d’Ossa haussé sur Pélion, Écrasèrent l’orgueil de leur rebellion. Du
sang
de ses enfans la terre au loin fumante Craignit d
n fumante Craignit de voir sa race avec eux expirante ; Elle anima ce
sang
dans ses flancs renfermé. Ainsi d’hommes nouveaux
s remparts de Priam, les Grecs et leurs navires, Et le glaive en leur
sang
ardent à se plonger. Son cœur impatient jure de l
a poussière, et la Terre est vengée, La Terre boit leur
sang
. O vous ! démons sortis des ténébreux royaume
chez les Romains. Nobles et Plébéiens, tout périt, et l’épée, Du
sang
universel horriblement trempée, Pénètre tous les
blement trempée, Pénètre tous les flancs et perce tous les seins : Le
sang
rougit la pierre, et souille les lieux saints. Le
d’odeurs la rive se parfume. La victime est frappée, et rougit de son
sang
Les couteaux que le prêtre enfonce dans son flanc
’avance entouré. Epanchés par ses mains, le lait, le vin sacré, Et le
sang
le plus pur ont humecté la terre. De fleurs il la
iens, Ils se frappent en nombre, et, joyeux dans leur guerre, De leur
sang
, l’un par l’autre, ils arrosent la terre. Heurtan
ans : Mais à leur fier instinct d’autres besoins commandent, C’est de
sang
qu’ils ont soif, c’est du sang qu’ils demandent.
d’autres besoins commandent, C’est de sang qu’ils ont soif, c’est du
sang
qu’ils demandent. Alors désespéré, sans amis, san
d’un air éperdu. Quel infortuné faut-il plaindre ? Ciel ! quel est le
sang
qui doit teindre Le fer qu’elle tient suspendu ?
ages et des prairies ; et d’Oréades à celles des montagnes. Jamais le
sang
ne teignit leurs autels. On leur offrait simpleme
mpler sur tes pas ce spectacle chéri, A nos membres sans force, à mon
sang
appauvri, Viens redonner un nouvel êtr
r ténébreux, Au milieu des mortels lève sa tête altière ; Il roule un
sang
épais de sa noire paupière ; Ses dents qui font h
t ton courage ? Viens ! Pluton à Pharsale apprête le carnage : Là, du
sang
des humains doit s’abreuver un Dieu. » La Discord
u loin la terre ; Et le sujet des rois, l’esclave des tyrans, De leur
sang
répandu confondaient les torrens. Enfin, entre le
camp à l’autre ; à peine on s’est mêlé, La vengeance s’est tue, et le
sang
a parlé. A ces traits jadis chers, à ces voix qu’
croit percer le flanc, L’autre égorger son frère, et rouler dans son
sang
. Enfin le jour renaît, et l’airain des batailles
ur fils l’époux de Rodogune, Et ne vois plus en lui les restes de mon
sang
, S’il m’arrache du trône et la met en mon rang.
mon sang, S’il m’arrache du trône et la met en mon rang. Reste du
sang
ingrat d’un époux infidelle, Héritier d’une flamm
er sa haine. Dût le peuple en fureur pour ses maîtres nouveaux De mon
sang
odieux arroser leurs tombeaux ; Dût le Parthe ven
Et le venin de l’hydre, et du fiel de vipère, Les pleurs, la soif du
sang
, la rage et ses erreurs, L’oubli de la raison, le
fureurs ; Et dans l’airain fumant, l’exécrable Euménide A détrempé de
sang
ce mélange homicide. Les deux époux tremblaient :
De l’infâme Cacus fut l’infâme séjour. Des têtes au front pâle et de
sang
dégouttantes A sa porte homicide étaient toujours
nstre à qui la voix, la lumière est ravie, Arrête dans sa gorge et le
sang
et la vie. Soudain du seuil fatal le roc tomb
innis, Et les os dispersés du géant d’Épidaure, Et la Crète fumant du
sang
de Minotaure. Mais quand tu récitais des faits mo
ô ma mère ! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père, Hélas ! du
sang
des Dieux, n’as-tu formé ton fils Que pour l’aban
ibut, Et rentra plein d’espoir dans la forêt profonde. O prodige ! le
sang
, par sa chaleur féconde, Dans le flanc des taurea
urant avant le temps, loin des yeux de mon père, » Je teindrai de mon
sang
cette terre étrangère. » J’ai vu tomber Patrocle
lle, ne cessa de pleurer sa mort ; Oreste, son fils, le vengea par le
sang
de l’amante et de l’amant. É lectre à sa sœur I
Qu’il réveille cent rois indignes de ce nom, Qui n’ont osé venger le
sang
d’Agamemnon ! Je vous pardonne, hélas ! cette dou
ils ! Ah ! quelle destinée, et quel affreux supplice De former de son
sang
ce qu’il faut qu’on haïsse ! De n’oser prononcer,
. Je ne veux rien, cruel, d’Électre, ni de toi : Votre cœur affamé de
sang
et de victimes, M’a fait souiller ma main du plus
ui ordonna d’enfermer dans sa tombe son arc et ses flèches teintes du
sang
de l’hydre de Lerne, et lui fit jurer de ne jamai
stueux. Elevé dans le sein d’une chaste héroïne, Je n’ai point de son
sang
démenti l’origine. Pitthée, estimé sage entre tou
eliques. Je cours, en soupirant, et sa garde me suit. De son généreux
sang
la trace nous conduit. Les rochers en sont teints
abusé Plaint le malheur d’un fils faussement accusé, Pour apaiser mon
sang
et mon ombre plaintive, Dis-lui qu’avec douceur i
sur-tout chanté les combats et les victoires de Penthésilée, issue du
sang
de Mars, et la valeur héroïque qu’elle déploya so
ses mains impies ; Elle promet aux Dieux d’expier son erreur Dans le
sang
de ces Grecs que poursuit sa fureur. Douze je
Tombent avec amour sur la fille de Mars. Oui, c’est elle, c’est là le
sang
du Dieu de Thrace, Son armure, ses traits, sa val
altier, ni l’éclat de leurs yeux. L’incarnat de leur teint brille du
sang
des Dieux. En vain à les dompter l’homme oserait
as précipités, Ramenant au combat ses fidèles compagnes, Du plus beau
sang
des Grecs inonde les campagnes. Quintus, de Smyr
reste D’un sexe submergé par le courroux céleste ! C’était peu que du
sang
le fraternel lien Eût uni de si près et ton père
s tourbillons, Il ne voit plus du char les écarts vagabonds. Alors le
sang
brûlé de la race africaine Répandit sur son teint
ssait. J’ai vu Pyrrhus, j’ai vu les féroces Atrides, Rassasier de
sang
leurs armes homicides ; Hécube échevelée errer so
Son fils court éperdu, tend les bras à son père, Hélas ! et dans son
sang
tombe aux pieds de sa mère. A ce spectacle affreu
nocence, T’accordent, malheureux, ta juste récompense ! Toi, qui d’un
sang
chéri souilles mes cheveux blancs, Qui sous les y
mes nobles aïeux va dire mes exploits ; Dis au fils de Thétis que son
sang
dégénère ; Mais avant, meurs ! » Il dit ; et, d’u
aire, Du monarque traîné par ses cheveux blanchis, Et nageant dans le
sang
du dernier de ses fils, Il entraîne à l’autel la
tel, l’enfonce, et de son flanc Arrache avec la vie, un vain reste de
sang
. Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée Marqua par
us de la robe sacrée. Le couple affreux s’élance ; et, l’œil rouge de
sang
, Sur sa double victime il s’enlace en sifflant. L
ire et de vertus, Priam expire aux pieds d’un trône qui n’est plus Le
sang
Troyen ruisselle ; et le glaive homicide Moissonn
ste, Vous détruisez encor l’asile qui lui reste. Ah ! Seigneur, si le
sang
qui vous unit tous deux, N’est plus qu’un titre v
t, s’il a des vertus, ce n’est pas la pitié. Ne m’oppose donc plus un
sang
que je déteste ; Ma raison m’abandonne, au seul n
: Instruit, par ses fureurs, à ne rien ménager, Dans les flots de son
sang
je voudrais le plonger. Qu’il n’accuse que lui du
rais le plonger. Qu’il n’accuse que lui du malheur qui l’accable ; Le
sang
qui nous unit me rend-il seul coupable ? D’un cri
rbe, et nourri dans un rang, Où l’on puisa toujours l’orgueil avec le
sang
: Inconnu, dans le sein d’une terre étrangère, Je
d’un voile affreux la clarté qui nous luit ? Ces murs sont teints de
sang
, je vois les Euménides Secouer leurs flambeaux, v
a et laissa tomber son voile, que la lionne déchira et teignit de son
sang
. Pyrame arrivé, ramassa le voile, et croyant son
intive. Voilà qu’une lionne, aux yeux de flamme ardens. Teinte du
sang
des bœufs déchirés par ses dents, Vient se désalt
ainte. Mais lorsqu’il reconnaît sur la terre tombé, Déchiré, teint de
sang
, le voile de Thisbé : Elle n’est plus, dit-il, Py
oile chéri, dit-il, témoin de mes douleurs, Parure de Thisbé, que son
sang
a trempée, Reçois aussi le mien ! Il saisit son é
mien ! Il saisit son épée, L’enfonce dans son sein, la retire, et le
sang
En sort avec le fer, et jaillit de son flanc. Tel
en longs jets dans les airs élancée : Et les fruits du mûrier de son
sang
colorés, Changent leurs fruits d’albâtre en des f
lle embrasse à genoux l’idole de son ame, Détrempe avec ses pleurs le
sang
qu’il a versé ; Et couvrant de baisers son visage
t les seconds. Mes homicides mains, promptes à me venger, Dans le
sang
innocent brûlent de se plonger. Misérable ! et je
le ? Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton
sang
devenir le bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a pe
iblesse extrême ; Et la gloire n’est point à trahir ce qu’on aime. Du
sang
dont il naquit j’ai dû me défier, Et de Laomédon
bra ces liens. Tous deux étaient parés de la fleur du bel âge ; Du
sang
de Jupiter tous deux étaient sortis ; Tous
, Ne fasse dans mon lit entrer une autre épouse, Qui, régnant sur mon
sang
en marâtre jalouse, Accablerait bientôt, sous un
ère ! Ne suis-je pas chargé de défendre mon père ? Ne dois-je pas mon
sang
au bien de mon pays ? Mes efforts, par les Dieux,
e jour vient, où la triste Pergame Doit voir plonger ses murs dans le
sang
et la flamme. Eh bien ! cet avenir, qui menace te
uand du joug de l’Europe affranchissant l’Asie, Il vengeait dans leur
sang
son sang et sa patrie. Tout est fini pour nous. T
oug de l’Europe affranchissant l’Asie, Il vengeait dans leur sang son
sang
et sa patrie. Tout est fini pour nous. Troie a vu
de lui la main de l’homicide. C’est votre fils, hélas ! c’est le pur
sang
d’Alcide. Abandonnerez-vous ce reste précieux Du
s. Erox qui de son maître a servi tous les crimes, Erox, qui dans son
sang
voit ce monstre nager, Lève une main hardie, et p
le jette sans vie ; Le tyran se relève, il blesse le héros ; De leur
sang
confondu j’ai vu couler les flots. Déjà la garde
. Vous eussiez vu soudain les autels renversés, Dans des ruisseaux de
sang
leurs débris dispersés ; Les enfans écrasés dans
es Remplissent de leurs sons les rives gémissantes : Elle tombe ; son
sang
a suspendu son cours, Et l’effroi sur sa bouche é
fent les accens. On n’entend plus la voix du fils de Calliope, Et son
sang
a rougi les rochers du Rhodope. Les animaux en ch
n empare ; et leur rage échauffée Ne peut plus s’assouvir que dans le
sang
d’Orphée. Il a beau les prier : sa voix, sa douce
le connaître ! La perte des Troyens n’est pas moindre peut-être : Le
sang
des deux partis teint la rive et les flots. Cygnu
ance a porté sur son flanc, Achille avait cru voir quelques traces de
sang
: Mais il se flatte en vain : Cygnus est sans ble
es de sang : Mais il se flatte en vain : Cygnus est sans blessure. Le
sang
de Ménétès a rougi son armure. Il saute de so
Compagnons, aujourd’hui les hôtes des forêts Ont teint d’assez de
sang
nos dards et nos filets. Demain, lorsque le jour,
mpitoyable arrive hors d’haleine. Déjà tous à la fois, altérés de son
sang
, L’un sur l’autre pressés s’attachent à son flanc
e plainte vaine N’est le cri ni d’un cerf, ni d’une voix humaine. Son
sang
teint ces vallons pour lui jadis si doux : Et, te
sans cesse Ces lamentables cris : Il n’est plus, il n’est plus. Son
sang
coule à grands flots, une dent meurtrière A porté
tendresse ; Dans des sentiers affreux elle porte ses pas ; On voit le
sang
couler de ses pieds délicats, Et les rochers sont
t le sang couler de ses pieds délicats, Et les rochers sont teints du
sang
d’une Déesse ; C’en est fait, il n’est plus, malh
aventure, Interdite, éplorée, elle accourt à l’instant, Elle voit un
sang
noir couler de sa blessure, Et le froid de la mor
n délire, il se perça de la même épée qu’il avait reçue d’Hector. Son
sang
fut changé en Hyacinthe. Oui, le glaive est t
acrés, et vous, mes nourrices fidelles ! Noble peuple d’Athène, à mon
sang
allié ! Troie où pour mon malheur les Dieux m’ont
lice effraie. Dépouillé de sa peau, son corps n’est qu’une plaie. Son
sang
à longs ruisseaux coule de toutes parts. Le tissu
eau : Ah ! que ce tombeau nous rassemble ! Mais ces restes sacrés du
sang
des demi-Dieux, Où sont-ils !… Avançons… Qu’ai-je
er, On élève le fruit, l’objet de tes tendresses, Songes-tu qu’en son
sang
coule un sang étranger, Et qu’un autre que toi jo
e fruit, l’objet de tes tendresses, Songes-tu qu’en son sang coule un
sang
étranger, Et qu’un autre que toi jouit de ses car
; Le lait, le même lait que réclamaient ses pleurs, Repompé dans ton
sang
, va bientôt le corrompre. Contemple avec effroi c
use maigreur dessèche ses attraits ; Tout son corps dépérit, tout son
sang
s’évapore. Ce qu’elle fut n’est plus, et sa voix
enser : Niobé vous insulte. La fille de Tantale, aux dieux nés de mon
sang
, Préfère avec orgueil les fils nés dans son flanc
piés et ses bras ; Son œil sans mouvement regarde et ne voit pas. Son
sang
s’est refroidi ; son coloris s’efface. Sa lèvre e
imiter, car nous étions ensemble. Mais soudain de la fleur je vois le
sang
couler, Et les rameaux d’horreur et frémir et tre
s sont changés en d’affreux hurlemens, Et ces monstres de
sang
avides, En se précipitant dans leurs gouffres hum
n farouche aspect tout fuit épouvanté. Rien ne l’émeut : la chair, le
sang
des misérables Sont sa boisson affreuse et ses me
monstre affreux dans son antre étendu, S’abreuver par torrens de leur
sang
répandu, Et briser de ses dens, de meurtres dégoû
r ; Tandis que, rejetés par ce monstre farouche, La chair, le vin, le
sang
jaillissaient de sa bouche, Nous invoquons les Di
is, le bras sûr et terrible Du Dieu qui donne le jour, Lava, dans son
sang
horrible, L’honneur du docte séjour : Bientôt de
frent en ces lieux, Offensent la Nature en révérant les Dieux. Là, du
sang
des humains on voit suer les marbres, On voit fum
nfans meurtris entre leurs bras sanglans. De quels débordemens de
sang
et de carnage La Terre a-t-elle vu ses flancs plu
et d’Argos ; Dans ces combats affreux où le Dieu Mars lui-même De son
sang
immortel vit bouillonner les flots. D’un cri
La frayeur et la mort vont sans cesse à ta suite, Monstre nourri de
sang
, cœur abreuvé de fiel, Plus digne de régner sur l
s bras avec un cri s’élance : « O Minerve ! mon fils est digne de mon
sang
; Conserve-lui ce cœur tendre et compatissant ; I
De sa morale une ou deux prises, Calmant leur
sang
trop agité, De la naissante Liberté
Meurs, avant de sentir mes maux et ta misère ; Rends-moi le jour, le
sang
que t’a donné ta mère ; Que mon sein malheureux t
corps tout sanglant, à leurs yeux se présente Une femme égarée, et de
sang
dégouttante. « Oui, c’est mon propre fils ; oui,
st mon propre fils ; oui, monstres inhumains, C’est vous qui dans son
sang
avez trempé mes mains : Que la mère et le fils vo
trop lente ; Ou, si d’un coup plus prompt le ministre l’atteint, D’un
sang
noir et brûlé le fer à peine est teint ; On n’ose
palpitans ne s’échappe qu’à peine, Sa narine, à longs flots, vomit un
sang
grossier, Et sa langue épaissie assiège son gosie
meurtrière. Voyez-vous le taureau, fumant sous l’aiguillon, D’un
sang
mêlé d’écume, inonder son sillon ? Il meurt. L’au
ant nos mets flatteurs, nos perfides boissons, N’ont jamais dans leur
sang
, fait couler leurs poisons. Leurs mets, c’est l’h
les maximes, Que les Princes des Grecs ont offert sous leurs coups Le
sang
d’Iphigénie à Diane en courroux ? Quel spectacle
nant les yeux. De quoi lui sert, hélas ! dans ce jour odieux, Que son
sang
soit illustre, et qu’elle ait la première Au gran
is s’ouvrit à la lumière, Quoi ! depuis tant d’hivers, abreuvé de ton
sang
. Le Fanatisme encor va déchirer ton flanc ! Le gé
Et pour vivre en sujet, m’ériger en bourreau ? Non, s’il lui faut du
sang
, qu’il m’envoie au supplice ; Je serai sa victime
sur l’autre entassés, Ecrasa sous leur poids les Géans terrassés. Du
sang
de ses enfans la Terre au loin fumante, Craignit
au loin fumante, Craignit de voir sa race avec eux expirante ; De ce
sang
tiède encor, elle anima les flots ; Et delà, nous
s remparts de Priam, les Grecs et leurs navires, Et le glaive en leur
sang
ardent à se plonger. Son cœur impatient jure de l
ssière, et la Terre est vengée, La Terre boit leur
sang
. O vous ! démons sortis des ténébreux royaum
hez les Romains. Nobles et Plébéiens, tout périt, et l’Epée, Du
sang
universel horriblement trempée, Pénètre tous les
blement trempée, Pénètre tous les flancs et perce tous les seins : Le
sang
rougit la pierre, et souille les lieux saints. Le
s de Pergame, Aux Atrides blessés apportant le dictame ; D’abord leur
sang
s’arrête, et docile à sa main Le fer lâche sa pro
’avance entouré. Epanchés par ses mains, le lait, le vin sacré, Et le
sang
le plus pur ont humecté la terre. De fleurs il la
iens, Ils se frappent en nombre, et, joyeux dans leur guerre, De leur
sang
, l’un par l’autre, ils arrosent la terre. Heurtan
d’un air éperdu. Quel infortuné faut-il plaindre ? Ciel ! quel est le
sang
qui doit teindre Le fer qu’elle tient suspendu ?
ages et des prairies ; et d’Oréades à celles des montagnes. Jamais le
sang
ne teignit leurs autels. On leur offroit simpleme
mpler sur tes pas ce spectacle chéri, A nos membres sans force, à mon
sang
appauvri, Viens redonner un nouvel
r ténébreux, Au milieu des mortels lève sa tête altière ; Il roule un
sang
épais de sa noire paupière ; Ses dents qui font h
t ton courage ? Viens ! Pluton à Pharsale apprête le carnage : Là, du
sang
des humains doit s’abreuver un Dieu. » La Discord
ur fils l’époux de Rodogune, Et ne vois plus en lui les restes de mon
sang
, S’il m’arrache du trône et la met en mon rang
mon sang, S’il m’arrache du trône et la met en mon rang Reste du
sang
ingrat d’un époux infidelle, Héritier d’une flamm
er sa haine. Dût le peuple en fureur pour ses maîtres nouveaux De mon
sang
odieux arroser leurs tombeaux. Dût le Parthe veng
ein ; Des nœuds d’un long serpent ceint sa robe effrayante, Rouge de
sang
, de meurtre, et de fiel dégoûtante, Et, dans cet
tige et l’effroi, la rage et ses fureurs, Et des sucs de ciguë, et du
sang
et des pleurs ; Et trois fois aux enfers l’exécra
innis, Et les os dispersés du géant d’Epidaure, Et la Crète fumant du
sang
de Minotaure. Mais quand tu récitois des faits mo
ô ma mère ! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père, Hélas ! du
sang
des Dieux, n’as-tu formé ton fils Que pour l’aban
ibut, Et rentra plein d’espoir dans la forêt profonde. O prodige ! le
sang
, par sa chaleur féconde, Dans le flanc des taurea
l vu contraindre ! D’un père malheureux, les lèvres ont pressé Sur le
sang
de ses fils, la main qui l’a versé. Achille
lle, ne cessa de pleurer sa mort ; Oreste, son fils, le vengea par le
sang
de l’amante et de l’amant. Electre à sa s œu r
Qu’il réveille cent rois indignes de ce nom, Qui n’ont osé venger le
sang
d’Agamemnon ! Je vous pardonne, hélas ! cette dou
ils ! Ah ! quelle destinée, et quel affreux supplice De former de son
sang
ce qu’il faut qu’on haïsse ! De n’oser prononcer,
. Je ne veux rien, cruel, d’Electre, ni de toi : Votre cœur affamé de
sang
et de victimes, M’a fait souiller ma main du plus
ui ordonna d’enfermer dans sa tombe son arc et ses flèches teintes du
sang
de l’hydre de Lerne, et lui fit jurer de ne jamai
stueux. Elevé dans le sein d’une chaste héroïne, Je n’ai point de son
sang
démenti l’origine. Pitthée, estimé sage entre tou
eliques. Je cours, en soupirant, et sa garde me suit. De son généreux
sang
la trace nous conduit. Les rochers en sont teints
busé Plaint le malheur d’un fils faussement accusé, Pour appaiser mon
sang
et mon ombre plaintive, Dis-lui qu’avec douceur i
sur-tout chanté les combats et les victoires de Penthésilée, issue du
sang
de Mars, et la valeur héroïque qu’elle déploya so
ses mains impies ; Elle promet aux Dieux d’expier son erreur Dans le
sang
de ces Grecs que poursuit sa fureur. Douze j
Tombent avec amour sur la fille de Mars. Oui, c’est elle, c’est là le
sang
du Dieu de Thrace, Son armure, ses traits, sa val
altier, ni l’éclat de leurs yeux. L’incarnat de leur teint brille du
sang
des Dieux. Envain à les dompter l’homme oseroit p
s précipités, Ramenant au combat ses fidelles compagnes, Du plus beau
sang
des Grecs inonde les campagnes. Quintus, de Smyr
s chère, Toi que seule épargna la céleste colère ! C’étoit peu que du
sang
le fraternel lien Eût uni de si près et ton père
me qu’il expie. Autonoë, dit-il, par l’ombre d’Actéon, Epargnez votre
sang
. La Ménade à ce nom, Sur son bras qu’elle arrache
. J’ai vu la Reine en pleurs ; j’ai vu le feu sacré S’éteindre par le
sang
de Priam massacré, Cinquante fils, liés par auta
s de percer le flanc, Qui, sur le corps d’un père, en fait jaillir le
sang
, Tu te vantes envain qu’Achille fut ton père. Ach
’autel le Vieillard qui chancelle, Et dont les pas glissoient dans le
sang
de son fils. Il saisit ses cheveux, que le temps
us de la robe sacrée. Le couple affreux s’élance ; et, l’œil rouge de
sang
, Sur sa double victime il s’enlace en sifflant. L
re et de vertus, Priam expire aux pieds d’un trône qui n’est plus* Le
sang
Troyen ruisselle ; et le glaive homicide Moissonn
ste, Vous détruisez encor l’asile qui lui reste. Ah ! Seigneur, si le
sang
qui vous unit tous deux, N’est plus qu’un titre v
t, s’il a des vertus, ce n’est pas la pitié. Ne m’oppose donc plus un
sang
que je déteste ; Ma raison m’abandonne, au seul n
: Instruit, par ses fureurs, à ne rien ménager, Dans les flots de son
sang
je voudrois le plonger. Qu’il n’accuse que lui du
rois le plonger. Qu’il n’accuse que lui du malheur qui l’accable ; Le
sang
qui nous unit me rend-il seul coupable ? D’un cri
rbe, et nourri dans un rang, Où l’on puisa toujours l’orgueil avec le
sang
: Inconnu, dans le sein d’une terre étrangère, Je
d’un voile affreux la clarté qui nous luit ? Ces murs sont teints de
sang
, je vois les Euménides Secouer leurs flambeaux, v
a et laissa tomber son voile, que la lionne déchira et teignit de son
sang
. Pyrame arrivé, ramassa le voile, et croyant son
as Que son voile en courant, est tombé sous ses pas. Aussi-tôt que de
sang
la lionne fumante Eût dans l’onde à longs traits
, Tigres, lions, venez, je m’offre à vos morsures. N’épargnez pas mon
sang
, venez me déchirer. Mais c’est craindre la mort q
le chéri, dit-il, témoin de mes douleurs, « Parure de Thisbé, que son
sang
a trempée, « Reçois aussi le mien. » Il tire son
l’enfonce dans son flanc, L’en retire avec force, et fait jaillir son
sang
. Thisbé de sa frayeur à demi rassurée, Mais fidel
s feux, les Nymphes les plaignirent ; Et les fruits du mûrier de leur
sang
se teignirent ; Leurs parens même enfin sont touc
les seconds. Mes homicides mains, promptes à me venger, Dans le
sang
innocent brûlent de se plonger. Misérable ! et je
le ? Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton
sang
devenir le bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a pe
iblesse extrême ; Et la gloire n’est point à trahir ce qu’on aime. Du
sang
dont il naquit j’ai dû me défier, Et de Laomédon
ces liens., Tous deux étoient parés de la fleur du bel âge ; Du
sang
de Jupiter tous deux étoient sortis ;
, Ne fasse dans mon lit entrer une autre épouse, Qui, régnant sur mon
sang
en marâtre jalouse, Accableroit bientôt, sous un
ère ! Ne suis-je pas chargé de défendre mon père ? Ne dois-je pas mon
sang
au bien de mon pays ? Mes efforts, par les Dieux,
e jour vient, où la triste Pergame Doit voir plonger ses murs dans le
sang
et la flamme. Eh bien ! cet avenir, qui menace te
uand du joug de l’Europe affranchissant l’Asie, Il vengeoit dans leur
sang
son sang et sa patrie. Tout est fini pour nous. T
oug de l’Europe affranchissant l’Asie, Il vengeoit dans leur sang son
sang
et sa patrie. Tout est fini pour nous. Troie a vu
de lui la main de l’homicide. C’est votre fils, hélas ! c’est le pur
sang
d’Alcide. Abandonnerez-vous ce reste précieux Du
s. Erox qui de son maître a servi tous les crimes, Erox, qui dans son
sang
voit ce monstre nager, Lève une main hardie, et p
le jette sans vie ; Le tyran se relève, il blesse le Héros ; De leur
sang
confondu j’ai vu couler les flots. Déjà la garde
. Vous eussiez vu soudain les autels renversés, Dans des ruisseaux de
sang
leurs débris dispersés ; Les enfans écrasés dans
es Remplissent de leurs sons les rives gémissantes : Elle tombe ; son
sang
a suspendu son cours, Et l’effroi sur sa bouche é
. Un mont, où ce chasseur avoit tendu ses rôts, Etoit souillé du
sang
du peuple des forêts. Au moment où l’été désole l
mpitoyable arrive hors d’haleine. Déjà, tous à-la-fois altérés de son
sang
, L’un sur l’autre pressés s’attachent à son flanc
plainte vaine N’est, ni le cri d’un cerf, ni d’une voix humaine. Son
sang
teint ces vallons, pour lui jadis si doux : Il ch
e sans cesse Ces lamentables cris : Il n’est plus, il n’est plus. Son
sang
coule à grands flots, une dent meurtrière A porté
tendresse ; Dans des sentiers affreux elle porte ses pas ; On voit le
sang
couler de ses pieds délicats, Et les rochers sont
t le sang couler de ses pieds délicats, Et les rochers sont teints du
sang
d’une Déesse ; C’en est fait, il n’est plus, malh
aventure, Interdite, éplorée, elle accourt à l’instant, Elle voit un
sang
noir couler de sa blessure, Et le froid de la mor
délire, il se perça de la même épée qu’il a voit reçue d’Hector. Son
sang
fut changé en Hyacinthe. Oui, le glaive est
acrés, et vous, mes nourrices fidelles ! Noble peuple d’Athène, à mon
sang
allié ! Troie où pour mon malheur les Dieux m’ont
pitoyable. Tout son corps n’offre plus qu’une plaie effroyable : Son
sang
à longs ruisseaux coule de toutes parts. Le tissu
er, On élève le fruit, l’objet de tes tendresses, Songes-tu qu’en son
sang
coule un sang étranger, Et qu’un autre que toi jo
e fruit, l’objet de tes tendresses, Songes-tu qu’en son sang coule un
sang
étranger, Et qu’un autre que toi jouit de ses car
; Le lait, le même lait que réclamoient ses pleurs, Repompé dans ton
sang
, va bientôt le corrompre. Contemple avec effroi c
enser : Niobé vous insulte. La fille de Tantale, aux Dieux nés de mon
sang
, Préfère, avec orgueil, les fils nés de son flanc
loîs l’imiter. Soudain je vois d’horreur les feuilles s’agiter, Et du
sang
distiler de la branche rompue. De Priape au
nt changés en d’affreux hurlemens, Et ces monstres de
sang
avides, En se précipitant dans leurs gouffres hum
is, le bras sûr et terrible Du Dieu qui donne le jour, Lava, dans son
sang
horrible, L’honneur du docte séjour : Bientôt de
frent en ces lieux, Offensent la Nature en révérant les Dieux. Là, du
sang
des humains on voit suer les marbres, On voit fum
, Les plaisirs criminels, la discorde insensée, Les cheveux teints de
sang
, de serpens hérissée, Et sur son lit de fer l’hor
ec les morts le rapide Achéron. L’ardeur de la jeunesse en son vieux
sang
bouillonne, Et la foule des morts le presse et l’
nom, Et contemple en son cours sur sa rive fleurie, Ces Héros dont le
sang
coula pour la Patrie ; Les Prêtres vertueux, et
fans meurtris entre leurs bras sanglans. De quels débordemens de
sang
et de carnage La Terre a-t-elle vu ses flancs plu
et d’Argos ; Dans ces combats affreux où le Dieu Mars lui-même De son
sang
immortel vit bouillonner les flots. D’un cri
La frayeur et la mort vont sans cesse à ta suite, Monstre nourri de
sang
, cœur abreuvé de fiel, Plus digne de régner sur l
s bras avec un cri s’élance ; « O Minerve ! mon fils est digne de mon
sang
; Conserve-lui ce cœur tendre et compatissant ; I
De sa morale une ou deux prises, Calmant leur
sang
trop agité, De la naissante Libert
Meurs, avant de sentir mes maux et ta misère ; Rends-moi le jour, le
sang
que t’a donné ta mère ; Que mon sein malheureux t
corps tout sanglant, à leurs yeux se présente Une femme égarée, et de
sang
dégoûtante. « Oui, c’est mon propre fils ; oui, m
st mon propre fils ; oui, monstres inhumains, C’est vous qui dans son
sang
avez trempé mes mains : Que la mère et le fils vo
trop lente ; Ou, si d’un coup plus prompt le ministre l’atteint, D’un
sang
noir et brûlé le fer à peine est teint ; On n’ose
palpitans ne s’échappe qu’à peine, Sa narine, à longs flots, vomit un
sang
grossier, Et sa langue épaissie assiége son gosie
meurtrière. Voyez-vous le taureau, fumant sous l’aiguillon, D’un
sang
mêlé d’écume, inonder son sillon ? Il meurt. L’au
ant nos mets flatteurs, nos perfides boissons, N’ont jamais dans leur
sang
, fait couler leurs poisons. Leurs mêts, c’est l’h
les maximes, Que les Princes des Grecs ont offert sous leurs coups Le
sang
d’Iphigénie à Diane en courroux ? Quel spectacle
nant les yeux. De quoi lui sert, hélas ! dans ce jour odieux, Que son
sang
soit illustre, et qu’elle ait la première Au gran
is s’ouvrit à la lumière, Quoi ! depuis tant d’hivers, abreuvé de ton
sang
. Le Fanatisme encor va déchirer ton flanc ! Le gé
Et pour vivre en sujet, m’ériger en bourreau ? Non, s’il lui faut du
sang
, qu’il m’envoie au supplice ; Je serai sa victime
e n’avoit pas sonné minuit trois fois, Que le monstre, encor teint du
sang
de ses victimes, Est saisi, convaincu, jugé suiva
ucis ; les cruelles défiances ; les vengeances toutes dégouttantes de
sang
et couvertes de plaies ; les haines injustes ; l’
tion forcenée qui renverse tout ; la trahison qui veut se repaître de
sang
, et qui ne peut jouir des maux qu’elle a faits ;
fils Cupidon. La rose lui étoit consacrée, comme ayant été teinte du
sang
d’Adonis, ou de Vénus elle-même blessée par une d
Mais le bras sûr et terrible Du dieu qui donne le jour, Lava dans son
sang
horrible L’honneur du docte séjour, Bientôt de la
jaillir d’un coup de pied. Pégase étoit un cheval ailé qui naquit du
sang
de Méduse, lorsque Persée coupa la tête à cette g
r son rival, et l’ayant attaché à un arbre, il l’écorcha tout vif. Le
sang
de Marsyas fut transformé en un fleuve qui porta
froit du vin, des fleurs, de l’encens ; mais on ne répandoit point de
sang
dans ces sortes de sacrifices. Seconde partie
’ennemi terrible : Aux malheurs des mortels il borne ses desseins. Le
sang
de son parti rougit souvent ses mains. Il habite
lanté : on lui donne aussi pour arme un fléau, ou une verge teinte de
sang
. Mars est impitoyable, et l’horrible Bellone En
toutes ses entreprises, et s’en servit pour pétrifier ses ennemis. Du
sang
de Méduse naquit, dit-on, le cheval Pégase. D. Co
pirer songea à se venger ; il donna à Déjanire une robe teinte de son
sang
, et lui fît accroire que si Hercule mettoit une f
pas plutôt revêtu, qu’il se sentit dévorer par un feu intérieur : le
sang
de Nessus dans lequel la tunique avoit été trempé
iloctète d’y mettre le feu. Il donna à cet ami ses flèches teintés du
sang
de l’hydre de Lerne, sans lesquelles la ville de
ô ma mère ! Si je puis me vanter qu’Apollon est mon père, Hélas ! du
sang
des dieux n’as-tu formé ton fils Que pour l’aband
ibut, Et rentra plein d’espoir dans la forêt profonde. O prodige ! le
sang
, par sa chaleur féconde, Dans le flanc des taurea
cinis, Et les os dispersés du géant d’Epidaure, Et la Crète fumant du
sang
du Minotaure. D. Qu’étoit-ce que le Minotaure ?
sa. Ce monstre, homme et taureau, qu’un fol amour fit naître, Qui du
sang
des humains brûloit de se repaître, Sous le fer d
nd en gémissant à ce cri redoutable. Jusqu’au fond de nos cœurs notre
sang
s’est glacé ; Les coursiers attentifs le crin s’e
oule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de
sang
et de fumée. La frayeur les emporte ; et, sourds
liques. J’y cours en soupirant, et sa garde me suit ; De son généreux
sang
la trace nous conduit ; Les rochers en sont teint
, » Plaint le malheur d’un fils faussement accusé, » Pour apaiser mon
sang
et mon ombre plaintive, » Dis-lui qu’avec douceur
s dont son hôte étoit porteur. Ne voulant point souiller sa maison du
sang
du jeune prince, il l’envoya combattre les Solyme
ces soldats enfantés par la terre, » Qui touts ne respiroient que le
sang
et la guerre. » Parmi tant de périls, quel Dieu,
et se la plongea dans le cœur. On prétend que le mûrier fut teint du
sang
de ces amants, et que les mûres devinrent rouges,
e monstre, furieux de se voir entendu, Venge aussitôt sur lui tant de
sang
répandu, Du roc s’élança en bas et s’écrasa lui-m
d’un voile affreux la clarté qui nous luit ? Ces murs sont teints de
sang
; je vois les Euménides Secouer leurs flambeaux v
ais leurs cœurs ne s’accordèrent mieux. La soif de se baigner dans le
sang
de leur frère Faisoit ce que jamais le sang n’avo
oif de se baigner dans le sang de leur frère Faisoit ce que jamais le
sang
n’avoit su faire : Par l’excès de leur haine ils
coup qui lui perce le flanc, Lui cède la victoire, et tombe dans son
sang
. Les deux camps aussitôt s’abandonnent en proie,
uccès de son crime, Regarde avec plaisir expirer sa victime ; Dans le
sang
de son frère il semble se baigner : « Et tu meurs
. 2°. Il falloit avoir les flèches d’Hercule. Ces flèches, teintes du
sang
de l’hydre, avoient été enfermées dans le tombeau
n vent favorable, et que la déesse ne pouvoit être apaisée que par le
sang
d’une princesse de la famille d’Agamemnon. Le roi
e ; Et, respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le
sang
que vous m’avez donné. Si pourtant ce respect, si
pour qui, tant de fois prodiguant les caresses, Vous n’avez point du
sang
dédaigné les foiblesses. Hélas ! avec plaisir je
préparois la fête. Je ne m’attendois pas que, pour le commencer, Mon
sang
fût le premier que vous dussiez verser ; Non que
victime. Mais ils vous ont nommée. Un oracle cruel Veut qu’ici votre
sang
coule sur un autel. Pour défendre vos jours de le
ée. Allez, et que les Grecs, qui vous vont immoler, Reconnoissent mon
sang
en le voyant couler. Clytemnestre, à Agamemnon.
amemnon. Vous ne démentez point une race funeste ; Oui, vous êtes le
sang
d’Atrée et de Thyeste ; Bourreau de votre fille,
resse ? Où sont-ils ces combats que vous avez rendus ? Quels flots de
sang
pour elle, avez-vous répandus ? Quel débris parle
qu’il semble dire ? Le ciel, le juste ciel, par le meurtre honoré, Du
sang
de l’innocence est-il donc altéré ? Si du crime d
enfin, me déchirant le flanc, Payer sa folle amour du plus pur de mon
sang
? Que dis-je ? Cet objet de tant de jalousie, Cet
re : Trop jaloux d’un pouvoir qu’on peut vous envier, De votre propre
sang
vous courez le payer, Et voulez, par ce prix, épo
étextant, pour couvrir sa lâche perfidie, Qu’elle vengeoit sur lui le
sang
d’Iphigénie. ( La Grange-Chancel.) D. Quel fut l
. Je ne veux rien, cruel, d’Électre, ni de toi ! Votre cœur affamé de
sang
et de victimes, M’a fait souiller ma main du plus
urant avant le temps, loin des yeux de mon père, » Je teindrai de mon
sang
cette terre étrangère. » J’ai vu tomber Patrocle
ste. Il est mort !Il expire ; et nos Grecs irrités Ont lavé dans son
sang
ses infidélités. Je vous l’avois promis ; et, quo
cesse, Et regagner le port, où bientôt nos amis Viendront couverts du
sang
que je vous ai promis. Hermione. Qu’ont-ils fait
ie ? Avez-vous pu, cruels, l’immoler aujourd’hui, Sans que tout votre
sang
se soulevât pour lui ? Mais parle : de son sort q
t rempli. Où sont ces deux amants ? pour couronner ma joie, Dans leur
sang
, dans le mien, il faut que je me noie ; L’un et l
eur me saisit ? grâce au ciel, j’entrevoi… Dieux ! quels ruisseaux de
sang
coulent autour de moi ! ……… Quoi ! Pyrrhus, je te
rche à prendre un air moins dur et moins farouche : L’ardente soif du
sang
n’altère plus sa bouche. Moins affamé de meurtre,
ux, qu’il se perça d’une épée dont Hector lui avoit fait présent. Son
sang
fut changé en hyacinthe. Ovide raconte ainsi la
’en eût inspiré le barbare dessein, Non, je n’aurois jamais promis de
sang
humain. « Sauve des malheureux si voisins du nauf
de Priam. J’ai vu Pyrrhus, j’ai vu les féroces Atrides Rassasier de
sang
leurs armes homicides ; Hécube échevelée errer so
Son fils court éperdu, tend les bras à son père, Hélas ! et dans son
sang
tombe aux pieds de sa mère. A ce spectacle affreu
nce, » T’accordent, malheureux ! ta juste récompense ; » Toi qui d’un
sang
chéri souilles mes cheveux blancs, » Qui sous les
s nobles aïeux va dire mes exploits ; » Dis au fils de Thétis que son
sang
dégénère ; » Mais avant, meurs !… » Il dit, et, d
aire, Du monarque traîné par ses cheveux blanchis, Et nageant dans le
sang
du dernier de ses fils, Il pousse vers l’autel la
rtel, l’enfonce, et de son flanc Arrache avec la vie un vain reste de
sang
. Ainsi périt Priam ; ainsi la destinée Marqua par
a barrière. « Le voilà, dit Achille enflammé de colère ; » Viens, ton
sang
va payer le sang de mon ami ! » Le vainqueur de P
voilà, dit Achille enflammé de colère ; » Viens, ton sang va payer le
sang
de mon ami ! » Le vainqueur de Patrocle est mon s
; et le fer repoussé, Sur le céleste acier se recourbe émoussé. Leur
sang
, plus d’une fois, avoit rougi la terre, Ils lutto
e victime, Triomphe d’un cadavre, et, bravant touts les dieux, De son
sang
qui ruisselle il enivre ses yeux. D. Que devint
is brûlants, Sur touts mes frères morts se faisant un passage, Et, de
sang
tout couvert, échauffant le carnage ; Songe aux c
doit ménager. Qu’il ait de ses aïeux un souvenir modeste : Il est du
sang
d’Hector ; mais il en est le reste ; Et pour ce r
este ; Et pour ce reste enfin j’ai moi-même, en un jour, Sacrifié mon
sang
, ma haine, et mon amour. (Acte 4e, scène Ire.)
us de la robe sacrée. Le couple affreux s’enlace ; et, l’œil rouge de
sang
, Sur sa double victime il s’élance en sifflant. L
re et de vertus, Priam expire aux pieds d’un trône qui n’est plus. Le
sang
troyen ruisselle ; et le glaive homicide Moissonn
n au lit de mort te lègue sa fureur ; » En tribut à ta reine offre un
sang
qu’elle abhorre : » C’est ainsi que mon ombre exi
immense ; Au cercueil de son père il arrive en silence ; Deux fois de
sang
sacré, deux fois de vin nouveau, Et deux fois d’u
rien n’altère plus la santé que les emportements : ils corrompent le
sang
, bouleversent les humeurs, changent totalement la
, dans son art parricide. S’instruisent les peuples entiers ; Dans le
sang
on cherche la gloire ! Et, sous le beau nom de Vi
nt sur eux : Le haut Olympe en ses antres humides Vit bouillonner le
sang
des Aloïdes : Sous Pélion Mimas fut abîmé ; Et da
rre étrangère. Campistron. Pégase est un cheval aîlé, qui naquit du
sang
de Méduse, lorsque Persée coupa la tête à cette G
Mais le bras sûr et terrible Du dieu qui donne le jour, Lava dans son
sang
horrible L’honneur du docte séjour. Bientôt de la
r mieux que lui. Apollon l’écorcha vif, et le changea en un fleuve de
sang
. Il donna des oreilles d’âne à Midas, roi de Phry
d’un air éperdu. Quel infortuné faut-il plaindre ? Ciel ! quel est le
sang
qui doit teindre Le fer qu’elle tient suspendu ?
Je brûle, et je ressens dans mes veines ardentes, Couler, au lieu de
sang
, des flammes dévorantes. La Grange-Chancel. Alt
nt sur le mont Ida, dans la Phrygie : Là, ce berger aimable, issu du
sang
des rois, Juge les trois beautés soumises à son c
La frayeur et la mort vont sans cesse à ta suite, Monstre nourri de
sang
, cœur abreuvé de fiel, Plus digne de régner sur l
et d’Argos, Dans ces combats affreux où le Dieu Mars lui-même De son
sang
immortel vit bouillonner les flots. Rousseau.
nquille, je visse Ton fils ravir au mien le trône d’Euridice ? De son
sang
altérée, au sortir du berceau J’ai voulu de ses j
la reine des deux, dont le bras immortel A proscrit de Cadmus tout le
sang
criminel. Te change ces objets en des objets terr
et clignotans, De feux obscurs sont chargés en tout tems. Au lieu de
sang
, dans ses veines circule Un froid poison qui les
’ennemi terrible : Aux malheurs des mortels il borne ses desseins. Le
sang
de son parti rougit souvent ses mains, Il habite
t élevé, soit parce qu’il y eut un célèbre astronome appelé Atlas. Du
sang
de Méduse naquit le cheval Pégase, sur lequel Per
perça d’une flèche. Nessus, près d’expirer, trempa un voile dans son
sang
, et le donna à Déjanire, en l’assurant qu’il avoi
s du voile inestimable Que Nessus expirant remit entre tes mains ? Du
sang
dont il est teint la vertu redoutable Peut re
e les cendres de ce héros, qui lui avoir remis les flèches teintes du
sang
de l’hydre de Lerne, sans lesquelles on ne pouvoi
Mes perfides neveux, les cruels Pallantides, Désavouoient en moi le
sang
des Erecthides ; Comme fils supposé, faisoient to
la Fosse. Aricie échappa seule au massacre de sa famille : Reste du
sang
d’un roi, noble fils de la Terre, Je suis seule é
maison ! Le fer moissonna tout, et la terre humectée But à regret le
sang
des neveux d’Erecthée. Racine. Thésée se propos
innis, Et les os dispersés du géant d’Epidaure, Et la Crète fumant du
sang
du Minotaure. Racine. Le Minotaure étoit un mon
l : Ce monstre, homme et taureau, qu’un fol amour fit naître, Qui du
sang
des humains brûloit de se repaître, Sous le fer d
e plonge en un bain d’eau et d’herbes inconnues, Lui forme un nouveau
sang
avec cette liqueur, Et lui rend d’un agneau la ta
able Amour, Une mère à ses fils a pu ravir le jour ! Méconnois-tu ton
sang
dans ces chères victimes, Implacable Médée ! Amou
monstre, furieux de se voir entendu, Venge aussi-tôt sur lui tant de
sang
répandu ; Du roc se lance en bas, et s’écrase lui
nt cette réponse : Un grand crime impuni cause votre misère : Par le
sang
de ma race il se doit effacer ; Mais
re ; Et la fin de vos maux ne se fera point voir, Que mon
sang
n’ait fait son devoir. Lamotte. Le sens caché d
s mon crime. Grands dieux ! ne tonnez plus, prenez votre victime. Mon
sang
vous a fléchis ; Thèbes ne souffre plus ; Vous pa
ng-tems, et dans lequel chacun se flattoit d’assouvir sa haine par le
sang
de son frère. Ils paroissent au milieu des deux a
coup qui lui perce le flanc, Lui cède la victoire, et tombe dans son
sang
. Polinice, tout fier du succès de son crime, Rega
que vois-je, perfide ? ah ! grands dieux ! quelle horreur ! C’est du
sang
! Tout le mien se glace dans mon cœur. Mon fils,
t du sang ! Tout le mien se glace dans mon cœur. Mon fils, est-ce ton
sang
qu’on offroit à ton père ? Crébillon. Atrée avo
it fait égorger les deux fils de Thyeste, et lui en avoit présenté le
sang
dans la coupe. On dit que le Soleil ne parut poin
attentat : C’est cette colère funeste Qui jadis a nourri Thyeste Du
sang
d’un fils qu’elle immola ; Festin détestable et p
ale ! Famille des héros, et des grands criminels, Les malheurs de ton
sang
seront-ils éternels ! Voltaire. Agamemnon épous
au tombeau, Voudrois-je, de la terre inutile fardeau, Trop avare d’un
sang
reçu d’une déesse, Attendre chez mon père une obs
aine. Si, dans un sacrifice auguste et solemnel, Une fille du
sang
d’Hélène, De Diane, en ces lieux, n’ensanglante l
es vaisseaux ; Tantôt son bras invincible Fait rougir de leur
sang
et la terre et les eaux. Campistron. Patrocle,
rmée revient sur ses pas, entre par la brèche, et met tout à feu et à
sang
. Je vois, sans respecter âge, sexe, ni rang, Les
er âge, sexe, ni rang, Les Grecs presser le meurtre, et nâger dans le
sang
; Et la flamme, par-tout avide à se répandre, Dév
int assouvi la colère… Il faut à ce héros quelque chose de plus : Mon
sang
… Tous les délais sont ici superflus. Pour répondr
étextant, pour couvrir sa lâche perfidie, Qu’elle vengeoit sur lui le
sang
d’Iphigénie. La Grange-Chancel. Oreste, fils d’
De haïr une mère il eut le droit affreux. Né pour souiller sa main du
sang
qui l’a fait naître, Tel fut le sort d’Oreste, et
eur me saisit ? Grace au ciel, j’entrevoi… Dieux ! quels ruisseaux de
sang
coulent autour de moi ! …………………………………………………… …………
ue, pour venger le trépas de son père, Ayant trempé ses mains dans le
sang
de sa mère, Tourmenté, déchiré de ce crime odieux
fut, dans un sens, moins funeste que celle des Grecs. Enée, prince du
sang
royal, fils d’Anchise et de la déesse Vénus, écha
s Gorgones, 46 — Est combattue par Persée, 128 — Pégase naîr de son
sang
, 129 — Sa tête est attachée à l’Egide, et elle a
r, 91 Nessus, centaure tué par Hercule, 138 — Voile trempé dans son
sang
, ibid. Nestor, roi de Piles, échappe à la colèr
nt les causes de cette guerre, 38-148 — La ville est mise à feu et à
sang
, 183-186 Trompette de-Calliope, 51 — de Clio, 5
œux adressés aux Parques, 107 Voie lactée, 132 Voile trempé dans le
sang
du centaure Nessus, 132 Voleurs, Mercure en étoi
e de déplorables aventures ; la rose consacrée à Vénus, est teinte du
sang
d’Adonis, de ce sang naquit aussi la brillante an
tures ; la rose consacrée à Vénus, est teinte du sang d’Adonis, de ce
sang
naquit aussi la brillante anémone ; c’est encore
donis, de ce sang naquit aussi la brillante anémone ; c’est encore le
sang
d’un amant malheureux qui rougit les fruits du mû
ore le sang d’un amant malheureux qui rougit les fruits du mûrier. Le
sang
d’Ajax donna naissance au pied-d’alouette. Ces Fa
es Fables lugubres ensanglantent les eaux ainsi que les prairies ; du
sang
ou des larmes ont formé ou grossi les lacs, les f
Charybde, Scylla, les Simplegades, etc. Le corail fut produit par le
sang
de la tête coupée de Méduse, et l’ambre par les l
et même dans la pompe de leurs triomphes : on sait qu’on arrosoit de
sang
le char du vainqueur. La Mythologie offre quelque
onos, le plus jeune des Titans, qui combattit et mutila son père ; du
sang
versé par ce parricide et répandu dans la mer, na
ans et Vénus8. Ainsi, dès la première page de la Mythologie, voilà du
sang
et des crimes ; un mauvais père, une épouse crimi
ourans, leur enfonçoient leurs griffes dans le corps et suçoient leur
sang
, et après les avoir achevés, jetoient derrière eu
pectres femelles qui se nourrissoient de chair humaine, et surtout du
sang
des jeunes gens et des enfans, elles avoient le v
oit de fer, l’autre d’âne, elles avoient toujours le corps couvert de
sang
. Les Mormolycies et les Striges étoient des monst
faisoit immoler un jeune pourceau ou une brebis noire d’un an, et le
sang
de la victime servoit à purifier les mains du meu
ons plus solemnelles, appelées taurobolia, c’est-à-dire, aspersion de
sang
de taureau ou de sang de bélier, On creusoit une
appelées taurobolia, c’est-à-dire, aspersion de sang de taureau ou de
sang
de bélier, On creusoit une fosse dans laquelle de
trous, et sur ce couvercle on égorgeoit le taureau ou le bélier ; le
sang
découloit sur le coupable, il sortoit de la fosse
le coupable, il sortoit de la fosse hideux à voir et tout souillé de
sang
. Il falloit renouveler ce sacrifice tous les ving
ux d’Adonis, se métamorphosa en sanglier et le tua. Vénus changea son
sang
en anémone, de ce sang naquit la rose, ou selon d
phosa en sanglier et le tua. Vénus changea son sang en anémone, de ce
sang
naquit la rose, ou selon d’autres, la rose blanch
saison, une couleur rouge ; on prétendoit que ce changement venoit du
sang
d’Adonis, qui indiquoit ainsi tous les ans l’époq
me lança un énorme rocher sur son rival et le tua. Galatée changea le
sang
de son amant en un fleuve qu’on appela depuis Aci
dant neuf jours entiers leurs corps restèrent exposés baignés dans le
sang
, personne ne les inhuma. Jupiter, ayant pris part
Ainsi s’accomplit d’une manière cruelle la malédiction de Minerve. Le
sang
de Marsyas forma un fleuve qui prit son nom ; d’a
traordinaires. Quand Persée eut coupé la tête de Méduse, il naquit du
sang
de cette tête un Géant armé d’une épée, qu’on app
saisir sa proie, et il trouva la malheureuse Procris baignée dans son
sang
et mourante ; elle s’étoit cachée derrière ces ar
de Bellone, les combats des gladiateurs et des athlètes. On appeloit
Sang
ou jour de sang, certaines fêtes de Cybèle et de
combats des gladiateurs et des athlètes. On appeloit Sang ou jour de
sang
, certaines fêtes de Cybèle et de Bellone, dans le
ans lesquelles leurs prêtres, transportés de fureur, se couvroient de
sang
en se faisant des incisions sur tout le corps. Au
prit son père et le mutila en le frappant du tranchant de sa faux. Du
sang
qui coula de sa blessure naquirent les Furies, se
oyen employa la Terre pour se venger ? Quelles divinités naquirent du
sang
qui tomba de la blessure d’Uranus ? 9. Qui régna
jamais ils ne furent, comme ceux de Saturne et de Diane, souillés du
sang
humain. Le chêne lui était consacré, parce qu’il
demeure ordinaire. Elles ont pour coursier Pégase, cheval ailé, né du
sang
de Méduse. Pégase fit un jour jaillir d’un coup d
e Saturne eut blessé le Ciel ou Uranus (voir le n° 8), des gouttes de
sang
, des lambeaux de chair tombèrent de sa blessure d
airs du son des tambours et des cymbales. Sa conquête ne coûta pas de
sang
; les peuples se soumettaient pleins de joie à un
nal. 69. Nymphes. On donnait ce nom aux jeunes filles issues du
sang
des dieux et des hommes. Elles conservaient leur
ennemi terrible ; Aux malheurs des mortels il borne ses desseins ; Le
sang
de son parti rougit souvent ses mains ; Il habite
iroir, s’approche de Méduse et lui tranche la tête d’un seul coup. Du
sang
de ce monstre naquit Pégase, cheval ailé, qui s’é
t52. Iobate, voulant venger son gendre, sans cependant se souiller du
sang
d’un hôte, envoya Bellérophon combattre la Chimèr
e les abattit toutes d’un seul coup. Les flèches qu’il trempa dans le
sang
de l’hydre ne firent plus dès ce moment que des b
pour se venger, donne en mourant à Déjanire sa tunique, teinte de son
sang
, comme un moyen propre à lui rendre le cœur de so
revêtu qu’il se sentit dévoré par un feu intérieur, que produisait le
sang
empoisonné du centaure tué par une de ses flèches
n si cruel, Voile affreux qu’ont tissu Mégère et Tisiphone ! Tout mon
sang
enflammé dans mes veines bouillonne. Je succombe,
donne auparavant à cet ami fidèle les flèches redoutables, teintes du
sang
de l’hydre de Lerne, sans lesquelles la ville de
erbe, et nourri dans un rang Où l’on puise toujours l’orgueil avec le
sang
. Inconnu dans le sein d’une terre étrangère, Je m
d’un taureau mourant qu’ils viennent d’égorger, Tous, la main dans le
sang
, jurent de se venger : Ils en jurent la Peur, le
oup qui lui perce le flanc, Cède enfin la victoire, et tombe dans son
sang
. Polynice, tout fier du succès de son crime, Rega
uccès de son crime, Regarde avec plaisir expirer sa victime : Dans le
sang
de son frère il semble se baigner : « Et tu meurs
es Thébains comprirent que les Furies ne cesseraient de poursuivre le
sang
d’Œdipe, et ils appelèrent au trône une autre fam
t nommé généralissime, mais il faut qu’il paie cet honneur au prix du
sang
de sa fille, Iphigénie, qu’il est forcé d’immoler
vaine, Si, dans un sacrifice auguste et solennel, Une fille du
sang
d’Hélène, De Diane en ces lieux n’ensanglante l’a
oie est livrée aux flammes. Priam est égorgé par Pyrrhus, qui mêle le
sang
du vieux roi à celui d’un de ses fils. Nous conse
Son fils court éperdu, tend les bras à son père, Hélas ! et dans son
sang
tombe aux pieds de sa mère. A ce spectacle affreu
nce, « T’accordent, malheureux ! ta juste récompense ; « Toi qui d’un
sang
chéri souilles mes cheveux blancs, « Qui sous les
s nobles aïeux va dire mes exploits ; « Dis au fils de Thétis que son
sang
dégénère ; « Mais avant, meurs ! » Il dit ; et, d
aire, Du monarque traîné par ses cheveux blanchis, Et nageant dans le
sang
du dernier de ses fils, Il pousse vers l’autel la
rtel, l’enfonce, et de son flanc Arrache avec la vie un vain reste de
sang
. Ainsi finit Priam ; ainsi la Destinée Marqua par
nivers. Que tu m’offres du cœur des peintures savantes ! Les mains du
sang
d’Hector encore toutes fumantes, Achille au nom d
umain issu de la tige du Reivas, arbre mystérieux qu’avait produit le
sang
de Kaiomorts, premier homme formé par Ormuzd et t
uf fois dans les flots d’une eau sainte. Il dispose à son gré de leur
sang
odieux ; Trop au-dessous des lois, leurs jours so
i le monde. Car la chair du géant forma le continent et les îles, son
sang
la mer et les lacs, ses os les montagnes, ses den
ésentait armé d’une hache, et on l’honorait surtout par l’effusion du
sang
. Venaient ensuite quelques autres dieux, que l’on
s lois eut à punir des crimes de tout genre. Une race d’hommes née du
sang
des géants, dont la terre fut arrosée, lorsque ce
lui-ci parut, il le frappa du tranchant de sa faux, et fit couler son
sang
, dont les gouttes tombèrent sur la surface de la
s ? — Comment furent-ils délivrés ? — Que fit Saturne ? — Où tomba le
sang
de la blessure d’Uranus ? — Saturne ne régna-t-il
sacrifiait des chèvres, des brebis et de blanches génisses. Jamais le
sang
humain n’y coula comme sur ceux de Saturne ou de
te fontaine avait jailli sous un coup de pied du cheval Pégase, né du
sang
de Méduse. Ce coursier des Muses avait des ailes
ris leur essor, et se brisa la tête sur la terre qu’il teignit de son
sang
. Cette aventure exprime l’indépendance et la dign
Voici comment : Lorsque Saturne blessa Cœlus ou Uranus, son père, le
sang
de sa blessure et quelques lambeaux de chair tomb
que le sacrifice était offert sur les bords de la mer, on recevait le
sang
de la victime dans un vase ; en pleine mer, on la
ang de la victime dans un vase ; en pleine mer, on laissait couler le
sang
dans les flots. Dans le calme, on leur immolait d
umises à Minos. Les Furies. Les Furies, nées, selon Hésiode, du
sang
d’Uranus, fécondé par la Terre, et, selon d’autre
des hymnes harmonieux ; les guerriers s’exercent à des combats où le
sang
ne coule plus ; enfin tous les justes y reçoivent
ul coup, et le monstre fut vaincu. Hercule trempa ses flèches dans le
sang
de l’hydre, et ce poison rendit mortelles toutes
Il triompha de Diomède, roi de Thrace, qui nourrissait ses cavales de
sang
humain. Ce monstre, vaincu par Hercule, servit à
ure. Celui-ci, avant d’expirer, donne à Déjanire sa tunique teinte de
sang
, comme un talisman capable de faire revivre l’amo
fut à portée, il trancha d’un coup de son épée la tête de Méduse ; du
sang
de ce monstre naquit Pégase, cheval ailé qui s’él
t due au dévouement de Ménécée, fils de Créon, qui dut acheter de son
sang
le salut de sa patrie. Guerre des Épigones.
es Thébains comprirent que les Furies ne cesseraient de poursuivre le
sang
d’Œdipe, et ils prirent le parti d’appeler au trô
son empire fut détruit. Suites de la guerre de Troie. Énée, du
sang
royal de Troie, fils d’Anchise et de Vénus, emmen
qu’ils honoraient leurs dieux, auxquels ils offraient en sacrifice le
sang
des animaux. Les Perses reconnaissaient un dieu s
ls : Odin, Vili et Vé. Les fils de Bor tuèrent le géant Ymer, dont le
sang
noya toute sa race. Ce meurtre produisit la terre
la terre, car la chair du géant forma le continent et les îles : son
sang
, la mer et les lacs ; ses os, les montagnes ; ses
leur puissance était menacée par un des géants échappés au déluge du
sang
d’Ymer, et qui s’était réfugié dans une contrée l
iaut, Histoire des religions de l’antiquité. 18. Arbre indien, né du
sang
de Kaiomorts, premier homme formé par Ormuzd et t
té paraît la plus reculée. Histoire de Persée. Persée était du
sang
de Danaüs, qui fut usurpateur ou conquérant du tr
este : Persée la surprit pendant le sommeil, et lui coupa la tête. Du
sang
qui en sortit naquirent le héros Chrysaor et le c
pendant qu’elle était ensevelie dans le sommeil. Pégase naquit de son
sang
. Persée le monta, et vola vers la Mauritanie, où
duse, prit son vol par-dessus les plaines de la Libye. Les gouttes de
sang
qui coulaient de cette tête se changèrent en serp
a demander en mariage Phèdre sa sœur. Elle lui fut accordée ; mais le
sang
de Minos devait être fatal au repos de Thésée. Ce
trop crédule et désespéré, ne voulant point tremper ses mains dans le
sang
de son fils, l’abandonna au courroux de Neptune.
prétentions à ce trône ; il regardait Égée lui-même comme étranger au
sang
royal des Érechthides. Il prit les armes pour s’e
et voulut l’enlever ; mais le héros lui décocha une flèche teinte du
sang
de l’hydre, et le blessa mortellement. Nessus se
contraire, que son frère Éson le fit mourir en le forçant à boire du
sang
de taureau. Les Argonautes, avant de se séparer,
é de vérité. Ce prince fut mis à mort par Éson, qui lui fit avaler du
sang
de taureau : il n’existait plus lors du retour de
résus. Ce grand prêtre de Bacchus ne put voir Callirhoé, princesse du
sang
royal, sans éprouver pour elle la passion la plus
rénésie, et les Thébains, persuadés que les Furies s’attacheraient au
sang
d’Œdipe tant qu’il en resterait une goutte sur la
retranchemens servaient d’asile aux vaincus ; la victoire coûtait du
sang
, et ne produisait rien. « Les jours suivans, la f
ait une prompte satisfaction de la part de son compagnon d’armes ; le
sang
versé demandait du sang. « Cette idée, fortement
tion de la part de son compagnon d’armes ; le sang versé demandait du
sang
. « Cette idée, fortement imprimée dans les esprit
princesses chargées de fers, traînées comme des esclaves à travers le
sang
qui ruisselait dans les rues, au milieu d’un peup
ne loi par laquelle il fallait tenir à cette famille par les liens du
sang
, pour être admis à concourir aux jeux olympiques.
ie islandaise, cette divinité terrible, qui se plaisait à répandre le
sang
des nommes, en était le créateur et le père. Dieu
, qui était père d’Odin. Les fils de Bor tuèrent le géant Ymer, et le
sang
coula de ses blessures en si grande abondance, qu
le corps du géant dans l’abîme, et en fabriquèrent le globe ; de son
sang
ils formèrent la mer et les fleuves ; la terre, d
épée, où le crime infestera la terre, où les frères se souilleront du
sang
de leurs frères, où les fils seront les assassins
est ordinairement une cavité, qui servait probablement à recevoir le
sang
des victimes. On trouvait ordinairement auprès, d
reau gras. Quand on eut une fois posé pour principe que l’effusion du
sang
des animaux apaisait la colère des dieux, et que
ces si faciles se multiplièrent ; et dans les calamités publiques, ce
sang
paraissant trop vil, on fit couler celui des homm
eux-mêmes de leurs destinées. Le choix ne tombait pas toujours sur un
sang
vil ; plus la victime était chère, plus on croyai
fer et de cuivre, un plus grand que les autres, servait à recevoir le
sang
des victimes. Après avoir tué promptement les ani
ù ils étaient étouffés ou écrasés. Quelquefois on faisait couler leur
sang
, et l’impétuosité avec laquelle il jaillissait ét
s, ou suspendus dans un bois sacré, voisin du temple. On répandait le
sang
en partie sur le peuple, en partie sur le bois sa
ur fait imaginer les dieux sanguinaires comme eux ; de là ces lois de
sang
qui frappent avec un poignard le malheureux qui v
i nécessaire. On ne croyait point que la mort pût rompre les liens du
sang
et de l’amitié. Les ombres s’intéressaient à tous
exister, les armes qu’il avait dans la maison paraissaient teintes de
sang
; que son ombre allait visiter le lieu de sa nais
On pourra prédire l’avenir selon que le corps tombera, selon que son
sang
coulera, ou selon que la plaie s’ouvrira. 11°. Le
arine, du sel et de l’encens. Ses autels ne furent jamais souillés de
sang
humain. Le chêne lui était consacré, parce qu’on
. La frayeur et la mort vont sans cesse à ta suite, Monstre nourri de
sang
, cœur abreuvé de fiel, Plus digne de régner sur l
xerçaient à la lutte, sans craindre de se blesser et de répandre leur
sang
; enfin tous trouvaient le bonheur dans l’activit
s prêtres du dieu Pan se nommaient luperci. 3. On ne versait point le
sang
des victimes sur ses autels, on ne lui offrait qu
n lui offrait des fruits, des fleurs et des couronnes, mais jamais le
sang
ne coulait sur ses autels. 5. La Liberté, le plus
l’ennemi terrible. Aux malheurs des mortels il borne ses desseins, Le
sang
de son parti rougit souvent ses mains : Il habite
i sur tout le corps des incisions, et croyaient agréable à Bellone le
sang
qui sortait de ces plaies. 3. Les Tempêtes étaien
t les mit en pièces. C’est ainsi qu’il prouva qu’il était vraiment du
sang
de Jupiter. Le devin Tirésias lui prédit tous ses
ul coup de sa massue, et envenima ses flèches en les trempant dans le
sang
de ce monstre épouvantable. 3º Une biche consacré
t, Nessus songea à sa vengeance. Il donna sa robe toute teinte de son
sang
à Déjanire, en lui disant qu’elle pourrait s’en s
en gémissant, à ce cri redoutable. Jusqu’au fond de nos cœurs, notre
sang
s’est glacé ; Des coursiers attentifs le crin s’e
oule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de
sang
et de fumée. La frayeur les emporte ; et, sourds
eliques. Je cours en soupirant, et sa garde me suit ; De son généreux
sang
la trace nous conduit ; Les rochers en sont teint
abusé Plaint le malheur d’un fils faussement accusé, Pour apaiser mon
sang
et mon ombre plaintive, Dis-lui qu’avec douceur i
rre des monstres et des brigands qui la remplissaient de crimes et de
sang
. 2. Persée était fils de Jupiter et de Danaé, fil
rmes divines, il vainquit ces monstres et coupa la tête de Méduse. Du
sang
qui sortit de cette tête naquit Pégase, le coursi
ntre Bellérophon. Il ne voulut pourtant pas tremper ses mains dans le
sang
de ce héros illustre. Il prit le parti de l’expos
uccès de son crime, Regarde avec plaisir expirer sa victime : Dans le
sang
de son frère il semble se baigner, Et tu meurs, l
e trône de Laïus ; mais la malédiction portée par le destin contre le
sang
d’Œdipe ne cessa de s’appesantir sur cette famill
ce troyen, et violé les droits les plus sacrés. Hercule, issu du même
sang
, avait détruit la ville de Troie et fait mourir L
ant une biche consacrée à cette déesse, et il ajouta qu’il fallait le
sang
d’Iphigénie, la fille de ce prince, pour calmer l
aine, Si dans un sacrifice auguste et solennel, Une fille du
sang
d’Hélène De Diane en ces lieux n’ensanglante l’au
d’elles montait sur l’escabeau, la frappait à la gorge et recevait le
sang
dans une coupe ; la couleur de ce sang, sa rapidi
pait à la gorge et recevait le sang dans une coupe ; la couleur de ce
sang
, sa rapidité, sa direction donnaient autant de si
es convulsions de ces membres, de l’abondance et de la couleur de son
sang
; quelquefois ils la crucifiaient à des poteaux d
, qui était père d’Odin. Les fils de Bor tuèrent le géant Ymer, et le
sang
coula de ses blessures en si grande abondance qu’
le corps du géant dans l’abime, et en fabriquèrent le globe ; de son
sang
ils formèrent la mer et les fleuves ; la terre, d
rûtes aux lieux où vous fûtes laissée !… Puisque Vénus le veut, de ce
sang
déplorable, Je péris la dernière et la plus misér
s fers après les miens ont pour vous de la honte. « Sur-tout de votre
sang
il faut me rendre compte. « Ne chassez point aux
courte de l’amant de Vénus : cette fleur est l’anémone. On dit que le
sang
qui s’échappait de la blessure d’Adonis donna à l
m de Vénus érycine : les victimes y marchaient d’elles-mêmes, et leur
sang
était toujours caché par les fleurs et les gazons
ts : en vain il peint à Daphné son amour ; en vain il vante en lui le
sang
de Jupiter : la nymphe fuit devant lui ; et craig
n’était pas le seul que le fils d’Apollon eût ressuscité. Au moyen du
sang
de la Gorgone, que Minerve lui avait donné, il re
et l’écorcha vif. Cet acte de cruauté irrita la Terre, qui changea le
sang
de Marsyas en un fleuve de Phrygie qui porte son
de Minerve, il vainquit Méduse, et lui coupa la tête. Des gouttes de
sang
qui tombèrent à terre, se formèrent autant de ser
’herbe qui en fut teinte se transforma en corail. On dit aussi que du
sang
de cette Gorgone naquit le cheval ailé, nommé Pég
affermir l’édifice fragile, En solides appuis il façonne l’argile. Du
sang
prêt à couler il creuse les canaux, De la fibre m
l’anime et l’embrase : Le céleste rayon pénètre par degrés : Déjà le
sang
circule en ruisseaux colorés, Les yeux s’ouvrant
nt les divinités de l’Olympe, qu’il soumettrait tous les héros de son
sang
au prince qui devait naître ce jour-là. Junon aus
De l’infame Cacus fut l’infame séjour. Des têtes au front pâle et de
sang
dégouttantes A sa porte homicide étaient toujours
nstre à qui la voix, la lumière est ravie, Arrête dans sa gorge et le
sang
et la vie30. » Hercule devenu amoureux d’Iole, f
donner sa proie. Le centaure près d’expirer mouille sa tunique de son
sang
et du sang venimeux de l’hydre de Lerne, et l’off
roie. Le centaure près d’expirer mouille sa tunique de son sang et du
sang
venimeux de l’hydre de Lerne, et l’offre à la jeu
brasées. Plus loin, l’impétueux Cocyte pousse avec furie ses flots de
sang
noir, et se précipite en bouillonnant. Le Styx, d
coursier, qui n’obéit qu’à la voix d’Apollon et des Muses, naquit du
sang
de la tête de Méduse. Sur les coteaux de cette mo
ait un arbre, on entendait de tristes gémissements, et l’on voyait du
sang
jaillir de l’écorce. Érisichthon ayant été insens
aient ordinairement les villageois du voisinage. Enfin on frottait du
sang
de la victime ou d’huile la pierre qui servait de
, les Maladies, la Misère vêtue de haillons, la Guerre dégouttante de
sang
, la Mort, les Gorgones aux cheveux de serpents, l
de temples ni d’autels. On lui sacrifiait des victimes noires dont le
sang
était reçu dans une fosse. Le cyprès et le narcis
u secours de son amant : il était sans vie. Elle arrosa de nectar son
sang
, qu’elle changea en une fleur appelée anémone. Ma
acrifiait pas de victimes, et ses autels n’étaient jamais souillés de
sang
; on se contentait d’y brûler de l’encens et des
habituée à combattre les animaux les plus féroces et à répandre leur
sang
, avait par cela même un naturel farouche, et se p
l’inventeur du miel, suivaient ses pas. Sa conquête ne coûta point de
sang
: les peuples se soumettaient avec joie à un conq
oit domestiques, soit sauvages. On s’y barbouillait le visage avec du
sang
, avec de la lie de vin rouge, ou avec le jus des
porte de leur temple quatre autels, répandre au pied de ces autels le
sang
de quatre taureaux et de quatre génisses, abandon
de son égide, combattit les Gorgones et trancha la tête à Méduse, du
sang
de laquelle naquirent Chrysaor et le cheval Pégas
quel il offrait du vin, des fleurs, des fruits, de l’encens ; mais le
sang
des victimes ne coulait jamais sur son autel. — L
se laisse charger de chaînes et conduire à l’autel où doit couler son
sang
; mais à peine y est-il arrivé, qu’ayant rompu se
sus, en mourant, songe à se venger : il prend sa tunique, infectée de
sang
et de venin, la donne à Déjanire, et lui persuade
rme serpent était couché sur les corps de ses compagnons, buvait leur
sang
et se nourrissait de leurs chairs palpitantes. So
ces frères infortunés se mêlent, s’entr’égorgent, et arrosent de leur
sang
le sol qui venait de les enfanter. Il n’en resta
anda en mariage Phèdre, fille de Minos, qui lui fut accordée. Mais le
sang
de Minos devait être funeste au repos de Thésée.
la lettre dont son hôte était porteur ; mais pour ne pas souiller de
sang
son palais, il prit le parti d’exposer Belléropho
ui en est renversé. Ce dernier effort épuise Tydée : il perd tout son
sang
par sa plaie. Ses amis l’emportent, et le déposen
illes et y demeura trois jours, occupé à le déchirer et à épuiser son
sang
. Une si importante victoire appelait un juste sal
n avec une épée qu’il avait reçue d’Hector. La terre, mouillée de son
sang
, fit naître une fleur semblable à la jacinthe, et
chaque soir il se gorgeait de boissons enivrantes et se repaissait de
sang
humain. Le roi d’Ithaque, sans s’émouvoir, s’entr
atium ; bientôt arrivera sur ces bords un capitaine étranger, dont le
sang
mêlé au nôtre élèvera jusqu’au ciel la gloire du
e. Le Latium est le théâtre d’une guerre prolongée. Après beaucoup de
sang
répandu, les deux rivaux convinrent de terminer l
s’assied sous l’arbre indiqué. Une lionne, la gueule encore rougie du
sang
des bœufs qu’elle venait de dévorer, arrive en mê
rier sous lequel Pyrame et Thisbé venaient de périr fut teint de leur
sang
, et le fruit qu’il portait devint dès cet instant
vec des tenailles, et l’arrache. Philomèle tombe évanouie, baignée de
sang
. Revenue peu à peu à elle et ouvrant les yeux, el
Progné, changée en hirondelle, conserva sur son plumage les traces du
sang
d’Itys. Pandion, leur père, ne survécut pas à tan
tombeau, pour y combattre les uns contre les autres, et faire de leur
sang
une libation en son honneur : on appela ces oisea
l éprouve. Il la touche encore ; elle est déjà moins froide ; déjà le
sang
circule dans ses veines. Il lui presse la main, i
s, elles employaient des plantes vénéneuses, des œufs de chouette, le
sang
des crapauds, la moelle des jeunes garçons et les
ses autels ne furent, comme ceux de Saturne et de Diane, souillés de
sang
humain. Junon. Junon, fille de Saturne et
on ne lui offrait que des victimes noires, dont on faisait couler le
sang
dans une fosse. On le représentait tantôt sur un
Hercule, indigné de cette perfidie, lui décocha une flèche teinte du
sang
de l’hydre de Lerne, et le blessa mortellement [F
de Prœtus. Cependant, Iobate lui-même, n’osant souiller ses mains du
sang
de son hôte, le pria de délivrer le pays de la Ch
hébains, persuadés que les Furies ne cesseraient pas de poursuivre le
sang
d’Œdipe et la race de Cadmus, mirent une autre fa
en fuyant laissa tomber son voile que la lionne déchira et teignit de
sang
. Pyrame arrive ensuite ; il reconnaît le voile, a
e cœur [Fig. 111]. Les fruits du mûrier, sur lequel avait rejailli le
sang
des deux amants, devinrent rouges, de blancs qu’i
le toit du palais. Elles ont conservé dans leur plumage des taches du
sang
dont elles s’étaient souillées. Térée lui-même fu
tard. Inconsolable de l’avoir perdu, elle fit naître l’anénome de son
sang
, et s’abandonna longtemps à la plus vive douleur.
s aussitôt elle s’aperçut qu’il sortait de cette fleur des gouttes de
sang
. Effrayée, elle veut s’enfuir ; mais ses pieds s’
ait plaira-t-il, s’il n’a pour ornement Les larmes d’une amante ou le
sang
d’un amant ? Qu’aura de beau la guerre, à moins q
tion, les révélations primitives. 29. Pégase, cheval ailé, naquit du
sang
de Méduse, une des Gorgones, à qui Persée coupa l
Les dieux imaginaires des anciens leur parurent sans doute altérés de
sang
, puisqu’ils crurent se les rendre favorables par
orceau de roc et l’écrasa. La nymphe, pénétrée de douleur, changea le
sang
d’Acis en un fleuve qui parcourt la Sicile et por
eux. Leurs crins hérissés, leurs yeux ardens, leur bouche écumante de
sang
, leurs narines soufflant et respirant la vengeanc
représente, le casque en tête, tenant un fléau ou une verge teinte de
sang
: quelquefois elle tient une torche, et paraît, l
élevait paisiblement Apollon et Diane. Fière de reconnaître en eux le
sang
du maître du tonnerre, elle préférait ses enfans
l dirigea le disque de ce dieu sur la tête d’Hyacinthe, et le tua. Le
sang
qui sortit de sa blessure produisit la fleur qui
perfide. Outré de fureur, Hercule tua le roi, mit la ville à feu et à
sang
, et emmena prisonnier Priam, fils de Laomédon.
Ils abordent ensemble, ils s’élancent des mers, Leurs yeux, rouges de
sang
, lancent d’affreux éclairs, Et les rapides dards
arrache de son flanc D’affreux lambeaux suivis de longs ruisseaux de
sang
. Leur père accourt : tous deux à son tour le sais
e Dépasse encor son front de sa crête orgueilleuse. Lui, dégoûtant de
sang
, souillé de noirs poisons Qui du bandeau sacré pr
it blanche, ayant piqué Adonis d’une de ses épines, fut teinte de son
sang
. Le myrthe lui était aussi dédié. Le saut de
inités de la mer, Ino et Mélicerte. Junon, toujours irritée contre le
sang
d’Agénor, père d’Europe et de Cadmus, troubla l’e
On les dit filles de l’Achéron et de la Nuit. Leur robe, souillée de
sang
, est tantôt noire tantôt blanche ; noire quand el
ar Vulcain. Vainqueur des Gorgones, Persée coupa la tête à Méduse. Du
sang
qui en sortit naquit le cheval Pégase, qui, s’env
ercule, qui devina son dessein, le perça d’une flèche trempée dans le
sang
de l’hydre de Lerne. Le centaure en tira une affr
se vengeance : avant d’expirer, il donna à Déjanire sa robe teinte de
sang
; il la conjura de la garder à cause de lui, et l
inité. Hercule, en mourant, avait laissé ses flèches trempées dans le
sang
de l’hydre à Philoctète, fils de Pœan et son comp
flèche tirée au hasard lui donna la mort. Énée Enée était du
sang
royal de Troyes. La fable lui donne Vénus pour mè
ches sanglans : Non, tu n’es pas le fils de la mère d’Amour. Non, au
sang
de Teucer tu ne dois pas le jour : N’impute pas a
s le jour : N’impute pas aux dieux la naissance d’un traître, Non, du
sang
des héros un monstre n’a pu naître. [Delille] En
he year round. It never rained there and it was never cold; the birds
sang
from morning till night, and the flowers bloomed
gurgling brooks and tuneful birds and bright flowers. She laughed and
sang
to the beautiful world about her, and in return a
in vain the sun looked down with his cheery smile; in vain the birds
sang
their happy songs. She cared for none of them, an
she is nothing but a voice, but there was a time when she danced and
sang
in the green woods with the other nymphs. She had
floated about for many days, and Danaë held her little boy close, and
sang
him sweet lullabies, to keep him from crying at t
ore the wind; the sails flapped merrily, while the happy-hearted crew
sang
at their work. Ceyx was thinking of his dear wife
Hyacinthus was gone, he turned to this old friend for comfort. And he
sang
a song of love and mourning for the boy, so sadly
as a wand of willow, Stately as a deer with antlers. When he
sang
the village listened; All the women came to hear
ll the hearts of men were softened By the pathos of his music; For he
sang
of peace and freedom, Sang of beauty, love, and l
oftened By the pathos of his music; For he sang of peace and freedom,
Sang
of beauty, love, and longing; Sang of death and l
For he sang of peace and freedom, Sang of beauty, love, and longing;
Sang
of death and life undying In the land of the Here
is pipe of reeds, and sat down on a rock that overhung the water, and
sang
a song to his love. At the sound of his voice, th
a nymphs hid themselves in their green caves. And this is the song he
sang
: “O Galatea, you are fairer than the petals of th
ur ocean home, oh whitest nymph, come unto me who long for you.” Thus
sang
Polyphemus. But Galatea was only frightened at th
Méduse. Ce combat se passa sur le bord de la mer, quelques gouttes du
sang
de cette tête formidable tombèrent sur des branch
Alcmène épousa Amphitrion auquel elle étoit unie de très-près par le
sang
. Amphitrion étoit fils d’Alcée et d’Hipponome, et
l’atteignit et le blessa mortellement. Cette flèche, trempée dans le
sang
de l’Hydre, empoisonna le sang du Centaure qui, s
llement. Cette flèche, trempée dans le sang de l’Hydre, empoisonna le
sang
du Centaure qui, se sentant mourir, ne songea plu
n les appela d’abord Acropates, c’est-à-dire, ennemies et altérées du
sang
des hommes. Les Grecs les nommèrent Amazones. On
ses étymologies. Ilinus et Scolopite, deux jeunes Princes Scythes, du
sang
royal, furent chassés de la Cour et du pays par l
d’un festin solemnel qu’il donna à Thieste, et il lui fit boire leur
sang
mêlé dans du vin. Le soleil se cacha d’horreur po
épée sanglante au barbare Atrée en lui disant qu’elle étoit teinte du
sang
de Thieste. Atrée, s’applaudissant de sa vengeanc
urna contre lui-même l’épée qu’il avoit reçue d’Hector et se tua. Son
sang
fut changé en Hyacinthe, fleur en laquelle avoit
le jeune homme de ce nom tué par Apollon. Quelques-uns disent que le
sang
d’Ajax fut changé en pied d’alouette où l’on croi
ée par les Grecs et les Romains. Il n étoit pas permis de répandre du
sang
sur ses autels, ainsi les sacrifices qui honoroie
t clignottans, De feux obscurs sont chargés en tout temps, Au lieu de
sang
dans ses veines circule Un froid poison qui les g
ows and cool groves. Upon the lake floated white swans; in the groves
sang
choirs of birds, all day long; and above the mead
us, son of the muse Calliope. He understood all music. When the birds
sang
, when the trees murmured and whispered, when the
ich the Greeks called a lyre. Upon this lyre Orpheus would play as he
sang
. Never since Apollo tended the flocks of King Adm
ng places and lie down peacefully about him as he played the lyre and
sang
. Thus Orpheus had many friends. But the one who l
the dark kingdom of Pluto and Proserpina. Orpheus was heartbroken. He
sang
of his grief to the gods of the streams and to th
eams and to the spirits of the trees, but they could not help him. He
sang
of it to the people of Thrace, but they could onl
t of a live person. As the boat was moving across the stream, Orpheus
sang
of Eurydice, and it is said that the tears flowed
ever miss from its hosts of inhabitants. “I pray you, let her go,” he
sang
to the dark ruler. “She will come back at the end
n punishment were freed from their everlasting tortures while Orpheus
sang
. “Grant him Eurydice, O King,” said Proserpina; a
k sails there were songs and rejoicing. The young men and the maidens
sang
and danced, and grateful sacrifices were offered
ked, the roses and violets sprang up about her feet and all the birds
sang
with joy. As Paris gazed, she smiled and his hear
rolling and rumbling toward the walls. Youths and maidens danced and
sang
before it as it moved, and children scattered flo
m. Then someone said, “We will return no ‘more”: And all at once they
sang
, “Our island home Is far beyond the wave; we will
, dans son art parricide, S’instruisent les peuples entiers ; Dans le
sang
on cherche la gloire ; Et, sous le beau nom de Vi
un mot du cheval Pégase. R. Pégase est un cheval ailé, qui naquit du
sang
de Méduse, lorsque Persée coupa la tête à cette G
La frayeur et la mort vont sans cesse à ta suite, Monstre nourri de
sang
, cœur abreuvé de fiel, Plus digne de régner sur l
’ennemi terrible : Aux malheurs des mortels il borne ses desseins. Le
sang
de son parti rougit souvent ses mains. Il habite
ays voisins du jardin des Hespérides. Il coupa la tête de Méduse ; du
sang
de Méduse naquit, dit-on, le cheval Pégase. Persé
e perça d’une flèche. Nessus prêt d’expirer, trempa un voile dans son
sang
, et le donna à Déjanire comme un remède à l’indif
nnis, Et les os dispersés du géant5 d’Epidaure, Et la Crète fumant du
sang
du Minotaure. (De la Fosse.) D. Dites-nous en pe
el. Ce monstre, homme et taureau, qu’un fol amour fit naître, Qui du
sang
des humains brûloit de se repaître, Sous le fer d
mon crime ; Grands Dieux, ne tonnez plus ! Prenez votre victime. Mon
sang
vous a fléchis, Thèbes ne souffre plus ; Vous pay
coup qui lui perce le flanc, Lui cède la victoire, et tombe dans son
sang
. Polinice tout fier du succès de son crime, Regar
coup pour toujours sa puissance. Aussitôt après cette mutilation, le
sang
d’Uranus ayant rejailli sur la terre, il put enco
cevaient sur toutes les parties du corps ces douches ou aspersions de
sang
. Long-temps une simple pierre conique et quadrang
le vouloir, frappa au genou son maître avec une flèche empoisonnée du
sang
de l’hydre de Lerne. Aussitôt Hercule voulut appl
ient remuer les rochers et les montagnes. Nés de la Terre fécondée du
sang
qui coula de la plaie d’Uranus mutilé, ils avaien
le foudroyer jusqu’au pied du mont Hémus ; là, commençant à perdre du
sang
, Typhoé veut fuir à travers la mer de Sicile ; dé
stitua la religion de Jupiter, qu’il entoura d’idées grossières et de
sang
, en lui offrant, pour mieux l’honorer, des sacrif
et surnoms suivans : Adamus ou l’invincible, Aimocharès ou aimant le
sang
, Agomius ou président aux spectacles, Alloprosado
rieusement des incisions aux bras ou aux cuisses pour lui offrir leur
sang
en sacrifice ; mais plus tard ces blessures ne fu
celui de Diane, et les Spartiates honorèrent long-temps ses autels de
sang
humain. On lui consacrait particulièrement le chê
t la Crimée, avait cela de particulier que son autel ne fumait que du
sang
de victimes humaines. C'étaient les étrangers nau
une victime humaine, de manière à en faire couler quelques gouttes de
sang
. Les Canephories étaient des fêtes de Diane en Si
onnaître l’histoire de ce cheval merveilleux. Il était né, dit-on, du
sang
de Méduse, reine des Gorgones, qui fut tuée par P
pleurent l’infortuné, et ces larmes, dit-on, ou, suivant d’autres, le
sang
de Marsyas, donne aussitôt naissance au fleuve de
a douleur, il transporta son corps parmi les astres, et fit naître du
sang
qu’il perdit une fleur qui porte son nom et au fo
coulait dans le ciel. C'est, dit-on, depuis cette catastrophe, que le
sang
ou, pour plus de vérité, la peau des Ethiopiens,
ée sur les autels d’ Athânâ ou Minerve. Aussitôt la scène change : le
sang
qui coule d’un cœur pur, le sang d’une vierge rac
nerve. Aussitôt la scène change : le sang qui coule d’un cœur pur, le
sang
d’une vierge rachète tout un peuple. Ce dogme de
se, avec découragement, ils ont entre eux une déesse retrempée par ce
sang
vermeil et pur qu’elle a goûté, et leur Dieu ou D
semait alors ces cendres sur des charbons ardens que l’on arrosait de
sang
de cheval. Ensuite on mettait le feu à des gerbes
vier, le romarin, le pin et le laurier, des tiges de fèves et même du
sang
de cheval et des parfums. Après cette purificatio
e sur le corps de son bien-aimé, déchire son voile et veut arrêter le
sang
qui s’échappe de sa blessure, mais il était trop
on amant reste sur la terre ; elle recueille donc quelques gouttes du
sang
de sa blessure et en fait éclore la fleur que nou
i précédemment toujours blanches changèrent de nuance, en recevant le
sang
divin de la reine de Paphos. Quelle était l’idée
victoire de Vénus sur ses compagnes, que la rose devait sa couleur au
sang
que les épines avaient fait couler de ses pieds ;
ieu cruel, il aiguise ses flèches sur une pierre qu’il a teint de son
sang
. Quant à Eros ou amour, il est aveugle, car il ne
us deux enfans de Tyndare ; du second, Pollux et Hélène, tous deux du
sang
de Jupiter. Hélène apporta en naissant, cette bri
qui avaient ordre de rire pendant l’opération ; on essuyait le peu de
sang
qui s’échappait avec de la laine imbibée de lait
champs, on lui offrait du lait et l’on sacrifiait des agneaux dont le
sang
était précieusement répandu sur ces mêmes bornes.
écrasa ce cancre et tua l’Hydre ; puis il trempa ses flèches dans le
sang
vénéneux de cet immense reptile ; et par suite ce
itôt Hercule lance contre lui une de ses flèches empoisonnées avec le
sang
de l’hydre de Lerne et le blesse à mort ; mais Ne
révéré après le bœuf ; dans les Gaules, on faisait couler pour lui le
sang
de victimes humaines ; et à Rome, la première fig
énos, à ce bruit se réveillent et veulent venger leur sœur ; mais son
sang
qui vient de toucher la terre, ayant donné naissa
onde avec une chevelure blanche. Quant à Chrysaor, né comme Pégase du
sang
de Méduse, il prit son nom de ce qu’il portait en
par le nombre. Adraste seul survécut, emporté par Arion, coursier du
sang
des Dieux. Voici comment finirent ces héros ; Am
par Mélanippe, le dernier des fils de Mélas, il tomba baigné dans son
sang
, laissant Tydides, ou Diomède ou Diamène son fils
Jupiter-Milichius, pour avoir été obligé de tremper ses mains dans le
sang
, surtout d’un parent tel que Sinis, descendant de
rme rocher, le poursuit, l’atteint, et l’écrase sous cette masse. Son
sang
rejaillit sur son amante éperdue : mais déjà ce n
on sang rejaillit sur son amante éperdue : mais déjà ce n’est plus du
sang
, car cette amante fidèle, Galatée, veut que son a
utre forme, et aussitôt le corps d’Acis s’est changé en rocher et son
sang
en une onde transparente. Ce fleuve se nomme aujo
re confondus avec le centaure Nessus, dont la tunique couverte de son
sang
empoisonné causa la mort d’Hercule. Oaxès ou Oax
temps calme, ou d’un taureau noir pendant la tempête, ou de porcs. Le
sang
de ces victimes était reçu par les ondes en plein
une fleur pour la lui donner ; son étonnement fut grand en voyant le
sang
couler goutte à goutte du calice de cette fleur e
rre et lui ouvrait le ventre avec un instrument appelé secespita ; le
sang
coulait dans une fosse préparée d’avance, et se m
, et pour l’honorer, ils immolaient un taureau et faisaient couler le
sang
dans les eaux de la fontaine Cyane, fontaine qui
e des vautours sur les champs de batailles, pour déchirer et sucer le
sang
des malheureux tombés sous les coups des ennemis,
boire sa coupe à ses lèvres, il jette un cri d’horreur, car c’est du
sang
humain qui la remplit, et pour mieux lui faire co
urer le courroux de la déesse des bois, et qu’il faut qu’elle soit du
sang
d’Agamemnon. A ces mots, Ulysse, au nom de l’armé
e s’apaiserait que lorsqu’on lui aurait immolé une victime humaine du
sang
d’Agamemnon. Aussitôt, les Grecs poussés par ce d
para de son ame, et il s’enfonça son épée dans le cœur. On dit que du
sang
tombé de sa blessure naquit une fleur nommée Hyac
n aussi sûre, va percer le cœur d’Antinoüs, qui tombe baigné dans son
sang
; alors, Ulysse dit son nom, et, secondé par Télé
Achille connut-il la mort de son ami, qu’il jura de la venger dans le
sang
du vainqueur. Aussitôt, on s’en souvient, il sais
e du fameux Diomède. Il fut blessé par Teucer, mais Apollon arrêta le
sang
qui jaillissait de sa blessure ; plus tard, Ajax
a suite de Pallas et tué par Turnus ; Massique l’Etrusque ; Muran, du
sang
royal, fut tué par Turnus ; Pallas, fils d’ Evand
oire dans la Troade. Alors on fait naître Latinus et Romus ou Roma du
sang
d’Ulysse ou de Télémaque. Mais, en réfléchissant
se. Sabon ou Sabus, dieu national et tout puissant des Sabins. San ou
Sang
ou Sanct, dieu des sermens chez les Sabins. Satur
nt comme le conducteur de la foudre, et font couler sur ses autels du
sang
humain aussitôt qu’ils se croient menacés du moin
surgir Brahmâ, tandis que Roudra ou Siva-Roudra naît d’une goutte de
sang
qui vient de tomber du front de ce grand Dieu. On
érable à cent mille vaches. Dharma, d’Harmaradjah, roi sage, issu du
sang
des Tchandrapontes, était fils de Pandou et de Ko
de paraître devant elle, il se coupa un doigt et lui donna à boire le
sang
qui s’échappa de cette blessure ; pourtant, peu s
upa sa cinquième tête. Il reçut dans le crâne de la tête de Brahmâ le
sang
des Deverkels et des Mounis qu’il avait tués. On
glanté était toujours couvert de mouches, qui se nourrissaient de son
sang
. Ce Dieu appelé aussi Boug, ou Belbog ou Bog, ou
s de cette idole des chrétiens prisonniers ; le prêtre buvait de leur
sang
, puis faisait entendre des prophéties, dont perso
tuèrent Iimer, mais de ses plaies il coula une si grande quantité de
sang
que tous les géans de glace furent noyés, à la ré
, car les os d’Iimer firent les montagnes, ses dents les pierres, son
sang
les eaux et les fleuves, son crâne le ciel, ses s
Dvergars ou nains malicieux, immolèrent le sage Kouacer, et, avec son
sang
mêlé à du miel, ils préparèrent l’hydromel, lique
parition, un sacrifice ordinaire ne suffisait plus, il lui fallait du
sang
humain. Aussitôt que le prêtre avait tiré quelque
du sang humain. Aussitôt que le prêtre avait tiré quelques gouttes de
sang
à celui qui avait négligé de lui faire un sacrifi
ur, les mères déchiraient cruellement leurs filles et en offraient le
sang
à Toïa, en prononçant trois fois son nom. Pendant
lle, ils lui sacrifiaient des prisonniers, et teignaient sa statue du
sang
des victimes. Botchica, ou Memquetheba ou Zouhé,
ésultat des guerres. Ces fétiches sont des brasselets trempés dans le
sang
d’une poule immolée à la nouvelle lune ; le succè
, 313. Sancus, 380. Sandak, 162, 165. Sandana, 423. Sandjiaioga, 409.
Sang
, 383. Sangare, 6, 302. Sangaride, 6, 7, 302. Sang
Lycaon, roi de ce pays, que l’on accusait de se plaire à répandre le
sang
de tous les étrangers qui tombaient en son pouvoi
ollon, qui le prêtait quelquefois aux bons poëtes. Pégase était né au
sang
de Méduse, lorsque Persée coupa la tête à cette G
eune chasseur d’une grande beauté, qui fut tué par un sanglier, et du
sang
duquel Vénus fit naître l’anémone. Les poëtes ont
mais Persée résolut de la sauver. Monté sur Pégase, cheval ailé né du
sang
de Méduse, il fondit sur le monstre au moment où
en étant aperçu, décocha contre le traître une flèche plongée dans le
sang
de l’hydre de Lerne, dont la blessure était morte
retour de son fils ; Médée, touchée de ses souffrances, renouvela son
sang
épuisé, et lui rendit, par la force de ses enchan
eries dont il allait être l’objet. La jacinthe naquit, dit-on, de son
sang
. Il y eut un autre Ajax, fils d’Oïlée, célèbre pa
épulture, ni l’endroit où il enterrerait ses flèches trempées dans le
sang
de l’hydre. Lorsque les Grecs partirent pour Troi
nce au défaut de la cuirasse d’Hector, celui-ci tomba baigné dans son
sang
. Achille traîna son cadavre autour des murs de Tr
trées sauvages, on avait la coutume barbare de rougir leurs autels de
sang
humain. Questions. De quelle contrée le cult
du Liban, coulait un ruisseau qu’on appelait Adonis et qui roulait du
sang
, disait-on, pendant les fêtes de ce dieu. Les Ath
. Quand les brouillards d’octobre rampent sous les pampres jaunis, le
sang
du dieu ruisselle des cuves sacrées et teint les
eux sortes d’adeptes. Les uns, race bénie, boivent le plus pur de son
sang
pour y puiser la joie, et la santé, fille de la j
Les autres, hérésiarques maudits, s’enivrent d’un mélange qui n’a du
sang
divin ni le goût, ni la couleur vermeille. Le die
lcain. — Prenez-y garde, Jupiter. La hache coupe bien et il y aura du
sang
. L’enfantement sera douloureux. Jupiter. — Frapp
sant sa course ordonnée, Tu sais, dieu jaloux, si nous te fêtons ; Du
sang
d’un chevreau le vieil autel fume, Le cra
foyers (pro focis), il ne vient à l’esprit de personne de verser son
sang
pour la pierre plate où il allume son feu. Dans c
ivier et aspergeait la place et l’assemblée avec de l’eau salée ou du
sang
de porc, qui avait la vertu de laver les péchés.
une foule d’autres points. Elles buvaient le vin des libations ou le
sang
des victimes. Elles poussaient, en s’envolant, de
es divines chanteuses, qui l’entraînaient dans l’abîme et buvaient le
sang
du misérable. Ulysse l’avisé avait entrevu le ven
dieux de lui couper la tête à lui-même, de mêler avec de la terre le
sang
qui coulerait, et d’en former les hommes et les a
nvolontairement avec une de ses flèches qui avait été trempée dans le
sang
de l’hydre. Cette blessure causa au centaure Chir
es incisions à la cuisse. Ils offraient en sacrifice à leur déesse le
sang
qui coulait de ces blessures, mais cette cruauté
ine de Vénus. Hésiode dit qu’elle naquit de l’écume de la mer, et du
sang
que perdit Cœlus lorsqu’il fut blessé par Saturne
che d’abord, mais qu’elle avait été légèrement teinte en rouge par le
sang
d’Adonis, qu’une épine avait fait couler. On lui
férieurs. On faisait des fosses dans lesquelles on laissait couler le
sang
des victimes, que l’on choisissait toujours d’une
rse. (2) Mythical Musicians and Poets. — Since the poets of antiquity
sang
their stories or hymns to an accompaniment of the
tar that Hebe poured, Apollo made melody with his lyre, and the Muses
sang
in responsive strain. When the sun was set, the g
lowers, and the very ecstasy of life. During this delay the Delphians
sang
pæans, — hymns of praise, — and danced in chorus
atyrs and Sileni, and by women called Mænads, who, as they danced and
sang
, waved in the air the thyrsus, a staff entwined w
olden arrows the Python that had infested- the slopes near Delphi, he
sang
for the first time that song of victory, which, a
lent with love, as you now, Apollo, With envy of my sweet pipings. I
sang
of the dancing stars, I sang of the dædal Earth,
pollo, With envy of my sweet pipings. I sang of the dancing stars, I
sang
of the dædal Earth, And of Heaven — and the giant
le men paid their vows to this virgin. When Psyche passed, the people
sang
her praises, and strewed her way with chaplets an
shell with bridge and reeds, and accompanied himself therewith as he
sang
a strain of unpremeditated sweetness. At evening
upon a snake in the grass, was bitten in the foot, and died. Orpheus
sang
his grief to all who breathed the upper air, both
one of Pluto and Proserpine. Accompanying his words with the lyre, he
sang
his petition for his wife. Without her he would n
his wife. Without her he would not return. In such tender strains he
sang
that the very ghosts shed tears. Tantalus, in spi
pents curled around their brows. Forming a circle, these awful beings
sang
their hymn. High it swelled, overpowering the sou
lyxena, daughter of Priam, whom he had loved. “So,” says Catullus , “
sang
the Fates. For those were the days before piety a
hich the Greeks found entrance into Troy. Apollo inspired him, and he
sang
so feelingly the terrors and the exploits of that
roof of the hall; and round about Branstock they sat and feasted, and
sang
of ancient heroes and heard the music of the harp
music, delighted them with the tones of his lyre, to which the Muses
sang
in responsive strains. When the sun was set, the
their devotion to this young virgin. As she passed along, the people
sang
her praises, and strewed her way with chaplets an
rs too were feasted with music from invisible performers; of whom one
sang
, another played on the lute, and all closed in th
upon a snake in the grass, was bitten in the foot, and died. Orpheus
sang
his grief to all who breathed the upper air, both
annot return alone; you shall triumph in the death of us both.” As he
sang
these tender strains, the very ghosts shed tears.
or sleep; then bitterly accusing of cruelty the powers of Erebus, he
sang
his complaints to the rocks and mountains, meltin
side and looked down into the deep blue sea. Addressing his lyre, he
sang
, “Companion of my voice, come with me to the real
pents curled around their brows. Forming a circle, these awful beings
sang
their hymn, rending the hearts of the guilty, and
o the end of life, we give him no peace nor rest.” Thus the Eumenides
sang
, and moved in solemn cadence, while stillness lik
hich the Greeks found entrance into Troy. Apollo inspired him, and he
sang
so feelingly the terrors and the exploits of that
without paying the least attention to his celestial rival. Pan again
sang
, and Midas repeated; when, to his surprise, the l
u now, Apollo, With envy of my sweet pipings. “I
sang
of the dancing stars, I sang of the dædal ear
With envy of my sweet pipings. “I sang of the dancing stars, I
sang
of the dædal earth, And of heaven, and giant wars
hild, and would smother Its eye-lids in kisses, and then in its sleep
Sang
dreams in its ears, of its manhood, while deep In
retired to the sea shore, where, in the midst of desolate rocks, they
sang
songs of the most enchanting and attractive natur
, amongst whose chords her hand Wandered for music — and it came. She
sang
A song despairing, and the whispering winds Seeme
ad to join his beloved. On his path the flowers bloomed and the birds
sang
, to show their joy at his coming. An emblem of ve
in the fields of fight: There holy priest and sacred poets stood, Who
sang
with all the raptures of a god: Worthies whose li
their express use out of water and sunshine, — ate grapes, danced and
sang
, and loudly proclaimed him their chosen leader.
ates to join her and spend a merry day gathering flowers. The maidens
sang
merry lays as they wound their long garlands; and
to accompany him to a land where the sun never shone, the birds never
sang
, and the flowers never bloomed. Hurt and disappoi
dy spread and awaiting their presence. During the festive meal, bards
sang
of all the heroic deeds accomplished by great men
owever; and the ancients not only decked his altars with flowers, but
sang
his praises, and celebrated festivals in his hono
ncient bard. Homer and Hesiod were succeeded by a crowd of poets, who
sang
all the events of the mythic ages. The chief of t
omer are the Hellenes and some of the tribes of Thrace. But Hesiod100
sang
of a happy race, named the Hyperboreans, dwelling
length by the poets is that of his intrigue with Aphrodite. Ares — so
sang
Demodocos to the Phæacians553 — loved Aphrodite,
or of the phorminx fair Which Phœbos held, or of the Muses’ lay, Who
sang
responding with melodious voice. Eminent bards,
mind and artful disposition838.’ One of the last of the Homerids thus
sang
the story of the birth and first exploits of this
n a peculiar poem, of which unfortunately a part is lost. Persephone,
sang
the Homerid, was in the Nysian plain with the Oce
idôn the immortal Harpy-born steeds Balios and Xanthos1572. The Muses
sang
, the Nereïdes danced, to celebrate the wedding, a
last event is the subject of the poem of Tryphiodorus, while Coluthus
sang
the abduction of Helena, and Tzetzes in three boo
ng her origin and her deeds in her own language. Nævius the Campanian
sang
, in Saturnian verse, (the ancient measure of Ital
h the rude free form of measure in which the Romans at their banquets
sang
the deeds of their fathers, and digested in Greci
they liked, were it ever so distant from their favourite valley. They
sang
, and danced, and played upon the lyre, all day, a
The poets recited their verses; the musicians played on the lyre, and
sang
lyric songs; and the athletes ran, and wrestled;
some playing on the flute, and others upon the lyre, rhapsodists, who
sang
passages from Homer’s poems, and dancers of singu
n the field of fight: There holy priests, and sacred poets stood, Who
sang
with all the raptures of a god: Worthies, who lif
e material world. The Scripture says, at creation, “the morning stars
sang
together, and all the sons of God shouted for joy
atal coasts in safety. Orpheus overcame them in their own art; for he
sang
the praises of the gods, accompanying himself upo
al hymn swelled and rose, thrilling the hearts of all who heard. They
sang
of the happiness enjoyed by the pure of heart, of
on him whose crime had been vainly hidden from mortal eye. Thus they
sang
in measured cadence, and passed from view, while
t, with dancing and shouts of joy. One of them, adorned with a crown,
sang
the praises of Ceres; and after they had offered
the field of fight: There, holy priests, and sacred poets stood, Who
sang
with all the raptures of a God: Worthies, -who li
ans he safely passed the fatal coast. Orpheus played on his harp, and
sang
the praises of the gods with such effect, that he
the field of fights: There holy priests, and sacred poets stood, Who
sang
with all the raptures of a god: Worthies, who lif
honour; but the celebration of their funeral pomp, during which they
sang
their most brilliant exploits, was confined to he
er. Conduisez ou suivez une fureur si belle ; Revenez tout couvert du
sang
de l’infidéle ; Allez : en cet état soyez sûr de
par un coup de lance que lui donne Amphimaque,……………... il perdait son
sang
et ses forces ; son ancienne blessure même, dans
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