après et se rendit maître du ciel et de la terre. Il épousa Junon, sa
sœur
; partagea avec ses frères l’empire du Monde, don
a en taureau pour enlever Europe, fille d’Agénor, roi de Phénicie, et
sœur
de Cadmus ; passa la mer à la nâge, en portant ce
demeure des dieux. Junon. Junon, fille de Saturne et de Cybèle,
sœur
et épouse de Jupiter, étoit la reine des dieux, e
sent bien l’orgueil de cette déesse impérieuse : Moi, l’épouse et la
sœur
du maître du tonnerre ! Moi, la reine des dieux,
tte flâme Que son aspect verse en mon ame, Dicte ses loix aux chastes
Sœurs
; L’immortel laurier le couronne, Et sous ses doi
l’on rendoit à Apollon : on les désigne souvent sous les noms de neuf
Sœurs
, de doctes Fées, de Déesses du sacré vallon, de c
es Fées, de Déesses du sacré vallon, de chastes Filles de mémoire, de
Sœurs
d’Apollon, etc. Déjà pour l’immortelle fête Les
moire, de Sœurs d’Apollon, etc. Déjà pour l’immortelle fête Les neuf
Sœurs
ont paré leur tête Des fleurs qui bravent les hiv
gloire, D’assurer à vos noms un heureux souvenir. Si la main des neuf
Sœurs
ne pare vos trophées, Vos vert
s plaisirs, et vole sur leurs traces. Fuselier. Diane. Diane,
sœur
d’Apollon, fille de Jupiter et de Latone, est dis
; c’est celui qui portoit la Toison d’or, et sur lequel Phryxus et sa
sœur
Hellé se sauvèrent, enfuyant la cour d’Iolchos, o
soit toujours : Autour d’une tonne percée, Se lassent ces nombreuses
sœurs
Qui sur les frères de Lyncée Vengèrent de folles
ie à Lyncée : Chante cette épouse empressée, Dont Minos condamna les
sœurs
; Qui, saintement parjure, osa sauver Lyncée
, Des sanguinaires Danaïdes, Châtiment à jamais nouveau : En vain ces
sœurs
veulent sans cesse Remplir la tonne vengeresse ;
oires barbaries. Filles de l’Achéron, Pestes, Larves, Furies, Frères,
sœurs
, si jamais notre commerce étroit Sur vous et vos
nées : Déjà, pour accomplir ces fortunés présages, Les trois fatales
sœurs
, souveraines des âges, Ont adouci leurs loix ; et
fils de Latone Tient son empire, et du haut de son trône Dicte à ses
sœurs
les savantes leçons Qui de leurs voix régissent t
elle ne put l’emporter sur Déjanire, fille d’Œnée, roi de Calydon, et
sœur
de Méléagre, que le fleuve Achéloüs vouloit épous
c cette liqueur, Et lui rend d’un agneau la taille et la vigueur. Les
sœurs
crient miracle, et chacune ravie Conçoit pour son
Laisser l’onde tranquille et leurs urnes oisives : J’ai vu les fières
Sœurs
oublier leur devoir ; Jusqu’au fond de ses eaux l
amenant Euridice. Cadmus. Après que Jupiter eut enlevé Europe,
sœur
de Cadmus, et fille d’Agénor, roi de Phénicie, ce
é sur la terre et sur l’onde, Sans trouver Europe ma
sœur
; Après avoir en vain cherché son ravisseur, Le c
res de son fils Ithys. Progné prétendoit venger, par cet attentat, sa
sœur
Philomèle, que Térée retenoit prisonnière, après
derniers devoirs. Achille l’accorda sur-tout aux larmes de Polixène,
sœur
d’Hector, et dont la beauté avoit paru toucher so
les chemins de la Grèce, Où mon crime par-là doit enfin s’effacer, Ma
sœur
, parmi nos dieux nous irons la placer. La Grange
e, (corne d’) page 28 Absirthe, frère de Médée, mis en pièces par sa
sœur
, 153 Abyla, une des colonnes d’Hercule, 135 Ach
ule, 134 Cadmus, père d’Ino, 96 — Frère d’Europe, 159 — Cherche sa
sœur
Europe, 159 ; bâtit la ville de Thèbes, délivre H
ontaine, 45 Castor, fils de Tindare et de Léda, 34-147 — Reprend sa
sœur
Hélène, 145 — Est changé en astre, 148 — Mis au
et de la Nuit, 106 Char du Soleil, 31-42 Chaste Diane, 57 Chastes
Sœurs
, Filles de Mémoire, etc. noms que l’on donne aux
— Champêtres, 121 — Allégoriques, 17-21-112-121 Doctes Fées, doctes
Sœurs
, noms donnés aux Muses, 50 Dodone, forêt célèbre
élas, 148 — Sa mort, ibid. Hélénus, fille de Priam, 179 Héliades,
sœurs
de Phaéton, 44 Hélicon, 45 Hellé, 88 Hellespon
se au rang des Dieux, 11 — Fille de Saturne et de Cybèle, 37 Junon,
sœur
et épouse de Jupiter, 31 — Ses enfans, 37. Son c
ïus, roi de Thèbes, 162 — Est tué par son fils Œdipe, 163 Lampétie,
sœur
de Phaéton, une des Héliades, 44 Lampétuse, sœur
ipe, 163 Lampétie, sœur de Phaéton, une des Héliades, 44 Lampétuse,
sœur
de Phaéton, une des Héliades, ibid. Lance de Pa
ciences, aux beaux-arts, et à la poésie, 51 — On les appelle chastes
Sœurs
, 46 Muses, on les appelle Neuf Sœurs, 50 — —
e, 51 — On les appelle chastes Sœurs, 46 Muses, on les appelle Neuf
Sœurs
, 50 — — Filles de Mémoire, 47 — — Doctes F
d. — Son retour dans ses états, après la guerre de Troie, 186 Neuf
Sœurs
, nom donné aux Muses, 50 Ninus, empereur des Ass
r Jupiter, ibid. — Les regrets que cause sa mort, ibid. Phaétuse,
sœur
de Phaéton, ibid. Phare d’Alexandrie, une des s
mmortalité avec Castor ; à quelles conditions, 148 — Va reprendre sa
sœur
Hélène, 145 — Est changé en astre, et placé au c
141 Sinon trompe les Troyens, 184 Sisyphe, fameux brigand, 102-158
Sœurs
d’Apollon, nom donné aux Muses, 50 Soie des Parq
ns positives vers Ouranos ou Uranus, ou le Ciel, et le marièrent à sa
sœur
Titée ou la Terre, appelée aussi Gê, Géa, Géris e
quatre grands Titans : Cœos, Crîos, Hypérion et Japet, avec leurs six
sœurs
: Thîa et Rhia ou Cybèle, Thémis et Mnémosyne, Ph
et la rendit mère d’Iris et des Harpyes. Quant à Phorcys et Céto, sa
sœur
, ils s’unirent ensemble, et donnèrent le jour aux
à la demande de Gê ou la Terre sa mère, et après avoir épousé Rhée sa
sœur
, se fit céder l’empire du monde par les Titans, s
our, lui envoya pour le séduire et le tuer ensuite, Hora et ses trois
sœurs
; car cette Hora ou heure, pleine de jeunesse, de
ment de son frère, qu’elle ne voulut plus par la suite, ainsi que ses
sœurs
, s’en séparer. Allégorie dont le sens est facile
échissant que Chrone ou Saturne signifie le temps, et que Hora et ses
sœurs
sont les heures qui, toujours liées à la marche d
en mesurent les mouvemens par le secours du Ciel leur père. Ces trois
sœurs
de Hora, et comme elle filles du Ciel, s’appelaie
Lune. On assure, en outre, que Rhée avait également eu de lui Glauca,
sœur
jumelle de Pluton. Saturne recueilli par Janus, d
upiter. Devenu le maître alors d’un vaste empire, il épousa Junon, sa
sœur
, à l’exemple de son père, qui déjà avait épousé R
ant une cruche d’une main et une bouteille de l’autre ; Hélice, et sa
sœur
Ega ; Ida, qui donna son nom à une montagne de l’
da, qui donna son nom à une montagne de l’Asie-Mineure ; Ithôme et sa
sœur
Néda qui soignait Jupiter, surtout près de la fon
t, suivant le caprice des poètes et des historiens, en père, fille et
sœur
; puis, dans Amalthée, il ne faut plus trouver qu
un et l’autre fils de Pontus, et Phorcys, après avoir épousé Céto, sa
sœur
, eut pour enfans les Grées, les Gorgones, le Drag
Titans, la peuplade de l’empyrée s’augmenta considérablement. Junon,
sœur
et femme de Jupiter, en eut Vulcain, leur fils un
in, leur fils unique, qu’ils firent Dieu du feu ; elle lui donna pour
sœur
, la belle Hébé. Une autre fois, le maître des die
ion. La famille des Géans fut peu nombreuse. En effet, on connaît une
sœur
à Cacus, portant le nom de Caca ; et, parmi les e
es. D'autres veulent qu’ils aient été frappés par Apollon et Diane sa
sœur
; une troisième version dit que Diane s’étant mét
rdies, périrent malheureusement à la chasse. On donne aux Aloïdes une
sœur
appelée Pancratin, qui fut enlevée par Butès, fil
Hipponoris ou Hipponoüs, Capanée et Péribée. Ce Capanée eut d’Evadné,
sœur
d’Etéocle et fille d’Iphis et de Thébé : Hyamus,
et même consterné. Comme épouse légitime il eut pour femme sa propre
sœur
Héra ou Junon. Il en eut une fille appelée Hébée,
u fille de Saturne, Socigena ou qui préside aux unions, Sororia ou la
sœur
, Sospes et Sospita ou la libératrice, Salvizona o
la théogonie vulgaire, était fille de Saturne et de Rhée, ayant pour
sœurs
Cérès et Vesta, et pour frères Jupiter, Neptune e
daleuse. Jupiter seul osa chercher à la séduire sans que son titre de
sœur
l’en détournât ; car chez les Grecs des anciens t
de, et l’obtint, avec la main d’Iphianasse, qu’il guérit ainsi que sa
sœur
en leur donnant, dit-on, de l’ellébore. Anaxibie
encore Hérésides à Argos, étaient au nombre de deux, une mère et une
sœur
. Le temps de leur sacerdoce avait cela d’importan
le, et à en faire des pères, des mères, des enfans, des frères et des
sœurs
; plus tard, les poètes en adoucirent les légende
leuse apparition ; néanmoins habituellement on donne ce Vulcain et sa
sœur
aînée, la belle Hébé, comme les seuls enfans nés
e, Pyrène, fille d’Achilaüs ou d’Æbalus et d’Asope, Réa-Silvia, Séta,
sœur
du Thrace Rhésus, Stérope ou Astérope, fille d’At
ns Hercule encore en débarrasser le pays : nous ignorons si Abdèra sa
sœur
avait également Mars pour père. Erope et mieux OE
e des Amazones, et nous la verrons vaincue par Hercule, ainsi que ses
sœurs
Lampéto et Marthésie. Ialmène, fils d’Astyoché, e
yant épousé Prognée, fille de Pandion, roi d’Athènes laissa Philomèle
sœur
de sa femme, venir avec elle, malgré les répugnan
ans ce même château, puis il revint auprès de Prognée lui dire que sa
sœur
était morte pendant le trajet. Cependant Philomèl
avec une aiguille sur une toile l’attentat de Thérée, fit passer à sa
sœur
cette tapissier. Aussitôt Prognée dans son désesp
es femmes avaient pendant une fête de Bacchus pour courir délivrer sa
sœur
; alors elles revient avec elle, sert à son mari
connaît plus de colère, il demande des armes et veut immoler les deux
sœurs
; mais déjà elles avaient monté sur un vaisseau q
l Thérée, qui ne fut pas assez prompt pour pouvoir rejoindre les deux
sœurs
une fois échappées. Thespius ou Thestius, fils de
ur, enfans de Mars et de Vénus, ou d’Erynnis et de Borée. Bellone, sa
sœur
les conduit, Palior le précède, et Phygale le sui
ouvent on la confond avec Minerve ou Pallas, et on la considère comme
sœur
ou femme de Mars. C'était elle qui préparait son
e, fut importé de la Scythie dans la Grèce par Oreste et Iphigénie sa
sœur
. Maintenant revenons aux nymphes appelées Bérésid
a messagère, afin d’exécuter ses moindres caprices. Cette belle Iris,
sœur
d’Arcé, était fille de Thaumas le Titan et de l’O
ans, Prorsa ou Porrima, ou Anteverta et Postverta, elles étaient deux
sœurs
souveraines des accouchemens à Rome, Rumanées esp
avec Jupiter, et pour fille du Titan Cœos et de la titanide Phebée sa
sœur
. Homère l’indique comme fille de Saturne. Elle fu
ui-ci devint le Soleil personnifié ou Dieu du jour et des arts, et sa
sœur
fut la déesse de la chasse, ainsi que la personni
ette arme devint terrible entre ses mains, et dans celles de Diane sa
sœur
. Ainsi, le géant Titye, roi de Panope, en Phocide
e massacre de tous les enfans de cette imprudente. Cette Niobée était
sœur
de Pélops et fille de Tantale, fils de Jupiter, e
Apollon seul fit ce massacre. Au bruit de leurs cris douloureux, les
sœurs
de ces malheureux princes se montrèrent sur les r
’il vient pour les étouffer. Diane, fille de Latone et de Jupiter et
sœur
d’Apolon, portant diveres noms et surmons : ainsi
ou de la nymphe Dictynne qui inventa les filets de chasse, Didyma ou
sœur
jumelle d’Apollon, Discincta ou qui porte l’habit
t Fascelina à Aricée, ou au faisceau de bois dans lequel Oreste et sa
sœur
avaient caché sa statue pour l’emporter de la Che
ises, et Upis ou fille d’Upis. Diane, fille de Latone et de Jupiter,
sœur
aînée d’Apollon, reçut de son père l’honneur d’êt
poètes était la fille de Latone, celle qui passait en même temps pour
sœur
d’Apollon. On donnait à Diane Elaphion, c’est-à-d
nt avec les siennes. Argé ou Hécaerge, fille de Borée et d’Orithye et
sœur
de la déesse Opis, était une divinité favorable a
e et l’Hécate des Grecs. Considérée sous son nom de Sélénée, c’est la
sœur
d’Hélios ou soleil ; c’est elle qui ayant appris
es Grecs la Lune fut promptement divinisée dans la personne de Diane,
sœur
d’Apollon ; alors on l’appela Diane céleste ou Ph
tous les astres. Mais un autre écrivain, Diodore, lui fait épouser sa
sœur
Basilée, dont il eut un fils et une fille, Helion
accusé par son frère Acaste d’avoir pris part avec toutes ses autres
sœurs
au meurtre de leur père. Ce fait jamais ne fut éc
moins Acaste, pour le venger, déclara la guerre à Admète, époux de sa
sœur
, le fit prisonnier et allait le faire périr, lors
irement aux vainqueurs pour sauver son époux. Acaste emmenait déjà sa
sœur
à Iolchos dans le dessein de l’immoler aux mânes
e Mnémosyne ou la mémoire, fille elle-même du Ciel et de la Terre, et
sœur
par conséquent de Saturne et de Rhée. Jupiter, so
ec son fils, lequel, après avoir rendu les plus grands services à ses
sœurs
de lait, fut élevé au ciel par Jupiter et rangé p
Soleil et de la Terre, ou, suivant Hésiode, de Théa et d’Hypérion, et
sœur
du Soleil et de la Lune. Ayant épousé Persès, ell
mède. Il s’était marié à Procris, fille d’Erechtée, roi d’Athènes, et
sœur
d’Orithie. Aurore fut donc éprise de sa beauté ;
le Dieu du jour l’arcadien Dryops, père et chef des Doriens ; Circée,
sœur
de Pasiphaé et d’Eétès ou Ætes, était aussi fille
pousa à la suite de ses intrigues avec Phébus ; Clytie était comme sa
sœur
Leucothoée, fille de l’Océan et de Thétys ou d’Eu
dit mère de Dircée ; mais ce Dieu l’ayant quittée pour Leucothoée, sa
sœur
, elle découvrit l’intrigue, la dénonça à son père
it l’intrigue, la dénonça à son père, ou même trouva moyen de tuer sa
sœur
. Cette cruelle et vindicative jalousie n’attira s
rir le premier. Les Grecs donnèrent encore le nom de Leucothoée à une
sœur
de Sémélée, à Ino, qui prit soin du jeune Bacchus
ur une des mères de Milet. Dryope, fille d’Euryte et d’Œchalie, était
sœur
d’Iole, l’une des femmes d’Hercule, elle fut d’ab
, fille de Staphyle, berger du roi OEné et de Chrysotémis, avait pour
sœur
Molpodia et Parthéno ; elle fut maîtresse du Dieu
aux desirs d’Apollon et devenir mère de Seyros ; Stilbia ou Stilbée,
sœur
d’Iphénus et fille du fleuve Pénée, eut de ses am
re, prêtre d’Apollon, mais que l’on supposait fils d’Apollon et de la
sœur
de son prêtre, il grandit en errant dans les bois
le elle-même de Phlégyas, héros que nous verrons mourir plus tard, et
sœur
d’Ixion. Ils donnaient à ce premier médecin Lacér
cependant on le réserve pour indiquer spécialement les filles et les
sœurs
de Phaéton que l’océanide Clymène avait eues d’Ap
e la jeunesse. Cette chute de Phaéton causa une si vive douleur à ses
soeurs
les Héliades qu’elles le pleurèrent quatre mois e
hée, on les lui donne aussi quelquefois pour mères. Cérès était donc
sœur
de Junon et de Vesta, ainsi que de Jupiter, de Ne
e Neptune et de Pluton, elle eut dans son enfance le sort de ses deux
sœurs
. On lui attribue pour nourrice Calligénie, dont e
coute à son tour Pluton, feignant d’obtempérer aux réclamations de sa
sœur
, et décide qu’il consent à cette demande de Cérès
r aux enfers, cependant par une grace toute spéciale, il accorde à sa
sœur
que sa fille viendra passer alternativement six m
était fille de Deucalion et de Pyrrha, ou de Japet et de Climène, et
sœur
d’une Pandore ; elle fut aussi maîtresse de Jupit
ière toujours éblouissante et fécondante, on leur reconnaissait trois
sœurs
Lagore, Orsédice et Brœsie, filles de Cynire et d
enfin, nous ajouterons que Climène, fils d’un Phoronée, fonda avec sa
sœur
Chthonie le culte de Vénus-Chthonienne et qu’Herm
t à se repentir. Voici comme le fait arriva : Cette Psyché avait deux
sœurs
aïnées peu aimables et qui la tourmentaient, parc
arce qu’elle les surpassait également de beaucoup en beauté. Ces deux
sœurs
se marièrent, et Psyché resta seule auprès de ses
écueil du bonheur. Craignez surtout de vous y laisser entraîner ; vos
sœurs
comme vous cherchent à me connaître. Demain elles
syché reprit en pleurant : Quoi ! vous méconnaissez ainsi mes pauvres
sœurs
; que ne puis-je en les voyant vous prouvez la bo
n préviens, défiez-vous de leurs perfides conseils. Dès le matin, les
sœurs
paraissent, et après avoir embrassé Psyché, avoir
un jeune prince qui passe tous les jours à la chasse. Elle combla ses
sœurs
de présens, et les fit conduire chez leur père pa
ait fatal. Piquée de ce refus, elle fut triste toute la journée ; ses
sœurs
l’ayant remarqué, lui demandèrent la cause de sa
laive, tranchez-lui la tête. A ces mots, les perfides embrassent leur
sœur
et quittent le palais enchante. Psychécédant à le
je ne puis plus être à vous. Adieu ; mais je le jure, je punirai vos
sœurs
. Soudain le palais disparaît, et Psyché se trouve
. Au bout de trois jours elle arrive dans la petite ville où règne sa
sœur
aînée. Alors il lui vient une pensée de vengeance
raconte que l’amour, après l’avoir abandonnée, va épouser sa seconde
sœur
. L'aînée, furieuse de cette préférence, vole vers
d’un autre côté Psyché court annoncer tout le contraire à sa seconde
sœur
, qui par les mêmes motifs que l’aînée, se dirige
Psyché alors entra dans l’Olympe, et les dieux reçurent leur nouvelle
sœur
avec des transports de joie. Jupiter la prit par
ui porte son nom. Ce Narcisse, dit-on, était un prince amoureux de sa
sœur
jumelle, à laquelle il ressemblait ; sa perte l’a
élice, dont le nom s’applique à trois personnes différentes, était ou
sœur
d’Ega, ou Danaïde ou fille de Sélinus fils de Nep
teur de la ville de ce nom. Taygète fille d’Agénor, roi de Phénicie,
sœur
d’Europe, dont nous parlerons dans quelques pages
eçu l’ordre avant la mort de son père Nyctée, de reprendre Antiope sa
sœur
à quelque prix que ce fût, ravagea Sicyone, tua E
illeurs, on voit Nyctée confier lui-même à Lycus le soin de venger sa
sœur
, séduite par Jupiter. Lycus touché de ses charmes
te et qu’elle lui déroba. Argé est une fille de Jupiter et de Junon,
sœur
d’Hébée et de Vulcain, mais sur laquelle les lége
les enfans que nous lui connaissons ; quant à Zéthus, il épousa Aédon
sœur
de Mérops et de Cleotère, toutes trois filles de
éralement pour devoir sa naissance à Chtonophile ou bien à Aréthyrée,
sœur
d’Aoris. On le croyait également fils de Cisus et
gnée, elle livre son fils Hippase, et le dévore de compagnie avec ses
sœurs
. A cette vue, Jupiter furieux les transforme en c
a laideur, étant arrivée sur les bords du Ladon, pria les nymphes ses
sœurs
de la secourir ; ce qu’elles firent en la changea
tre né ainsi qu’Hélène de Léda et de Jupiter, tandis que Castor et sa
sœur
Clytemnestre, sont crus enfans de Léda et de son
Décèle, Thésée, alors âgé de plus de cinquante ans, avait caché leur
sœur
Hélène qui n’avait que huit ou dix ans et qu’il a
uivant eux pour le père de Carthage, est fils de Jupiter et d’Astérie
sœur
de Latone. Le cinquième nommé Bel est adoré dans
Hésione en mariage. Plus tard, nous verrons comment irrité de voir sa
sœur
la proie d’un étranger, ce Priam envoya Paris son
’antiquité ; ce sont : Alcippe la reine de Pont, Antioche ou Antiope
sœur
d’Hippolyte, Astérie, Atalante, la reine Camille,
dée, fille de Phylas, et mère d’Antiochus ; Myrto, fille de Ménèce et
sœur
de Patrocle, fut la mère d’Euclée ; Nicé, mère de
hesp. Archedice ; Eaque ou Eatus, d’une nymphe inconnue, il épousa sa
sœur
Polyclée, pour régner avec elle sur les rives de
écrops fixa le cœur de Mercure, en revenant du temple de Minerve ; sa
sœur
Aglaure ayant voulu troubler leurs amours, le Die
ne favorable aux mariages et accouchemens heureux, fille de Daunus et
sœur
de Turnus, roi des Rutules, celle-ci, pour lui éc
avoir été le premier industriel connu chez les Grecs ; il avait pour
sœur
Perdrix, mère de Tale ou Cale ou Acale ; leur gén
e, la promptitude et le courage. Persée, d’abord, vainquit les Grées,
sœurs
des Gorgones et filles aînées de Phocus et de Cét
s et de Céto. Les Grées étaient trois vieilles femmes, savoir : Enyo,
sœur
de Mars, Péphrédo et Dinon ou Phersis, nées avec
es avec des cheveux blancs et qui seules savaient la demeure de leurs
sœurs
. Pour obtenir leur secret, Persée leur enleva le
, Euryale et Sthénos, à ce bruit se réveillent et veulent venger leur
sœur
; mais son sang qui vient de toucher la terre, ay
our la punir de cette orgueilleuse vanité, Neptune, à la prière de sa
sœur
, livra les états de Cassiopée aux ravages d’une a
evés par Persée, mais Hésiode, continuant la fable, dit que ces trois
sœurs
, filles du dieu marin Phorcus, habitaient au-delà
ra, mère d’OEoclus ; Astypalée, mère d’Ancée et d’Ergine ; elle était
sœur
d’Astydamie et fille de Phénix, né lui-même d’Amy
le d’Endymion et mère d’Elis ; Hellé, mère d’Almops et de Péon, était
sœur
de Phryxus et fille de Néphélé et d’Athamas qui é
Rhodope, mère d’Athos, était fille d’Euterpe et du fleuve Strymon et
sœur
de Rhésus ; Salamine, mère de Cenchrius ; Syma, m
l’on donne aussi quelquefois ce nom à Bacchus. Benthésicyme, fille ou
sœur
d’Amphitrite, fut la nourrice, et finit par être
e eux l’ordre de son père Agénor, d’aller à la recherche d’Europe, sa
sœur
, et de ne jamais reparaître devant lui sans elle.
n riche collier. Malgré les soins que Cadmus mit à la recherche de sa
sœur
, il ne put en découvrir aucune trace. A la fin, i
onsulter l’oracle de Delphes, qui lui répondit : Cesse de chercher ta
sœur
, mais suis la première génisse qui se présentera
vait injustement enlevée. Ce Laïus épousa Jocaste fille de Ménécée et
sœur
de Créon mari de Pyrrha ; l’oracle lui annonça qu
raste et en forçant ce dernier à quitter le pays. Cependant Eriphyle,
sœur
d’Adraste, ayant épousé Amphiaras, celui-ci rendi
i de Sicyone, avait pour frères Parthénopée, Pronax, Mécistée et pour
sœur
Aristomaque, Eriphyle et Astynome, il épousa Amph
de dans la Byzacène, ou régnait sur l’île de Corse. Il épousa Céto sa
sœur
, puis il eut de ce mariage, Chrysaor, le Dragon d
Minotaure, remet à la voile et emmène avec lui Ariadne et Phèdre, sa
sœur
. Ariadne le rendit père de deux fils, Œnopion et
a si cruellement dans l’île de Naxos, pour la remplacer par Phèdre sa
sœur
, elle resta longtemps seule avec son désespoir da
ndre d’avoir été si perfidement trahie par son amant et par sa propre
sœur
. A la fin, Bacchus revenant vainqueur des Indes,
avec Hesione, qu’Hercule avait ramenée de Troie, fille de Laomédon et
sœur
de Priam, et elle eut Teucer de cette alliance ;
onc venger sa mort : et pour cela, il s’allia à une déesse, à Thétis,
sœur
du roi de Scyros Lycomède et fille de Nérée et de
forcés d’obéir à Neptune, nous trouvons d’abord le vieil Océan et sa
sœur
et épouse Téthys, couple puissant dont nous allon
et même de tous les êtres. On le faisait toujours époux de sa propre
sœur
la titanide Téthys, qui nourrit Junon et qui, ave
e Léda, par les jeux de Castor et de Pollux, par l’enlèvement de leur
sœur
Hélène par Thésée, par la métamorphose en laurier
bra ces jeux. Pelée voulut ensuite venger la mort de son père sur ses
sœurs
qui l’avaient égorgé, mais Hercule s’y opposa. N
Astrée ; Thoossa, qui de Neptune eut le Cyclope Polyphème ; Zeuxippe,
sœur
de Pasithée, première nymphe et femme du roi d’At
t fils du chaos et des ténèbres, en lui donnant pour femme la nuit sa
sœur
, dont il eut Éther et le jour, et en le faisant l
r abusé ; Eriphyle, qui trahit son époux Amphiaraüs ; Évadné, Phèdre,
sœur
d’Ariadne et femme également de Thésée ; Laodamie
la terre, suivant quelques auteurs, ou plus généralement du Chaos, et
sœur
de l’Érèbe, dont elle eut l’ Ether, le Jour, la P
lle était une déesse gréco-romaine, fille de la Nuit. Elle avait pour
sœur
le Sommeil ; elle habitait les enfers, était hono
épaules nues et ses bras décharnés et sans couleur. La Vieillesse, sa
sœur
, était une vieille femme, couverte d’un manteau n
la carrière d’un mortel. L'on supposait que les Parques étaient trois
sœurs
appelées généralement Clotho, Lachésis et Atropos
aussi Proserpine ou la Junon-Stygienne, et l’on attribue à ces trois
sœurs
l’invention de quelques lettres de l’alphabet gre
a Terre et des Ténèbres selon Sophocle, et même Épiménide les suppose
sœurs
de Vénus et des Parques, et d’autres les disent n
urs, leur présentait des serpens furieux et appelait à hauts cris ses
sœurs
pour venir la seconder. Elle avait un temple envi
e, qui devint père d’ Abas, duquel naquirent Acrisius et Proetus. Les
sœurs
d’Hypermnestre ne survécurent pas long-temps à le
our le premier époux de Clytemnestre, fille de Léda et de Tyndare, et
sœur
de Castor. Cependant, Atrée en apprenant les spol
elle. Au bout de ce temps, un fils d’Agamemnon, Oreste, qu’Électre sa
sœur
avait sauvé des mains d’Égisthe et de Clytemnestr
u’Agamemnon eut épousé Clytemnestre, Ménélas obtint la main d’Hélène,
sœur
également des Dioscures Tyndarides ; mais la main
énage, car Priam, fils de Laomédon, regrettant toujours le rapt de sa
sœur
Hésione, qu’Hercule avait enlevée et donnée à son
âgé de dix ou douze ans, et élevé par Laodamie, sa nourrice ; mais sa
sœur
Electre, ou sa tante Arsinoé le sauva des mains d
ec Pylade, fils de ce prince, et de Cydragores, fille de Plisthène et
sœur
d’Agamemnon. Bientôt, on les désigna sous le nom
re la plus affectueuse, et dont il obtint en mariage sa fille Evippe,
sœur
de Pencète et d’Iapix. En revanche, il tua un hor
trouver Ulysse. Il épousa d’abord Eurydice, fille ainée de Climène et
sœur
de Cratie, puis Anaxibie ou Astyochée ou Cydragor
nt son mariage avait eu Sisyphe pour amant ; elle donna à Ulysse deux
sœurs
, Climène, épouse d’Euryloque, et Phace. Ulysse, a
e, cette Pénélope, qui avait pour frère Damasippe et Leucade, et pour
sœur
Iphthime, était restée à Ithaque, entourée de ses
; Amphotère eut l’honneur de tuer Patrocle ; Amycus, époux de Théano,
sœur
d’Hercule ; Anténor, livra le palladium et sa pat
m et d’Hécube, étant un jour endormi dans un temple avec Cassandre sa
sœur
, deux dragons vinrent leur lécher les oreilles et
épousé Théano, fille de Cissé, roi d’une des provinces de Thrace, et
sœur
d’Hécube : il en eut une fille appelée Crino, qui
bolique romaine de l’année lunaire. On supposait que cette Anna était
sœur
de Didon et qu’elle se réfugia en Italie auprès d
de la liberté personnifiée ; Elpis ou Spes, déesse de l’espérance et
sœur
du sommeil et de la mort ; c’est une jeune fille
omulus. Hémithée ou Molpadie, fille de Staphile et de Chrysotémis, et
sœur
de Rhœo et de Parthénie, s’était exposée comme el
re Camèse ou Camises, roi également d’une partie de l’Italie, et pour
sœur
Camasène ou Camesène et Vénilie ; on les lui donn
is, le plus célèbre de ces Dieux civilisateurs de l’Egypte, épousa sa
sœur
Isis, dont il eut Haroeri et Harpokrat ; il fut l
divine, Ahé, consacrée à Bouto, ou, pour mieux dire, au soleil. Isis,
sœur
et épouse d’Osiris, lui avait été unie dès le ven
é à Osiris et à Isis, personnifications du bon principe. Il épousa sa
sœur
Nefté, dont il n’eut aucun enfant. Il gouvernait
et le jeune porc lui étaient consacrés. Nefté, ou Nephté, ou Natfé,
sœur
d’Osiris, d’Isis et de Typhon et femme de ce dern
tôt de ceux de Junon. Alors, comme Achtor, elle est fille d’Uranus et
sœur
de Chrône, qu’elle épousa et dont elle eut le deu
lative, et refusent de coopérer à ses travaux. Alors il se marie à sa
sœur
, la belle Souraçouati, et en a cent fils, dont l’
, enfanta les Dévatas, ou génies lumineux et bienfaisans ; puis Diti,
sœur
d’Aditi, enfante la foule des Daitias ou Açouras,
par la bouche, tandis que ses trois autres frères et ses trois autres
sœurs
sortirent de membres moins nobles. Ce fut à lui q
us profonds. Alors aussi Brahmâ s’éprit d’un amour incestueux pour sa
sœur
et fille Saraçouati, qui se déroba en vain à ses
ache à ces deux autres membres de la trimourti indienne. Saraçouati,
sœur
, femme et fille de Brahmâ, résista long-temps aux
des enfans de la lune, succéda à son père Souraçéna et épousa Dévaki,
sœur
de Kansa. Celui-ci connaissant que sa sœur mettra
ouraçéna et épousa Dévaki, sœur de Kansa. Celui-ci connaissant que sa
sœur
mettrait au monde un fils qui serait funeste à so
ran, qui ne manquait pas de mettre à mort tous les enfans mâles de sa
sœur
; à la fin, ils sauvèrent Krichna qui naquit le h
a à poursuivre les Daitias jusque dans le Dekhan. Alors, Smourianaka,
sœur
de Ravana, devint amoureuse de Rama, mais celui-c
qu’il continue toujours à tenir. Smourianaka ou Chmourianaka, était
sœur
de Ravana et gouvernait le Djanathana à la place
époux de Madri, incarnation de Lakchmi, et mari également de Kounti,
sœur
de Vaçoudéva. Pandou eut cinq enfans, que l’on no
Lorsqu’il fut monté sur le trône, l’oracle l’avertit qu’un fils de sa
sœur
serait un jour le maître de l’Inde. Alors Kansa,
se trouva bientôt dans le plus grand des dangers ; car quatre jeunes
sœurs
pleines de beauté se présentèrent à lui, vêtues s
Thibet et eut un fils pour successeur. On la représente à côté de sa
sœur
, sur un trône porté par quatre lions. Elle a troi
par d’horribles embrassemens, le père avec la fille, le frère avec la
sœur
, la mère avec le fils. Aniran, Ized présidant à
vienne les délivrer. Fréfak, fils de Siamak, et de Bechak, épousa sa
sœur
Frevakein, qui le rendit père de quinze couples h
du renouvellement de l’année. Kiié vivait avec ses deux frères et sa
sœur
, sur trois montagnes, dont deux, du nom de ses fr
Freia, déesse de l’amour, fille de Niordr, et de la déesse Scada, et
sœur
de Fréir. Elle épousa Odour, c’est-à-dire l’irrit
Vidar. Hel ou Héla est fille de Loke et de la géante Angourboda, et
sœur
du loup Fenrir et du serpent Iormoungandour ; ell
e Malina, ou soleil féminin. Une nuit, dit-on, Anninga poursuivait sa
sœur
Malina ; mais celle-ci en s’échappant à toutes ja
aussi haut, et resta depuis à rouler toujours vainement autour de sa
sœur
, dans l’espoir de l’atteindre. Ses taches sont le
de la Nuit, fonda le royaume de Norvège. Il était fils de Thorron. Sa
sœur
Goe ayant été enlevée, son père lui ordonna d’all
té enlevée, son père lui ordonna d’aller la chercher. Nor retrouva sa
sœur
dans le deuxième mois de l’année qui prit le nom
ation de toute la race Irlandaise. Keasar, ou Kesaire, fille, femme,
sœur
et mère de Bath. C'est la grande déesse de la for
Irlande la muse par excellence, petite fille de Bath ; elle eut deux
sœurs
, Banba et Ir, mais s’étant fixée dans Sliabh-Eibh
même que de toute l’Irlande. Banba, petite fille de Bath, avait pour
sœurs
Eire et Fohlda, avec lesquelles elle forme une tr
ité de la tribu Irlandaise des Thuatha-Dadans. Les époux de ces trois
sœurs
furent Éathoir, Céathoir et Téathoir. Ces trois c
ans les airs. Les fils de cette pieuse mère, excités par leur cruelle
sœur
Koïolkhhaouqui, se déterminèrent à la tuer, croya
rmé de pied en cap, et il tua tous ses frères, ainsi que leur cruelle
sœur
. Son idole était représentée sur un autel entouré
aboa, septième fils de Tane et de Terra ; il épousa d’abord Tanna, sa
sœur
, dont il eut les treize mois, (Papiri, Ovnounou,
u, et de trois filles, Hennatou-Monourou, Hénaroa, et Nouna. Opira,
sœur
et épouse de Ti, était fille de Tétouba-Amatou-Ha
, 135. Cabirides (les), 65. Cabiries (les), 66. Cabirique, 135. Caca,
sœur
de Cacus, 36. Caca, 65. Cacaüs, 65. Caciapa, 440.
itait au fond des mers un palais de corail et de perles. Il épousa sa
sœur
Téthys [Fig. 33], et de leur union naquirent Néré
61] [Fig. 62] Diane. Diane, belle, chaste et sévère, était
sœur
d’Apollon. Jupiter composa son cortège de soixant
n n’était point Diane proprement dite, mais Phébé ou la Lune ; car la
sœur
d’Apollon avait trois fonctions, trois séjours et
tinction, pour tous les genres de poésie. C’est que les Muses étaient
sœurs
, et que les arts relèvent tous des mêmes principe
use. [Fig. 93] Jason et les Argonautes. Phryxus et Hellé, sa
sœur
, ne pouvant souffrir les mauvais traitements d’In
e Phénicie, avait été envoyé par son père à la recherche d’Europe, sa
sœur
, enlevée par Jupiter, avec ordre de ne point reve
la vie pastorale, qui porta depuis le nom de la nymphe. Phaéton. —
Sœurs
de Phaéton, et Cycmes, son ami. Phaéton était
(le Pô), fleuve d’Italie. Les Héliades, Phaétuse, Lampéthie et Phœbé,
sœurs
de Phaéton, affligées de la mort de leur frère, a
où il se regardait sans cesse dans les eaux du Styx. Les Naïades, ses
sœurs
, le cherchèrent longtemps et apprirent d’une nymp
Térée. Ne pouvant supporter l’ennui d’être si longtemps séparée d’une
sœur
qu’elle aimait tendrement, elle pria son mari de
Philomèle. Mais, pendant le retour, ce prince infâme osa outrager la
sœur
de son épouse, et, dans la crainte qu’elle ne s’e
an dans sa cruelle captivité, lorsqu’elle réussit à faire passer à sa
sœur
une tapisserie sur laquelle était tracée l’histoi
les champs, elle se mêle aux Bacchantes, les conduit au château où sa
sœur
était renfermée, délivre Philomèle et l’amène au
villes s’emporta Dans les bois qu’habitait la triste Philomèle. « Ma
sœur
, lui dit Progné, comment vous portez-vous ? Voici
as. — Et c’est le souvenir d’un si cruel outrage, Qui fait, reprit sa
sœur
, que je ne vous suis pas : En voyant les
roi d’Émathie, avait neuf filles, qui se prétendaient supérieures aux
sœurs
d’Apollon dans la musique et dans la poésie. Elle
du Soleil, qui venait la visiter sous la forme d’une colombe. Clytie,
sœur
de Leucothoé, en conçut de la jalousie, et alla r
en conçut de la jalousie, et alla révéler à son père le secret de sa
sœur
. Orchame ordonna que Leucothoé fût enterrée vive
elle-même métamorphosée en lotos. Elle n’a que le temps d’appeler sa
sœur
pour prendre l’enfant, qui aurait été enfermé ave
de la Nue. 34. Méduse, une des Gorgones. Ces Gorgones étaient trois
sœurs
, filles du dieu marin Phorcus et de Céto, qui hab
ices et des épigrammes mordantes. § 3. Cybèle. Cybèle ou Rhéa,
sœur
et femme de Saturne, a plusieurs noms chez les po
Arcadie, en Égypte, en Assyrie et ailleurs. § 5. Junon. Junon,
sœur
et femme de Jupiter, était la reine des dieux, la
s conditions ; et Mélampe ayant réussi épousa la plus belle des trois
sœurs
. Le culte de Junon était universel, et la plus gr
e ou qu’il laisse diriger par Bellone. Bellone, déesse de la guerre,
sœur
de Mars, préparait le char de ce dieu lorsqu’il a
aquit dans l’île de Délos, une des Cyclades ; sa mère fut Latone ; sa
sœur
Diane. Le premier usage qu’Apollon fit de ses flè
e et gémissante, Ariane qui se reprochait d’avoir quitté un père, une
sœur
, une patrie pour un volage amant ; Ariane qui n’a
t des vents et de la foudre, tourbillonne et tombe dans l’Éridan. Ses
sœurs
ne peuvent commander à leur désespoir et sont cha
aveugle condescendance. § 15. Diane. Diane, fille de Latone et
sœur
d’Apollon, présidait à la chasse. Vouée à ce mâle
ont voici l’origine : Érigone, fille d’Icarius roi de Laconie, était
sœur
de Pénélope, et avait, comme elle, un caractère t
jà il marquait de l’œil sa première victime, lorsque soudain ces neuf
sœurs
prennent des ailes, s’envolent et fuient avec la
ent, et de leur victoire sur les filles de Piérus ; tantôt les Doctes
Sœurs
, les Nymphes de la double colline, les Filles de
rs, les Nymphes de la double colline, les Filles de Mémoire, les Neuf
Sœurs
. — On les représente jeunes, belles, modestes, vê
mier, et se tenant par la main : Les Muses, filles du Ciel, Sont des
sœurs
sans jalousie ; Elles vivent d’ambroisie, Et non
sis tourne le fuseau où vient s’enrouler le fil que lui a transmis sa
sœur
; Atropos, la plus âgée, l’œil morne et attentif,
grand crime, et que son devoir est d’apaiser le courroux des nymphes,
sœurs
d’Eurydice ; qu’il faut dresser devant la porte d
ttue. A ce bruit les autres Gorgones réveillées voulurent venger leur
sœur
; mais Persée se déroba à leur poursuite par le m
au, enleva Europe, Agénor envoya aussitôt Cadmus à la recherche de sa
sœur
, avec défense de reparaître sans elle au palais.
revenue de son délire, connut l’énormité de son crime, et se tua. Les
sœurs
de Méléagre ne parent se résoudre à quitter le co
aux attaques des rois voisins. Il quitta donc la Lydie avec Niobé sa
sœur
, et se retira en Grèce, où il demanda en mariage
le ; et nul d’entr’eux n’osa violer cette défense. La seule Antigone,
sœur
de Polynice, moins sensible à la crainte de mouri
était restée à Mycènes, auprès de Clytemnestre sa mère, avec ses deux
sœurs
et le jeune Oreste. Pour la faire venir au camp,
son âge tendre, aurait éprouvé peut-être le même sort, si Électre, sa
sœur
, ne l’eût envoyé clandestinement à la cour de Str
tence de mort et un prompt supplice. Iphigénie, fille d’Agamemnon et
sœur
d’Oreste, était alors prêtresse du temple : Diane
la supplie de répondre ; elle s’explique ; il reconnaît en elle cette
sœur
aînée qu’il croyait morte depuis vingt ans. Dès c
e romain61. § 24. Didon. Didon, fille de Bélus, roi de Tyr, et
sœur
de Pygmalion, épousa Sicharbas ou Sichée, grand-p
e meurtre, flattant par des récits mensongers les appréhensions de sa
sœur
. Mais, une nuit, l’ombre de Sichée apparut en son
urpré. § 3. Europe. Europe, fille d’Agénor roi de Phénicie, et
sœur
de Cadmus, était d’une beauté éclatante. Jupiter
étestait la famille de Cadmus depuis que Jupiter avait enlevé Europe,
sœur
de ce prince, ne put voir avec indifférence la pr
ourse, et il les perça de ses flèches. A cette affreuse nouvelle, les
sœurs
de ces princes accoururent tout éplorées sur les
u’un matin elle dit à son époux : « Si vous m’aimez, permettez que ma
sœur
Philomèle, dont je suis séparée depuis si longtem
ant ; ses instances sont mêlées de sanglots. Philomèle, qui chérit sa
sœur
, et qui ignore ce qui se passe dans l’âme de son
in qu’elle le voit paraître, s’élance au-devant de lui, et demande sa
sœur
. Il ne répond que par des gestes et des soupirs a
t un enthousiasme surnaturel, et les conduisit au vieux château où sa
sœur
était captive. Les portes en sont brisées, et le
prison, revêt un costume de bacchante, et arrive en même temps que sa
sœur
au palais du roi. Pendant que Progné roule dans s
ri de désespoir, et prend son épée, dont il veut frapper les cruelles
sœurs
; mais elles fuyaient si rapidement qu’elles semb
qui elle doit tant d’hommages et de libéralités. Elle questionne ses
sœurs
, ses amies, ses esclaves, sans rien apprendre. Le
tels ! » Le prince persistait à demeurer invisible. De leur côté, les
sœurs
de Psyché, jalouses de son bonheur et de la préfé
contre son bienfaiteur. « Craignez, lui disaient-elles, craignez, ma
sœur
, d’être tôt ou tard victime de votre sécurité. Sa
r est mon amant ! Et c’est là le monstre que je redoutais, et que mes
sœurs
m’avaient peint avec de si affreuses couleurs ! C
e la mort. Trompe la fureur de ton beau-père ; échappe à mes barbares
sœurs
, qui, dans ce moment, assassinent chacune leur ép
édie de Phèdre ; c’est Phèdre qui parle (act. I, sc. 5) : Ariane, ma
sœur
, de quel amour blessée, Vous mourûtes aux bords o
), Théramène dit à Hippolyte, en parlant d’Aricie : Jamais l’aimable
sœur
des cruels Pallantides Trempa-t-elle aux complot
an de Psyché. 69. Procris était fille d’Érechthée roi d’Athènes, et
sœur
d’Orithyie, dont nous avons parlé, page 78 [= sec
l fut devenu grand ? R. Il détrôna Saturne son père, épousa Junon sa
sœur
, et partagea l’empire du monde avec ses deux frèr
étoit-elle fille ? R. Junon étoit fille de Saturne et de Cybèle, et
sœur
de Jupiter, qui se transforma en un oiseau pour l
Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, » Moi, l’épouse, la
sœur
du plus puissant des dieux, » Armant contre un se
dévorant ses propres membres. Les Dryades pleurant la perte de leur
sœur
, Et leurs bois dépouillés de leur antique honneur
liers et des tourterelles. D. L’enfer ne compte-t-il pas trois autres
sœurs
parmi ses déesses ? R. Oui : ce sont les trois P
déesses ? R. Oui : ce sont les trois Parques, appelées, quelquefois
Sœurs
filandières. Elles étoient filles de l’Erèbe et d
u, Des sanguinaires Danaïdes Châtiment à jamais nouveau : En vain ces
sœurs
veulent sans cesse Remplir la tonne vengeresse, M
ble ; Leur figure diffère, et pourtant se ressemble ; Elle sied à des
sœurs
. La Terre offre à la fois Ses hameaux, ses cités,
coup de foudre le fils du Soleil, et le précipite dans l’Éridan. Ses
sœurs
, les Héliades, inconsolables de la mort de leur f
étoit-elle fille ? R. Diane étoit fille de Jupiter et de Latone, et
sœur
d’Apollon ; on là nommoit Lune dans le ciel, Dian
omone, Et mille fruits délicieux Brillent sur le sein de l’Automne. O
sœur
aimable du Printemps ! Tu viens acquitter ses pro
? R. Les compagnes de la nymphe Echo prièrent l’Amour de venger leur
sœur
, des mépris de Narcisse. L’Amour les exauça. Il c
nger des cieux ; Elle aime à publier les foiblesses des dieux : Digne
sœur
des géants qu’écrasa leur tonnerre, Son front est
ellone. D. Qu’étoit Bellone ? R. Bellone, déesse de la guerre, étoit
sœur
de Mars. C’étoit elle qui atteloit les chevaux de
D. Faites-nous connoître les Gorgones. R. Les Gorgones étoient trois
sœurs
, filles de Phorcus, dieu marin, et de Céto. Elles
ête de la toison d’or. De retour dans leur patrie, ils reprirent leur
sœur
Hélène qui avoit été enlevée par Thésée. Castor f
Opis aux yeux pleins de douceur, Et Clio toujours fière, et Béroë sa
sœur
, Toutes deux se vantant d’une illustre origine, É
ces sanglots, Montre ses blonds cheveux sur la voûte des flots. O ma
sœur
! tu sentois de trop justes alarmes ; Ton fils, t
e. Et vous, reines des eaux, protectrices des bois, Entendez-moi, mes
sœurs
. Elle dit, et trois fois Le feu sacré reçut la li
a toison de ce bélier étoit dorée. Phryxus, fils d’Athamas, et Hellé,
sœur
du jeune prince, ayant pris la résolution de s’en
r, roi des Phéniciens. Jupiter, transformé en taureau, enleva Europe,
sœur
de Cadmus. Agénor enjoignit à son fils, d’aller l
i de Thrace. Au bout de cinq ans, elle desira de revoir Philomèle, sa
sœur
, qu’elle aimoit tendrement. Elle pria Térée de pa
on épouse, que Philomèle étoit morte dans le voyage. Progné pleura sa
sœur
, et lui fit élever un monument. D. Comment le cri
toit réduite. Elle trouva le moyen de faire passer la tapisserie à sa
sœur
. Progné différa sa vengeance jusqu’aux fêtes de B
usieurs dames habillées en bacchantes, et se rendit à la prison de sa
sœur
qu’elle délivra. La vue de l’état où Térée avoit
s villes s’emporta Dans un bois où chantoit la pauvre Philomèle. « Ma
sœur
, lui dit Progné, comment vous portez-vous ? Voici
s. — Et c’est le souvenir d’un si cruel outrage, Qui fait, lui dit sa
sœur
, que je ne vous aime pas : En voyant l
et plus fier que jamais. ( Racine.) D. Que raconte-t-on d’Antigone,
sœur
d’Étéocle et de Polynice ? R. Après la mort d’Ét
on frère. Créon la condamna à être enterrée toute vive. Ismène, autre
sœur
d’Étéocle et de Polynice, déclara qu’elle avoit a
rincesse Ménélas prit-il pour épouse ? R. Il épousa la belle Hélène,
sœur
de Clytemnestre, et succéda à son beau-père Tynda
il devoit aller en Tauride enlever la statue de Diane, et délivrer sa
sœur
Iphigénie. Pylade, fils de Strophius, roi de Phoc
de Diane, et revinrent dans la Grèce avec Iphigénie. Oreste donna sa
sœur
Électre en mariage à Pylade ; ensuite il épousa H
en fleuve. Galatée se jeta dans la mer, et rejoignit les Néréides ses
sœurs
. Cette nymphe parle ainsi, dans Ovide : O Vénus
.) D. Quel fut le sort d’Hécube ? R. Hécube, épouse de Priam, étoit
sœur
de Théano, prêtresse d’Apollon. Elle eut cinquant
e, qui lui pardonna son infidélité. D. Quel fut le sort de Cassandre,
sœur
de Pâris et d’Hector ? R. Cassandre obtint d’Apo
sassina Sichée au pied des autels. Il cacha long-temps son crime à sa
sœur
. Mais Sichée, privé des honneurs de la sépulture,
ût, Grâce à votre raison et grâce à ma folie, Vous verrez, ma
sœur
, que par-tout Nous passerons de compagnie
e, Pour égaler l’animal en grosseur, Disant : regardez bien, ma
sœur
, Est-ce assez ? dites-moi, n’y suis-je point enco
Une fourmi s’étoit nichée. D’où viens-tu ? lui cria sa
sœur
, Et que fais-tu si haut perchée ? —
oit fils de Layus3, roi de Thèbes, et de Jocaste, fille de Ménécée et
sœur
de Créon. L’Oracle ayant prédit à Layus qu’il pér
leva Ariane qu’il abandonna dans l’île de Naxos, et il épousa Phèdre,
sœur
de cette Princesse. Les anciens, dans la Fable et
différemment cette fable et de la manière suivante : Lorsque les deux
sœurs
d’Alceste, trompées par Médée eurent tué leur pèr
fice solennel fait aux autres Dieux ; Apollon appaisa la colère de sa
sœur
qui depuis ce temps s’unit à lui pour protéger Ad
e Prince se consumoit et périt enfin, Althée se tua de désespoir. Les
sœurs
de Méléagre pleurèrent tant sa mort, que les Dieu
a liberté par le sacrifice de sa ceinture, et Thésée emmena Hypolite,
sœur
de la Reine, à laquelle on donna le nom d’Antiope
Princesse épousa Thésée et elle en eut le chaste Hypolite. Une autre
sœur
de la Reine des Amazones se rendit dans l’Attique
des Amazones se rendit dans l’Attique avec une armée pour délivrer sa
sœur
Antiope ; l’armée des Amazones fut défaite, Antio
ne compassion qui l’outrageoit, les changea en rochers. Phrixus et sa
sœur
Hellé, forcés de fuir la maison paternelle, se ré
, s’appela d’abord Podarcès, qu’il fut emmené captif en Grèce avec sa
sœur
Hésione, qu’il fut racheté, retourna dans sa patr
la conduisit à Troie. Hélène étoit fille de Léda (femme de Tyndare,)
sœur
de Clytemnestre et de Castor et Pollux. Elle étoi
or et Pollux firent une irruption dans l’Attique pour redemander leur
sœur
; Thésée et Pyrithoüs étoient absens. Académus le
cadémus les conduisit dans la retraite d’Hélène23, ils reprirent leur
sœur
qu’ils emmenèrent à Sparte avec Ethra qu’ils fire
sa Clytemnestre, et son frère Ménélas Roi de Lacédémone épousa Hélène
sœur
de Clytemnestre. Pâris ayant enlevé Hélène, Agame
i mit la couronne sur la tête. Oreste alors étoit enfant. Electre, sa
sœur
ainée, trouva le moyen de le soustraire à la rage
n qui lui ordonna d’aller en Tauride enlever la statue de Diane et sa
sœur
Iphigénie, qui, jadis enlevée par la Déesse, avoi
s à la fois la mort et mon ami ?… Oreste s’étant fait connoître à sa
sœur
, celle-ci fit adroitement suspendre le sacrifice,
deux amis en emportant la statue de la Déesse. Pylade épousa Electre,
sœur
et libératrice de son ami. Euripide a fait une tr
ixer près d’eux. Les anciens avoient fait de la Violence, une Déesse,
sœur
de la Victoire. L’Histoire. Fille du Temps
fils de Latone Tient son empire, et du haut de son trône Dicte à ses
sœurs
les savantes leçons Qui de leurs voix régissent t
dmus dirigea son voyage vers la Grèce. Dans l’espoir de rencontrer sa
sœur
, il consulta l’oracle d’Apollon qui lui répondit
e sa nouvelle forme ! En vain elle se présenta devant son père et ses
sœurs
qui ne cessaient de pleurer sa perte ; ils ne pur
atale colère ! Dans quels égarements vous jetâtes ma mère… Ariane, ma
sœur
, de quel amour blessée, Vous mourûtes aux lieux o
it toujours accompagnée des Grâces. Les Grâces. C’étaient trois
sœurs
, divinités bienfaisantes, jeunes, riantes, et par
Vains discours ! la jeune épouse ayant reçu dans son palais ses deux
sœurs
, jalouses en secret de sa félicité, elles lui don
titres ; « Et vos décisions font tomber un auteur, « Eût-il, avec ses
sœurs
, Phébus pour protecteur. « Dans ces chants que mo
soin de l’en retirer, et lui élevèrent un tombeau sur le rivage. Ses
sœurs
, instruites de son malheur, coururent de tout côt
nesse, furent aisément conduits à considérer la lune comme une femme,
sœur
du dieu qui dirigeait le flambeau du jour. Diane,
r dans le sein des animaux. Actéon. La sévérité de mœurs dont la
sœur
d’Apollon se faisait gloire, fut quelquefois port
ajoute que le dieu Pan, transformé en un bélier blanc, sut attirer la
sœur
d’Apollon dans une forêt, et qu’il reprit sa form
le de Délos où elle naquit ; et Phébé, quand on la considère comme la
sœur
d’Apollon ou Phébus son frère. Le plus riche et l
’asile où tu me fuis est le sacré vallon, Et je sens que Diane est la
sœur
d’Apollon. Huitième entretien. Dans l’Oly
uelle heureuse cadence ! « Non, le dieu du Parnasse, entouré des neuf
Sœurs
, « Ne frappe point les airs de pareilles douceurs
pé à faire de tristes tissus. Méduse. Les Gorgones étaient trois
sœurs
, filles de Phocrys, dieu marin, et de Céto, fille
était gardée par les Grées, monstres épouvantables ; c’étaient trois
sœurs
qui n’avaient à elles trois qu’une dent et un œil
Bacchus aima avec tendresse la jeune Érigone, fille d’Icarius, et
sœur
de Pénélope. Modèle de piété filiale, cette princ
ès que Thésée l’eut abandonnée dans l’île de Naxos pour suivre Phèdre
sœur
de cette princesse. Le fils de Sémélé fit présent
et des moissons, était fille de Saturne et de Rhée, et par conséquent
sœur
de Jupiter. A peine fut-elle née qu’elle se plut
e dans vie groupe horrible placé à la porte des Enfers, étaient trois
sœurs
, filles du fleuve Achéron et de la Nuit : leurs n
fureur qu’elles excitaient dans l’esprit des criminels. Ces terribles
sœurs
étaient les ministres des vengeances célestes. On
rois juges inflexibles, est la demeure des Parques ; elles sont trois
sœurs
, filles de la Nuit. On les voit sans cesse occupé
plus sublimes concerts, sous la présidence d’Apollon. Elles sont neuf
sœurs
, filles de Jupiter et de Mnémosyne, ou la Mémoire
ne avait une nymphe, fille de l’Océan et de Téthys, et par conséquent
sœur
des Fleuves. C’était sur le bord des fontaines qu
x des immortels, naquirent de l’union de Jupiter et de Latone. Junon,
sœur
de Jupiter, ne fut donc que la septième de ses fe
uze divinités. Jupiter le présidait. A côté de lui siégeait Junon, sa
sœur
et son épouse ; Neptune, dieu des mers, Mercure,
de Junon. Junon, Héré chez les Grecs, fille de Saturne et de Rhée,
sœur
de Jupiter, fut la principale épouse de ce dieu ;
e d’Apollon. Latone, fille de Céus, un des Titans, et de Phébé, sa
sœur
, devait être mère d’Apollon et de Diane. Dès lors
llations. Diane. Naissance et attributs de Diane. Diane,
sœur
d’Apollon, fille de Jupiter et de Latone, témoin
agique, et mérite d’être racontée avec quelques détails. « Ces trois
sœurs
, filles d’un roi d’Orchomène, en Béotie, se nomma
chus entre, et sa cour, confus et long cortége « Où sont, dit-il, ces
sœurs
à la main sacrilége ? Que Pallas les défende et v
r, Ailés, noirs et velus, en un coin s’attacher. On cherche les trois
sœurs
, on n’en voit nulle trace. Leurs métiers sont bri
ls d’Uranus et de Titéa, et tous deux Titans. Océan épousa Téthys, sa
sœur
, et de leur union naquirent les Océanides, Nymphe
à la main. A côté de lui on voit un monstre marin. Téthys, épouse et
sœur
d’Océan, représente la mer Méditerranée, et leur
les Néréides. Nérée, fils de l’Océan et de Téthys, épousa Doris sa
sœur
, dont il eut cinquante filles, les Néréides, nymp
Nuit, ou, suivant quelques poëtes, de Jupiter et de Thémis. Ces trois
sœurs
présidaient à la naissance et à la vie des hommes
rent, une seule désobéit ; ce fut Hypermnestre, qui sauva Lyncée. Ses
sœurs
ne survécurent pas longtemps à leur crime, et all
oi avec le dieu Mars. Les Grecs l’appelaient Ényo : on la fait tantôt
sœur
et tantôt femme de Mars. Elle attelait le char de
e diamant. Le jeune héros ainsi équipé alla d’abord auprès des Grées,
sœurs
des Gorgones, qui n’avaient entre elles qu’une de
ndonna la première dans l’île de Naxos. Il aurait pu laisser les deux
sœurs
sur le même rocher, mais il emmena Phèdre à Athèn
hénicie, frère d’Europe, fut envoyé par son père à la recherche de sa
sœur
. Après bien des poursuites inutiles, il s’arrêta
ause de la guerre de Troie. Hélène était fille de Jupiter et de Léda,
sœur
de Clytemnestre, de Castor et de Pollux. Sa surpr
es ; mais elles cessèrent enfin de l’agiter, lorsqu’il eut délivré sa
sœur
Iphigénie, devenue prêtresse de Diane en Tauride,
ls de cette déesse. Oreste fit épouser à Pylade, son ami, Électre, sa
sœur
, et prit pour femme Hermione, fille d’Hélène et d
a, selon les uns, ou de Jupiter et de Junon, selon d’autres, eut pour
sœur
et pour femme Isis. Ce couple céleste parut sur l
, d’Orphée et d’Euridice, de Léandre et de Héro, de Phaéton et de ses
sœurs
, de Cynireet de Myrrha, d’Adonis, de Biblis et de
ar le sang de la tête coupée de Méduse, et l’ambre par les larmes des
sœurs
de Phaéton. Les îles, les montagnes, les rochers,
du Chaos ; le plus ancien des Dieux ; il eut pour épouse la Terre, sa
sœur
, appelée Ghé ou Titéa, nom qui signifie : nourric
et Junon. Jupiter, fils de Saturne et de Rhéa, épousa Junon sa
sœur
, détrôna son père et devint maître souverain des
lui qui remportoit le prix, jouissoit de grandes prérogatives. Junon,
sœur
et épouse de Jupiter, étoit Déesse des richesses
existoit avant tout et même avant les Dieux ; il s’unit à la Nuit, sa
sœur
, et de cet hymen, suivant quelques auteurs, naqui
versement quelques-unes de ces malheureuses filles ; il laissa à deux
sœurs
de la maison des Ocellates la liberté de choisir
dit les jeux et les spectacles. Domitien, qui avoit condamné les deux
sœurs
des Ocellates, accusa encore la vestale Cornelia,
Urbinia, Marcia, Licinia, Emilia, Mucia, Veronilla, Cornelia, et deux
sœurs
de la maison des Ocellates. Quelques-unes d’entre
l’humanité qui pourroit voir sans respect et sans attendrissement une
Sœur
de la Charité ? Vénus et Vulcain. Vénus
lone. Déesse du carnage, étoit fille de Phorcys et de Céto, et
sœur
ou femme de Mars25 ; c’est elle qui atteloit les
On la représente portée sur l’arc-en-ciel. La Fable donne d’horribles
sœurs
à cette Déesse, elle dit que les Harpies sont fil
Diane. Déesse de la chasse, fille de Jupiter et de Latone, et
sœur
d’Apollon. Considérée comme la Lune, elle s’appel
artifice, en la séduisant sous la figure d’Eurinome sa mère. Clitie,
sœur
de Leucothoë et sa rivale, découvrit cette intrig
les coursiers, mit le feu à la terre et fut foudroyé par Jupiter. Ses
sœurs
, Phaétuse, Lampétie et Lampétuse, furent inconsol
d’Esculape, avoit une profonde connoissance de la médecine. Angitia,
sœur
de Médée, habitoit, près du lac Fucin, un bois qu
sanias conte différemment cette fable : selon lui, Narcisse avoit une
sœur
jumelle qui lui ressembloit parfaitement et qu’il
jours sur le bord d’une fontaine, à se contempler, croyant revoir sa
sœur
. Ce fut là que le vit la nymphe Écho et qu’elle p
Les Sirènes, filles du fleuve Achéloüs et de Calliope, étoient trois
sœurs
, Thelxiope ou Parthénope, Molpadie et Pisinoë. C’
ait, dès leur naissance, tous ses enfants mâles. Cependant Cybèle, sa
sœur
, qu’il avait épousée, parvint à soustraire trois
tan exigea-t-il de Saturne en lui cédant ses droits ? Quelle était la
sœur
et en même temps l’épouse de Saturne ? Quelle rus
ne songea plus qu’à gouverner en paix l’univers. Il épousa Junon, sa
sœur
, dont il eut Hébé et Vulcain. II. eut encore plus
on. Junon était fille de Saturne et de Cybèle. Quoi qu’elle fût la
sœur
de Jupiter, elle devint néanmoins son épouse16. S
guerre ; dans Sophocle il est aussi le dieu de la peste. Bellone, sa
sœur
conduisait son char ; la Terreur et l’Effroi, ses
le. Le malheureux. Penthée tomba sous les coups de ses tantes, de ses
sœurs
, de sa mère elle-même, qui le mirent en pièces. L
r travail ordinaire pendant les fêtes consacrées à Bacchus, les trois
sœurs
furent changées en chauves-souris et leur ouvrage
éan et Téthys, enfants d’Uranus et de Titéa. Océan épousa Téthys36 sa
sœur
. De cette union naquirent les Océanides, ou Nymph
de la mer ? Avec quelle autre déesse ne faut-il pas confondre Téthys,
sœur
et épouse de l’Océan ? Quelle différence doit-on
rent ; une seule y manqua, ce fut Hypermnestre, qui sauva Lyncée. Ses
sœurs
reçurent la juste punition de leur crime : elles
ivinisée par eux. Les Grecs et les Romains lui élevèrent des temples.
Sœur
du Sommeil, qui suspend nos peines, et de la Mort
venger des cieux Elle aime à publier les faiblesses des dieux : Digne
sœur
des Géants qu’écrasa leur tonnerre, Son front est
102. La Discorde. — Bellone. La Discorde était fille de la Nuit et
sœur
de Némésis, des Parques et de la Mort. Jupiter la
z les Romains, était appelée Enyô (qui tue) par les Grecs. Elle était
sœur
ou femme de Mars et préparait le char de ce dieu
prend son essor travers les airs et arrive d’abord chez les Grées51,
sœurs
des Gorgones, et qui n’avaient, comme elles, qu’u
ers ce pays, situé au delà de l’Océan occidental. Il trouve les trois
sœurs
endormies. Comme il aurait été infailliblement pé
se qu’il subit le châtiment du crime auquel il a pris part, et, comme
sœur
d’Eétès, elle refuse de l’en purifier. Bientôt il
lle a donné son nom. Cadmus, envoyé par son père à la recherche de sa
sœur
, consulta, après bien des courses inutiles, l’ora
ère, fut enterrée toute vive. Ismène ne survécut pas à la perte de sa
sœur
. Hémon, fils du roi, qui devait épouser Antigone,
de ses premiers rois ? De qui Cadmus était-il fils ? Quelle était sa
sœur
? Comment et par qui fut-elle enlevée ? Que répon
sione, fille du roi. Priam lui-même avait été emmené en Grèce avec sa
sœur
, et n’avait dû sa liberté qu’à une forte rançon64
Osiris, fils de Kronos ou Saturne et de Rhéa, eut pour femme Isis, sa
sœur
. Descendus du ciel sur la terre, les deux époux r
erait la couronne et la vie. En vain il fait égorger sept fils que sa
sœur
met au monde, un huitième naît sous le nom de Cri
e les fait naître de la Terre et des Ténèbres ; Epiménide les suppose
sœurs
de Vénus et des Parques, et filles de Saturne et
sus. 16. Dans les premiers âges du monde le mariage entre frère et
sœur
était permis. 17. Suivant une autre tradition, l
re (contenir sa fougue). 51. Grées, en grec, signifie vieilles : ces
sœurs
étaient ainsi nommées, parce qu’elles étaient née
mble, Leur figure diffère, et pourtant se ressemble ; Elle sied à des
sœurs
. La terre offre à la fois, Ses hameaux, ses cités
Pivert. Mars est toujours représenté armé de pied-en-cap. Bellone, sa
sœur
, qui préside également aux combats, lui attelait
omone, Et mille fruits délicieux Brillent sur le sein de l’Automne. O
sœur
aimable du Printemps ! Tu viens acquitter ses pro
Et dans ses mains brille un sceptre d’opale. Imbert 69. Diane,
Sœur
d’Apollon. Elle présidait à la Chasse. Dévou
rement, eut d’elle les neuf Muses. Mnémosyne accoucha des immortelles
Sœurs
, sur le mont Piérius. De la Patrie absente il
ses, Filles de Jupiter et de Mnémosyne. On les appelle les neuf
Sœurs
. Clio préside à l’Histoire et embouche la trompet
te flamme Que son aspect verse en mon ame) Dicte ses lois aux chastes
sœurs
; L’immortel laurier le couronne, Et sous ses doi
. Sous les traits de Lani, Terpsicore s’avance : D’Euterpe aimable
sœur
, comme Euterpe on l’encense, Et, mariant sa march
enger des Cieux ; Elle aime à publier les faiblesses des Dieux. Digne
sœur
des Géans qu’écrasa leur tonnerre, Son front est
Parques, Filles de l’Érèbe et de la Nuit. Ces trois infernales
Sœurs
ourdissaient la trame de la vie des hommes, dont
Doublement elle vous craignit, Et jetant son ciseau perfide, Chez ses
sœurs
elle s’en alla, Et pour vous le Trio fila Une tra
des ou Furies, Filles de l’Achéron et de la Nuit. Ces horribles
Sœurs
étaient au nombre de trois, Alecton, Tisiphone et
rs les ténèbres humides, Elles ont reconnu la Déesse : à sa voix, Ces
sœurs
avec respect se lèvent à la fois. Le lieu de leur
votre poison ; Périsse de Cadmus l’odieuse maison ! Junon aigrit ces
sœurs
devant qui l’Enfer tremble, Commandant, promettan
Opis aux yeux pleins de douceur ; Et Clio toujours fière, et Béroé sa
sœur
, Toutes deux se vantant d’une illustre origine, É
les sanglots, Montre ses blonds cheveux sur la voûte des flots : O ma
sœur
! tu sentais de trop justes alarmes ; Ton fils, t
: Et vous, Reines des eaux, protectrices des bois, Entendez-moi, mes
Sœurs
, elle dit : et trois fois Le feu sacré reçut la l
ils, le vengea par le sang de l’amante et de l’amant. É lectre à sa
sœur
Iphise. Je veux qu’il les écoute ; oui, je ve
que d’un vieux cerf elle pressait la fuite, Elle perça le sein de sa
sœur
Hippolyte. Bientôt l’infortunée expire dans ses b
rds, S’enflamment des fureurs de Bellone et de Mars. Au milieu de ses
sœurs
l’intrépide Amazone Brille de cet éclat dont Phéb
encieux. Deucalion soupire, et les larmes aux yeux, Il s’écrie : O ma
sœur
! ô ma femme ! ô seul reste D’un sexe submergé pa
qu’il expie. Autonoë, dit-il, par l’ombre d’Actéon, Au fils de votre
sœur
faites grace… A ce nom, Terrible, Autonoë prend l
Hercule se fut emparé de Troie, il fut emmené captif en Grèce avec sa
sœur
Hésione. Devenu libre dans la suite, il revint da
a à la fureur du monstre, et se sauva en Afrique avec Anne, sa tendre
sœur
. Elle s’y fit céder par Iarbe, Roi des Gétules, u
Hespérides, Filles d’Hesper ou Vesper. Elles étaient trois
Sœurs
, et se nommaient Eglé, Aréthuse et Hespéréthuse.
……… Narcisse inanimé, Sur le gazon épais, tombe et meurt consumé. Ses
sœurs
, en gémissant, préparent les guirlandes, Les feui
; Comment le fleuve alors l’arrêtant par son cours, Elle avait de ses
sœurs
imploré le secours, Comment prêt à saisir la Naïa
Pandion, Roi d’Athènes. Térée, Roi de Thrace, mari de Progné sa
Sœur
, lui coupa la langue après l’avoir outragée, et l
gnit sur une toile l’action barbare de Térée, et la fit parvenir à sa
sœur
. Progné vint à la tête d’une troupe de femmes le
des villes s’emporta Dans un bois où chantait la pauvre Philomèle. Ma
sœur
, lui dit Progné, comment vous portez-vous ? Voici
pas. Et c’est le souvenir d’un si cruel outrage, Qui fait, lui dit sa
sœur
, que je ne vous suis pas : En voy
indignée, et va dans sa fureur Implorer, sur le Cynthe, Apollon et sa
sœur
. Après l’indigne affront que l’on ose me fair
en arbre. Au moment de sa métamorphose, Dryope eut soin d’appeler sa
sœur
Iole, et de lui remettre son fils, qui, sans ce s
du Lotos avec sa malheureuse mère. Iole raconte les malheurs de sa
sœur
Dryope. Dryope, unique fruit de l’hymen de sa
sous ses doigts les deux sources qu’il presse. Quel spectacle ! O ma
sœur
! Je te perds pour toujours ; Je le vois, et ne p
ais m’y cacher avec elle, Heureuse, en ce tombeau, de me joindre à ma
sœur
. Cependant accourus au bruit de son malheur,
nte, Et pressent sous le tronc Dryope encor vivante. A peine, ô chère
sœur
! sous les rameaux épais, De ton visage encor je
ur ; Et des arbres sacrés qu’il respecte la fleur ! Cher époux, chère
sœur
, cher et malheureux père, Adieu ; mais si Dryope
lle était fille d’Echidna, monstre moitié femme et moitié serpent, et
sœur
du chien Cerbère, du lion Némée, et du Sphinx. La
N’aiment que les beautés sans masque ; Le luxe expire sous leurs pas.
Sœurs
aimables de la Nature, Elles se baignent dans ses
aient chez le noir Pluton : Les trois fileuses de nos vies, Les trois
Sœurs
qu’on nomme Furies Et les trois gueules de leur C
cette Raison pure, aimable, sensible, qui est fille de la Vérité, et
sœur
de la Philosophie. La première était sortie de l’
l’Abeille, Ou de caresser le Serpent. Cérutti 278. Imagination,
Sœur
du Génie. Riche, brillante, variée, elle ajo
cin, Architecte, berger, ménétrier, devin ; Il travailla toujours. Sa
sœur
, l’aventurière, Est Hécate aux Enfers, Diane dans
où me vient cet espoir qui poursuit un grand nom ? Disciples des neuf
Sœurs
, qui consolez la Terre, Césars, qui l’embrasez de
mble, Leur figure diffère, et pourtant se ressemble, On reconnoît des
sœurs
. La Terre offre à la fois, Ses hameaux, ses cités
Pivert. Mars est toujours représenté armé de pied-en-cap. Bellone, sa
sœur
, qui préside également aux combats, lui atteloit
omone, Et mille fruits délicieux Brillent sur le sein de l’Automne. O
sœur
aimable du Printems ! Tu viens acquitter ses prom
Et dans ses mains brille un sceptre d’opale. Imbert 69. Diane,
Sœur
d’Apollon. Elle présidoit à la Chasse. Dévou
massue, Voulut de peuplier avoir une statue ; Mais la
sœur
antique du Temps, La vieille Dyndimène, ou la bon
rement, eut d’elle les neuf Muses. Mnémosyne accoucha des immortelles
Sœurs
, sur le mont Piérius. De la Patrie absente i
ses, Filles de Jupiter et de Mnémosyne. On les appelle les neuf
Sœurs
. Clio préside à l’Histoire et embouche la trompet
te flamme Que son aspect verse en mon ame) Dicte ses lois aux chastes
Sœurs
; L’immortel laurier le couronne, Et sous ses doi
Sous les traits de Lani, Terpsicore s’avance : D’Euterpe aimable
sœur
, comme Euterpe on l’encense, Et, mariant sa march
Parques, Filles de l’Erèbe et de la Nuit. Ces trois infernales
Sœurs
ourdissoient la trame de la vie des hommes, dont
Doublement elle vous craignit, Et jetant son ciseau perfide, Chez ses
Sœurs
elle s’en alla, Et pour vous le Trio fila Une tra
s ou Furies, Filles de l’Achéron et de la Nuit. Ces horribles
Sœurs
étoient au nombre de trois, Alecton, Tisiphone et
iple voix, L’Enfer s’ouvre : Junon appelle les Furies. Ces exécrables
Sœurs
, d’elle, hélas ! trop chéries, Que rien ne peut f
, Et des fils de Cadmus renversons le palais. » Junon aigrit ces
Sœurs
sous qui tout l’Enfer tremble. Commandant, promet
Opis aux yeux pleins de douceur ; Et Clio toujours fière, et Béroé sa
sœur
, Toutes deux se vantant d’une illustre origine, E
les sanglots, Montre ses blonds cheveux sur la voûte des flots : O ma
sœur
! tu sentois de trop justes alarmes ; Ton fils, t
: Et vous, Reines des eaux, protectrices des bois, Entendez-moi, mes
Sœurs
, elle dit : et trois fois Le feu sacré reçut la l
que d’un vieux cerf elle pressoit la fuite, Elle perça le sein de sa
sœur
Hippolyte. Bientôt l’infortunée expire dans ses b
rds, S’enflamment des fureurs de Bellone et de Mars. Au milieu de ses
Sœurs
l’intrépide Amazone Brille de cet éclat dont Phéb
celles de Pyrrha en femmes. Deucalion à Pyrrha. O ma femme, ô ma
sœur
, compagne toujours chère, Toi que seule épargna l
nes : Exterminons le monstre : accourez, mes compagnes ; Frappez, mes
Sœurs
, frappez, qu’il meure sous nos coups ! Chacune fo
Hercule se fut emparé de Troie, il fut emmené captif en Grèce avec sa
sœur
Hésione. Devenu libre dans la suite, il revint da
a à la fureur du monstre, et se sauva en Afrique avec Anne, sa tendre
sœur
. Elle s’y fit céder par Iarbe, roi des Gétules, u
Hespérides, Filles d’Hesper ou Vesper. Elles étoient trois
Sœurs
, et se nommoient Eglé, Aréthuse et Hespéréthuse.
……… Narcisse inanimé, Sur le gazon épais, tombe et meurt consumé. Ses
Sœurs
, en gémissant, préparent les guirlandes, Les feui
Pandion, Roi d’Athènes. Térée, Roi de Thrace, mari de Progné sa
Sœur
, lui coupa la langue après l’avoir outragée, et l
gnit sur une toile l’action barbare de Térée, et la fit parvenir à sa
Sœur
. Progné vint à la tête d’une troupe de femmes le
villes s’emporta Dans un bois où chantoit la pauvre Philomèle. Ma
Sœur
, lui dit Progné, comment vous portez-vous ? Voici
pas. Et c’est le souvenir d’un si cruel outrage, Qui fait, lui dit sa
Sœur
, que je ne vous suis pas. En voya
dignée, et va, dans sa fureur, Implorer, sur le Cynthe, Apollon et sa
Sœur
. Après l’indigne affront que l’on a pu me faire,
’est trop, dit Apollon, c’est trop, n’achevez pas ; Je cours, avec ma
Sœur
, punir ces attentats. Soudain, voilant aux yeux A
en arbre. Au moment de sa métamorphose, Dryope eut soin d’appeler sa
sœur
Iole, et de lui remettre son fils, qui, sans ce s
nce, Est cueilli pour son fils, jouet de son enfance. J’étais avec ma
Sœur
, et j’alloîs l’imiter. Soudain je vois d’horreur
pelle envain des sucs dont la source est tarie. Quel spectacle ! ô ma
Sœur
, je te perds pour toujours. Je le vois, et ne pui
N’offensent les Sylvains sous l’écorce cachés. Cher Epoux, chère
Sœur
, cher et malheureux Père, Adieu !… Mais si Dryope
lle étoit fille d’Echidna, monstre moitié femme et moitié serpent, et
sœur
du chien Cerbère, du lion Némée, et du Sphinx. La
N’aiment que les beautés sans masque ; Le luxe expire sous leurs pas.
Sœurs
aimables de la Nature, Elles se baignent dans ses
oient chez le noir Pluton : Les trois fileuses de nos vies, Les trois
Sœurs
qu’on nomme Furies Et les trois gueules de leur C
cette Raison pure, aimable, sensible, qui est fille de la Vérité, et
sœur
de la Philosophie. La première étoit sortie de l’
l’Abeille, Ou de caresser le Serpent. Cérutti 294. Imagination,
Sœur
du Génie. Riche, brillante, variée, elle ajo
cin, Architecte, berger, ménétrier, devin ; Il travailla toujours. Sa
sœur
, l’avanturière, Est Hécate aux Enfers, Diane dans
où me vient cet espoir qui poursuit un grand nom ? Disciples des neuf
Sœurs
, qui consolez la Terre, Césars, qui l’embrasez de
r, roi de Crète, nommé aussi Cœlus ou Ouranos, avait épousé Titée, sa
sœur
, dont il eut des enfans, entre autres Saturne, qu
lympiques. Junon Junon, fille de Saturne et de Cybèle, était
sœur
de Jupiter et devint sa femme. Elle eut trois enf
Bellone, fille de Phorcys et de Céto, était, selon quelques-uns,
sœur
de Mars, et, selon d’autres, sa femme. On la rega
us remarquables sont Esculape, l’Aurore que d’autres lui donnent pour
sœur
, Phaéton, Aétès, Pasiphaé, Circé. Esculape, fils
eu qui embrasèrent plusieurs pays. Les Héliades Les Héliades,
sœurs
de Phaéton, furent tellement affligées du malheur
ine aimait, et dont Dédale favorisa la passion. Circé Circé,
sœur
de Pasiphaé, femme de Minos, passait pour être fi
itation de Junon, s’étant vantées de mieux chanter qu’elles, les neuf
Sœurs
acceptèrent le défi, les vainquirent, et leur arr
es bons conseils qu’on lui avait donnés. Apollon habite avec les neuf
Sœurs
les sommets du Pinde, du Parnasse et de l’Hélicon
Diane, déesse de la chasse, était fille de Jupiter et de Latone, et
sœur
d’Apollon. On la nommait Lune dans le ciel, Diane
Minerve, fit tous ses efforts pour mettre dans ses intérêts Aglaure,
sœur
d’Hersé. Elle lui promit de s’employer en sa fave
ce trafic honteux, ordonna à l’Envie de rendre Aglaure jalouse de sa
sœur
. Mercure, ne pouvant supporter les obstacles qu’e
de force, étaient filles de Thamas et d’Electre, fille de l’Océan et
sœur
d’Iris, ou, selon d’autres de Neptune et de la Te
é, Et son front monstrueux est orné de vipères. Rousseau. Ces trois
sœurs
sont vierges. On les dit filles de l’Achéron et d
ciseau détruirait le genre humain. Les poètes ont feint que ces trois
sœurs
présidaient à une filature universelle, dont elle
Laisser l’onde tranquille et leurs urnes oisives : J’ai vu les fières
sœurs
oublier leur devoir, Jusqu’au fond de ses eaux l’
honneurs divins. Fauna. — Sterculie Faune épousa Fauna, sa
sœur
. Il en eut d’abord un fils nommé Sterculie, de st
r de la gloire, d’aller faire la guerre aux Gorgones. C’étaient trois
sœurs
qui se nommaient Méduse, Stényo et Euryale ; elle
ollux, à la tête d’une armée, revinrent à Athènes pour reprendre leur
sœur
Hélène : cette guerre s’appela la guerre des Tynd
t enlevé cette princesse, Agénor ordonna à Cadmus d’aller chercher sa
sœur
par toute la terre, jusqu’à ce qu’il l’eût trouvé
on, pour l’en punir, défendit qu’on lui donna la sépulture. Antigone,
sœur
de Polynice, bravant la colère de Créon, fit rama
s avec une flotte pour se faire rendre Hésione. Cette princesse était
sœur
de Priam et tante de Pâris. Celui-ci alla droit à
tête. Oreste, fils d’Agamemnon, devait aussi périr ; mais Electre, sa
sœur
, le fit porter chez Strophius, son oncle, roi de
is avec la statue, qu’ils cachèrent dans un faisceau. Oreste donna sa
sœur
en mariage à Pylade ; lui-même épousa Hermione ;
ent de les retoucher, attentive à vous plaire : On dit qu’elle et ses
sœurs
par l’ordre d’Apollon, Transportent dans Anet tou
rquoi Saturne dévorait ses fils, aussitôt que Cybèle son épouse et sa
sœur
leur avait donné le jour. 2. Cette mère infortuné
poëtes l’ont-ils représenté ? Chapitre III. Cybèle. 1. Cybèle,
sœur
et femme de Saturne, donna naissance à plusieurs
ini les alliances de Jupiter. Ainsi, d’après leurs fictions, Junon sa
sœur
aurait été sa huitième épouse. Mais rien n’empêch
représenté ? Chapitre V. Junon. 1. Junon était l’épouse et la
sœur
de Jupiter, et à ce titre elle était honorée comm
es leçons aux neuf Muses, filles de Jupiter et de Mnémosyne. Ces neuf
sœurs
avaient chacune une science particulière. Calliop
ones, habitait dans les îles Gorgades, non loin du Cap-Vert, avec ses
sœurs
Sthéno et Euryale. Elles étaient si étroitement u
ment. Soudain Bacchus entre avec son cortége. « Où sont, dit-il, ces
sœurs
à la main sacrilége ? Que Pallas les défende et v
r, Ailés, noirs et velus, en un coin s’attacher. On cherche les trois
sœurs
; on n’en voit nulle trace. Leurs métiers sont br
. 2. De l’Océan et de Téthys naquit encore Nérée, qui épousa Doris sa
sœur
et en eut un grand nombre de filles, connues sous
dation morale. 5. La Force était fille de Thémis, ou de la Justice et
sœur
de la Tempérance. Son symbole était le lion, le r
aient en boitant et réparaient le mal produit par leur malencontreuse
sœur
. C’est, sous le voile ingénieux de l’allégorie, l
sité était une autre divinité inventée par le fatalisme. On la disait
sœur
du Destin et souvent même on la confondit avec ce
ès ses fictions, Phryxus, fils d’Athamas, roi de Thèbes, et Hellé, sa
sœur
, auraient fui les fureurs d’Ino, leur belle-mère.
sa délivrance, Thésée épousa Phèdre, fille de Pasiphaé et de Minos et
sœur
d’Ariane. Il mena un jour sa nouvelle épouse à Tr
s leur patrie, ils attaquèrent Thésée qui avait fait prisonnière leur
sœur
Hélène. Dans une émeute qui s’éleva à l’occasion
comme nous l’avons déjà dit, était une des trois Gorgones. Ces trois
sœurs
descendaient de Neptune par Phorcys et Céto, deux
Elle suppose qu’il fut envoyé par son père à la recherche d’Europe sa
sœur
, et que, ne pouvant la retrouver, il consulta l’o
trône usurpé, médita la mort d’Oreste, fils d’Agamemnon. Electre, la
sœur
d’Oreste, déjoua ce complot en envoyant secrèteme
e sort tomba sur Oreste. Il allait être immolé, lorsque Iphigénie, sa
sœur
, qui servait à l’autel, lr reconnut. Ils s’enfuir
. Oreste épousa Hermione, la fille de Ménélas, et Pylade, Electre, la
sœur
d’Oreste. 12. Pyrrhus, dans le partage des esclav
pe malfaisant, le roi de la mort et de la destruction, et Nephtys, sa
sœur
, la terre inféconde, la sécheresse et la stérilit
. Crissa, v. de la Grèce, 155. Cupidon, fils de Vénus, 57. Cybèle,
sœur
et ép. de Saturne, 14 ; son histoire, 17 et suiv.
gypte, 7,21. Egyptiens, leur mythol., 76, 177. Eira, 191. Electre,
sœur
d’Oreste, 149. Eléens, habitants de l’Elide, 157
Corinthe, 129. Gna, 191. Gorgades, îles de l’Océan, 44. Gorgones,
sœurs
issues de Neptune, 44, 127. Goutte, son culte ch
enfer des Indiens, 166. Naxos, île de la Médit., 52, 54. Nécessité,
sœur
du Destin, 100. Nectar, 86. Némée, forêt de l’A
engeance, 94. Néoptolème, ou Pyrrhus, fils d’Achille, 147. Nephtys,
sœur
de Typhon, 178. Neptune, fils de Saturne, 14 ; u
Junon. D. Qu’étoit Junon ? R. Junon, fille de Saturne et de Rhée,
sœur
et épouse de Jupiter, étoit la Reine des Dieux, e
érieux est bien peint dans ces vers de Lamotte : Moi, l’épouse et la
sœur
du maître du tonnerre ! Moi, la Reine des Dieux,
foudroya, et le, précipita dans le Pô ou l’Eridan. Les Héliades, ses
sœurs
, en eurent tant de douleur, qu’elles en devinrent
D. Sous combien de rapports peut-on considérer Diane ? R. Diane,
sœur
d’Apollon, fille de Jupiter et de Latone, est con
D. Qu’étoient les Parques ? R. Les Parques, quelquefois appelées les
Sœurs
filandières, étoient trois, Clotho, Lachesis et A
les Titans, etc. Autour d’une tonne percée Se lassent ces nombreuses
sœurs
, Qui, sur les frères de Lyncée, Vengèrent de foll
. Chante cette épouse empressée, Dont Minos condamna les
sœurs
, Qui, saintement parjure, osa sauver Lyncée,
nt de celle-ci par Jupiter, Agénor chargea Cadmus d’aller chercher sa
sœur
, et de ne pas revenir avant de l’avoir trouvée. A
avoir erré sur la terre et sur l’onde, Sans trouver Europe ma
sœur
; Après avoir en vain cherché son ravisseur, Le C
s se disputèrent long-temps la gloire de se sauver la vie. Iphigénie,
sœur
d Oreste, étoit Prêtresse de Diane ; elle reconnu
les chemins de la Grèce, Où mon crime par-là doit enfin s’effacer, Ma
sœur
, parmi nos Dieux nous irons la placer. (La Grange
derniers devoirs. Achille l’accorda, sur-tout aux larmes de Polixène,
sœur
d’Hector, dont la beauté avoit paru toucher son c
retient prisonnier sous son poids. Jupiter avait pour femme Junon, sa
sœur
; mais la Fable lui en donne en même temps plusie
présente-t-on ? IV. — Junon. Fille de Saturne et de Cybèle,
sœur
et épouse de Jupiter, Junon était la reine des Di
foudroie le malheureux Phaéton, et le précipite dans l’Éridan13. Ses
sœurs
, inconsolables, furent changées en peupliers, et
un air majestueux, et on la paraît de guirlandes de fleurs ; comme sa
sœur
Clio, elle portait une couronne de laurier, un li
e. — Comment représente-t-on Apollon ? VI. — Diane. Diane,
sœur
d’Apollon, fille de Jupiter et de Latone, avait t
é par deux chevaux qu’il dirige lui-même, ou qui sont conduits par sa
sœur
Bellone. Questions. Comment Mars vint-il au
sa tête, et qui menaçait de l’écraser. Les Danaïdes étaient cinquante
sœurs
, filles d’un roi d’Argos, qui épousèrent le même
Divinités infernales. Les Parques. Les Parques étaient trois
sœurs
nommées Clotho, Lachésis et Atropos, qui formaien
e les Gorgones, qui désolaient au loin les campagnes. C’étaient trois
sœurs
, filles de Phorcus, nommées Méduse, Euryale et St
la possédait. Voici quelle en était l’origine : Phrixus et Hellé, sa
sœur
, enfants d’Athamas, roi de Thèbes, voulant échapp
s Athéniens et s’emparèrent d’une ville où Thésée avait renfermé leur
sœur
Hélène, après l’avoir enlevée. Castor ayant été t
aître jamais en sa présence s’ils n’étaient parvenus à retrouver leur
sœur
. Après beaucoup de recherches inutiles, Cadmus al
ment de leurs épées, et tombèrent morts en même temps. Antigone, leur
sœur
, étant revenue à Thèbes, après la mort de son pèr
cule, Priam, fils du roi Laomédon, fut emmené captif en Grèce avec sa
sœur
Hésione. Rendu à la liberté, il monta sur le trôn
ues débris du temple célèbre qu’on y avait consacré à Apollon et à sa
sœur
. 11. Delphes, en Phocide, une des plus grandes v
aussitôt Charybde, cachée à ses pieds sous la mer : « Prépare-toi, ma
sœur
, les voici. » Aussitôt Charybde bondissait en tou
, les guettait, immobile et prête à les saisir s’ils échappaient à sa
sœur
. Aujourd’hui Charybde et Scylla ne font plus même
lle la vomit. » Scylla est un écueil à peu près inoffensif. Les deux
sœurs
du détroit ont perdu jusqu’à leur nom. Scylla s’a
x pieds du dieu son pâle feuillage. Le loup suit au pré la brebis, sa
sœur
. D’un pied aviné le vigneron danse Et fra
ter sur la grâce ; ils la demandaient aux dieux. Trois déesses, trois
sœurs
, la dispensaient aux hommes : Aglaé, la brillante
es Grâces. Alcibiade, en son temps, fut un heureux homme. Les divines
sœurs
lui avaient souri au berceau. Il était la joie du
as qu’on me plaise, je veux qu’on m’instruise. » Les Grâces ont des
sœurs
cadettes qui leur ressemblent comme Delille resse
on poétique. L’Hélicon, comme le Parnasse, était consacré aux divines
sœurs
. Au pied de la montagne, sur le bourg d’Ascra, el
ménage un enfer, est une Mégère. On a oublié que ces trois horribles
sœurs
jouaient, dans la religion païenne, un rôle augus
a licence , comme dit le vieux Régnier. Muses. Ce sont les neuf
sœurs
, à qui nous sommes redevables de l’invention des
e vivifiant de leurs ailes. Ils leur parlent, ils les appellent leurs
sœurs
, leurs fées bienfaisantes ; ils les invoquent, le
l’emporte sur Ciel et le détrône. Il prend sa place, épouse Rhéa, sa
sœur
, et dévore tous ses enfants mâles. Ce qui signifi
il, s’interrompe et dise à ses compagnes : — « Nous nous donnons, mes
sœurs
, une peine inutile : voilà plus de quinze levers
. MÉGÈRE. — Voir dans Virgile (Énéide, liv. VI) le rôle que les trois
sœurs
jouaient aux enfers. Notre aigle aperçu
e, dit-il, parcourt toute la terre avec une célérité incroyable ; ses
sœurs
, filles de Jupiter comme elle, et que l’on nomme
mais, étant malheureusement boiteuses, elles vont moins vite que leur
sœur
: ce qui signifie que le mal est toujours plus pr
é le reste du monde. L’Europe, disaient-ils, tirait son nom d’Europe,
sœur
de Cadmus ; ils ignoraient, selon Bochart, que ce
dence, trouva le moyen de délivrer de leurs prisons ses frères et ses
sœurs
, avec lesquels il se réunit pour faire la guerre
chagrin. Saturne, devenu le maître d’un vaste empire, épousa Rhéa sa
sœur
, et prit avec le nom de roi la couronne et le dia
au fond de l’Espagne. Jupiter commença par délivrer ses frères et ses
sœurs
; ensuite il alla chercher les Titans dans le lie
Joupater et Jupiter. Devenu le maître d’un vaste empire, il épousa sa
sœur
, nommée Junon par les Romains, et que les Grecs a
le de Junon. Junon était fille de Saturne et de Rhéa ; elle était
sœur
de Jupiter, de Neptune, de Pluton, de Vénus et de
ches ; et Jupiter, à l’exemple de son père et de son aïeul, épousa sa
sœur
Junon. Les noces furent célébrées dans le pays de
aéton, et le précipita dans l’Éridan. Les Héliades, ses inconsolables
sœurs
, furent changées en peupliers, et leurs larmes en
te fable, en la rapprochant de l’histoire. Niobé, fille de Tantale et
sœur
de Pélops, suivit son frère lorsqu’il passa dans
uestion des Sibylles. Histoire de Diane ou la lune Diane était
sœur
d’Apollon, dieu du jour, et elle se nommait Phœbé
vent avec Pallas. Elle était fille de Phorcys et de Céto ; elle était
sœur
de Mars, et les anciens l’appelaient le plus ordi
nt pour former l’histoire de leur Vénus. La peinture et la sculpture,
sœurs
de la poésie, se crurent le droit d’imiter ses éc
eptune et d’une fille du géant Titye, qui s’appelait Europe, comme la
sœur
de Cadmus enlevée par Jupiter. Galatée, nymphe ma
d’une liqueur assoupissante. (Fig. 44.) La Mort, fille de la Nuit et
sœur
du Sommeil, est représentée sous la forme effraya
scription : A la plus belle. Nous avons déjà dit que les Prières, ses
sœurs
, courent après elle, pour réparer les maux qu’ell
r les maux qu’elle cause ; mais elles sont boiteuses, et leur cruelle
sœur
les devance toujours. De Comus et de Momus.
Toutes les recherches historiques sur l’antiquité prouvent qu’Europe,
sœur
de Cadmus, passa de la Phénicie dans l’île de Crè
ur le trône de Crète. Thésée lui envoya demander en mariage Phèdre sa
sœur
. Elle lui fut accordée ; mais le sang de Minos de
nnemis. Castor et Pollux vinrent à la tête d’une armée reprendre leur
sœur
Hélène. Cette guerre fut nommée des Tyndarides. P
time de la crédulité de ses filles ; Acaste, son fils, poursuivit ses
sœurs
jusque dans la cour d’Admète, où elles s’étaient
ver une partie des trésors de son père ; il se fit accompagner par sa
sœur
Hellé, et s’embarqua pour aller chercher un asile
yxus arriva heureusement chez Éétès, où il fit inhumer le corps de sa
sœur
; et il consacra la proue de son vaisseau à Jupit
ar reconnaissance, favorisa la passion que Jason conçut pour Médée sa
sœur
. Dans le même temps, Pélias, parent d’Athamas, go
pourrait le garantir de tous les périls. Médée, déjà prévenue par sa
sœur
Calciope en faveur de Jason, le rencontra dans le
qu’ils méritèrent de passer pour les fils de Jupiter. Ils eurent pour
sœurs
Hélène et Clytemnestre. La fable dit que Jupiter
nces prirent la ville d’Aphidnes, pour venger une injure faite à leur
sœur
. Ils se contentèrent de punir les coupables. Les
soutenir cet horrible spectacle : elle se donna la mort, et les deux
sœurs
de Méléagre moururent aussi de regret. On publia
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