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1 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
né à Janus la connaissance du passé et de l’avenir, la Fable celui-ci représente avec deux visages dont l’un regarde devant et l’a
tes étaient fermées pendant la paix et ouvertes pendant la guerre. On représente Saturne ou le Temps sous la figure d’un vieillard
attributs un sablier et un aviron1. Questions. Comment la Fable représente-t -elle l’univers ayant la création ? — Quels furent
cieux ? — Que devint Saturne ? — Quel don fit-il à Janus ? — Comment représente-t -on Saturne ? II. — Cybèle ou Vesta. Cy
nt la négligence avait causé cet accident était enterrée vivante2. On représente ordinairement Cybèle vêtue d’une longue robe pars
èle ? — Quel culte lui rendait-on sous le nom de Vesta ? — Comment la représente-t -on ? — Quels noms portaient ses prêtres, et comme
arce qu’il présidait à l’observation des devoirs de l’hospitalité. On représente Jupiter avec une figure majestueuse et une longue
renouvelée ? — Jupiter n’avait-il pas différents noms ? — Comment le représente-t -on ? IV. — Junon. Fille de Saturne et d
de brillantes couleurs : c’est ce que nous appelons l’arc-en-ciel. On représente Junon avec des traits majestueux et fiers, portan
en bonne harmonie avec son époux ? — Qu’était-ce qu’Iris ? — Comment représentait -on Junon ? V. — Apollon. Apollon, Dieu
C’est dans ces beaux lieux, au milieu d’un bois de lauriers, qu’on le représentait , entouré des Muses, filles de Jupiter et de Mnémo
noms et leurs attributions18 : Uranie préside à l’astronomie. On la représente sous les traits d’une jeune fille vêtue d’une rob
e agite un poignard. Erato était la muse de la poésie lyrique. On la représente comme une jeune fille enjouée, couronnée de myrte
nce qu’exerce la parole. Terpsichore est la muse de la danse ; on la représente avec l’apparence de l’enjouement et de la vivacit
u d’inspirer l’enthousiasme poétique. Comme Dieu des arts, Apollon se représente sous les traits d’un jeune homme sans barbe, parf
s de chacune d’elles ? — Dites ce que vous savez de Pégase. — Comment représente-t -on Apollon ? VI. — Diane. Diane, sœur
à Éphèse20, était regardé comme une des sept merveilles du monde. On représente Diane en habits de chasse, chaussée de brodequins
s fonctions sur la terre ? — Quel culte lui rendait-on ? — Comment la représente-t -on ? VII. — Bacchus. Bacchus, Dieu du
ans le ciel, entre la constellation du Dragon et celle du Serpent. On représente ordinairement Bacchus sous les traits d’un jeune
’avait-il pas plusieurs noms ? — Quelle fut son épouse ? — Comment le représente-t -on ? VIII. — Mercure. Mercure, fils de
ste, et délivra Mars de la prison où l’avaient enfermé les géants. On représente Mercure sous la figure d’un jeune homme qui sembl
ssions principales accomplit-il par l’ordre de Jupiter ? — Comment le représente-t -on ? IX. — Vénus. Vénus ou Cypris étai
és aimables qui font le charme de la vie sociale, sont habituellement représentées sous la figure de trois jeunes filles dont les br
te, d’Idalie26, de Gnide27, de Cythère, et du mont Eryx en Sicile. On représente Vénus sous les traits d’une femme d’une grande be
ants les plus connus ? — Comment honorait-on son culte ? — Comment la représente-t -on ? X. — Vulcain. Vulcain, fils de Jupit
statue de Pandore ; le bouclier d’Achille ; l’armure d’Énée, etc. On représente Vulcain sous les traits repoussants d’un petit ho
vail ? — Quels ouvrages célèbres lui attribue la Fable ? — Comment le représente-t -on ? XI. — Neptune. Neptune, Dieu de la m
aux mains. Les plus connues se nommaient Aello, Ocypète et Celeno. On représente Neptune sous les traits d’un vieillard à longue b
marins, et environné de toutes les divinités des eaux. Amphitrite est représentée sur un char de même forme, et avec les mêmes attr
sance lui attribuait-on ? — Neptune eut-il des enfants ? — Comment le représente-t -on ? XII. — Pluton. Pluton, Dieu des E
i le nom d’Hécate ; le narcisse et le pavot lui étaient consacrés. On représente Pluton avec une barbe épaisse et des traits durs
curer une compagne ? — Quelle fut la suite de cette union ? — Comment représente-t -on Pluton ? XIII. — Minerve. Minerve,
t depuis ce temps l’olivier, symbole de la paix, lui fut consacré. On représente cette Déesse avec des traits qui respirent une do
de ses talents ? Quel différend eut-elle avec Neptune ? — Comment la représente-t -on ? XIV. — Mars. Junon, jalouse de ce
uels on croyait que la destinée de l’empire romain était attachée. On représente Mars avec des traits menaçants et armé de pied en
Romains ne lui rendaient-ils pas un culte particulier ? — Comment le représentait -on ? XV. — Cérès. Cérès, fille de Satu
’ils en savaient étaient punis de mort. On lui immolait des porcs. On représente cette déesse entourée d’instruments aratoires, qu
fin à retrouver sa fille ? — Quel culte lui rendait-on ? — Comment la représentait -on ? Deuxième partie. Divinités du second or
e, mère de la Loi et de la Paix, était la Déesse de la justice. On la représente tenant une balance d’une main et un glaive de l’a
gnes du Zodiaque. Questions. Qu’est-ce que Thémis ? — Comment la représente-t -on ? Plutus. Plutus, fils de Cérès et de J
omme à celui qui en est indigne, au bon comme au méchant. Les anciens représentaient Plutus sous les traits d’un vieillard aveugle ten
lutus ? — Comment distribuait-il ses faveurs ? — Sous quelle forme le représentait -on ? Momus. Momus était le Dieu de la rail
; enfin il trouvait toujours matière à exercer sa verve satirique. On représente ce Dieu avec une figure riante, tenant d’une main
ls traits cite-t-on pour faire connaître son caractère ? — Comment le représente-t -on ? Comus. Comus présidait aux plaisirs d
s fonctions de Comus ? — Comment honorait-on son culte ? — Comment le représentait -on ? Cupidon. Cupidon, fils de Vénus, étai
nstances de Cupidon, lui rendit la vie et lui donna l’immortalité. On représente Cupidon sous la forme d’un enfant ailé, les yeux
don ? — Comment fut-il élevé ? — Quelle fut son épouse ? — Comment le représente-t -on ? Hymen. Hymen ou Hyménée, fils de Vénu
en. Hymen ou Hyménée, fils de Vénus, présidait aux mariages. On le représente sous les traits d’un jeune homme blond, couronné
à la main. Questions. Qu’était-ce que l’Hymen ? — Comment est-il représenté  ? Aurore. Aurore, fille de Titan et de la
eut pitié des souffrances de Tithon, et le métamorphosa en cigale. On représente Aurore franchissant sur un char étincelant le seu
? — Quelles furent les suites de son union avec Tithon ? — Comment la représente-t -on ? Chapitre deuxième. Divinités champêtres
des Gaulois au moment où ils allaient piller le temple de Delphes. On représente Pan avec un visage enflammé, des cornes sur la tê
 Ne se distingua-t-il pas dans l’art militaire ? — Comment Pan est-il représenté  ? Palès. Palès était la divinité tutélaire
les bergers sautaient en luttant d’adresse et d’agilité. Palès était représentée avec une couronne de laurier et de romarin mêlée
Sylvains dont les poëtes avaient peuplé les champs et les bois, était représenté comme eux avec des cornes et des jambes de bouc.
que Faune ? — N’honorait-on pas sa femme comme une Déesse ? — Comment représentait -on Faune ? Sylvain. Sylvain, fils de Faune
ains des divinités champêtres qui ne diffèrent en rien des Faunes. On représente Sylvain sous la figure d’un Satyre tenant en main
-t-on pas son nom à de nombreuses divinités ? — Sous quelle figure le représente-t -on ? Satyres. Les Satyres étaient des Dieu
bouc. Silène, le plus vieux d’entre eux, qui avait élevé Bacchus, est représenté avec beaucoup d’embonpoint, un nez camard, des or
uels Dieux accompagnaient-ils ordinairement ? — Sous quelle forme les représente-t -on ? — A quoi peut-on reconnaître Silène ? Fl
Flore ? — Comment célébrait-on ses fêtes ? — Avec quels ornements la représente-t -on ? Vertumne et Pomone. Vertumne était le
la préférence. Depuis ils devinrent les modèles des époux, et on les représente ordinairement se tenant par la main. Vertumne est
que Vertumne ? — Comment s’unit-il avec Pomone ? — Sous quels traits représente-t -on Vertumne ? — Et Pomone ? Nymphes champêtre
une tuile, une pierre carrée, ou un simple pieu de bois. Quand on le représentait avec des formes humaines, on ne lui donnait ni br
augmenta à Rome le respect qu’on lui portait ? — Sous quelle forme le représentait -on ? Chapitre troisième. Divinités maritimes
phes, et aux divinités des fleuves, des rivières et des fontaines. On représente l’Océan sous les traits d’un vieillard à longue b
le union contracta-t-il, et quels en furent les fruits ? — Comment le représente-t -on ? Téthys. Téthys37 fut l’épouse de l’Oc
l’épouse de l’Océan et la mère de toutes les nymphes Océanides. On la représente ordinairement sur un char en forme de coquille tr
n sceptre d’or. Questions. Qu’était-ce que Téthys ? — Comment la représentait -on ? Nérée. Nérée, fils de l’Océan et de T
portées au sein des flots sur des chevaux marins ; quelquefois on les représente moitié femmes et moitié poissons. On leur consacr
endait-on un culte ? — Comment les poëtes et les peintres les ont-ils représentées  ? Naïades. Les Naïades, filles de Jupiter,
leurs épaules. Questions. Qu’étaient les Naïades ? — Comment les représente-t -on ? Les Sirènes. Les Sirènes, filles du f
ns, et en se faisant attacher lui-même au mât de son vaisseau. On les représente ordinairement avec un corps de femme qui se termi
ment Ulysse échappa-t-il à leurs séductions ? — Sous quelle forme les représente-t -on ? Éole. Éole, fils de Jupiter, était le
leur prison causèrent un ouragan qui fit périr tous les vaisseaux. On représente Éole avec un visage ridé et chagrin, des sourcils
elles en furent les suites ? — Sous quels traits a-t-on coutume de le représenter  ? Protée. Protée, fils de l’Océan et de Té
qu’elle se précipita dans la mer, où elle fut changée en écueil40. On représente Glaucus avec une longue barbe, des cheveux flotta
 Ne fut-il pas sur le point d’épouser la nymphe Scylla ? — Comment le représente-t -on ? Tritons. Triton était un fils de Nept
leurs images, lorsque leur protection s’était montrée inefficace. On représentait ces Dieux domestiques sous la forme de statuettes
e à leur égard ? — Comment les honorait-on ? — Sous quelle figure les représentait -on ? Génies. Les Génies étaient des divini
is, suivant qu’ils obéissaient à leur bon ou à leur mauvais Génie. On représentait le bon Génie sous les traits d’un jeune homme à l
nt les Génies ? — En distinguait-on plusieurs espèces ? — Comment les représentait -on ? Chapitre cinquième. Les Enfers et les d
ns parcourir les lieux qu’ils habitaient. Les Enfers. Les poëtes représentent les Enfers comme un lieu souterrain où les âmes s
alla arracher Alceste des enfers. Questions. Comment les poëtes représentent -ils les Enfers ? — Ne les divisait-on pas en plus
veaux supplices. On les nommait Alecton, Mégère et Tisiphone ; on les représentait coiffées de couleuvres et tenant en leurs mains d
et donna le jour aux Furies et à d’autres divinités infernales. On la représente couronnée de pavots, couverte de longs habits de
ui sacrifiait un coq ; l’if et le cyprès lui étaient consacrés. On la représente sous la forme d’un squelette ailé et drapé d’une
qu’il avait une fois inscrits sur son livre étaient sans appel. On le représente tenant sous ses pieds le globe de la terre, et da
rt des hommes. Questions. Qu’est-ce que le Destin ? — Comment le représente-t -on ? La Fortune. La Fortune, fille de Jupi
s plus célèbres se trouvait à Antium, où elle rendait des oracles. On représente la Fortune aveugle ou avec un bandeau sur les yeu
la Fortune ? — Était-elle l’objet d’un culte empressé ? — Comment la représente-t -on ? La Renommée. La Renommée, fille de Ti
jamais s’arrêter ni jour ni nuit, et ne pouvait garder le silence. On représente la Renommée sous les traits d’une femme ailée qui
à la main. Questions. Qu’était-ce que la Renommée ? — Comment la représente-t -on ? La Paix. La paix est fille de Jupiter
que, où Vespasien déposa les dépouilles du temple de Jérusalem. On la représente sous les traits d’une femme couronnée de laurier,
que la Paix ? — Où était-elle honorée particulièrement ? — Comment la représente-t -on ? La Discorde. La Discorde, ou Éris, fu
veur de Vénus, ce qui rendit Junon l’ennemie acharnée des Troyens. On représente la Discorde avec des serpents au lieu de cheveux,
rtifice troubla-t-elle les noces de Thétis et de Pélée ? — Comment la représente-t -on ? L’Envie. L’Envie, fille de la Nuit, e
t la représente-t-on ? L’Envie. L’Envie, fille de la Nuit, est représentée sous les traits les plus hideux, avec un teint li
tes ; un serpent monstrueux lui ronge le sein. Question. Comment représente-t -on l’Envie ? La Vengeance. La Vengeance, q
’orgueil, l’ingratitude, le parjure, l’abus des richesses, etc. On la représente avec des ailes, pour indiquer que la punition sui
noms et quelles attributions donnait-on à la Vengeance ? — Comment la représente-t -on ? La Nécessité. La Nécessité, fille de
dans lequel ses prêtresses seules avaient le droit de pénétrer. On la représentait avec des mains de bronze, dans lesquelles elle te
Paresse avaient aussi leurs divinités allégoriques. Le premier était représenté sous les traits d’un jeune homme robuste et actif
ée en tortue ; le limaçon lui était consacré. Questions. Comment représentait -on le Travail ? — Que disait-on sur la Paresse ?
, nommé Harpocrate par les Égyptiens et Sigalion par les Grecs, était représenté sous les traits d’un jeune homme ou d’une jeune f
d’olivier et de laurier, et de l’autre une branche de palmier. On la représentait sur une proue de vaisseau quand on voulait désign
qu’elle ne s’en servît pour s’éloigner d’eux. Question. Comment représentait -on la Victoire ou Nicée ? La Liberté. Les
en consacra d’autres, et on lui érigea un grand nombre de statues. On représentait la Liberté sous la figure d’une femme vêtue de bl
articulièrement dévoué au culte de la Liberté ? — Comment les anciens représentaient -ils cette divinité ? L’Occasion. L’Occasio
t au moment le plus favorable pour réussir dans une entreprise. On la représentait sous la figure d’un jeune homme ou d’une jeune fe
Questions. Quels sont les attributs de l’Occasion ? — Comment la représentait -on ? — Quel est le sens des emblèmes dont on l’en
truisirent un temple, et élevèrent une statue ornée de pierreries qui représentait le Dieu avec une tête de bélier ; quelquefois qua
statue étaient formés uniquement en or et en ivoire, et le Dieu était représenté dans des proportions telles, que, bien qu’il fût
avec le Soleil ; comme Diane rappelle Isis, qu’ils avaient coutume de représenter sous les traits de la Lune. La fable du dieu Mars
regardé comme le même que Sem, fils de Noé, comme Jupiter et Neptune représentent Cham et Japhet. Dans tous les cas, il paraît cert
ffrayés par le bruit des timbales. Les cavales de Diomède, que l’on a représentées comme se nourrissant de chair humaine, avaient se
e Thémis, qui présidaient aux saisons. Elles étaient trois, et on les représente ordinairement portant des cadrans ou des horloges
2 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
les commencemens du monde, continue Bossuet, tels que Moïse nous les représente  : commencemens heureux d’abord, pleins ensuite de
anciennes traditions, et leur laissa des mémoires sur ce sujet. On le représenta comme moitié poisson, parce qu’il venait de la me
et symbolique, l’autre vulgaire et littérale. Les figures des animaux représentés dans les temples, et qu’ils semblaient adorer, n’
t qu’ils semblaient adorer, n’étaient que des hiéroglyphes destinés à représenter les attributs divins. « Toutes les nations orien
d’Oromase, et celui d’Arimane au mauvais principe. Les Chaldéens les représentaient par leurs planètes bienfaisantes ou nuisibles. Pa
plusieurs autres. De même, selon lui, toutes les déesses servaient à représenter la lune ; il nomme Cérès, Diane, Lucine, Vénus-Ur
s attirèrent le respect ; on commença à croire que les dieux qu’elles représentaient se plaisaient à les habiter. Par exemple, on ne c
, on ne comptait que trois Muses. Trois sculpteur différens les ayant représentées , leurs statues parurent si belles, que les neuf f
remier dessécha le marais de Lerne que mille ruisseaux inondaient, on représenta ce marais sous la figure de l’hydre dont Hercule
jura qu’elle n’y rentrerait jamais. Le poëte a voulu par cette fable représenter la pente des hommes vers le mal. Cette fille, dit
rvait d’une sphère pour étudier le mouvement des astres ; la fable le représenta portant le ciel sur ses épaules. Protée était un
t sa statue comme celle des autres dieux. On essayait cependant de le représenter sous la forme d’un vieillard, tenant entre ses ma
e nom de Bifrons lui fut donné. L’histoire nous apprend que Janus fut représenté avec deux visages (Voy. fig. 2), parce qu’il comm
quer que son règne avait été celui du bonheur et de la liberté. On le représente souvent sous la forme d’un vieillard armé d’une f
our désigner qu’il gouverne le temps et les saisons ; lorsqu’il était représenté sous cette forme, on le nommait Chronos, le Temps
que c’est de la terre que toutes choses proviennent. Ordinairement on représente Cybèle assise, pour montrer la stabilité de la te
er les murailles des villes avec des tours ; ce qui a donné lieu à la représenter avec une couronne de tours sur la tête. Cybèle, a
ous dirons les noms les plus connus de Jupiter, la manière dont on le représentait , et le culte qu’on lui rendait. En donnant cette
rent dans les antres du mont Ida. Telle est l’origine de la fable qui représente Saturne dévorant ses enfans, et celle de la pierr
onde, celle de M. Townley, on voit une statue antique de Jupiter, qui représente ce dieu avec la foudre, symbole du dieu du ciel ;
struire sur le mont Olympe une citadelle inaccessible : les poëtes la représentèrent comme le ciel même, et les travaux que les ennemi
explications que nous avons données plus haut, que Typhée ou Typhon, représenté si formidable dans le combat des géans contre Jup
cette fable égyptienne, qui n’était elle-même qu’une allégorie, pour représenter un tyran cruel qui avait fait long-temps le malhe
u’ils ont placées dans l’histoire de leur Jupiter. Manière dont on représentait Jupiter. On représentait le plus ordinairemen
oire de leur Jupiter. Manière dont on représentait Jupiter. On représentait le plus ordinairement Jupiter sous la figure d’un
uvre du célèbre Phydias. Chaque peuple avait sa manière différente de représenter Jupiter. Dans l’île de Crète, il n’avait point d’
ssance, lui fit élever un temple auprès de cette source, où il le fit représenter avec des cornes de bélier, et lui donna le nom de
se. Cette métamorphose de Jupiter ne fut point la seule cause qui fit représenter un aigle à ses pieds. La fable, confondue avec l’
ait placé près du Capitole, et dédié à Jupiter Vengeur. Le dieu était représenté avec des flèches à la main pour montrer qu’il éta
x ; maître des tempêtes et des vents, et souvent Serenus, parce qu’il représentait l’éther ; Capitolinus, à cause de son temple sur
ouve dans le premier volume de l’Antiquité expliquée par les figures, représente Prométhée formant un homme. On voit qu’il travail
nts sur son plumage. Cet oiseau lui fut spécialement consacré ; on la représentait souvent sur un char traîné par deux paons. La mor
mot qui vient du mot myrmex, fourmi. La manière la plus ordinaire de représenter Junon était sous la figure d’une femme assise sur
fuseau, et portant sur sa tête une couronne radiale. (Fig. 8.) On la représente aussi quelquefois avec un arc-en-ciel autour de l
lle présidait aux accouchemens on la nommait Lucine ; et lorsqu’on la représentait remplissant cette fonction, on la voyait assise,
d des biens. Ils élevèrent à Cléobis et à Biton deux statues, qui les représentaient traînant le char de leur mère. Histoire d’Hyme
on publia qu’il était fils du dieu du Jour et de la muse Calliope. On représentait toujours ce dieu sous la figure d’un beau jeune h
ne du pays. Il excellait dans l’astronomie. Ce fut lui qui le premier représenta le globe de la terre par une sphère ; ce qui fit
ces prétendues filles d’Atlas étaient des personnages poétiques, qui représentaient des étoiles découvertes par Atlas, comme on donne
omme qui tient un arc ou une lyre à la main, tandis que le soleil est représenté avec la tête environnée de rayons, tenant un glob
le midi, temps où cet astre est dans tout son éclat ; et le quatrième représente le coucher du soleil ; on le voit alors se rappro
fait appeler les douze maisons du soleil. Mars, signe du Bélier. Il représente celui sur lequel Phryxus et Hellé s’enfuirent pou
happer aux persécutions de leur marâtre. Avril, signe du Taureau. Il représente celui dont Jupiter prit la forme pour enlever Eur
piter prit la forme pour enlever Europe. Mai, signe des Gémeaux. Ils représentent Castor et Pollux, fils de Jupiter et de Léda. Ju
de Jupiter et de Léda. Juin, signe de l’Écrevisse. On croit qu’elle représente celle qui vint piquer Hercule tuant l’hydre de Le
nt piquer Hercule tuant l’hydre de Lerne. Juillet, signe du Lion. Il représente celui de la forêt de Némée, tué par Hercule, et d
qui fait le signe de la Vierge. Septembre, signe de la Balance. Elle représente la Justice, dont la balance doit toujours être pa
mois les jours sont égaux aux nuits. Octobre, signe du Scorpion. Il représente Orion, que Diane métamorphosa en cet animal. Nov
Diane métamorphosa en cet animal. Novembre, signe du Sagittaire. Il représente le centaure Chiron, qui tirait de l’arc. Il avait
acé parmi les signes du zodiaque. Décembre, signe de la Chèvre. Elle représente la chèvre Amalthée, ou la princesse Mélisse, qui
avait eu soin de l’enfance de Jupiter, Janvier, signe du Verseau. Il représente Ganymède versant le nectar à Jupiter et aux dieux
ndantes qui tombent pendant ce mois. Février, signe des poissons. Il représente les dauphins qui conduisirent Amphitrite à Neptun
cs, et généralement les anciens, avaient des flèches d’Apollon. Elles représentaient les rayons du soleil. On leur reconnaissait un si
s flèches. Toute les fois qu’on voulait peindre Apollon irrité, on le représentait armé de ses flèches ; et, pour exprimer qu’il éta
rets et de sa vengeance. Le temps a conservé beaucoup de monumens qui représentent ce Dieu. Les rayons qui brillent autour de sa têt
et dans sa main gauche on remarque un plectre au lieu d’archet. On la représente aussi très-souvent écrivant l’histoire. (Fig. 12.
veut dire la florissante, et lui est donné à cause de sa voix. On la représente appuyée sur une colonne, tenant un masque à la ma
main sur la massue d’Hercule, parce que l’objet de la tragédie est de représenter les belles actions des héros, et le plus illustre
citée, dans l’intention de flétrir à jamais son souvenir. Souvent on représente les Muses environnant Apollon sur le mont Parnass
l’Océan, et vingt autres filles, avaient soin de son équipage. On la représente ordinairement chaussée d’un cothurne, portant un
riot. L’étoile nommée Bootès ou le Bouvier, qui suit la grande Ourse, représente le fils de Calisto. Près du pôle arctique, on ape
ure : elle sert de guide aux nautoniers. Les étoiles qui la composent représentent les nymphes qui prirent soin de l’enfance de Jupi
afin d’exprimer que les ténèbres avaient existé avant la lumière. Ou représentait la Nuit montée sur un char d’ébène, accompagnée p
ne, qui tenait, ainsi que les Indes, au continent de l’Asie. La fable représente Bacchus avec des cornes : elles font allusion aux
er à la tête. C’est de là que presque tous les tableaux de Bacchus le représentent couronné de lierre et de pampre de vigne. On le v
es plus célèbres qui restent de Bacchus, les plus beaux sont ceux qui représentent son mariage avec Ariadne, que l’infidèle Thésée a
d’or et d’ivoire ; son génie sut la rendre digne de la déesse qu’elle représentait . Les Athéniens, pour donner encore plus de solenn
la vieillesse et sous les dehors frais et charmans de la jeunesse. On représente souvent Minerve tenant une quenouille et s’apprêt
char et les chevaux de Mars lorsqu’il partait pour les combats. On la représentait aussi les cheveux épars, tenant une torche à la m
avaient différentes significations. Celui d’Arès signifie dommage, et représentait les malheurs de la guerre. Peut-être vient-il aus
itaire, aucun voyage, aucune affaire importante. Les anciens monumens représentent ordinairement le dieu Mars sous la figure d’un ho
s, et tenant dans sa main une couronne ou une palme. Les Égyptiens la représentaient sous la forme de l’aigle, oiseau toujours victori
ture, sœurs de la poésie, se crurent le droit d’imiter ses écarts. On représenta Vénus comme la déesse des plaisirs ; On lui donna
fable s’accrédita d’autant mieux, que, par la suite des temps, Adonis représenta le soleil, et la reine Astarté la lune. On voulut
belle. Il serait impossible de faire connaître toutes les manières de représenter cette déesse. Les ouvrages de peinture et de scul
autant que les fables. Lorsqu’elle tient un globe dans sa main, elle représente la Vénus céleste, ou la planète de ce nom. La sta
énus céleste, ou la planète de ce nom. La statue du célèbre Scopas la représente montée sur un char tiré par une chèvre marine, le
dicis ; on l’attribue au célèbre Phidias. Une des plus singulières la représente couronnée d’épis, tenant un thyrse environné de g
sont réunis avec elle. Deux amours l’accompagnent. Un dessin de Béger représente Vénus placée sur un char traîné par deux lions ;
 ; la marche est fermée par un Satyre qui joue de la flûte. Le dessin représente Vénus victorieuse. L’histoire du saut de Leucate
autels se confondaient avec ceux de Vénus. Notes sur la manière de représenter Cupidon. Nous n’essayerons pas d’indiquer les
don. Nous n’essayerons pas d’indiquer les différentes manières de représenter Cupidon. Les Muses, les Grâces et les arts de tou
l’on ne sépare les statues des Grâces ; il faut le lire. Les anciens représentaient Psyché avec des ailes de papillon. Il faut remarq
issaient souvent quatre déesses de ce nom. Il est vrai qu’alors elles représentaient les Heures, et plus souvent encore les quatre Sai
souvent encore les quatre Saisons. Pour les faire reconnaître, on les représentait couronnées d’épis, de fleurs, de raisin et d’oliv
suader. Dans les premiers temps, des pierres non taillées servaient à représenter les Grâces ; on voulait figurer par-là que les ob
ême les plus simples s’embellissaient par elles. Par la suite, on les représenta sous la figure de jeunes vierges nues, ou légèrem
pelaient leur image. Toute la Grèce était remplie de monumens qui les représentaient . Smyrne possédait leur tableau peint par Apelles.
ulcain, et l’on avait la même idée du mont Etna en Sicile. L’histoire représente le Vulcain grec, l’un des princes Titans, comme t
ieux. Pour exprimer sa promptitude à remplir tant de fonctions, on le représentait avec des ailes à la tête et aux pieds. (Fig. 30.)
rtèrent depuis le caducée, et se nommèrent Caduceatores. Lorsque l’on représentait Mercure avec une simple baguette, ou voulait le d
général. Les Égyptiens avaient la mer en horreur, parce qu’elle leur représentait le redoutable Typhon. Ils réservaient toute leur
ation d’Osiris. Chez eux ce fleuve, ou plutôt le dieu de l’eau, était représenté par un vase percé de toutes parts, qu’ils nommaie
Deux monumens antiques seulement nous ont transmis la manière dont on représentait Océan. Le premier est une statue déterrée à Rome
que les anciens ne le regardaient point comme un personnage réel. On représentait Nérée environné de ses filles, de dauphins et de
proues ; c’est à cela seul qu’il faut rapporter ses métamorphoses. On représente ordinairement le dieu de la mer voguant sur les e
nombrables. On doit avoir la même opinion des Sirènes. Les poëtes les représentent comme de jeunes et belles filles, habitant les ro
ailes, dont elles se firent des couronnes. Plusieurs monumens anciens représentent les Muses avec cet ornement à leur tête. Les Sirè
ès d’elles en leur présentant sans cesse l’image des plaisirs. On les représentait sous la figure de très-belles filles jusqu’à la c
eur donne la vie. Le peuple l’honorait comme un véritable dieu. On le représentait sous la forme d’un vieillard crasseux, couvert de
s maisons des consuls et des premiers magistrats de la république. On représentait ordinairement la Terre sous la forme d’un globe.
rpeïen, institua des fêtes en son honneur, et régla son culte. Il fit représenter ce nouveau dieu sous la forme d’un rocher inébran
nt ceux que l’on formait sur cette pierre. Par la suite des temps, on représenta souvent le dieu Terme par une borne pyramidale su
ner, était le symbole de l’année et des variations des saisons. On le représentait souvent sous les formes de laboureur, de moissonn
en roi d’Étrurie, célèbre par son amour de la culture des jardins. On représente Pomone sous la figuré d’une belle et jeune femme,
gnes. On les nommait indifféremment Pans, Égypans, ou Satyres. On les représentait comme des hommes d’une petite taille, et ressembl
ter et de la nymphe Calisto, ou fils de Mercure et de Pénélope. On le représentait sous la forme d’un Satyre, tenant à sa main une f
tout. Ils lui donnèrent une figure humaine jusqu’à la ceinture, pour représenter tous les hommes, et le reste de son corps représe
ceinture, pour représenter tous les hommes, et le reste de son corps représentait tous les animaux. L’origine de la terreur panique
ssure que Silène naquit à Malée, ou du moins qu’il y fut élevé. On le représentait ordinairement monté sur un âne (Fig. 38), presque
et l’établissement des orgies dans la Lydie, fait par lui, le firent représenter sous la forme d’un homme ivre. Les plus graves au
es auteurs disent que l’âne qu’on lui donnait pour monture, servait à représenter les pas lents, mais assurés, de la philosophie. Q
des terres le firent placer parmi les divinités champêtres, et on le représenta sous la forme de Satyre. On croyait qu’il rendait
 ; on disait que le génie d’Antoine redoutait celui d’Auguste. On les représentait sous la forme de jeunes hommes, tenant d’une main
était très-supérieure. Plutus était fils de Cérès et de Jasion. On le représentait aveugle comme la Fortune, pour montrer que les ri
On croit aussi que l’enlèvement de Proserpine est une allégorie pour représenter la saison pendant laquelle les semences restent s
et de la nuit. Leurs noms signifiaient : rage, carnage, envie. On les représentait avec des flambeaux ardens à la main, des serpens
et que les jours malheureux étaient filés avec de la laine noire. On représentait les Parques sous la figure de trois femmes accabl
dans les enfers, pour les châtier avec la plus grande rigueur. On la représentait avec des ailes, un gouvernail et une roue de char
antes autour des lieux funèbres. La Nuit était fille du Chaos ; on la représentait couverte d’un grand voile noir parsemé d’étoiles,
in. (Fig. 43.) Le Sommeil, fils de la Nuit et frère de la Mort, se représente sous la figure d’un enfant dormant profondément.
issante. (Fig. 44.) La Mort, fille de la Nuit et sœur du Sommeil, est représentée sous la forme effrayante d’un squelette. Sa robe
, périssant de soif et de faim au milieu de la plus grande abondance, représente l’avare qui n’ose entamer son trésor, et se laiss
élever un temple après la guerre contre Mithridate et Tigrane. On la représentait comme une reine assise sur un trône, tenant une c
it de compter sur elle. Rome lui avait élevé plusieurs temples. On la représente avec une corne d’abondance, des fruits, des fleur
fruits, des fleurs, une ruche à miel (Fig. 52), et les nautoniers la représentaient avec une ancre. L’Éternité n’avait ni temples, ni
e ancre. L’Éternité n’avait ni temples, ni autels. On se bornait à la représenter sous la figure d’une femme, avec une légende qui
yonnant, ou une tête de lune, parce qu’on les croyait éternels. On la représentait aussi sous la forme du Phénix, oiseau fabuleux qu
t concevoir la divinité sans commencement et sans fin. Le Temps était représenté par Saturne : on le peignait avec des ailes, pour
soir, le crépuscule du soir, et la nuit. Chacune de ces parties était représentée par un homme ou une femme suivant son nom masculi
a Vérité passait pour être mère de la Vertu et fille du Temps ; on la représentait comme une jeune vierge, couverte d’un habit dont
la Paix pût bannir toute haine et toute aigreur de leurs disputes. On représentait cette déesse sous la forme d’une femme couronnée
r son premier temple. La figure de deux femmes qui se donnent la main représente ordinairement cette déesse. (Fig. 55.) Un peuple
manquer d’en faire une divinité : elle avait plusieurs temples. On la représentait appuyée sur une table des lois, ayant une épée à
avec cette légende : Elles assurent la liberté de tous. (Fig. 56.) On représentait la Licence foudroyée par le ciel, dans l’instant
e, qu’ils nommaient Aïus Locutius. La Pudeur avait des temples. On la représentait sous la figure d’une femme voilée, ou d’une femme
qu’il est sans trouble et sans tache. (Fig. 58.) La Providence était représentée par une femme appuyée sur une colonne, tenant de
sur tout l’univers, et qu’elle dispense tous les biens. (Fig. 59.) On représente la Justice sous la figure d’une jeune fille, tena
la vertu. (Fig. 60.) La Fortune présidait au bien et au mal. On la représentait sous la figure d’une femme aveugle et presque cha
ourne avec vitesse, et l’autre est en l’air. (Fig. 61.) L’Occasion se représentait de même, mais elle avait une touffe de cheveux su
entes victimes, et d’ériger en même temps une statue à la Peur. On la représentait avec des cheveux hérissés, le visage élevé, la bo
é, la bouche ouverte et le regard troublé. (Fig. 63.) La Pâleur était représentée par une figure maigre et allongée, les cheveux ab
re a le droit de prendre son imagination pour guide lorsqu’il veut le représenter . (Fig. 65.) Son nom vient de commessari, manger :
s. A Épidaure, on honorait Esculape sous la forme d’un serpent. On le représentait aussi sous la figure d’un homme. Sa statue, ouvra
lle de Jupiter Olympien à Athènes, mais plus petite de moitié. Il est représenté sur un trône, tenant d’une main un bâton, et appu
3 (1850) Précis élémentaire de mythologie
à toutes les divinités et que ses décrets étaient irrévocables. On le représentait sous la figure d’un vieillard aveugle tenant dans
q, parce que cet oiseau annonce pendant la nuit le retour du jour. On représentait la Nuit avec un flambeau à la main, des ailes de
remier de tous les dieux ? Qu’est-ce que le Destin ? Comment était-il représenté  ? 2. Quel dogme primitif le Destin rappelle-t-il 
u’est-ce que la Nuit ? Quel culte lui rendait-on ? Comment était-elle représentée  ? 5. Quels furent les enfants de la Terre ? Pourq
d’airain et l’âge de fer. Sous cette allégorie, les poëtes ont voulu représenter la décadence du genre humain qui se corrompit à m
arques. C’est par allusion à celle double science que les Romains ont représenté Janus avec un double visage, l’un tourné vers le
jouissances licencieuses. 7. Saturne est une divinité allégorique qui représente le Temps. On le dit fils du Ciel et de la Terre,
et de la prévoyance de l’avenir. 8. Les peintres et les poëtes l’ont représenté sous la figure d’un vieillard ailé armé d’une fau
fit Saturne à Janus en récompense de son hospitalité ? Comment était représenté Janus ? Qui lui éleva un temple ? En quel temps c
e Saturne ? 8. De quelle manière les peintres et les poëtes l’ont-ils représenté  ? Chapitre III. Cybèle. 1. Cybèle, sœur et
uler, parce que c’est de la terre que tous les biens découlent. 2. On représentait cette déesse sous les traits d’une femme robuste
uel motif lui donnait-on tous ces noms divers ? 2. Comment était-elle représentée  ? Que figuraient tous ces symboles ? 3. Comment s
union avec Mnémosyne (la mémoire) ils font naître les neuf Muses qui représentent les sciences et les arts. Toutes ces fictions se
oracles étaient ceux de Dodone, de Libye et de Trophonius. 14. On le représente ordinairement sous la figure d’un homme majestueu
les grands sculpteurs, Homère et Phidias ont rivalisé d’efforts pour représenter dans toute sa grandeur et sa majesté le maître de
offrait-on ? Où étaient ses principaux oracles ? 14. Comment était-il représenté  ? Chapitre V. Junon. 1. Junon était l’épou
t. On lui offrait ordinairement en sacrifice un agneau femelle. 6. On représente Junon assise sur un trône, un diadème sur la tête
 ? Quelles victimes offrait-on sur ses autels ? 6. Comment était-elle représentée  ? Chapitre VI. Cérès et Proserpine. 1. Cér
coupé plusieurs arbres dans une forêt qui lui était consacrée. 6. On représentait Cérès sous la figure d’une femme à la taille maje
l’autre des pavots. On lui donne une torche ardente quand on veut la représenter cherchant sa fille Proserpine. Son char est traîn
aractère ? Par quelles vengeances s’est-elle signalée ? 6. Comment la représente-t -on ? Chapitre VII. Apollon et les Muses. 1
mérite, toutes les fois qu’elle s’élève contre le vrai talent. 12. On représentait Apollon sous les traits d’un beau jeune homme san
ste privilège ? 11. Quel fut celui de l’envieux Marsyas ? 12. Comment représente-t -on Apollon comme dieu des arts et des sciences ?
résente-t-on Apollon comme dieu des arts et des sciences ? Comment le représentait -on comme dieu du jour ? 13. Quelles plantes et qu
mées d’un arc et d’un carquois rempli de flèches. Ordinairement on la représente en habit de chasse, chaussée d’un cothurne, porta
? 3. Sous quel titre la vénérait-on sur la terre ? Comment était-elle représentée  ? 4. Quel était le caractère de son culte ? Où ét
ome célèbre qui inventa la sphère et que les poëtes ont pour ce motif représenté avec le ciel sur les épaules. Ses attributs étaie
mercatura qui signifie commerce. 5. Ces fonctions variées l’ont fait représenter de bien des manières. Comme dieu de l’éloquence,
uel autre titre était-il encore honoré ? 5. De combien de manières le représentait -on ? Quelle était chacune de ces manières ? 6. Qu
vantage des colons, et qui ont abouti à la défaite des hommes de mer, représentés ici par Neptune. 3. Les Grecs n’ont pas expliqué
s présider aux travaux et aux leçons de la jeunesse. 5. Minerve était représentée avec une figure belle, simple et modeste, un air
t ces fêtes se passaient-elles à Rome ? 5. Comment Minerve était-elle représentée  ? Chapitre XI. Mars. 1. Mars est le dieu d
s couraient et chantaient des hymnes en l’honneur de leur dieu. 6. On représente Mars sous la figure d’un guerrier terrible armé d
es prêtres ? Comment célébraient-ils sa fête ? 6. Comment Mars est-il représenté  ? Qu’est-ce que Bellone ? Quelles sont les foncti
4. Ce dieu n’a point été embelli par les fictions de la poésie. On le représente toujours sous une figure hideuse et difforme avec
temples les plus fameux ? Quel animal lui était consacré ? 4.Comment représentait -on Vulcain ? Chapitre XIII. Bacchus. 1. Ba
e Silène était un buveur insatiable, un vieillard gros et gras, qu’on représente assis sur un tonneau, le visage couvert de lie et
i sont dus. Les jours donnés aux dieux ne sont jamais perdus. 8. On représente Bacchus avec des cornes, symbole de sa force et d
rent de son éducation ? 3. Qu’est-ce que le vieux Silène ? Comment le représentait -on ? Bacchus eut-il tous ses défauts ? 4. Quels s
e sort des filles de Minée ? Quelle avait été leur faute ? 8. Comment représente-t -on Bacchus ? Quelles victimes lui offrait-on ? Qu
res. 3. Les enfants de Vénus furent l’Hymen et Cupidon. L’Hymen était représenté sous la figure d’un jeune homme couronné de fleur
e nuptial. Il présidait aux unions conjugales, et les peintres qui le représentaient cherchaient pour ce motif à montrer dans ses trai
urynome, ou de Bacchus, comme le pensent quelques mythologues. On les représentait ornées de guirlandes de fleurs. La première tient
cette déesse ; les peintres et les sculpteurs se sont efforcés de la représenter . La Vénus de Praxitèle passait pour le chef-d’œuv
ut-elle mariée ? 3. Quels sont ses enfants ? Comment l’Hymen était-il représenté  ? Quel était le caractère de Cupidon ? 4. Quelles
agnes de Vénus ? De qui étaient-elles filles ? Comment étaient-elles, représentées  ? 5. Que dit la fable des voyages que Vénus faisa
ie à propos de la chevelure de Bérénice ? 9. Comment Vénus était-elle représentée  ? Quel était le chef-d’œuvre de la sculpture grec
1. Avant Neptune existaient l’Océan et Téthys. Ces deux divinités représentaient les deux mers, l’Océan et la Méditerranée que les
de la mer. Les fleuves passaient aussi pour leurs enfants. Les poëtes représentaient l’Océan sous la forme d’un vieillard, le front ar
r, Zéphyre et Boréas. Zéphyre est le doux vent du printemps, et on le représente couronné de fleurs ; Boréas est le terrible vent
mpêtes, la neige et les rimas. Auster, le vent brûlant du midi, était représenté comme un vieillard dont le front est chargé de nu
célèbre pêcheur spécialement vénéré par les hommes de cet art. On le représentait avec une barbe touffue, d’épais sourcils et de lo
Romains sous celui de Matuta. Son fils s’appelait Portumnus, et on le représentait avec une clef à la main parce qu’il était reconnu
eurs victimes, parce qu’il est amer comme les eaux de l’Océan. 15. On représente Neptune un trident à la main, debout sur les flot
Quels furent les enfants de l’Océan et de Téthys ? Comment les poëtes représentaient -ils l’Océan, Téthys et les fleuves ? 2. Quelles f
oms des principaux vents ? 11. Qu’est-ce que Glaucus ? Comment est-il représenté  ? Qu’est-ce que la fable raconte sur sa vie ? Que
, et quel animal consacrait-on à Neptune ? 15. Comment ce dieu est-il représenté  ? Chapitre XVI. Pluton et les divinités infer
nocher des enfers. Charon était fils de l’Erèbe et de la Nuit. On le représente sous la figure d’un vieillard austère et inexorab
s torches enflammées un feu dévorant. Ces redoutables déesses étaient représentées avec des habits noirs et ensanglantés, un air som
yprès, l’arbre des tombeaux ; ses prêtres en étaient couronnés. On le représente de différentes manières. Quelquefois il emporte P
t tourmentaient-elles les coupables ? De quelle manière étaient-elles représentées  ? 7. Qu’est-ce que les Parques ? Quelles étaient
de Pluton ? Quelles plantes lui étaient consacrées ? Comment était-il représenté  ? 11. Qu’est-ce que Plutus ? Comment était-il rep
ent était-il représenté ? 11. Qu’est-ce que Plutus ? Comment était-il représenté  ? Pourquoi en a-t-on fait une divinité infernale 
es sur ses autels, on ne lui offrait que du lait et du miel. Il était représenté de la manière la plus difforme. Il avait des corn
corps d’un bouc depuis la ceinture jusqu’aux pieds. On l’avait ainsi représenté moitié homme et moitié animal, pour faire compren
Quelquefois on le confond avec Pan et même avec Faune son père. On le représentait à peu près de la même manière que le dieu Pan, av
Terme. 8. Flore était la déesse des fleurs et du printemps. On la représentait sous la figure d’une jeune fille parée de bouquet
ceux qui élevaient des abeilles l’honoraient tout spécialement. On le représentait avec des cornes et des oreilles de chèvre, une co
t ses prêtres ? 3. Quelles victimes lui offrait-on ? Comment était-il représenté  ? 4. D’où vient l’expression de terreur panique ?
ylvain ? A quel titre les Romains l’honoraient-ils ? Comment était-il représenté  ? Qu’est-ce que les Satyres ? Quel était leur car
aient les vieux Satyres ? 8. Qu’est-ce que Flore ? Comment était-elle représentée  ? Quel nom les Romains donnaient-ils à ses fêtes 
t sa puissance ? Par qui était-il honoré ? De quelle manière était-il représenté  ? 11. Quelles étaient les fonctions du dieu Terme
noré ? Quelles offrandes plaçait-on sur ses autels ? Comment était-il représenté  ? Chapitre II. Les dieux domestiques. 1. L
des fleurs, mais point de victimes sanglantes. 5. Le bon Génie était représenté sous la figure d’un jeune homme riant et gracieux
de Génies ? Que leur offrait-il le jour de sa fête ? 5. Comment était représenté le bon Génie ? Comment était représenté le mauvai
de sa fête ? 5. Comment était représenté le bon Génie ? Comment était représenté le mauvais ? Chapitre III. De quelques autres
, la tête ceinte de fleurs, chantant et jouant des instruments. On le représente jeune, chargé d’embonpoint, le visage enluminé pa
illusions vaines et passagères, la seconde aux visions véritables. On représentait Morphée avec des ailes de papillon, symbole de sa
pouvait la transporter ailleurs quand on avait un mauvais voisin. On représentait ce dieu bizarre le masque levé, parce que la rail
ux changés en étoiles et attachés à la voûte du ciel. 8. Les peintres représentaient l’Aurore sortant de son palais de vermeil, montée
nom ? Que faisaient les jeunes gens pour l’honorer ? Comment était-il représenté  ? 2. Qu’est-ce que le Sommeil ? Quelle descriptio
u’est-ce que Morphée ? Quels étaient ses attributs ? Comment était-il représenté  ? 4. Qu’était Momus ? Que signifie ce mot ? Comme
ent critiqua-t-il les ouvrages des dieux ? De quelle manière était-il représenté  ? 5. Qu’était l’Aurore ? Quelles furent les desti
Procris ? En quoi furent-ils métamorphosés ? 8. Comment les peintres représentaient -ils l’Aurore ? Quelle description en fait Homère 
e comme la fille du Temps ou de Saturne et la mère de la Vertu. On la représentait sous les traits d’une jeune fille légèrement vêtu
s poëtes ont fait naître de Thémis l’Equité, la Loi et la Paix. On la représente sous la figure d’une femme au regard terrible et
a Tempérance. Son symbole était le lion, le roi des animaux. Elle est représentée en amazone. D’une main elle embrasse une colonne
it elle-même un autre temple qu’elle dédia à la Pudeur plébéienne. On représentait celle déesse sous la figure d’une femme voilée ou
 ? 2. Comment la Vérité était-elle considérée ? Sous quelle figure la représentait -on ? En quel lieu disait-on qu’elle habitait ? 3.
stice chez les Grecs ? Quels étaient ses enfants ? Comment était-elle représentée  ? Qu’est-ce que la fable nous raconte d’Astrée sa
 ? 5. Qu’était la Force ? Quel était son symbole ? Comment était-elle représentée  ? 6. Où la Pudeur avait-elle des temples ? Qui po
en bâtit un à la Pudeur plébéienne ? Comment cette déesse était-elle représentée  ? 7. Dans quelles villes la Miséricorde fut-elle
dépouilles de Jérusalem, après la prise de cette ville par Titus. On représentait la Paix sous la figure d’une femme belle, douce e
sein. 3. La Concorde avait aussi à Rome un temple. Cette déesse était représentée sous l’image d’une jeune fille couronnée de guirl
nt de mériter ses faveurs. Les Romains la placèrent au Capitole et la représentèrent avec des ailes, tenant d’une main une couronne de
thousiasme qu’ils en firent une divinité. Les statues de cette déesse représentaient une femme vêtue de blanc, symbole de l’innocence,
es éleva-t-on à cette déesse à Rome et à Athènes ? Comment était-elle représentée  ? Quel était le sens de ces symboles ? 3. Par qui
e ces symboles ? 3. Par qui la Concorde était-elle honorée ? Comme la représentait -on ? En quel lieu était son temple à Rome ? Pourq
pas ? Quelle vénération avaient-ils pour son nom ? Comment était-elle représentée  ? Chapitre III. Des Vices. 1. Les principa
ges coupables             Qui nous sont adressés. Rousseau . On la représentait avec des ailes pour exprimer la rapidité avec laq
les hommes. Hésiode dit qu’elle était fille de la Nuit. Virgile la représente avec une chevelure hérissée de serpents et attach
ait la Vengeance ? Quelles étaient ses fonctions ? Comment était-elle représentée  ? 4- Quelle idée les anciens s’étaient faite de l
ls la Discorde ? Qu’en disent Hésiode et Virgile ? Comment était-elle représentée par les peintres ? Quel tableau en a fait Voltair
s sont les autres vices qui furent divinisés par les païens ? Comment représentèrent -ils le vice en général ? Chapitre IV. Des Mau
sse qui trop souvent l’engendrent encore parmi nous, et les poëtes la représentaient comme une femme d’une pâleur extrême, mal vêtue,
tait l’origine de la Pauvreté ? Comment les poëtes et les peintres la représentaient -ils ? Chapitre V. De quelques autres divinités
nements, qu’ils honoraient sous le nom de Fortune ou de Hasard. On la représentait chauve avec des ailes aux pieds. Un de ses pieds
pper. Elle était sourde à leurs plaintes et à leurs prières, et on la représentait pour ce motif entourée de chaînes, de clous et de
e mèche de cheveux qu’il faut saisir au passage. Ou bien encore on la représente passant avec vitesse sur le tranchant d’un rasoir
norée par un recueillement profond, plutôt que par des paroles. On le représentait un doigt sur les lèvres, et il apprenait à ses ad
dans l’univers entier toutes les nouvelles bonnes ou mauvaises. On la représentait avec des ailes et sonnant de la trompette. Les po
lles idées les païens se faisaient de la Fortune ? Comment était-elle représentée  ? Ses temples étaient-ils nombreux ? Sous quels n
3. Comment comprenait-on la Nécessité ? De quelle manière était-elle représentée  ? Où avait-elle un temple ? 4. Qu’est-ce que l’Oc
 ? Où avait-elle un temple ? 4. Qu’est-ce que l’Occasion ? Comment la représente-t -on ? 5. Quels noms donnait-on au Silence ? Où pla
donnait-on au Silence ? Où plaçait-on ses statues ? Comment était-il représenté  ? 6. Que disait-on de la Renommée ? Quelles ficti
ule le nom d’Alcide, parce que son aïeul portait celui d’Alcée. On le représente sous la figure d’un homme robuste, les épaules co
emples ? Quel nom donne-t-on ordinairement à Hercule ? Comment est-il représenté  ? Chapitre IV. Thésée. 1. Thésée était fil
n un instant dans la Mauritanie. Là régnait Allas que les poëtes nous représentent portant le monde sur ses épaules, parce qu’il fut
on le changea en cygne, et sa lyre fut placée parmi les astres. On le représente le front couronné de lauriers, un luth ou une lyr
rent de lui les Grecs ? Quel honneur lui fit Apollon ? Comment est-il représenté  ? 4. Quel fut le rival d’Orphée ? Où vivait-il ?
dresse. On interrompit ces jeux jusqu’au temps de Pélops, qui les fit représenter en l’honneur de Jupiter, ils furent encore néglig
ne y disputaient le prix de la poésie ; Eschyle, Sophocle, Euripide y représentaient leurs tragédies ; les orateurs y prononçaient leu
’envisage. Quand Shiva est considéré comme le dieu producteur, il est représenté assis sur un taureau blanc, et il est entouré d’u
tions ? 4. Quels sont les attributs de Shiva ? Comment ce dieu est-il représenté  ? 5. D’où est venue la métempsycose ? Quelles son
zeds. Cet esprit médiateur avait aussi son culte et ses autels. On le représentait sous la figure d’un jeune guerrier qui plonge son
e résultat de leur lutte ? 6. Qu’est-ce que Mithra ? Comment était-il représenté  ? Que savez-vous de ces mystères ? 7. Comment se
s prêtres savaient que l’Etre suprême est unique, et qu’on ne peut le représenter sous aucune image corporelle. En approfondissant
Nil, le feu, le soleil, le principe maie, actif et vivifiant ; il le représentait sous la figure d’un taureau ou d’un bœuf ; Isis a
adème, et le remplaça par des cornes de vache, symbole sons lequel on représentait toujours cette déesse. Mais Typhon fut constammen
ui élevait pas de statue, parce qu’il ne croyait pas qu’elle pût être représentée . 3. Les Gaulois eurent toujours foi à l’immortali
s idées sur l’autre vie ? Que pensaient-ils des présages ? Comment se représentaient -ils les bons et les mauvais esprits ? Quelle infl
4 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
e. Rousseau. De ce Cahos est sorti le Destin, divinité allégorique, représentée tenant sous ses pieds le globe de la terre, et da
leurs vertus, leur fortune, et leur mort. Voltaire. Quelquefois on représente le Destin dans un temple ou dans un palais fermé
sur le trône. Saturne est le même que le Tems, divinité allégorique, représentée sous la figure d’un Vieillard, avec des attributs
e passé, et de lire dans l’avenir : c’est pourquoi Janus est toujours représenté avec deux visages, et quelquefois avec quatre. On
parés. D’une herbe verdoyante elle couvre nos prés. Rousseau. On la représente avec un disque et une clef à la main, un habit pa
hamps les jours et les moissons. Gresset. Jupiter est ordinairement représenté la foudre à la main, et porté sur un aigle. Le ch
s illustre origine Ne fut digne de vos faveurs. Rousseau. Junon est représentée superbement vêtue, montée sur un char traîné par
ette qualité, il porte le nom de Phébus, ou de Père du jour, et on le représente conduisant le char du Soleil, qui est tiré pat qu
ré comme le dieu de la Poésie, de la Musique et des Beaux-Arts. On le représente sous la figure d’un jeune homme ; une longue chev
ropre. Calliope préside à l’éloquence et à la poésie héroïque : on la représente avec un air majestueux, couronnée de lauriers, et
des dieux. Lamotte. Melpomène est la déesse de la tragédie : on, la représente avec un air sérieux ; elle est chaussée d’un coth
u’elle tient suspendu ? Lamotte. Thalie préside à la comédie. On la représente couronnée de lierre, chaussée de brodequins, tena
à l’art du geste et de la déclamation dont elle est l’auteur : on la représente vêtue de blanc, et couronnée de perles. Elle a la
éjà tes discours. Lamotte. Erato préside à la poésie lyrique. On la représente avec un air enjoué. Elle est couronnée de myrte e
a la flûte. Elle préside à la musique et à la poésie pastorale. On la représente couronnée de fleurs, et tenant à la main un livre
ce qu’ils ont appris. Lamotte. Uranie préside à l’astronomie. On la représente couronnée d’étoiles, avec une robe couleur d’azur
crits dans tous les tems. Lamotte. Clio préside à l’histoire. On la représente couronnée de laurier, tenant de la main droite un
s yeux ont vu périr. Rousseau. Terpsicore préside à la danse. On la représente couronnée de fleurs, avec une harpe entre les mai
c une troupe de Nymphes qu’elle occupoit toujours à la chasse : on la représente chaussée d’un cothurne, tenant un arc d’une main,
homme, avec un teint vermeil et un air de gaieté : quelquefois on le représente avec des cornes à la tête, parce que dans ses voy
oit de façon à ravir tous ceux qui l’écoutoient. C’est pourquoi on le représente quelquefois avec des chaînes d’or qui lui sortent
la nature du métal qu’on lui fait toucher. Mercure est ordinairement représenté habillé en coureur, avec des aîles à la tête et a
qu’elle est encore la mère des Ris, des Jeux et des Plaisirs, qu’ils représentent sous la forme de génies, ou de petits enfans aîlé
s n’en parlent que rarement, et avec horreur. Vénus est ordinairement représentée sur un char traîné par des colombes, ou par des c
moineaux. On place à côté d’elle son fils Cupidon. Quelquefois on la représente disputant la pomme d’or que la Discorde avoit jet
Cupidon. Cupidon ou l’Amour, étoit fils de Vénus et de Mars. On le représente sous la figure d’un enfant, avec un bandeau sur l
douleur. Jupiter lui rendit la vie, et lui donna l’immortalité. On la représente avec des aîles de papillon. Le culte que l’on ren
més,         A grand bruit l’enclume résonne. Rousseau. Ce dieu est représenté sous un air hideux et difforme, avec les yeux et
            Jettez le trouble et l’épouvante. Quinault. Minerve est représentée avec un air de douceur et de majesté. Elle tient
nnerres épouvantables Dont elle écrase les humains. Rousseau. On la représente armée d’une cuirasse, avec un casque sur la tête,
mbler Pluton, en peuplant les enfers. De la Noue. Mars est toujours représenté armé de toutes pièces, et ne respirant que le car
n char retentir leurs concerts. Rousseau. Neptune est ordinairement représenté sur un char en forme de coquille, et traîné par d
e            L’Hyménée et le dieu d’amour. Rousseau. Amphitrite est représentée dans le même appareil, mais elle n’a point de sce
ompette. La plupart des dieux marins sont appellés Tritons, et on les représente ornés de coquillages. Les Harpies étoient des mon
oit un empire absolu sur les vents, qu’il gouvernoit à son gré. On le représente avec un sceptre de fer à la main, assis ou appuyé
ole avoit sa cour dans les isles Eoliennes, voisines de la Sicile. On représente les Vents sous la figure de jeunes enfans aîlés ;
me dans chaque fleuve. Soit que ce soit un dieu ou une nymphe, on les représente couronnés de joncs, appuyés sur une urne d’où cou
iquer le nom du fleuve, de la rivière ou de la fontaine que l’on veut représenter par cette divinité. Divinités des Enfers.
        C’est vainement qu’on y veut résister. Quinault. Pluton est représenté sur un char tiré par des chevaux noirs, portant u
e mont Ethna deux flambeaux qui l’éclairoient dans ses courses. On la représente couronnée d’épics, tenant d’une main une faucille
Flore, déesse des fleurs et du printems, avoit épousé Zéphire. On la représente ornée de guirlandes, et portant une corbeille de
Priape, fils de Vénus et de Bacchus, étoit le dieu des jardins. On le représente avec la barbe et la chevelure fort négligées, et
oit le dieu des festins, et présidoit aux fêtes et aux parures. On le représente avec un chapeau de fleurs, et portant un flambeau
atyrique et bouffon est désigné par les attributs avec lesquels on le représente  : il démasque un visage, et tient une marotte à l
it est la déesse des ténèbres, et fille du Ciel et de la Terre. On la représente en long habit de deuil, parsemé d’étoiles. Elle é
s Songes, divinités infernales qui lui sont subordonnées, et que l’on représente avec des aîles de chauves-souris. Les songes que
justice. Elle a eu deux enfans de Jupiter ; la Loi, et la Paix. On la représente avec un bandeau sur les yeux, tenant une balance
ce diadème Que l’erreur prend pour un bandeau. Lamotte. La Paix est représentée couronnée de laurier, portant d’une main une peti
s toutes les nouvelles, bonnes ou mauvaises, vraies ou fausses. On la représente avec des aîles, et sonnant de la trompette. On pr
les du monde Semer le bruit et la terreur. Rousseau. La Fortune est représentée debout ou assise sur une roue qui tourne sans ces
ables                       Qui nous sont adressés. Rousseau. On la représente avec des aîles, armée de serpens et de torches ar
dentes, et une couronne sur la tête.   L’Envie, fille de la Nuit, est représentée sous la figure la plus hideuse : un front ridé, u
roubles parmi les hommes, qu’elle n’en causoit parmi les dieux. On la représente armée d’un flambeau, d’un serpent, et d’un poigna
ement ; et on l’appelle presque toujours le dieu de l’Arcadie. Il est représenté avec un air enflammé, des cornes à la tête, et la
ui donne que la tête et les pieds de cet animal. C’est ainsi que l’on représente encore les Satyres, les Faunes, les Sylvains, don
est le père. Le dieu Sylvain présidoit aux bois et aux forêts. On le représente avec un cyprès à la main. Faune, fils de Picus, r
es, parce qu’il avoit contribué à perfectionner l’agriculture. Il est représenté sous la figure d’un Satyre. D’autres disent que c
t placé dans le ciel, où il épousa Hébé, déesse de la jeunesse. On le représente couvert de la peau d’un lion et armé d’une massue
it ; Ou son frère n’est plus, ou le cruel la fuit. Crébillon. On la représente souvent accablée sous la tyrannie d’Egisthe, impa
e son ancienneté, et qu’il détruit l’ouvrage qu’il a produit, ils ont représenté Saturne sous la figure d’un vieillard qui porte u
ésomptueuse, en général, pour garder un juste milieu. Les avares sont représentés dans Tantale ; les cruels dans Lycaon, etc. Les v
mise au rang des dieux, 11 — Epouse de Neptune, 90 — Comment on la représente , 91 Amphitrion, époux d’Alcmène, 35-130 Anchise
— Pourquoi le laurier lui étoit-il consacré ? 48 — Comment est-il représenté  ? 41-44 Apothéose, 105 Arbres qui rendoient des
n Tauride, 60 Automne, dieu qui préside à cette saison, 113 Avares, représentés dans Tantale, 196 Aviron, attribut du Tems, 21
ui faisoit, 68 — Ses fêtes étoient célèbres, ibid. — Comment on le représente , 67 Baguette de Mercure, 71 Balance de Thémis,
e, déesse de la Guerre, 82 — Emblème du courage, 13 — Comment on la représente , 82 Bergers, chargés d’élever Neptune, 90 — Pou
orphose, 35-171 Calliope, une des neuf Muses, 49-51 — Comment on la représente , 51 Calomnie, honorée comme une divinité, 11 Ca
toute la terre, et la trouve aux enfers, 98-113 Cérès, comment on la représente , 133 Ceyx, époux d’Alcyone, 94 Champs Elysées,
lio, une des neuf Muses, 49-55 — Mère d’Orphée, 157 — Comment on la représente , 55 Cloris, mère de Nestor, 172 Clotho, une des
— Description de son temple, 77 — Son caractère, 76 — Comment on le représente , ibid. — Culte qu’on lui rend, 77 Cyanée, nymp
Et Neptune, 90 — Elle est distinguée de Cérès, 112 — Comment on la représente , 26 Cyclopes, forgerons de Vulcain, 78 — Tués p
gine, 17-18 — Combien les dieux lui sont soumis, 99 — Comment on le représente , 17 — Description de son Temple, 18 Deucalion,
— Sa statue est enlevée par Oreste et Pilade, 189 — Comment elle est représentée , 57 Didon, reine de Carthage, 194 Dieu, qui pré
ivinité, 11 — Son portrait, 120. Sa demeure, ibid. — Comment on la représente , 119 Eole, dieu marin, 93. Dieu des vents, ibid.
vents, ibid. — Ecarte les Troyens de l’Italie, 14 — Comment on le représente , 94 Eole, roi de Thèbes, père d’Athamas, 151 Eo
e de Prométhée, 32 Erato, une des neuf muses, 50-53 — Comment on la représente , 53 Erébe, fils du Chaos et de la Nuit, 106 — P
phée, 115 Erèbe, ce qu’il est en effet, 106-107-109 — Comment on le représente , 115 Erectée, oncle des Pallantides, 139-140 Er
n des Titans, 29 Euterpe, une des neuf Muses, 50-54 — Comment on la représente , 54 Evène, fleuve, 138 Evocations, 108-109 F
lx, attribut du Temps, 21 Faune, Dieu des bois, 123 — Comment on le représente , ibid. Faunes, divinité champêres, 123-124 Fav
s, ibid. — Le rang qu’elle tenoit sur la terre, 12 — Comment on la représente , 113 Flotte des Grecs composée de douze cents qu
e, 65-129 — Sa colère cause la guerre de Troie, 177 — Comment on la représente , 39 Jupiter, mis au rang des dieux, 10-11 — Sau
écipite Vulcain du haut du ciel, 78 — Sous quelle idée les poëtes le représentent , 36 — Noms qu’on lui donne, 27-36 — La forêt de
du tonnerre, 14 — Et au nombre des planètes, 86-87 — Comment on le représente , 36 Jupiter Indigètes, nom sous lequel Enée étoi
acrée, 85 — Il est blessé au siège de Troie, 86-176 — Comment on le représente , 85 — Il est délivré par Mercure, ibid. Mars,
marin, 93-97 Melpomène, une des neuf Muses, 44-52. — Comment on la représente , 52. Mémoire, (déesse de) 49 Ménades, 68. Voyez
s de sa prison, 85 — Endort Argus, et le tue, 38-71 — Comment on le représente , 70-71 Mercure, planète, 86-87 Merveilles du mo
, 176-190 — Sous quels rapports on la distingue, 80 — Comment on la représente , ibid. Minos, roi de Crète, punit les Athéniens
    Filles de Mémoire, 47 — — Doctes Fées, etc. 50 — Comment on les représente , 51-52-53-54-55 Myrmidons, 107 Mythologie, signi
t célèbre, 132 Némésis, déesse de la vengeance, 118 — Comment on la représente , 119 Néphélès, épouse d’Athamas, 151 Neptune, d
Pégase, ibid. — Il est l’emblème de la tempête, 14 — Comment on le représente , 91 Nérée, fils de l’Océan, père des nymphes, 91
déesse des ténèbres,104 Nuit, épouse du Chaos, 106 — Comment on la représente , 114 Nuit éternelle, 106 Numa Pompilius consacr
ne divinité, 11 — Fille de Jupiter et de Thémis, 106 — Comment on la représente , ibid. Palais du Destin, 17 — Du Soleil, 43 —
uté, 75 — Aide Prométhée, 31 — Protège Cadmus, 160 — Comment on la représente , 82-83 — — Voyez Minerve. Pallante, frère d’Egé
ang qu’il tenoit sur la terre, 11 — Ses danses, 124 — Comment on le représente , 123 Pandore, fille des dieux, 32-33 — Reçoit u
rbère, 106 — On le confond souvent avec Plutus, 110 — Comment on le représente , 99 Plutus, dieu des richesses, 110 Pô, fleuve
r son fils, 162 Polymnie, une des neuf Muses, 49-53 — Comment on la représente , 53 Pomme d’or, jettée par la Discorde, 74-75 —
Priape, fils de Vénus, 73 — Dieu des jardins, 113 — Comment on le représente , 114 — Priviléges des Vestales, 27 Prix de la b
eur de Phaéton, 42 Psyché, persécutée par Vénus, 76 — Comment on la représente , 77 Ptérélaüs, roi de Télèbe, 130 — Meurt en pe
lle des Parques, 108 — d’Hercule, 138 R Raison, emblème qui la représente , 80 Rémus, fils de Mars, 85 Renommée, son emplo
te, 80 Rémus, fils de Mars, 85 Renommée, son emploi ; comment on la représente , 117 — On l’appelle Déesse ou Nymphe aux cent vo
a Janus, 22 — Ce dieu est un emblème du Temps, 195 — Comment il est représenté , 21 Saturne, planète, 86 Satyre Marsyas, puni p
à Achille, 185 Signes du Zodiaque, 86-87-88 Silence, comment on le représente , 115 Silène, compagnon de Bacchus, 66 — Son tri
elle est devinée ; il se précipite dans la mer, 163 — Comment on le représente , 168 Statue de Bélus, 10 — De Diane, 60 — De J
ancêtres d’Agamemnon, 168 — Son crime et son supplice, 103-169 — Il représente les avares, 196 Tartare, séjour des méchans aprè
le même que Saturne, 21 — Est soumis au Destin, 13 — Comment on le représente , 21 Temple du Destin, 17 — De Jupiter Olympien,
ques, 127 Terpsichore, une des neuf Muses, 49-55-56 — Comment on la représente , 55 Terre, (la) confondue dans le chaos, 16 — L
roi de Troie, 179 Thalie, une des neuf Muses, 49-52 — Comment on la représente , 52 Thalie, une des trois Graces, 75 Thèbes, bâ
oétique, 11 Thémis, déesse de la justice, 115 Thémis, comment on la représente , 116 Thémistho, épouse Athamas, 96 — Trompée par
, 90 — Le rang qu’ils tenoient parmi les dieux, 11 — Comment on les représente , 91 Troade, sa position, 178-179 Troie, ville c
ils Télégone, 194 Uranie, une des neuf Muses, 49-54 — Comment on la représente , 54 Urne qui renferme le sort des hommes, 17-18
y préside, 118 Vents, soumis à l’empire d’Eole, 93 — Comment on les représente , 94 Vénus, son origine, 72 — Emblème de la beau
ses Temples, 74 — Quel culte on lui rendoit, ibid. — Comment on la représente , ibid. Vénus, planète, 86-87 Vérité, honorée c
ur le mont Caucase, 31 — Surprend Mars et Vénus, 85 — Comment on le représente , 79 Z Zéphire, époux de Flore, 103 — Porte
5 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
it tout par une nécessité inévitable. On le supposait sourd, et on le représentait sous les traits d’un vieillard aveugle, ayant sou
que les païens croyaient supérieur à tous les autres ? Comment est-il représenté  ? Qu’atteste cette idée que les anciens s’étaient
gouverner son peuple par des lois sages qui le rendirent heureux. On représente Saturne sous les traits d’un vieillard, parce que
iguraient l’image ; car les poëtes, dans les tableaux qu’ils en font, représentent les hommes plus heureux encore par l’innocence et
mps ? Expliquez les diverses allégories cachées sous ce nom ? Comment représente-t -on Saturne ? 12. Comment s’appelaient les fêtes d
anus et de Tellus, fut, comme celle-ci, déesse de la Terre. Tellus ne représentait en quelque sorte que la Terre nue et aride, tandi
t, comme les doigts, au nombre de dix. 15. Images de Cybèle. On représente . Cybèle sous les traits d’une femme robuste, ence
’était-ce que Cybèle ? En quoi diffère-t-elle de Tellus, sa mère, qui représentait aussi la terre ? Quelle fut, d’après Diodore, la
lles ? Quels étaient les différents noms de ses prêtres ? 15. Comment représente-t -on Cybèle ? 16. Quelle fut la fille de Cybèle, do
e grande beauté, qu’il avait fait enlever au ciel par l’aigle qui est représenté portant sa foudre. Il y avait encore un dieu suba
bouffon, devenu insupportable, fut honteusement chassé du ciel. On le représente tenant un masque d’une main, et de l’autre une ma
s. Le seul mouvement de ses sourcils faisait trembler l’Olympe. On le représente assis sur un trône d’or ou d’ivoire. D’une main i
it-on sur ses autels ? Quels étaient ses principaux oracles ? Comment représente-t -on Jupiter ? Chapitre V. Junon. 28. Nais
s celui de Lucine, quoique ce nom soit aussi celui de sa fille. On la représente assise sur un trône, la tête ceinte d’un diadème,
noraient d’un culte particulier ? A quoi présidait Junon ? Comment la représente-t -on ? Quel oiseau lui était consacré ? Pourquoi l’
s allaient porter à leurs maîtres des présents appelés minervales. On représente Minerve avec un air grave, simple et majestueux.
que les Panathénées ? Comment célébrait-on ces fêtes à Rome ? Comment représente-t -on Minerve ? Quel est le mot piquant de Démosthèn
Terpsi, Thal, Euter, Cli, Cal, Erat, Ura, Po, Mel. Les Muses sont représentées avec les attributs des arts auxquels elles présid
il, dont il n’est que le dieu. Le Soleil était fils d’Hypérion. On le représente la tête environnée de rayons, et tenant un globe
trainé par quatre chevaux (n° 36). Apollon, dieu des beaux-arts, est représenté sous la forme d’un jeune homme d’une beauté éclat
elphes ? Quelle différence y a-t-il entre Phœbus et Apollon ? Comment représente-t -on l’un et autre ? Qu’est-ce que l’Apollon du Bel
ps après, avec une magnificence qui surpassait encore la première. On représente Diane comme déesse de la chasse, vêtue d’une tuni
elquefois elle est montée sur un char traîné par des cerfs blancs. On représentait encore Diane avec trois têtes d’animaux : c’étaie
du monde connues des anciens. 3° Les Gémeaux (mai) Les Gémeaux représentent Castor et Pollux, fils de Léda, si fameux par leu
le plus magnifique de ses temples ? Par qui fut-il détruit ? Comment représente-t -on Diane ? 42. Qu’appelle-t-on constellation ? Qu
u’appelle-t-on Zodiaque ? Enumérez les douze signes du Zodiaque ? Que représente la constellation du Bélier ? A quel mois de l’ann
ieu les langues des animaux immolés, comme emblème de l’éloquence. On représente Mercure sous les traits d’un jeune homme, beau de
t-il répandu ? Quelle singularité offrait-il ? Comment Mercure est-il représenté  ? Quel nom donnait-on à ses statues à Athènes ?
culièrement chez les Gaulois, qui l’adoraient sous le nom d’Hésus. On représente Mars sous la forme d’un guerrier armé d’un casque
ait-on à Mars ? Comment s’appelait ce dieu chez les Gaulois ? Comment représente-t -on le dieu Mars ? Quels oiseaux lui étaient consa
, étaient filles de Jupiter et d’Eurynome28. Elles sont ordinairement représentées dansant en cercle et ornées de guirlandes de fleu
Spartiates l’adoraient sous le nom de Vénus-Uranie, ou Céleste, et la représentaient tout armée. Les Romains croyaient descendre de ce
ntentait de brûler de l’encens et d’autres parfums sur ses autels. On représente la déesse de la beauté de bien des manières. Quel
couronnée de myrtes et de roses. Aucune divinité n’a été plus souvent représentée par les peintres et les sculpteurs, aucune n’a ét
3. Nommez les trois Grâces. De qui étaient-elles filles ? Comment les représente-t -on ? Qu’est-ce que Cupidon ? Comment Jupiter le t
s à dire de sa statue par Praxitèle ? Qu’offrait-on à Vénus ? Comment représente-t -on cette déesse ? Chapitre XII. Cérès. 5
ses enfants, qui rend sensible cette vérité. Plutus est ordinairement représenté sous les traits d’un vieillard aveugle. Il avait
ne pouvaient révéler, sans crime, le secret qui leur était imposé. On représente Cérès sous la figure d’une femme robuste, pour in
nferme ? 57. Quelles étaient les principales fêtes de Cérès ? Comment représente-t -on cette déesse ? Chapitre XIII. Bacchus.
n âne, tantôt marchant appuyé sur un bâton ou sur un thyrse32. Il est représenté portant sur la tête une couronne de lierre, et à
chante, après que son épouse Eurydice lui eut été deux fois ravie. On représente Bacchus sous les traits d’un jeune homme, à la ch
on char est traîné par des lions. Comme dieu des buveurs, Bacchus est représenté assis sur un tonneau, une coupe à la main. On lui
uoi les appela-t-on du nom d’orgies, et que signifie ce mot ? Comment représente-t -on Bacchus ? Pourquoi la pie lui était-elle consa
, dans la succession des âges. Dans les anciens monuments Vulcain est représenté à demi nu, la barbe et la chevelure négligées. De
se célébraient-elles ? De quoi étaient-elles l’emblème ? Comment est représenté Vulcain dans les anciens monuments ? Quel est le
re, déesse des fleurs, est la gracieuse allégorie du printemps. On la représente ornée de guirlandes et couronnée de fleurs. Elle
. On reconnaît sous cette allégorie les quatre saisons de l’année. On représente Pomone couronnée de fruits et Vertumne couronné d
t fils de Vénus et de Bacchus, selon l’opinion la plus commune. On le représente ayant une tête humaine, des oreilles de chien ou
téger les propriétés et faire respecter les limites des champs. On le représente avec une tête d’homme, mais sans pieds et sans ma
in de leur vie lorsqu’ils entreprenaient des voyages maritimes. On le représente sous la forme d’un vieillard assis sur les ondes
pelées Néréides, et révérées aussi comme Nymphes de la mer. Nérée est représenté sous les traits d’un vieillard ayant une longue b
eils qu’Hercule s’empara des pommes d’or du jardin des Hespérides. On représente les Néréides sous les traits de jeunes filles ass
tait-ce qu’Océan ? Quel était le culte qu’on lui rendait ? Comment le représentait -on ? Quelle fut la naissance de Nérée et de Doris
et de Doris ? 72. A quelles divinités donnèrent-ils le jour ? Comment représente-t -on Nérée et les Néréides ? De quoi ces divinités
mers, Neptune était, après Jupiter, le plus puissant des dieux. On le représente debout sur un char en forme de conque, traîné par
une beaucoup d’enfants, d’aventures et de métamorphoses ? 75. Comment représente-t -on Neptune ? Dans quel pays se répandit son culte
abile nageur, qui en plongeant restait longtemps sous les eaux. On le représente , comme tous les dieux marins, avec une longue bar
ipitèrent dans les flots, où elles furent changées en rochers. On les représente sous les traits de belles femmes, dont le corps s
a patrie, sur les côtes d’Afrique. On donne à Eole douze enfants, qui représentent les vents principaux. Les plus connus sont : Boré
ffre la chasse et des malheurs qu’elle cause trop souvent. Les poëtes représentent l’Aurore vêtue d’une robe de safran, montée sur u
ut lieu sa métamorphose ? Comment explique-t-on cette fable ? Comment représente-t -on Glaucus ? 78. Faites connaître Mélicerte, son
ncues par Orphée, par Ulysse ? Quelle fut leur destinée ? Comment les représente-t -on ? 80. Qu’était-ce que les Harpies ? De quoi ét
 ? Qu’était-ce qu’Eole ? Quels étaient les principaux Vents ? Comment représente-t -on Zéphire ? 81. De qui Aurore était-elle fille ?
de Céphale et de Procris, sa femme ? Qu’indique cette fable ? Comment représente-t -on l’Aurore ? Chapitre XIX. Les Enfers. — Plu
aient consacrées à Pluton. Ses prêtres en portaient des couronnes. On représente ordinairement Pluton assis sur un trône d’ébène,
aï et redouté ? Quel fut son culte en Grèce et en Italie ? Comment le représente-t -on ? Chapitre XX. Ministres de Pluton. Les Ju
s exécutaient les vengeances des dieux et les arrêts de Minos. On les représente avec un visage menaçant, la bouche béante, la têt
onduisait le fil ; Atropos le coupait de ses impitoyables ciseaux. On représente les Parques sous les traits de femmes âgées, d’un
onné pendant un an pour avoir dispensé Hercule de cette condition. On représente le nocher des enfers sous la forme d’un vieillard
qu’expriment les ailes, la roue et le gouvernail avec lesquels on la représente . D’une main elle tient un flambeau qui éclaire le
a terre. 85. Comment nomme-t-on les trois Furies ? Comment sont-elles représentées  ? Quelles étaient les trois Parques, leur naissan
uel était son emploi ? Qu’appelle-t-on denier de Charon ? Comment est représenté le nocher des enfers ? Comment explique-t-on la f
e était sa double fonction ? Quels étaient ses attributs ? Comment la représente-t -on ? Chapitre XXI. Supplices des grands coupa
a Vérité est fille de Saturne ou du Temps, et mère de la Vertu. On la représente sous les traits d’une vierge vêtue de blanc, et d
i les divinités de cet ordre. Les Romains lui élevèrent un temple. On représente la Vertu sous la figure d’une femme simple et mod
é. — La Force. La Justice, appelée aussi Thémis par les Grecs, est représentée sous les traits d’une vierge, tenant d’une main u
’Amitié était également honorée chez les Grecs et les Romains. Ils la représentaient vêtue d’une tunique sur la frange de laquelle on
le de la fidélité. La Force, fille de Thémis et de la Tempérance, est représentée sous les traits d’une Amazone, qui d’une main emb
eil, qui suspend nos peines, et de la Mort, qui les termine, elle est représentée avec une corne d’abondance, des fleurs, des fruit
ns du soleil, et baigné par les eaux du fleuve d’Oubli Le Sommeil est représenté étendu sur un lit de feuillage ; les Songes volti
t révéré comme un dieu, sous les noms de Sigalion et d’Harpocrate, et représenté avec un doigt sur les lèvres. La Victoire, fille
gt sur les lèvres. La Victoire, fille du Styx et du géant Pallas, est représentée avec des ailes, tenant une palme d’une main et de
ouvrages, comme un hommage à la paix, qui favorise leurs travaux. On représente cette déesse avec un air doux, portant d’une main
urtout chez les Romains, qui lui bâtirent plusieurs temples. Elle est représentée sous la figure d’une femme romaine tenant d’une m
n la fable, suivit dans le Latium Saturne, détrôné par Jupiter. On la représente sous la figure d’une belle femme, couronnée de fl
n gré les richesses et la pauvreté, les plaisirs et les peines. On la représente sous la figure d’une femme aveugle, ayant des ail
cent oreilles, avec de longues ailes garnies d’yeux en dessous. On la représente quelquefois plus simplement sous la figure d’une
orphosée en tortue pour avoir écouté les flatteries de Vulcain. On la représente sous la figure d’une femme échevelée, mal vêtue,
é, fille du Luxe et de l’Oisiveté ou de la Paresse, est ordinairement représentée sous les traits d’une femme pâle, mal vêtue, dema
qui fut la cause du jugement de Pâris et de la guerre de Troie. On la représente les yeux hagards, la tête entourée de serpents et
et dont elle animait les combattants. 103. L’Envie. L’Envie est représentée sous des traits hideux, avec des yeux caves et lo
a fable de l’un est l’histoire préfigurée et amplifiée de l’autre. On représente Hercule sous la forme d’un homme robuste, s’appuy
istoire de sa mort. Que devint Hercule après sa mort ? Comment est-il représenté  ? Chapitre XXVI. Thésée. 113. Naissance
bant à la mer ou par accident ou par la trahison de son hôte. Virgile représente Thésée dans les enfers éternellement assis sur un
ent seraient la marche du soleil, qui répand partout la fécondité. On représentait ce dieu de bien des manières : quelquefois par un
ne, l’air, la terre et surtout l’Egypte, fertilisée par le Nil. On la représente , comme Osiris, avec des attributs très-divers, ma
et on lui attribuait des guérisons miraculeuses. II est ordinairement représenté la tête couverte d’une corbeille ou d’un boisseau
ont les allégories cachées sous les noms d’Osiris et d’Isis ? Comment représente-t -on ces deux divinités ? 129. Quels étaient les au
un culte particulier ? 130. Qu’était-ce que le bœuf Apis ? Quel dieu représentait-t -il ? Que se passait-il à sa mort ? Quelles condit
s ? Que signifie ce nom ? A quoi présidait ce dieu ? Comment était-il représenté  ? Où étaient ses principaux temples ? Pourquoi le
cette divinité, et c’est par eux que nous en avons des images. Il est représenté le plus souvent sous la forme d’un jeune homme, a
Quelle personnification, quel emblème présente-t-il ? Comment est-il représenté  ? A quelle époque son culte fut-il introduit à Ro
e se trouve donc racontée par la leur, dont elle ne se sépare pas. On représente Siva avec cinq têtes, quatre mains et trois yeux
s célèbre. 138. Quel est le caractère distinctif de Siva ? Comment le représente-t -on ? Quels sont les principaux dogmes que renferm
tre vie, époque de récompenses et de peines. Pendant longtemps ils ne représentèrent point leurs dieux : ils les adoraient dans les fo
dieu souverain fût le dieu de la guerre. Il s’appelait Hésus ; on le représentait armé d’une hache, et on l’honorait surtout par l’
6 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
ymboles ou des allégories. On entend par symboles des personnages qui représentent , dans leur personne unique, un certain nombre de
a nature et des monstres qui désolaient l’humanité. Les allégories ne représentent que des idées abstraites, c’est-à-dire dont l’obj
ributs qui sont emblématiques. On entend par emblème une chose qui en représente une autre : le serpent est l’emblème de la pruden
e la tendresse. Comme ces trois mots, symbole, allégorie, emblème, se représenteront souvent, il est important d’en bien préciser le s
résentation ; mais le symbole est un personnage réel ou fabuleux, qui représente un ensemble de faits ou de personnages ; l’allégo
e faits ou de personnages ; l’allégorie est un personnage fictif, qui représente une idée abstraite ; l’emblème est une chose réel
i représente une idée abstraite ; l’emblème est une chose réelle, qui représente une idée ou un sentiment. Les exemples qui précèd
sur un livre d’airain, et nulle puissance ne saurait les effacer. On représente ce dieu sous la figure d’un vieillard aveugle, ay
le Destin est-il né ? — Quelle est la puissance du Destin ? — Comment représente-t -on le Destin ? — Qu’existait-il avant la naissanc
dence. Les Romains rendirent à ce prince les honneurs divins ; ils le représentèrent avec deux visages : l’un tourné vers le passé et
’âge d’or, pendant lequel l’égalité avait régné sur la terre. Saturne représente le temps. La plupart des faits que la fable lui a
pu dire qu’il avait donné asile à Saturne. Ce dieu est ordinairement représenté sous la forme d’un vieillard, parce que le Temps
son père ? — Où Saturne se réfugia-t-il après sa défaite ? — Comment représente-t -on Janus ? — Comment nomme-t-on les fêtes de Satu
s fêtes de Saturne ? — Que signifie l’histoire de Saturne ? — Comment représente-t -on Saturne ? § 2. Jupiter. Enfance de Ju
a terre. Typhon, le dernier et le plus terrible des fils de la Terre, représente la fureur des vents. C’est de lui que le fougueux
âge. Il y faisait entrer la vérité sous le masque de la folie. On le représente avec un masque et une marotte. Les dieux, fatigué
se du culte que les hommes lui rendaient et de la manière dont ils le représentaient . Jupiter était adoré de toutes les nations : l’Af
uvement de sa tête faisait trembler l’Olympe et la terre entière ; il représentait l’Éther, ou l’air pur des hautes régions de l’atm
rre des Géants ou des montagnes que le tonnerre frappe si souvent. On représente ordinairement Jupiter assis sur un trône d’or ou
fiait-on sur ses autels ? — Quel arbre lui était consacré ? — Comment représente-t -on Jupiter ? § 3. Junon. Mariage de Juno
gyptiens sous le nom d’Isis. Culte et attributs de Junon. Junon représente l’air grossier ou l’atmosphère terrestre ; c’est
riages, à la naissance, et elle prenait alors le nom de Lucine. On la représente assise sur un trône, un diadème sur la tête, à la
es furent les principales victimes des ressentiments de Junon ? — Que représente Junon ? — Quelles étaient ses villes de prédilect
e Junon ? — Quelles étaient ses villes de prédilection ? — Comment la représente-t -on ? — Quel oiseau lui était-il consacré ? — Quel
d’Apollon. Les peintres, les poëtes et les sculpteurs ont souvent représenté Apollon. Homère le décrit ainsi dans le premier c
ion. Comme dieu du Soleil, Apollon prenait le nom de Phébus, et on le représente sur un char brillant attelé de quatre chevaux ; c
épopée, enfin Uranie a pour domaine l’astronomie. Ces déesses étaient représentées avec les attributs des arts auxquels elles présid
ont Parnasse ? — Faut-il confondre Apollon avec le soleil ? — Comment représente-t -on Apollon ? — De qui les Muses sont-elles filles
les Grecs donnaient à cette déesse. Comme déesse de la chasse, on la représente ordinairement chaussée du cothurne, vêtue d’une t
dans les carrefours, dont le nom latin est trivium. Quelquefois on la représentait avec trois têtes d’animaux : c’était tantôt le ch
rande Ourse et le Bouvier. — La petite Ourse se compose d’étoiles qui représentent les nymphes nourrices de Jupiter. — Les Hyades ou
ait-on les fêtes que la Grèce célébrait en son honneur ? — Comment la représente-t -on ? — N’a-t-elle pas d’autres noms ? — Qu’est-ce
t eux-mêmes à leurs maîtres des présents qu’on nommait Minervales. On représente Minerve avec un air grave et majestueux ; d’une m
e ne célébrait-elle pas des fêtes en l’honneur de Minerve ? — Comment représente-t -on Minerve ? § 7. Mercure. Naissance et
n grâce ? — Quels services Mercure rendit-il aux dieux ? — Comment le représente-t -on ? — Qu’est-ce que le caducée ? — Où le culte d
Ils dansaient et chantaient des hymnes en l’honneur du dieu Mars. On représente Mars sous la figure d’un guerrier terrible. Le co
s de Mars ? — Quelle cérémonie faisaient-ils tous les ans ? — Comment représente-t -on le dieu Mars ? § 9. Vénus. Naissance
, compagnes de Vénus, étaient filles de Jupiter et d’Eurynome. On les représente ornées de guirlandes de fleurs et dansant en rond
os. On n’offrait sur ses autels que de l’encens et des parfums. On la représente quelquefois sous la forme d’une jeune fille sorta
Grâces. Aucune déesse n’a été plus souvent chantée par les poëtes et représentée par les peintres et les sculpteurs. La Vénus de P
énus à la mort d’Adonis ? — Où Vénus était-elle adorée ? — Comment la représente-t -on ? Deuxième partie. Divinités de la terre.
s cymbales et des tambours, et en poussant d’horribles hurlements. On représente ordinairement Cybèle assise, pour montrer la stab
ses prêtres ? — Quel nom donnait-on aux prêtres de Cybèle ? — Comment représente-t -on Cybèle ? — Doit-on confondre avec Cybèle la Ve
suffisant pas, Érésichton finit par se dévorer lui-même. Cette fable représente les hommes avides qui, au lieu de cultiver la ter
érès. Cérès est la mère de Plutus, dieu des richesses. Le dieu est représenté sous la figure d’un vieillard aveugle. On dit que
brait en son honneur d’autres fêtes appelées Thesmophories. Cérès est représentée tenant une faucille et une gerbe dans ses mains ;
it-elle Érésichton ? — Où célébrait-on les fêtes de Cérès ? — Comment représente-t -on cette déesse ? §.3 Bacchus. Naissance
s ceux qui ne s’associaient pas à leur ivresse et à leurs fureurs. On représentait Bacchus sous la forme d’un beau jeune homme à la
ce de Bacchus ? — Comment nommait-on les fêtes de Bacchus ? — Comment représente-t -on Bacchus ? § 4. Vulcain. Naissance, di
générations humaines se transmettent dans la succession des âges. On représente ordinairement ce dieu appuyé sur une enclume ; sa
nommait-on les courses célébrées en son honneur à Athènes ? — Comment représente-t -on Vulcain ? § 5. Divinités subalternes de la
 Pomone. — Vertumne. — Priape. — Pan. — Satyres. — Nymphes. Cybèle représente la terre, Cérès l’agriculture, Proserpine le blé,
attributs. Terme, dieu romain, présidait aux bornes des champs. On le représente avec une tête d’homme, mais sans pieds et sans ma
solennel, et l’invoquaient au départ des expéditions maritimes. On le représente sous la forme d’un vieillard, le front armé de de
côté de lui on voit un monstre marin. Téthys, épouse et sœur d’Océan, représente la mer Méditerranée, et leur alliance exprime l’u
— Quels enfants naquirent de l’union d’Océan et de Téthys ? — Comment représente-t -on l’Océan ? — Que raconte-t-on de Téthys ? §
buts et culte de Neptune. Neptune est le souverain des mers. On le représente debout sur un char en forme de conque et traîné p
? — Qui Neptune épousa-t-il ? — Quel dieu était Neptune et comment le représente-t -on ? — Qu’était-ce que les jeux Isthmiques ? — Qu
ur, dont il eut cinquante filles, les Néréides, nymphes de la mer. On représente Nérée sous la figure d’un vieillard avec une long
au dieu des mers avec Nérée et Doris. Glaucus, autre divinité marine, représente les pêcheurs. On le dit fils de Neptune. La pêche
che, qui se fit d’abord sur le rivage, et plus tard en pleine mer. On représente Glaucus avec une longue barbe, des cheveux flotta
taient : Eurus, Auster, Zéphyre et Borée. Eurus, vent du sud-est, est représenté sous les traits d’un jeune homme qu’emporte une c
voûte des cieux. Il est facile de voir que cette histoire de Céphale représente les habitudes et les dangers de la chasse. La pas
ui rendait un son plaintif aux premiers rayons du soleil. Les anciens représentent Aurore vêtue d’une robe de safran, et montée sur
és. Ses prêtres étaient couronnés de cyprès, l’arbre des tombeaux. On représente ordinairement Pluton sur un trône d’ébène, qu’ent
t la femme de Pluton ? — Comment Pluton était-il adoré ? — Comment le représente-t -on ? § 3. Ministres de Pluton. Minos, Éa
s de Minos. On en compte trois : Tisiphone, Mégère et Alecton. On les représente avec un air sévère et menaçant : des serpents ent
eux ceux pour lesquels les Parques filaient de l’or et de la soie. On représente ces déesses sous la figure de femmes au visage sé
emprisonné pendant un an pour avoir laissé passer Hercule vivant. On représente Charon sous la forme d’un vieillard robuste, à la
Nuit. Elle récompensait la vertu comme elle punissait le crime. On la représente avec des ailes, un gouvernail et une roue, pour e
le nom des Furies ? — Quelles étaient leurs fonctions. — Comment les représente-t -on ? — Pluton n’avait-il pas d’autres ministres ?
sion du jugement de Pâris et le principe de la guerre de Troie. On la représente les yeux hagards, la tête entourée de serpents et
e de sa voix puissante. La Fortune présidait au bien et au mal. On la représente sous la figure d’une femme aveugle, les pieds ail
révéré comme un dieu, sous le nom d’Harpocrate et de Sigalion. On le représente un doigt sur la bouche. On apprenait de lui l’art
La Fontaine] La Vérité est fille du Temps et mère de la Vertu. On la représente sous les traits d’une vierge, sans vêtements et r
les yeux et sur le front, que la pudeur doit paraître. La Justice est représentée sous les traits d’une jeune fille, tenant d’une m
ire, médecins fameux, qui commencèrent la famille des Asclépiades. On représente Esculape avec une longue barbe, un coq à ses côté
Hébé, déesse de la jeunesse. Telle est l’histoire de ce héros, qu’on représente sous les traits d’un homme robuste ; il tient à l
7 (1845) Mythologie de la jeunesse
ocables, et Jupiter lui-même ne pouvait en empêcher l’exécution 5. On représentait ce dieu sous la figure d’un vieillard aveugle, ay
ant le règne d’Auguste. [Fig. 16] Saturne figurait le temps. On le représentait sous les traits d’un vieillard chauve, tenant d’u
tables, ou les souillaient d’immondices14 [Fig. 31]. [Fig. 31] On représentait Neptune sur un char en forme de coquille, traîné
récipitèrent dans la mer, où elles furent changées en rochers. On les représentait sous la figure de jeunes filles, dont le corps se
victimes noires, dont on faisait couler le sang dans une fosse. On le représentait tantôt sur un trône d’ébène, tantôt sur un char t
es dieux. On en comptait trois : Tisiphone, Mégère et Alecton. On les représentait avec un air sévère et menaçant, la bouche béante,
un culte particulier. Sous le nom de Cybèle, elle était ordinairement représentée sur un char traîné par des lions, la tête couronn
se trouvait convaincue d’y avoir manqué. [Fig. 50] La déesse était représentée vêtue d’une longue robe, le front voilé, et tenan
e fleur, qui croissait dans les champs d’Olène, ville d’Achaïe. On le représentait sous la figure d’un guerrier terrible qu’un char
ui donnait une puissance irrésistible à celle qui la possédait. On la représentait tantôt sous la forme d’une jeune fille sortant du
lgré sa difformité, il épousa Vénus, la plus belle des déesses. On le représentait noir et crasseux, avec une barbe touffue, une che
uteurs les distinguent. L’une figurait l’art militaire, et l’autre ne représentait , de la guerre, que l’épouvante et les horreurs. U
hènes, du nom d’Athéna, que les Grecs donnaient à cette déesse. On la représentait avec un casque à visière, une lance d’une main, u
es plus célèbres furent ceux de Delphes, de Délos et de Claros. On le représentait sous la figure d’un beau jeune homme sans barbe,
a reconnaître dans ses statues. Comme déesse de la chasse, elle était représentée sous les traits d’une jeune fille, chaussée d’un
ut élevé par les Nymphes de Nysa26 et par Silène, que les poètes nous représentent comme un vieil ivrogne, monté sur un âne. Devenu
était le fils de Vénus et de Mars, et s’appelait aussi Cupidon. On le représentait sous les traits d’un enfant nu, qui se balançait
où Jupiter légitima leur mariage. De leur union naquit la Volupté. On représentait Psyché avec des ailes de papillon aux épaules. So
eu près les mêmes attributs. Thalie avait inventé la comédie. On la, représentait appuyée sur une colonne, avec un masque a la main
gnard, présidait à la tragédie. Terpsichore, muse de la danse, était représentée sous la figure d’une jeune fille vive et enjouée,
re des odes, des cantiques et des chansons ; c’est pour cela qu’on la représentait avec une lyre. Euterpe présidait à la musique ;
nt consacrés ; et, parmi les arbres, le laurier et le palmier. On les représentait jeunes, belles, modestes, simplement vêtues, ayan
ire. On leur offrait des fruits, des fleurs, du lait, de l’encens. On représentait les Lares, ou sous la figure d’un chien, symbole
de quelque divinité publique. Quant au Génie, il était ordinairement représenté sous la figure d’un jeune homme, tantôt ailé, tan
, et se taire sur le reste, c’était rendre hommage à la déesse. On le représentait levant le masque de dessus son visage, et tenant
d’Osiris et d’Isis, était, chez les Grecs, le dieu du silence. On le représentait sous la figure d’un jeune homme demi-nu, tenant d
donné à ses fêtes, qui se célébraient dans le mois de février. On le représentait avec un visage enflammé, des cornes sur la tête,
e l’indique son nom, la déesse des fleurs, et femme de Zéphyre. On la représentait sous la figure d’une jeune fille, ornée de guirla
déesse des fruits, avait pour époux Vertumne, dieu des jardins. On la représentait couronnée de feuilles de vignes et de grappes de
à Lampsaque, capitale de la Mysie, d’où son culte passa à Rome. On le représentait sous la forme d’un nain, avec des cornes et des o
ènes et les Sylvains. Ces différentes divinités étaient ordinairement représentées sous la forme de petits hommes très velus, avec d
n’avaient du bouc que deux petites cornes au front [Fig. 76] ; on les représentait quelquefois avec des oreilles allongées et une qu
dieu Terme, et qu’il fallut nécessairement le laisser en place. On le représenta d’abord sous la forme d’une borne ou d’un pieu fi
Thémis, fille du Ciel et de la Terre, présidait à la justice. On la représentait avec une balance à la main et un bandeau sur les
caprice. Elle était particulièrement honorée chez les Romains. On la représentait chauve, aveugle, ou ayant un bandeau sur les yeux
sses la pomme d’or, sur laquelle était écrit : À la plus belle. On la représentait avec des yeux hagards et enflammés, la tête entou
lauriers le fiel amer que sa langue distillait sans cesse. Elle était représentée sous la figure d’une femme au regard louche et so
ur de l’homme, qu’elle accompagne jusqu’au tombeau. Communément on la représentait appuyée sur une ancre de vaisseau [Fig. 84]. La c
des fruits. La Force. La Force était la fille de Thémis. On la représentait sous les traits d’une amazone, embrassant d’une m
sait un lion [Fig. 84]. [Fig. 84] La Fraude. La Fraude était représentée avec une tête humaine d’une physionomie agréable,
Les Romains avaient élevé à la Paix un temple magnifique. Elle était représentée sous les traits d’une belle femme, tenant d’une m
soin du char et des chevaux du Soleil. La Renommée. Virgile a représenté la Renommée comme un monstre ailé, qui a autant d
sur un globe [Fig. 87]. [Fig. 87] La Vérité. La Vérité était représentée sous les traits d’une vierge, vêtue de blanc, aya
ujet de rougir [Fig. 88]. [Fig. 88] L’Amitié. L’Amitié était représentée vêtue d’une tunique, sur les bords de laquelle on
on des rois, élevèrent des temples et des autels à la Liberté. Ils la représentaient sous la figure d’une femme qui se tient debout, e
son harmonieux lorsque les rayons du soleil venaient à la frapper. On représentait l’Aurore assise sur un char lumineux, parsemé de
érilité. Une naïade, nommée Aréthuse, sort alors du fond des eaux, et représente à Cérès que la terre n’est point coupable de l’en
poux cède aux instances d’une femme qui a su le séduire. 10. Jupiter représentait l’air pur ou l’éther ; et Junon, l’air grossier o
s tard en pleine mer. 18. Les Sirènes, avec leur voix enchanteresse, représentent les faux plaisirs et les regrets dont ils sont to
es, les embûches qu’elle leur tendait. Chez les Égyptiens, le sphinx, représenté avec une tête d’homme ou de femme, unie à un corp
8 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
Phaëton et d’Icare, qui prennent un vol audacieux dans les airs, nous représentent le sort des orgueilleux ; celle du beau Narcisse
on en fait monter le nombre jusqu’à trente mille ; aussi Juvénal nous représente Atlas gémissant sous le poids du ciel, à cause du
utre nom ? R. Saturne est le même que le Temps, Divinité allégorique, représentée sous la figure d’un vieillard, avec des attributs
désireroient. C’est ce qu’on appelle la corne d’abondance. D. Comment représente-t -on Jupiter ? R. On le représente avec les sourcil
e la corne d’abondance. D. Comment représente-t-on Jupiter ? R. On le représente avec les sourcils noirs, le front couvert de nuag
son père. D. N’avez-vous rien à nous dire de Phaëton ? R. Les Poëtes représentent Phaëton comme un jeune étourdi et un ambitieux. I
it aussitôt, et la changea en Corneille. D. Comment Apollon étoit- il représenté  ? R. On le représente sous la figure d’un jeune h
ngea en Corneille. D. Comment Apollon étoit- il représenté ? R. On le représente sous la figure d’un jeune homme, sans barbe, tant
; mais alors elle est regardée comme Divinité céleste ? D. Comment la représente-t -on ? R. On la représente chaussée d’un cothurne,
dée comme Divinité céleste ? D. Comment la représente-t-on ? R. On la représente chaussée d’un cothurne, tenant un arc d’une main,
la vendange, Que de n’être qu’un conquérant. (Rousseau.) D. Comment représente-t -on Bacchus ? R. On le peint sous la figure d’un j
élocution la plus brillante et la plus fleurie ; c’est pourquoi on le représente quelquefois avec des chaînes d’or qui lui sortent
lyre d’Apollon, qui étoit alors au service au roi Admette. D. Comment représente -on Mercure ? R. Mercure est ordinairement représe
ette. D. Comment représente-on Mercure ? R. Mercure est ordinairement représenté habillé en coureur, avec des ailes à la tête et a
premier qu’elle est la mère des Ris, des Jeux et des Plaisirs, qu’on représente sous la forme de Génies ou de petits Enfans ailés
résente sous la forme de Génies ou de petits Enfans ailés. D. Comment représente-t -on Cupidon ? R. On le peint sous la figure d’un e
ussi assez ordinairement la cour des Muses. D. Comment Venus est-elle représentée  ? R. On la peint traînée par des colombes, par de
A grand bruit l’enclume résonne. D. Comment peint-on Vulcain ? R. On représente Vulcain sous un air hideux et difforme, avec les
s épouvantables Dont elle écrase les humains. (Rousseau.) D. Comment représente-t -on cette Déesse ? R. On la représente armée d’une
ains. (Rousseau.) D. Comment représente-t-on cette Déesse ? R. On la représente armée d’une cuirasse, avec un casque sur la tête,
univers, Et fait trembler Pluton, en peuplant les enfers. D. Comment représente-t -on le Dieu Mars ? R. On le représente toujours ar
plant les enfers. D. Comment représente-t-on le Dieu Mars ? R. On le représente toujours armé de pied en cap, et un coq auprès de
en sonnant d’une conque marine, qui leur servoit de trompette. On les représente sur un dauphin, un cornet marin à la bouche. H
rmette qu’aux Amours De voler sur l’humide plaine. (Rousseau.) On le représente avec un sceptre de fer à la main, assis ou appuyé
sur un rocher, d’où les Vents cherchent à s’échapper. Les Vents sont représentés sous la figure de jeunes enfans ailés. Syrènes
précipitèrent dans la mer, et furent changées en rochers. D. Comment représente-t -on Neptune ? R. On le représente ordinairement su
nt changées en rochers. D. Comment représente-t-on Neptune ? R. On le représente ordinairement sur un char en forme de coquille, e
a pour sceptre un trident, et pour gardes des Tritons. Amphitrite est représentée dans le même appareil ; mais elle n’a ni sceptre
Styx voit la proie Que Pluton enlève à Cérès. (Lamotte.) D. Comment représente-t -on Pluton ? R. Pluton est représenté sur un char
Cérès. (Lamotte.) D. Comment représente-t-on Pluton ? R. Pluton est représenté sur un char tiré par des chevaux noirs, portant u
des serpens et des flambeaux ardens ceux qui avoient mal vécu. On les représente coëffées de couleuvres. Parques. D. Qu’étoi
x mines d’or et d’argent, et distribue les richesses à son gré. On le représente tantôt boiteux, tantôt aveugle, et tantôt faisant
ieux percent mon cœur d’une douleur mortelle. (Quinault.) D. Comment représente-t -on Cérès ? R. On la représente couronnée d’épis,
ur mortelle. (Quinault.) D. Comment représente-t-on Cérès ? R. On la représente couronnée d’épis, tenant d’une main une faucille,
des fleurs et du Printemps. Elle avoit épousé Zéphire. D. Comment la représente-t -on ? R. On la représente ornée de guirlandes, et
. Elle avoit épousé Zéphire. D. Comment la représente-t-on ? R. On la représente ornée de guirlandes, et portant une corbeille de
Priape, fils de Vénus et de Bacchus, étoit le Dieu des Jardins. On le représente avec la barbe et la chevelure fort négligées, et
oit le Dieu des festins, et présidoit aux fêtes et aux parures. On le représente avec un chapeau de fleurs, et portant un flambeau
il et de la Nuit, étoit le Dieu de la raillerie et du badinage. On le représente avec les attributs propres à son caractère satyri
le est la Déesse des ténèbres, et fille du Ciel et de la Terre. On la représente en long habit de deuil, parsemée d’étoiles. Elle
silence ? R. On le nomme Harpocrate ; c’est une Divinité allégorique, représentée sous la figure d’un homme ou d’une femme qui tien
le du Ciel et de la Thémis. Terre, est la Déesse de la Justice. On la représente avec un bandeau sur les yeux, tenant une balance
seule adorée, Seule tu comblois tous leurs vœux. (Lamotte.) Elle est représentée couronnée de laurier, portant d’une main une peti
rs toutes les nouvelles bonnes ou mauvaises, vraies ou fausses. On la représente avec des ailes, et sonnant de la trompette. On pr
oupables                   Qui nous sont adressés. (Rousseau.) On la représente avec des ailes, armée de serpens et de torches ar
rches ardentes, et une couronne sur la tête. L’Envie D. Comment représente-t -on l’Envie ? R. L’Envie, fille de la Nuit, est re
. Comment représente-t-on l’Envie ? R. L’Envie, fille de la Nuit, est représentée sous la figure la plus hideuse, un front ridé, un
sse occupée à semer le trouble et le désordre parmi les hommes. On la représente armée d’un flambeau, d’un serpent et d’un poignar
t placé dans le ciel, où il épousa Hébé, Déesse de la jeunesse. On le représente couvert de la peau d’un lion, et armé d’une massu
nt., L. 8. F. 11.) Tous deux dorment profondément. Un songe trompeur représente à l’un son camarade dans l’embarras. Il se lève e
9 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
étails qui embellissent le corps de sa fable, l’image sensible qui le représente , ne sont-ils que des fictions ou des traditions h
dans Cybèle. Par suite de ces détails symboliques, on a l’habitude de représenter Atys sous les traits d’un jeune homme coiffé d’un
pas toutes cette simplicité de la pierre de Pessinonte, et la plupart représentaient Cybèle enceinte, assise ou portée sur un chartraî
ce. Car la Cybèle de Phrygie est bien un personnage analogue, mais il représente l’essence suprême femelle, passive, inerte, brute
e dont le sens moral nous montre toujours que l’inorganisme brut, ici représenté par des pierres, a dû précéder l’organisme ou ord
et même trois Vesta : une vieille, mère de Saturne, ou Vesta Prisca, représentée tenant un tambour à la main pour montrer que la T
précipiter dans ces parages les étrangers dans ce fleuve. Les anciens représentaient Vesta avec un figure sévère, belle, noble et enve
s beaucoup plus tard en parlant d’Énée, fut par la suite divinisé, et représenté avec deux ou quatre visages opposés, tenant une c
, et devinrent bientôt dans ces contrées autant de saisons qui furent représentées par Auxo pour l’hiver-printemps ; par Thallo, pou
us retrouverons plus tard, et dont l’historique nous apprendra qu’ils représentent fort bien chacune des saisons auxquelles ils prés
existait un grand nombre de statues et d’images des Heures, toujours représentées planant dans l’espace, devant le char des Saisons
vie et de l’art agricole inspiré aux hommes par le Ciel, inspiration représentée par un être céleste exilé qui remplit sa mission,
n se vantait d’avoir sa harpé, appelée aussi faulx ou drépanon. On le représentait sous les traits d’un vieillard barbu, pâle, sévèr
aturne sous la forme bizarre d’une pierre noire sculptée de manière à représenter une masse, ayant une tête de singe, un torse d’ho
ient un culte fort différent de celui qu’on rendait au personnage que représentait l’ensemble de leur nom. Sous ce nom de Jupiter, o
s des suivantes : Adrastée ; Cynosure, Agnite ou Hagno, l’Arcadienne, représentée tenant une cruche d’une main et une bouteille de
ymphe-chèvre, emblème de la nourrice par excellence. Quelques statues représentent cette enfance de Jupiter, et montrent ou le Dieu
me ; car c’est tantôt à tort Asope, et mieux Asie, emblème terrestre, représentée sous les traits d’une matrone debout, tenant de l
uant aux statues de ce fameux titan, elles ont toutes un même type et représentent un homme portant un globe sur ses épaules. Passan
ification femelle de la sagesse et de la science ; et toujours on l’a représentée sous la figure d’une femme, tenant une épée nue d
ère justice, fille allégorique des temps barbares et sans lois, était représentée sous les traits d’une belle femme, étranglant une
éniens, tenait Plutus, dieu des richesses, sur ses genoux, elle était représentée à Rome avec une branche d’olivier dans une main e
ticulier, aussi l’on respectait sa statue sans l’adorer. Cette statue représentait une figure aveugle formant une roue attachée par
t Pallas ; puis de celle d’Égiéis. Ce monstre est tout symbolique, et représente la personnification du monde primitif en fusion ;
la révolte fut punie par un séjour éternel au fond des Enfers. On les représente dans le Tartare, tous deux liés à une énorme colo
il est obscur dans ce qui se rapporte aux Muses ; mais tout le reste représente assez bien dans ces fils de Neptune, les fléaux d
du Caucase, d’où nous vint, dit-on, l’origine des bagues. Prométhée, représenté quelquefois animant sa statue, l’est beaucoup plu
es, et celles de Pyrrha des femmes. Ces deux personnages allégoriques représentent donc l’époque d’un des déluges qui, probablement,
Dès-lors, ces cinquante individus, y compris le chef de leur famille, représentent donc toute la race grossière, sanguinaire et prim
ent, ainsi que de l’ingratitude des hommes envers la divinité ; on le représente toujours attaché sur sa roue. On lui donnait pour
s le répétons, les tourmens d’Ixion, tels que les poètes nous les ont représentés , sont les punitions que méritent et trouvent touj
fut le premier à lui faire un nom et à la rendre illustre. Homère le représente comme le plus grand des brigands de toute l’Attiq
inité qui toujours les récompense. Du reste, les statues de ce couple représentent habituellement le corps de chacun des deux vieill
écorce des arbres que nous avons indiqués. Ici l’hospitalité est donc représentée  ; mais elle fut dans les temps postérieurs beauco
nfans. Depuis, Jupiter lui ordonna de ne parler que des hommes. On la représentait comme une déesse énorme, ayant cent bouches, cent
n de pouvoir toujours être instruit de la douleur des mortels. On les représentait boiteuses, avec un air timide et même consterné.
pour ainsi dire, à un lien chronologique. Junon était habituellement représentée sur un trône, ayant un fuseau ou une grenade dans
ez les Grecs. Quant aux brouilleries de Jupiter et de sa femme, elles représentent le tableau de tous les mauvais ménages. Voulant é
il fut divinisé, elle en eut deux enfans Alexiarès et Anicète. On la représente brillante de jeunesse, couronnée de fleurs, ravis
s fut Darès, qui desservait aussi, disait-on, le culte de Neptune. On représentait Vulcain entouré de fourneaux, les bras nus et ner
nt un marteau de la main droite, et des tenailles de la gauche. On le représentait aussi brûlant le géant Clytius, ouvrant la tête d
ter et de Bacchus ; quelques uns les croyant plus nombreux, leur font représenter une plus grande quantité de personnages : alors,
mort de son fils Esculape que le maître des dieux avait foudroyé. On représente les Cyclopes comme des géans ayant un œil tout ro
e Quirinus, parce que, dans l’origine, le dieu de la guerre n’y était représenté que par un fer de lance. Aussi le grand serment d
s les temples élevés au dieu de la guerre étaient hors des villes. On représente Mars comme un vieillard très-fort, avec ou sans b
re quand il est beau, et triste d’avenir lorsqu’il est brumeux. On la représentait volant sur l’arc-en-ciel ayant sur la tête une co
es en général, et particulièrement sur celle des femmes enceintes. On représentait Lucine en costume matronal, ayant une coupe dans
tée, une déesse de mort, une Diane Lucifer, adorée par la peur. On la représente tenant entre ses bras les deux Latoïdes, ou Laton
s de femmes, et les femmes vêtues en hommes. Les Grecs et les Romains représentaient la Lune en plaçant seulement un croissant sur la
, un repas public présidé par la déesse et destiné aux pauvres. On la représentait , soit avec trois têtes assez jolies couronnées de
e, il est facile de croire que les peintres et les sculpteurs l’aient représentée de différentes manières ; habituellement la Diane
Bendis des Thraces et l’Arduenne des Sabins et des Gaulois, elle est représentée jeune, bien faite, armée d’un arc et d’un carquoi
lé de cerfs blancs ou de deux génisses ; mais quand on veut lui faire représenter la Lune, elle a un croissant sur le front, et son
rtor ou le punisseur des criminels, à Rome : dans ce temple, il était représenté écorchant Marsyas ; Toxophore ou le porteur d’arc
bes et aux chansons. Elle avait, dit-on, inventé l’harmonie, et on la représentait couronnée de pierreries, vêtue de blanc, la main
, d’après Homère, à la divination ou science du bien et du mal. On la représentait sous la figure d’une jeune fille couronnée d’étoi
ous les cinq ans, les célébraient même par des jeux publics. Quand on représentait l’ensemble des Muses, on les montrait avec ou san
s l’antiquité pour le plus jeune et le plus brillant des Dieux, on le représentait comme un homme de vingt-cinq à trente ans. Quelqu
à nos jours est celle connue sous le nom d’Apollon du Belvéder : elle représente le dieu tuant de ses traits le monstre qui désola
et la flûte. Si l’on spécialise le dieu du jour ou le soleil, il est représenté sur un char brillant attelé de quatre chevaux lan
s. Les Egyptiens, grands adorateurs du soleil, comme nous le verrons, représentaient ce dieu par un sceptre surmonté d’un œil, ou par
t été personnifiés : ils étaient bons ou mauvais. Le bon augure était représenté par un jeune homme agile et dispos, vêtu d’une tu
e nous étonnons pas qu’il fût connu dans la Haute-Egypte, où il était représenté avec des cornes de bélier, en voici la cause : Ba
use, scientifique, et défendait de manger aucune viande d’animaux. On représentait ordinairement Orphée avec une lyre, et entouré d’
erte d’Orion entre les bras de plusieurs autres amans. Les Anciens la représentaient vêtue d’une robe couleur safran, ayant une verge
t Hygie d’une manière spéciale en lui consacrant leurs cheveux. On la représentait sous les traits d’une jeune femme voilée ou sans
pelait Salus, et on lui donnait le surnom d’Aréthuse de Sicile. On la représentait alors sous la figure d’une jeune fille assise sur
une manière caressante, et de l’autre côté sa propre personnification représentée par un nain enveloppé ; puis, lorsque les fêtes d
s, peuples de la Sicile, en avaient fait une grande divinité : ils le représentaient dans un char avec son père, et l’on appelait en S
tous les objets de la nature, et apprit aux hommes à raisonner. On la représentait plongée dans la méditation et un bras enveloppé d
r de Cérès, du 7 au 22 avril, elles avaient de particulier que l’on y représentait l’enlèvement de Proserpine, en faisant disparaîtr
de Lycus, auquel Mycènes dut l’établissement des grands mystères. On représentait Cérès avec une taille majestueuse, belle, haute e
des mamelles prêtes à s’épancher en ruisseaux de lait. Quand on veut représenter la Cérès égyptienne ou l’Artémise d’Éphèse, habit
ait un Dieu présidant à la réussite des travaux de la campagne, on le représentait nu, près d’un autel avec une coupe dans une main
es de ces légumes. Cette Flore, jeune, fraîche et vermeille, que l’on représentait au milieu pour ainsi dire d’une corbeille de rose
l. Seulement il tenait le dernier rang dans la troupe sacerdotale. On représentait Pomone avec des pommes dans la main gauche et un
on sacrifiait à ce dieu les prémices des fleurs et des fruits. On le représentait jeune, couronné de fleurs, couvert d’un habit jus
fruits. Plus tard, quand le nombre des saisons fut fixé à quatre, on représenta le printemps par Mercure ou Flore, l’été par Apol
s des peaux de mouton, et tenant un réchaud à la main. Les Romains le représentaient encore par des génies ailés portant pour marques
sur un catafalque voisin, on apercevait une Vénus épitymbie, souvent représentée par une actrice, se livrant à toutes les démonstr
ompris différemment suivant les pays où il fut transporté. Il pouvait représenter où le faible soleil du printemps et de l’automne 
nnaître Vénus, d’après ses statues ou ses portraits, nous la trouvons représentée sous ses différens attributs. Ainsi nous la voyon
r rappeler son origine et figurer la Vénus marine ou Aphrodite, on la représentait assise sur un char traîné par une chèvre, ou sur
le remplit de traits le carquois de l’Amour jouant à ses pieds. On la représente aussi sur un char d’ivoire traîné par des cygnes 
est Vénus céleste présidant à l’amour chaste et pur. Mais quand on la représente couronnée de myrte, tenant un miroir à la main, l
érès et Bacchus. Du reste, généralement, la déesse de la beauté était représentée  : chez les Eléens, assise sur une chèvre, et ayan
Compagne de la beauté, elle suivait toujours Vénus pudique, et on la représentait avec des ailes et un lys à la main. Cette Vénus p
s qui monta au consulat, on éleva un temple à la Pudicité Plébéia. On représentait cette déesse sous la forme d’une Vénus ayant à se
egardait comme la saison de l’amour, des fleurs et des Grâces. On les représentait formant des groupes composés de trois jeunes fill
Jeux qui présidaient aux délassemens du corps et de l’esprit, étaient représentés comme de jeunes enfans nus, riant avec les Grâces
Volupie, nouvelle Vénus, qui ne chercha bientôt que le plaisir. On la représentait sous les traits d’une belle femme, aux longs rega
issance que l’amour et nos passions ont sur notre ame, les anciens la représentaient comme une jeune et brillante beauté, remplie de g
ens le regardaient comme le plus beau des habitans de l’Olympe. On le représentait sous les traits d’une jeune enfant, ayant un band
à décocher le trait fatal. Tantôt on le voit à genoux, tantôt il est représenté voltigeant autour de sa mère. Cependant comme dan
r pouvoir les distinguer : ainsi Cupidon ou Imèros, est ordinairement représenté d’un manière toute spéciale, sous la figure d’un
fugitif, volage et cruel. L'amour n’était pas toujours enfant, on le représentait aussi plein de fraîcheur et de jeunesse, alors c’
it l’amant de Psyché. Comme Antéros, l’amour est doublé aussi pour le représenter , on peint deux amours enfans, ayant l’un et l’aut
îner l’amour. Quant aux autres amours d’inventions modernes, ils sont représentés de diverses manières : le Citaride tient un luth
ocrate ou le dieu du silence ailé, c’est-à-dire que l’amour alors est représenté ayant un doigt sur la bouche ; puis vient l’amour
bouche ; puis vient l’amour divin, il n’a plus rien de payen, il est représenté tenant en ses mains un cœur enflammé et agenouill
he Lotos, à l’instant que ce dieu allait abuser de son sommeil. On le représentait souvent comme un nain épais ; quelquefois avec un
adon. Jupiter fut amant de Thébé qui en eut Dionyse ; cependant on la représente aussi comme maîtresse de Mars. Thysia était fill
beauté était ravissante, et qu’elle aimait tendrement son mari. On la représente tantôt sur un lit, peu d’instans après sa délivra
peu crédules, ont prétendu que cette Alcmène devait nécessairement ne représenter qu’une femme très-légèrement vertueuse, qui, prof
eaucoup de pompe, au milieu d’un entourage de guirlandes de myrte. On représente Europe assise sur le dos d’un taureau, dont les c
a blancheur, avait donné son nom à l’Europe, où elle fut transportée, représentent cette partie du monde, comme une dame fort richem
on lui faisait continuellement de nouvelles offrandes. Les Romains la représentaient chauve, aveugle, debout avec des ailes, un pied s
nia ou l’argent personnifié. Eternité, fille de Jupiter ; elle était représentée avec les traits principaux du temps, tenant un sa
lobe à la main. On lui donne pour symbole un phénix. Les Egyptiens la représentaient sous la forme d’un serpent qui se mord la queue.
at, après que César vainqueur eut promis de laisser Rome libre. On la représente la tête couverte d’un bonnet phrygien ayant pour
n de la Macédoine. Mélinoé fille de Jupiter et de Proserpine ; on la représente tantôt noire, tantôt blanche, tantôt avec des vêt
Smyrne ; elle eut un temple à Rhamnonte, un autel au Capitole. On la représente avec un voile. Tantôt elle a une roue sous ses pi
à Rome ; l’empereur Claude lui fit élever un temple magnifique. On la représentait tenant Plutus dans ses bras. Elle est souvent aus
n la représentait tenant Plutus dans ses bras. Elle est souvent aussi représentée avec les traits d’une belle et majestueuse matron
de Jupiter ou de Saturne, et mère de la Justice et de la Vertu. On la représente sous la forme d’une femme modeste, dont la demeur
i porter, ayant vaincu la déesse par la perfection avec laquelle elle représenta sur une broderie les amours de Jupiter, excita la
nsi qu’Auguste, lui en firent élever dans différentes contrées. On la représente avec une taille imposante, un visage noble, jeune
on épée. On lui éleva un tombeau près de Thèbes. Habituellement on le représente avec son frère préparant le supplice de Dircé, ou
nne d’Ariadne. C'est cette aventure que les peintres ont tant de fois représentée sous le titre d’Ariadne abandonnée. Après la mort
s au siège d’Argos, où plus tard on leur éleva un superbe tombeau. On représentait autrefois Bacchus aussi jeune et aussi beau qu’Ap
l avait pour suivantes les Muses qu’il inspirait. D'autres fois on le représente , comme le dieu des buveurs, assis sur un tonneau,
ne chercherons pas à le découvrir, seulement nous ajouterons qu’on le représentait comme un vieillard chauve, trapu, au nez camus et
possessions, lorsque l’on commence l’ensemencement des terres, on le représentait sous forme d’une borne, comme le dieu Terme. Syl
ès le souper et faisaient toutes les débauches possibles. Comus était représenté jeune, rond d’embonpoint, couronné de roses, la f
eur de joyeuses fêtes appelées Anacées, Anactés et Dioscuries. On les représentait montés sur des chevaux blancs, armés d’épées, cou
à se servir de la conque marine, en guise de trompette, ce qui le fit représenter sur les monumens avec une queue de poisson. Ses d
ire honorer son père, non pas comme simple héros, mais comme Dieu. On représente habituellement Hercule tenant derrière le dos les
Apres sa mort, ses sujets lui élevèrent une chapelle Héroïque. On le représente avec une barbe épaisse, des cheveux touffus et av
es. Puis viennent ses doubles noms, en raison des doubles rôles qu’il représentait , ainsi il était Hermammon ou Mercure-Jupiter, Her
mis, aussi leur culte était généralement répandu chez les romains. On représentait les lares, comme deux jumeaux adolescens, ayant e
té ; d’autres fois ils avaient la figure d’un chien et souvent on les représentait par de petites figurines d’argent, d’ivoire, de b
avaient lieu la veille des ides de juillet, et duraient six jours. On représente Mercure sous les traits d’un jeune homme, beau, l
est orné d’ailes, ainsi que son caducée qu’il tient d’une main. On le représente souvent le doigt sur la bouche pour marquer sa di
d’éloigner de l’enfant déjà né toutes les influences fâcheuses. On le représentait un mortier à la main. Il avait pour frère, Iarbas
u fond des eaux, affermir ou renverser à son gré les murailles, était représenté sur un char ayant la forme d’une vaste coquille e
enfers ; on les appelait chiens ailés de Jupiter et de Junon. On les représente avec un visage de vieille femme ridée, un bec cro
Harmonie. Cadmus passe pour l’inventeur de l’alphabet en Grèce. On le représente au moment où il va lancer une pierre au dragon co
i fut père de Canacée et de Macarée. Ce Dieu des vents était toujours représenté avec un sceptre à la main pour indiquer sa puissa
es Grecs, ou Solanus et Subsolanus des latins ou vent d’Est, que l’on représentait comme un jeune homme portant sur son sein des gre
nserva une jeunesse éternelle. La personnification de ce vent d’Ouest représentait un jeune homme à l’air doux, couronné de fleurs,
, était furieux et froid, passait pour fils d’Éole et d’Aurore, était représenté sous les traits d’un homme âgé, avec une queue de
lequel il se jeta dans un puits. On attribuait aussi à Borée que l’on représentait soufflant dans une conque, la naissance de douze
stre frappaient d’effroi voyageurs. Cependant, ce monstre n’était pas représenté de même par tous les écrivains, les uns lui donna
ois on voit Triton monté sur un char traîné par des chevaux bleus. On représente les tritons avec des chevaux verts, de larges ore
ait en son honneur avant d’entreprendre un voyage maritime ; et on le représentait comme un vieillard assis sur les ondes marines, l
lquefois même, on leur sacrifiait des chevaux comme à Neptune. On les représentait nus, couronnés de roseaux, le menton chargé d’une
endre aujourd’hui l’un pour l’autre. Chrysas, dieu-fleuve de Sicile, représenté sous la forme d’un jeune homme, portant une ampho
par les Romains, et fut regardé comme le plus puissant de tous. On le représente environné de fleurs, de fruits, tenant une corne
ussi de Pontos et de Thalassa, était un dieu-fleuve de l’Asie ; on le représente appuyé sur une urne. Un autre cours d’eau du même
d’Océanides, et dont le nombre dépassait plus de trois mille, étaient représentées avec des yeux bleus et une peau de même couleur,
éan et Posidôn, formait les sommités mâles de l’empire de la mer ; on représentait Nérée sous les traits d’un vieillard à longue bar
ifiait une chèvre ou un mouton. Leurs fêtes s’appelaient Nymphées. On représente les nymphes demi-nues, portant des roseaux, des c
jointement avec les satyres. Quelques Dryades étaient mariées. On les représente avec des traits où brillent la force, la jeunesse
ts, des fleurs. On leur sacrifiait des chèvres et des agneaux. On les représente jeunes, fraîches, la taille élevée, ceintes d’une
endit mère de quatre fils, Prométhée, Epiméthée, Atlas, Mécène. On la représente accablée de tristesse après la destruction d’Ilio
forts que fit Pluton pour l’en empêcher. Pluton est presque toujours représenté enlevant Proserpine et la portant évanouie dans l
considéré comme l’un des huit plus Grands Dieux qu’il était permis de représenter en or, en argent ou en ivoire ; aussi la crainte
e d’un être mâle, habitant des bords du Cocyte, et d’un être femelle, représenté par la localité ou le Cocyte lui-même. Quelque te
étrangers pouvaient y disputer le prix des courses et des luttes. On représentait cette reine des enfers, comme une beauté jeune et
um un autre Achéron coulait et se jetait dans la mer Tyrrhénienne. On représentait l’Achéron sous la figure d’un vieillard, couvert
s, sans qu’il fût porteur de ce rameau magique. Charon était toujours représenté sous la figure d’un vieillard robuste, triste, le
On disait que le Styx avait eu Zélos de son alliance avec Pallas. On représentait Styx sous les traits d’une femme vêtue de noir et
e Ménece, fils de de Ceuthonyme, était le berger de ses troupeaux. On représente Cerbère combattant avec Hercule et lui enfonçant
mé juge des enfers ; mais il ne jugeait que les peuples d’Asie. On le représentait un sceptre à la main, assis près d’un trône, à l’
au renversé, dont la flamme était prête à s’éteindre. Quelquefois, on représente aussi la Nuit sur un char, couverte d’un voile pa
s, un filet dans lequel elle enveloppe la tête de ses victimes. On la représente comme un squelette, tenant à la main un glaive ou
dans l’Olympe, il fut jusqu’à critiquer la chaussure de Vénus. On le représente un masque et une marotte à la main. Le Sommeil, f
s de pavots et d’autres plantes somnifères. A Délos, le sommeil était représenté par une déesse appelée Brizo, que les habitans ho
le son de voix de ceux dont il voulait offrir la ressemblance. On le représentait lui-même sous les traits d’un gros enfant endormi
Le Travail, leur fils, placé par Virgile aux portes des enfers, était représenté comme un homme accablé de fatigue, se soutenant à
placée auprès du Travail et de la Vieillesse, d’après Virgile, était représentée , suivant Ovide, assise dans un champaride et grat
trouble même parmi les Dieux lors des noces de Thétis et de Pélée. On représentait la Discorde, compagne fidèle de Bellone, avec des
és de poignards ensanglantés ; Dysnomie ou l’ Anarchie, que l’on peut représenter par une femme en fureur, ayant les yeux couverts
te de la Discorde, comme divinités infernales : la Calomnie, toujours représentée une torche à la main et traìnant par les cheveux
nce, figurée par un enfant, le Mensonge à la jambe de bois, le Deuil, représenté par un cyprès, l’Oubli et la Vengeance ; mais occ
sache pourquoi à l’oreille droite. On lui consacrait le narcisse. On représentait Némésis, en Grèce avec une couronne surmontée d’u
argée aussi de chanter l’avenir dans les concerts des sirènes ; on la représentait sous les traits d’une femme très-âgée, couverte d
de fils plus ou moins garnis, et armée de longs ciseaux. Cependant on représentait aussi les trois Parques avec des figures de femme
visage noir, des dents meurtrières et des regards farouches ; on les représentait souvent boiteuses, pour montrer l’inégalité des é
sont des espèces de Némésis ou Erinnides, c’est-à-dire furieuses. On représente les furies avec des serpens entrelacés sur la têt
i que cette Cassandre, fille de Priam et d’Hécube. Habituellement, on représente Agamemnon au moment de sa réconciliation avec Ach
honneur, hors de l’enceinte de la ville. Cependant, son parricide se représenta bientôt à lui sous les traits les plus effrayans 
Opis, que l’on adorait ensuite à Sparte comme une espèce de Diane. on représente Iphigénie au moment où on allait la sacrifier en
ution. Electre, eut deux enfans de Pylade, Strophius et Médéon. On la représente tenant son frère Oreste dans ses bras après s’êtr
ans on lui adressait des offrandes comme au Dieu de la valeur. On le représente recevant de Chiron, une leçon de botanique, on le
fils qu’il avait eu de sa captive Tecmesse, et qui lui succéda. On le représente couché sur la peau du lion de Némée, et porté dan
dacieux blasphémateur, qui laissa, dit-on, un fils appelée Phylée. On représente cet Ajax, ayant à ses pieds Cassandre, qui le sup
lui-même sous les coups de Memnon en sauvant la vie à son père. On le représente annonçant à Achille la mort de son ami Patrocle.
it conquis et Diomède se trouva par là maître d’une vaste contrée. On représente Diomède emportant le palladium. Il est assis sur
reste du corps en forme de celui d’un oiseau, quoique Horace les ait représentées avec une queue de poisson, habitaient, dit-on, le
Grecs rebâtir la ville et fonder sur ses ruines un empire nouveau. On représente Hector couvert d’une cuirasse, la tête couverte d
ls, Agane, Bunichus et Idée, et une fille du même nom que sa mère. On représente Pâris, berger de Priam, tenant dans sa main le pé
tenant dans sa main le pédum, autrement dit la houlette. D'autres le représentent avec une taille colossale, la poitrine couverte d
, auquel Cestrine, son fils, qu’il avait eu d’Andromaque, succéda. On représente Hélénus tendant un arc. Polite, fils de Priam et
ple de Minerve, où ils trouvent un abri sous l’égide de la déesse. On représente Laocoon au moment où les serpents le tiennent enl
s filles qui refusaient un mariage, allaient chercher un asile. On la représente nue, les cheveux épars et dans l’attitude d’une s
se trouver sur le champ de bataille en présence de son frère Enée. On représente Anchise porté sur les épaules de son fils, tenant
enant dans ses mains une boîte qui renferme ses pénates ; d’autres le représentent dans les bras d’Enée, sa tête est coiffée d’un pi
les Osques. Ambition, déesse qui avait un temple à Rome ; elle était représentée avec des ailes au dos et les pieds nus. Amitié o
avait un temple à Athènes ; Ancarie, déesse Etrusque de la vengeance, représentée les mains collées contre le corps, les pieds join
e époque très reculée, lors de l’entrée du soleil dans le taureau. On représentait Anna Perenna, ou comme une vieille femme offrant
ème et signe zodiacal. Le deuxième, Avril, était présidé par Vénus et représenté par April ou jeune homme couronné de myrte. Le tr
uer qu’à cet instant du solstice d’été, les jours vont à reculons. On représentait Juin comme un jeune homme sans habits, ayant une
, et pour emblème zodiacal le Lion, signe de la force. Les anciens le représentaient sans habits, les membres halés par le soleil, les
ité tutélaire Cérès, et pour emblème la Vierge portant un épis. On le représentait par un homme tout nu, buvant dans une tasse et ay
tembre, avait pour divinité Vulcain et pour emblème la balance. On le représente comme un jeune homme, au visage riant, couronné d
ctéristique. Le dixième, Décembre, était présidé par Vesta ; il était représenté chez les anciens par un esclave, jouant aux dés e
saturnales qui se célébraient à Rome pendant ce mois. Les modernes le représentent vêtu de noir, la tête sans couronne, mais couvert
s lui sacrifiaient un cheval, le jour des Ides ou 15 octobre ; ils le représentaient sous la forme d’un jeune homme nu, debout, tenant
nes à ses pieds. Ciones ou colonnes, on appelait ainsi tous les dieux représentés par de grosses pierres, tels que Hermès, Terme et
nes, et un autre fut bâti à Rome, après la mort de Jules César. On la représentait avec une branche d’Olivier ou de laurier, ou bien
ptions sonores que le corps humain laisse quelquefois échapper. On le représentait chez les Romains, plutôt pour s’en moquer que pou
Farnus, dieu Romain, présidant à la parole. Faveur, divinité Romaine représentée sous la forme d’un jeune homme ailé prêt à s’envo
r du siècle de Périclès. L'on consacrait le platane à Génius, et l’on représentait le bon Génie sous les traits d’un jeune homme cou
, présidait à l’intervalle qui sépare l’enfance de l’âge viril. On la représentait sous les traits d’une nymphe, debout, couronnée d
, regardée chez les anciens comme la plus adroite. Cette déesse était représentée par un corps sans tête ou par une tête belle, mai
ant de l’autre un globe figurant l’univers. Prudence, déesse que l’on représentait tenant à la main ou une lampe ou un miroir entour
mpanie, était l’Euros des Grecs. Ziva ou Giva déesse de la vie, on la représentait habillée, mais portant sur la tête un petit garço
les habitans des contrées les plus éloignées venaient chercher. On le représente tantôt sous la forme humaine ; tantôt, on lui don
forme, pétrit, ordonne, harmonise et engendre sous ses ordres. On la représente avec la forme d’une femme assise et quelquefois à
’acception la plus étendue ; il est donc une émanation de Knef. On le représente debout, avec un air immobile et dans l’attitude d
disque et de deux plumes ou feuilles accolées l’une à l’autre. On le représente aussi accompagné d’un lion et d’un crocodile. Il
a des oreilles de vache et quelquefois des oreilles humaines ; on la représente presque toujours de face ; elle est la nourrice m
urection, et à la nouvelle lune de mars son entrée dans cet astre. On représentait Osiris avec un buste, surmonté d’une tête de buff
rois, en Égypte, presque tous les peuples lui en avaient élevé. On le représentait enveloppé de la tête aux pieds ; Sérapis n’est do
du Nil, grossi, disaient-ils, des larmes de cette fidèle épouse. Ils représentaient cette déesse sous les traits d’une femme, avec le
ail produisant la fécondité, ou autrement une espèce d’Apollon. On le représente la tête surmontée d’un épervier, ou le plus souve
erva pas moins son caractère primitif de conserver et de produire. On représente Bouto embrassant Osiris ; elle avait un temple da
Har-Pokrat, issu d’Osiris et d’Isis, était le dieu du silence ; on le représentait un doigt sur la bouche ou bien on le voyait porté
élevait des chiens en son honneur et même on lui en sacrifiait. On le représente avec un cou et une tête de chien, son corps est c
t comme un malheur l’entrée du bœuf Apis dans le temple de Typhon. On représentait Typhon sous la forme d’un hippopotame ou d’un lou
dait aux accouchemens, elle est donc une Diane, ou déesse-lune. On la représentait sous la forme d’une biche, combattant Typhon, enn
Dieux supérieurs déjà cités avaient au-dessous d’eux ceux qui étaient représentés au-dessus de chacun les douze signes du Zodiaque.
Archatapias, de Firmicus, est le premier décan des poissons ; il est représenté dans les deux zodiaques tentyrites, sous la forme
ise, ou Astiro, de Firmicus, est le deuxième décan du verseau, il est représenté dans le zodiaque rectangulaire de Tentyra, par un
ou Chénen, de Firmicus, est le troisième décan du sagittaire ; il est représenté dans le zodiaque de Tentyra avec une urée sur la
u Asiccan, de Firmicus, passe pour le premier décan du bélier, il est représenté dans le zodiaque rectangulaire par un hiéracocéph
de Saumaise, ou Sénacher, de Firmicus, est le second décan du bélier représenté dans le zodiaque rectangulaire, sortant du fleuve
Saunaise, ou Sicat ou Assicat, de Firmicus, premier décan du taureau, représenté dans le zodiaque rectangulaire de Tentyra, coiffé
. Hépé, de Saumaise, ou Sithacer de Firmicus, deuxième décan du lion représenté dans le zodiaque rectangulaire, nu, s[ILLISIBLE]s
, de Saumaise, ou Thopitus, de Firmicus, deuxième décan de la vierge, représenté dans le zodiaque rectangulaire, portant à la main
peut-être Ramanor, d’Origène, est troisième décan du taureau ; il est représenté dans le zodiaque rectangulaire sous les traits d’
esmé 1e, de Saumaise, ou Tépiseuth est le deuxième décan du scorpion, représenté dans les deux zodiaques sans avoir rien d’humain,
se, ou Sagen, de Firmicus, est le second décan du sagittaire ; il est représenté par un hiéracocéphale, coiffé d’un disque, et cor
ou Senciner de Firmicus, est le troisième décan du scorpion ; il est représenté par un cinocéphale, assis au sud du scorpion, et
de Saumaise et de Firmicus, est le deuxième décan du cancer ; il est représenté dans le zodiaque rectangulaire, par un hiéracocép
cus, est le premier décan de la balance. Le zodiaque rectangulaire le représente avec une tête de vautour, coiffée d’un disque orn
, ou Thésogar, de Firmicus, est le premier décan des gémeaux ; il est représenté dans le zodiaque rectangulaire, avec la partie in
eut-être Réianor d’Origène, est le deuxième décan du taureau ; il est représenté dans le zodiaque rectangulaire, avec deux cornes
n forcer Typhon à se retirer lorsque celui-ci veut se révolter. On le représente armé d’une massue. A sa mort, on fit de ce dynast
élène, devint, après sa mort, Pooh, ou Ioh, ou Ooh ou Ioh-Nsou. On la représentait comme androgyne, avec une [ILLISIBLE]ue barbe, po
il en résulte une espèce d’Ilithye grecque, ou de Lucine romaine. On représente Pooh avec une longue tunique collante, dessinant
es des Egyptiens, fut appelée Athor 1er. Cette Anouke ou Anouki était représentée assise sur un trône, coiffée d’un diadème orné de
dieu terme, chargé de faire respecter la propriété égyptienne. On le représentait avec une tête de chien. Lorsque, à la prière de M
rticulièrement honoré en Sénegambie et dans l’île de Casamanza. On le représente sous les traits d’un bouvillon ou d’un bélier. To
ande confiance dans ses décisions qu’ils croient infaillibles ? On le représente haut d’environ dix-huit pouces, accroupi dans un
lisant les poisons que l’on pourrait mêler dans leurs alimens. On les représente hauts d’un décimètre, ayant le visage de forme hu
e, contenant de petites images, représentant la statue du dieu. On le représente dans une attitude élevée contre le temple destiné
ersonne doit faire des sacrifices en l’honneur de son mokisso. On les représente presque toujours sous des formes d’oiseaux ou de
e serment le plus sacré des nègres est de jurer par Moumbo-Ioumbo. On représente le dieu, haut de huit à neuf pieds, vêtu d’une éc
e ; mais Agd se scinde et devient ensuite purement passive ; elle est représentée comme un roc que le feu, Dieu suprême par excelle
vait un temple magnifique ; il était fils d’Omorka et de Baal, car il représentait à lui seul le ciel tout entier. Il était le fécon
mme le roi des dieux, car il venait immédiatement après Chrône. On le représentait avec la partie inférieure de la tête entourée de
nir : Lunus, ou la lune-dieu, honoré à Carrhes, en Mésopotamie. On le représentait sous les traits d’un jeune homme, coiffé d’un bon
guerrier et commerçant sur terre ; au ciel, il était le soleil. On le représentait armé d’un arc et de flèches, couvert d’une peau d
ure ; fit élever des temples, des villes et institua des fêtes. On le représente avec un corps de poisson, les pieds d’un homme et
tantôt sur leurs tables, à cause des dons qu’ils prodiguaient. On les représentait comme de petits nains, dont le ventre était sphér
e de divinités subalternes, préposées au gouvernement du monde. On le représente par un cercle dans un triangle. Une partie du peu
e ; et enfin, des troisièmes sectaires ayant foi dans Siva seulement, représentent les membres du Sivaisme. Mais la secte la plus no
c’est la loi divine, c’est la diversité, ou Nanatvam, qui, pour lui, représente cependant l’unité du créateur. Ce sage, armé de c
eurre frais clarifié, en même temps qu’à Agni. Les peintures hindoues représentent toujours Brahmâ avec quatre têtes, ayant de longu
; Saraçouati, préside à la science, à l’harmonie, à la musique. On la représente dans les bras de son époux, ou bien seule, tenant
brillante demeure, il voit les contrées dont il est le gardien. On le représente avec quatre bras, ayant un bandeau sur les yeux e
rps mérite d’aller dans les Souargas on dans l’abîme du Naraka. On le représente avec un visage enflammé et l’air menaçant, il est
lures. Autour de lui se groupent des serpens et des crocodiles. On le représente vêtu de blanc, couronné d’un lotos, monté sur un
uissance calorifique qui existe dans les cieux et sur la terre. On le représente avec deux visages, l’un, symbole de la création,
noras sont ses ministres et les distributeurs de ses largesses. On le représente tantôt dans une grotte profonde, défendue par l’e
ès inférieurs, on les voit lutter contre les dieux supérieurs. On les représente sous la forme de serpens à deux pieds et souvent
t mère du célèbre dieu-singe Hanouman. Arddhanari, dieu hindou, est représenté avec les deux sexes ; c’est l’hermaphrodite des I
lle soit divinisée. Arouna, cocher du soleil chez les Hindous. On le représente assis au centre des signes du zodiaque, environné
e lumière et nul œil ne peut supporter sa vue ; aussi ne peut-il être représenté . Cependant, il s’est manifesté sur la terre, en s
it, de sa liberté, ne purent lui faire pousser un seul murmure. On le représente comme une pierre plantée debout et toujours devan
’une goutte de sang qui vient de tomber du front de ce grand Dieu. On représente Vichnou debout, ou près de Lakchmi, qu’il enlace
peser sur les Hindous, trente-six ans après la mort de Krichna. On le représente enfant, ayant une main et deux pieds à terre ; ta
e l’inventeur du troisième système de musique chez les Indiens. On le représente à la tête des singes bâtissant un pont de rochers
ssant un pont de rochers qui devait les conduire à Lanka. Quand on le représente seul, il a ordinairement un éventail à la main ou
ivent les honneurs en commun ; on leur offre du riz et du lait. On la représente , la poitrine nue, la tête coiffée d’une mitre et
u froid, de l’inertie et de la stérilité ; enfin c’est la mort. On la représente de couleur verte ; sa monture est l’âne ; sa main
graines et de l’abondance, est aussi une des formes de Lakchmi. On la représente entourée ou couronnée d’épis, et pressant aux pie
aux combinées avec leurs sucs précieux formèrent la divine Amrita. On représente Adicecha, tantôt prêtant une de ses têtes pour or
t de toutes parts, et dont la richesse des cadeaux est immense. On le représente de couleur bleue. Maga, fils du soleil, habitait
eau céleste tombe sur son front couvert de cheveux épais. Quand on le représente comme dieu du mal, on lui donne des dents aiguës 
gâteaux de riz, et la fête du 4 de Maga, ou de janvier à février. On représente Bhavani souvent sous la forme de son incarnation
aire connaître dans le paragraphe suivant ; d’autres fois, on la voit représentée même sur le front des dieux par le signe de l’Ion
ama, ou Kamaveda, ou Mammadin, est le Dieu Cupidon des Hindous, on le représente toujours jeune, portant sur ses épaules un arc fa
vit reparaître dans Lauka comme un des Dieux supérieurs de l’île. On représente Skanda monté sur un superbe paon, on lui donne si
de Brahmâ le sang des Deverkels et des Mounis qu’il avait tués. On le représente de couleur bleue avec trois yeux et deux dents se
es et les maudit. Quenaradi, Dieu des artisans et du commerce. On le représente assis sur un ballot de riz et un marteau à la mai
ns, qui n’en protége pas moins le monde, la religion et la foi. On le représente debout, monté sur un éléphant, ou couvert d’une t
fallait qu’un dieu et une déesse prissent la forme d’un singe. On le représente en habit de prêtre tibetain et assis sur la lune.
fers. Lases, génies bienfaisans, formant neuf ordres incorporels, et représentés avec une haute taille et une jolie figure, ou ave
Dieu suprême des enfers, dans la religion Lamaïque. Cette déesse est représentée ordinairement d’une couleur bleue claire, auprès
an-Pan, essence suprême de Hopamé, ou le Dieu infini et irrévélé, est représenté avec trois têtes sur un seul corps. La tête du mi
me humaine, régna sur le Thibet et eut un fils pour successeur. On la représente à côté de sa sœur, sur un trône porté par quatre
qu’il fut parvenu à l’adolescence pour remonter dans les cieux. On la représente avec seize bras, assise sur une fleur de Padma, t
et étant adoré dans toutes les communes de l’empire. Kang, divinité représentée par une idole de trente pieds d’élévation, dorée
nombreux autels. Kouang-In-Pou-Tsa, déesse de l’abondance ; elle est représentée avec plusieurs mains, comme pour prodiguer ses do
irant, parcourent la ville en frappant tout ce qu’ils rencontrent. On représente ce dieu avec neuf têtes s’élevant en forme de pyr
yant sous sa protection les ames des enfans et des jeunes gens. On le représente jeune et beau, vêtu d’un costume parsemé d’étoile
marchands qui l’invoquent surtout au commencement de l’année. Il est représenté debout sur un rocher, enveloppé d’une large robe
qui s’était conservée pure au milieu de la corruption générale. On le représente parcourant l’espace, la tête couverte d’un casque
ur le trône de son pays en le délivrant d’un tyran à huit bras. On le représente armé d’une hache, sous ses pieds expire un horrib
les artisans, parce qu’il préside au bonheur et à la richesse. On le représente assis sur un sac de riz, tenant en main le martea
s de la mer. Il est le protecteur des matelots et des poissons. On le représente assis sur un rocher, tenant une ligne dans la mai
decine et père des Jakousis, esprits subalternes et malfaisans. On le représente debout sur une feuille de nymphéa, la tête entour
ène, dieu présidant aux ames des gens mariés et des vieillards. On le représente avec quatre faces et quatre bras ; il tient d’une
ie, de nobles, de prêtres et de femmes. Daiboth, puissante divinité, représentée sous la forme d’une femme, ayant le sein nu, assi
nt beaucoup de rapports avec les Bouddhas. Le chef des Fotoques était représenté en or massif, et fut enlevé de Foung-O, par des v
ttée, dieu présidant à la richesse et au bonheur des marchands. On le représente avec un ventre énorme. Les Sintoïstes, regardant
dicité, de ne pas mentir, de ne point boire de liqueurs fortes. On le représente avec trois têtes coiffées d’une espèce d’étoffe,
s à citer les suivans : Fanna, Japonais célèbre par sa sainteté, est représenté dans ses temples, debout sur une fleur de Torata 
ne la force de remplir ses devoirs. Aver ou Aser, Ized du feu. Il le représente dans toute son étendue. Anahid ou Anaïtis et Eny
e désastres, de plaies et de douleur, et tourmenter les hommes. On le représente sous la forme d’un serpent à deux pieds. Echem o
ngh ou celui des animaux. Bordj est le Dieu-montagne primordial qui représente toutes les montagnes, et, par suite, la terre ; i
éesse adorée par les peuples, habitans des bords du fleuve Obi. On la représente tenant dans ses bras un gros enfant, elle est ent
et des Bourettes, se divisent en bons et méchans : les premiers sont représentés avec des traits rians et aimables, et sont presqu
main un sceptre, et de l’autre une cloche. Les méchans Bourkhans sont représentés avec des formes monstrueuses et des traits horrib
han que l’on adore. Dia est la grande divinité de la Sibérie ; on la représente avec trois figures et six bras, assise, les jambe
déesse-terre, était le Dieu de l’air, du temps et des saisons. On le représentait sous les traits d’un vieillard à longue barbe et
que voyageur, était de le chatouiller jusqu’à ce qu’il mourût. On les représente ayant de la tête à la ceinture un corps humain, e
, la terre fertilisée, et la lune à lueur pâle et bienfaisante. On la représente avec l’air jeune, couverte d’un vêtement de la tê
arine. Niemiza ou Nemiza, était le dieu des vents et de l’air. On le représentait tantôt avec des ailes et couronné de rayons, tant
soutenir leur présence. Polkan, dieu dont on a fait un Volcan. On le représentait avec la forme d’un centaure, quelquefois cependan
mités inférieures étaient celles d’un chien. Porenets était un Dieu, représenté avec quatre têtes ; il avait en outre un visage s
et des végétaux ; elle était surtout adorée par les Varégues, qui la représentaient tenant d’une main une pomme, de l’autre une grapp
du genre humain. Il était opposé à Bielgod, ou le bon principe. On le représentait avec des formes hideuses, on cherchait à l’apaise
à s’appuyer sur les deux pieds. Zermagea, Dieu de l’hiver, était représenté avec un manteau de neige, bordé de givre et de ve
ens et de ses parfums ; Frigga, en outre, a pour messagère Gna. On la représente tenant entre ses bras son fils Thor. Les Suédois
ani, ou le dieu aux dents d’or ; aussi voilà pourquoi il est toujours représenté avec des dents d’or. Il était fils d’Odin et des
ant à la guerre ; ils habitent la côte orientale du Groenland. On les représente avec des têtes de chien, pour marquer leur méchan
s, qui le chargea de créer tout ce qui est nécessaire au monde. On le représente sous la forme d’une grande maison soutenue par de
de Tiermes, était un tronc de bouleau, au bout duquel on fixait, pour représenter la tête, un nœud de la racine du même arbre, à la
e qui, disait-on, guérissait les femmes de la stérilité ; aussi on la représentait tenant un enfant dans ses bras. Lif et Lifthraso
dans l’art de la sorcellerie. Il habitait la caverne de Baard. On le représentait d’une taille colossale, et portant une barbe épai
on des couleurs indiquait l’avenir. Tarvos-Trigaranos, dieu gaulois, représenté sous la forme d’un taureau d’airain, était placé
aire des évolutions autour de la statue de leur grand Irminsul. On le représentait tantôt avec la figure d’un guerrier, tantôt sous
le terrain. Porevith présidait aux combats chez les Vandales qui le représentaient tantôt avec deux têtes, tantôt avec six, dont l’u
Hercule et en même temps dieu de l’éloquence chez les Celtes, qui le représentaient sous les traits d’un vieillard à tête chauve, le
i semblaient le suivre volontairement. Onouava, déesse celte dont on représentait la tête seule ornée de deux larges écailles en pl
ait porté processionnellement en criant : Réveille-toi, Hennil. On le représentait sous la forme d’un bâton, avec une main et un ann
les dieux supérieurs. On lui immolait des victimes humaines. Il était représenté avec une serpe ou une hache ; tantôt s’apprêtant
ssaient de rendre à la mère fidèle le fruit de ses chastes amours. On représentait le Rhin sous les traits d’un vieillard à longue b
ple à Autun. Kernunos, dieu de la chasse chez les Gaulois ; il était représenté avec des cornes et des oreilles de bête fauve, et
elle défense qu’il avait faite de cette capitale de l’Illyrie. Ils le représentaient sous les traits d’un jeune homme ayant la tête co
ée surtout à Cussi, comme force-énergie, comme cause créatrice. On la représentait avec un casque surmonté d’une aigrette, vêtue d’u
énomans ou manceaux, avait un temple à Brixia et une prêtresse. On le représentait avec les traits d’un jeune homme, revêtu de la to
te superstition donnait un courage audacieux à leurs guerriers. On le représentait par une énorme pierre qui figurait la mort couver
dans furent opposés à Nioul son frère. Violent et fougueux, Nionnuall représente et personnifie la race belliqueuse et farouche de
ne d’épines. Son corps disparut, et les Périkouers, en Californie, le représentent avec une chouette qui lui parle à l’oreille. Qia
tres pour les éclairer. Tlaloc était le dieu des montagnes, et on le représentait par une grosse pierre ; sa femme qui régnait sur
il tua tous ses frères, ainsi que leur cruelle sœur. Son idole était représentée sur un autel entouré de rideaux ; elle avait une
vre ondoyante, la gauche portait quatre flèches et un bouclier. On le représente aussi avec de vastes ailes semblables à celles de
e Teskatlibochtli était la manifestation de l’immatériel Téotl. On le représentait orné de rubans, la lèvre inférieure chargée d’ann
mpêtes, du tonnerre, des maladies et des apparitions fâcheuses. On le représentait avec les formes les plus hideuses ; pour l’honore
trinité ; elle recevait en sacrifices à Cusco de jeunes enfans. On la représentait tenant d’une main une fronde ou une massue, et de
tait invoqué dans les affaires importantes par les Brésiliens ; on le représentait sous la forme du fruit du Tamaraka orné de plumes
é Boulerta. Kaléaoko, déesse honorée dans les îles Sandwich ; on la représente tantôt assise, tantôt accroupie ; un linge rouge
nuance que le fétiche a prise. Mau, divinité des îles Sandwich, est représenté avec une énorme bouche, dont le gouffre semble me
efuse de la pluie aux hommes. Tanatéa, déesse des îles Sandwich, est représentée la figure tatouée, les narines laides, les yeux p
page 14, l’on voit une planche portant le chiffre 3 pour numéro. Elle représente Saturne et Cybèle, et au-dessous de ces divinités
tés on voit l’enfance de Jupiter. La pl. n° 7 en regard de la page 26 représente l’instant où Jupiter foudroie les Titans. La pl. 
attachant Prométhée sur son rocher. La pl. 1 en regard de la page 58 représente Junon, réclamant sa grace de Jupiter, lorsque cel
Apollon faisant écorcher Marsyas. La pl. 15 en regard de la page 115 représente Amphion, bâtissant les murs de Thèbes, aux sons d
plus bas on aperçoit l’enlèvement. La pl. 13 en regard de la page 152 représente Flore caressée par le souffle amoureux de Zéphir.
par les satyres et les bacchantes. La pl. 10 en regard de la page 236 représente Hercule, vainqueur d’Hippolyte, reine des Amazone
ramassant son arc et ses flèches. La pl. 16 en regard de la page 266 représente Neptune et Amphitrite. La pl. 23 en regard de la
upées à leur interminable travail. La pl. 21 en regard de la page 343 représente Achille vainqueur, traînant Hector autour des mur
t Hector autour des murs de Troie. La pl. 22 en regard de la page 353 représente le cyclope Polyphème, des mains duquel Ulysse s’é
3 est l’idole Chinoise Tchinhoang. La pl. 18 en regard de la page 465 représente le serpent Ahriman, étouffant le taureau primordi
10 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
ens, dans la Fable et dans leurs ouvrages d’imagination, ont toujours représenté les femmes passionnées avec un caractère odieux,
irer un orgueil qui en fasse mépriser la simplicité. Les anciens nous représentent leurs sages labourant les champs, décorant leurs
’Auguste, consacrée aux mêmes travaux ; c’est ainsi que la fable nous représente la chaste et fidelle Pénélope, et la belle Androm
La Vertu. La Vertu, fille du Ciel et de la Vérité ; on la représente sous la figure d’une femme vêtue de blanc, assise
poitrine et tenant une palme. La Vérité chrétienne est ingénieusement représentée dans quelques tableaux sous la figure d’une femme
d’une manière peu agréable. Ce qui est moins ingénieux encore, est de représenter cette consolante divinité, tenant des cœurs, ou s
à celle des Graces qui préside à la reconnoissance. Les anciens ont représenté la mémoire des bienfaits, sous les traits d’une j
urs temples à Rome, les Grecs l’honoroient sous le nom d’Elpis. On la représente communément appuyée sur un ancre de vaisseau ; le
ommunément appuyée sur un ancre de vaisseau ; les anciens l’ont aussi représentée sous la figure d’une femme, devant une ruche d’ab
it mieux. Un peintre anglais, le chevalier Reynolds, a ingénieusement représenté l’Espérance chrétienne42 tendant les bras vers de
on a souvent employée pour désigner la paix. La Fortune. On représente la Fortune aveugle parce qu’elle a quelquefois d’
e de cet élément. On prétend que Bubalus fut le premier sculpteur qui représenta la fortune. Il en fit une statue pour la ville de
la tête et tenoit à la main une corne d’abondance. Communément on la représente un pied sur une roue pour marquer sa mobilité. Le
a Victoire ou Nicé, fille de la Déesse Styx et du géant Pallas, étoit représentée sous la figure d’une jeune fille ailée, tenant d’
on, et comme le dit fort bien l’Encyclopédie, ils le lui devoient. On représente cette divinité avec des ailes, et les pieds nus.
et qu’elle fait tout avec mesure. L’Occasion. L’Occasion, étoit représentée sous la figure d’une jeune femme ou d’un jeune ho
été mise, par quelques auteurs, au nombre des Dieux. Apelles l’avoit représenté sous la figure d’un jeune homme les yeux bandés e
pas l’une des plus heureuses de la fable. Il eût été plus naturel de représenter les prières sous des traits plus intéressans, épl
qu’un enfant, dans le sens moral, ne peut être clairvoyant. Cochin la représente sous les traits d’une femme difforme, aveugle et
’elle y causoit d’éternelles brouilleries, et cependant ce même poëte représente les Dieux se querellant sans-cesse. Les Potaiades
n cœur de fer et des entrailles d’airain. Les anciens ne l’ont jamais représentée sous la forme d’un squelete. On ne pouvoit être f
uant ses victimes avec des ongles ensanglantés. Quelquefois ils l’ont représentée comme la Douleur, tenant un flambeau éteint et re
renversé, mais fumant encore. On lui sacrifioit un coq. Les modernes représentent un squelete tenant une faulx, ils lui donnent pou
l’Acheron dont elle eut les furies et beaucoup d’autres enfans. On la représente avec des habits noirs parsemés d’étoiles. Le tem
el est dans ses yeux, l’enfer est dans son cœur. Voltaire. On la représente avec des pieds de loup et un voile noir sur sa tê
et l’Injustice. Fille de l’orgueil et de l’ingratitude, elle est représentée sous les traits d’une femme d’une figure ignoble
ver deux autels, l’un à l’Impiété et l’autre à l’Injustice 50. Alciat représente l’Injustice sous la figure d’une femme foulant au
ui donne encore pour attributs, un globe, le phénix et l’éléphant. On représente aussi l’Éternité sous l’emblême de trois figures
urcie Déesse de la Paresse52. La Tempérance et la Santé. On la représente sous la figure d’une femme tenant un frein et une
Fidélité. Horace dit qu’elle est couverte d’un voile blanc. On la représente aussi sous la figure d’une femme revêtue de blanc
mpette et une corne d’abondance. Sur les anciennes médailles elle est représentée nue jusqu’à la ceinture, portant une sphère où so
ette et une couronne de laurier suffiroient. Cette divinité qu’on n’a représentée qu’en accessoire, mériteroit bien de l’être comme
aste avec l’enthousiasme et le mouvement passionné de la Gloire. On a représenté l’amour de la Gloire sous les traits d’un enfant
les moyens de douceur et de persuasion. La Prudence. Elle est représentée tenant un miroir entouré d’un serpent. Les feuill
ions nécessaires, est chère à toutes les grandes ames, n’a jamais été représentée que sous les traits odieux de la licence. Loin qu
pé que des maux infinis que l’on peut faire en abusant de son nom. On représente la liberté, tenant un bonnet et debout près d’un
la Paix. On lui fit bâtir un temple à Rome. L’Indulgence. Est représentée par les anciens sous la figure d’une femme d’une
et pour attributs un miroir, une boule, un triangle et des livres. On représente aussi la Science sous la figure d’une femme tenan
anté sur le bord d’une onde pure. L’Indulgence, comme on l’a dit, est représentée avec un maintien doux et paisible et elle est ass
a licorne se laissoit prendre et apprivoiser par une vierge. D’autres représentent la Virginité sous la figure d’une jeune fille vêt
e une eau pure, à ses pieds l’Amour abattu, avec son arc brisé. On la représente aussi voilée, tenant un sceptre et deux tourterel
un grand peintre, l’idée bizarre d’un tableau très-célèbre. Polignote représenta Ocnus faisant une corde de jonc, tandis qu’une ân
11 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
is, partageaient avec les douze grandes divinités le privilège d’être représentés en or, en argent et en ivoire. C’étaient : Le Cie
s2. — Saturne est une image ou emblème du temps. C’est pourquoi on le représente comme un vieillard sec et décharné, dont le visag
erre, et procurait aux hommes protection, secours et richesses4. — On représente cette déesse comme une femme robuste, chargée d’e
Pyrrha se changèrent en femmes, et le monde fut ainsi repeuplé. — On représente Jupiter assis sur un trône d’or, tenant la foudre
êtes. On l’adorait surtout à Argos, à Samos et à Carthage. — Elle est représentée assise sur un trône, avec un diadème sur la tête
rvé le palladium, et où brûlait continuellement le feu sacré. — On la représente vêtue d’une longue robe et le front voilé. De la
l des victimes, par analogie avec l’amertume des eaux de la mer. — On représente Neptune comme un vieillard robuste, dont la large
s enfers, et qu’elle passerait sur la terre les six autres mois. — On représente Pluton avec un visage livide, des sourcils épais,
dans une fosse. Le cyprès et le narcisse lui étaient consacrés. — On représente Proserpine à côté de Pluton, sur un trône d’ébène
fant, un serpent d’or, un van, des gâteaux et d’autres symboles. — On représente Cérès couronnée d’épis, tenant d’une main une tor
eau sans doute, mais celui d’Arachné ne l’était pas moins. Elle avait représenté sur la toile Europe enlevée par Jupiter transform
lle tapisserie, où les folles aventures de son père étaient trop bien représentées  ; elle porta même le ressentiment jusqu’à frapper
’appela Athènè (Athènes) : c’est, en grec, le nom de Minerve. — On la représente avec un air grave et sévère, tenant une pique de
s Cnidiens une statue de Vénus qui passait pour un chef-d’œuvre. — On représente Vénus assise dans un char que traînent des colomb
rt de percer les hommes de ses traits. — Les monuments de l’antiquité représentent ordinairement Cupidon sous la figure d’un enfant
sociale, mais encore la libéralité, l’éloquence et la sagesse. On les représente quelquefois au milieu des plus laids Satyres, pou
et sans impulsion à l’amphithéâtre où se réunissaient les dieux. — On représente Vulcain dans sa forge, tout couvert de sueur, le
Le pivert, oiseau qui passe pour courageux, lui était consacré. — On représente Mars sous les traits d’un homme jeune encore, au
de ce dieu lorsqu’il allait au combat. Les poètes et les peintres la représentent au milieu des batailles, les cheveux épars, armée
tions et des troubles qu’elle y occasionnait parmi les dieux. — On la représente coiffée de serpents au lieu de cheveux, tenant un
u Permesse et de la fontaine d’Hippocrène. Comme dieu des arts, on le représente sous la figure d’un jeune homme sans barbe, la ch
é en cygne. Deux moralités se cachent sous cette fable : Phaéton nous représente un ambitieux, qui forme des entreprises extravaga
u’on lui offrait dans les places où aboutissaient trois chemins. — On représente Diane armée d’un carquois et d’un arc, et suivie
s mille ans écoulés, et les introduisait dans de nouveaux corps. — On représente Mercure jeune, leste, riant, et vêtu d’un petit m
aient autour, à l’instar des Faunes et des Satyres. Le vieillard, qui représentait Silène, paraissait sur un âne, à la suite du cort
ère Agavé et ses tantes, se jetèrent sur lui et le massacrèrent. — On représente Bacchus sous la figure d’un jeune homme sans barb
-courrière du Soleil, préside à la naissance du jour. — Les poètes la représentent couverte d’un voile, et assise dans un char verme
e, par laquelle il connaissait le passé, le présent et l’avenir. — On représente Janus comme un jeune homme qui a deux ou quatre v
de la double colline, les Filles de Mémoire, les Neuf Sœurs. — On les représente jeunes, belles, modestes, vêtues simplement, assi
ur ou chef des Muses. Calliope présidait à la Poésie héroïque. On la représente couronnée de laurier, tenant de la main droite un
r le souvenir des actions généreuses et des exploits éclatants. On la représente , (comme Calliope), couronnée de laurier, tenant u
le nom veut dire agréable, réjouissant, présidait à la Musique. On la représente couronnée de fleurs et tenant une flûte à la main
caractérise. Érato présidait à la Poésie lyrique et amoureuse. On la représente le front ceint de myrte et de roses, tenant de la
d’un flambeau. Polymnie présidait au Chant et à la Rhétorique. On la représente couronnée de perles, et vêtue d’une robe blanche.
sis et Atropos, et habitaient ensemble le royaume de Pluton. — On les représente , le plus souvent, sous la figure de femmes pâles
t aux dieux champêtres, et d’obtenir un temple et des autels. — On le représente , comme Pan, avec des jambes et des pieds de bouc,
hèvre-pieds. § 2. Silène. Silène, divinité champêtre, nous est représenté sous la figure d’un vieillard trapu, dont le nez
se perpétuelle et la surintendance des jardins et des fleurs. — On la représente couronnée de roses et tenant à la main une corne
rit alors sa première forme, et Pomone consentit à l’épouser. — On la représente assise sur une corbeille pleine de fleurs et de f
ées, et dans l’été une guirlande d’épis. L’âne lui était immolé. — On représente Priape sous la forme d’un Terme, avec une tête d’
s eaux, et de ce mariage naquirent les Fleuves et les Océanides. — On représente l’Océan sous la figure d’un vieillard assis sur l
est un monstre marin d’une forme bizarre et fantastique. — Téthys est représentée assise sur un char qui a la forme d’une coquille.
une heureuse navigation, du lait, de l’huile et du miel. — Les poètes représentent les Néréides sous la figure de jeunes filles port
, et où périssent les vaisseaux qui cherchent à éviter Scylla25. — On représente Glaucus avec une longue barbe, des sourcils épais
en bronze ou en or les statues des principaux Fleuves. Ils y étaient représentés sous la figure de vieillards vénérables, ayant un
eau qui forme la rivière à laquelle ils président. Quelquefois on les représente sous la forme d’un taureau, pour marquer le mugis
ser la flotte des Troyens, et empêcher Énée d’aborder en Italie. — On représente Éole avec un sceptre, symbole de son autorité : a
aux dieux Lares sa chaîne, en témoignage de reconnaissance. — On les représente sous la figure de marmousets, ou petites statues
sang des victimes ne coulait jamais sur son autel. — Le bon Génie est représenté sous les traits d’un jeune homme couronné de fleu
, fils de Ténus, présidait au mariage et aux fêtes nuptiales. — On le représente sous la figure d’un jeune homme décemment vêtu, c
nt trois aveugle-nés qui gouvernent le monde. Voltaire. — Les Grecs représentent Plutus sous la figure d’un vieillard qui tient un
éguisés et masqués pendant la nuit, à la lueur des flambeaux. — On le représente sous les traits d’un jeune homme couronné de rose
andes des suppliants par un mouvement de tête et par des gestes. — On représente la Fortune avec un bandeau sur les yeux, et une c
is équitables, et les rois mêmes ne pouvaient s’y soustraire. — On la représente avec des ailes, pour montrer avec quelle promptit
les Romains. — Sur les médailles et dans les tableaux, la Liberté est représentée vêtue de blanc comme une dame romaine, et coiffée
u moment le plus favorable pour réussir dans les entreprises. — On la représente comme une jeune femme qui a une touffe de cheveux
, le bien et le mal, la vérité et le mensonge. Les poètes modernes la représentent comme une femme ailée qui fend les airs, et tient
et empereur et son fils avaient enlevées du temple de Jérusalem. — On représente la Paix sous la figure d’une femme couronnée de f
e un emblème de la paix. § 29. Le Travail. Il est ordinairement représenté sous la figure d’un homme nerveux, plein de force
la mère du Destin, du Sommeil et de la Mort. — Les anciens poètes la représentent couronnée de pavots, enveloppée d’un voile noir s
ette contrée. Le cyprès et l’if lui étaient consacrés. — Les modernes représentent la Mort sous la figure d’un squelette couvert d’u
le serment des hommes était Ædépol, et celui des femmes Æcastor. — On représente les Dioscures sous la figure de deux jeunes homme
les autres villes de la Grèce, passa en Asie et enfin à Rome. — On le représente quelquefois sous la forme d’un serpent ; plus sou
ladium, qu’il crut être tombé du ciel : c’était une petite statue qui représentait Minerve assise, tenant une pique de la main droit
lle. Osiris est le soleil et Isis la lune. — Osiris est ordinairement représenté comme un personnage robuste, tenant de la main ga
au, emblème du soleil, a une vue perçante et un vol rapide. Isis est représentée sous toutes sortes de formes qu’il serait trop lo
el, et lui enseigna la médecine et l’art de prédire l’avenir. — On le représente sous la figure d’un jeune enfant ; et on le recon
circonstance qui le fit envisager comme un des dieux de Tenter. — On représente Anubis sous la figure d’un homme à tête de chien
uil et de fêtes a été l’origine de la fable d’Adonis. La déesse Isis, représentée sous la figure d’une vache, n’est autre chose qu’
Harpocrate, dieu du silence, chez les Égyptiens, est ordinairement représenté sous la figure d’un jeune homme debout, qui a le
statue, ouvrage de Phidias , athénien, était d’or et d’ivoire. Elle représentait Jupiter couronné d’olivier, assis sur un trône d’
ois il se montre avec la fraîcheur de la jeunesse : c’est ainsi qu’on représente l’amant de Psyché. Voyez section VI, § 1. 15. Se
12 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
r. C’est apparemment comme le père de l’agriculture, que Saturne est représenté sous la figure d’un vieillard tenant une faux de
donna la connaissance du passé et de l’avenir ; c’est pourquoi on le représente avec deux visages. Janus était un prince qui gouv
er les vertus de Janus, on le mit au nombre des dieux. Les anciens le représentaient avec un bâton, comme un voyageur, pour donner à e
couler, parce que c’est de la terre que toutes choses proviennent. On représente ordinairement cette déesse assise, pour montrer l
erre. Le culte de l’une et de l’autre est à peu près le même ; on les représente cependant d’une manière différente. Cybèle, la d
ui est six mois aux enfers, et six mois sur la terre. Quelquefois, on représente Cérès tenant à la main un flambeau ou des pavots,
mites ; c’est pourquoi on l’a surnommé Terminalis ; et alors il était représenté sous la figure d’une pierre. Jupiter Jupi
it sa première forme. Elle y fut depuis adorée sous le nom d’Isis, et représentée sous la figure d’une femme, ayant une tête de vac
t agréables. On appelait le lis, la rose de Junon. Cette déesse était représentée sur un char brillant, traîné par deux paons ; ell
signifie porte-flambeau ; ces courses étaient une espèce de joute. On représente quelquefois Vulcain appuyé sur une enclume, et ay
e grande chère, on disait : Chère et repas des Saliens. Comment on représentait le dieu Mars. Dans les anciens monumens, Mars
n représentait le dieu Mars. Dans les anciens monumens, Mars était représenté sous la figure d’un grand homme, armé d’un casque
it à Mars son char et ses chevaux lorsqu’il allait à la guerre. On la représente , le casque en tête, tenant un fléau ou une verge
ait l’olivier, parce que les sciences et les arts animent la paix. On représente cette déesse ayant sur la tête un casque surmonté
ssi le dieu des arts ; et c’est par cette raison que la fable nous le représente sous la figure d’un jeune homme sans barbe. Jupi
e, etc. ; mais qu’ils choisirent parmi les héros des sujets propres à représenter ces différentes parties, et les substituèrent aux
ieu de sa naissance, ou on lui éleva un temple magnifique. Il y était représenté assis sur un trône, tenant d’une main un bâton, e
les matins les portes du ciel, et qu’elle précède le dieu du jour. On représente cette déesse sur un char brillant, traîné par deu
rmes à sa mort, qu’elles produisirent un fleuve qui porte son nom. On représente Marsyas avec des oreilles de Faune ou de Satyre.
agne pour mieux contempler le cours des astres. Comment Diane est représentée Diane est aisée à reconnaître dans nos tablea
ésentée Diane est aisée à reconnaître dans nos tableaux, où on la représente chaussée d’un cothurne, en habit court de chasse,
n temple à Tanagre en Béotie ; Quadratus, parce qu’anciennement on le représentait sous la figure d’une pierre carrée ; Triceps, à t
ersuadé qu’il en écartait les voleurs. Attributs de Mercure. On représente Mercure sous la figure d’un jeune homme leste, ri
si un temple magnifique dans l’île Atlantique, où des figures d’or le représentaient sur un char traîné par des chevaux ailés. Les
fois même des chevaux, comme aux dieux de la mer. Les Fleuves étaient représentés nus, couronnés de roseaux, le sein couvert d’une
taient rendus célèbres par l’établissement du commerce. Comment on représentait Neptune. Au lieu de sceptre, Neptune porte un
mpette. On peut lire dans Virgile la belle description où ce dieu est représenté volant sur son char, dont les roues touchent à pe
car l’agriculture est la source des véritables richesses. Les anciens représentaient Plutus aveugle. Aristophane le fait parler ainsi
gère et Tisiphone, faisaient en enfer la fonction de bourreau. On les représente tenant des flambeaux ardens, et ayant des serpens
femmes : la seconde, nommée Endéis, lui donna Télamon et Pélée. On le représente , ainsi que Rhadamanthe, une houssine à la main.
ar précédé par les astres. Les uns lui donnent des ailes, d’autres la représentent sans char, tenant d’une main un grand voile, et t
la jouissance,        Et le néant dans la grandeur. Demoustier. On représente ordinairement le Sommeil sous la figure d’un jeun
nce, d’où sortent des pavots et une espèce de vapeur. Les songes sont représentés avec des ailes de chauve-souris toutes noires. M.
, la barbe et les cornes d’un bouc. Les Satyres et les Sylvains qu’on représente avec la même figure, étaient ses compagnons. Une
de la tête à la ceinture, et de celle de bête dans le reste du corps, représente assez bien l’univers, où l’on voit les hommes réu
ce que, pour les empêcher de faire du dégât dans les bois, on le leur représentait comme un loup prêt à dévorer ceux qui osaient tou
ses talens en ce genre lui méritèrent les honneurs divins. Pomone est représentée assise sur un grand panier plein de fleurs et de
de mai, et la nuit, furent instituées par Romulus. Au commencement on représenta les dieux Lares sous la figure d’un chien, sans d
dire aux auteurs que le génie d’Antoine redoutait celui d’Auguste. On représentait ces petites divinités sous la figure d’un jeune h
trois Parques se chargeaient du soin de faire exécuter ses ordres. On représente le destin avec un livre où tout l’avenir était éc
é que les Romains adoraient, fut introduite par Numa Pompilius. On la représente par deux jeunes filles qui se donnent la main, ou
t à Smyrne ; elle était l’ouvrage de Bupale, fameux sculpteur : il la représentait portant le ciel sur sa tête ; et tenant dans une
t son pouvoir, la Nécessité commande encore avec plus d’empire. On la représente tenant dans ses mains de bronze de longues chevil
s villes, elle s’était retirée à la campagne parmi les laboureurs. On représente cette déesse tenant d’une main une balance et de
re librement : cela le fit regarder comme le dieu de la raillerie, et représenter levant le masque de dessus le visage, et tenant u
Harpocrate chez les Egyptiens, et Sigalion chez les Grecs. Sa figure représentait un homme qui a le doigt sur la bouche. Ovide nous
e déesse qu’on nommait Tacita ou Muta. La Vertu — L’Honneur. On représentait la Vertu sous la figure d’une femme grave et mode
n honneur à procurer la paix et l’abondance à l’empire, l’Honneur est représenté sous la figure d’un homme tenant une pique de la
une corne, qu’elles se prêtaient tour à tour. D’autres mythologistes représentent Méduse comme une beauté parfaite que Minerve, qu’
ropre main Egisthe et Clytemnestre. Tourmenté par les Furies, qui lui représentaient sans cesse l’horreur de son parricide, Oreste con
13 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
rquoi l’on donne au Temps une faux et des ailes, pourquoi Mercure est représenté tenant une bourse, un caducée, etc. : toutes ces
leur apothéose ; car l’admiration qui les a divinisés n’a pas dû les représenter voleurs, adultères, incestueux, etc. Des peuples
tissans. La Fable donne un amant à la chaste Diane ; quelquefois elle représente Mars intimidé ; elle le fait comparoître en suppl
bue, autant les divinités allégoriques sont heureusement imaginées et représentées . La beauté parée par les Grâces, les Grâces suivi
e est dévoilé ; l’histoire de Cura, déesse de l’inquiétude ; la Vertu représentée sous les traits de la force, parce qu’elle doit t
ie des Divinités purement allégoriques, ou la manière dont elles sont représentées ne l’est pas moins : telles que la Fortune aveugl
ques. Ils ont peint l’Amour entouré des jeux et des ris ; mais ils le représentent avec des ailes et lui donnent des flèches de cypr
istes grecs avoient plus de confiance dans leurs forces : eux qui ont représenté , d’une manière si admirable, une mère mourante (N
douceur, que son règne fut appelé le règne de l’âge d’or. Saturne est représenté sous la figure d’un vieillard ailé, tenant une fa
culte), les Corybantes, les Curétes, les Dactyles ou Idéens, etc. On représente Cybèle coiffée avec des tours. Le buis et le pin
ensoit pas qu’on dût l’aimer ; il ne falloit que redouter la divinité représentée toujours tenant un foudre. La fable dit que les C
s enfers que pour aller sur la terre tourmenter les coupables. On les représente coiffées avec des serpens entortillés dans leurs
onneur, des fêtes appelées les grandes et les petites panathénées. On représente la Sagesse, armée, parce qu’elle doit, ainsi que
après avoir dansé devant lui ; Bacchus le métamorphosa en lierre. On représente Bacchus tenant un thyrse ou baguette entourée de
mmé Narthécophore, c’est-à-dire, qui porte une canne de férule. On le représente quelquefois avec une de ces cannes à la main, peu
ses s’unit au plus laid des Dieux ; Vénus épousa Vulcain. Vénus étoit représentée avec l’Amour et les Grâces, entourée des Jeux et
t, dans Pausanias , qu’on yoyoit à Elis les statues des trois Grâces représentées de cette sorte : l’une tenant à la main une rose,
t son pardon de l’Amour, et elle retrouva son époux et le bonheur. On représente l’Amour avec des ailes couleur de pourpre et d’az
oses lui étoient consacrés ainsi qu’à Vénus et aux Grâces. Psyché est représentée avec des ailes de papillon, parce que les anciens
rter ainsi en signe de paix. On appelle cette baguette un caducée. On représente Mercure avec le caducée, symbole d’éloquence et d
Thaumas et d’Electra, Messagère des Dieux et surtout de Junon. On la représente portée sur l’arc-en-ciel. La Fable donne d’horrib
fit mettre en pièces et en chargea neuf cents chameaux31. Apollon est représenté sous les traits d’un beau jeune homme avec des ch
iles et s’en ornèrent la tête ; c’est pourquoi les Muses sont souvent représentées avec une petite touffe de plumes sur la tête, mon
ouleur, l’Aurore l’emmena en Syrie et eut un fils de lui. Les anciens représentent l’Aurore vêtue d’une robe de couleur safranée, so
x monument qui, dans l’antiquité, fut consacré à Isis. On croit qu’il représente un calendrier des fêtes égyptiennes. La figure d’
appelé Anicétus. A la prière d’Hercule, elle rajeunit Iolas38. On la représente couronnée de fleurs et tenant une coupe d’or.
a en roseau, dont Pan fit la première flûte à sept tuyaux inégaux. On représente Pan sous la figure d’un satyre, avec des cornes e
dre sénatorial alloient en foule rendre leurs vœux. La Pudicité étoit représentée sur les médailles par une femme assise qui porte
u Sommeil et de la Nuit. Dieu de la raillerie et des bons mots. On le représente avec une Marotte. Mais comme la Marotte ne caract
se que la Folie, on a imaginé, pour désigner la raillerie maligne, de représenter dans cet Arabesque un aiguillon à moitié caché so
e les uns disent fils de Typhon, et les autres, frère d’Osiris. On le représente avec une tête de chien. Apis, roi d’Argos, fils d
Egyptiens adorèrent un bœuf qu’ils appeloient Apis 44. Sérapis, on le représente avec un boisseau sur la tête, pour marquer que la
avec mesure. Le Dieu Canope, divinité des Chaldéens et des Egyptiens, représenté sous la figure d’une masse informe, surmontée tan
et romaine plusieurs divinités subalternes qu’il étoit impossible de représenter dans ces Arabesques, du moins avec quelque agréme
14 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
ux ? R. Oui. Varron en compte jusqu’à trente mille ; et Juvénal nous représente Atlas gémissant sous le poids du ciel, à cause du
son culte et ses oracles. Il passoit pour être fils de la Nuit. On le représente avec un bandeau sur les jeux, tenant l’urne qui r
connoissance du passé et celle de l’avenir. Voilà pourquoi Janus est représenté avec deux visages opposés. Le mois de janvier lui
rne ? R. Saturne étoit regardé comme le Temps, divinité allégorique, représentée sous la figure d’un vieillard, tenant une faux de
parce que toutes choses coulent, proviennent de la terre. D. Comment représente-t -on Cybèle ? R. Elle est représentée assise, parc
iennent de la terre. D. Comment représente-t-on Cybèle ? R. Elle est représentée assise, parce que les anciens regardoient la terr
quelle il eut les neuf Muses. D. Comment Jupiter est-il ordinairement représenté  ? R. On le représente assis sur un aigle ou sur
Muses. D. Comment Jupiter est-il ordinairement représenté ? R. On le représente assis sur un aigle ou sur un trône d’or, au pied
it au monde Epaphus ; elle y fut depuis adorée sous le nom d’Isis, et représentée sous la forme d’une femme ayant une tête de vache
hécatombe, c’est-à-dire, de cent taureaux. D. Comment Junon est-elle représentée  ? R. Elle est ordinairement représentée sur un c
x. D. Comment Junon est-elle représentée ? R. Elle est ordinairement représentée sur un char brillant traîné par deux paons. Elle
implacable. ( Ovide, trad. de Saintange.) D. Comment Cérès est-elle représentée  ? R. On la peint couronnée de fleurs et d’épis,
sson. La plupart des dieux marins sont aussi appelés Tritons, et sont représentés de la même manière avec des coquillages. D. Quels
thys rallumer dans l’onde ses feux amortis . Téthys est ordinairement représentée sur un char en forme de coquille, traîné par des
s nymphes des fleuves et des fontaines furent nommées Naïades. On les représente appuyées sur une urne d’où sort de l’eau. Les nym
e les Fleuves dont on porte le nombre à trois mille. Les Fleuves sont représentés nus, couronnés de roseaux, le sein couvert d’une
Tomber dans Charybde pour éviter Scylla. D. Comment Neptune étoit-il représenté  ? R. On représentoit Neptune sur un char qui avo
la région des enfers. Il épousa Proserpine qu’il avoit enlevée. On le représente ordinairement sur un char d’ébène, traîné par des
e se précipite sans espérance ; les spectres hideux, les fantômes qui représentent les morts pour épouvanter les vivants ; les songe
la déesse des ténèbres : elle est fille du Ciel et de la Terre. On la représente avec, un vêtement noir parsemé d’étoiles, un scep
uverture L’onde entre et fuit à flots égaux. ( La Motte.) D. Comment représente-t -on Pluton ? R. On le représente communément sur
ts égaux. ( La Motte.) D. Comment représente-t-on Pluton ? R. On le représente communément sur un char traîné par des chevaux no
arquer que le plus souvent il dispense mal ses faveurs ; tantôt on le représente boiteux, pour signifier que les richesses s’acqui
et les en ramenoit. Il présidoit à l’éloquence et au commerce. On le représente avec des ailes à la tête et aux pieds, et un cadu
x de cette orgueilleuse rivale, et la changea en araignée. D. Comment représente-t -on Minerve ? R. On la représente armée d’une cui
a changea en araignée. D. Comment représente-t-on Minerve ? R. On la représente armée d’une cuirasse, avec un casque sur la tête,
nivers, Et fait trembler la terre en peuplant les enfers. D. Comment représente-t -on le dieu Mars ? R. On le représente toujours a
lant les enfers. D. Comment représente-t-on le dieu Mars ? R. On le représente toujours armé de pied en cap. On place auprès de
des amours de Vénus et de Mars ? R. Ce fut Cupidon ou l’Amour. On le représente sous la figure d’un enfant nu, avec un sourire ma
en eut l’Hymen, appelé aussi Hyménée, qui présidoit au mariage. On le représente sous la figure d’un jeune homme blond, couronné d
éteindre sa malheureuse passion pour Phaon, D. Comment Vénus est-elle représentée  ? R. Elle est ordinairement représentée sur un c
n, D. Comment Vénus est-elle représentée ? R. Elle est ordinairement représentée sur un char traîné par des colombes ou par des cy
lture, planta la vigne, et fut adoré comme le dieu du vin. D. Comment représente-t -on Bacchus ? R. On le peint sous la figure d’un
mme père de la lumière, Apollon est appelé Phébus ou le Soleil. On le représente sur un char rayonnant de feu, et tiré par quatre
ersoit la ville de Célène, dans la Phrygie. D. Comment Apollon est-il représenté  ? R. Apollon est représenté sous les traits d’un
ns la Phrygie. D. Comment Apollon est-il représenté ? R. Apollon est représenté sous les traits d’un beau jeune homme avec des ch
om n’en est pas moins parvenu jusqu’à nous. D. Comment Diane est-elle représentée  ? R. On la représente chaussée d’un cothurne, te
rvenu jusqu’à nous. D. Comment Diane est-elle représentée ? R. On la représente chaussée d’un cothurne, tenant un arc d’une main,
ue l’on célébroit en son honneur s’appeloient les jeux floraux. On la représente ornée de guirlandes et couronnée de fleurs. Muse
ux vergers. Elle étoit l’épouse de Vertumne, dieu de l’automne. On la représente une serpette à la main une couronne de fruits sur
D. A quoi présidoit Sylvain ? R. Sylvain présidoit aux forêts. On le représente tenant un cyprès à la main. On le confond souvent
t le dieu des festins, et présidoit à la toilette et aux fêtes. On le représente en jeune homme gras et frais, un bonnet de fleurs
is voisin. L’humeur satirique de Momus le fit chasser du ciel : on le représente démasquant un visage ; et tenant à la main une ma
on père. Quelques-uns le prennent pour le dieu même du sommeil. On le représente avec des ailes de papillon, pour exprimer sa légè
siris et d’Isis, présidoit au silence. Cette divinité allégorique est représentée sous la figure d’un homme ou d’une femme qui tien
de la justice ? R. C’est Thémis, fille du Ciel et de la Terre. On la représente ordinairement avec une balance à la main et un ba
vec une balance à la main et un bandeau sur les yeux. Quelques-uns la représentent tenant une épée à la main. Je vois une auguste d
t comme une déesse énorme, qui a cent oreilles et cent bouches. On la représente avec des ailes au dos, et une trompette à la main
ce. Elle châtioit ceux qui abusoient des faveurs de la fortune. On la représente avec des ailes, armée de serpents et de torches a
nt adressés. ( Rousseau.) L’Envie. D. Comment l’Envie est-elle représentée  ? R. L’Envie, fille de la Nuit, est représentée
ent l’Envie est-elle représentée ? R. L’Envie, fille de la Nuit, est représentée sous les traits d’un vieux spectre féminin, ayant
ut reçu dans le ciel, où il épousa Hébé, déesse de la jeunesse. On le représente couvert de la peau d’un lion, et armé d’une massu
euve de Thrace7. Orphée fut métamorphosé en cygne par son père. On le représente avec une lyre ou un luth à la main, D. Faites-nou
rave de toute l’armée, après Achille, et Ajax fils de Télamon. Homère représente ce prince comme le favori de Pallas. Cette déesse
a rendre courte., simple et naïve, par le choix des circonstances qui représentent mieux le naturel de chaque chose. On doit, en étu
irer les hommages. » Le roi de Salé30 avoit ordonné à un peintre, de représenter dans sa galerie toutes les nations, si naturellem
15 (1800) Cours de mythologie pp. -360
Rome lui éleva un temple et lui consacra les Fêtes Saturnales. On le représente ordinairement sous la figure d’un Vieillard, avec
; la Fable est pleine de ses infamies. Le Pin lui est consacré. On le représente porté sur un aigle et la foudre à la main. Nais
Dieux. Orphée établit en son honneur les Bacchanales ou Orgies. On le représente en jeune homme parfaitement beau, assis ou sur un
équestres. Le plus beau Temple de Neptune étoit celui d’Eubée. On le représente armé d’un trident, sur un char en forme de coquil
il ne se plaisoit qu’avec la Nuit, triste habitante de l’Erèbe. On le représente avec une couronne d’ébène sur la tête, la clé du
immoloit le Cheval, le Loup, le Chien et le Pivert. Mars est toujours représenté armé de pied-en-cap. Bellone, sa sœur, qui présid
d’argile. Le Pin et l’Ormeau étoient les arbres favoris de Pan. On le représente avec des cornes à la tête, des pieds de Chèvre, e
cœurs. Psyché l’aima sans le connoître, et Psyché fut malheureuse. On représente Cupidon sous la figure d’un enfant nu, un bandeau
istribua indifféremment la Richesse aux uns et aux autres.     On le représente boiteux, aveugle et ailé. Lorsque le Fils d’Alcmè
uit, et frère de la Folie. C’est le Dieu de la raillerie. Il est représenté soulevant le masque d’un visage, et une Marotte à
le et enjoué, présidoit aux Festins nocturnes et aux Toilettes. On le représente en jeune homme gras et frais, un bonnet de fleurs
nistre du Sommeil, et le premier des Songes, Sujets de ce Dieu. On le représente avec des ailes de papillon, et une plante de pavo
Voyez Pomone. Hiver. Dieu des glaces et des frimats. On le représente ordinairement sous la figure d’un Vieillard dorma
n des ris, le tems de l’innocence ; L’Amour, comme un enfant nous est représenté  ; Dans le cœur d’un enlant siége la vérité. Les p
es laissoit errer pendant cent ans sur le rivage du Fleuve. Caron est représenté sous la figure d’un vieillard mal-propre, grossie
u Ciel et de la Terre, femme de Saturne et Mère des Dieux. On la représente avec une tour sur la tête, une clé et un disque d
implacable des Troyens. Son plus beau Temple étoit à Carthage. On la représente sur un char traîné par des paons, avec un de ces
a Terre, Phébé dans le Ciel, (Voy. Nuit), Hécate aux Enfers. Elle est représentée sur un char d’or, traîné par des biches, un arc à
honte, à Paphos, à Gnide, à Cythère. La colombe lui est consacrée. On représente Vénus avec Cupidon son fils, sur un char en forme
toit jusqu’au temps d’Enée. a lui rendit sa première splendeur. On la représente vêtue d’une robe longue, un voile sur la tête, un
ale fête étoit celle d’Eleusis, où se célébroient ses mystères. On la représente avec une faucille d’une main, et de l’autre, une
fit présider aux Fleurs et au Printemps, sous le nom de Flore. On la représente ornée de guirlandes, et couronnée de fleurs.    
Dieu de l’Automne. Elle préside aux fruits et aux vergers. On la représente une serpette à la main, une couronne de fruits su
es portes du ciel et attèlent avec l’Aurore le char du Soleil. On les représente soutenant des Cadrans et des Horloges.     Je ch
de la belle Eurynome, tantôt de Bacchus et de Vénus. Les Grâces sont représentées jeunes, riantes, les bras entrelacés, dansant ens
t la pomme fatale, et leur rivalité mit la discorde dans l’Olympe. On représente la Discorde coiffée de serpens, les yeux égarés,
i faisoient un abus profane ou cruel des présens de la fortune. On la représente ailée, armée de brandons et de serpens, et ayant
aquirent les divers monstres qui assiègent la porte des Enfers. On la représente avec un vêtement noir parsemé d’étoiles, un Scept
e et inexorable, sourde aux vœux et aux prières des mortels. Elle est représentée vêtue d’une robe noire, des ailes aux épaules, un
Placé dans le Ciel après sa mort, il y épousa la jeune Hébé.   On le représente sous la figure d’un homme fort et robuste, armé d
élevés à la grandeur et à l’opulence, et même les Cénotaphes qui les représentent . Artémise ne borna pas là les marques de sa tendr
te dans l’Hèbre. Orphée fut métamorphosé en Cygne par son père. On le représente avec une Lyre ou un, Luth à la main. Protée à A
voir pu charmer et perdre le Héros grec, se noya de désespoir. On les représente , l’une ayant à la main une espèce de tablette, l’
-Castel 259. Paix, Fille de Jupiter et de Thémis. Elle est représentée avec un visage doux et serein ; une petite statue
’Arnaud 264. Douleur, Fille de l’Air et de la Terre. On la représente sous la figure d’une femme expirant de ses blessu
ntasque et volage ; elle présidoit à-la-fois au bien et au mal. On la représente aveugle et chauve, toujours debout, des ailes aux
ères 270. Faveur, Fille du Caprice et de la Fortune. On la représente ailée, aveugle, ou un bandeau sur les yeux ; au s
Divinité, idole des cœurs vraiment vertueux et sensibles. Elle étoit représentée sous la figure d’une jeune personne, vêtue d’une
l’appeloit aussi la Mère de l’Industrie et des Beaux Arts. Elle étoit représentée dans une contenance timide et honteuse, le visage
be et de la Nuit. Elle présidoit au dernier âge de la vie. On la représente la tête courbée, le visage ridé, la démarche vaci
it à la porte des Enfers, et sur les bords arides du Cocyte. Elle est représentée pâle, maigre, décharnée, les cheveux hérissés, le
par lequel les Dieux punissent quelquefois les crimes des hommes. On représente la Peste sous la forme d’une vieille femme, en ha
il souffle la vie, il donne le mouvement aux êtres inanimés. On peut représenter le Génie avec des ailes, planant dans les airs, e
s 297. Vérité, Fille de Saturne et mère de la Vertu. On la représente sous la figure d’une femme, ayant un air majestue
lle est dans toutes les Religions d’une crédulité stupide. On peut la représenter sous la figure d’une vieille femme, ayant le visa
uverts sur les hommes, et s’occupe sans cesse de leurs besoins. On la représente sous la figure d’une femme âgée et vénérable, ave
sa Patrie. Delille 307. Vertu, Fille de la Vérité. On la représente sous la figure d’une Vierge naïve et simple, en h
16 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
; la Fable est pleine de ses infamies. Le Pin lui est consacré. On le représente porté sur un aigle et la foudre à la main. Nais
Dieux. Orphée établit en son honneur les Bacchanales ou Orgies. On le représente en jeune homme parfaitement beau, assis ou sur un
équestres. Le plus beau Temple de Neptune était celui d’Eubée. On le représente armé d’un trident, sur un char en forme de coquil
il ne se plaisait qu’avec la Nuit, triste habitante de l’Erèbe. On le représente avec une couronne d’ébène sur la tête, la clé du
immolait le Cheval, le Loup, le Chien et le Pivert. Mars est toujours représenté armé de pied-en-cap. Bellone, sa sœur, qui présid
d’argile. Le Pin et l’Ormeau étaient les arbres favoris de Pan. On le représente avec des cornes à la tête, des pieds de Chèvre, e
cœurs. Psyché l’aima sans le connaître, et Psyché fut malheureuse. On représente Cupidon sous la figure d’un enfant nu, un bandeau
tus distribua indifféremment la richesse aux uns et aux autres. On le représente boiteux, aveugle et ailé.             Vous qui b
Nuit, et frère de la Folie. C’est le Dieu de la raillerie. Il est représenté soulevant le masque d’un visage, et une marotte à
le et enjoué, présidait aux Festins nocturnes et aux Toilettes. On le représente en jeune homme gras et frais, un bonnet de fleurs
s des Saphos. Bernis 44. Harpocrate, Dieu du Silence. On le représentait sous la figure d’un jeune homme à demi-nu, une co
nistre du Sommeil, et le premier des Songes, sujets de ce Dieu. On le représente avec des ailes de papillon, et une plante de pavo
Voyez Pomone . Hiver. Dieu des glaces et des frimats. On le représente ordinairement sous la figure d’un Vieillard dorma
n des ris, le tems de l’innocence ; L’Amour, comme un enfant nous est représenté  ; Dans le cœur d’un enfant siège la vérité. Les p
es laissait errer pendant cent ans sur le rivage du Fleuve. Caron est représenté sous la figure d’un Vieillard mal-propre, grossie
u Ciel et de la Terre, femme de Saturne et Mère des Dieux. On la représente avec une tour sur la tête, une clé et un disque d
implacable des Troyens. Son plus beau Temple était à Carthage. On la représente sur un char traîné par des paons, avec un de ces
a Terre, Phébé dans le Ciel, (Voy. Nuit.) Hécate aux Enfers. Elle est représentée sur un char d’or, traîné par des biches, un arc à
t jusqu’au temps d’Enée. Numa lui rendit sa première splendeur. On la représente vêtue d’une robe longue, un voile sur la tête, un
ale fête était celle d’Eleusis, où se célébraient ses mystères. On la représente avec une faucille d’une main, et de l’autre, une
us les ans les jeux floraux en l’honneur de la jeune Déesse. Elle est représentée ornée de guirlandes, et couronnée de fleurs.    
nant ensuite ses traits divins, il s’en fit aimer, et l’épousa. On la représente une serpette à la main, une couronne de fruits su
es portes du ciel et attèlent avec l’Aurore le char du Soleil. On les représente soutenant des Cadrans et des Horloges.    Je cha
de la belle Eurynome, tantôt de Bacchus et de Vénus. Les Grâces sont représentées jeunes, riantes, les bras entrelacés, dansant ens
Escutape, Déesse de la Santé. Elle avait un temple à Rome. On la représentait assise sur un trône, couronnée de simples, tenant
t la pomme fatale, et leur rivalité mit la discorde dans l’Olympe. On représente la Discorde coiffée de serpens, les yeux égarés,
i faisaient un abus profane ou cruel des présens de la fortune. On la représente ailée, armée de brandons et de serpens, et ayant
aquirent les divers monstres qui assiègent la porte des enfers. On la représente avec un vêtement noir parsemé d’étoiles, un Scept
e et inexorable, sourde aux vœux et aux prières des mortels. Elle est représentée vêtue d’une robe noire, des ailes aux épaules, un
e. Placé dans le Ciel après sa mort, il y épousa la jeune Hébé. On le représente sous la figure d’un homme fort et robuste, armé d
élevés à la grandeur et à l’opulence, et même les Cénotaphes qui les représentent . Artémise ne borna pas là les marques de sa tendr
te dans l’Hèbre. Orphée fut métamorphosé en Cygne par son père. On le représente avec une Lyre ou un Luth à la main. Protée à Ari
voir pu charmer et perdre le Héros Grec, se noya de désespoir. On les représente , l’une ayant à la main une espèce de tablette, l’
ênedollé 247. Paix, Fille de Jupiter et de Thémis. Elle est représentée avec un visage doux et serein ; une petite statue
d’Arnaud 252. Douleur, Fille de l’Air et de la Terre. On la représente sous la figure d’une femme expirant de ses blessu
ntasque et volage ; elle présidait à la fois au bien et au mal. On la représente aveugle et chauve, toujours debout, des ailes aux
La Harpe. Faveur, Fille du Caprice et de la Fortune. On la représente ailée, aveugle, ou un bandeau sur les yeux ; au s
Divinité, idole des cœurs vraiment vertueux et sensibles. Elle était représentée sous la figure d’une jeune personne, vêtue d’une
l’appelait aussi la Mère de l’Industrie et des Beaux Arts. Elle était représentée dans une contenance timide et honteuse, le visage
be et de la Nuit. Elle présidait au dernier âge de la vie. On la représente la tête courbée, le visage ridé, la démarche vaci
it à la porte des Enfers, et sur les bords arides du Cocyte. Elle est représentée pâle, maigre, décharnée, les cheveux hérissés, le
par lequel les Dieux punissent quelquefois les crimes des hommes. On représente la Peste sous la forme d’une vieille femme, en ha
il souffle la vie, il donne le mouvement aux êtres inanimés. On peut représenter le Génie avec des ailes, planant dans les airs, e
us 281. Vérité, Fille de Saturne et mère de la Vertu. On la représente sous la figure d’une femme, ayant un air majestue
lle est dans toutes les Religions d’une crédulité stupide. On peut la représenter sous la figure d’une vieille femme, ayant le visa
uverts sur les hommes, et s’occupe sans cesse de leurs besoins. On la représente sous la figure d’une femme âgée et vénérable, ave
s plaisirs ? Le même 291. Vertu, Fille de la Vérité. On la représente sous la figure d’une Vierge naïve et simple, en h
17 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
ctions prodigieuses ont été chantées par leurs poëtes, et sont encore représentées sur nos théâtres. On apprend en même temps commen
ops le nom Diphnès, c’est-à-dire composé de deux natures. La fable le représente aussi comme moitié homme et moitié serpent. L’ori
ssa de la Phénicie dans l’île de Crète, sur un vaisseau dont la proue représentait un taureau. C’est de là que les Grecs ont imaginé
èrent à Mycène jusqu’au retour des Héraclides. Le nom de ce prince se représentera souvent lorsqu’il sera question de la famille d’A
sée, Cassiope, Andromède. Le monstre qui devait dévorer Andromède fut représenté par le signe de la baleine. Dans le récit des act
dans le temple de Jupiter sur le mont Olympe. La proue de ce vaisseau représentait un cheval, et le vaisseau se nommait Pégase ; l’O
irent ce temple comme le séjour ordinaire d’Apollon et des Muses. Ils représentèrent le génie de la poésie sous la forme d’un cheval a
gones se prêtaient mutuellement. Ces vaisseaux avaient des proues qui représentaient des monstres. Persée les rencontra dans ses voyag
s’en empara ; le vaisseau qu’il montait se nommait Pégase ; la proue représentait un cheval ailé. Aussitôt que ce prince fut de ret
avec lui, mais l’un et l’autre cédaient la suprématie à Minos. On le représentait avec un sceptre, pour la désigner, et l’on plaçai
peignit cet ouvrage comme un véritable combat contre le fleuve. Elle représente Achéloüs changé en serpent, pour figurer les sinu
s de son cours. Il se métamorphosa en taureau, symbole sous lequel on représentait les fleuves. Hercule lui arracha une corne ; c’es
es Éleusiens. Musée, fils d’Orphée, qui présidait à ces mystères, lui représenta que les hommes n’y pouvaient être admis ; mais, p
des Grecs, où Machaon, fils d’Esculape, le guérit de sa blessure. On représente ordinairement Hercule sous la forme d’un homme tr
me des morts. Cette fable est fondée sur ce qu’après leur mort on les représenta par le signe des Gémeaux ; et comme l’une des deu
de même. On croyait qu’ils apparaissaient souvent aux hommes ; on les représentait ordinairement à cheval, on sous la figure de deux
avec un bonnet surmonté d’une étoile. (Fig. 75.) Cette manière de les représenter prouve que l’art de l’équitation était antérieur
ent à cette femme, et s’emparèrent du soin de rendre les oracles. Ils représentèrent Jupiter Àmmon avec une tête de bélier et des corn
scéniques, qui consistaient en tragédies, comédies et satires, qu’on représentait sur le théâtre, en l’honneur de Bacchus, de Vénus
silence, et se rendait sensible dans le respect qu’elle inspirait. La représenter sous une figure humaine, lui supposer un sexe, lu
, et la tête environnée d’étoiles. Frigga, à la gauche de Thor, était représentée avec divers attributs qui faisaient reconnaître l
et le culte d’Odin, dieu des Scandinaves, qu’il appelle Loda. Ossian représente ces peuples invoquant leur dieu, autour d’une sta
les ne pouvaient la renfermer, et que des statues ne pouvaient pas la représenter . Les Gaulois avaient aussi le plus grand respect
18 (1823) Mythologie des dames
croit qu’il avait été nourri par les Corybantes, il était quelquefois représenté sans oreilles : les Spartiates lui en donnaient q
Junon, la déesse est assise sur un trône. Jupiter est auprès : il est représenté debout, la tête dans un casque, avec de la barbe
ans cesse l’encens sur ses autels. Dans un de ces temples, elle était représentée avec une longue barbe. On dit que, durant les gra
Il eut plusieurs temples célèbres, entre autres celui d’Epidaure. On représentait ce dieu avec de la barbe, tenant un bâton entouré
iver pendant lequel la folâtre jeunesse danse auprès du feu. Enfin il représentait les forêts sombres qui couvrent les montagnes, et
r conduire un jour entier le char de la lumière. Le dieu eut beau lui représenter les dangers auxquels il s’exposerait, le jeune im
-tout lorsqu’on lit l’histoire de Mercure : il semble qu’on ait voulu représenter en lui cette réunion des qualités et des vices da
s de Cérès, elle avait un bandeau sur les yeux ; quelquefois elle est représentée , tenant une corné d’abondance, et ayant auprès d’
gresse, D’un pied léger franchit une ardente jeunesse28. Cérès était représentée avec une couronne d’épis sur la tête, tenant d’un
e montre assise sur un char attelé de deux dragons ; souvent elle est représentée portée sur un brancard par quatre femmes. Le cult
Néréides, qui l’égayaient par leurs chants et par leurs danses. On le représente sous la forme d’un vieillard ayant la chevelure e
un homme, et l’autre pareille à celle d’un dauphin. Quelquefois on le représente par-devant avec deux pieds de cheval. La plupart
, épouse de Saturne, et mère de Jupiter, de Neptune, et de Pluton. On représentait cette déesse sous la figure d’une femme, dont le
x lions ; et vêtue d’une robe chamarrée de différentes couleurs, pour représenter , sans doute, la variété des objets placés à la su
ilin, et en firent la divinité protectrice de leurs jardins. Il était représenté en forme de terme avec une tête d’homme et des or
rit alors sa première forme, et devint l’époux de Pomone. Ce dieu est représenté sous la figure d’un jeune homme couronné d’herbes
tenir une température favorable. Chez les Romains, les Saisons furent représentées par des adolescents ailés : le Printemps était co
19 (1866) Dictionnaire de mythologie
s, exerçait la sagacité de leurs mythologues. Ce dieu, selon les uns, représentait le germe précieux du blé qui reste six mois enfou
ansports frénétiques que les Galles ou Corybantes en Asie. Ovide nous représente Procné, la fille de Pandion, errant dans les mont
de ce dieu, dont on peut dire que tous les autres sont sortis. Il le représente « assis à côté de dame Pénie (Pauvreté), autremen
le. La table fut son autel et ses prêtres furent les gourmands. On le représenta jeune, la face enluminée de vin, le front couronn
ui veulent se rendre compte de tout, si le cygne est en possession de représenter la douceur du style et la tendresse des sentiment
animaux fabuleux dont le peuple est le Linnée. Généralement on se le représente sous la forme d’un serpent qui a des pieds et une
Dans cette acception, le foyer n’est donc que le signe d’une idée. Il représente la famille, dont il est le centre et la vie. Les
se croit presque libre. Le foyer, dans la famille, est donc tout : il représente non-seulement les sentiments qui forment cette as
de Saturne entre autres est d’une grandeur qui saisit l’imagination. Représentez -vous les hommes jetés sur la terre nouvelle encor
ues, un groupe de victimes illustres, Tantale, Sisyphe, les Danaïdes, représentaient dans des attitudes variées le supplice du désespo
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