de la Lune, et celle des hommes une vengeance d’Apollon, ou du Soleil . L’histoire des enfans de Niobé, tués par Apollon
és par Apollon et Diane, prouve combien l’on croyait à l’influence du soleil et de la lune. La fière Niobé, piquée de ce que l
li dans ses droits. Jupiter lui confia le soin de conduire le char du soleil et de répandre la lumière sur la terre. Cicéron
re ville. Nous avons déjà fait observer qu’Osiris était le symbole du soleil chez les Égyptiens : Horus, son fils, le fut de m
ant que l’héliotrope ou tournesol a toujours sa fleur penchée vers le soleil , ils publièrent que Clytie avait été métamorphosé
rme n’ayant pu détruire sa sensibilité, elle se tourne encore vers le soleil pour lui reprocher son inconstance. Les poëtes vo
en son honneur. Toutes les cérémonies de son culte avaient rapport au soleil , dont il était le symbole. L’épervier et le loup
araît, il est vrai, que, dans ces cas, on confondait ce héros avec le Soleil . M.  Court de Gébelin résout ce problème d’une ma
ce célèbre Hercule et ses douze travaux n’étaient que les emblèmes du soleil et des douze signes du zodiaque. Il explique de m
avons déjà prouvé que, chez les Égyptiens, Osiris était le symbole du soleil , et Isis le symbole de la lune. Pour ne point rép
de caverne que l’on appelle toujours la grotte d’Endymion. Le char du soleil était d’or, et celui de la lune était d’argent. O
donnait à ces rayons le nom de flèches, comme on le donnait à ceux du soleil . L’influence des uns et des autres était égalemen
ouvre ; et si l’on veut savoir mes ouvrages, c’est moi qui ai fait le soleil . Les savans les plus célèbres croient que cette
ent d’abord à Minerve ; mais ils le négligèrent après avoir adopté le Soleil comme leur première et plus grande divinité. Les
ita d’autant mieux, que, par la suite des temps, Adonis représenta le soleil , et la reine Astarté la lune. On voulut figurer l
les plus fameux dont elle parle. Elle cite entre autres le palais du Soleil , les armes d’Achille, celles d’Énée, le collier d
’est ainsi que les Égyptiens donnèrent les noms d’Osiris et d’Isis au soleil et à la lune. Neptune, célèbre parce qu’il comman
ouvertes de cadavres et de limon après s’être retirée : la chaleur du soleil causa la peste ; et le peuple, toujours superstit
de nombreux essaims d’abeilles. Virgile nous assure qu’en exposant au soleil la peau d’un taureau ou d’une génisse, elle attir
parlé précédemment. Jupiter et la Terre étaient les deux premiers. Le Soleil et la Lune, qui influent si considérablement sur
e ciel pour éclairer le monde, et former avec cette matière de feu le Soleil , qu’il donna pour époux à la terre. « Ils produis
able origine était très-ancienne. Les Égyptiens, après avoir adoré le soleil sous le nom d’Osiris, la lune sous celui d’Isis,
, lui servait de nocher, et le transportait aux portes de la ville du Soleil , d’où il arrivait dans les heureuses plaines habi
, est le Nil même, auquel les Égyptiens donnaient ce nom. La ville du Soleil est Héliopolis ; les plaines heureuses sont les b
ende qui portait son nom, Éternité. Elle tenait à la main une tête de soleil rayonnant, ou une tête de lune, parce qu’on les c
2 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
s dirons que les Grecs ensuite donnèrent pour enfans à Démogorgon, le Soleil , la Discorde, Pan, les Parques et Pitho ou la Per
e d’Hécate. De l’union d’Hypérion avec Thîa, parurent : Hélios ou le Soleil , Séléné ou la Lune, Eos ou l’Aurore, qui de son a
erons lors de la fondation de Thèbes ; puis elle eut Bisalpis avec le Soleil , Corybas avec Josion, Dolos ou la Douleur avec l’
n vient de le voir, n’est qu’un personnage symbolique représentant le soleil , et se rapprochant en cela d’Apollon, de Bacchus
tés que nous retrouverons par la suite. Seulement Atys est l’image du soleil à l’instant où il est le moins éclatant, et lorsq
t continuellement avec l’Egypte, considérait Rhéa comme une épouse du soleil cédant aux sollicitations de Saturne qui la rend
fractions, appelées : Augê ou Ͱl’aube du jour, Anatolê ou le lever du soleil , Mousiâ ou Mousea ou l’heure des études, Gymnasiâ
ou celle des prières, Actê ou celle de la table, Dysis ou coucher du soleil  ; l’on exprimait les quatre dernières, par les ch
ps découvre tout. Saturne est, en astronomie, une planète éloignée du soleil de 329,232,000 lieues ; elle a sept satellites, e
; Héiconius, ou d’Hélicon ; Héliopolite, ou d’Héliopolis ; Hélios, ou soleil Hephetous, ou des foyers ; Hercios, ou le gardeur
galement fille de Mélisse, roi de Crète, ou du roi Hémone, ou même du Soleil , c’est Amalthée, nymphe-chèvre, qui fut spécialem
seule véritablement Amalthée, et la femme était-elle Ega et fille du Soleil ou d’Olène ; ce sont des difficultés peu faciles
on, d’Hélios et de Sélené, voulant dire marchant haut dans les airs ; soleil et lune ne sont que des mots symboliques employés
iques employés pour exprimer le père de la lumière avec ses enfans le soleil et la lune. Japet offre aussi des variantes u
ou Mercure, Posidon ou Neptune, Hépheste ou Vulcain et Apollon ou le Soleil  ; Héra ou Junon, Hesta ou Vesta, Damater ou Cérès
sis, et nommés Uranus, Saturne, Genius, Bacchus, Pluton, la Terre, le Soleil et la Lune, auxquels on joignit et l’on donna pou
x champêtres. Après eux on rangeait les Dieux naturels qui étaient le Soleil , la Lune, les Étoiles et les autres êtres naturel
el à leur secours. Alors Jupiter défendit à l’Aurore, à la Lune et au Soleil de paraître, de peur de découvrir ses desseins à
l possède toute la protection, et par son secours va ravir au char du soleil une étincelle éthérée, la place dans un tube de f
e vouloir, dans cette histoire greco-hébraïque, faire entendre que le soleil étant dans le lion solsticial du zodiaque, le nav
on mouvement de révolution annuelle en 1,591 jours, et sa distance du soleil est d’environ 92,051,500 lieues. Chez les anciens
des Dieux y avait son appartement. Il construisit encore le palais du Soleil , fabriqua la couronne d’Ariane et le collier d’He
n parlant des Curètes et des Corybantes ; ces Dactyles Idéens, nés du Soleil et de Minerve, ou de Saturne et d’Alciope, et hab
n, l’un d’entre eux, fut roi de Sicyone, ils passaient pour enfans du Soleil  ; aussi les retrouvera-t-on parmi les fils d’Apol
mplacable. Ici grande obscurité dans le Mythe, car Apollon le Dieu du soleil n’est pas né, et pourtant, Hélios ou le Soleil es
car Apollon le Dieu du soleil n’est pas né, et pourtant, Hélios ou le Soleil est déjà divinisé et même Junon lui fait jurer de
s Dieux, Diane et Apollon grandirent promptement ; celui-ci devint le Soleil personnifié ou Dieu du jour et des arts, et sa sœ
la terre, contre Apollon, menaçant de lui faire succéder le culte du Soleil  ; on pourrait aussi à la rigueur, le prendre pour
mme on attribuait les maladies contagieuses à la chaleur excessive du Soleil , on mit sur le compte d’Apollon le massacre des N
portés à voir avec M. Parisot dans Amphion, la personnification d’un Soleil , dans Niobée, cele d’une Lune, adorés et abondonn
ses flèches. L'aurore à peine levée le voyait dans les plaines, et le soleil et son coucher l’y trouvait encore. Cette passion
Grecs. Considérée sous son nom de Sélénée, c’est la sœur d’Hélios ou soleil  ; c’est elle qui ayant appris que celui-ci avait
t en astres, de sorte qu’Hélios eut sous sa domination la conduite du soleil , et Sélénée celle de la lune. Depuis ce temps, on
e Latone, mais leur mythologie ancienne la faisait également fille du Soleil , ou du Tartare et de Cérès, ou de la Nuit, ou d’A
r de Diane Saronia, et les Thurgélies à Athènes étaient consacrées au soleil et à la lune, ou à Diane et à son frère. D'après
en ou le tournant autour de la terre, Elios et Elion, et Hélios ou le Soleil , Enholmos ou au trépied d’Enholmis l’une de ses p
perboréen ou des peuples du nord, Hyperion ou le plus brillant, ou le Soleil , Hysios ou d’Hysie en Béotie, les oracles s’y ren
ie, à Argos et à Corinthe. Apollon est donc la personnification du soleil , de l’astre qui produit la lumière. Cet astre ava
ez les Grecs et les Romains. Cicéron compte cinq personnifications du soleil  : le premier de ces soleils, c’est Apollon, fils
. Cicéron compte cinq personnifications du soleil : le premier de ces soleils , c’est Apollon, fils de Jupiter et de Latone ; c’
l avait, dit-on, épousé la titanide Thya ou la Mer, et en avait eu le Soleil , la Lune et tous les astres. Mais un autre écriva
nt dans l’Eridan son fils Hélius encore enfant. Etait-ce parce que le soleil sortait de la mer Egée et se couchait dans la mer
s Titans, par suite de ses observations, avait découvert la marche du soleil et des autres corps célestes, que les Grecs avaie
s serait impossible aujourd’hui de décider d’une manière positive. Ce Soleil passait pour avoir eu de Naupidamne, fille d’Amph
rerons plus tard en parlant des Argonautes et d’Hercule. Le troisième soleil était fils d’un Vulcain des Egyptiens appelé par
s considéraient ce dieu des forgerons comme fils du Nil. Le quatrième soleil était fils d’Acantho, et le cinquième était père
ns l’origine des temps les plus anciens de la Grèce, il est Hélios ou soleil , souvent confondu avec divers personnages du même
Titan. Les Grecs et les Romains n’ayant jamais séparé l’histoire du soleil de celle d’Apollon, nous suivrons leur exemple ;
La naissance d’Apollon remontant à l’époque de la personnification du soleil , date par conséquent de fort loin. Aussi on en co
t les terres couvertes de cadavres et de limon. Bientôt la chaleur du soleil excitant la fermentation et la putréfaction de to
xil, Apollon retourna dans l’Olympe où son père lui confia le char du soleil . C'est alors qu’il prit le nom de Phébus ou le lu
l les dételait et allait se plonger dans la mer, c’est-à-dire, que le soleil disparaissait de l’horizon grec borné au couchant
ons Apollon comme étant plus particulièrement une personnification du soleil , nous le voyons venir d’Égypte en Grèce, y perdre
Rome où il fit élever en son honneur un temple magnifique. Partout le soleil présidait aux douze mois de l’année ; alors on cr
. Ces constellations, que les anciens appelaient les douze maisons du soleil  ; portent les noms suivans et répondent chacun à
ns et répondent chacun à un mois spécial ; ainsi dans le printemps le soleil commençait à passer dans le signe du Bélier ou ma
signe de la balance il occupait les deux espaces du cercle ; de là le soleil entrait dans le Sagittaire ou novembre : c’est un
Muses qui le firent placer au ciel après sa mort. Pendant l’hiver le soleil passait dans le signe du Capricorne ou décembre :
rent encore, l’année 687 de la fondation de leur ville, un autre dieu soleil qu’ils empruntèrent aux Perses : C'était Mithra d
de ce dieu. Cependant une inscription latine qui portait : « Au Dieu soleil , à l’invincible Mithra », ne laisse aucun doute s
sages de l’homme à travers les planètes avant d’arriver dans celle du soleil où il doit ensuite rester pour toujours. Ce culte
uant aux fêtes spéciales d’Apollon, comme dieu de l’harmonie ou comme soleil , elles étaient fort nombreuses en Grèce et à Rome
chars inventées, dit Tertulien, par Circé en l’honneur de son père le soleil . Les Daphnéphories étaient des fêtes béotiennes q
béotiennes que tous les neuf ans on célébrait en l’honneur d’Apollon soleil . On allait processionnellement jusqu’au temple d’
ée de fleurs et de lauriers, surmontée d’un globe d’airain imitant le soleil  ; sous ce globe principal on en voyait plusieurs
es faisant allusion aux jours nécessaires à la révolution annuelle du soleil . Les Délies célébrées par les Athéniens en l’honn
orge. Les Halies se célébraient à Rhodes pour honorer la naissance du soleil . Les Hécatombées étaient des fêtes à Athènes pend
n Cappadoce, en Grèce et à Rome. Elles se célébraient en l’honneur du soleil . Les Hyacinthies étaient à Lacédémone un deuil de
lyre, la syrinx et la flûte. Si l’on spécialise le dieu du jour ou le soleil , il est représenté sur un char brillant attelé de
beauté et ne vieillissant jamais. Les Egyptiens, grands adorateurs du soleil , comme nous le verrons, représentaient ce dieu pa
le Telchine Lycus qui passait, comme tous ses frères, pour enfans du Soleil et de Minerve, et pour autant de magiciens et bri
femme de Tithon. Elle était chargée d’atteler les chevaux au char du soleil , et du haut du sien elle précédait celui-ci, en o
les portes du jour. On la disait fille de Titan, ou de Pallas, ou du Soleil et de la Terre, ou, suivant Hésiode, de Théa et d
t de la Terre, ou, suivant Hésiode, de Théa et d’Hypérion, et sœur du Soleil et de la Lune. Ayant épousé Persès, elle eut pour
l le mit sur ses épaules et le pria de le guider vers les lieux où le soleil se levait. La chaleur des rayons de cet astre lui
âchée d’avoir ôté la vie au bel Orion qui mourut dans le temps que le soleil parcourt le signe du scorpion, obtint de Jupiter
. Souvent elle chasse devant elle la Nuit et le Sommeil et précède le Soleil en ouvrant les portes de l’orient. Jamais aucune
et se trouver enfant, vainqueur du serpent Python, quand au lever du soleil dans le lion, au matin du solstice d’été, le drag
venir berger en Thessalie dans le pays des Centaures, aussitôt que le soleil arrive dans les signes inférieurs, et devient voi
evient voisin du centaure et du sagittaire. Puis, comme les rayons du soleil donnent de la chaleur aux esprits vitaux des homm
s ; Circée, sœur de Pasiphaé et d’Eétès ou Ætes, était aussi fille du Soleil et de la nymphe Persa ou Perséis ; elle eut, il l
de leur union, quoique souvent on le fasse passer aussi pour fils du Soleil et de la Terre, ou de Canacé ; Cléobule était une
terre, les cheveux épars et les yeux continuellement tournés vers le soleil . A la fin Apollon en eut pitié et la métamorphosa
ir été enterrée toute vive pour avoir eu une intrigue avec le Dieu du soleil  ; Dryope, fille d’Euryte, donna Amphissus pour fi
Isménus, ainsi que les nymphes Méliades. Minerve eut, dit-on, avec le soleil les Telchines, quoique beaucoup d’autres les fass
s fassent passer pour fils de la mer. Néère était une déesse aimée du soleil , qui la rendit mère de deux filles, Phaétuse et L
e prophétesse d’Italie qui portait le même nom. Naupidame eut avec le soleil ou Phorbas, un fils appelé Augias. Othréis devint
dit mère de Lycomède. Persa, fille de l’Océan et de Thétis, épousa le Soleil et en eut Eétes, Persès, Circé, Pasiphaé. Phtia,
statue se voyait à Syracuse, dans le temple de Bacchus. Aloé, fils du Soleil et de Circé ou de la terre ou de Canacé, reçut de
foi de la marier à Cercaphe, son oncle ; Candale, fils d’Hélios ou le soleil et de mère inconnue, fut obligé de quitter l’île
sance divine et il fut regardé comme fils d’Apollon ; Circé, fille du Soleil et de Persa ou Perséis ou Persé, fille de l’Océan
ppelé Télégone et même, dit-on, Agrius ou Latinius ; Climène, fils du Soleil et de la mère inconnue, fut, suivant Hygin, l’ama
qui furent s’établir dans le Péloponèse ; Eétès, fils de Persa et du Soleil , eut Absyrthe, Chalciope et Médée, de l’Océanide
ition des Argonautes sous laquelle il succomba ; Electryone, fille du soleil et de Rhodès, mourut vierge et fut une des divini
aux de pâte. Souvent, comme fils d’Apollon, Esculape fut identifié au soleil et regardé comme prophète, mage, barde ou sorcier
pe fait allusion au lever du serpentaire, le soir après le coucher du soleil dans le taureau, ce qui ferait supposer que cette
es. Heliades : quoique ce nom puisse s’appliquer à tous les enfans du Soleil , cependant on le réserve pour indiquer spécialeme
r une dispute avec Epaphus, qui lui reprochait de ne pas être fils du Soleil comme il s’en vantait. Phaéton fut tellement choq
ôt le jeune téméraire monte sur le char ; mais bientôt les chevaux du soleil s’apercevant de la faiblesse de leur conducteur e
er de guerre de Pelops qui le fit hacher en morceaux ; Macar, fils du Soleil et de la nymphe de Rhodé, contribua au meurtre de
 ; Oaxe avait eu pour mère Anchialée ou Acacallis ; Orchimus, fils du Soleil et de Rhodès, épousa la nymphe Hégétorie, dont il
e la vierge ; Patare était né d’Apollon et de Lycie ; Persès, fils du Soleil et de Persa, détrôna son frère Eétès, après la fu
erpent Python ; Scyros fils de Sinope. Telchines, enfans douteux du Soleil auquel on les attribua, parce qu’ils habitèrent q
roi de Colonnes, en Troade, qu’il devait le jour ; Thersanon, fils du Soleil et de Leucothoé ; Triope, fils du Soleil, avait d
le jour ; Thersanon, fils du Soleil et de Leucothoé ; Triope, fils du Soleil , avait donné son nom à une ville de Carie ; Zeuxi
emble indiquer que la déesse, un peu moins désolée vers le coucher du soleil , saisit cet instant pour prendre quelques alimens
uennaux. Julien fixait l’époque des petits mystères à l’instant où le soleil entre dans le signe du belier, et les grands au m
tes choses, le Dadouque ou second prêtre, ou porte torche, symbole du soleil , l’Hierokeria ou troisième prêtre, emblème de Mer
t également ses Thesmophories, pendant lesquelles on faisait cuire au soleil les viandes sacrifiées. On sait encore que les He
crées à tous les Dieux, mais surtout à Cérès, Proserpine, Minerve, le Soleil et Neptune ; les Proacturies ou Proarosies, insti
t l’emblême du courage, et annonce chaque matin aux amans le lever du soleil . Avec le caractère volage que déjà nous connaisso
r tous les jours avec son amant. En effet, dès qu’elle vit le char du soleil arriver à l’horizon, elle s’y présenta également
ue, prévenue par la jalousie, elle vit, du mont Ida, les coursiers du soleil descendre vers le séjour liquide d’Amphitrite, ép
généalogie est toute solaire, car, tous ses membres se rattachent au soleil . Alors nous devons reconnaître Adonis pour une es
ur vigoureux. Véritable contraste représentant la personnification du soleil roulant continuellement dans l’espace, en lançant
nt les pays où il fut transporté. Il pouvait représenter où le faible soleil du printemps et de l’automne ; mais plus fort et
par heure. Elle est plus petite que la terre, sa distance moyenne du soleil , est de 24,966,000 lieues, et quand on voit en pl
yméduse ou d’Evanthès, appelée aussi Eurynome, ou même de Junon ou du soleil et d’Eglée. Mais la tradition la plus suivie les
des heures, ou pour filles de Jupiter et de Thémis ou de Junon, ou du Soleil et d’une Eglé, ou d’une mère inconnue, ou bien en
tait la simple expression d’une Néoménie ou nouvelle lune, lorsque le soleil et la lune, au printemps sont dans le signe du ta
l’obscurité dans laquelle le monde était plongé avant la création du soleil . Nous ne dirons également rien de Niobé amante de
ailé aux pieds de la fortune. A Smyrne elle avait un croissant ou un soleil ou l’étoile polaire sur la tête. Les Béotiens lui
la terre, bouillonner l’Océan, et frappa de stupeur les coursiers du soleil . Le jour même de sa naissance, Apollon voulut qu’
e jour de sa naissance ; ensuite, ils la négligèrent pour le culte du Soleil . Mais, c’était surtout à Athènes qu’elle était ad
ce qu’il se brûla le jour pour lequel il avait annoncé une éclipse de soleil , Baulus ou de Baule, en Campanie, Briarée, Buphag
ent l’air quand ils volaient, en interceptant la clarté des rayons du soleil  ; leurs ailes, leur tête, leur bec et leurs ergot
es, ou des étoiles, et le dragon est le zodiaque, puis Hercule est le soleil levant qui fait disparaître les astres. L'Ench
faire guérir par le médecin de l’Olympe ; un autre jour les rayons du soleil l’irritant, il tend son arc contre cet astre qui
de lui offrir le matin avant le lever, et le soir après le coucher du soleil , un sacrifice que l’on faisait suivre d’un grand
mandations de son père, s’éleva trop haut, de sorte que la chaleur du soleil fondit la cire de ses ailes et il tomba dans cett
n de Cometès ; Astérius d’Hippérasius ; Astérius de Mélée ; Augias du soleil  ; Atalante de Schœnée ; Autolycus de Mercure ; Az
s, toujours rancuneuse contre les descendans d’Apollon, depuis que le Soleil avait divulgué ses intrigues avec Mars, s’enflamm
la Mythologie, par la chute de Phaéton, lorsqu’il voulut conduire le soleil . L'Éridan fut placé dans les cieux où il forme un
 ; Mélie, amante de Neptune ; Persa ou Perséis, avait été l’épouse du soleil  ; Pléione fut aussi femme d’Atlas et mère des Plé
enfers, n’avait pas toujours coulé dans le séjour des morts. Fils du soleil et de la terre, il promenait le cristal de ses on
tempérance, et avec l’Achéron les Dires, ou Imprécations ; et avec le soleil , Momus. On lui donne beaucoup d’autres enfans don
Momus, nous avons déjà vu qu’il réclamait la Nuit pour sa mère et le soleil pour son père ; aussi, préférant la lumière, il h
un lit de feuillage, dans un antre obscur, inaccessible aux rayons du soleil , et dont l’entrée était fermée par des touffes én
es de ses fils. Tous les convives frémirent à cet acte barbare, et le soleil se cacha même, dit-on, pour ne pas l’éclairer. Th
où ses compagnons affamés se ruèrent sur les magnifiques troupeaux du soleil et en tuèrent quelques-uns : ils en furent bien p
erture du printemps où à une époque très reculée, lors de l’entrée du soleil dans le taureau. On représentait Anna Perenna, ou
. Les anciens le représentaient sans habits, les membres halés par le soleil , les cheveux roux et liés par des épines et porta
ici les noms ou Dieux qui correspondaient aux jours de notre semaine, Soleil , Dimanche ; Lune, Lundi ; Mars, Mardi ; Mercure,
nt le dieu-soleil ou fils du feu. On lui donne pour épouse la lune ou soleil gumide, d’où résulte un principe éminemment fécon
ait une vache divine, Ahé, consacrée à Bouto, ou, pour mieux dire, au soleil . Isis, sœur et épouse d’Osiris, lui avait été uni
’écliptique avait besoin d’environ dix jours pour être franchi par le soleil  ; ils présidaient à l’horoscope et, suivant que l
odiaque rectangulaire, sortant du fleuve de Lotos, comme symbole d’un soleil levant ou nouveau ; il correspond aux 2, 3, 20 et
il est assis dans le zodiaque rectangulaire, sur le Lotos, symbole du soleil levant ou nouveau. Sentacer, de Firmicus, ou Sto
re, par un hiéracocéphale, coiffé du disque avec l’urée ou symbole du soleil , c’est donc un dieu Fré ; il correspond aux 2, 11
x supérieurs, formaient un groupe de douze personnages subordonnés au soleil , et ayant ce grand astre pour chef de file. Ce gr
a alliés de la manière suivante : Djom ou Djem, espèce d’Hercule, ou soleil des Grecs, purgea les contrées de l’Égypte des ma
çoit un disque jaune et strié, différent, par conséquent, de celui du soleil , qui est rouge, vert ou blanc, avec un point au m
n. Surot, ou le quatrième dynaste planétaire, correspond au Lucifer, soleil des Grecs, et porte, comme dieu supérieur égyptie
le nom d’Abélios. Cependant Baal, dans l’origine, ne signifiait point soleil , et chez les Phéniciens et les Carthaginois, il n
rthage, mais dieu sidérique tout puissant. Baal par excellence, ou le soleil même, ou Melkarth ou Adonis ; puis, au-dessous de
l même, ou Melkarth ou Adonis ; puis, au-dessous de ce grand Baal, ou soleil , venait le Baal des Carthaginois, ou Saturne, ou
e désert de Cettim ; espèce de dieu-soleil générateur, mais affaibli, soleil d’automne, ou enfin analogue d’Adonis, et dont La
l, Belus ou Belis, divinité que l’on regardait ordinairement comme le soleil  ; il était adoré en Babylonie, en Syrie, en Assyr
t navigateur, guerrier et commerçant sur terre ; au ciel, il était le soleil . On le représentait armé d’un arc et de flèches,
quelquefois sa statue chargée de chaînes, emblême de la faiblesse du soleil , en hiver. On élevait des bûchers en son honneur,
gine, l’histoire et la fin de toutes choses, enterra dans la ville du soleil les mémoires qu’il venait d’écrire, construisit u
sa piété ; quant à vous, marchez et vous trouverez, dans la ville du soleil , les saints livres que Xisutrus y a déposés ; ens
ns le temple de Baal, pour pleurer la mort de Thammouz ; la statue du soleil se jeta par terre ; même le lendemain elles retou
ou grand esprit, déploia la Bouddhi, ou intelligence créatrice, et le soleil divin se leva ; dès-lors aussi, il fut le soleil
nce créatrice, et le soleil divin se leva ; dès-lors aussi, il fut le soleil des soleils, le Adhyakscha, ou œil suprême brilla
ce, et le soleil divin se leva ; dès-lors aussi, il fut le soleil des soleils , le Adhyakscha, ou œil suprême brillant dans l’ét
ilencieux de ces grands combats ; mais ce sage possède un être divin, soleil qui brille invisible au dedans de son cœur ; c’es
ent les dieux, les génies, le sacrifice, les védas, le feu, l’air, le soleil , la trinité éternelle, les temps et les divisions
trois fois de l’eau avec les creux de la main sur la terre et vers le soleil , qu’ils adorent ensuite comme la plus belle image
autres filles, parmi lesquelles Dachina, ou Souria, ou Savitri, ou le Soleil qu’il maria à la lune, d’où sortirent les Souriav
e jour-soleil primordial, il résulta douze Aditias, ou Adidinanas, ou soleils mensuels, mais il eut avec Diti, douze Daitias, o
as, au nombre de douze, sont regardés par les Indiens comme autant de soleils mensuels, opposés aux Daitias ; ce sont donc les
blème de la divinité avant qu’elle soit divinisée. Arouna, cocher du soleil chez les Hindous. On le représente assis au centr
qui quelquefois conduisait le cheval à sept têtes, attelé au char du soleil . Atri ou Atterien, fut célèbre par la pénitence
donc le dieu des enfers ; c’est le fils de Vivasvat, autrement dit le soleil  ; c’est lui qui installe parmi les dieux ancêtres
les Doûtas. Nikchouba ou Kchouba, une des femmes de Martanda ou le soleil , elle était fille de Viçouamitra chef des Tchoubd
uelques uns de ces Rois-Dieux : Aritchaudren, Radjah Hindou, fils du soleil et célèbre par sa sagesse, sa fidélité dans les e
sixième eut lieu pour punir l’insolence des Souriavansas, ou fils du soleil  ; devint Brahme et guerrier, prit le nom de Paraç
arne comme membre de la Trimourti ; puis il joue le rôle de Souria ou soleil et même celui beaucoup plus humble encore d’Aditi
ouria ou soleil et même celui beaucoup plus humble encore d’Aditia ou soleil mensuel, car Indra, ce dieu Brahmaïte, par sa pur
sur la terre les foudroya d’un seul regard. Satiadjit, adorateur du soleil , était d’une telle piété, que le Dieu lui donna e
adeaux est immense. On le représente de couleur bleue. Maga, fils du soleil , habitait une région mystérieuse dans le pays des
pays des Saces. Samba, puissant dans l’Iambou, ayant été guéri par le soleil , il voulut par reconnaissance lui dédier une stat
Vichnou, et le déposa dans Sambapoura. Là, Maga consacra la statue du soleil , et reçut en récompense la ville de Sambapoura, a
ient pu goûter de l’Amrita. Vichnou, averti de cela par la lune et le soleil , au moment où la divine liqueur n’avait encore mo
la tête du dragon ; et là, se ressouvenant toujours de la délation du soleil et de la lune, il cherche à les dévorer ; aussi,
e pour la lune comme source de l’humidité primitive que la chaleur du soleil rend productive pour la terre féconde et pour l’e
s elles sont ivres en allant à ce supplice. Les fêtes du Pongol et du soleil sont aussi très célèbres ; du reste, les idoles d
le vierge, disent-ils, ayant avalé une bulle composée de l’essence du soleil , conçut et resta enceinte pendant quatre-vingt-un
quatre bras ; il tient d’une main un sceptre terminé par un brillant soleil  ; d’une autre, une couronne de fleurs ; dans la t
rni de quarante bras, est surmonté par trois têtes, dont l’une est le soleil , l’autre la lune, et la troisième la masse des él
, ou Kanon, Dieu des eaux et des poissons, et fils d’Amida, a créé le soleil et la lune. On voit son idole sortant de la gueul
sur les plus hautes montagnes, sans le discontinuer, était l’image du soleil adoré. Le plus grand respect était fidèlement acc
oyaume Gorotman. C'est la plus élevée des trois sphères célestes ; le soleil roule au-dessous de son trône. On l’invoque toujo
soleil roule au-dessous de son trône. On l’invoque toujours avant le soleil  ; il préside au premier, au huitième, au quinzièm
dont elle est l’ame ou la force vitale. Khorchid, Ized pris pour le soleil lui-même, et habitant au centre du monde dans une
r une place particulière ; en effet, Mirh ou Mithra, était l’Ized du soleil ou le génie du feu-amour, le Dieu célèbre des Mag
énie du feu-amour, le Dieu célèbre des Mages et des Parses ; c’est le soleil dans sa glorieuse majesté. Son culte était tout m
, ou le bienfaiteur des rues, présidant à l’espace qui va du lever du soleil jusqu’à midi en été, et jusqu’à trois heures en h
otecteur du midi ; Ociren ; Efesrouthrem préside depuis le coucher du soleil jusqu’à minuit, et est invoqué avec Havan et Tsou
’antagoniste d’Ormuzd qui créa les Fervers, la lumière, l’Albordj, le soleil , la lune, les cinq autres planètes et les étoiles
trente ans. La semence de ce premier homme tomba sur la terre, où le soleil la purifia ; l’Amchasfand Sapandomad en prit un t
remier Gouchasp, est le feu des étoiles, le second Mihr est le feu du soleil , et le troisième Bersin est le feu de la foudre.
res. Les Russes croient encore à leur existence. Suantowith, dieu du soleil de la Poméranie. Séva, ou Siva, ou Siba, déesse
Fréir, fils de Niordr et de Skada, est le dispensateur des pluies, du soleil , du beau temps, des fruits de la terre, des riche
Idi et Gangr. Anninga, ou la lune masculin, est frère de Malina, ou soleil féminin. Une nuit, dit-on, Anninga poursuivait sa
la poursuivant sans cesse, elle monta dans l’espace où elle devint le soleil . Anninga voulut l’imiter, mais il ne put arriver
sa force. Baiva est tantôt un dieu feu-chaleur-lumière et tantôt le soleil . Les Lapons le regardent encore comme Aijeke ou T
es produits de la chasse et les fruits de la terre. Paive, déesse du soleil , est une des trois divinités supérieures des Lapo
était rouverte. Ouisneach est le feu sacré ou la personnification du soleil . C'est aussi le point de réunion des cinq divisio
des sauvages de l’Amérique septentrionale, qui le confondent avec le soleil . Ils appellent aussi Manitous les divinités infér
jouir de quatre années de plaisirs indéfinissables dans la maison du soleil , puis revenaient animer les nuages ou les corps d
te avec un nourrisson sur le dos. Tonatricli était la déification du soleil , et Metzcli, celle de la lune. Tous deux furent l
Nous voici maintenant dans les contrées où le culte des astres et du soleil était dans toute sa puissance ; aussi les Incas o
êtres passaient-ils auprès des Péruviens comme les enfans des fils du soleil . Du reste, le culte de ces rois pontifes était do
ui a pour antagoniste Houékoub, le principe du mal ; puis viennent le soleil et son épouse Antoumalgouen et Epounamoun, le die
vilisateur du vaste plateau de Bogota. Les Mozcas le disaient fils du soleil  ; il apparut dans ces contrées sous la figure d’u
ca fit alors écouler les eaux, bâtit des villes, institua le culte du soleil , et civilisa le reste des habitans sauvé de l’ino
Aigiregers, funeste génie, détruisit tous ces biens. Mahanna est le soleil , suivant les Otaïtiens, et les habitans de l’île
u Temide ou la mer ; de Matai ou le vent ; et de Taunou-Mahanna ou le soleil appelé aussi Euroa-Taboa, lorsqu’ils la considère
chasse. La pl. 8 en regard de la page 94 offre Apollon sur le char du soleil , et au-dessous de lui, on aperçoit les Muses et P
en, 112. Apollon le Divin, 112. Apollon-Lycoctone, 54. Apollon, ou le Soleil , 32. Apollon-Philesius, 126. Apomios, 20. Apostro
os, 249, 360. Soerimner, 481. Sœva déa, 79. Sogde, 444. Solanus, 278. Soleil (le), 3, 4, 33, 66, 174, 378, 385. Soloon, 302. S
3 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
ulgaire : Tous les élémens étaient mêlés les uns avec les autres ; le soleil n’éclairait point ; la lune n’avait ni son croiss
ans les pays où se lève l’Aurore ; le Zéphyr, du côté où se couche le soleil , l’Aquilon ou Borée s’empara des climats glacés d
feu tous les ans aux calendes de mars ; on le rallumait aux rayons du soleil . Les Vestales qui manquaient au vœu de virginité,
gens qui voudraient courir dans la carrière, commenceraient avant le soleil levé, et finiraient avant midi, parce que c’était
les d’Enée, le collier d’Hermione, la couronne d’Ariane, le palais du Soleil , le fameux chien d’airain qu’il forgea et qu’il a
, il chargea un jeune soldat, son confident, de faire en sorte que le Soleil , qui était son rival, ne s’aperçut en rien de l’a
l’aventure ; mais ce confident, nommé Alectryon, s’étant endormi, le Soleil , couvert d’un nuage, vit tout ce qui se passait,
ie en français un coq. Encore aujourd’hui, le coq annonce la venue du soleil , comme s’il voulait avertir Mars de se tenir sur
donnent cependant cette charge à Hypérion, et distinguent Apollon du soleil . Sans rien décider, ils feignent que le dieu du j
ourse. Les Colosses de Rhodes. Entre tous les pays du monde, le Soleil parut regarder l’île de Rhodes avec prédilection,
Rhodia. Le jour de sa naissance devint célèbre par des prodiges : le soleil y répandit une pluie d’or, et fit naître une prod
année-là une grande abondance de toutes choses. Les Rhodiens, dont le soleil était la principale divinité, avaient érigé en so
’être mis au rang des sept merveilles du monde. C’était une statue du soleil de cent pieds de haut, qui fut construite par Cha
débris de cette énorme statue. Tous les peuples d’Orient adorèrent le soleil sous le nom de quelques-uns de leurs rois. Les Ch
adorèrent bien comme eux les diverses parties de la nature, comme le soleil , la lune, etc. ; mais qu’ils choisirent parmi les
es, fut chez eux ce qu’était Osiris chez les Egyptiens, le symbole du Soleil  ; comme Diane et Cérès furent ce qu’était chez le
mbole de la lune. Plusieurs savans, ont même cru, que, sous le nom du soleil étaient renfermés tous les dieux du paganisme, et
s dieux du paganisme, et toutes les déesses sous celui de la lune. Le soleil a été adoré sous son propre nom dans différens pa
pays. L’empereur Héliogabale, qui se glorifiait d’avoir été prêtre du soleil , lui consacra un temple à Rome. On lui a dédié pl
nthe. Les Messagères et les anciens Germains ont passé pour adorer le soleil  : ils lui sacrifiaient des chevaux. Coronis. —
t repenti aussitôt, il la changea en corneille. Le Zodiaque. Le soleil parcourt dans l’espace d’un an un cercle nommé Zo
ifférens animaux. On appelle aussi les signes du Zodiaque, Maisons du Soleil  ; il entre dans le bélier vers la fin de mars ; d
antageuse qu’on en avait fait un géant. Clytie. — Leucothoé. Le Soleil devint amoureux de Clytie, une des nymphes de l’O
ge baigné de larmes, Clytie tournait continuellement ses yeux vers le soleil , et l’accompagnait de ses regards pendant toute s
ngea enfin en tournesol, plante qu’on dit se tourner toujours vers le soleil , ou plutôt nommée ainsi, parce qu’elle paraît dan
insi, parce qu’elle paraît dans les plus grandes chaleurs, lorsque le soleil est dans le tropique du cancer (l’écrevisse). On
du cancer (l’écrevisse). On reconnaît dans cette fable l’influence du soleil sur les plantes : elles périssent lorsqu’il les a
rre. Les anciens, qui ont prodigué les noms de dieux et de déesses au soleil , à la lune et aux autres constellations, ont dû a
uisent, dit-on, la rosée qu’on voit tous les matins avant le lever du soleil . Pénétrée de douleur d’avoir perdu son cher Memno
ptiens érigèrent en son honneur une statue qui, frappée des rayons du soleil levant, rendait un son mélodieux. Phaéton
vant, rendait un son mélodieux. Phaéton De tous les enfans du Soleil , Phaéton fut le plus chéri, et celui qui lui caus
iter et de la nymphe Io, lui ayant reproché qu’il n’était pas fils du Soleil , il alla se plaindre à sa mère, Clymène, puis à s
a naissance de lui permettre de conduire son char pendant un jour. Le Soleil résiste long-temps ; enfin il cède. Il appelle en
atinales ; elles volent précédées de l’Aurore, et attèlent au char du Soleil le rapide Eoüs, l’ardent Phlégon, le fougueux Eth
ls de Neptune, qu’Achille a tué. Pasiphaé Pasiphaé, fille du Soleil et de la nymphe Perséis, était femme de Minos, ro
Circé, sœur de Pasiphaé, femme de Minos, passait pour être fille du Soleil et de Perséis. La grande connaissance qu’avait ce
er aux hommes. Pour le punir, Jupiter le condamna à perdre la vue. Le soleil exécuta la sentence. Le maître des dieux voulut e
sereins, Furent créés pour ces champs souterrains. Ils ont aussi leur soleil , leurs étoiles, La nuit pour eux n’a point de tri
les Lupercales. Sens Moral. Les Egyptiens, après avoir adoré le soleil sous le nom d’Osiris, la lune sous celui d’Isis,
n de son temple : Loin de la sphère où grondent les orages, Loin des soleils , par-delà tous les cieux, S’est élevé cet édifice
Ils prenaient leur nom de la situation du lieu où l’on croyait que le soleil allait se coucher tous les soirs. Atlas partagea,
Icare ; mais ce jeune homme, oubliant ses conseils, vola trop près du soleil  : la cire de ses ailes se fondit, et il tomba dan
4 (1845) Mythologie de la jeunesse
l n’existait que le Chaos, assemblage confus de tous les éléments. Le soleil et la lune n’éclairaient pas ; la terre n’était p
able harmonie. Le Chaos cessa d’exister3. C’est alors que parurent le soleil , la lune, les étoiles, les animaux de l’air, de l
rre, monta au ciel par le secours de Minerve, et y déroba un rayon du soleil pour animer son ouvrage. Jupiter, irrité de ce la
reposait sur un lit d’ébène, dans un antre inaccessible aux rayons du soleil , et dont l’entrée était obstruée par d’énormes to
antés par les poètes. Sous le nom de Phébus, il conduisait le char du Soleil [Fig. 60]. [Fig. 60] Il eut un grand nombre d’
fermer les portes du jour, et avaient soin du char et des chevaux du Soleil . La Renommée. Virgile a représenté la Reno
l fut poussé par les vents sur l’île d’Æa, où régnait Circé, fille du Soleil , fameuse magicienne. Ulysse, que ses malheurs pas
on. — Sœurs de Phaéton, et Cycmes, son ami. Phaéton était fils du Soleil et de l’Océanide Clymène. Dans une querelle qu’il
ls de Jupiter et d’Io, celui-ci lui soutint qu’il n’était pas fils du Soleil , comme il s’en vantait. Phaéton, irrité, alla se
, qui le renvoya vers son père, pour apprendre de la propre bouche du Soleil la vérité sur sa naissance. Il se rendit donc aup
che du Soleil la vérité sur sa naissance. Il se rendit donc auprès du Soleil , et le supplia de lui accorder un gage qui prouvâ
corder un gage qui prouvât incontestablement qu’il était son fils. Le Soleil l’embrasse, le console, et jure par le Styx de ne
ande la permission de conduire son char pendant un jour seulement. Le Soleil se repentit aussitôt de son serment ; il veut en
re, ouvre son palais semé de roses ; les étoiles disparaissent, et le Soleil commande aux heures d’atteler ses coursiers. Il c
in ; De ses chevaux ailés il bat les flancs agiles ; Les coursiers du Soleil à sa voix sont dociles. Ils vont, le char s’éloig
it-il, reviens, détourne, arrête. [Boileau] Cependant les chevaux du Soleil , se sentant conduire par une main étrangère, se d
Jupiter, qui, pour remédier à ce pressant danger, foudroie le fils du Soleil , et le précipite dans l’Eridan (le Pô), fleuve d’
ue Jupiter descendit sur la terre pour éteindre le feu que le char du Soleil y avait allumé, il s’éprit d’amour pour Calisto,
mnon rendait, dit la légende, un son harmonieux lorsque les rayons du soleil venaient à la frapper. On représentait l’Aurore a
eucothoé, fille d’Orchame, roi d’Assyrie, et d’Eurynome, fut aimée du Soleil , qui venait la visiter sous la forme d’une colomb
. Orchame ordonna que Leucothoé fût enterrée vive pendant la nuit. Le Soleil , qui n’avait pu la secourir pendant l’obscurité,
ar pitié, la métamorphosa en une fleur qui se tourne toujours vers le soleil , et qui pour cela est appelée Héliotrope ou Tourn
5 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
uger des choses que par les sens. Bientôt on vit les hommes adorer le Soleil et la Lune, parce qu’aucun autre objet ne leur pa
mple du Destin : Loin, de la sphère où grondent les orages, Loin des soleils , par-delà cous les deux, S’est élevé cet édifice
pouvoit rallumer ce feu qu’avec celui du ciel, ou avec les rayons du soleil  : s’il s’éteignoit par la faute des Vestales, ell
er, monta au ciel par le secours de Pallas, et vola du feu au char du Soleil  : Faisons de leur repos rougir les Immortels.   
Phébus, ou de Père du jour, et on le représente conduisant le char du Soleil , qui est tiré pat quatre chevaux fougueux, dont v
conséquence de cette résolution téméraire, Phaéton monte au palais du Soleil , par le secours de Minerve. Apollon, appercevant
aternelle. Phaéton demande et obtient la grace de conduire le char du Soleil , pendant un jour. A peine est-il sur l’horizon, q
i les conduisoit ordinairement, prennent le mors aux dents. Tantôt le Soleil embrase le ciel ; tantôt il s’approche si près de
ombre de sept, Saturne. Jupiter, Mars, Mercure, Vénus, la Lune, et le Soleil . Saturne est le plus élevé, et met trente ans à p
nneur de l’Olympe sacré, Ira sur vous, sur la nature entière, Dans le soleil répandre la lumière. Telle est pour vous la faveu
il a formés. Le Zodiaque est un cercle qui marque le cours annuel du soleil . Il renferme douze constellations appellées Signe
rtare, et ne grossissoit que des larmes des méchans. Achéron, fils du Soleil et de la Terre, ayant fourni de l’eau aux Titans,
ereins, Furent créés pour ces champs souterrains. Ils ont aussi leurs soleils , leurs étoiles ; La nuit pour eux n’a point de tr
t que le Sommeil a son palais dans un antre inconnu, où les rayons du soleil ne peuvent pénétrer. La porte est garnie de pavot
son adresse, en nettoyant les écuries d’Augias, roi d’Elide, fils du Soleil  : elles répandoient l’infection dans toute la Grè
mandé à son fils de ne voler ni trop haut ni trop bas, de peur que le soleil ne fondît la cire qui attachoit ses ailes, ou que
e vanter d’être fille, Qui peut-être rougis du trouble où tu me vois, Soleil  ! je te viens voir pour la dernière fois. Racine
hyeste, et lui en avoit présenté le sang dans la coupe. On dit que le Soleil ne parut point ce jour-là, afin de n’être pas le
; Festin détestable et parjure, Et qui surprit plus la nature, Que le Soleil qui recula. Lamotte. La Fable offre encore plus
de Circé, où il avoit fait naufrage. Cette magicienne étoit fille du Soleil et de la Lune ;                  J’ai le Soleil
ienne étoit fille du Soleil et de la Lune ;                  J’ai le Soleil pour père,              Et je tiens de lui ce gra
rs de Troie, 41 — Se venge de Laomédon, ibid. — Conduit le char du Soleil , 41 — En confie la conduite à Phaéton, 43 — Est
17 — Les Poëtes le font père de l’Erèbe et de la Nuit, 106 Char du Soleil , 31-42 Chaste Diane, 57 Chastes Sœurs, Filles d
hêne, consacré à Jupiter, 36 Cheval de bois, 183 Chevaux du char du Soleil , 42 Chevaux marins, 91 Cheveux d’or de Ptérélaü
d’Athamas, 151 Eolie, demeure des Vents, 14 Eoüs, un des chevaux du Soleil , 42 Epaphus, fils de Jupiter et d’Io, sa querell
orges, 78. Ciré y place deux flambeaux, 113 Ethon, un des chevaux du soleil , 42 Etoiles, leurs noms sont pour la plupart emp
r le père des dieux, 12 — Ses poëmes, 51 Honneurs divins, rendus au Soleil et à la Lune, 9 — Aux rois et aux héros, 10-11
autorité souveraine entre ses fils, 166 — Œil du monde, nom donné au Soleil , 110 Œnée, roi de Calydon, 58 — Père de Déjanir
, 106 — Comment on la représente, ibid. Palais du Destin, 17 — Du Soleil , 43 — Du Sommeil, 115 Palamède invente les jeux
iers, 44 Phaéton, sa querelle avec Epaphus, 42 — Monte au palais du Soleil , 44 — Conduit le char de son père ; est foudroyé
géton, un des fleuves des enfers, 104-106 Phlégon, un des chevaux du Soleil , 42 Philoctète, ami d’Hercule, 139 Philoméle, c
pte, au nombre des merveilles du monde, 64 Pyroïs, un des chevaux du Soleil , 42 Pyrrhus, fils d’Achille, 175 — Arrive devan
Sœurs d’Apollon, nom donné aux Muses, 50 Soie des Parques, 107-108 Soleil , adoré comme un dieu, 9 Soleil, son char, 42 —
Muses, 50 Soie des Parques, 107-108 Soleil, adoré comme un dieu, 9 Soleil , son char, 42 — Différens noms qu’on lui donne,
dieu, 9 Soleil, son char, 42 — Différens noms qu’on lui donne, 17 Soleil , planète, 86-87 Solymes, vaincus par Bellérophon
6 (1850) Précis élémentaire de mythologie
occuper que des objets qui frappaient le plus vivement leurs sens. Le soleil , la lune et les étoiles attirèrent d’abord leurs
le vent, l’air subtil, la multitude des étoiles, l’abîme des eaux, le soleil , la lune : voilà les dieux que les hommes ont cru
de faire des statues d’hommes avec du limon, et de dérober au char du soleil une étincelle pour les animer. Le souverain du ci
é du soin de répandre la lumière dans l’univers et devint, le dieu du soleil . On lui donne pour exprimer ce ministère le surno
gnifient lumière et vie. Quand la fable le considère comme le dieu du soleil , « elle dit qu’il va, tous les soirs, se coucher
tronomie, signes du zodiaque. Ce sont autant de constellations que le soleil semble parcourir dans l’espace d’un an, et dans c
seau et les Poissons, sont placées dans le cercle appelé zodiaque. Le soleil fait son entrée dans le premier vers la fin de ma
ait son entrée dans le premier vers la fin de mars1. » 6. Le dieu du soleil eut plusieurs enfants, parmi lesquels on distingu
cable. Alors l’imprudent Phaéton le supplia de lui confier le char du soleil , pour qu’il pût prouver à ses envieux par sa dext
on char et ses coursiers et à le laisser ainsi parcourir les airs. Le soleil ne tarda pas à s’écarter de sa route accoutumée,
ieu des sciences et des arts qui sont la lumière de l’esprit comme le soleil est la lumière du corps. Les Grecs le croyaient l
armaient les dieux et les hommes. — Quand il est pris pour le dieu du soleil , il a un coq sur la main, il est couronné de rayo
ent ses enfants ? Pourquoi Phaéton demanda-t-il à conduire le char du soleil  ? Qu’arriva-t-il ? Quel est le sens historique de
omme Apollon naquit de Jupiter et de Latone. Apollon était le dieu au soleil et Diane la déesse de la lune. Son frère présidai
es gardes. Il l’avait chargé de l’éveiller avant l’aurore pour que le soleil à son lever ne le surprit pas dans un lieu où il
ifiques présents. Les armes d’Achille, les armes d’Enée, le palais du Soleil , la couronne d’Ariane, le sceptre d’Agamemnon, et
Sommeil, fils de l’Erèbe et de la Nuit, habitait dans un antre où le soleil ne pénétrait jamais. La Fontaine, qui a passé la
t une marotte à la main en signe de folie. 5. L’Aurore était fille du Soleil et de la Terre, et, selon quelques poëtes, elle é
rendait des sons lorsqu’elle était frappée par les premiers rayons du soleil . Ce phénomène, qui peut s’expliquer tout naturell
x étaient si nombreux et si gros qu’ils obscurcissaient la lumière du soleil . Hercule les perça tous de ses flèches empoisonné
dans son vol, et de ne pas s’élever trop haut dans la crainte que le soleil ne fondit ses ailes. Mais le jeune homme n’écouta
génies bienfaisants (devatas). Ensuite il fit le ciel et la terre, le soleil et la lune, et forma les sept régions inférieures
ane armé d’une hache, pour châtier l’insolence des rois de la race du Soleil  ; une septième, en la personne de Rama, pour déli
en s’exposant tout nus sur une pierre presque ardente aux rayons d’un soleil brûlant. 7. Ce panthéisme extravagant qui sanctio
aire que les prêtres doivent réciter tous les jours avant le lever du soleil . 8. Les Perses symbolisèrent leur doctrine dans l
olisèrent leur doctrine dans les éléments. Ils adorèrent Dieu dans le soleil et le feu qu’ils regardaient comme les emblèmes d
ncarnations de la Divinité, à la métempsycose, et ne voyaient dans le soleil , la lune, le ciel, la terre, le Nil et toute la n
ux que la nature matérielle. Osiris était pour lui le Nil, le feu, le soleil , le principe maie, actif et vivifiant ; il le rep
es intelligences présidaient à la terre, à l’eau, à l’air, au feu, au soleil , à la lune, aux astres, aux arbres, aux fontaines
aut ; tout n’était qu’un vaste abime, sans herbe et sans semence : le soleil n’avait point de palais ; les étoiles ne connaiss
sacrés destins qui dureront toujours. Il y a une demeure éloignée du soleil , dont les portes sont tournées vers le nord ; le
gures, 158. Auguste, ferme le temple de Janus, 45. Aurore, fille du Soleil , 85. Auster, vent du midi, 65. Autolycus, insti
rai Dieu, 7. Conseil des dieux, 7. Constellations parcourues par le soleil , 34. Coq, oiseau de Mars, 48, 49. Corne d’abond
et Eoliennes, îles de la mer de Sicile, 64. Eoüs, un des chevaux du Soleil , 34. Epaphus, fils d’Io, 28. Ephèse, v. d’Asie,
nymphe, 148. Œta, mont, de Thessalie, 116. Œthon, un des chevaux du Soleil , 34. Oïlée, roi de Locride, 142. Oisiveté, au p
hée, 129. Phlégéton, fl. des enfers, 69. Phlégon, un des chevaux du Soleil , 34. Phlégyas, puni aux enfers, 72. Phobétor, u
Pylade, ami d’Oreste, 149. Pyrame, 152. Pyroïs, un des chevaux du Soleil , 34. Pyrrha, ép. de Deucalion, 25 Pyrrhus, ou N
7 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
les choses où il paraissait quelque activité ou quelque puissance, le soleil , les astres, le feu et les autres éléments. Bient
rs hommages à l’être de la nature qui en offre la plus vive image, au soleil . Mais l’esprit humain, une fois entré dans la voi
ne fois entré dans la voie de l’erreur, ne s’arrêta plus. On adora le soleil sous les noms d’Osiris, de Phébus, d’Apollon, et
aient menacés de quelque grand malheur. On le rallumait aux rayons du soleil , et la prêtresse coupable de cette négligence éta
ut devoir produire le même effet sur son ouvrage. Il approcha donc du soleil , et en déroba une étincelle, qu’il cacha dans la
ur délivrer la terre. Dans le sens allégorique, il est certain que le soleil , dont Apollon était le dieu, en desséchant, par l
r lui, et il la transforma en héliotrope, fleur qui se tourne vers le soleil , comme l’indique son nom (hélios, soleil ; trepô,
fleur qui se tourne vers le soleil, comme l’indique son nom (hélios, soleil  ; trepô, tourner). 36. Apollon rappelé au ciel
Jupiter, qui le rappela au ciel, et le chargea de conduire le char du soleil , sous le nom de Phœbus. Ce char était traîné par
méraire demanda alors la faveur de conduire, un seul jour, le char du soleil . Apollon, lié par un serment irrévocable, consent
riches présents. Les anciens confondaient quelquefois Apollon avec le Soleil , dont il n’est que le dieu. Le Soleil était fils
ent quelquefois Apollon avec le Soleil, dont il n’est que le dieu. Le Soleil était fils d’Hypérion. On le représente la tête e
c’est le cercle formé par douze constellations, devant lesquelles le soleil passe successivement, dans sa marche apparente au
que les poëtes ont célébrés dans leurs chants : ce sont le palais du Soleil , les armes d’Achille, celles d’Enée, le bouclier
orsque cette déesse sort du sein des flots, pour annoncer la venue du soleil . Aurore aima passionnément deux chasseurs renommé
e pénètre plus subtilement les corps les plus épais que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal. Elle n’éblouit
avots et de fleurs assoupissantes ; il est inaccessible aux rayons du soleil , et baigné par les eaux du fleuve d’Oubli Le Somm
ent si nombreux, que, dans leur vol, ils obscurcissaient la clarté du soleil . Hercule les extermina à coups de flèches. 6° Nep
t accompagné dans cette expédition. 9° Augias, roi d’Élide et fils du Soleil , nourrissait trois mille bœufs dans ses étables,
les douze travaux sont les douze signes du Zodiaque parcourus par le soleil . Enfin on aperçoit entre le Hercule de la mytholo
ories, que l’on explique de diverses manières. Ainsi Osiris serait le soleil , le principe qui vivifie le monde matériel ; il s
eur de l’Egypte. Les voyages d’Osiris en Orient seraient la marche du soleil , qui répand partout la fécondité. On représentait
d’un boisseau, comme signe de l’abondance dont ce dieu, pris pour le soleil , est la source. Les Egyptiens lui avaient élevé p
. Ils avaient admis le sabéisme ou culte des astres. Ils adoraient le Soleil , la Lune, les Etoiles, et, en général, le Feu. Il
us élevée des trois sphères célestes. Son trône est fort au-dessus du soleil . C’est là qu’il règne sur l’Iran (la Perse), ce f
étue et rajeunit le monde. Sous ce rapport, il est aussi l’emblème du soleil , ainsi que l’indique cette inscription que l’on t
ette inscription que l’on trouve sur plusieurs monuments. Au dieu du soleil , l’invincible Mithra. Les Romains, après les Gre
qu’il plonge dans le cou d’un taureau. C’est l’emblème de la force du soleil , lorsqu’il entre, au mois d’avril, dans le signe
univers entier s’échappa de ses mains73. L’Indien, sous les feux d’un soleil sans nuage, Fuit la source limpide où se peint so
e loup Fenris, lorsqu’au dernier jour ce mauvais génie aura dévoré le soleil  ; Wali, dieu de la valeur, puissant à tirer de l’
le dieu du commerce, de l’intelligence et de la parole ; Bélénus, le soleil (Apollon) ; enfin Ogham, ou en latin, Ogmius (Her
8 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
uger des choses que par les sens. Bientôt on vit les hommes adorer le soleil et la lune, parce qu’aucun autre objet ne leur pa
emple du Destin : Loin de la sphère où grondent les orages, Loin des soleils , par-delà touts les cieux, S’est élevé cet édific
ppelées vestales. On ne pouvoit rallumer ce feu qu’avec les rayons du soleil  : s’il s’éteignoit par la faute des vestales, ou
r, monta au ciel, par le secours de Pallas, et vola du feu au char du soleil . Jupiter, irrité de cette audace, ordonna à Mercu
ur de l’avoir pour gendre ; et madame Deshoulières dit, en parlant du soleil , que, sans doute las d’éclairer le monde, il va
, De l’antique Chaos abominable image, Impénétrable aux traits de ces Soleils brillants, Chefs-d’œuvre du Très-Haut, comme lui
ant silencieusement le ciel, sur un char d’ébène, après le coucher du soleil . La Nuit s’avance lentement, Et l’obscurité de s
des Songes. Il a son palais dans un antre impénétrable aux rayons du soleil . Jamais les chiens, les coqs, ni les oies n’en tr
un de ces fleuves, et commencez par l’Achéron. R. L’Achéron, fils du Soleil et de la Terre, n’a pas toujours coulé dans les e
l’univers. Comme père de la lumière, Apollon est appelé Phébus ou le Soleil . On le représente sur un char rayonnant de feu, e
les lieux où vous revenez, ( Quinault.) D. Quels sont les enfants du Soleil  ? R. Il en eut plusieurs, dont les plus célèbres
-ce que les poëtes disent de l’Aurore ? R. Ils disent que lorsque le Soleil sort du lit de Téthys, l’Aurore monte sur un char
igea une statue à Memnon, dans la ville de Thèbes en Égypte. Quand le soleil levant touchoit cette statue de ses rayons, elle
atue de ses rayons, elle rendoit un son agréable. Le soir, lorsque le soleil alloit éclairer un autre hémisphère, elle rendoit
t un différent avec Epaphus qui lui reprocha de n’être pas le fils du Soleil , comme il s’en vantoit. Phaéton alla se plaindre
l s’en vantoit. Phaéton alla se plaindre à sa mère, qui le renvoya au Soleil pour apprendre de sa propre bouche la vérité de s
bouche la vérité de sa naissance. Phaéton se rendit donc au palais du Soleil . Ovide nous a laissé une superbe description de c
e ce palais. Sur cent colonnes d’or, circulaire portique, S’élève du Soleil le palais magnifique. Le dôme est étoilé de saphi
embrasse l’univers. (Trad. de Saintange.) D. Que demanda Phaéton au Soleil  ? R. Phaéton expliqua à son père le sujet de sa
venue, et le conjura de lui accorder une grâce, sans la spécifier. Le Soleil , cédant aux mouvements de l’amour paternel, jura
lairer le monde pendant un jour seulement, en conduisant son char. Le Soleil , engagé par un serment irrévocable, fit touts ses
anger, persiste dans sa demande, et monte sur le char. Les chevaux du Soleil s’aperçoivent bientôt du changement de conducteur
prompt remède à ce désordre, renverse d’un coup de foudre le fils du Soleil , et le précipite dans l’Éridan. Ses sœurs, les Hé
t son front vermeil, Adoucit d’un regard modeste L’ardeur brûlante du soleil . Redoutable fils de Latone, Tu cesses de blesser
ule le tua et emmena les bœufs. 9°. Augias, roi de l’Elide et fils du Soleil , avoit des étables qui contenoient trois mille bœ
ul, parmi les horreurs d’un sauvage séjour, Dans ces noires forêts du soleil ignorées, Sur les sommets déserts des monts hyper
da bien à Icare de ne voler ni trop haut, ni trop bas, de peur que le soleil ne fondît la cire qui attachoit ses ailes, ou que
les, » Tu verrois leur vapeur appesantir tes ailes. » Si trop près du soleil s’élève ton essor, » Tu vois fondre la cire, et t
e ? R. Non : ce jeune téméraire voulut s’élever au haut des airs. Le soleil fondit la cire de ses ailes, et Icare tomba dans
intrépide, Pour s’élever au ciel, abandonne son guide. Trop voisin du soleil , un océan de feux De la cire amollit les liens on
mort, et en servit les membres à son frère. Les poëtes disent que le soleil recula d’horreur, à la vue de cet abominable fest
’île d’Œa, chez Circé. D. Faites connoître Circé. R. Circé, fille du Soleil , étoit une magicienne si habile, qu’elle faisoit
si odieuse à ses sujets, qu’ils la forcèrent à prendre la fuite ; le Soleil la transporta dans son char, sur la côte d’Étruri
y porte des raisins en toute saison ; pendant que les uns sèchent au soleil , on coupe les autres, et on foule dans le pressoi
soleil, on coupe les autres, et on foule dans le pressoir ceux que le soleil a déjà préparés. » Ulysse resta quelque temps à l
gé l’infidelle, » Et son fils, et sa race, et moi-même après elle : » Soleil , dont les regards embrassent l’univers ! » Reine
est en cela qu’elle approche de plus près de Dieu, qui fait lever son soleil sur touts les hommes. Tel repousse aujourd’hui l
l’apologue ingénieux qui suit : Phébus et Borée. Fable. Borée et le Soleil virent un voyageur,            Qui s’étoit muni,
’automne, Quand la précaution aux voyageurs est bonne : Il pleut ; le soleil luit ; et l’écharpe d’Iris            Rend ceux q
bout du terme            Qu’à la gageure on avoit mis,            Le Soleil dissipe la nue, Récrée, et puis pénètre enfin le
9 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
ns activité.     Du Cahos tout-à-coup les portes s’ébranlèrent : Des soleils allumés les feux étincelèrent : Tu naquis ; l’Ete
Sainmore. Comme père de la lumière, on appelle Apollon, Phébus ou le Soleil . Palais du Soleil.     Sur cent colonnes d’or, c
re de la lumière, on appelle Apollon, Phébus ou le Soleil. Palais du Soleil .     Sur cent colonnes d’or, circulaire portique,
u Soleil.     Sur cent colonnes d’or, circulaire portique, S’élève du Soleil le palais magnifique. Le dôme est étoilé de saphi
d, tel qu’un Dieu doit paraître.    Il dit, et disparaît. A peine le soleil Eut ramené te jour, et chassé le sommeil, Tout le
ssement.           Ils contemplaient l’azur du firmament. La pompe du Soleil , l’éclat de la verdure,        Et partageaient da
Son palais est bâti dans un antre écarté, inaccessible aux rayons du Soleil . Une infinité de pavots et d’herbes somnifères en
ant solitaire palais. Jamais de cette grotte au jour inaccessible. Le Soleil n’a percé l’obscurité paisible. A peine un demi-j
on appareil L’Aurore entr’ouvrant les barrières Du Temple brillant du Soleil . Bernis 49. Voyez Sommeil, Songes . Songes.
son front vermeil, Adoucit d’un regard modeste, L’ardeur brûlante du Soleil . Redoutable fils de Latone, Tu cesses de blesser
un carquois sur l’épaule, et un croissant sur la tête.    A peine le Soleil au fond des antres sombres Avait du haut des Cieu
es guerriers, Et Diane à Bellonne apprête les lauriers. Voyez-vous le Soleil vers le froid Sagittaire ? Il éclaire pour vous l
, avec une corne d’abondance.    Abrège ta course, Amant de Thétis ; Soleil , amortis Tes feux dans leur source. L’excès des c
s’aigrit encore, En me rappelant mon aurore Quand je vois coucher le Soleil … Je te vois perfide jeunesse, D’un ris qu’anime l
is, quand un nuage obscur Chargé de pluie, altéré de lumière, Boit le Soleil , et vers notre paupière Réfléchit l’or et la pour
ui trompe :        Rien n’est à lui de ce faste éclatant, Et c’est du Soleil seul qu’il emprunte sa pompe.                Tout
aîne le Dieu du sommeil, Et de l’opale étincelante, Sème le palais du Soleil  : La porte à ses yeux dévoilée, Par le bras du te
Elles ouvrent les portes du ciel et attèlent avec l’Aurore le char du Soleil . On les représente soutenant des Cadrans et des H
ortes de vermeil Conduisent aux douces demeures Qu’éclaire le char du Soleil . Toujours nouveau, toujours semblable Mobile, inc
r l’horizon se colore, Et la Lune pâlit dans le Ciel qui se dore : Le Soleil qu’asservit la loi de ses travaux, Ordonne, malgr
èlent au char. Ovide. —  Desaintange 94.    Dans ce beau palais du Soleil Que chanta le divin Homère, Est un salon peint en
re entière Tourmentent des mortels la pénible carrière. Là, privés du soleil , à jamais renfermés Sous de noirs souterrains, de
ant silencieusement le Ciel, sur un char d’ébène, après le coucher du Soleil .    Les ombres du haut des montagnes, Se répande
sons champêtres : Nos yeux sont en pleurs, Quand sur nos hauteurs Le Soleil se lève ; Quand son cours s’achève, Il voit nos d
étours. Aussitôt que le Dieu l’approcha de sa bouche, Aux bords où le soleil et se lève et se couche, De ses sons prolongés to
aidé de Minerve, il présenta un flambeau à l’une des roues du char du Soleil , et anima son ouvrage. Jupiter irrité le fit atta
loire à la suivre s’empresse, Tenant des lauriers dans ses mains ; Du Soleil les coursiers s’arrêtent ; Les Heures en riant s’
re Fait éclore un autre Univers. Sabatier 156. Phaëton, Fils du Soleil et de Climène. Pour prouver sa naissance à E
ndant un jour. A peine fut-il élevé sur l’horison, que les chevaux du Soleil , se sentant menés par une main étrangère et novic
i trop haut, ni trop bas. Icare, s’étant trop élevé dans les airs, le Soleil fondit la cire de ses ailes, et il tomba dans la
intrépide, Pour s’élever au Ciel, abandonne son guide. Trop voisin du Soleil , un océan de feux De la cire amollit les liens on
’enfant qu’il avait eu d’Erope. A la vue de cet abominable festin, le Soleil recula d’horreur. Atrée à Euristhène.    Enfin
issans dont elle est couronnée. Là, dans un lieu frappé des rayons du Soleil , L’heureux cultivateur sèche un raisin vermeil ;
se plonger. Misérable ! et je vis, et je soutiens la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J’ai pour aïeul le père
r jusqu’à ses derniers jours… Blin de Sainmore. Circé, Fille du Soleil et de la Nymphe Persa. Enchanteresse cruelle
frappée ! O des mondes détruits, image anticipée ! Triste et dernier Soleil  !… jour affreux, hâte-toi ! Viens tirer le rideau
it la Scythie ; L’Eurus oriental régna sur l’Arabie ; Les bords où le Soleil éteint ses derniers feux, Echurent à Zéphyre, et
ul, parmi les horreurs d’un sauvage séjour, Dans ces noires forêts du Soleil ignorées, Sur les sommets déserts des monts hyper
flots, Et des chênes voisins l’ombre fraîche et sacrée, Aux rayons du Soleil en défendait l’entrée. Au retour de la chasse, en
sa gloire, Avait, par son butin, signalé sa victoire. A l’heure où le soleil , au milieu de son cours, Des ombres dans les cham
sur le soir un nuage vermeil Se peindre d’un feu rouge aux rayons du soleil , Ou briller au matin la pourpre de l’Aurore : Tel
, et leur camp ravagé ; N’en épargnez aucun : tous ils m’ont outragé. Soleil , arrête-toi dans ta course divine ; Détourne tes
esse ! J’entends ses cris perçans, sa lamentable voix… Je te parle, ô Soleil  ! pour la dernière fois. Pour la dernière fois mo
, Et les pasteurs vont ramener Leurs troupeaux loin des pâturages. Le Soleil tombe et s’affaiblit : Montons sur ces rochers sa
ois. Cette ombre, destinée à de plus noirs offices, Cache aux yeux du Soleil ses cruels sacrifices, Et les vœux criminels qui
doux abri peut, sous ton ciel vermeil, Avec tes orangers partager ton soleil , Respirer leurs parfums, et, comme leur verdure,
ieux Vit dans l’obscurité profonde : Sans lancer un rayon sur eux, Le Soleil fait le tour du Monde. Au pied d’un aride coteau,
i les lieux de l’éternelle paix ! Ces beaux lieux ont leur ciel, leur soleil , leurs étoiles ; Là, de plus douces nuits éclairc
Dieux mêmes.    Loin de la Sphère où grondent les orages ; Loin des Soleils , par de-là tous les Cieux, S’est élevé cet édific
enses vapeurs Enveloppent les cieux de leurs voiles trompeurs ; Et le Soleil , qui sort de la mer enflammée, Parmi les flots, r
te pierre, Elle attend immobile, elle attend solitaire ; Lentement du Soleil le char baisse et s’enfuit : Son trouble, par deg
vide, liv. II. 13. [Table des matières] Baour-Lormian. Invocation au Soleil . 14. [Table des matières] Maréchal. Imitation du
ntange. Métam., liv. II. 95. [Table des matières] Anonyme. Palais du Soleil . 96. [Table des matières] Bernis. Epître aux Grâ
10 (1800) Cours de mythologie pp. -360
ns activité.     Du Cahos tout-à-coup les portes s’ébranlèrent : Des soleils allumés les feux étincelèrent : Tu naquis ; l’Ete
ent. 14 Comme père de la lumière, on appelle Apollon, Phébus ou le Soleil . Palais du Soleil.     Sur cent colonnes d’or, é
re de la lumière, on appelle Apollon, Phébus ou le Soleil. Palais du Soleil .     Sur cent colonnes d’or, édifice magique, Du
ement.             Ils contemploient l’azur du firmament. La pompe du Soleil , l’éclat de la verdure,             Et partageoie
Son palais est bâti dans un antre écarté, inaccessible aux rayons du Soleil , Une infinité de pavots et d’herbes somnifères en
on appareil L’Aurore entr’ouvrant les barrières Du Temple brillant du Soleil . Bernis 51. Voyez Sommeil, Songes. Songes.
son front vermeil, Adoucit d’un regard modeste, L’ardeur brûlante du Soleil . Redoutable fils de Latone, Tu cesses de blesser
n carquois sur l’épaule, et un croissant sur la tête.     A peine le Soleil au fond des antres sombres Avoit du haut des Cieu
des guerriers, Et Diane à Bellone apprête les lauriers. Voyez-vous le Soleil vers le froid Sagittaire ? Il éclaire pour vous l
avec une corne d’abondance.     Abrège ta course, Amant de Thétis ; Soleil , amortis Tes feux dans leur source. L’excès des c
s’aigrit encore, En me rappelant mon aurore Quand je vois coucher le Soleil … Je te vois perfide jeunesse, D’un ris qu’anime l
is, quand un nuage obscur Chargé de pluie, altéré de lumière, Boit le Soleil , et vers notre paupière Réfléchit l’or et la pour
ui trompe :        Rien n’est à lui de ce faste éclatant, Et c’est du Soleil seul qu’il emprunte sa pompe.                Tout
aîne le Dieu du sommeil, Et de l’opale étincelante, Sème le palais du Soleil  : La porte à ses yeux dévoilée, Par le bras du te
Elles ouvrent les portes du ciel et attèlent avec l’Aurore le char du Soleil . On les représente soutenant des Cadrans et des H
ortes de vermeil Conduisent aux douces demeures Qu’éclaire le char du Soleil . Toujours nouveau, toujours semblable Mobile, in
r l’horison se colore, Et la Lune pâlit dans le Ciel qui se dore : Le Soleil qu’asservit la loi de ses travaux, Ordonne, malgr
ttèlent au char. Ovide.— Saint-Ange 92.     Dans ce beau palais du Soleil Que chanta le divin Homère, Est un sallon peint e
re entière Tourmentent des mortels la pénible carrière. Là, privés du soleil , à jamais renfermés Sous de noirs souterrains, de
ant silencieusement le Ciel, sur un char d’ébène, après le coucher du Soleil .     Les ombres du haut des montagnes, Se répand
sons champêtres : Nos yeux sont en pleurs, Quand sur nos hauteurs Le Soleil se lève ; Quand son cours s’achève, Il voit nos d
aidé de Minerve, il présenta un flambeau à l’une des roues du char du Soleil , et anima son ouvrage. Jupiter irrité le fit atta
loire à la suivre s’empresse, Tenant des lauriers dans ses mains ; Du Soleil les coursiers s’arrêtent ; Les Heures en riant s’
l faut un Dieu pour l’animer. Desmortier 155. Phaéton, Fils du Soleil et de Climene. Pour prouver sa naissance à E
ndant un jour. A peine fut-il élevé sur l’horison, que les chevaux du Soleil , se sentant menés par une main étrangère et novic
i trop haut, ni trop bas. Icare, s’étant trop élevé dans les airs, le Soleil fondit la cire de ses ailes, et il tomba dans la
’enfant qu’il avoit eu d’Erope. A la vue de cet abominable festin, le Soleil recula d’horreur. Atrée à E u risthène.     En
issans dont elle est couronnée. Là, dans un lieu frappé des rayons du Soleil , L’heureux cultivateur sèche un raisin vermeil ;
se plonger. Misérable ! et je vis, et je soutiens la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J’ai pour aïeul le père
qu’à ses derniers jours… Blin de Sainmore 178. Circé, Fille du Soleil et de la Nymphe Persa. Enchanteresse cruelle
frappée ! O des Mondes détruits, image anticipée ! Triste et dernier Soleil  !… jour affreux, hâte-toi ! Viens tirer le rideau
it la Scythie ; L’Eurus oriental régna sur l’Arabie ; Les bords où le Soleil éteint ses derniers feux, Echurent à Zéphyre ; et
ul, parmi les horreurs d’un sauvage séjour, Dans ces noires forêts du Soleil ignorées, Sur les sommets déserts des monts hyper
flots, Et des chênes voisins l’ombre fraîche et sacrée, Aux rayons du Soleil en défendoit l’entrée. Au retour de la chasse, en
r, s’élève au dessus d’elles : Tel qu’on voit aux rayons d’un oblique Soleil Se peindre, d’un feu rouge, un nuage vermeil, Ou
, et leur camp ravagé ; N’en épargnez aucun : tous ils m’ont outragé. Soleil , arrête-toi dans ta course divine ; Détourne tes
esse ! J’entends ses cris perçans, sa lamentable voix… Je te parle, ô Soleil  ! pour la dernière fois. Pour la dernière fois mo
, Et les pasteurs vont ramener Leurs troupeaux loin des pâturages. Le Soleil tombe et s’affoiblit : Montons sur ces rochers sa
yer mes pleurs.     Elle achevoit ces mots, lorsqu’un épais nuage Du Soleil à ses veux dérobe la clarté : Dans les airs, ou l
ois. Cette ombre, destinée à de plus noirs offices, Cache aux yeux du Soleil ses cruels sacrifices, Et les vœux criminels qui
ieux Vit dans l’obscurité profonde : Sans lancer un rayon sur eux, Le Soleil fait le tour du Monde. Au pied d’un aride coteau,
re. La nuit est inconnue en ces climats heureux ; Leurs astres, leurs soleils luisent toujours pour eux. De plaisirs sur ces bo
Dieux mêmes.     Loin de la Sphère où grondent les orages ; Loin des Soleils , par de-là tous les Cieux, S’est élevé cet édific
vide. Liv. II. 16. [Table des matières] Baour-Lormian. Invocation au Soleil , d’Ossian. 17. [Table des matières] Roman. Voici
s. liv. II. 93. [Table des matières] Anonyme. Dans ce beau palais du Soleil . 94. [Table des matières] Bernis. Epitre aux Grâ
11 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
non, Cérès, Vesta, Minerve, Vénus, Diane, Uranus, Saturne, Genius, le Soleil , Pluton, Bacchus, la Terre et la Lune. Les douze
tres, et on ne pouvait le rallumer qu’au feu du ciel ou aux rayons du soleil  ; la Vestale dont la négligence avait causé cet a
du feu du ciel qu’il avait dérobé, avec l’aide de Pallas, au char du soleil . Jupiter, irrité de cette audace, ordonna à Mercu
and on le considérait comme dieu du jour, chargé de guider le char du soleil . Il était fils de Jupiter et de Latone : sa mère
l’Olympe et ne lui rendit ses bonnes grâces et la conduite du char du soleil qu’après l’avoir tenu pendant plusieurs années ex
jeune ambitieux, qui s’élança plein de joie dans le char brillant du soleil . Mais sa présomption fut cruellement punie. Les c
longtemps, et à être chassés de l’Olympe. L’Achéron était un fils du Soleil et de la Terre qui avait été changé en fleuve pou
bras de fer, et dont les ailes immenses interceptaient la lumière du soleil . Hercule, en les effrayant du bruit d’un tambour
de ses propres enfants qu’Atrée avait égorgés. La fable ajouta que le soleil rétrograda, pour ne pas éclairer une scène aussi
idemment Horus, fils d’Osiris, que les Égyptiens confondaient avec le Soleil  ; comme Diane rappelle Isis, qu’ils avaient coutu
om de Saturne à une planète qui est à 1,316 millions de kilomètres du soleil , et qui a 800 fois la grosseur de la terre ; elle
de Vesta à une planète qui se trouve à 828 millions de kilomètres du soleil , et qui opère sa révolution en 3 ans et 240 jours
nom de Jupiter à une planète qui est à 720 millions de kilomètres du soleil , laquelle a 1,470 fois la grosseur de la terre, e
le nom de Junon à une planète qui est à 368 millions de kilomètres du soleil , et qui opère sa révolution en 4 ans et 130 jours
elle se meut sur elle-même ; par le troisième, elle se meut autour du soleil avec la terre, qui l’entraîne dans sa révolution
le nom de Mercure à une planète située à 53 millions de kilomètres du soleil , laquelle a un seizième de la grosseur de la terr
portières du ciel, et elles prenaient soin du char et des chevaux du soleil . 26. On trouve encore les ruines de ces temples
le nom de Vénus à une planète située à 100 millions de kilomètres du soleil , ayant en grosseur les neuf-dixièmes de la terre,
allas est aussi une planète qui se trouve à 380 millions de kilom. du soleil , laquelle opère sa révolution en 4 ans et 221 jou
s et 221 jours. 34. On a nommé Cérès une planète qui est éloignée du soleil de 372 millions de kilom., et qui opère sa révolu
s sages conseils de son père, il s’éleva trop haut dans les airs ; le soleil , dont il s’était trop approché, fit fondre la cir
12 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
urs des premiers Chrétiens ; on a beau fermer les yeux à la clarté du soleil , alors on ne distingue pas cet astre éblouissant,
des hommes de terre et d’eau, les anima du feu céleste qu’il tira du soleil et qu’il cacha dans la tige creuse de la plante n
t enterrée vive. On ne pouvoit rallumer le feu sacré qu’aux rayons du soleil réunis au fond d’un vase concave présenté au sole
qu’aux rayons du soleil réunis au fond d’un vase concave présenté au soleil . Ce n’étoit pas seulement dans les temples que l’
rent suppliciées. Héliogabale avoit, dès son enfance, été consacré au Soleil  ; il devint amoureux de la vestale Julia Aquilia
uisit à l’autel et l’épousa, en disant que de l’union d’un pontife du Soleil et d’une prêtresse de Vesta, il ne pouvoit manque
hauteur extraordinaire. Le premier jour de chaque lune, et lorsque le Soleil descendoit sous l’horison, plusieurs peuples de l
, fils de Jupiter et de Io, soutint un jour qu’il n’étoit pas fils du Soleil . Pour répondre à cette injure d’une manière éclat
une grâce qu’il avoit à lui demander. Alors il exigea que le char du Soleil lui fût confié. Phaéton monta sur ce char, ne put
s roses sur la carrière qu’il doit parcourir ; chaque soir le char du Soleil descend dans la mer, et le Dieu adoucit alors l’é
ller se reposer dans le sein de Thétis. Voici les noms des chevaux du Soleil  : Eoüs, Pyroïs, Éthon, Phlégon. Les Heures, fille
les portes du Jour, et qui après avoir attelé les chevaux au char du Soleil , le précédoit sur le sien. Elle étoit fille de Ti
emnon. On dit qu’en Egypte, une statue de Memnon rendoit, au lever du soleil  ; des sons éclatans et mélodieux, et au coucher d
(mais littéraires) en France, à Toulouse, doux et beau climat, où le Soleil semble avoir une influence également heureuse et
i révéroient des arbres, des lacs, des fontaines, et qui adoroient le soleil et la lune, non dans les superbes cités de Delphe
omme. Mithras, ancienne divinité des Perses, qui adoroient en elle le Soleil ou le feu. Il y a dans la Mythologie grecque et r
er ou Vesper, quand elle paroît à l’occident, peu après le coucher du soleil . 24. Les Centaures, monstres moitié hommes et mo
13 (1823) Mythologie des dames
connaître cette écharpe : ils y ont vu la décomposition des rayons du soleil . Newton analysa l’essence de la lumière. Il déco
qui ? » « Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. « Les rayons du soleil vous baisent trop souvent ; « Vos cheveux souffre
énie, s’il n’avait invoqué Apollon. Il eut aussi sous sa direction le Soleil , et placé sur un char étincelant, traîné par quat
nte vulgairement appelée tournesol, parcequ’elle se tourne du côté du Soleil  ; de sorte que, malgré sa métamorphose, Clytie ma
tes ses fonctions, et de nouveau il lui donna la direction du char du soleil . Mais l’histoire d’un dieu qui avait tant d’attri
de son père. Sur cent colonnes d’or, circulaire portique, S’élève du Soleil le palais magnifique ; Le dôme est étoilé de saph
rival de la lumière : Mais le travail encor surpassait la matière… Le Soleil en sa cour rassemble sous ses lois, Les Siècles e
t plus la voix de leur maître, oublient le frein. Le char enflammé du soleil passant trop près de la Terre, brûle les plaines,
ul, parmi les horreurs d’un sauvage séjour, Dans ces noires forêts du soleil ignorées, Sur les sommets déserts des monts hyper
coq lui était consacré, parcequ’il annonce par son chant le retour du Soleil  ; le griffon, le cygne et le corbeau lui étaient
Lorsque Apollon se disposait à répandre sur l’univers la lumière du Soleil , il se faisait précéder de l’Aurore, une des plus
larté qu’amène sa présence prépare nos yeux à la lumière éclatante du soleil . Son front, couvert de fleurs, brille de rayons d
i divers en son cours20 ! Ici, Eugène s’arrêta quelques instants. Le soleil se penchait vers l’occident, et se montrant à tra
a réunion. Il commença ainsi :   Les mêmes peuples qui virent dans le soleil un dieu toujours brillant de l’éclat de la jeunes
verge narcotique affermit son sommeil. Mercure à son lever devance le soleil , Et faisant des troupeaux un inégal partage, En d
un domaine dans les astres : il obtint la planète la plus voisine du soleil , et qui porte son nom. A l’histoire du dieu des f
son ancien état, il annonce, par son chant, l’arrivée ou le lever du Soleil , qui avait dévoilé à Vulcain les amours de Mars e
essor sacrilège : Il traverse des airs le fluide azuré ; Au foyer du soleil saisit le feu sacré, S’enfuit, se précipite aux a
i les lieux de l’éternelle paix ! Ces beaux lieux ont leur ciel, leur soleil , leurs étoiles : Là, de plus belles nuits éclairc
14 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
’une masse informe appelée Chaos. Les éléments étaient confondus : le soleil ne répandait point sa lumière, la terre n’était p
qué le mouvement et la vie en dérobant une parcelle de feu au char du Soleil . Jupiter, indigné de ce larcin, ordonna à Mercure
btenu un feu nouveau que les prêtres se procuraient par les rayons du soleil , ou par le feu de la foudre, ou en tournant avec
Une multitude d’oiseaux y chantent mélodieusement sous l’ombrage ; le soleil n’y est jamais voilé par le plus léger brouillard
gnard. § 14. Apollon. Apollon ou Phébus, conducteur du char du soleil , est pris souvent pour le Soleil même. Il naquit
lon ou Phébus, conducteur du char du soleil, est pris souvent pour le Soleil même. Il naquit dans l’île de Délos, une des Cycl
es. Épaphus alla jusqu’à reprocher à Phaéton de n’être pas le fils du Soleil . « On connaît ton origine, lui dit-il ; ta mère f
Le plan est bientôt conçu. La mère conseille à Phaéton de demander au Soleil la conduite de son char pendant un jour, afin de
nsi à ses détracteurs son origine céleste. Phaéton monte au palais du Soleil , lui expose l’affront qu’il a reçu, et le supplie
der une faveur qui démontre à l’univers entier qu’il est son fils. Le Soleil chérissait Phaéton ; il jura par le styx de ne lu
ent, précédées de l’Aurore ; elles attellent les coursiers au char du soleil . Phaéton s’y élance avec orgueil, saisit les rêne
ui forme des entreprises extravagantes et au-dessus de ses forces. Le Soleil est l’image de ces pères faciles, qui n’osent rie
tué un grand nombre de bêtes sauvages sur le mont Cithéron, et que le soleil était brûlant, il appelle ses compagnons qui se l
et jamais finie. § 18. L’Aurore. L’aurore, avant-courrière du Soleil , préside à la naissance du jour. — Les poètes la
belle à ses vœux, il alla près de Circé, célèbre magicienne, fille du Soleil , et lui demanda un breuvage magique ou philtre, q
e de Phorcus qui le méprisait, pour s’attacher à une déesse, fille du Soleil , et plus digne de sa tendresse. Glaucus, sourd à
à cette masse insensible, en dérobant une parcelle de feu au char du Soleil . Jupiter no put voir sans jalousie cet ouvrage ad
les viandes dont il avait goûté étaient la chair de ces victimes. Le soleil se cacha, dit-on, pour ne pas éclairer de pareill
 II, roi de Crète, petit-fils de Minos Ier, épousa Pasiphaé, fille du Soleil . Dans la première année de son règne, il eut l’im
tiens un juste milieu dans les airs. Si tu t’élèves trop haut vers le soleil , sa chaleur fondra la cire de tes ailes ; si tu v
Alors les liens qui tenaient ses ailes, se relâchent ; la chaleur du soleil fond la cire ; les plumes se détachent ; et, dans
, et les manteaux de ses frères. Quelques toiles humides séchaient au soleil  : Nausicaa, attendant la fin du jour, s’amusait a
e baigné de larmes, elle tournait continuellement ses regards vers le soleil . Apollon par pitié la changea en héliotrope (ou t
fait trembler le seuil ; son haleine en infecte les appartements : le soleil épouvanté cache ses rayons. Athamas et son épouse
es ruines. § 13. Circé. Circé, princesse de Colchide, fille du Soleil , était une magicienne cruelle, artificieuse et ja
ent de Mère de toutes choses, et de Déesse universelle. Osiris est le soleil et Isis la lune. — Osiris est ordinairement repré
le figure avec une tête d’épervier, parce que cet oiseau, emblème du soleil , a une vue perçante et un vol rapide. Isis est r
u bois résineux et des gommes aromatiques : il l’expose aux rayons du soleil , s’y couche et s’y éteint. De la moelle de ses os
nesol, parce qu’elle fleurit pendant les grandes chaleurs, lorsque le soleil est dans le tropique du Cancer. 65. Apollon et
15 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
et du culte de l’homme, abandonné à ses propres lumières, dut être le soleil , dont la chaleur féconde la terre et dont la clar
oit dans la victoire d’Apollon sur le serpent l’heureuse influence du soleil qui dessèche les marais et assainit la terre. Apo
le dieu du jour et de la poésie. C’est lui qui conduisait le char du Soleil , attelé de quatre chevaux, Pyroüs, Eoüs, Éthon et
om de l’Apollon du Belvéder. Il ne faut pas confondre Apollon avec le Soleil lui-même, il n’en est que le dieu : le Soleil éta
nfondre Apollon avec le Soleil lui-même, il n’en est que le dieu : le Soleil était l’un des Titans, et les anciens lui donnent
s Titans, et les anciens lui donnent le nom d’Hypérion. Comme dieu du Soleil , Apollon prenait le nom de Phébus, et on le repré
temple au pied du mont Parnasse ? — Faut-il confondre Apollon avec le soleil  ? — Comment représente-t-on Apollon ? — De qui le
lations. Après avoir fait connaître Apollon et Diane, divinités du soleil et de la lune, c’est ici le lieu de parler du Zod
sent. Le Zodiaque est formé de douze constellations par lesquelles le soleil passe successivement dans sa marche apparente aut
tes, mère des Vents, sort du sein des flots pour annoncer la venue du Soleil . Elle eut pour époux Tithon, chasseur renommé, et
e colosse égyptien qui rendait un son plaintif aux premiers rayons du soleil . Les anciens représentent Aurore vêtue d’une robe
e père des Songes. Son palais était un antre profond, inaccessible au soleil , et dont l’avenue était semée de pavots. On le pe
la voûte étoilée, principalement des deux astres qui la décorent, le soleil et la lune. Les fleuves recevaient aussi les homm
nt Tchinevad, dont les abords sont gardés par des génies lumineux. Le soleil roule bien au-dessous de son trône, et semble un
lus brillant et le plus puissant des Izeds est Mithra, ou le génie du soleil , qui est comme le médiateur entre Ormuzd et Ahrim
et les rochers, gouverne les vents et la pluie, et règle le cours du soleil . C’est lui qu’on invoquait pour obtenir d’abondan
16 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
l’imprudent Icare, malgré les avis de son père, s’éleva trop haut, le soleil fondit la cire, ses ailes se détachèrent, il tomb
une fontaine : depuis ce temps on ne put le toucher sans offenser le soleil qui, dès qu’on vouloit y porter la main, élevoit
xpéditions en Afrique, il se sentit tellement brûlé par les rayons du soleil que, dans sa colère, il lança une flèche contre c
l donna à Thieste, et il lui fit boire leur sang mêlé dans du vin. Le soleil se cacha d’horreur pour ne pas éclairer une actio
r ne pas éclairer une action si exécrable. On ne sait pas pourquoi le soleil ne se cacha pas de même pour les crimes aussi atr
de ses compagnons ; ses aventures chez la magicienne Circé, fille du soleil , qui, par un breuvage enchanté, changea en pource
onné à Chalcénor de bâtir une ville dans l’endroit d’où il verroit le soleil se lever, un de ceux qui l’accompagnoient l’ayant
e qui fut nommée Idalion de deux mots grecs qui signifient j’ai vu le soleil , d’où la montagne fut aussi appelée ldalie, elle
certain jour qu’ils indiquèrent, apercevroit le premier les rayons du soleil . S’étant assemblés à cet effet dans une campagne,
nèrent vers l’orient, les yeux attachés sur la partie du ciel d’où le soleil devoit sortir, un seul regardoit vers l’occident
ndant ce fut en leur tournant le dos qu’il vit les premiers rayons du soleil , qui paroissoient sur le haut d’une tour fort éle
fiée sous la figure d’une femme légèrement drapée, ayant l’image d’un soleil sur la poitrine et tenant une palme. La Vérité ch
iel, tenant d’une main un verre ardent qu’elle échauffe aux rayons du soleil et de l’autre, une corne d’abondance qu’elle renv
17 (1866) Dictionnaire de mythologie
ue vous venez sérieusement proposer d’apprendre le nom des chevaux du soleil ou des chiens d’Actéon ! — Je vous abandonne les
d’autres (et c’est l’opinion la plus probable), Adonis est l’image du soleil . Le sanglier sauvage et hérissé qui le blesse mor
e et la fécondité ! Ce deuil dure six mois, les six longs mois que le soleil passe sous la terre, auprès de la pâle et froide
se, entr’ouvrira les portes dorées de l’Orient, et que les chevaux du Soleil , sortant de l’onde amère, répandront les flammes
la Grèce, les îles de la Méditerranée, les côtes de l’Ionie aimées du soleil , les rives fertiles du Rhin, la Crimée, s’enivren
araît à la lumière : la terre s’en réjouit, et, triomphante, étale au soleil ses moissons, comme une reine son long manteau d’
a présomption de son âge, éleva trop haut son vol vers les cieux ; le soleil fondit la cire de ses ailes ; il tomba et se noya
lit. Les anciens, quand ils voulaient éternuer, se tournaient vers le soleil  ; et savez-vous pourquoi ? « Parce que, dit Cassi
ouvement les parties d’où il provient. » Ce qui revient à dire que le soleil fait éternuer parce qu’il a une vertu sternutatoi
d’Esculape. Nous ne parlerons que du plus fameux. Fils d’Apollon (le Soleil qui vivifie) et de Coronis (l’Atmosphère tempérée
pressant était de lui donner le feu dont il manquait. Le feu, dont le soleil est le foyer sacré, est l’âme du monde, le princi
ux dieux, ses hôtes, le secret de la vie ; il avait dérobé au char du soleil ses rayons de feu ; double crime : abus de confia
ain, et cloua Prométhée au rocher du Caucase. Un vautour, au lever du soleil , s’abattait sur lui et lui rongeait le foie, qui,
s de leurs métamorphoses et désespèrent leurs imitateurs. Le rayon de soleil qui danse sur l’eau agitée est moins agile ; la c
onnons, mes sœurs, une peine inutile : voilà plus de quinze levers de soleil que chacune de nous s’épuise à porter sa poutre e
18 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
e, malgré les conseils de son père, il avait voulu s’élever auprès du soleil  ; mais que la chaleur fondit la cire qui servait
qu’il regarda comme l’extrémité du monde, parce que dans ce point, le soleil , à son couchant, a l’air de se plonger dans l’Océ
u’il ne serait délivré des furies qu’en allant habiter un lieu que le soleil n’éclairait point encore au temps où il commit ce
eux ; par celui de Vénus surtout, qui persécuta sans cesse la race du Soleil , pour avoir découvert sa liaison avec Mars. Ces d
en des courses qui se faisaient dans le cirque dédié à Neptune ou au Soleil . Les seconds, appelés agonales, étaient des lutte
es en dirigeaient les opérations ; la terre, l’eau, le feu, l’air, le soleil , la lune, les astres, les arbres, les forêts, les
si grande majesté, que ses regards étaient resplendissans. C’était le soleil des Celtes, le même que les Grecs nommaient Apoll
p Fenris, jusqu’à ce qu’au dernier jour il sera lâché, et dévorera le soleil . Le serpent a été jeté dans la mer, on il restera
aut ; tout n’était qu’un vaste abîme, sans herbe et sans semence : le soleil n’avait point de palais ; les étoiles ne connaiss
terre ; le feu sortira de ses naseaux et de ses yeux ; il dévorera le soleil , et le grand dragon qui le suit vomira sur les ea
amités y sont inconnues ; un palais y est élevé, plus brillant que le soleil , et couvert d’or. C’est là que les justes habiter
sacrés destins qui dureront toujours. Il y a une demeure éloignée du soleil , dont les portes sont tournées vers le nord ; le
e toutes, se nommait Juul, et se célébrait en l’honneur de Thor ou du Soleil , pour en obtenir une année fertile. Pendant cette
les enlevait quelquefois pour les brûler en l’honneur de Thor, ou le soleil  ; et l’on ne doutait pas que l’holocauste ne lui
ite ; quelquefois du haut en bas, ou en cercle, ou contre le cours du soleil . Nous ne retracerons pas plus longuement le spec
e avec du pain et du vin. La verveine se cueillait avant le lever du soleil , le premier jour de la canicule, après qu’on avai
19 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
u, et tournèrent leurs adorations vers les objets sensibles, comme le Soleil , la Lune, les Étoiles, etc. Les hommes, les anima
uprême ; leur titre étoit Dii selecti : c’étoient Saturne, Génius, le Soleil , Orcus, Bacchus, Janus, la Terre et la Lune. Les
elées Vestales. Ce feu se renouveloit tous les ans avec les rayons du soleil . S’il s’éteignoit par la faute des Vestales, elle
r la terre, et Phébus dans le ciel, parce qu’il conduisoit le char du Soleil , qui étoit tiré par quatre chevaux fougueux. O D
ce. D. Qu’est-ce que les Poëtes feignent d’Apollon considéré comme le Soleil  ? R. Ils feignent qu’il est porté dans un char, q
les matins atteler ses chevaux, afin de recommencer sa course. D. Le Soleil eut-il des enfans ? R. Il en eut plusieurs, entr’
e un jeune étourdi et un ambitieux. Il s’avisa de conduire le char du Soleil  ; mais il le fit si maladroitement, qu’il pensa e
ecommandant bien de ne voler ni trop haut ni trop bas, de peur que le soleil ne fondît la cire qui attachait ses ailes, ou que
20 (1838) The Mythology of Ancient Greece and Italy (2e éd.) pp. -516
ws may well express the penetrating beams of the sun, or the coups de soleil and diseases caused by his action. For a similar
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