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1 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
e qu’il touche, l’expérience et la lassitude du malheur vinrent enfin rendre quelque moralité au monde. On sentit la nécessité
orgueil au milieu des maux qui l’accablaient, porta sa folie jusqu’à rendre des honneurs divins à ceux de ses semblables qui
rend en même temps comment furent institués ces jeux et ces fêtes qui rendirent la Grèce si célèbre. Le pays que nous connaissons
es descendans traversèrent probablement le Bosphore de Thrace pour se rendre dans la Grèce. Voilà sans contredit les premiers
rennent que ce fut sous son règne que l’Aréopage, établi par Cécrops, rendit le jugement entre Neptune et Mars, dont nous avon
Héraclides, descendans d’Hercule, entrèrent dans le Péloponèse, et se rendirent maîtres des royaumes d’Argos, de Mycène et de Lac
mémoire, on la respectait ; mais les Grecs furent les premiers à leur rendre un culte. C’est aussi de leur langue que dérivé l
er le séjour des dieux ; cette opinion donna lieu au culte qu’on leur rendit . Le culte des dieux et celui des héros n’était po
ombeaux se transformer en temples. Tout particulier avait le droit de rendre des devoirs à ses ancêtres, et même de leur accor
aux héros du pays ressemblaient aux temples des dieux, et, pour leur rendre un hommage encore plus solennel, on établissait e
des airs, vint à son secours, tua le monstre, brisa ses chaînes et la rendit à ses parens. (Fig. 70.) Andromède était promise
de leur beauté, en disant que leurs regards changeaient en pierre et rendaient immobile. Pline le Naturaliste les peint comme d
eçut très-bien ; mais Antée ou Sthénobée, femme de Prœtus, n’ayant pu rendre Bellérophon sensible à la tendresse qu’elle avait
roces en faisaient leur repaire. Bellérophon fut chargé par Iobate de rendre ces forêts moins dangereuses, en donnant la chass
législateurs de l’antiquité : pour leur donner plus de force, et les rendre plus sacrées, il feignait que son père Jupiter le
de remarquable. Minos second, son fils, le fit bientôt oublier, et se rendit très-célèbre par sa puissance et ses conquêtes. J
lui, on n’avait vu de fiottes aussi nombreuses : elles servirent à le rendre maître de toutes les îles voisines de son royaume
nteux de leur défaite et d’un tribut si déshonorant, s’efforcèrent de rendre odieuse la mémoire de Minos second, en publiant u
rète, grand nombre de sacrifices furent offerts aux dieux pour se les rendre favorables. Thésée, parvenu au port de Phalère, f
nt. L’histoire, poursuivant son récit, rapporte que de Naxe Thésée se rendit à l’île de Délos, où il consacra une statue de la
phe de Thésée avait été connu trop tard. Thésée, de retour à Athènes, rendit les derniers devoirs à son père : il institua des
frapper une médaille sur laquelle on voyait un taureau ; mais rien ne rendit si célèbre le souvenir de cette victoire, que le
le poursuivit en effet jusque dans la Sicile, et somma Cocalus de lui rendre son prisonnier. Cocalus, ne voulant point violer
us affecta de montrer les plus grands regrets de la mort de Minos, il rendit son corps à ses soldats, qui le firent enterrer s
temps, sans la haine des poëtes tragiques qui cherchèrent toujours à rendre sa mémoire odieuse. Pour distinguer les deux Mino
allait lui offrir quelques nouveaux sacrifices ; mais un autre motif rendait seul ses prières aussi fréquentes. Du haut de cet
comme un dieu dans Trézène. Diomède lui fit élever un temple, et lui rendit les honneurs divins. Les Trézéniens assurèrent qu
a gloire d’avoir, le premier, fait usage des voiles ; mais rien ne le rendit plus célèbre que la perfection qu’il sut donner à
ingénieux artiste, il ne sut point triompher de la jalousie ; elle le rendit criminel, et vint ternir sa gloire. Il s’était pl
ventions étaient de véritables bienfaits pour les hommes, et qu’elles rendaient leurs auteurs immortels ; il craignit d’être surp
rt, changea la peine en un bannissement perpétuel. Ce meurtre l’ayant rendu généralement odieux dans Athènes, Dédale se réfug
aux passions humaines. Il institua des fêtes auxquelles on pouvait se rendre avec sûreté, parce qu’à l’exemple d’Hercule il av
isant la réunion des douze bourgades de l’Attique, n’avait songé qu’à rendre les Athéniens plus puissans, et n’avait pas prévu
ment ses enfans dans l’Eubée, chez Elphénor, fils de Chalcodon, et se rendit lui-même au bourg de Gagette, où il adressa aux d
core aujourd’hui le Champ des Malédictions. Thésée s’embarqua pour se rendre à la cour de Lycomède, roi de l’île de Scyros. Ce
n se rappela ses actions et sa grande piété envers les dieux ; on lui rendit les honneurs accordés aux héros ; on lui bâtit mê
s. Le troisième, fils de Jupiter et d’Alcmène, naquit à Thèbes, et se rendit célèbre par mille travaux. Il en existait un plus
el que l’on appela depuis la voie lactée. (Amas immense d’étoiles qui rend plus claire cette portion du ciel.) Le tonnerre s
ousie de Junon ; ils publièrent que Pallas, en jetant une pierre, lui rendit son calme, et le fit tomber dans un profond somme
aux pour en purger entièrement ces marais, et la culture vint ensuite rendre ce lieu très-fertile : ce qui fit dire qu’il s’ét
Lerne. Hercule trempa ses flèches dans le venin de ce serpent, ce qui rendit leurs blessures incurables. Junon, continue la fa
s campagnes ; ce qui les foula aux pieds, les couvrit de boue, et les rendit impossibles à cultiver. Hercule, à sa prière, emp
phée ; ses eaux, en coulant sur les plaines, les nettoyèrent, et leur rendirent toute leur fertilité. Telle fut l’origine de la f
es, les travaux d’Hercule, que les Grecs y gravèrent par la suite, le rendirent extrêmement célèbre. La ville de Cadix se croyait
aient les propriétés. Hercule construisit des digues, et par ce moyen rendit la paix aux Calydoniens et aux Arcadiens, qui se
lui lier les mains avec des chaînes de diamant. Il ne consentit à lui rendre sa liberté qu’à la condition qu’elle rendrait Alc
nt. Il ne consentit à lui rendre sa liberté qu’à la condition qu’elle rendrait Alceste à la vie. La Mort fut contrainte de céder
lorsqu’Hercule les rencontra. Il combattit Acaste, et le força de lui rendre Alceste, qu’il ramena auprès de son époux. La cél
très-grande du temps d’Hercule. Leurs conquêtes sur leurs voisins les rendaient très-redoutables : Eurysthée voulut qu’Hercule al
ns elles allaient visiter leurs maris. Dans ces entrevues, elles leur rendaient les enfans mâles, et conservaient les filles pour
Hercule Égyptien qu’il avait pris pour modèle, il fut si touché qu’il rendit le trépied. Hercule, avant sa mort, avait fait ju
Héraclides allèrent s’établir dans le Péloponèse, dont ils s’étaient rendus les maîtres ; mais la peste ayant désolé leur arm
une flotte à Neupacte. Arnus, fameux devin de ce temps-là, voulut se rendre auprès d’eux ; il fut pris pour un espion et mis
, à qui elle appartenait légitimement, et une longue tyrannie l’avait rendu l’horreur de son peuple. Ayant appris qu’Alcimède
it un arbre de la forêt de Dodone, ce qui donna lieu à la fable qu’il rendait des oracles. La forme de ce vaisseau était longue
lotte redemandèrent Médée. On convint de part et d’autre que Jason la rendrait , si elle n’était pas son épouse. La femme d’Alcin
une ligue contre tous ceux qui voudraient les attaquer ; et, pour la rendre plus solennelle, Hercule les assembla dans les pl
ces, lui fit présent d’un trépied d’or, auquel on croyait la vertu de rendre des oracles. Suites des aventures de Jason et
que le poëte emploierait tout son art à les justifier d’un crime qui rendait la mémoire de leurs pères odieuse et méprisable à
que ces mystères de Samothrace. On leur croyait surtout le pouvoir de rendre les dieux propices pendant les grandes navigation
ompter les chevaux. Après le voyage de la Colchide, ces deux héros se rendirent très-redoutables sur la mer, et purgèrent l’Archi
près lui, firent ce même voyage. Orphée, de retour dans la Grèce, s’y rendit respectable, en persuadant qu’il connaissait les
son temps. Ses talens, et les grands biens qu’il fit à la société, le rendirent l’un des hommes les plus justement célèbres. Ayan
alla dans un lieu de la Thesprotie, nommé Aornos. Un ancien oracle y rendait ses réponses, et prétendait avoir la puissance d’
connaître quelle est l’issue des combats qui se donnent. Son absence rend tout le courage aux Curètes ; ils redoublent leur
’abîme restait toujours ouvert, et refusa d’en descendre. Polynice se rendit auprès d’Adraste, roi d’Argos, qui lui donna sa f
lus grande solennité. Après avoir passé l’isthme de Corinthe, elle se rendit en Béotie, et força les troupes d’Étéocle de se r
es fondirent l’un sur l’autre : et, après s’être percés de coups, ils rendirent les derniers soupirs, sans pouvoir assouvir leur
à faire éclore ces semences de division. « Pâris vint en Grèce, et se rendit à la cour de Ménélas, où la beauté d’Hélène fixai
la campagne, enlevaient les récoltes et les troupeaux. Un autre motif rendait ces détachemens indispensables. La ville n’était
titres qu’une longue absence avait fait oublier, qu’un retour imprévu rendait odieux. Au lieu des transports que devait exciter
aître quels étaient les premiers oracles. Thémis, Jupiter et Apollon, rendaient seuls autrefois des oracles ; mais, par la suite,
plus alors que pendant un seul jour de chaque mois. Les oracles ne se rendaient pas tous de la même manière. Quelquefois la prêtr
s, on jetait des sorts, comme à Préneste, en Italie. Souvent, pour se rendre digne de l’oracle, il fallait des jeûnes, des sac
la consulter. Par la suite, on mit plus d’artifice dans la manière de rendre cet oracle. On suspendit quelques chaudrons de cu
le mettait en mouvement ; tous les autres alors étaient ébranlés, et rendaient un son qui durait assez long-temps : c’était sur
des interprètes ; et l’on publia que les chênes de la forêt de Dodone rendaient aussi leurs oracles. La poutre du navire Argo, qu
divin, et probablement elle sut tirer avantage des hommages qu’on lui rendait  ; bientôt ses réponses passèrent pour des oracles
ir. Des prêtres succédèrent à cette femme, et s’emparèrent du soin de rendre les oracles. Ils représentèrent Jupiter Àmmon ave
; Eschyle, dans sa tragédie des Euménides, dit que la Terre d’abord y rendit des oracles, ensuite, Thémis, et après elle Phœbé
e ; mais, dans la suite, il y en eut jusqu’à trois. Les oracles ne se rendaient pas tous les jours. Apollon n’inspirait ordinaire
zarre, dans l’espérance de l’embarrasser. La réponse de la Pythie lui rendit toute sa crédulité, et les présens redoublèrent.
Elle était fille de Glaucus et prêtresse d’Apollon. Ce dieu voulut la rendre sensible, et lui promit de lui accorder la demand
aux Sibylles ; celle de Cumes, que l’on croyait inspirée par Apollon, rendait ses oracles du fond d’un antre placé dans le temp
le romain se préparait à lui accorder ce litre, et le sénat devait en rendre le décret, le jour même que César fut assassiné.
, et l’honorèrent comme une divinité, dans le lieu même où elle avait rendu ses oracles. 5°. La cinquième Sibylle était l’Éry
lon et de Crésus. 9°. La Phrygienne faisait son séjour à Ancyre, et y rendait ses oracles. 10°. La Tiburtine, ou de Tibur, se n
taient d’abord que deux ; mais on porta leur nombre jusqu’à dix, pour rendre plus difficile le moyen de les corrompre. Le mond
es habitans du Nord. Nous espérons que cet hommage, que nous aimons à rendre au célèbre historien du Danemarck, déterminera no
a religion, qu’il y a joui d’une grande autorité, et qu’on lui a même rendu les honneurs divins. Tous ces faits ne peuvent êt
les dieux, soit qu’il fût le premier prêtre ou le chef du culte qu’on rendait au dieu Odin. On sait que plusieurs nations donna
a mer Caspienne. Leur ville principale était Asgard. Le culte qu’on y rendait au dieu suprême était célèbre dans tous les pays
tions en chef, aidé par douze autres pontifes, espèces de druides qui rendaient aussi la justice. Odin ayant réuni sous ses drape
tisfait de donner des couronnes à ses fils que de régner lui-même, se rendit ensuite en Suède, où régnait un prince nommé Gylp
cré par de si brillantes conquêtes, comme un être extraordinaire, lui rendit de grands honneurs, et l’adora même comme une div
e la même autorité qu’en Danemarck ; les Suédois vinrent en foule lui rendre leurs hommages, et déférèrent d’un consentement u
ouze seigneurs ou druides. Ils devaient veiller à la sûreté publique, rendre la justice au peuple, présider au nouveau culte,
s dans les combats, seraient morts les armes à la main. Dès qu’il eut rendu le dernier soupir, on porta son corps à Sigutna,
in la fit embaumer ; et sut persuader aux Scandinaves qu’il lui avait rendu la parole par ses enchantemens. Il la portait tou
e, par la force de ses enchantemens, il ôtait la force à ses ennemis, rendait à ses amis la santé, et découvrait tous les tréso
ses ennemis était si grande, que, pour la peindre, on dit qu’elle les rendait sourds et aveugles. Aussi terrible que les taurea
ou dans des forêts consacrées. Là elle régnait dans le silence, et se rendait sensible dans le respect qu’elle inspirait. La re
Mais leurs passions dominantes devinrent la mesure déshonneurs qu’ils rendaient  ; ce fut ainsi que le dieu suprême, dont l’idée p
. Il reste même encore aujourd’hui quelques traces du culte qu’on lui rendait parmi les peuples du Nord. Le quatrième jour de l
es dieux se tient ordinairement sous un grand frêne ; c’est là qu’ils rendent la justice. Ce frêne est le plus grand de tous le
e vaillant, celui qui gouverne tout, sort des demeures d’en-haut pour rendre la justice divine ; il prononce ses arrêts ; il é
et sociales, il est bientôt environné de mille noires terreurs qui le rendent féroce et défiant. Tous les êtres qui partagent s
cette opinion. Les trois Parques, dont nous avons déjà cité les noms, rendaient les oracles dans les temples. Celui d’Upsal était
e peuplèrent les Celtes des Gaules. La situation respective des lieux rend cette opinion probable, et la conformité de langa
x des chefs que l’on nommait Vergobrets (titre égal à celui de rois), rendit leur pouvoir plus indépendant des druides. Tremno
. On prévoit avec quel soin les bardes entretenaient les opinions qui rendaient leur ministère si consolant et si nécessaire. On
jamais la vie sans que les harpes des bardes attachés à sa famille ne rendissent ce son prophétique. On sent combien il paraissait
taient interdits également. Organes et protecteurs de la justice, ils rendaient les sentences, et veillaient sur ceux qu’ils char
es druides entretenaient un feu éternel dans leurs forêts. Les Perses rendaient à l’eau un culte religieux ; les Gaulois rendaien
forêts. Les Perses rendaient à l’eau un culte religieux ; les Gaulois rendaient les mêmes honneurs à cet élément. Ces ressemblanc
ous les différens, de tous les intérêts des peuples, la justice ne se rendait que par leur ministère. Ils décidaient également
leurs fonctions séparément des hommes. Leurs divinations les avaient rendues plus célèbres que les druides eux-mêmes. Lorsque
érémonie du gui de chêne. Toute la doctrine des druides tendait à rendre les hommes sages, justes, vaillans et religieux.
présence de leurs père et mère. 15°. L’argent prêté en cette vie sera rendu aux créanciers dans l’autre monde. 16°. Il y a un
lettres données au mourant ou jetées dans les bûchers sont fidèlement rendues dans l’autre monde. 18°. Que le désobéissant soit
2 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
troisième, des Demi-Dieux et des Héros ; dans la quatrième, du culte rendu aux faux Dieux, des jeux publics, des monuments e
ouvantables3. Questions. Qu’est-ce que Cybèle ? — Quel culte lui rendait -on sous le nom de Vesta ? — Comment la représente
rit le trépied sur lequel s’asseyait le pythonisse de Delphes11, pour rendre ses oracles. Ce fut à l’occasion de cette victoir
ecine. Il était devenu tellement habile dans cette science, qu’il put rendre la vie à Hippolyte, fils de Thésée, que ses cheva
mais Jupiter, pour punir ce meurtre, le chassa de l’Olympe et ne lui rendit ses bonnes grâces et la conduite du char du solei
lon, nous devons citer Phaéton, que son imprudence et son malheur ont rendu célèbre. Voulant donner une preuve irrécusable de
Diane, quelles étaient ses fonctions sur la terre ? — Quel culte lui rendait -on ? — Comment la représente-t-on ? VII. — Ba
de sa gloire. Après avoir longtemps résisté, le maître du tonnerre se rendit à ses vœux imprudents ; mais le spectacle de sa g
é de l’éducation du jeune Dieu. Quand il fut devenu grand, Bacchus se rendit célèbre par son courage, et fut considéré comme l
divinités déchues : Mercure, qui ne voulait que prouver son adresse, rendit les troupeaux à Apollon, et lui fit don en outre
onna à Vulcain, comme une récompense du service que ce Dieu lui avait rendu en forgeant les foudres qui l’avaient rendu vainq
ice que ce Dieu lui avait rendu en forgeant les foudres qui l’avaient rendu vainqueur des géants. Vénus, frappée de sa laideu
, désespérée d’avoir reçu un tel affront, alla se pendre. Minerve lui rendit la vie ; mais elle la métamorphosa en araignée. M
— Comment punit-il Alectryon de sa négligence ? — Les Romains ne lui rendaient -ils pas un culte particulier ? — Comment le repré
récompenser ce prince de son hospitalité généreuse et empressée, elle rendit la santé à son jeune fils Triptolème, se chargea
Le maître de l’Olympe, touché de sa douleur, s’engagea à la lui faire rendre , pourvu qu’elle n’eût pris aucun aliment depuis q
ttique ? — Parvint-elle enfin à retrouver sa fille ? — Quel culte lui rendait -on ? — Comment la représentait-on ? Deuxième
s de Vénus, était le Dieu des tendres attachements. Le culte que l’on rendait à sa mère lui était commun. A peine était-il né,
rce de persécutions ; mais Jupiter, sur les instances de Cupidon, lui rendit la vie et lui donna l’immortalité. On représente
ppris qu’il était l’époux de Procris, fille du roi d’Athènes, elle le rendit à sa femme. Cette princesse, devenue fort jalouse
avancé, Tithon était en proie à des maux et à des infirmités qui lui rendaient la vie insupportable. Il supplia alors Jupiter de
i les divinités champêtres. On dit qu’il naquit en Arcadie, où on lui rendait un culte particulier sur les monts Ménale et Lycé
Questions. Qu’était-ce que Pan ? — Où naquit-il, et quel culte lui rendait -on ? — A quelle occasion inventa-t-il la flûte pa
n lui bâtit des temples, qui devinrent fameux par les oracles qu’il y rendait . Sa femme Fauna, ayant imité ses vertus, fut auss
des forêts. A Rome, les hommes seuls pouvaient prendre part au culte rendu à Sylvain ; on lui sacrifiait du lait et un cocho
Questions. Qu’était-ce que Sylvain ? — En quoi le culte qu’on lui rendait à Rome était-il remarquable ? — Ne donne-t-on pas
cédèrent la place sans résistance au maître du tonnerre ; Terme seul rendit vains tous les efforts que l’on fit pour le dépla
Qu’étaient les Néréides ? — Quelles sont les plus célèbres ? — Leur rendait -on un culte ? — Comment les poëtes et les peintre
affranchis déposaient leurs chaînes au pied de leurs autels. On leur rendait un culte continuel dans l’intérieur de chaque mai
oëtes représentent les Enfers comme un lieu souterrain où les âmes se rendaient après la mort pour être jugées suivant leurs œuvr
x de sa puissance, qu’il voulut usurper les honneurs divins ; pour se rendre , autant que possible, égal à Jupiter, il avait fa
e et de la Grèce ; un des plus célèbres se trouvait à Antium, où elle rendait des oracles. On représente la Fortune aveugle ou
tre les trois Déesses, termina la querelle en faveur de Vénus, ce qui rendit Junon l’ennemie acharnée des Troyens. On représen
it-elle la Nécessité ? — En quoi était remarquable le culte qu’on lui rendait  ? — Quels sont les attributs auxquels on peut la
na son bouclier, Pluton lui fit don d’un casque qui avait la vertu de rendre invisible, et Vulcain l’arma d’une épée au tranch
nchant de laquelle rien ne pouvait résister. Ainsi préparé, Persée se rendit dans les îles Gorgades, où les Gorgones faisaient
tête de la Gorgone, il pétrifia tous ses adversaires. Il alla ensuite rendre la liberté à sa mère, que Polydecte retenait capt
vaincu le fleuve Achéloüs53, qui voulait la lui disputer. Comme il se rendait dans sa patrie, emmenant avec lui sa jeune épouse
ette tunique empoisonnée, qu’il fut embrasé d’un feu intérieur qui le rendit furieux ; sentant qu’il ne pouvait se soustraire
travaux ? — Pouvez-vous citer ces différents exploits ? — Hercule ne rendit -il pas encore d’autres services à l’humanité ? — 
lheureux père invoqua contre son fils la colère de Neptune, qui ne se rendit que trop promptement à ses vœux. Au moment où le
le malheureux prince sur des roches, où son corps fut déchiré. Phèdre rendit trop tard témoignage à l’innocence du fils de Thé
e montra bientôt digne d’un tel maître, et ses qualités brillantes le rendirent l’idole des peuples. Son oncle, voyant le jeune h
it de l’épouser. Jason, s’y étant engagé par un serment solennel, fut rendu invulnérable par les enchantements de sa fiancée 
Médée, touchée de ses souffrances, renouvela son sang épuisé, et lui rendit , par la force de ses enchantements, la force et l
nt leur père à ses jeunes années. La cruelle magicienne feignit de se rendre à leurs vœux et leur persuada de couper leur père
attendirent vainement l’effet des promesses perfides qui les avaient rendues parricides. Le peuple de Thessalie fut tellement
ants qu’elle avait eus de lui, et qu’elle venait d’égorger61. Elle se rendit à Athènes, où elle devint l’épouse du roi Égée. J
suffit pour lui faire perdre à jamais le bonheur qui allait lui être rendu  : Eurydice, entraînée par une force surnaturelle,
dit qu’il trouverait ses parents en Phocide65 ; il se hâta donc de se rendre dans ce royaume. En y arrivant, il rencontra dans
e, leur sœur, étant revenue à Thèbes, après la mort de son père, pour rendre les derniers devoirs à ses deux frères, fut mise
Questions. Comment Œdipe passa-t-il son enfance ? — Pourquoi se rendit -il en Phocide, et quelle rencontre y fit-il ? — Q
pour cet épouvantable forfait, précipita Tantale dans les enfers, et rendit la vie à Pélops, en réunissant tous les morceaux
éconcilier avec son frère et l’invita à un festin ; Thyeste s’y étant rendu , on lui fit manger la chair de ses propres enfant
devint-il roi d’Élide et époux d’Hippodamie ? — De quelle contrée se rendit -il maître par la victoire ? — Quels furent ses en
té par Ménélas, roi de Sparte ; mais, voyant qu’on ne voulait pas lui rendre Hésione, il profita d’une absence de Ménélas pour
n épouse Hélène, déclarant qu’il la garderait tant qu’on n’aurait pas rendu la liberté à la princesse troyenne. Les plaintes
vait donné d’immenses proportions, pour que les Troyens ne pussent se rendre la Déesse favorable en introduisant cette offrand
ifs de la guerre. Ayant appris de la bouche de Calchas70 que Diane ne rendrait les vents favorables qu’après qu’il lui aurait im
lle était fils de Pélée, roi de la Phthiotide, en Thessalie ; pour le rendre invulnérable, Thétis, sa mère, alla le plonger da
nourrit le jeune héros de la mœlle des lions et des tigres, et qui le rendit habile dans le maniement des armes. Le courage qu
lysse se chargea de le découvrir dans sa retraite. Dans ce but, il se rendit à Scyros caché sous le déguisement d’un marchand,
e laissa toucher par les prières et les larmes du vieux Priam, et lui rendit le corps défiguré de son fils. Dans la dernière a
ontre les Grecs. Sa demande ayant été accueillie favorablement, il se rendit dans le temple d’Apollon pour célébrer ce mariage
e suivre les autres capitaines grecs devant Troie. Une fois arrivé au rendez -vous général, il rendit les plus grands services
taines grecs devant Troie. Une fois arrivé au rendez-vous général, il rendit les plus grands services à l’armée confédérée, pa
empressement à l’expédition des Grecs contre Troie ? — Quels services rendit -il aux confédérés ? — Que lui arriva-t-il à son r
ils du roi Laomédon, fut emmené captif en Grèce avec sa sœur Hésione. Rendu à la liberté, il monta sur le trône après la mort
ne put cependant résister aux larmes et aux prières de Priam, et lui rendit le corps de son fils. Questions. Qu’était He
rda en l’île de Thrace, d’où il fut chassé par la peste ; de là il se rendit en Epire, ensuite prit terre à Drépane, en Sicile
répane, en Sicile, où il vit mourir son père Anchise. Après lui avoir rendu les derniers devoirs, il se mit en mer, et une te
l établissement fonda-t-il en Italie ? Quatrième partie. Culte rendu aux Dieux du paganisme. I. — Les Temples, le
’un monument gigantesque au moyen duquel l’orgueil des hommes pensait rendre un nouveau déluge impossible. Un regard du seul v
s ces magnificences ; un insensé nommé Erostrate, voulant à tout prix rendre son nom célèbre, incendia le temple, qui fut enti
fait dire que les chênes de la forêt de Dodone avaient le pouvoir de rendre des oracles. L’oracle de Jupiter Ammon 87 a la mê
ts ans. Cette Sibylle, que l’on prétendait être inspirée par Apollon, rendait ses oracles dans un antre qui se trouvait dans le
s élevèrent un temple à la Sibylle dans les lieux mêmes où elle avait rendu ses oracles, et il y avait quinze prêtres chargés
gine à des fêtes funéraires fondées par les sept chefs argiens qui se rendaient au siége de Thèbes, en faveur d’un enfant nommé A
aient à ceux qui s’aventuraient sur les flots, et le culte qu’on leur rendait pour calmer leur fureur. L’histoire des divinités
e Sicile qui vint dans l’Attique enseigner à Triptolème les moyens de rendre la terre fertile. Suivant d’autres auteurs, il fa
feignait d’écrire ses lois sous l’inspiration des Dieux, afin de les rendre plus respectables, imagina, pour assurer le respe
ations de quelques-uns des travaux les plus extraordinaires qui l’ont rendu si célèbre. Le marais de Lerne était infesté de s
dire tout ; de sorte que, suivant quelques auteurs, le culte que l’on rendait à ce dieu s’adressait à l’ensemble de la création
umes, où il construisit un temple en l’honneur d’Apollon. De là il se rendit en Sicile, où il termina ses jours. 56. La mer É
cs à Troie. Après la chute de cette ville, qu’il avait prédite, il se rendit à Colophon, où il mourut de chagrin pour s’être t
fut un des plus vaillants héros grecs. Après le siége de Troie, il se rendit en Italie, où il fut tué par Énée. 74. Rhésus ét
3 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
s leur parurent sans doute altérés de sang, puisqu’ils crurent se les rendre favorables par des sacrifices humains. Il y eut d
Un peuple agriculteur, à ses leçons docile, Ensemença la terre, et la rendit fertile. Saturne en fut aimé : ce bonheur, à mon
nissait tous. Lamotte. Janus, roi d’Italie, nommée alors le Latium, rendit toute sorte de bons offices à Saturne, et lui fit
t la guerre, et fermé pendant la paix ; mais les Romains voulaient se rendre maîtres du monde, et le temple de Janus ne fut fe
représentations, consentit, pour l’apaiser, que Proserpine lui serait rendue , pourvu qu’elle n’eût rien mangé depuis son entré
les tuer. Le culte du dieu Terme ne se bornait pas à celui qu’on lui rendait dans les temples ; on l’honorait encore sur les b
it fils de Saturne et de Cybèle. Ayant chassé son père du ciel, il se rendit maître de l’empire du monde, qu’il partagea avec
lydamas. Théagène, né à Thase, petite ville voisine de Lacédémone, se rendit recommandable par son adresse, son agilité, et le
à pieds joints sur un disque où l’on avait répandu de l’huile pour le rendre plus glissant ; et il se tenait si ferme que des
passa à la nage la Méditerranée, et arriva en Egypte, où Jupiter lui rendit sa première forme. Elle y fut depuis adorée sous
ainsi que Mars vit le jour. Les inclinations guerrières de ce dieu le rendirent célèbre. Il se trouva à la guerre que l’Olympe eu
de la mort d’Ascalaphus, son fils, tué au siége de Troyes, le dieu se rendit en armes devant cette ville. Minerve qui avait pé
aisons d’Athènes. Depuis ce célèbre jugement, l’endroit où il s’était rendu , porta le nom du dieu qu’on y avait absous : de l
s belliqueux. Le dernier Mars fut celui qui trompa Rhéa-Sylvia, et la rendit mère de Rémus et Romulus. Culte du dieu Mars.
émus et Romulus. Culte du dieu Mars. Les Romains principalement rendaient un culte au dieu Mars : ils l’honoraient comme le
de Mars et de Vénus ; ensuite il alla appeler tous les dieux pour les rendre témoins de sa honte. Mars, outré de colère, punit
n de compassion pour les malheurs de Latone, fit surnager l’île et la rendit stable. Le temps des couches de Latone approchait
ner un peu d’eau pour apaiser sa soif ; mais ces paysans, loin de lui rendre ce service, troublèrent l’eau pour l’empêcher d’e
uler des larmes, c’est-à-dire, que l’excès des maux de cette reine la rendit insensible à tout, et qu’elle resta comme pétrifi
sacrifier ; malgré sa vive douleur, Admète le reçut très-bien, et lui rendit tous les devoirs de l’hospitalité. Par reconnaiss
aissance, Hercule descendit aux enfers, d’où il ramena Alceste, qu’il rendit à son époux. Daphné Pendant son exil, Apo
Apollon apaisèrent enfin Jupiter ; il le rappela dans le ciel, et lui rendit les honneurs et les priviléges de la divinité. Ap
l et changé en serpent, pour reconnaître les services qu’il lui avait rendus en la suivant sur les montagnes et dans les forêt
éré de sa perte, la transforma en l’arbre qui porte l’encens. Loin de rendre son cœur à la nymphe jalouse, le dieu n’eut plus
a suite, il fut regardé et honoré comme le dieu de la médecine. Ayant rendu la vie au malheureux Hippolite par la force et la
u son cher Memnon, se couvrit d’un voile noir, et elle ne voulut plus rendre le jour au monde ; pour la consoler et l’obliger
t en son honneur une statue qui, frappée des rayons du soleil levant, rendait un son mélodieux. Phaéton De tous les enf
s, et qu’elle l’empoisonna pour régner seule. Cette action barbare la rendit odieuse à ses sujets ; ils voulurent la tuer ; ma
fre que Minerve avait jeté et accablé de malédictions, parce qu’il la rendait si difforme quand elle en jouait, qu’elle excitai
propres ; il fallait attendre le temps où il plaisait aux dieux d’en rendre . La Pythie à Delphes ne donnait de réponse à ceux
ntemps ; dans la suite, ce fut un jour de chaque mois. Les Oracles se rendaient de diverses manières : tantôt c’était le dieu lui
n tirant au sort. Souvent il fallait beaucoup de préparations pour se rendre digne de l’Oracle ; d’autres fois, au contraire,
êtresse d’Apollon qui présidait au temple de Delphes. Le jour qu’elle rendait ses oracles, on lui faisait boire de l’eau de la
table à trois pieds, couverte de la peau du serpent Python, la Pythie rendait ses oracles ; puis, on la reconduisait dans la ce
rêtresse d’Apollon. Ce dieu la trouvant belle, n’épargna rien pour la rendre sensible ; il lui offrit même de lui accorder tou
a sans doute donné lieu à cette fable. Cumane, inspirée par Apollon, rendait ses oracles dans le temple de ce dieu, au fond d’
temple que les Romains lui élevèrent dans le lieu même où elle avait rendu ses oracles. On compte jusqu’à dix Sybilles : la
yant tableau de la mort de Laocoon. Prêtre du dieu des mers, pour le rendre propice, Laocoon offrait un pompeux sacrifice, Qu
Latma, montagne de Carie, où était la ville d’Héraclée, et la Lune se rendait dans ce lieu. Cette prétendue passion de la Lune
ificateurs. C’étaient des espèces de fanatiques que les fumées du vin rendaient comme furieuse. Les premières Bacchantes accompag
e la couronne : Mais à condition que de votre bonheur          Ils me rendront un pur hommage. Je ne veux de mes droits que votr
être témoin du jugement de Pâris. Mais tous les services que Mercure rendit à Jupiter et aux autres dieux n’empêchèrent pas q
idérable. Minerve, irritée de ce trafic honteux, ordonna à l’Envie de rendre Aglaure jalouse de sa sœur. Mercure, ne pouvant s
qu’elle lui opposait, le changea en statue de pierre. Culte qu’on rendait à Mercure. Mercure avait un temple dans plusie
élève ; elles lui apprirent encore les belles manières et l’art de se rendre agréable, et elles lui disaient : Ma fille, si vo
n faveur de Vulcain, pour le récompenser des services qu’il lui avait rendus dans la guerre des Géans. On donne à Vénus les no
i leur en éleva un, et qui leur assigna un culte particulier. On leur rendit des honneurs à Byzance, Delphes, Elis, Perges, Pé
nt, et les nymphes du voisinage le reçurent. Adonis, devenu grand, se rendit à la cour de Byblos en Phénicie, où Vénus éprise
n pièces. Vénus vint trop tard au secours de son favori, il venait de rendre le dernier soupir : elle le changea en anémone. O
é son fils, qu’elle la persécuta jusqu’à la faire mourir. Jupiter lui rendit la vie, et lui donna l’immortalité en faveur de l
des monstres marins qui ravagèrent cette malheureuse contrée. Culte rendu à Neptune. Les Romains célébraient des fêtes e
i consacraient le mois de février, pendant lequel ils tâchaient de se rendre le dieu favorable pour l’époque prochaine de la n
nt encore ce nom à ceux qui régnaient dans les îles, ou qui s’étaient rendus célèbres par l’établissement du commerce. Comm
re fort serré qui est entre Reggio et Messine. Une autre Scylla s’est rendue fameuse par sa perfidie ; voici son histoire.
allait sur les murs de la ville pour entendre les sons harmonieux que rendaient les pierres lorsqu’on les touchait. Apollon, qui
dans les exercices militaires ; bientôt sa passion la détermina à le rendre maître de la place. Le destin de la ville dépenda
nt. Ils furent de l’expédition des Argonautes dans la Colchide, et se rendirent célèbres en délivrant des Harpies le roi Phinée e
cisses ou de cyprès. Quelquefois il couvre sa tête d’un casque qui le rend invisible ; alors il monte sur son char, s’élance
on le croyait l’inventeur. Les Lupercales. Les peuples d’Arcadie rendaient un culte particulier au dieu Pan ; ils lui offrai
ement historique. Pan ayant remarqué que l’air agité dans un roseau y rendait une espèce de son, s’en servit pour faire une flû
rième roi d’Italie. Le courage et la rare prudence de ce prince l’ont rendu célèbre. Voulant enrichir ses sujets, il fit son
, il fit son étude de l’agriculture, les appliqua au labourage et les rendit industrieux. De si grands bienfaits lui méritèren
ides de juillet (le 15 juillet) dans le temple de l’Honneur, pour se rendre au Capitole. Sur les médailles de Titus, qui mett
par sa valeur, fut donné sans doute dans la suite à tous ceux qui se rendirent célèbres par leur bravoure ou leurs belles action
l, le tua dans un tournoi. Polydecte, à la cour duquel Persée s’était rendu avec sa mère, prit un grand soin de son éducation
Méduse comme une beauté parfaite que Minerve, qu’elle avait offensée, rendit effroyable, en changeant ses cheveux en serpens.
Persée, et poursuivi dans les montagnes, où il périt. Le jeune héros rendit surtout son nom célèbre par la victoire qu’il rem
ons furent tous changés en pierres. Après cette victoire, le héros se rendit à Argos ; mais, comme il avait eu le malheur d’y
vât sa place sous le signe de la baleine. Le cheval Pégase, qui avait rendu de si grands services à Persée, ne lui étant plus
dans les prairies le long du Xante. Bellérophon chassa ces animaux et rendit ce lieu habitable, et l’on dit qu’il avait dompté
ellérophon retourna à la cour de Prétus, qui, admirant sa valeur, lui rendit son amitié, et lui donna sa fille en mariage.
sa à son ami de l’enlever ; ce qu’ils exécutèrent ; ensuite, pour lui rendre la pareille, il lui prêta son secours pour enleve
traîna à travers les rochers et le mit en pièces. Esculape lui ayant rendit la vie, Diane le transporta en Italie, et lui don
r. Dans la suite, les Athéniens le mirent au rang des demi-dieux ; et rendirent des honneurs à ses cendres. Castor et Pollux
rtel, voyant son frère mort et n’ayant pu obtenir de Jupiter qu’il le rendît à la vie, demanda comme une grâce de lui faire pa
égorger Pélias par ses propres filles, en lui persuadant qu’elles lui rendraient sa première jeunesse. Ce crime en annonçait d’aut
e une autre cour, un roi dont la puissance, Pour m’attacher à lui, me rend avec éclat Tout ce que je perdis en suivant un in
èrent. Le dévouement de Ménécée, fils de Créon, qui se donna la mort, rendit les dieux favorables aux Thébains, et plusieurs c
t la colère de Créon, fit ramasser les cendres de son frère pour leur rendre les derniers honneurs. D’après les lois, elle fut
bre d’enfans ; les plus fameux sont Atrée et Tyeste. Celui-ci s’étant rendu coupable envers son frère, Atrée en lira une horr
emps Priam donna un superbe tournoi à la noblesse troyenne. Pâris s’y rendit , Sa bonne mine attira les yeux de toute la cour,
t il avait été prisonnier, envoya Pâris avec une flotte pour se faire rendre Hésione. Cette princesse était sœur de Priam et t
on fils : il croyait que par un échange, il serait facile de se faire rendre Hésione ; mais les princes grecs réclamèrent l’un
pas quitter les armes qu’ils n’eussent vaincu les Troyens. Le lieu du rendez -vous des Grecs était en Aulide, ville maritime de
le camp. Le divin Calchas déclara que pour la faire cesser il fallait rendre Chryséis à son père. Agamemnon y consentit ; mais
m accepta ses offres. Mais comme, pour célébrer cet hymen, il s’était rendu dans le temple d’Apollon Tymbréen, Pâris, pour ve
avec Pylade son cousin. Sept ans après le meurtre de son père, il se rendit secrètement à Argos, et tua de sa propre main Egi
s enchantemens ; de plus, il la contraignit, l’épée à la main, de lui rendre ses gens sous leur première forme. La prudence d’
argé de ses dieux, de son père, et accompagné d’Ascagne, son fils, se rendit à un port de Phrygie peu éloigné du mont Ida, où
re romain. Philémon et Baucis Ni l’or ni la grandeur ne nous rendent heureux. Ces deux divinités n’accordent à nos vœu
e devoir à pas un domestique Le plaisir ou le gré des soins qu’ils se rendaient . Tout vieillit : sur leur front les rides s’étend
oux, surpris, étonnés, confondus, Se crurent par miracle, en l’Olympe rendus  ; Vous comblez, dirent-ils, vos moindres créature
s, Clothon ferait d’un coup ce double sacrifice ; D’autres mains nous rendraient un vain et triste office : Je ne pleurerai point
4 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
e celles des autres peuples, qui offraient plus d’intérêt ou devaient rendre plus intelligibles les livres qui parlent de ces
’intelligence des auteurs. Nous avons évité un étalage de science que rendraient facile les savants et ingénieux travaux du chance
ors la peine de son crime, cette race fut prompte à se corrompre et à rendre à des objets créés le culte qui n’est dû qu’au Cr
prochés. Durs, inégaux, sans peine ils se sont accrochés. Le hasard a rendu la nature parfaite. L’œil au-dessous du front se
vages. Il leur donna des lois, leur apprit à cultiver la terre et les rendit si heureux, que ce règne fut appelé l’âge d’or. S
les Romains exprimaient en le représentant avec deux visages. On lui rendit après sa mort les honneurs divins, et Numa Pompil
t de l’expérience pour gouverner son peuple par des lois sages qui le rendirent heureux. On représente Saturne sous les traits d’
nvers le pays, sa reconnaissance envers Janus ? Quels honneurs furent rendus à Janus après sa mort ? Quelle remarque y a-t-il
rtaient le nom de Galli, du Gallus, fleuve de Phrygie, dont l’eau les rendait furieux ; le nom de Corybantes, parce qu’ils marc
nt les fruits de l’intelligence et de la mémoire. Jupiter, que Thémis rend père de trois Parques, chargées de filer la desti
nclume à chaque pied. Bientôt, sur les instances des dieux, Junon fut rendue à la liberté, et reprit sa place auprès de son ép
reuvage étaient l’ambroisie et le nectar, qui avaient la puissance de rendre immortel. Hébé, déesse de la jeunesse, versait le
toutes les divinités du ciel et de la terre y furent invitées, et s’y rendirent . Une seule nymphe, appelée Cheloné, y manqua, et
et, par le conseil de Flore, elle respira l’odeur d’une plante qui la rendit mère de Mars, quelques auteurs disent de Vulcain.
tre lui tous les dieux (n° 20). Le châtiment qu’elle en recueillit la rendit furieuse. Elle renonça alors au séjour de l’Olymp
on redoutait les effets de sa haine, on ne négligeait rien pour se la rendre propice. Son culte était répandu partout ; mais e
30. Quelle fut la naissance merveilleuse de Minerve ? Quels services rendit -elle à Jupiter dans la guerre des Géants ? D’où l
rve eut-elle avec Neptune ? 33. Quels honneurs Athènes reconnaissante rendit -elle à la déesse ? Qu’est-ce que les Panathénées 
de ne donner à sa rivale aucun asile. Alors Neptune, touché de pitié, rendit stable l’île de Délos, jusqu’alors flottante. Lat
vrit de sa peau le trépied sur lequel la prêtresse appelée Pythonisse rendait ses oracles. Lui-même reçut dès lors le surnom de
nymphe Coronis, Esculape, auquel il avait enseigné la médecine, avait rendu à la vie Glaucus, fils de Minos, et Hippolyte, fi
e son nom. Cyparisse, autre jeune homme que son talent pour la poésie rendait cher au dieu des vers, ayant tué par mégarde un c
à mi-côte du mont Parnasse, possédait un temple magnifique où le dieu rendait ses oracles par la bouche d’une prêtresse nommée
échappèrent-elles à Pyrénée ? 38. Faites connaître la manière dont se rendaient les oracles dans le temple de Delphes ? Quelle di
l’Olympe. Mercure ne tarda pas à être rappelé dans l’Olympe, où il rendit aux dieux, par son adresse et son courage, d’impo
que le caducée ? 47. De retour dans l’Olympe, quels services Mercure rendit -il aux dieux ? 48. Dans quel pays le culte de Mer
eu honoré chez les Grecs, beaucoup chez les Thraces ; les Romains lui rendaient un culte particulier. Ils le regardaient comme le
Mars chez les Grecs et chez les Romains ? Quels hommages les consuls rendaient -ils à ce dieu avant d’aller à la guerre ? Qu’étai
el est le sens allégorique de son histoire ? 54. Pourquoi les Romains rendaient -ils un culte particulier à Vénus ? Dans quels lie
re accepter Pluton pour gendre ; alors il déclare que Proserpine sera rendue à sa mère, à la condition qu’elle n’aura pris auc
mante fable de La Fontaine intitulée Le Laboureur et ses enfants, qui rend sensible cette vérité. Plutus est ordinairement r
la Terre, ou, selon d’autres, de Pan et d’une nymphe. Silène s’était rendu agréable aux dieux par son humeur joyeuse et son
jours, qui se passèrent en festins et en réjouissances. Lorsqu’il le rendit à Bacchus, le dieu par reconnaissance lui accorda
testent que le vin, dont il était le dieu, inspire la vengeance et la rend cruelle. Penthée, roi de Thèbes et successeur de
nt ses vers Chômons ; c’est faire assez qu’aller de temple en temple Rendre au maître immortel les vœux qui lui sont dus : Le
ur nom de celui du dieu du feu33, justifient cette tradition. Vulcain rendit de grands services à Jupiter et aux autres dieux
et ses divers ateliers ? D’où vient le nom de volcan ? Quels services rendit Vulcain dans la guerre des dieux contre les Géant
mœurs dissolues. Pan était particulièrement honoré en Arcadie : il y rendait ses oracles sur le mont Lycée. Il inventa la flût
t que c’étaient autant de génies propices : de là le culte qu’on leur rendait . Il consistait dans de petites figures d’argent,
s, les Pénates, les Mânes ? Quelle est leur origine ? Quel culte leur rendait -on ? Chapitre XVI. Divinités de la mer.
phes de la mer, au nombre de plus de trois mille. Les nautoniers leur rendaient un culte particulier. Dans les temps calmes, on i
r, mais aussi sur les fleuves, dont il était le père. Les anciens lui rendaient un culte solennel et lui confiaient le soin de le
naquirent les Océanides ? Qu’étaient ces divinités ? Quel culte leur rendait -on ? Qu’était-ce qu’Océan ? Quel était le culte q
eur rendait-on ? Qu’était-ce qu’Océan ? Quel était le culte qu’on lui rendait  ? Comment le représentait-on ? Quelle fut la nais
comme avait fait Ménélas, et en obtient un secret merveilleux qui lui rendit ses abeilles. Cette histoire forme un délicieux é
ué par Achille, Il eut à Thèbes, en Egypte, une statue fameuse : elle rendait , au lever de l’Aurore, des sons plaintifs et harm
Cybèle, avait été dévoré par son père ; mais celui-ci fut forcé de le rendre , après un breuvage que lui donna Jupiter. Aussi,
erre des Géants. Il combattait armé d’un casque qui avait la vertu de rendre invisible celui qui le portait. Ce fut après cett
r et d’Europe, régna sur l’île de Crète, lui donna de bonnes lois, et rendit son peuple heureux. Eaque, fils aussi de Jupiter,
ternel supplice. 91. Titye. — Tantale. — Les Danaïdes. Titye se rendit coupable d’un crime pareil. Ce géant, fils de la
pardonne pas ; « Livrez ce cœur farouche aux affronts de l’Injure ; «  Rendez -lui tous les maux qu’il aime qu’on endure ; « Que
celui qui le portait, Persée enleva cet œil et cette dent, et ne les rendit aux Grées que lorsqu’elles lui eurent découvert l
te de Méduse, et met sur le trône, à sa place, le généreux Dictys. Il rend ensuite aux dieux les armes qui l’avaient protégé
prépare à célébrer des jeux funèbres en l’honneur de son père. Il s’y rend pour disputer le prix ; mais un disque, qu’il lan
the, où il bâtit la ville de Mycènes, dont il fit sa capitale. On lui rendit , après sa mort, les honneurs divins. Il eut un te
evint-il le meurtrier involontaire d’Acrisius ? Quels honneurs furent rendus à Persée après sa mort ? Chapitre XXIV. Bellé
’égard d’Hercule, et consentit même à lui donner de son lait, pour le rendre immortel ; quelques gouttes, en tombant dans le c
n d’autres, il eut recours au géant Atlas, et tandis que celui-ci lui rendit ce service, Hercule prit à sa place le monde sur
Déjanire sa tunique, teinte de son sang, comme un moyen propre à lui rendre le cœur de son époux, s’il devenait infidèle. L’o
. Omphale, reine de Lydie, l’acheta, mais bientôt elle l’aima, et lui rendit la liberté. Hercule resta néanmoins auprès d’elle
neus, quelle est ta trahison ! Et quels sont les tourments dont tu me rends la proie, Par ce fatal présent que ta fureur m’en
dans la mer, qui prit dès lors le nom d’Egée. Thésée, après lui avoir rendu les devoirs de la piété filiale, institua des jeu
mpli. Tous les ans des députés56, couronnés de branches d’olivier, se rendaient à Délos, sur le vaisseau même qu’avait monté Thés
lement assis sur une pierre dont il ne peut se détacher. Plus tard on rendit à sa mémoire les hommages qu’elle méritait. Ses r
nt les suites funestes ? Quelle fut la fin de Thésée ? Quels honneurs rendit -on à sa mémoire ? Chapitre XXVII. Expédition
or. Jason déclara à Eétès le sujet de son voyage. Le roi promit de rendre la toison d’or, mais à des conditions si bizarres
vait cessé de les poursuivre. Les envoyés du roi demandent qu’on leur rende Médée ; mais Jason refuse de livrer cette princes
os, réclama de Pélias le trône paternel, que celui-ci avait promis de rendre au prix de la conquête qu’il venait de faire, Mai
uelles conditions furent imposées à Jason par Eétès pour que celui-ci rendît la toison d’or ? Comment Médée aida-t-elle Jason
la couronne. Suivant une tradition différente de la première, il fit rendre les derniers honneurs à Etéocle, qui avait courag
che de Calchas, que le fléau ne cesserait que lorsque Chryséis serait rendue à son père. Agamemnon consentit à rendre sa capti
que lorsque Chryséis serait rendue à son père. Agamemnon consentit à rendre sa captive, mais à la condition d’avoir à sa plac
ccède à son père, sous le nom de Néoptolème (nouveau guerrier). Il se rend avec Ulysse auprès de Philoctète, que les Grecs a
oble courroux, « Ne vit pas sans pitié Priam à ses genoux, « Et pour rendre au tombeau des dépouilles si chères, « II me renv
rs sauvages de leurs sujets, en leur enseignant l’agriculture, et les rendirent heureux par de bonnes lois. Mais Osiris voulant r
on frère, qui aspirait au trône, avait conspiré contre lui et s’était rendu redoutable. Osiris, d’un caractère pacifique, ess
’il est caché près de Byblos, sous les feuilles d’un tamarin. Isis se rend dans cette ville, obtient la permission d’enlever
s tombeaux et des temples. Isis partagea, après sa mort, les honneurs rendus à Osiris. Cependant Orus, leur fils, voulant veng
le Nil, à Memphis, où il avait deux temples superbes dans lesquels il rendait ses oracles. 131. Sérapis. Sérapis était au
uels étaient les autres dieux de l’Égypte ? A quelle espèce d’animaux rendait -on un culte particulier ? 130. Qu’était-ce que le
ux époques différentes, pour défendre les hommes, les éclairer et les rendre heureux. 6° La première fois, il emprunta le nom
d’affranchis. « C’est la gloire du christianisme, dit Rollin, d’avoir rendu commune une vertu pour laquelle Rome pouvait à pe
ndre et aimante. 45. On appelle allégorie une fiction ingénieuse qui rend sensible une idée abstraite, et personnifie un êt
5 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
Nil. Épuisée de souffrance et de fatigue, elle supplia Jupiter de lui rendre sa première forme, et elle mit au monde un fils n
de sa peine, vint lui offrir son intervention et son ministère. Il se rendit auprès de la nymphe rebelle, lui vanta les riches
les conduit devant le redoutable tribunal. Trois juges y siégent et y rendent la justice au nom et en présence de Pluton : ce s
 : « Si cependant, ajoute-t-il, vous désirez que Proserpine vous soit rendue , j’y consens, pourvu qu’elle n’ait rien mangé dep
eu des ténèbres ; quelquefois sa tête est couverte d’un casque qui le rend invisible. Près de lui sont assises les trois Par
voquaient son nom, sollicitaient son appui, et lui offraient, pour la rendre propice, des agneaux, des chiens et du miel. Tous
cueil que la déesse, pleine de reconnaissance pour cette hospitalité, rendit la santé à son fils Triptolème, encore au berceau
. Elle fit plus encore ; elle se chargea d’élever Triptolème et de le rendre immortel. Dans ce but, elle le nourrissait pendan
el cri d’effroi que l’enchantement fut détruit. Cérès ne pouvant plus rendre immortel le jeune Triptolème, voulut du moins le
da au maître des dieux que son cher Adonis revînt à la vie et lui fût rendu . La loi du destin s’y opposa. Elle obtint seuleme
Après un long exil, Apollon fut rappelé dans l’Olympe, et Jupiter lui rendit son premier emploi. De tous les dieux, Apollon es
issait pas, la fable dit vrai, puisque le génie et la science peuvent rendre l’homme immortel. Mais cette même déesse, habitué
cence effrénée des Orgies ; et voulant y mettre enfin un terme, il se rendit en personne sur le mont Cithéron, bien déterminé
ce et de puissance. Les Grecs lui immolaient la pie, parce que le vin rend indiscret, et le bouc, parce que cet animal détru
du dieu, qui ne rêva plus qu’aux moyens de plaire, et déploya pour se rendre aimable toutes les saillies d’un esprit jovial, t
later. Alors les chefs de la nation, les magistrats, les pontifes, se rendaient solennellement au temple de Janus, détachaient de
auprès de cette plante nouvelle, qui, agitée par le vent, paraissait rendre des sons plaintifs. Il en coupa quelques tiges, e
la jalousie de Borée, qui l’aimait aussi, mais qui, ne pouvant se la rendre favorable, la précipita du haut d’un rocher. Les
e donner aux armées une aile droite et une aile gauche. L’Arcadie lui rendait un culte particulier sur les monts Ménale et Lycé
paniques. Faune ou Faunus, fils de Picus et de la nymphe Canente, se rendit recommandable aux habitants du Latium par sa vail
ête (appelée Terminales), les deux possesseurs de terres contiguës se rendaient ensemble près de la borne qui séparait leurs cham
orps terminé en queue de poisson. § 15. Les Fleuves. Les Païens rendaient un culte aux Fleuves, à cause des avantages qu’il
chi d’offrandes et de présents magnifiques ; la statue de la déesse y rendait des oracles ; elle répondait aux demandes des sup
ais trop tard ; il n’y restait plus que l’espérance. Prométhée voulut rendre à Jupiter tromperie pour tromperie. Dans ce desse
laient vivantes. D’autres disent que ce fut un ami de l’humanité, qui rendit aux mortels d’éminents services. Avant lui, les h
de ruse à son tour, et dit à Atlas qu’il consentait volontiers à lui rendre ce service, pourvu qu’il lui laissât le temps de
laient les campagnes de l’Étolie ; Hercule éleva de fortes digues, et rendit le cours du fleuve uniforme. La métamorphose d’Ac
, du haut de l’Olympe, voyaient avec douleur périr un héros qui avait rendu tant de services à l’humanité : « Ne craignez poi
talonnières et un glaive de diamant ; Pluton lui donna un casque qui rendait invisible. Avec ce triple secours, il se transpor
pierres. Ce fut alors que Persée, après une absence de quatre ans, se rendit avec son épouse à l’île de Sériphe où Danaé était
tit-fils, vint à sa rencontre jusqu’à Larisse, pour le féliciter, lui rendre grâces et se réconcilier avec lui. Ce jour même o
avant tout, vers le milieu de cette nuit, accompagné d’amis intimes, rends -toi au temple d’Hécate. Là, en présence de cette
de ce tyran, étonnées du rajeunissement d’Éson, conjurèrent Médée de rendre le même service à leur père. La magicienne le leu
ût entièrement consumés, et qu’il fût impossible à ses enfants de lui rendre les honneurs de la sépulture. Mais les habitants
at singulier, Pollux, qui l’aimait tendrement, conjura Jupiter de lui rendre la vie, ou de le priver lui-même de l’immortalité
s plus opiniâtres et les plus désespérées, il s’appliqua et réussit à rendre la vie aux morts : Glaucus35, Capanée, Tyndare, H
de foudre tua le trop habile médecin. Des honneurs divins lui furent rendus après sa mort : son culte s’établit à Épidaure, s
 ; elle approche d’un pas lent, car sa blessure était récente ; on la rend à Orphée, mais sous la condition expresse qu’il n
nie : Hippolyte y était accusé du crime dont Phèdre elle-même s’était rendue coupable. A son retour, Thésée apprenant le suici
, Œnée ayant offert un sacrifice solennel à tous les dieux, pour leur rendre grâces de l’abondance des récoltes, oublia par ma
ntenir ; il court sur ses oncles, les perce tous deux de son épée, et rend à la belle Atalante la dépouille du sanglier. Al
Jupiter rassembla les membres épars de cette innocente créature, lui rendit la vie, et substitua une épaule d’ivoire à celle
on frère une entrevue amicale. Thyeste, trompé par les apparences, se rendit avec empressement au palais de son frère, et prit
s roi de Thèbes, et de Jocaste. Avant leur mariage, ces deux époux se rendirent au temple de Delphes pour y consulter l’oracle d’
œur de Polynice, moins sensible à la crainte de mourir qu’au désir de rendre à son frère les honneurs funèbres, trompa la vigi
n arrache la cervelle… Minerve, qui venait pour secourir Tydée et lui rendre sa première vigueur, fut si révoltée de cette bar
ée de cette barbarie qu’elle l’abandonna à sa destinée, et lui laissa rendre le dernier soupir. § 20. Amphiaraüs. Amphi
rendre dans cette funeste conjoncture : et Tirésias leur conseilla de rendre la ville. Les vainqueurs y entrèrent et la saccag
ogée, doué d’une rare habileté dans les exercices du gymnase, s’était rendu à Athènes, pour y disputer les prix de la lutte,
la cire de tes ailes ; si tu voles trop bas, l’humidité de la mer les rendra trop pesantes pour ta faiblesse. Évite l’un et l’
ntôt avec une flotte sur les côtes de Sicile, et somma Cocalus de lui rendre son prisonnier. Le prince refusa ; et comme Minos
insistait avec menaces, on lui proposa de descendre à terre et de se rendre au palais, pour y terminer à l’amiable tout diffé
delle, et d’y conserver religieusement cette statue, dont la présence rendrait à jamais imprenable la ville de Troie. Laomédon,
à jamais imprenable la ville de Troie. Laomédon, fils d’Ilus, s’est rendu fameux dans l’antiquité par sa mauvaise foi. Il s
s trois déesses, qui mirent en usage toutes les séductions pour se le rendre favorable. Junon lui promit les richesses ; Miner
de Pélée, naquit à Phtia, ville de Thessalie. Sa mère, qui voulait le rendre invulnérable, le porta aux enfers, et le plongea
Sigée (non loin des plaines de Troie), lui bâtirent un temple, et lui rendirent les honneurs divins. Néoptolème ou Pyrrhus, fils
valoir avec autant d’adresse que de chaleur les services qu’il avait rendus à la Grèce : son éloquence triompha. Ajax, désesp
Teucer se soumit sans se décourager. Accompagné d’amis fidèles, il se rendit à Sidon auprès du roi Bélus, qui, pénétré de ses
ient se flatter d’aller mettre un jour le siége devant Mycènes, et de rendre au centuple à la Grèce tous les maux, toutes les
u’ils avaient toujours condamné la conduite de Pâris, et conseillé de rendre Hélène à son époux. Leur vengeance assouvie, les
. Durant le siége, Anténor insista auprès de Priam pour qu’Hélène fût rendue à Ménélas, et ne cessa, au rapport d’ Homère, de
Junon, pour le punir d’avoir soigné Hercule mourant, et de lui avoir rendu les honneurs de la sépulture.) § 13. Idoménée.
erre par sa prudence consommée, son courage et ses stratagèmes. Il se rendit à Lemnos pour y chercher Philoctète, possesseur d
our lui présente Il boit a longs traits le poison. J.-B. Rousseau. Rendu prudent par ses fautes, il résista aux mélodieuse
pays, s’arrêtèrent sur les côtes de la Chersonèse de Thrace, afin d’y rendre une fois encore au divin Achille des honneurs fun
t été autrefois promise en mariage. » Les Grecs n’hésitèrent pas à se rendre aux volontés d’un chef et d’un ami. Polyxène fut
cour de Mycènes, favorisé par Électre, et sous un déguisement qui le rendait méconnaissable. Il se fit introduire auprès de l’
ssaya de s’en délivrer par des sacrifices expiatoires ; en vain il se rendit à Athènes pour y être jugé par le sévère Aréopage
ombre de ses nymphes. Douloureusement affecté de cette perte, Énée se rendit au rivage et monta sur ses vaisseaux, avec une tr
faveur de la nuit ; et, afin de ne pas s’égarer, ils se donnèrent un rendez -vous au mausolée de Ninus, et sous le mûrier blan
persuade qu’elle a péri. Hors de lui-même, il arrive sous l’arbre du rendez -vous ; il y arrose de larmes le voile de son aman
du roi de Crète, sut si bien gagner l’amour de ses peuples qu’ils lui rendirent après sa mort des honneurs divins. Ses fils, Mino
8. Ath amas et Ino. Athamas, roi de Thèbes, épousa Néphélé, qui le rendit père d’un fils et d’une fille (Phryxus et Hellé),
Égérie. Égérie était une nymphe du Latium à laquelle les Romains rendaient un culte religieux. Numa Pompilius voulant rédige
ne nymphe inspirée que pour donner à ses lois une sanction divine, et rendre le peuple romain plus docile à s’y conformer.
Neptune, d’un coup de son trident, fit sortir du milieu des flots et rendit stable Délos, île jusqu’alors cachée et flottante
uelquefois même d’une raillerie coupable ; et tandis que le peuple se rendait en foule au sanctuaire d’Apollon, Niobé se promen
rent Progné ; elle prend des habits de deuil, dresse un cénotaphe, et rend à Philomèle les devoirs funèbres. Un an s’était é
mnon, une statue colossale, qui, frappée des premiers rayons du jour, rendait un son clairet harmonieux, et le soir dans l’obsc
one, reconnaissez-vous Céyx ? La mort l’a-t-elle assez changé pour le rendre méconnaissable ? Jetez les yeux sur moi, et vos d
lieue.) Chaque soir, Léandre traversait le détroit à la nage, pour se rendre auprès de Héro. Héro, de son côté, pour diriger l
condamnation ; mais le peuple d’Argos se prononça en sa faveur, et la rendit à son époux. § 4. Atalante et Hippomène. A
ieille femme pour l’aller trouver, couvrit sa tête de cheveux blancs, rendit sa peau toute ridée, marcha d’un pas mal assuré ;
ède était regardé comme infaillible. Des pays les plus éloignés on se rendait à Leucade. On se préparait à l’épreuve du saut pa
ndonnait ce remède, pire en effet que le mal, cherchèrent un moyen de rendre le saut moins dangereux. Des filets, artistement
i glacé que jamais. Alors, n’écoutant plus que son désespoir, elle se rend à Leucade, se jette du haut de la roche fatale, e
ous les flots. Les habitants de Lesbos lui élevèrent des temples, lui rendirent les honneurs divins, et firent graver son effigie
était un anneau d’or, qu’il s’appropria. Cet anneau avait la vertu de rendre invisibles ceux qui le portaient. Au moyen de ce
ment dans le palais de Circé, et la contraignit, l’épée à la main, de rendre à ses compagnons leur forme première. Tant d’auda
t une statue si belle qu’il en devint amoureux, et pria le ciel de la rendre vivante et sensible. « Grands dieux, s’écria-t-il
reçut dans sa chute et le transporta au cap Ténare, en Laconie. Il se rendit de là chez Périandre, qui fit mettre à mort les m
eil, Hercule descendit aux enfers, combattit la Mort, la vainquit, et rendit Alceste à son époux. § 17. Phinée et les Harpy
u palais. Mais cette cruauté ne tarda pas à être punie : les dieux le rendirent aveugle à son tour, et lancèrent à sa poursuite l
 Salmonée. Sisyphe, fils d’Éolus ou Éole, régna à Corinthe et s’y rendit fameux par ses fourberies, ses vols et ses brigan
l’avoir pour gendre, et lui fit épouser sa fille Anticlée70. Près de rendre le dernier soupir, Sisyphe imagina une supercheri
Après avoir conquis toute l’Élide, il exigea de ses sujets qu’ils lui rendissent les mêmes honneurs qu’aux dieux ; et il tâcha d’i
La Pythie. Les Grecs donnaient le nom de Pythie à la prêtresse qui rendait les oracles d’Apollon à Delphes ; ils appelaient
s Sibylles étaient des vierges inspirées qui prédisaient l’avenir, et rendaient des oracles. On varie sur leur nombre, leurs noms
t que son frère Typhon avait soulevé une partie du peuple, et s’était rendu redoutable à Isis. Naturellement pacifique, Osiri
mutilé, et le jeta dans le Nil. Isis voulait avoir la consolation de rendre à son époux les honneurs de la sépulture : elle c
érit lui-même de la main des Titans. Isis, sa mère, le ressuscita, le rendit immortel, et lui enseigna la médecine et l’art de
es peut jamais connaître qu’imparfaitement. f) L’ibis. L’Égypte rendait aux animaux un culte particulier : les temples de
ibis, même par mégarde. Ce respect venait des services que cet oiseau rend à l’Égypte, en y détruisant les chenilles, les sa
èdes… Vous riez, lecteurs, de cette superstition ! Mais nous-mêmes ne rendons -nous pas une sorte de culte aux hirondelles, à ce
n autre phénix, jeune, brillant, radieux, dont le premier soin est de rendre à son père les honneurs de la sépulture. Cet oise
de son éloquence, on prétendait qu’il avait apprivoisé les lions, et rendu sensibles les rochers. Une femme qui avait perdu
les admirant, les chefs-d’œuvre des peintres et des sculpteurs ; elle rend facile et intéressante la lecture des poètes ; el
’établit dans le Latium. Elle épousa Tibérinus, dieu du Tibre, qui la rendit mère d’Ocnus (appelé aussi Bianor), fondateur de
6 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
oésie ; on ne doit point les séparer : c’est même un double service à rendre aux jeunes gens, que de leur apprendre à bien con
e Babylone la statue de son père, et ordonna à tous ses sujets de lui rendre le culte qui est dû à la divinité. A l’exemple de
en fut informé, et déclara la guerre à son frère qui refusoit de lui rendre l’empire du Monde. Saturne fut vaincu et mis aux
nt l’Age d’or, tous les dieux habitoient la terre, et contribuoient à rendre les hommes heureux, en leur donnant des exemples
, il remit son père sur le trône, l’en chassa peu de tems après et se rendit maître du ciel et de la terre. Il épousa Junon, s
légumes qui croissoient dans leurs jardins. Jupiter, qui s’étoit déjà rendu maître du tonnerre, foudroya les Titans, et les é
eur repos rougir les Immortels.          Du feu des cieux je me suis rendu maître ;               C’est par moi que l’homme
quer, par Vulcain, une femme qu’ils appellèrent Pandore ; et, pour la rendre parfaite, chacun lui fit son présent. Vénus lui d
vous ; Au goût de la troupe choisie, Vous assaisonnez l’ambroisie. Et rendez le nectar plus doux. Jupiter prit la forme de Di
rouillée avec Jupiter, elle se retira dans l’isle de Samos, où on lui rendit , dans la suite, un culte particulier ; ce qui la
ane, naquit dans l’isle de Délos, que Neptune fit sortir des eaux, et rendit stable, sans égard pour Junon qui persécutoit Lat
et dieu de la Médecine qu’il avoit apprise du Centaure Chiron, ayant rendu la vie à Hypolite, fils de Thésée, fut foudroyé p
alut de tous ; Et, le frappant au cœur d’une atteinte mortelle, Il le rend pour jamais à la nuit éternelle. La Grange-Chanc
elle fit bâtir ce tombeau avec des soins et des frais immenses, et le rendit si magnifique, qu’il mérita d’être mis au nombre
monument célèbre. Les jardins et les murs de Babilone : ouvrages qui rendirent immortelle Sémiramis, reine d’Egypte, et qu’elle
a, ce seul espoir me soulage, Va lui porter le tendre hommage Que lui rend ma triste amitié. Lamotte. Mercure étoit lui-mê
Dioné. La plupart prétendent qu’elle est sortie du sein de la mer : Rendez à cette reine un éclatant hommage ;     Jamais Vé
la préférence à Vulcain, pour le récompenser des services qu’il avoit rendus pendant la guerre des Géans. Vénus fut très-mécon
t volontiers au Jugement de Pâris, fils de Priam, roi de Troie, et se rendirent sur le mont Ida, dans la Phrygie : Là, ce berger
e. Je porte au hasard mon flambeau : Otez à l’Amour son bandeau, Vous rendez le repos au monde. Rousseau. On lui donne un ca
e Vénus persécuta au point de la faire mourir de douleur. Jupiter lui rendit la vie, et lui donna l’immortalité. On la représe
appas !                 Animez nos cœurs ce nos bras,                  Rendez la victoire constante,                     Condui
est Egide en grec. Pallas avoit reçu de Jupiter ce bouclier : elle le rendit encore plus redoutable, en y attachant la tête de
allas, la barbare Pallas,             Fut jalouse de mes appas, Et me rendit affreuse, autant que j’étois belle : Ma tête est
présidât à la guerre et aux combats. Le caractère de ce dieu est bien rendu dans ces vers que Rousseau met dans la bouche de
élivra ce dieu de la prison où Vulcain l’avoir mis. Il lui avoit déjà rendu le même service, en le tirant des mains des fils
geurs, afin de les dévorer : Nos chants harmonieux forcent tout à se rendre ,         Nous disposons des cœurs i notre gré ;  
rsuader, eut recours à l’autorité de Jupiter, qui s’engagea de la lui rendre , si elle n’avoit rien mangé depuis son enlèvement
e dieu qui préside à cette nuit éternelle dont les affreuses ténèbres rendent si effrayant l’empire des morts. Cerbère, chien à
damante, roi de Lycie, fils de Jupiter et d’Europe, ou d’Egire, avoit rendu ses sujets si heureux, qu’ils en firent un dieu ;
destinées. Rousseau. La beauté de ce séjour ne suffiroit point pour rendre les hommes heureux, s’ils portoient encore au-ded
urmentent, et s’ils n’étoient pas à l’abri de tout ce qui contribue à rendre la vie malheureuse, ou même moins agréable : Hor
s :         Aimable dieu, de qui la main dispense             Ce qui rend les mortels heureux.                 Votre vaste
x arbres, et à l’aide desquelles ils viennent à bout d’ennoblir et de rendre plus agréables les images qu’ils nous tracent du
unit ma fierté criminelle. Quinault. Persée pétrifia le monstre, et rendit Andromède à Céphée qui la lui donna pour épouse.
ans sa barque, enchaîne Cerbère, enlève Alceste, malgré Pluton, et la rend à son époux : Ainsi, traversant Achéron, Hercule
ndît la cire qui attachoit ses ailes, ou que les vapeurs de la mer ne rendissent les plumes trop humides. Ce jeune téméraire, oubl
n, Il ouvre un œil mourant, qu’il referme soudain. Racine. Esculape rendit la vie à Hippolyte, et Diane le transporta em Ita
las, roi de Sparte ou Lacédémone. Elle fut enlevée par Thésée, qui la rendit à son époux ; et par le berger Pâris, ce qui occa
, fille d’Aëte, dont les enchantemens étoient nécessaires pour ne pas rendre inutiles la valeur de ce héros :         Toute l
on. Malherbe. Elle conseilla aux filles de Pélias, frère d’Eson, de rendre le même service à leur père, en faisant bouillir
erbes inconnues, Lui forme un nouveau sang avec cette liqueur, Et lui rend d’un agneau la taille et la vigueur. Les sœurs cr
élevant dans les airs sur un char traîné par des dragons aîlés, et se rendit auprès du roi d’Athènes, qui lui avoit promis de
e une autre cour, un roi dont la puissance, Pour m’attacher à lui, me rend avec éclat Tout ce que je perdis en suivant un in
ut touché des accords de l’époux d’Euridicc. Gresset. Pluton la lui rendit  ; mais à condition qu’elle le suivroit, et qu’il
trouveroit son père dans la Phocide, province de la Grèce. Œdipe s’y rendit , et tua Laïus, en lui disputant le passage dans u
ère d’Atrée se changea en une haine et une fureur implacables, qui le rendit trop ingénieux à chercher une vengeance éclatante
 : ils comptoient beaucoup sut la prudence de ses conseils ; et il se rendit aisément à leur invitation, dans l’espérance de l
eux. Lamotte. Achille mérite le premier rang parmi les héros qui se rendirent célèbres au siège de Troie. Il étoit fils de Thét
e Thétis et de Pélée. Sa mère l’avoit plongé dans le Styx, afin de le rendre invulnérable : Thétis, même, en trempant Achille
Lycomède : Ulysse, cependant, zélé pour sa patrie,         Veut lui rendre le seul héros Dont l’appui des Troyens doit senti
appui des Troyens doit sentir la furie ; Et, pour le découvrir, il se rend à Scyros.         Il étale aux yeux des princesse
le punir d’une impiété dont il avoit toujours fait gloire. Diomède se rendit immortel par mille exploits, et sur-tout en bless
, après avoir détruit la ville de Troie. Priam en releva les murs, et rendit son empire le plus florissant de l’univers. Il av
et de riches présens, redemander le cadavre de son fils, afin de lui rendre les derniers devoirs. Achille l’accorda sur-tout
la lance qu’elle tenoit à la main. Cependant les Grecs, ne pouvant se rendre maîtres de la ville par la force, entreprennent d
te consulta l’Oracle, qui lut ordonna d’aller dans la Tauride. Il s’y rendit avec Pilade, son ami fidèle. Tous deux furent arr
es malheureux si voisins du naufrage, Dieu puissant ! m’écriai-je, et rends -nous au rivage. Le premier des sujets rencontré p
par son roi, A Neptune immolé satisfera pour moi…… Mon sacrilège vœu rendit le calme à l’onde ; Mais rien ne put le rendre à
oi…… Mon sacrilège vœu rendit le calme à l’onde ; Mais rien ne put le rendre à ma douleur profonde ; Et, l’effroi succédant à
. Cette nymphe mit tout en usage pour le retenir, et lui promit de le rendre immortel : Pour fixer le volage Ulysse, Jouet de
fleuve des enfers, 104-105 Achille, fils de Thétis et de Pelée, est rendu invulnérable, 173 — Est élevé par le centaure Ch
Alphée, chargé en fleuve par Diane, 58 Altée, reine de Calidon, se rend odieuse à Diane, ibid. — Fait périr Méléagre, 5
caractère, 76 — Comment on le représente, ibid. — Culte qu’on lui rend , 77 Cyanée, nymphe changée en ruisseau, 99 Cybè
Déjanire, épouse Hercule, 138 — Lui cause la mort, 139 Delos, isle rendue stable, 40 — Lieu de la naissance d’Apollon et d
, fils d’Apollon, 40 — Apprend la médecine du centaure Chiron, 89 — Rend la vie à Hyppolite, 40-147 Eson, rajeuni par Méd
Quelle étoit leur ambition, 81 — Surprennent la ville de Troie, s’en rendent les maîtres, etc. 184 — En partagent les dépouil
calomnié par Phèdre, 145 Hippolyte puni malgréson innocence, 146 — Rendu à la vie par Esculape, 40-147 — Sauvé par Diane,
t l’appeler le père des dieux, 12 — Ses poëmes, 51 Honneurs divins, rendus au Soleil et à la Lune, 9 — Aux rois et aux héro
res, 28 — Crée des hommes, 31 — Et leur envoie la sagesse, 61 — Se rend maître du tonnerre, 30 — En est surnommé l’arbit
juger les trois désses qui se disputoient le prix de la beauté, 75 — Rend la vie à Psyché, 76 — — A Pélops, 169 — Change
4 Pélion, montagne célèbre, 29-30-47 Pélops, fils de Tantale, 102 — Rendu à la vie, il épouse Hippodamie, 169 Pénates, die
age l’empire du monde avec ses frères, 28 — Enlève Proserpine, 98 — Rend Euridice à Orphée, 158 — Son palais est gardé pa
duite en cendres, ibid. Sémiramis, reine d’Egypte, 63 — Ce qui l’a rendue immortelle, 63-64 Serment par le Styx, 105 — Pa
ment est célèbre dans l’Histoire poétique, 11 Tonnerre, Jupiter s’en rend le maître, 20 Tour d’airain qui renfermoit Danaé
2 Travaux d’Hercule, 132-133-134-135 Trépied sacré, 46 — Servoit à rendre les oracles, 47 Trident, sceptre de Neptune, 91
eu de l’Automne, 113 Vertus, érigées en divinités, 14-121 — On leur rend les honneurs divins, 11 Vesta, la même que Cybèl
tuel, 27 Vestales, ibid. Vices, érigés en divinités, 221 — On leur rend les honneurs divins, 11 Victoire de Jupiter, 30-
7 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
Babylone, la statue de son père et, ordonna à touts ses sujets de lui rendre le culte qui est dû à la divinité. A l’exemple de
formes d’animaux : c’est pour cela que, dans la suite, les Egyptiens rendirent aux bêtes des honneurs divins ; Bacchus eut plus
réer des hommes, firent fabriquer une femme par Vulcain ; et, pour la rendre parfaite, chacun lui fit son présent. Pallas, lui
, pour pénétrer dans la tour d’airain où étoit enfermée Danaé, qui le rendit père de Persée ; il prit la figure d’un taureau,
à la nage toute la Méditerranée, et arriva en Egypte, ou Jupiter lui rendit sa première forme. Ce fut là qu’elle mit au monde
beauté à celle de Junon. La déesse, indignée de ce téméraire orgueil, rendit les Prœtides si furieuses, qu’elles s’imaginèrent
la statue, qu’elle brisa. Cette aventure la couvrit de honte, sans la rendre plus sage. D. Jupiter et Junon eurent-ils des enf
ressa alors à Jupiter, père de Proserpine, et le conjura de lui faire rendre sa fille. Jupiter y consentit, pourvu qu’elle n’e
i consacroient le mois de février, pendant lequel ils tâchoient de se rendre le dieu favorable pour l’époque prochaine de la n
e foudre, précipita Ixion dans les enfers. D. Titye ne s’étoit-il pas rendu coupable d’un pareil crime envers Latone ? R. Ou
ès, qui vomissoit feu et flammes, et que Minerve tua. La déesse, pour rendre son bouclier plus effroyable, y attacha la tête d
référence à Vulcain, pour le récompenser des services qu’il lui avoit rendus en forgeant des foudres contre les géants. Ainsi,
e la persécuta si cruellement qu’elle la fit mourir. Mais Jupiter lui rendit la vie, et lui donna l’immortalité, en faveur de
ontre le rivage l’île de Délos, qui étoit flottante, et qui fut alors rendue stable. Latone s’y réfugia, et y mit au monde Apo
ouvrir de sa peau le trépied sur lequel s’asseyoit la pythonisse pour rendre ses oracles. En mémoire de cet événement, on inst
du centaure Chiron l’art de la médecine. Il y devint si habile, qu’il rendit la vie à Hippolyte, fils de Thésée, que des monst
sta fidelle à Procris. L’Aurore, après l’avoir inutilement retenu, le rendit à son épouse. Céphale résolut d’éprouver la fidél
r apprendre de sa propre bouche la vérité de sa naissance. Phaéton se rendit donc au palais du Soleil. Ovide nous a laissé une
s lèvres le vin ruisselle en or fluide : Détrompé d’un bonheur qui le rend malheureux, Il maudit sa richesse, et condamne se
: ô Bacchus ! pardonne un vœu coupable ; Délivre-moi d’un bien qui me rend misérable. ( Ovide, trad. de Saintange.) Bacchus
mœurs. Terpsichore, avec art règle ses pas agiles ; A la danse elle rend ses élèves habiles. Euterpe, présidant aux leçon
a naissance d’Alexandre. Érostrate y mit le feu, dans la seule vue de rendre son nom célèbre. Les Éphésiens défendirent par un
a flûte et ma voix ; Que le lait le plus pur écume entre mes doigts ; Rends mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes ; P
le lait le plus pur écume entre mes doigts ; Rends mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes ; Puissent de frais gazons,
s qui courent l’univers. Ce palais merveilleux, bâti d’airain sonore, Rend le son, le répète, et le répète encore. La voix r
de Pallas, et consentit même à donner de son lait à l’enfant, pour le rendre immortel. Hercule aspira si fortement le lait de
en conçut tant de regret, qu’elle se tua elle-même. D. Quels honneurs rendit -on à Hercule après sa mort ? R. Philoctète recue
engeance est vaine,             Si ta voix souveraine          Ne lui rend des jours plus heureux.          O mon père ! éco
demanda à Pluton. Le dieu des enfers, touché des sons de sa lyre, lui rendit son épouse, à condition qu’il l’emmèneroit derriè
arfum l’essence précieuse : Cette pure ambroisie embaume ses cheveux, Rend son corps plus agile et ses bras plus nerveux. Au
c lui ; mais bientôt il oublia le service important qu’elle lui avoit rendu , et la délaissa dans l’île de Naxos. Bacchus vint
ndît la cire qui attachoit ses ailes, ou que les vapeurs de la mer ne rendissent les plumes trop humides. Dédale cependant qu’un
aintive, » Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive ; » Qu’il lui rende … » A ce mot, ce héros expiré N’a laissé dans mes
ps après, les Athéniens, pour réparer leur ingratitude envers Thésée, rendirent des honneurs à ses cendres, et lui élevèrent des
nsuite il envia les trésors de son gendre, et le fit mourir pour s’en rendre maître : Jason, et un grand nombre de princes de
e une autre cour, un roi dont la naissance, Pour m’attacher à lui, me rend avec éclat, Tout ce que je perdis en suivant un i
it fils de Jupiter et d’Antiope, femme de Lycus, roi de Thèbes. Il se rendit habile dans la musique, et Mercure, dont il fut l
sur son dos, et le porta jusqu’au cap Ténare, en Laconie, d’où il se rendit à Corinthe. Périandre fut ravi de le revoir ; il
s parents de ces jeunes amants. Pyrame et Thisbé se donnèrent un jour rendez -vous hors des murs de Babylone, sous un mûrier bl
Elle sortit alors avec plusieurs dames habillées en bacchantes, et se rendit à la prison de sa sœur qu’elle délivra. La vue de
ux mains sans se connoître, et Laïus fut tué. D. Dans quelle ville se rendit Œdipe, après avoir tué Laïus ? R. Il alla à Thèb
ncor ses desirs, Et retarde le cours de ses derniers soupirs. Près de rendre la vie, il en cache le reste, Et sa mort au vainq
é des étrangers contre sa patrie. Mais Antigone revint à Thèbes, pour rendre les derniers devoirs à son frère. Créon, instruit
is, fils de Priam, fut envoyé par son père, à Salamine, pour se faire rendre Hésione, fille de Laomédon. Cette princesse avoit
Mais l’événement trompa son attente. Les princes grecs refusèrent de rendre Hésione ; et, ayant fait entr’eux une ligue puiss
ertains événements qui devoient être accomplis avant que les Grecs se rendirent maîtres de cette ville. On compte six fatalités d
à ne jamais révéler le lieu de la sépulture du héros auquel il avoit rendu les derniers devoirs. 3°. Il falloit enlever le p
assurer sa victoire, Cassandre, qu’Apollon nous défendoit de croire, Rend des oracles vains que l’on écoute pas ; Et nous,
ouvre enfin la barrière. Dans l’ombre de la nuit la machine guerrière Rend cet affreux dépôt ; et de son vaste sein S’échapp
ent instruites du sacrifice qui se prépare, il presse Iphigénie de se rendre à l’autel, sous prétexte de l’unir à Achille. Mai
e tête innocente ; Et, respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m’avez donné. Si pourtant c
leurs prouver votre tendresse ? Où sont-ils ces combats que vous avez rendus  ? Quels flots de sang pour elle, avez-vous répand
upable moitié dont il est trop épris. Mais vous, quelles fureurs vous rendent sa victime ? Pourquoi vous imposer la peine de so
urrit que de moëlle de lion. Sa mère le plongea dans le Styx, pour le rendre invulnérable. Mais le talon par où elle le tenoit
fut-il amené au siége de Troie ? R. Ulysse, déguisé en marchand, se rendit à la cour de Lycomède. Il avoit mêlé des armes pa
s déclara que la contagion ne cesseroit que quand Chryséis auroit été rendue à son père. Achille pressa vivement Agamemnon de
recs du terrible fléau qui depeuploit leur camp. Le roi de Mycènes ne rendit Chryséis que malgré lui, et, pour se venger d’Ach
Priam vint redemander le corps de son fils à son vainqueur, pour lui rendre les honneurs de la sépulture. Achille se laissa f
hille se laissa fléchir par les larmes dès ce malheureux père, et lui rendit le cadavre d’Hector. Priam aux pieds d’Achille.
Racine.) Oreste. Madame, c’en est fait, et vous êtes servie : Pyrrhus rend à l’autel son infidelle vie. Hermione. Il est mor
ut votre sang se soulevât pour lui ? Mais parle : de son sort qui t’a rendu l’arbitre ? Pourquoi l’assassiner ? qu’a-t’il fai
sépulture. Les Grecs, instruits par l’oracle, qu’ils ne pouvoient se rendre maîtres de Troie, s’ils n’avoient en leur possess
it aux artifices : il soupire : il avoue son projet à Philoctète, lui rend ses armes, et le laisse libre. Ulysse, quoique en
ils tendent ; Ils m’ont fait touts ces maux : que les dieux les leur rendent  ! Ulysse. D. Qui étoit Ulysse ? R. Ulysse
oir par là que sa folie n’étoit que simulée. D. Quels services Ulysse rendit -il aux princes grecs ? R. Il découvrit, à son to
r paisible possesseur des trésors que Priam lui avoit livrés pour les rendre à son fils. Hécube, qui étoit échue en partage à
d nombre des siens. Il ne lui resta qu’un vaisseau, avec lequel il se rendit dans l’île d’Œa, chez Circé. D. Faites connoître
fit de ses talents fut sur le roi des Sarmates, son mari. Ce crime la rendit si odieuse à ses sujets, qu’ils la forcèrent à pr
te à plaire à Ulysse, et le retint pendant un an, auprès d’elle. Elle rendit à ses compagnon leur première forme. Elle procura
ils d’Oïlée, roi des Locriens. Il étoit renommé pour sa valeur, et il rendit de grands services pendant le siége. Mais, à la p
ombattit contre les Centaures, Il étoit déjà fort vieux, lorsqu’il se rendit au siége de Troie, Il fut très-utile aux Grecs pa
s malheureux si voisins du naufrage, » Dieu puissant, m’écriai-je, et rends -nous au rivage ! » Le premier des sujets rencontr
r son roi, » A Neptune immolé satisfera pour moi. » Mon sacrilége vœu rendit le calme à l’onde ; Mais rien ne put le rendre à
i. » Mon sacrilége vœu rendit le calme à l’onde ; Mais rien ne put le rendre à ma douleur profonde ; Et, l’effroi succédant à
refit une lettre de Priam, qui le remercioit d’un service qu’il avoit rendit aux Troyens, et lui annonçoit l’envoi de la somme
oble courroux, » Ne vit pas sans pitié Priam à ses genoux, » Et, pour rendre au tombeau des dépouilles si-chères, » Il me renv
à votre époux c’est être assez fidelle : Trop de vertu pourroit vous rendre criminelle. Lui-même il porteroit votre ame à la
ouvient plus qu’Achille étoit son père Qui dément ses exploits et les rend superflus ? Andromaque. Dois-je les oublier, s’il
uneste, D’une infidelle vie abrégera le reste ; Et, sauvant ma vertu, rendra ce que je dois A Pyrrhus, à mon fils, à mon époux
riam, son père ? R. Priam fit célébrer des jeux à sa cour. Pâris s’y rendit , combattit contre ses frères, et les vainquit. He
tride cependant la flotte a disparu, Ilion, à la paix tu crus ton sol rendu  ! Vers des bords étrangers ces voiles fugitives,
s, de sa main qu’anime un noble effort, Un trait part… Mais quel dieu rend ce trait inutile ? Il tombe, et meurt aux pieds d
r la combattre, hélas ! tu n’as que ton amour : Ton trépas à tes fils rendra-t -il donc le jour ?… Tu tombes ! et vers Troie, à t
-nous les beaux vers dans lesquels le traducteur de Virgile a si bien rendu les fureurs de Didon après le départ d’Énée, et l
ui plaisante ; c’est un témoin présent à l’action, et qui veut vous y rendre présent vous-même : son érudition, son éloquence,
de votre père, et suivez-les, afin que vous soyez sauvés : car Dieu a rendu le père vénérable aux enfants, et il a affermi su
les parents perdent toute espèce d’autorité sur leurs enfants, et se rendent ainsi eux-mêmes incapables de les bien élever. Fi
l’autre ; ne les portant à céder pour le moment que de manière à les rendre bien plus opiniâtres et plus volontaires par la s
en écrivant. Au moins accoutumez-les à faire leurs lignes droites, à rendre leur caractère net et lisible. » Ajoutons à ces
doucement la meilleure manière de faire une narration, qui est de la rendre courte., simple et naïve, par le choix des circon
ie dégrade l’homme, lui fait perdre l’estime de ses semblables, et le rend le fléau de la société. Le fourbe prend touts les
uire ; Faites, si vous pouvez, votre cour sans vous nuire : Le mal se rend chez vous au quadruple du bien. Les daubeurs ont
ée ; Et boquillons de perdre leur outil, Et de crier pour se le faire rendre . Le roi des dieux ne sait auquel entendre. Son fi
d bruit que l’oiseau prend la fuite. Par la foible Fourmi, ce service rendu            A la Colombe bienfaisante,            
noissance !            Et que peu de gens en font voir ! D’un service rendu la flatteuse espérance, Fait porter à l’excès les
ce, Fait porter à l’excès les soins, la complaisance : A peine est-il rendu , qu’on cesse d’en avoir. De qui nous a servis, la
doit servir à la régler ; qu’il y a telle bizarrerie, qui ne peut que rendre une mode souverainement ridicule ; que, pour paro
talents. L’espoir de parvenir aux dignités suprêmes                  Rend esclave de la faveur ; Rien d’un ambitieux ne reb
vec, n’ayant d’autre déduit,         Que d’y ruminer jour et nuit, Et rendre sa chevance à lui-même sacrée. Qu’il allât ou qu’
era ; Mais Dieu, qui voit tout, le verra ; Je le prîrai qu’il vous la rende . L’homme bienfaisant doit répandre ses grâces da
elles deviennent odieuses et insupportables, elle les dénature et les rend hideuses. Si les femmes savoient combien les empo
8 (1823) Mythologie des dames
duisit dans l’île de Crète, où ayant repris sa forme naturelle, il la rendit mère de Minos, de Sarpédon, et de Rhadamanthe. Eu
. Mercure et Bacchus furent aussi favorisés de Vénus : le premier la rendit mère d’Hermaphrodite, et le second de Priape, qui
s et derniers efforts d’une imparfaite joie, Moments pour qui le Sort rend leurs vœux superflus Délicieux moments, vous ne r
victimes humaines sur le tombeau d’Adonis, et que le culte qu’on lui rendait ressemblait à celui du génie du mal. La douleur q
rmirent à Énée d’entrer dans les Enfers, accompagné de la Sibylle qui rendait les oracles d’Apollon à Cumes. Il vit les tourmen
charme tout-puissant à une ceinture mystérieuse qui avait la vertu de rendre aimable celle qui la portait, et de faire naître
et Euphrosine. Ces déesses présidaient aux libéralités, aux services rendus par l’amitié, à tous les bienfaits ; et c’est à c
nt ses autels ; et sa modestie ne put empêcher que les mortels ne lui rendissent un culte semblable à celui de la reine de Cythère
cité. Au moyen du sang de la Gorgone, que Minerve lui avait donné, il rendit la vie à Capanée, à Lycurgue, roi de Mémée, à Éri
eux. « Bientôt Apollon montra à tous ces bergers les arts qui peuvent rendre la vie agréable. Il chantait les fleurs dont le P
uditeurs surpris, En tumulte au berger accordèrent le prix ; Et, pour rendre sa gloire encore plus complète, Pan lui-même tout
e celles des autres hommes, les allongea, les couvrit de poil, et les rendit parfaitement semblables à celles de l’âne. Midas
l’insensible Daphné : Phaéton fut le fruit de cet amour. Sa beauté le rendit cher à Vénus. Fier de ses avantages, il fut indig
pandait ses premiers rayons, l’enleva pour en faire son époux ; il la rendit mère de Memnon et d’Émathion. Memnon fut roi d’Ét
dit mère de Memnon et d’Émathion. Memnon fut roi d’Éthiopie : s’étant rendu au siège de Troie, il y périt de la main d’Achill
es sons articulés au lever de l’Aurore, et qui le soir, dans l’ombre, rendait des sons lugubres. Tithon obtint de Jupiter l’imm
tième entretien. Diane. La compagnie était arrivée dans le lieu du rendez -vous un peu plus tard que les jours précédents. O
ut chargé de fonctions plus importantes. Le maître des dieux, pour le rendre plus agile, lui donna un bonnet ailé, nommé pétus
e pouvoir de faire des miracles, de changer de forme à son gré, et de rendre les hommes invisibles. Toutes ses attributions le
n gré, et de rendre les hommes invisibles. Toutes ses attributions le rendirent propre à exercer tour-à-tour avec succès l’emploi
ventures galantes. Nous avons vu qu’il fut aimé de Vénus, et qu’il la rendit mère d’Hermaphrodite, mot qui renfermé le nom de
é la vie des hommes, et en les dirigeant dans leurs actions, elle les rendait capables de résister aux plus grands périls. C’es
une fontaine du mont Ida, elle reconnut qu’en effet cet instrument la rendait difforme, et elle le donna au satyre Marsyas. On
hanger en serpents, elle semble dire : « J’ai perdu la beauté qui me rendit si vaine           « Je n’ai plus ces cheveux si
las, la barbare Pallas,           « Fut jalouse de mes appas, « Et me rendit affreuse autant que j’étais belle. « Mais l’excès
l’effroi23. » Persée. Persée, fils de Jupiter et de Danaé, se rendit en Libye pour combattre Méduse, la seule des Gorg
t ses talonnières ; Pluton lui prêta son casque qui avait la vertu de rendre invisible celui qui le portait. Persée, armé de l
se distinguèrent sur toutes les autres villes dans le culte qu’elles rendaient à cette déesse. Jupiter, charmé de voir les Rhodi
our furent ses fils. Pour n’être point surpris dans les visites qu’il rendait à la reine de Cythère, ce dieu avait un serviteur
ge de Bacchus pendant les Orgies, Jupiter, à la prière de ce dieu, le rendit aveugle. Les filles de Minée, après avoir travail
ait beaucoup souffert pendant le courroux de Cérès ; cette déesse s’y rendit , et séjourna à Éleusis, où elle instruisit Tripto
consacré à Vénus, les jeunes Romaines, sur le point de se marier, se rendaient dans le temple de la Fortune, et qu’après avoir b
ûte et ma voix ; « Que le lait le plus pur écume entre mes doigts ; «  Rends mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes : «
lait le plus pur écume entre mes doigts ; « Rends mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes : « Puissent de frais gazons
présentée portée sur un brancard par quatre femmes. Le culte que l’on rendait à cette déesse variait dans les différents pays.
e sont empressés de donner le nom de la déesse des moissons : ils ont rendu les mêmes honneurs à Minerve, et sa planète est a
s arts mécaniques, et principalement de ceux qui emploient les métaux rendus malléables par le feu. Vulcain. On dit que J
ue, il fut précipité sur la terre, et se rompit la cuisse ; ce qui le rendit boiteux pour toujours. Il tomba dans l’île de Lem
de Vulcain, devenir l’objet du culte des anciens peuples. Les Romains rendaient un culte à ce même élément, sous les attributs de
ux qu’il allait lui prescrire. Ayant d’abord refusé d’obéir, Junon le rendit insensible et furieux ; mais cédant au Destin, il
averne près de laquelle s’élevait un temple d’Apollon, où une sibylle rendait des oracles. La prêtresse d’Apollon annonça à Éné
ls naquirent avec une longue crinière, un visage de fille que la Faim rendait toujours pâle, de grandes ailes, et des mains arm
re les Géants, les Cyclopes forgèrent un casque qui avait la vertu de rendre invisible celui qui le portait, et ils en firent
pleins de larmes. Le maître des dieux décida que sa fille lui serait rendue , pourvu toutefois qu’elle n’eût rien mangé depuis
r d’enfants mâles, dévora Neptune le jour même de sa naissance, et le rendit , quelque temps après, par le moyen d’un breuvage
our époux. Neptune, en récompense du service que le Dauphin lui avait rendu , le plaça parmi les astres, où il forme la conste
e son nom. Amphitrite partagea l’empire des eaux avec son mari. Il la rendit mère de Triton, un des dieux marins, et de Rhode,
ied à l’homme et lui donne son prix, « L’œil que je porte au front me rend -il si difforme ? « C’est l’orbe étincelant d’un b
er, près de la ville du même nom, en Épire : là, les chênes eux-mêmes rendaient des oracles célèbres. On voyait dans ce bois une
oré en Arcadie ; il avait un temple sur le mont Lycée, dans lequel il rendait des oracles. Les Arcadiens célébraient en son hon
il courut auprès de la magicienne, et la força, l’épée à la main, de rendre à ses compagnons leur première forme. Circé vit b
ironnent ? Éloignez-vous de moi ; et que, dès aujourd’hui, Achille se rende maître de Troie.” « Il parle ainsi à demi consumé
t de ce prince. On assure que la fontaine de Salmacis, dans la Carie, rendait efféminés et amoureux tous ceux qui buvaient de s
e craint, on l’abhorre… L’onde du Lyncestis, contraire en ses effets, Rend ivre l’imprudent qui la boit à longs traits : Com
onstant et plus heureux. Il se déguisa de toutes les manières pour la rendre sensible et pour la déterminer à l’épouser : il p
it aussi sous les berceaux verdoyants et fleuris des jardins que l’on rendait un culte aux Saisons, divinités aimables qui prés
le, donné à la pièce d’entrée d’une maison, vient du culte que l’on y rendait à Vesta. Lorsqu’on pénétrait dans les appartement
les prémices des fruits : le pêcher lui était spécialement consacré. Rendre quelqu’un harpocrate, signifiait, chez les Romain
consacré. Rendre quelqu’un harpocrate, signifiait, chez les Romains, rendre muet. Enfin, si de la demeure des hommes on pénét
9 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
r un Oracle de se tenir en garde contre un fils de Jupiter, refusa de rendre au héros les devoirs sacrés de l’hospitalité, aus
e hâte de délivrer Andromède, il la conduit en triomphe au palais, la rend à ses parens, la demande pour épouse, l’obtient ;
re combien ce héros étoit redoutable, mais l’envie ne raisonne pas et rend aveugle. Persée changea en pierres Phinée et ses
ce jeune héros. Cependant Persée se rappelant ses premiers bienfaits rendit de grands honneurs à sa mémoire. Dans les jeux fu
son épouse, Cassiope et Céphée. Les peuples de Mycènes et d’Argos lui rendirent les honneurs divins, ainsi que ceux de l’île de S
fosse au pied de quelques arbres. Sa chienne Méra, que sa fidélité a rendue célèbre, resta errante dans les champs, mais elle
à sa noire destinée, devint parricide en tuant Laïus. Delà, Œdipe se rendit à Thèbes où il trouva la Cour et la ville dans la
terminer sa déplorable existence à Colonne voulut y retourner. Il s’y rendit seul avec Thésée. Après avoir marché quelque temp
es vers sa tombe… Arrivé près d’un précipice il s’en détourne pour se rendre auprès d’une fontaine dont le murmure règle sa ma
, brave tous les périls, et va chercher le corps de Polynice pour lui rendre les derniers devoirs. Le barbare Créon qui comman
e lui dit de se laisser guider par Vénus ; en sortant du temple il se rendit sur le bord de la mer et là, il immola à sa Déess
Ils ont donné une touchante sensibilité aux héroïnes qu’ils ont voulu rendre intéressantes, Pénélope, Andromaque, Iphigénie, A
 ; quoiqu’elle n’eût que dix ans, il l’enleva, mais on le força de la rendre . Ce héros si fameux eut des mœurs infâmes. Il enl
et par un sanglier. Apollon, reconnoissant des services que lui avoit rendus Admète, lui enseigna l’art de réduire sous un mêm
ice de cette abominable action la redemanda, mais Admète refusa de la rendre . Acaste assiégea Admète dans son palais, s’en emp
ême se remettre volontairement entre les mains d’Acaste, qui aussitôt rendit la liberté à Admète. Ce dernier, désespéré, craig
de chez Diomède, attaqua Acaste, le vainquit, délivra Alceste, qu’il rendit à Admète qui l’épousa. On dit encore que lorsque
ls de ses triples bouches sur les herbes de cette contrée, ce qui les rendit si vénéneuses et si propres aux opérations les pl
Podarcès en celui de Priam du mot grec priamaï, j’achète, Hercule lui rendit le royaume de son père. Hésione eut de Télamon, u
ire se poignarda. Hercule consulta l’Oracle, qui lui prescrivit de se rendre avec ses amis sur le mont Œta et d’y élever un bû
d’Athènes, accompagna Hercule dans cette expédition. Ces guerriers se rendirent à Thémiscyre, la Reine Antiope refusant de donner
en eut le chaste Hypolite. Une autre sœur de la Reine des Amazones se rendit dans l’Attique avec une armée pour délivrer sa sœ
is il indiqua avec le pied, le lieu où il avoit inhumé Hercule. Il se rendit à Troye avec les Grecs, et durant le voyage, une
et surtout celui de haïr. Pluton attendri pour la première fois, lui rendit Euridice à condition qu’il ne la regarderoit que
ard de cette Princesse qu’elle avoit toujours persécutée. Junon, pour rendre à jamais ces Thébaines incapables d’éprouver une
de le venger de Pélias ; ce qu’elle fit par un crime atroce. Elle se rendit à Iolcos, sous les traits d’une vieille magicienn
e la beauté sur Vénus même qui le lui disputa. Ce fut le Dieu Pan qui rendit ce jugement, en punition de cette décision, l’Amo
ie, et de Thétis : on dit que sa mère le plongea dans le Styx pour le rendre invulnérable, tout son corps le devint excepté le
la terreur des ennemis. Pendant le siége, Agamemnon fut contraint de rendre sa captive Chriséis à Chrisès, père de cette jeun
Achille vouloit priver de la sépulture le corps d’Hector, mais il le rendit aux prières et aux larmes de Priam. Ensuite il pr
toit inconnu. Priam voulut le voir, le questionna, le reconnut et lui rendit son rang. Il l’envoya en qualité d’ambassadeur à
pour Enée, et lorsque ce héros la quitta, elle se poignarda. Enée se rendit en Italie, y fut bien reçu par le Roi Latinus, et
ravisseur et se fit nommer chef de l’expédition contre Troye. Il s’y rendit avec cent vaisseaux. Mais pendant que les Grecs s
ve appelée Briséis qu’il lui avoit enlevée et qu’il fut obligé de lui rendre lors de la prise de Troie. Cassandre, dont il éto
ur l’autre, cette amitié héroïque et touchante qui, par la suite, les rendit plus célèbres que leurs exploits. Cependant l’exi
épandit ; Egisthe et Clytemnestre en conçurent tant de joie qu’ils se rendirent au temple d’Apollon pour en remercier les Dieux ;
autre tragédie de cet admirable poëte, Oreste tourmenté des furies se rend à Athènes, Minerve établit l’aréopage pour le jug
tresse d’un temple de Diane. Oreste obéit, et, suivi de Pylade, il se rendit dans cette contrée barbare où l’on immoloit tous
eptune. Ajax s’étoit fait une grande réputation par son courage et il rendit beaucoup de services pendant le siége de Troye. I
roye. Il y eut un autre Ajax fils de Télamon et de Péribée, qui ne se rendit pas moins célèbre que le premier. Celui-ci, tout
ne s’y montre point dans son caractère ; elle propose à Ulysse de le rendre invisible, pour lui faire entendre Ajax en démenc
tans d’Ithaque l’envoyèrent en Messénie pour engager les Messéniens à rendre trois cents brebis qu’ils avoient enlevés ; ce fu
nfaisante nommée Moly ; la passion de Circé pour lui, qui la décida à rendre à ses compagnons leur première forme, et à lui co
ets le chassèrent. Il alla fonder un nouvel empire dans la Calabre et rendit son nouveau peuple heureux. Mycile. C’étoi
enommée. Fille de la Terre et messagère de Jupiter. Les Grecs lui rendirent les honneurs divins, elle eut à Athènes un autel
xime de La Rochefoucault : « L’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu ». L’Impiété et l’Injustice. F
us les traits odieux de la licence. Loin que ses symboles puissent la rendre respectable, ils la déshonorent56, soit qu’on n’a
e d’Echo et de Pan. Junon croyant que par ses enchantemens elle avoit rendu Jupiter amoureux d’Io, la changea en oiseau qui c
9e. 22. Iliade, chant 12e. 23. En récompense Castor et Pollux lui rendirent beaucoup d’honneurs et après sa mort les Lacédémo
Il est impossible de traduire littérallement ces beaux vers, et d’en rendre en français les expressions frappantes. Mais en v
10 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
escrit l’étude dans toutes les écoles du royaume de France. Mais pour rendre cette étude convenable à tous les âges, il a fall
pas même sentir la nécessité d’une première cause. Il faut cependant rendre aux Égyptiens la justice de dire qu’en étudiant l
e. Lucien dit formellement que les Égyptiens furent les premiers qui rendirent un culte solennel aux dieux . Hérodote, au commen
e, c’est-à-dire astre vivant, parce qu’il avait porté les Égyptiens à rendre aux astres un culte religieux ; mais cette assert
tous les autres astres, vous ne tombiez dans l’erreur, et que vous ne rendiez un culte d’adoration à des créatures que le Seign
coupé ; celle de Samos une simple planche. Mais l’invention des arts rendit rapides les progrès de l’idolâtrie. Des statues b
dée bien nette de ces derniers, on craignait leur influence ; on leur rendait un culte pour les apaiser quand on les croyait ir
sée, Jason, Orphée, Castor et Pollux (noms que leur amitié mutuelle a rendus inséparables), ce fut alors que brillèrent tous l
il fut même obligé de se retirer dans l’Illyrie ; mais, s’étant enfin rendu maître du pays, il y établit sa religion. Il est
prétendue pierre devint par la suite un objet de vénération : on lui rendit même quelquefois les honneurs divins, et on la no
jusqu’au temps où Jupiter, devenu grand, combattit pour eux, et leur rendit la liberté. Jupiter, avant de délivrer son père,
Idea, Berrescynthya. Ils viennent de différentes montagnes où on lui rendait un culte particulier. On l’appelait aussi Ops et
us les fruits. Enfin, ses temples étaient d’une forme ronde, pour les rendre conformes à la rondeur de la terre. Les fêtes de
marche. Les Romains se distinguèrent extrêmement par le culte qu’ils rendaient à la mère des dieux. On donne souvent à Cybèle le
de Jupiter, la manière dont on le représentait, et le culte qu’on lui rendait . En donnant cette étendue à son histoire, nous fa
conseilla de faire prendre à son père Saturne un breuvage qui lui fit rendre la pierre Abdir, et aussitôt tous les enfans que
tié serpent. Mercure et Pan ayant surpris la vigilance de ce gardien, rendirent à Jupiter ses mains et ses jambes, c’est-à-dire s
ù il bâtit une seconde ville du même nom d’Acmonie : et, après s’être rendu maître de la Phénicie et de la Syrie, il mourut p
: celui-ci resta toujours soumis. Saturne, délivré par sa mère Titée, rendit la liberté à ses frères, qui, s’étant à leur tour
e et le souvenir de sa propre conduite envers son père Uranus l’ayant rendu soupçonneux, il consulta l’oracle, qui lui répond
le nous apprend qu’Atlas gouvernait les frontières d’Afrique ; il s’y rendit si célèbre, qu’il donna son nom à la chaîne de mo
Après la mort de Pluton, le gouvernement fut donné à Mercure, qui s’y rendit très-célèbre, et devint la principale divinité de
Titans par la mer. Ce frère de Jupiter commandait ses flottes ; il se rendit maître des ports de l’Espagne, et ferma tous les
la d’abord qu’un immense marais, et pendant long-temps ses vapeurs le rendirent inhabitable ; mais, lorsque le temps et les trava
colère. Des métamorphoses de Jupiter. Il serait impossible de rendre un compte exact de toutes les métamorphoses de Ju
tion de cette fable ; ils disent que Lycaon, fanatique et cruel, crut rendre plus d’honneur à Jupiter en lui sacrifiant un enf
lui enleva une de ses cornes. Achéloüs ne put obtenir qu’elle lui fût rendue qu’en cédant à son vainqueur la corne d’abondance
a dans les fables des dieux, des demi-dieux et des héros. Du culte rendu à Jupiter. On ne peut pas douter que le plus
er. On ne peut pas douter que le plus solennel de tous les cultes rendus aux dieux du paganisme était celui que l’on renda
de tous les cultes rendus aux dieux du paganisme était celui que l’on rendait à Jupiter. Il était aussi le plus varié, puisque
de l’égaler en formant des statues avec de l’argile. Il parvint à les rendre si parfaites, qu’elles paraissaient presque animé
, un vautour lui rongeait le foie, qui renaissait sans cesse ; ce qui rendait son supplice éternel. (Fig. 7.) Les autres dieux,
t un maillet, preuve certaine qu’il s’agit de l’art des statues. Pour rendre le sens des fables des poëtes, on a placé Minerve
rs jambes en les sculptant. Prométhée fut du nombre des Titans qui se rendirent redoutables à Jupiter. Forcé de fuir devant ce ro
rs dans la Grèce. Après sa mort, on lui accorda les honneurs que l’on rendait aux demi-dieux et aux héros. Quelques historiens
acrent une partie de leur vie à l’accroissement des sciences, et à se rendre vraiment utiles aux hommes. L’histoire n’a rien c
tous les ans on y rappelait la cérémonie de ce mariage. Jupiter, pour rendre ses noces plus solennelles, chargea Mercure d’y i
ère forme. Elle eut un fils nommé Épaphus. Le culte que les Égyptiens rendaient à la déesse Iris, sous la forme d’une vache, a sû
evoir placer celle d’Hymen. Ce fut pour consacrer son souvenir et lui rendre un culte, que les Grecs donnèrent le nom d’hyméné
rait aux enfers redemander sa fille, et que Pluton serait forcé de la rendre , pourvu qu’elle restât sans boire et sans manger
courut à leur secours, vainquit facilement ces lâches ravisseurs, et rendit les Atlantides à leur père Atlas, qui, par reconn
Un jour elle enleva Tithon, fils de Laomédon, et pria les dieux de le rendre immortel. Ils cédèrent à sa demande ; mais elle n
ipitait Tithon vers la vieillesse. Les dégoûts qui l’accompagnent lui rendirent la vie insupportable ; il implora de nouveau le c
Délos. Neptune, par pitié pour Latone, fit surnager cette île, et la rendit stable. Ce fut là qu’elle mit au monde Apollon et
acus, à cause du promontoire d’Actium, si célèbre par la victoire qui rendit Auguste maître de Rome et du monde ; Palatinas, p
luence du soleil et de la lune. La fière Niobé, piquée de ce que l’on rendait à Latone un culte religieux, tandis qu’on la déla
rier devant sa maison, dans l’espoir que le dieu épargnerait ceux qui rendaient cet honneur à la nymphe Daphné qu’il avait aimée,
arbe. Il avait presque autant de noms qu’il y avait de pays où on lui rendait un culte. Nous avons cité les principaux, mais no
statues qui paraîtraient les plus parfaites. L’habileté des ouvriers rendit la préférence si difficile à décider, que, pour c
’il lui brisa la tête avec sa lyre. Les oracles d’Apollon servirent à rendre très-fameuses plusieurs villes et plusieurs contr
nait à s’éclipser, ils assuraient qu’elle venait sur la terre, et s’y rendait à leurs ordres. Diane naquit avec son frère Apoll
nce d’Alexandre-le-Grand. Érostrate, coupable de cet incendie, voulut rendre son nom immortel en commettant un crime que l’on
du pays supposèrent qu’une divinité favorable, ou la Terre elle-même, rendait ses oracles par cette ouverture, et donnait à ceu
le magnifique environna ce sanctuaire, et l’affluence de ceux qui s’y rendaient multiplia tellement les habitations, qu’elles ser
histoire et la fable du Bacchus égyptien. En effet, le culte que l’on rendait à ce dieu et celui que l’on rendait à Osiris se r
tien. En effet, le culte que l’on rendait à ce dieu et celui que l’on rendait à Osiris se ressemblaient parfaitement. Ce rappro
es et d’enfans, fut obligée d’errer long-temps dans le désert pour se rendre dans la Palestine, qui tenait, ainsi que les Inde
bles de la loi sur le mont Sinaï. La transposition d’une seule lettre rend les deux noms absolument semblables. Bacchus armé
On les confondit ensemble par la suite ; et, pour honorer Cadmus, on rendit à son petit-fils les mêmes honneurs qu’au Bacchus
lage, que l’excès du vin inspire la fureur, fait perdre la raison, et rend souvent cruel. Dans les sacrifices offerts à Bacc
production de Jupiter ; mais long-temps avant eux, les Égyptiens lui rendaient un culte. Parmi cinq déesses de ce nom, que Cicér
tans de l’île de Rhodes se distinguèrent beaucoup par le culte qu’ils rendirent d’abord à Minerve ; mais ils le négligèrent après
e son siècle, l’orna d’une statue d’or et d’ivoire ; son génie sut la rendre digne de la déesse qu’elle représentait. Les Athé
tristés et jaloux de Junon sont l’hommage le plus vrai qu’elle puisse rendre à la beauté de sa rivale. Près d’elle on voit Pal
. Cependant les Lacédémoniens lui disputaient l’honneur de leur avoir rendu le premier hommage, et l’attribuaient à Lacédémon
son rival en lui lançant un rocher. La triste Galatée, ne pouvant le rendre au jour, le métamorphosa en fleuve ; il coule dan
onnait seul le mouvement et la vie à tout ce qui respire. Les Indiens rendaient au Gange les honneurs divins. Cette superstition
issance de ce qu’il leur avait appris à dompter ces animaux, et à les rendre utiles, Des Tritons et des Sirènes. Le pre
igieuse des animaux marins, a suffi pour accréditer ces fables et les rendre innombrables. On doit avoir la même opinion des S
vait le talent de plonger et de rester long-temps sous l’eau. Pour se rendre plus recommandable, il se vantait d’être reçu par
noms prouvent qu’ils ne devaient leur origine et le culte qu’on leur rendait qu’au besoin que les hommes avaient de leur secou
r les propriétés. Les deux possesseurs de terres qui se touchaient se rendaient , chacun de leur côté, près de la borne qui sépara
es Romains honorèrent une seconde Flore, et lui attribuèrent le culte rendu à la première, qui n’était probablement qu’un per
. Pan ayant observé que le vent, en agitant ces roseaux, leur faisait rendre des sons mélodieux, en coupa quelques-uns, et en
vestirent l’histoire. Nous allons la débarrasser de son voile, et lui rendre sa simplicité. Midas était roi du pays où coule l
l’honora comme demi-dieu ; son culte était indépendant de celui qu’on rendait à Bacchus. De Faunus et de Sylvanus. Faunu
pêtres, et on le représenta sous la forme de Satyre. On croyait qu’il rendait des oracles ; mais cette fable tient à l’étymolog
de toutes parts. Trois enceintes de murailles et des portes d’airain rendent encore ces lieux plus inaccessibles. Tysiphone, l
t dans l’île d’Ænone ; sa seconde femme, fille du centaure-Chiron, le rendit père de Télamon et de Pélée. Sa première femme ét
l’endormit au son de sa lyre, lorsqu’il alla demander à Pluton de lui rendre Eurydice. Lorsqu’Hercule descendit dans les enfer
ssalie, la vue du jour lui fit vomir son venin sur l’herbe, ce qui la rendit mortelle pour les animaux qui la goûtaient. Cette
. (Fig. 47.) On l’accusait d’avoir essayé de tromper Pluton, et de se rendre immortel, en retournant sur la terre. On trouve d
lle en avertit Lyncée, qui s’enfuit à Lyrce, près d’Argos, et elle se rendit à Larisse. En arrivant dans ces deux villes, ils
Cité de Dieu, par saint Augustin, quelques traces du culte qu’on lui rendait . Scipion, le destructeur de Numance, fut le premi
es, et leur fut extrêmement utile. Peu de temps après sa mort, on lui rendit les honneurs divins. On le plaça dans le ciel ; i
ressusciter des morts ; que Pluton se plaignit à Jupiter de ce qu’il rendait son royaume désert, et que ce dieu, pour apaiser
11 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
personnages dont ils firent des dieux. Plus il leur a été possible de rendre obscures ces fables, plus ils ont pris soin de le
autres enfans, les premiers Titans. Un jour donc qu’Uranus allait la rendre mère de nouveau, elle appelle Chrone, autrement d
ant rejailli sur la terre, il put encore cependant la féconder, et la rendre mère d’Erimys, des Géans et des Mélies ; puis, la
ans : Zélos, Bîa, Cratos et Nicée ; puis, Persès uni à Astérie, qu’il rendit mère d’Hécate. De l’union d’Hypérion avec Thîa,
Thaumas, qui se maria à Électre, une des trois mille Océanides, et la rendit mère d’Iris et des Harpyes. Quant à Phorcys et Cé
fourni par une appelée Métis. C’était un violent vomitif qui lui fit rendre les filles et les fils qu’il avait précédemment d
omme une épouse du soleil cédant aux sollicitations de Saturne qui la rend enceinte, en lui déclarant qu’elle n’accouchera d
in. En effet, par leurs travaux, leurs inventions, les secours qu’ils rendaient au peuple comme médecins et ceux qu’ils lui prome
boulangers et les meûniers y prenaient la plus grande part ; pour se rendre la déesse favorable, on priait les vestales de lu
arouches Latins, jeta les fondemens de Saturnie sur le mont Tarpéien, rendit son règne l’Age d’or de l’Italie, puis enfin lais
urs Dieux. Les autres enfans de Saturne étaient : Phtonia, que Sipyle rendit mère d’Olympe et de Tmole, Athénée, à tort Hymnus
rigeait, en leur montrant à vivre de peu, à cultiver la terre et à la rendre fertile. Dès-lors aussi, il institua le commerce,
ace. Il ne fut pas grandement vénéré en Grèce, la Thessalie seule lui rendait les honneurs divins en célébrant les Pétories, fê
ieux sous sa loi. Mais cherchons comment il arriva graduellement à se rendre ainsi le maître de l’empire du monde. Ce Jupiter,
ieux dans leur patrie, avaient un culte fort différent de celui qu’on rendait au personnage que représentait l’ensemble de leur
e Jupiter, on réunissait en un seul plusieurs individus qui s’étaient rendus célèbres. Varron et Eusèbe avancent que ce nombre
Après la mort de Pluton, ce gouvernement fut donné à Mercure, qui s’y rendit tellement célèbre, qu’il devint la grande divinit
intenant suivre en détail. Un oracle, que le ciel et la terre avaient rendu , ayant prédit à Saturne qu’un de ses enfans lui r
trée, attribuée aussi à son mariage avec Hemera ou le Jour. Aurore le rendit père, en outre, d’Hesper, des Astres et des trois
vivant. Tout étant rajusté, ils ressoudent ensemble ces débris, leur rendent le mouvement au moyen d’une étincelle vitale, et
lots, se débarrasse complètement des turbulens qui l’inquiétaient, et rend ainsi la paix au séjour des Dieux. Cependant les
uelle au maître des Dieux, qui ne songeait plus aux services nombreux rendus et reçus pendant les diverses guerres que nous av
hius, Pélasgue et Achœus. Xuthus eut encore Ion et Diomède, que Déion rendit mère d’Astérope, de Céphale et de Dia. Magnès e
fut père d’Admète, de Lycurgue et d’Idomène, qu’Amythaon, son oncle, rendit mère de Bias, d’Eolie et de Mélampe. Bias eut d
ée de son alliance avec Péribée, eut Tydée, dont sa femme Déiphile le rendit père de Diomède. Plus tard il épousa aussi Althée
e croire ; aussi il engage Junon à tout promettre, et, à l’instant du rendez -vous, il remplace sa divine épouse par une nuée q
se prendre. Il ose tout auprès de ce simulacre, et dans son erreur il rend la nuée mère des Centaures, race sur laquelle nou
ée Néphélée ou la nuée. Mais par la suite Ixion s’étant vanté d’avoir rendu la reine sensible à ses vœux, fut chassé de la co
ette contrée ; seulement il fut le premier à lui faire un nom et à la rendre illustre. Homère le représente comme le plus gran
d’Ulysse, lors de son retour du siége de Troie. Partout, au reste, on rendait honneur à Jupiter, et par des jeux analogues, et
ce de son empire ; la nudité supérieure de son corps indique qu’il se rendait visible aux intelligences supérieures de l’univer
pour frères Jupiter, Neptune et Pluton. Après avoir été avalée, puis rendue à la lumière par Saturne, elle fut élevée à Argos
onna à Mercure de faire ses invitations. Tous les Dieux et Déesses se rendirent à cette noce brillante. Une nymphe cependant y ma
. Junon seule obtint pour elle ce caractère indélébile du mariage qui rend cette union publique, légitime et indissoluble. T
plus, et lui donnèrent le caractère boudeur, complément très-propre à rendre tout-à-fait insupportable une femme acariâtre. Un
as, après avoir usurpé le royame d’Olchos sur Eson, son frère utérin, rendit sa propre femme très-malheureuse, la fit même pér
s esclaves qui proposèrent par l’une d’elles, appelée Philotis, de se rendre au camp ennemi en place de leurs maîtresses, ce q
x de la beauté ; les Épidémies chez les Milésiens avaient pour but de rendre la déesse favorable au peuple ; les Fébruales ins
es Grecs les confondirent probablement tous sous un même nom, et leur rendirent honneur en adorant le troisième. Il était si laid
les deux amans, et fait la sottise d’appeler tous les dieux pour les rendre témoins des infidélités de son épouse. Il vainqui
beaux ouvrages, pour remercier Jupiter de la liberté qu’il leur avait rendue  : ainsi dirigés par Vulcain, ils forgèrent les fo
et un bouclier. C'était à Comane, en Cappadoce, et à Rome, qu’on lui rendait le plus d’hommages. Dans cette dernière ville sur
e en lui opposant sa fécondité, elle s’opposa même au culte qu’on lui rendait , en disant qu’elle en était indigne, et voulut re
ue les prêtres desservans des temples se fussent enfin décidés à leur rendre les devoirs funèbres. Du reste, on comprend aisém
les regards du maître des Dieux qui, prenant l’apparence de Diane, la rendit mère d’Arcas. Alors la paubre nymphe encourut la
gendes anciennes assurent qu’un fils d’Apollon appelé Amphithémis, la rendit mère de Caphaurus et de Nasamon. Après Endymion,
ou du fleuve Amphyse, Amyclœus ou d’Amiclé en Laconie, Anaphé ou qui rend clair, Apharée et Aphœé ou l’invisible, Apertus o
rce dont l’eau abrégeait les jours et dont buvait le prêtre chargé de rendre les oracles du dieu Cœlispex ou la statue regarda
ce que son temple était bâti sur une hauteur, la prêtresse chargée de rendre les oracles ne devait jamais avoir de communicati
brillant, ou le Soleil, Hysios ou d’Hysie en Béotie, les oracles s’y rendaient comme à Claros. Ieus ou le guérisseur, Ileus ou d
jour spécial le plateau de Delphes. Là il fit élever un temple pour y rendre ses oracles, là aussi il institua les Jeux Pythiq
re particulière : il prétend que ce monstre gardait l’antre où Thémis rendait ses oracles, et qu’il fut tué à coups de flèches
que. Apollon fut reçu chez ce roi comme un propre fils ; aussi il lui rendit les plus éminens services, et devint bientôt la d
nt et emportent le char de la princesse. Apollon ne fut pas le seul à rendre de brillans services au roi de Thessalie. Ainsi P
, l’atteignit au-delà du fleuve Achéron et lui enleva Alceste pour la rendre à son mari. Mais ce fait, trop historique pour le
a tellement Admète, que Proserpine, touchée de sa douleur, voulut lui rendre son épouse. Pluton, moins sensible, s’y refusa. A
l’attaqua, la vainquit, l’enchaîna avec une chaîne de diamant, et ne rendit la liberté à cette sombre divinité qu’après avoir
en garde à Laomédon Hésione et les chevaux, à condition qu’il les lui rendrait à son retour de la Colchide ; mais il n’en fut pa
séquent de Saturne et de Rhée. Jupiter, sous la forme d’un berger, la rendit mère des neuf Muses. Ces filles de Mnémosyne port
n, elle prit les Muses en nourrice avec son fils, lequel, après avoir rendu les plus grands services à ses sœurs de lait, fut
t aux funérailles ainsi qu’à tous les devoirs funèbres que les vivans rendent aux morts. Clio ou la gloire présidait à l’histoi
me ami de Bacchus-Liber, il avait aussi à Rome dans le forum, où l’on rendait la justice, des statues que les avocats invoquaie
ir comme astre l’adoration des Grecs et surtout des Rhodiens, qui lui rendaient un culte pompeux et solennel. Devant lui on jurai
temples dont plusieurs étaient célèbres par les oracles que ce dieu y rendait , et que ses prêtres ou prêtresses transmettaient
t pas s’inspirer au hasard sur ce trépied divin. D'abord la Pythie ne rendait ses oracles que dans les premiers jours du printe
de la Pythonisse, et les faisaient connaître aux fidèles. D'abord ils rendirent ces interprétations en mauvais vers fort obscurs
temple. Mais ensuite Jupiter employa un autre moyen, car il se mit à rendre ses ordres en faisant faire divers signes de tête
battues l’une en Libye et l’autre dans le bois sacré de Dodone pour y rendre les oracles de Jupiter. Cette double fable reposa
onides ou Péléades à trois vieilles prêtresses ou vierges sacrées qui rendaient les oracles de ce temple, quelquefois en vers, et
ssez suivis. Tels étaient ceux de Vaticanus et d’Aius-Locutius qui se rendaient auprès de la ville de Rome. Ces oracles furent pr
auprès de la ville de Rome. Ces oracles furent primitivement supposés rendus par les Dieux et transmis au peuple par des prêtr
reconnaître, et Icare, étonné d’un événement si extraordinaire, leur rend à tous les trois la liberté, et les renvoie à Arg
goé ou Bigoé, ou Bygoïs de Toscane. Elle fut, dit-on, la première qui rendit des oracles ; elle apprit aux Toscans l’art de de
rès les prophétesses, apparaissent les sibylles, femmes inspirées qui rendaient des oracles. Varron en comptait dix qu’il nommait
obe, Démophile, Hérophile, Manto et Phémoné. On dit qu’Apollon, pour rendre sensible la sibylle Déiphobe, fille de Glaucus, o
ux compositions poétiques et à la naissance des enfans, parce qu’elle rendait ses oracles en vers et qu’elle chantait les desti
n parlant plus tard des Argonautes. On se rappelle que les oracles se rendaient en vers et que la poésie servait à composer les h
ment. Aussitôt ce roi fit punir les matelots. C'est depuis ce service rendu à Arion que le dauphin prit place parmi les astre
Proserpine, l’écoutent émerveillés ; et, dans leur enthousiasme, lui rendent Eurydice à la condition qu’en l’emportant il ne r
t arriver à lui faire partager son amour. En vain essaya-t-elle de le rendre infidèle ; en vain lui fit-elle les plus belles p
ant quelques écrivains, Aurore fût parvenue à obtenir de lui qu’il la rendît mère de Phaéton. Que le fait soit vrai ou erroné,
riches les uns que les autres, il fut sur le point de voir Procris se rendre à ses sollicitations, quand, reprenant tout à cou
lais souterrain pour Neptune, son père. Alors Aurore, que Vénus avait rendue amoureuse de lui, enleva ce jeune et beau forgero
doux murmure ; aussi était-elle consacrée aux Muses, et la Pythie qui rendait les oracles de Delphes avait soin, on s’en souvie
était une fille d’Hyamus, fils lui-même de la nymphe Evadne. Apollon rendit Céléno mère de Delphus que l’on fait souvent auss
l et de la Terre, ou de Canacé ; Cléobule était une nymphe qu’Apollon rendit mère d’Eurypide, ou d’Eurypidice ; Climène était
désappointement, il porta ses désirs vers Climène, la séduisit, et la rendit mère de trois filles appelées Héliades : Phaétuse
oute l’Assyrie. Cette jeune nymphe fut d’abord aimée d’Apollon qui la rendit mère de Dircée ; mais ce Dieu l’ayant quittée pou
roi d’Athènes, eut aussi une inclination secrète pour Apollon qui la rendit mère d’Ion et d’Anis ; Cydippe fut mère de Camire
rée à Sparte comme déesse, sous la désignation de Pasiphaé, et elle y rendait des oracles en grande réputation. L'histoire, pou
r pour fils de la mer. Néère était une déesse aimée du soleil, qui la rendit mère de deux filles, Phaétuse et Lampétie, déjà i
en, et de Samia, issue du fleuve Méandre, fut animée d’Apollon qui la rendit mère de Lycomède. Persa, fille de l’Océan et de T
on donne encore Tydée pour époux : Théro fut aimée d’Apollon, qui la rendit mère de Chœron. Uranie passait pour avoir eu auss
lors il fut divinisé, on l’adora sous le nom d’Apollon-Philesius ; il rendait ses oracles à Didyme ; Camire passait pour fils d
lape les dieux Apotropéeos et Averrunci, ou détournant les maux ; ils rendaient même un hommage particulier aux maladies spéciale
e putatif ; Isménius, fils de Mélie, avait reçu de son père le don de rendre des oracles ; Lampétie ou Lampéthuse, a déjà été
à Phorbas, il eut pour fils Augias, père d’Agamède et d’Actor, lequel rendit Molione mère des Molionides ; Ctéatus et Euryte q
insaisissable. C'est la pensée, la méditation, la conception. Pour la rendre sensible aux yeux du vulgaire, la Théogonie grecq
t Jupiter. Ce fut elle qui donna le breuvage à Saturne pour lui faire rendre au jour ses enfans ; mais, ajoutèrent quelques au
de Rhée. Jupiter la séduisit en prenant la forme d’un berger. Elle se rendit célèbre dans la mythologie grecque et romaine en
es herbes, Patrensis ou de Patræ en Achaïe. Là était une fontaine qui rendait des oracles en montrant ses arrêts en images sur
e, jaloux des succès de son frère, fatigua Cérès de ses prières et la rendit mère d’une fille nommée Hira. D'autres disent que
is son arrivée, aussi dès qu’il est appelé à la barre céleste, il s’y rend et dépose qu’il a vu Proserpine rompre son jeune
les autres six mois auprès de Pluton, son mari. Cette sentence étant rendre , Cérès irritée change l’indiscret Ascalaphe en hi
oûter à des grenades, car cette journée était entièrement consacrée à rendre ce qui s’était passé lors de l’enlèvement de Pros
qui entourait une chapelle, dans laquelle les Latins et les Sabins se rendaient en commun pour fêter la déesse ; et où les esclav
Rome. Ces fêtes n’étaient pas seulement des invocations, des hommages rendus à la divinité : c’étaient encore des demandes exp
s anciens eût changé en amourettes, les services essentielles qu’elle rendit à Zévs, pendant la guerre des Géants ? nous serio
t ; et, comme présidant aux plaisirs, aux peines, aux espérances, aux rendez -vous, à l’étude, aux arts et aux saisons, elles s
, y fabrique un filet mystérieux à mailles métalliques que la finesse rendait imperceptible, arrive dans l’île de Lemnos à l’he
ve dans l’île de Lemnos à l’heure indiquée par Apollon comme celle du rendez -vous, trouve ensemble les deux amans et pour les
-il posé ses filets, qu’il convoque à grand bruit tous les dieux pour rendre l’Olympe assemblé témoin de leur réveil et de leu
t y réussir, car, sa nourrice étant survenue, coupa le nœud fatal, la rendit à la vie et favorisa sa passion en lui faisant pr
que grotte inconnue de l’Arabie. Puis débarrassé de ses langes, il se rendit à Biblos en Phénicie, et là, il fit la conquête d
tôt il y apprit la nouvelle inclination de Cypris ; alors le dépit le rend jaloux, il veut se venger, et pour y arriver aisé
r à la lumière. Mais Proserpine refusa, dit-on, seulement alors de le rendre  ; de là le différent que l’on connaît ; de là aus
 ; de là aussi, par ordre de Jupiter une sentence en premier ressort, rendue par la muse Calliope, déclarant qu’Adonis passera
ar les Heures, mais au bout des six premiers mois, celle-ci refusa de rendre son amant : de là nouveaux débats, et de là vint
es remplies de gâteaux, de parfums et de fleurs. Dans cet ordre on se rendait près d’un immense catafalque sur lequel des femme
, elle fit partager à Anchise sa passion ; puis un jour pressée de se rendre au conseil des Dieux, elle s’éleva dans les cieux
us retourna dans l’Olympe offrir son cœur à quelque dieu, qui pût lui rendre par compensation et bonheur et plaisir. Ce fut à
nt d’accorder à leurs vœux des époux et des enfans ; puis, afin de la rendre plus favorable, elles lui offraient leur chevelur
issance d’une essence divine, que Vénus lui avait donnée. refusait de rendre amour pour amour aux beautés les plus renommées d
êtes féroces, il finit par s’en servir pour blesser les cœurs et s’en rendre maître : les premiers ne faisaient qu’effleurer,
rs et s’en rendre maître : les premiers ne faisaient qu’effleurer, et rendaient plus aimés et plus aimans ; mais ceux en plomb ca
redoublent sa curiosité, et le désir de le voir, de le connaître, lui rend la journée éternelle. Enfin la nuit ramena l’épou
de Cupidon, et chez les esclaves, pour célébrer le jour qui les avait rendus à la liberté ; les Erosanthies dans la Peloponèse
reux de sa sœur jumelle, à laquelle il ressemblait ; sa perte l’ayant rendu inconsolable, il venait pleurer sur les bords d’u
était donc une nymphe de Libye et fut aimée par Jupiter-Ammon qui la rendit mère de Iarbas, de Phylée et de Picumne ou Pilumn
eu de Jupiter le dieu Pan. Lardane fut maîtresse de Jupiter, qui la rendit mère de Sarpédon et d’Argus. Idée. Les poètes o
ins. Ora. Jupiter trompa cette nymphe sous la forme d’un cygne et la rendit mère de Colaxès, roi des Bisaltiens lesquels, en
ollon dont elle eut un fils nommé Phagre, ensuite par Jupiter, qui la rendit mère de Mélitée, que l’on confia, suivant la fabl
pigeon. Plota ou Plato, fille de l’Océan fut aimée de Jupiter, il la rendit mère de Tantale, dont nous connaissons les vols e
nom des nymphes Mégariennes : une d’elles fut aimée de Jupiter qui la rendit mère de Mégare, fondateur de la ville de ce nom.
était une nymphe Sicilienne, fille de Vulcain ; Jupiter l’aima et la rendit mère des deux Paliques ou Palices, frères jumeaux
les yeux avec son fuseau. Elle était alors à Athènes où elle s’était rendue après la mort et la divinisation de son fils. Un
uis fut sacré, et prit le nom de Chapelle d’Alcmène. Les Thébains lui rendirent des honneurs divins, et sa disparition fut regard
s. Mais Jupiter déjoua toutes les précautions [ILLISIBLE] ; car il se rendit auprès de Danaé en se changeant en pluie d’or. Ac
ant J. C. Son fils Apis né de Cinna, fut s’établir en Égypte où il se rendit si fameux qu’après sa mort il fut mis au rang des
avec Jupiter un fils que l’on appela également Apis, mais que rien ne rendit célèbre. La dernière maîtresse de Jupiter que nou
arriva sur les bords du Nil où Jupiter, après avoir apaisé Junon, lui rendit sa première figure. Ce fut là qu’elle accoucha d’
contrée. Ce fut après cette aventure, lorsque la jeune princesse fut rendue à sa première forme, que Junon voulut rompre avec
te fable ; ainsi ce fut une tour, une chambre, un lit en forme d’œuf, rendez -vous du couple amoureux, qui donna lieu à cette f
rotégerait que la science et la vertu, Jupiter ne le voulut pas et le rendit aveugle ; aussi le peignait-on sous la forme d’un
ne, obtint les faveurs de la reine de Sparte que son époux avait déjà rendue enceinte. Léda porta dans son sein deux œufs ; du
la Grèce avait de héros distingués ; mais elle préféra Ménélas qui la rendit mère d’Hermione. Quelque temps après, cédant aux
la réclama vainement à plusieurs reprises ; enfin, la Grèce ne put la rendre à son premier époux, qu’après un siége de dix ans
le mit au jour Amphion et Zéthus, et même, dit-on, Calathus. Lycus se rendit maître de ces enfans et les fit exposer auprès d’
lide. Il punit les Telchines de Sicyone du meurtre dont ils s’étaient rendus coupables sur la personne de son oncle Apis. Il é
veloppé de colonnes ; Politès ou le citoyen en Arcadie ; Psila ou qui rend agile ; Pyrigène ou né du feu, parce que sa mère
tendres, ni les promesses les plus brillantes, ne purent arriver à la rendre sensible. Érigone surnommée Aletis ou l’errante,
ne voulut pas condescendre aux vœux de Bacchus ; ensuite il sut se la rendre favorable. Le dieu du vin finit par s’ennuyer dan
nquêtes ; mais auparavant il séduisit encore plusieurs belles, et les rendit sensibles à son amour, Alexirée mère de Carmon ;
u sparte Echion et d’Agavé, et roi de Thébes, voulant s’y opposer, se rendit sur le mont Cythéron avec l’intention de punir ce
erain empire sur les bergères et les bergers de cette contrée. Il les rendit même tellement heureux et s’en fit tant aimer, qu
er Echo pour Pitys ; celle-ci pour Sénélé, et Sénélé pour Ega, qui le rendit père d’Egipan. Il ne fut pas toujours heureux dan
et à gauche tous ceux qu’ils rencontraient. Malgré ses dédains, Echo rendit le dieu Pan, père d’Irinx ou Syrinx, que nous ver
et sa femme aussi, comme exemple de la fidélité conjugale. Tous deux rendaient des oracles, savoir : Fauna aux femmes, Faunus au
le nom générique de Patellarii Dii ou dieux des libations, et qu’ils rendaient encore hommage à Méthyne, déesse du vin nouveau e
e perte de Castor affligea tellement Pollux, qu’il supplia Jupiter de rendre son frère à la vie ou de le faire mourir lui-même
’Ilion. Il épousa Batée, fille de Teucer, auquel il succéda. Batée le rendit père d’Ideus et d’un Erichthonius, qui lui succéd
ropéens, pour le récompenser de sa rare probité. Egine et Athènes lui rendirent des honneurs divins. On disait que ses états ayan
ercure, pour réunir les membres dispersés du maître des Dieux, et lui rendre la vie après sa défaite par Typhoé. Egipan enseig
lios, fils de Jupiter et de Protogénie, fut l’époux de Calyce, qui le rendit père d’Endymion. Il fut, dit-on, le premier roi d
equel il tua les enfans qu’il avait eus de Mégare. Ensuite, Junon lui rendit la raison. Alors il consulta l’Oracle, et apprit
me l’emblème d’une armée ennemie qui s’augmentait à mesure qu’elle se rendait maîtresse du pays. 3° La Biche aux cornes d’or et
rès l’avoir terrassé trois fois, s’aperçut que la Terre, sa mère, lui rendait de nouvelles forces à chaque fois qu’il la toucha
a fille, dans un chaudron, et le faire étuver jusqu’à ce qu’elle soit rendue à la vie. Cependant pour la punir de son vol, on
, n’échappa, car Pholus lui-même, qui était reste simplement occupé à rendre la sépulture aux morts, s’étant blessé avec une d
a en mariage ses cinquante ou cinquante-deux filles, que le Demi-Dieu rendit mère d’un garçon dans une seule nuit, ou suivant
, et l’on prétend alors que ce furent ses cinquante filles qu’Hercule rendit mères dans une seule nuit. Arrivé en Grèce, Hercu
nglantée et la prévient qu’en la faisant revêtir à son mari, elle lui rendra toujours son cœur, dès qu’il voudra devenir volag
nciens habitans d’Éphèse. Bientôt éprise de ce héros, cette reine lui rendit la liberté, mais il n’en profita point et resta p
envoyer les cendres à son père : ce fut, dit-on, le premier auquel on rendit ce genre d’honneur funéraire. Baleus fut inhu
Phénops, père d’Abyde ; Phormion, pécheur d’Erythrée, auquel Hercule rendit la vue ; Poltis, fils de Neptune et frère de Sarp
ec, adopté par Hercule ; Soscrate, grec de Pelée en Achaie, auquel on rendait des honneurs héroïques, en mémoire de l’amitié do
e de Meltas, quoique l’un des rameaux de cette branche se soit encore rendu célèbre plus tard, en donnant naissance à Caranus
; quant à Cynortas, il devint père d’OEbalus, que sa femme Gorgophone rendit père d’Arane ou Arène, d’Icare, d’Hippocoon et de
avec Arène et en eut Idas, époux de Marpesse, fille d’Evenus, qui le rendit père de Cléopâtre. Enfin nous ferons observer que
er ; subtil larron, son bonheur était de voler les bestiaux et de les rendre méconnaissables en effaçant leurs marques distinc
r mieux encore se venger, séduisit sa fille Anticlée, l’enleva, et la rendit mère d’Ulysse. Autolycus fit aussi partie des Arg
thènes, le troisième jour des Anthestéries de Bacchus ; alors pour le rendre propice aux naufragés, on lui offrait des légumes
piter, dont il recevait les instructions, afin d’être plus en état de rendre ses peuples heureux, moyen qu’il put emprunter à
Pasiphaé eut un amour criminel pour Taurus, courtisan du roi, que les rendez -vous des deux amans eurent lieu dans la maison de
ter et de la Danaïde Hésione, épousa Hermippe, fille de Béote, qui le rendit père d’un fils nommé Minyas, et d’une fille appel
eraient moins rigoureusement à l’avenir. Les jugemens que les palices rendaient sur les contestations relatives aux paiemens, éta
leva le seul œil et la seule dent qui leur restassent, et ne les leur rendit qu’après avoir appris la résidence des monstres q
lent, et met sur son trône Dictys, le protecteur de sa mère ; puis il rend aux Dieux les armes qu’ils lui avaient prêtées, e
rd Médée, dont il eut Antimachus, Archelaüs et Lycimnius que Périmède rendit père d’Argée ; puis Electryon, épousa Anaxo et en
aodocus ou Odoëdocus et en eut Oïlée, mari d’Eriope ou Egriope qui le rendit père d’Ajax le Locrien. Si maintenant nous cherch
cieux, où il forme la constellation du Dauphin ; ensuite, Amphitrite rendit Neptune père de Triton et de Rhode. Le séjour ord
et à Rome, c’était pendant le mois de février que l’on tâchait de se rendre ce dieu favorable pour l’époque prochaine de la n
t il eut Léarque, Mélicerte, Orchomène et Plinthius ; il fut en outre rendu père d’Erythreus, de Leucon, de Ptoüs et de Schœn
l’île de Rhodes. Là, il éleva un temple au Dieu des mers, pour se le rendre favorable. Ensuite il parcourut Samothrace et la
ur ou le bon esprit de les éviter. Enfin Lycus mourut et les Thébains rendirent à Laïus la couronne que son oncle lui avait injus
es jeux Néméens et changent son nom en celui d’Archémore. Après avoir rendu les honneurs funèbres à cette jeune victime ils c
Cependant Eriphyle, sœur d’Adraste, ayant épousé Amphiaras, celui-ci rendit la couronne à son beau-frère, puis il fut se cach
épousa Déiphile, fille d’Adraste. Il fut chargé de sommer Étéocle de rendre le trône à son frère. En conséquence, il séjourna
ère au trône d’Olène, en Achaïe, quoique son père l’eût maudit. Il se rendit à l’expédition contre Thèbes et combattit avec co
et reconduisit ces jeunes captives chez leur père ; puis ce héros se rendit en Égypte, où il fit périr Busiris pour le punir
e la nymphe Calypso, fut le père de Nausicaa et d’Alcinoüs, qu’Arétée rendit père de cinq fils ; Nélée, fils de Créthée ou d’H
et trois fils Nestor, Périclymène, Chromius ; diverses maîtresses le rendirent encore père d’un grand nombre d’autres fils, parm
ys ; Palène en Macédoine était sa patrie, et Psamathé, son épouse, le rendit père de cinq fils, Polygone, Télégone, Théoclymèn
nna asile à Hélène et à Pàris, puis chassa ce dernier de ses états et rendit la princesse à Ménélas après avoir appris son enl
’Iolchos, dont il avait chassé Jason fils d’Eson, ce Pélias promit de rendre la couronne à Jason, aussitôt que celui-ci aurait
de leur crime involontaire, frappa d’immobilité leur navire, puis le rendit le jouet d’une tempête épouvantable qui dura douz
l’embouchure du Danube, et envoya Absyrte, son fils, les sommer de se rendre  ; mais la célèbre Médée détourne le danger qui me
a fameuse enchanteresse Circée. Une fois arrivée à Iolchos, Médée s’y rendit célèbre par le meurtre de Pélias ; puis elle suiv
il succeda à son père au trône de Locride ; il épousa Ériopis, qui le rendit père d’un fils nommé Ajax. Maintenant, nous devon
ux graces naïves de la jolie Pérygone, fille du géant Sinis, et il la rendit mère d’un fils nommé Ménalippe. Après que les Phy
à la voile et emmène avec lui Ariadne et Phèdre, sa sœur. Ariadne le rendit père de deux fils, Œnopion et Staphyle. Thésée,
écipité dans les flots. Alors, les premiers soins de Thésée furent de rendre les honneurs funèbres à ce tendre père, de remerc
victoire qu’il remporta sur le Minotaure. Arrivée à Athènes, elle le rendit mère de deux fils, Acamas et Démophon, puis Phèdr
auser si cruellement la mort. Esculape, dit-on, à la prière de Diane, rendit la vie à Hippolyte, qui resta près d’elle sous le
e, Menalippe ou Motone et Dejanire ; ensuite il épousa Péribée qui le rendit père de Périphas, de Phérée, et de Tydée, père de
ne fut pas plus heureux ; Mopsus l’atteignit sans le blesser, mais le rendit plus furieux ; alors la belle Atalante, amante du
son royaume ; il en eut Polydore, jeune fille que le fleuve Sperchius rendit mère de Ménesthius, et que pourtant Bors, fils de
sie et Lybie, et de l’autre Europe et Thrace, quant à Téthys, elle le rendit père de la plupart des trois cents principaux fle
eut pour amante une des Muses, Melpomène, Calliope ou Stérope, qui le rendit père des sirènes. L'Achéloüs réel sépare l’Etolie
qui était l’objet des vœux du cyclope Polyphème. Chaque jour, Acis se rendait auprès de son amante, et dans les bras l’un de l’
dieu-fleuve de l’Elide ; Clitumne ou Clitomne, fleuve de l’Ombrie qui rendait des oracles. Crinise, grand dieu-fleuve de la Si
yen sous le nom d’Hypothès, et amant de la nymphe Égeste, qui l’avait rendu père d’Aceste. Dyras, dieu-fleuve de la Thessalie
ers sacrificateurs. On lui donne le nom de Xanthe, parce que ses eaux rendaient les femmes blondes. Les jeunes vierges, la veille
onger immédiatement après sa naissance, dans les eaux du Styx pour le rendre invulnérable, privilége qu’il obtint, excepté au
Troye, eut de Déidamie son fils Néoptolème ou Pyrrhus, qu’Andromaque rendit père d’Amphiale, ou de Molossus, de Pictus et de
on, dont le père Alope avait pour frères Irus et Ménèce, que Sténélée rendit père de Patrocle ami d’Achille ; cet Alope en out
utre était fils d’Actor, l’Eolien, et d’Egine fille d’Eaque. Pélée se rendit avec Eurythion, comme nous l’avons vu, à la fameu
e mont Cithérus, près d’Héraclée, en Élide ; les eaux de leur rivière rendait , disait-on, la beauté. Ilissades, nymphes du fleu
ient aux plaines, aux vallons, aux collines et aux bosquets ; on leur rendait le même culte à peu près qu’aux Naïades. Néréides
e Sélemne ; Asie, fille de l’Océan et de Thétys, épousa Japet, qui la rendit mère de quatre fils, Prométhée, Epiméthée, Atlas,
t-être la même que la fille de Ladon mère d’Asope. Midée, que Neptune rendit mère d’Asplédon ; Myia, nymphe-mouche, amante d’E
upiter, grace au casque que lui avaient fabriqué les Cyclopes pour le rendre invisible, il reçut, en récompense de ses service
qui ne put la lui accorder que six mois par année. Ce fut Pluton qui rendit la liberté à Pélée, enchaîné par Acaste sur le mo
les funérailles on se coupait les cheveux en son honneur, et pour la rendre favorable on les jetait sur le bûcher. Ses fêtes
se levait à minuit et au milieu des ténèbres les plus épaisses, il se rendait vers une fontaine, marchant nu-pieds, en silence,
tans furent terrassés. Pour reconnaître le service que Styx lui avait rendu , Jupiter en fit le premier fleuve des enfers, déc
ux qui, disparaissant sous terre, avaient laissé supposer qu’elles se rendaient aux enfers. Sur le bord du Styx, on voyait, à la
à Ochalie, en Béotie, où il épousa Alemène, veuve d’Amphitrion. Il se rendit célèbre par son équité et sa frugalité ; c’est lu
es du taureau sur ses yeux ou sur ses épaules Minerve, de n’avoir pas rendu sa maison portative, en cas de mauvais voisinage,
. Il ne faut par conséquent pas s’étonner si les Grecs et les Romains rendaient un grand honneur aux parques qu’ils invoquaient h
d’une fontaine que l’on voyait près de cette ville, et dont les eaux rendaient furieux ; les filles d’enfer ; Cunes ou les chien
e Mycènes Eurysthée, dont il avait épousé la fille Érope, qui l’avait rendu père de trois fils, Alcon, Eumolus et Mélampus, a
vengeance plus loin, il séduisit Érope, femme d’Atrée, l’enleva et la rendit mère de Plistène et de Tantale, lequel passe pour
e sanglante du sein de sa mère, pour courir massacrer Atrée, qui déjà rendait grace aux Dieux de la mort de son frère. Après la
Sparte près de Tyndarée, dont il épousa la fille Clytemnestre, qui le rendit père de six enfans : Iphigénie, Électre, Chrysoth
e du pontife Chrysès : épris de ses charmes, il refusa arrogamment de rendre cette Chryséis à son père, qui vint lui apporter
re périr s’il ne se retirait à l’instant. Cependant, il fut obligé de rendre cette jeune fille, car l’oracle déclara que c’éta
s les conseils et sur le champ de bataille. Quand les Grecs se furent rendus maître de Troie après un siège de dix ans, Agamem
temple d’Apollon, en attendant qu’Egisthe et Clytemnestre y vinssent rendre graces aux dieux de les avoir délivrés d’un parei
sse Onis. Ce fut alors que commença ce beau combat de générosité, qui rendit l’amitié d’Oreste et de Pylade si célèbre. Chacun
ses états, il s’arrêta dans l’île de Ténédos, ensuite à Sunium, pour rendre les honneurs funèbres à Phrontis, son pilote. A p
er présomptif et bientôt le possesseur du trône de Sparte. Hélène, le rendit père d’une fille nommée Hermione. Pâris, fils de
brave des Troyens après Hector. Lors de la prise de Troie, voulant se rendre agréable à son premier mari, Hélène introduisit l
édier à cet inconvénient, le plongea dans les eaux du Styx, ce qui le rendit invulnérable, excepté au talon par où sa mère l’a
canéum ou talon du géant Damyse, l’adapta au pied de son élève, et le rendit le plus vaillant des hommes en le nourrissant ave
is sachant que son fils se couvrirait d’une gloire immortelle s’il se rendait devant Troie, mais qu’il y mourrait, le conduisit
ger la mort de son ami. Il se réconcilie donc avec Agamemnon, qui lui rend Briséis, en l’assurant qu’elle n’avait éprouvé au
courroie et le traîne trois fois autour des remparts de la ville. Il rend ensuite les honneurs funèbres aux mânes de Patroc
use et s’engage même à empêcher le pillage de la ville ; mais s’étant rendu dans le temple d’Apollon, pour y célébrer cette a
épouser. Plusieurs peuples honorèrent Achille comme un héros, et lui rendirent même des honneurs divins ; les Lacédémoniens lui
ubine favorite, il en eut trois fils Molosse, Pièle et Pergame. Il se rendit ensuite en Thessalie, pour réclamer la couronne d
lequel, dit-on, épris des charmes de sa cousine Hermione, et pour lui rendre la liberté, avait persuadé à la populace, que Pyr
r reprendre les restes inanimés de ce héros, et revinrent au camp lui rendre les honneurs funèbres. Phénix, fils d’Amyntor, r
la main d’Apollon cesserait de s’appesantir sur eux, quand on aurait rendu la captive Chryséis à Chrysès, son père, grand pr
e, bâtit Pétélie, en Calabre et finit par rencontrer Machaon, qui lui rendit la santé et le guérit de sa blessure, dont il res
es d’OEchalie ; Podalire était attaché au chef suprême Agamemnon ; il rendit de très grands services aux Grecs par sa science
roid et même hostile ; obligé alors de quitter encore Salamine, il se rendit à Sidon, auprès du roi Bélus. De là, il fut dans
ué roi par les habitans. Il épousa Pénéloppe, fille d’Icarius, qui le rendit père de Télémaque. Environ un an après la naissa
fut pourtant séduit par la magicienne, dont il fit son amante. Circé rendit dès-lors tous ses compagnons à leur première form
n de ne pas tomber sans défense sous les coups de ses adversaires, se rend d’abord à la cabane du vieil Eumée, l’un des gard
es pleurs les genoux du meurtrier de son fils, en le suppliant de lui rendre les restes sanglans et inanimés d’Hector. Achille
s restes de son cher Hector, et les remporte dans sa ville, pour leur rendre les derniers devoirs. A Thèbes, on institua une f
x funèbres qu’on célébrait à Troie. Pâris, furieux de cette perte, se rendit à la ville, y disputa le prix et l’emporta sur to
onnaît les langes dont on avait enveloppé son fils, l’embrasse et lui rend sa place parmi les princes de sa race. Quelque te
a sa main ; mais quand Troye fut prise, cette perfide épouse, pour se rendre agréable à Ménélas, son premier mari, introduisit
r. Hélénus conduisait la troisième colonne de troupes de Priam. Il se rendit célèbre pendant le siége de la vilie. Il fit mord
temps après la ruine de Troye, il suivit Néoptolème en Épire, et lui rendit de très-grands services, surtout en le détournant
t du côté des Grecs ; aussitôt Achille le guérit en effet. Laodice le rendit père d’Euripyle, mais, après avoir été abandonnée
Agamemnon qui, suivant la coutume, lui fit partager sa couche, et la rendit mère de deux jumeaux. Agamemnon la conduisit ensu
terrasse et lui passe son épée au travers du corps. Enée, après avoir rendu les honneurs funèbres aux Troyens morts sur le ch
ieu sacré, autorisé par [ILLISIBLE] formel d’Apollon, ne pouvait être rendu à son ennemi ; la Grèce aussi avait des asiles ;
es ou les Purs et Immortels de l’Arcadie. Catius ou Cautius, dieu qui rendait les hommes fins et circonspects. Cerus Manus ou l
des charbons éteints et des libations ; sacrifices que les Epicuriens rendaient plus brillans par une vie joyeuse, la paresse et
ailles de la terre ; ils portaient, disait-on, de petits chapeaux qui rendaient maîtres des richesses terrestres les heureux poss
thex, et de la troisième, Cranus et Fontus ; quant à Vénilie, elle le rendit père d’une fille-déesse, appelée Canente, qui fut
agnifique, appelé à Rome, comme tous ses temples, Ammonium. Ce Dieu y rendait des oracles que les habitans des contrées les plu
rts et semble avoir été doué de la vie ; car, dans cet intervalle, il rendit Isis mère d’un fils que l’on nomma Harpokrat et e
ombe d’ Osiris qui, pour la consoler, s’anime d’une vie factice et la rend mère d’Harpokrat. Alors, nous le savons, Typhon a
Typhon, le bat, et le fait lui-même prisonnier ; mais Isis lui ayant rendu la liberté, elle fâcha tellement son fils, qu’il
Abydos, où elle avait un temple célèbre à cause des oracles qu’elle y rendait . Ses réponses étaient données dans des lettres ca
eux qui l’invoquent ; alors il les remplit du don de prophétie et ils rendent des oracles. On l’honore en se frappant les mains
re, sont sous l’invocation de ce dieu. Le culte d’adoration qu’on lui rend , consiste dans une aspersion faite par un Ganga s
sur les affaires de ménage. Ngoia-Chilvani, roi d’Angola, qui se fit rendre même de son vivant les honneurs divins. Les Singh
ateur du ciel et de la terre, et comme souverainement bon. Ils ne lui rendent aucun honneur, parce qu’ils sont convaincus qu’il
élicieuse paresse, sans s’occuper aucunement des hommes. Aussi ne lui rendent -ils aucun culte. Mourimo est aussi un dieu suprê
t le fondateur de l’empire de Babylone ; il fit faire des travaux qui rendirent ces contrées fertiles et habitables. Il unit plus
moyen de vastes canaux, entoura la ville de Babylone de murailles, et rendit par la de si grands services aux peuples de ces c
regardée comme le vaste utérus, où tout s’organisait. Le culte qu’on rendait à Élagbaal était magnifique et voluptueux. Son im
ns de la Syrie à se servir de la charrue pour labourer la terre et la rendre fertile ; aussi le regarde-t-on comme présidant s
le regardait comme jeune, mou, et presque efféminé. Son indolence le rendait indifférent ; aussi, pour le tirer de cette espèc
long-temps aux désirs de Brahmâ, mais elle finit par succomber et le rendit père de Naréda, dieu de la sagesse, de Dakcha, et
s nuages. Il est fils de Kaçiapa et d’Aditi. Il épousa Indrani qui le rendit père d’une fille nommée Devani. Il habite Souarga
andu sur l’oreille de cette jeune beauté de la liqueur prolifique, la rendit mère du célèbre dieu-singe Hanouman. Arddhanari
dre à cet embryon des formules mystérieuses, et assez puissantes pour rendre la vie à un mort, et puis se déchire le sein. A p
le sein. A peine Boudha est-il sorti du sein de son maître, qu’il lui rend la vie qu’il avait perdue pour lui. Boudha, ayant
lune. Il épousa trois femmes, Kéikéii, Soumatra et Kaoukaliâ, qui le rendirent père de quatre enfans : Bharata, Lakchman, Satrou
e Démavati. Dhanouantara, ou Danavandri, sage des premiers temps, se rendit célèbre dans la médecine, dont on le regarde comm
i sa femme, fut un saint très-célèbre, dont le caractère irascible le rendit fameux dans la mythologie hindoue. Un jour qu’il
ions pendant le règne de Sandana, son frère. Il avait la puissance de rendre la jeunesse et la force aux vieillards, par le se
rme, et il aurait succombé si Vichnou ne lui fût apparu et ne lui eût rendu sa forme primitive. Les brahmes qui répètent chaq
ram eut lieu sous le septième Menou-Vaivaçouata, et eut pour objet de rendre aux hommes et aux Dévas, les quatre Védas, dérobé
ins des Açouras la fiole divine qui contient l’Amrita ; c’est lui qui rend infidèle la belle Andjani, épouse du géant Jalend
cha ou Hiraniakcha, fils de Raciapa ou l’Espace, et de Diti : s’étant rendu maître du globe terrestre, Erouniakcha le précipi
errible ; il avait obtenu la souveraineté des trois mondes, ce qui le rendit tellement arrogant, qu’il se regardait comme supé
a cent ans de son existence, ses dix têtes et dix mains. Siva les lui rendit et lui donna le privilége de n’être tué qu’après
, deuxième incarnation d’Hiraniakcha, Krichna épousa Roukmini, qui le rendit père de plusieurs enfans, parmi lesquels on remar
s de Lakchmi ; car sous les formes de Sita, elle s’unit à Rama, et le rend père de Koucha, auquel il abandonne l’empire, et
dieux, alors simples mortels, résolurent de faire une liqueur qui les rendît immortels, Adicéchen leur aida dans ce travail en
quit à l’aide de Vichnou. Il avait épousé Gavarata ou Drovati, qui le rendit père de deux fils, Davaga et Vima. Indradhioumn
ville du même nom, fréquentée par un grand nombre de pélerins qui s’y rendent de toutes parts, et dont la richesse des cadeaux
la lune comme source de l’humidité primitive que la chaleur du soleil rend productive pour la terre féconde et pour l’eau ca
t de l’époux de sa mère. Un jour qu’il voulait connaître ceux qui lui rendaient des hommages ou qui le négligeaient, il monta sur
plus parfaite harmonie. Il avait vingt et un ans quand son épouse le rendit père d’un fils que l’on nomma Rakholi. Elle lui d
nfin il résolut d’aller prêcher sa doctrine par toute la terre, et de rendre les hommes meilleurs. Ni les pleurs de son épouse
a, au Thibet : il peut être choisi homme ou femme, sa consécration le rend saint ; mais il est servi avec tant d’activité et
n fonte polie. Ociouvominomikotto, héros, fils de Tsensiodaitsin, se rendit célèbre par ses nombreux et glorieux exploits, pa
cut près de deux mille ans. Ce fut pendant cette incarnation qu’il se rendit célèbre par ses nombreuses pénitences et par ses
a convenance du Japon. Gouannon est fils d’Amida. Ses adorateurs lui rendent plus spécialement hommage, et récitent en son hon
de la philosophie et de la religion. En mourant, il ordonna qu’on lui rendît les honneurs divins, et dit de quelle manière on
ce qu’il sait et sent. Ce génie malfaisant fait tous ses efforts pour rendre la terre stérile, la couvrir de désastres, de pla
orant le mal. Mais Ahriman lui fit boire le lait d’une chèvre, ce qui rendit malades l’homme et la femme, puis il leur présent
réfak, fils de Siamak, et de Bechak, épousa sa sœur Frevakein, qui le rendit père de quinze couples humains dont neuf, montés
et répandit la lumière primordiale, peupla neuf cents contrées et les rendit fertiles, en montrant l’agriculture aux hommes. I
it toujours des sacrifices, avant la cérémonie de l’hymen, pour se le rendre propice. Il eut deux enfans, l’un Éla ou l’amour,
fin Odin se maria et il épousa : Frigga, fille de Fieurgin ; elle le rendit père de quatre Ases Balder, Braga, Hermode et Tho
de garder une boîte renfermant des pommes d’or dont la vertu était de rendre la jeunesse aux Dieux ; en vain Loke essaya-t-il
Loke essaya-t-il de la lui enlever, il fut toujours obligé de la lui rendre . Balder, également fils d’Odin et de Frigga, éta
génies assistèrent à ses tristes funérailles. La noire Héla promit de rendre Balder au jour, si tous les êtres de la création
dall, ensuite, s’incarna sous la figure d’Afi, et épousa Amma, qui le rendit père de Karll, de sorte qu’il devint aussi la tig
ce illégitime avec la géante Angourboda, messagère de malheur, qui le rendit père de trois enfans : le loup Fenrir, le grand s
pons est le dieu protecteur de la nature vivante ; le culte qu’on lui rendait était un culte d’amour ; on lui sacrifiait des re
donner sa main à Fréi, mais il ne put jamais en obtenir qu’un simple rendez -vous. Skidner garda toujours le glaive d’or, que
t infailliblement la mort : au contraire, les flots s’empressaient de rendre à la mère fidèle le fruit de ses chastes amours.
eur puissance à ceux qui le réclamaient. Dans les hommages qu’on leur rendait au fond des forêts-vierges de la Germanie, le prê
honoré dans la Lusace. Les habitans de cette contrée croyaient qu’il rendait la vie aux morts : aussi cette superstition donna
ité pour leur règne. Nemeed, fils de Dnamhain, époux de Macha qui le rendit père de quatre fils. Nemedh est la personnificati
ses armes jusque dans la Gaule et l’Ibérie. Elle épousa Nemed, et le rendit père de quatre fils nommés Si-tiearna, Aixinn, Ja
ar la flèche ou par l’épée. Niparaia épousa la belle Anaikondi, et la rendit mère de Qaïaïp. Qaïaïp est le plus jeune et le
les biens de la terre et les plantes. Lorsque ces peuples veulent se rendre favorable Houékoub, ils se masquent, mettent plus
sparut d’une manière mystérieuse. Les pieux sectateurs de Botchica se rendaient en foule en pélerinage à Iraca, et jouissaient en
garder jour et nuit un pont de bois, jeté sur un grand fleuve, où se rendaient les ames des morts. Là il purifiait les unes avan
e divin primordial ; elle descendit sur la terre alors stérile, et la rendit productive ; car sa présence la couvrit soudain d
ensuite il épousa Popoharra Haréha, ou la roche personnifiée, qui le rendit père de Tetouba-Hamatou-Hatou. Enfin s’étant inca
lle de Ti et d’Osira. Après la mort de sa mère, elle épousa Ti, et le rendit père de trois fils, Ora, Vanou et Titou, et de tr
ivant les habitans de l’Archipel de la Société. Tarra, son épouse, le rendit père de Po, ou la nuit ; de Arié ou le ciel ; d’A
la page 140 nous montre Cérès aux pieds de Jupiter, le priant de lui rendre sa fille Proserpine, dont plus bas on aperçoit l’
12 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
pas cet astre éblouissant, niais on entrevoit toujours ses rayons qui rendent les ténèbres moins épaisses et moins obscures. Ai
ls redoutoient ; ils leur attribuoient des noms flatteurs pour se les rendre favorables ; ceux qui s’embarquoient sur la mer,
e d’Iphigénie, ne connoissant point d’expression (disent-ils) qui pût rendre la douleur de son père, voila la tête d’Agamemnon
dit : Xercès respire et voit le jour. Atossa s’écrie : Ah ! tu me rends la lumière ?… Ce dialogue doit nous paroître plu
Dieux, pour récompenser le berger Cytheron du culte qu’il leur avoit rendu , le changèrent en montagne. Ces mêmes Dieux, pour
lée, roi de Thessalie. Thétis, que ses premières conquêtes avoient dû rendre ambitieuse, ne vouloit point épouser un mortel. P
tis avec Téthys, fille d’Uranus et de Ghé, elle épousa l’Océan qui la rendit mère de 3000 filles, appelées Océanides. Océan, o
taine. Cérès redemanda sa fille, et Jupiter décida qu’elle lui seroit rendue si elle n’avoit rien mangé aux enfers. Ascalaphe
selon l’Odyssée, Thésée et Pirithoüs restèrent aux enfers. La Sicile rendit le culte le plus solennel à Proserpine. Les Locri
ec Bacchus, Lycurgue les fit emprisonner toutes, mais Bacchus l’ayant rendu furieux, les Bacchantes furent remises en liberté
apitole, et sa fille, au bruit des acclamations de tout le peuple, se rendit au temple de Vesta. Les vestales avoient la préro
du collége des pontifes. On ne s’en tenoit pas toujours aux jugemens rendus par le conseil souverain des pontifes ; le tribun
ntendoit elles-mêmes plusieurs fois, et lorsque l’arrêt de mort étoit rendu , on ne le leur signifioit point d’abord ; on comm
que le feu sacré ne pouvoit s’éteindre que lorsque la vestale s’étoit rendue indigne de le conserver. Emillie, en présence des
nteuse de le voir si malfait, le précipita du haut du ciel, ce qui le rendit boiteux. On conte différemment cette fable : on d
iter le précipita dans l’île de Lemnos, et que ce fut cette chute qui rendit Vulcain boiteux ; que cependant, par le crédit de
ans les éteindre. On regarda, comme fils de Vulcain, tous ceux qui se rendirent célèbres dans l’art de forger les métaux ; Olenus
ise à côté de la forge de Vulcain, fut frappée d’une étincelle qui la rendit mère d’un enfant auquel elle donna le nom de Cœcu
its qu’elles doivent embellir et même à la reconnoissance, dont elles rendent l’expression plus touchante. Les Athéniens ayant
tre, il l’épousa dans les ténèbres, lui cacha son nom et ne lui donna rendez -vous que dans l’obscurité. Tant de mystère persua
on malheureuse (car on avoit l’espoir d’échapper à la mort), ce qui a rendu ce promontoire fameux sous le nom de saut de Leuc
n, jeune Lesbien, reçut de Vénus un vase rempli de parfums, ce qui le rendit le plus beau des hommes. Il fut passionnément aim
es d’oiseaux et même des oiseaux vivans, pour le soutenir en l’air et rendre sa chute moins périlleuse. On rangeoit au bas du
un jeune homme de la ville d’Abydos nommé Dardanus21, qu’elle ne put rendre sensible. Artémise, guidée par la rage, entra dan
s ; Hyménée laissa dans l’île les femmes qu’il avoit délivrées, et se rendit à Athènes ou il fit ses conditions avec les paren
de Polynice dont elle alla chercher le cadavre avec Antigone pour lui rendre les derniers devoirs, ce qui irrita tellement le
ouvrir de sa peau le trépied sur lequel s’asséyoit la Pythonisse pour rendre ses oracles. En mémoire de cet événement on insti
hnéphages, c’est-à-dire mangeurs de laurier, des devins qui, avant de rendre leurs réponses, mangeoient des feuilles de laurie
ître de lyre d’Hercule ; un jour il donna un coup à son élève pour le rendre plus attentif, et le terrible disciple frappa Lin
criminels du Tartare, et touchèrent tellement Pluton, que ce Dieu lui rendit Euridice, à condition qu’il ne la regarderoit que
fut tué par Achille. L’Aurore, baignée de pleurs, conjura Jupiter de rendre quelques honneurs à la mémoire de son fils, et Ju
ndormit aux sons de sa flûte, ensuite lui coupa la tête36. Mais Junon rendit Io furieuse, et la fit errer et poursuivre, selon
par un spectre ou par un taon. Elle se jeta dans la mer ; Jupiter lui rendit sa première forme, et elle fut adorée en Egypte s
stitution une grâce, une galanterie et une ancienneté qui dévoient la rendre intéressante et respectable, d’autant plus que ce
cause des jeunes filles qui quêtoient. Il paroît naturel que le culte rendu aux divinités champêtres ait subsisté long-temps
es femmes qui n’étoient point de l’ordre sénatorial alloient en foule rendre leurs vœux. La Pudicité étoit représentée sur les
our éviter les poursuites d’Apollon. Ce Dieu, touché de sa vertu, lui rendit la vie et lui donna l’immortalité. Ea, nymphe qui
teur qui mêla son onde avec la sienne. Panope, l’une des Néréides, se rendit recommandable par sa sagesse et par l’intégrité d
sculape acquit bientôt une grande réputation, et après sa mort on lui rendit des honneurs divins. On dit que Jupiter le foudro
re des morts. II étoit surtout adoré à Epidaure, où l’on dit qu’il se rendit sous la forme d’un serpent. Le serpent étoit cons
it ce monstre et le tua. Elle fit de sa peau une cuirasse, et pour la rendre plus terrible, elle y plaça, par la suite, la têt
on le métamorphosa en cygne. 29. Un brigand, nommé Phorbas, s’étoit rendu le maître du chemin qui conduisoit à Delphes. Apo
nimal ne produit aucun son. Voici une Fable à ce sujet : Jupiter pour rendre ses noces avec Junon plus solemnelles, ordonna à
nna à Mercure d’y inviter tous les Dieux et tous les hommes. Tous s’y rendirent , excepté la nymphe Chéloné qui eut l’audace de se
ymphe Chéloné qui eut l’audace de se moquer de ce mariage. Mercure se rendit chez cette Nymphe impie, qui demeuroit sur le bor
maison sur son dos, parce qu’elle n avoit pas voulu en sortir pour se rendre aux ordres de Jupiter. Chéloné, en grec, signifie
13 (1845) Mythologie de la jeunesse
souvent de recourir à des allégories et à des personnifications pour rendre plus sensibles leurs systèmes sur la formation du
nt tout à fait retirées, ils allèrent consulter la déesse Thémis, qui rendait les oracles au pied de ce mont. L’invisible divin
inquit et l’emprisonna. Jupiter, devenu grand, vengea son père et lui rendit son trône ; mais Saturne, ayant appris du destin
nts animaux et même de plantes. De là vint le culte que les Égyptiens rendaient aux animaux et aux plantes. On vit le peuple fou
e d’un casque, présent des Cyclopes, et dont la propriété était de le rendre invisible. [Fig. 38] Les Enfers étaient des li
[Fig. 38] Les Enfers étaient des lieux souterrains, où les âmes se rendaient après la mort. Ils se divisaient en deux parties 
juraient par ses eaux, et le serment était irrévocable ; celui qui se rendait parjure était privé de la divinité pendant cent a
taché à une roue environnée de serpents, et qui, tournant sans cesse, rendait son supplice éternel ; Titye, géant monstrueux, é
faveur de sa fille. Le maître des dieux décida que Proserpine serait rendue à sa mère, si toutefois elle n’avait pris aucune
de la médecine [Fig. 59], que Jupiter foudroya pour le punir d’avoir rendu la vie à Hippolyte. Apollon, furieux, tua les Cyc
ire. Après quelques années d’exil, il fut rappelé par Jupiter qui lui rendit sa divinité. Comme dieu des beaux-arts, Apollon p
erveilles du monde24, et auquel Érostrate mit le feu dans l’espoir de rendre son nom célèbre. On l’honorait encore dans la Che
ère par l’usurpateur Pélias. Celui-ci promit à ce jeune prince de lui rendre son trône, s’il parvenait à reconquérir la toison
le magicienne ; avec son secours, il endormit et tua le dragon, et se rendit maître de la toison. Après cet heureux succès, Ja
s, et revint en Thessalie. Là, comme Pélias différait toujours de lui rendre la couronne, Médée feignit d’avoir un secret pour
in de vigueur et de jeunesse. Pélias perdit la vie ; mais ce crime ne rendit pas la couronne à Jason. Acaste, fils de Pélias,
mégarde à la chasse son frère Bellerus36. Forcé de s’expatrier, il se rendit à Tirynthe, à la cour de Prœtus. Sténobée, femme
euse Antigone brava cet ordre cruel, et alla avec sa belle-sœur Argie rendre à cet infortuné les honneurs funèbres [Fig. 101].
en mangea une épaule. Jupiter précipita Tantale au fond des Enfers et rendit la vie au jeune Pélops, dont il rajusta tous les
uelle était cette inscription : À la plus belle ! Plus tard, Pâris se rendit à Lacédémone, et, secondé par Vénus, à qui il ava
Thétis, sachant que son fils devait périr au siège de Troie s’il s’y rendait , l’envoya, déguisé en femme sous le nom de Pyrrha
rir le lieu de sa retraite. Celui-ci, s’étant déguisé en marchand, se rendit à Scyros, où il soupçonnait qu’il était caché, et
u Soleil, fameuse magicienne. Ulysse, que ses malheurs passés avaient rendu encore plus circonspect, entre sans bruit dans le
plus touchants ; mais il refuse de l’écouter, jusqu’à ce qu’elle ait rendu à ses compagnons leur première forme. Circé obéit
de retourner à Ithaque. Ulysse y débarqua déguisé en mendiant, et se rendit d’abord à la cabane du vieil Eumée, son fidèle se
se que des roseaux. Il gémit, et, frappés de ses soupirs, les roseaux rendent des sons harmonieux. Le dieu, charmé de la douceu
endre de la propre bouche du Soleil la vérité sur sa naissance. Il se rendit donc auprès du Soleil, et le supplia de lui accor
te contrainte, ils prirent la résolution de s’enfuir, et se donnèrent rendez -vous sous un mûrier, à quelque distance de la vil
par ses chants et les accords de sa lyre, que cette déesse la lui fit rendre par Pluton, mais à condition qu’il ne regarderait
. [Fig. 112] Les Muses recueillirent ses membres dispersés et leur rendirent les honneurs funèbres. Il fut métamorphosé en cyg
vre de ce poète. Pyrénée et les Muses. Un jour que les Muses se rendaient au Parnasse, elles furent surprises par un orage
Des paysans lui ayant amené Silène, qu’ils avaient trouvé ivre, il le rendit à Bacchus, qui, charmé de retrouver son père nour
pour lui apprendre qu’il avait fait naufrage. Désespérée, Alcyone se rendit sur le bord de la mer au lieu où elle avait dit a
r Achille au siège de Troie. À Thèbes, en Égypte, la statue de Memnon rendait , dit la légende, un son harmonieux lorsque les ra
hangée en pierre [Fig. 117]. La vérité est que son affliction l’avait rendue muette et immobile comme une pierre : effet ordin
ombe : de là vint la fable que les colombes et les chênes de la forêt rendaient des oracles. 12. Trophonius était un habile arch
dit que c’était à Trophonius qu’il fallait s’adresser. Les députés se rendirent donc à l’antre de Trophonius, et y entendirent un
14 (1850) Précis élémentaire de mythologie
du christianisme qui a dissipé toutes ces ténèbres. Ensuite elle nous rend plus facile l’étude des auteurs anciens, des poët
s. On regardait la Nuit comme la mère des dieux et des hommes. On lui rendait un culte solennel, et l’on immolait sur ses autel
le divinité est née du Chaos ? Qu’est-ce que la Nuit ? Quel culte lui rendait -on ? Comment était-elle représentée ? 5. Quels fu
Janus, Saturne fit connaître à ce prince le passé et l’avenir, et le rendit le plus sage de tous les monarques. C’est par all
poux, surpris, étonnés, confondus, Se crurent par miracle en l’Olympe rendus . Vous comblez, dirent-ils, vos moindres créatures
 ; Clothon ferait d’un coup ce double sacrifice ; D’autres mains nous rendraient en vain ce triste office. Je ne pleurerais point
de Lucine elle présidait aux unions conjugales, et cet attribut ne la rendit pas moins populaire que le premier. 2. On lui a s
ès-répandu et très-solennel. Ses vengeances et ses cruautés l’avaient rendue si redoutable qu’on n’épargnait rien pour détourn
u serpent Python servit à couvrir le trépied sur lequel la pythonisse rendait ses oracles. 2. La joie d’Apollon libérateur fut
ein de la société les premiers éléments de la civilisation. Boileau a rendu cette pensée en beaux vers : Avant que la raison
uette. Questionnaire. 1. Comment naquit Minerve ? Quels services rendit -elle à son père après sa naissance ? Quels sont s
it prisonnier, et il avait fallu que Mercure vint à son aide pour lui rendre la liberté. Dans la guerre de Troie, il fut bless
pouvait lui pardonner sa propre laideur dont il avait la folie de la rendre responsable. Il s’unit à Jupiter irrité, et forge
rtes d’ouvrages ingénieux. Il y fabriqua pour Pluton le casque qui le rend invincible, pour Neptune le trident qui soulève l
consacrés : Chômons ; c’est faire assez qu’aller de temple en temple Rendre à chaque immortel les vœux qui lui sont dus. Les
léopard couvre ses épaules. On lui immolait des pies parce que le vin rend indiscret, et des boucs parce que ces animaux déd
cité de son époux et le cacha dans une écurie. Lorsque Jupiter se fut rendu maître de l’univers, il donna l’empire des mers à
nt condamnées à remplir d’eau un tonneau percé aux deux bouts, ce qui rendait leurs fatigues éternelles. Enfin Ixion était atta
élevèrent une statue colossale dans la ville de Thèbes. Cette statue rendait des sons lorsqu’elle était frappée par les premie
était la Victoire ? Que disait-on de son origine ? Quels honneurs lui rendirent les Romains ? Que lui offrait-on en sacrifice ? 5
conjuraient de leur épargner les infirmités qui lui font cortége. On rendait également un culte public à la Fièvre, à la Goutt
illesse était-elle fille ? Que lui demandaient les Grecs ? Quel culte rendaient -ils aux Maladies ? 5. Quelle était l’origine de l
Jason fut en âge de régner, le régent se fit usurpateur et ne voulut rendre au jeune prince son trône qu’à la condition qu’il
Jason réclama d’Eétès la toison d’or, le tyran répondit qu’il la lui rendrait , s’il domptait deux taureaux furieux qui avaient
plus qu’à recueillir les restes inanimés de son fils chéri pour leur rendre les derniers honneurs. 7. Jason, délivré des atta
as à la fin de ses souffrances et de ses revers. Pélias refusa de lui rendre son trône, comme il en était convenu. Médée résol
x père fut victime de leur horrible superstition. Ce crime affreux ne rendit pas à Jason ses Etats. Les fils de Pélias continu
e passion coupable pour Glaucé, fille du roi de Corinthe. Cet affront rendit Médée furieuse, et elle envoya à sa rivale une ro
Où séjournèrent-ils ? 5. A quelles conditions Eétès s’engagea-t-il à rendre à Jason la toison d’or ? 6. Comment ce héros s’en
aux de chair humaine, et il extermina en Espagne Busiris, qui s’était rendu coupable du même forfait. 9º Il attaqua encore Gé
n’avait pu le vaincre en l’exposant à de rudes travaux, réussit à le rendre méprisable en soufflant dans son cœur les plus vi
vêtement empoisonné ? Comment mourut ce héros ? 8. Quels honneurs lui rendit -on après sa mort ? Où était le plus célèbre de se
exploits d’Hercule son parent troublaient son sommeil, et avant de se rendre à Athènes il voulut se signaler en exterminant le
âtre vit d’un mauvais œil le jeune héros et résolut sa perte. Elle le rendit suspect au roi et décida ce monarque à l’empoison
re plaintive, Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive, Qu’il lui rende … » A ces mots, ce héros expiré N’a laissé dans me
aloux de la réputation de son hôte et le jeta à la mer. Les Athéniens rendirent de grands honneurs à ses cendres. Cimon les fit t
t le sort de Dédale et de son fils Icare ? 5. Pourquoi Minos avait-il rendu les Athéniens ses tributaires ? Combien de fois p
fut mis à mort. Pollux en eut un grand chagrin. Il supplia Jupiter de rendre à son frère la vie et de lui accorder l’immortali
sur Pégase, pétrifia le monstre, brisa les chaînes d’Andromède et la rendit à son père qui la lui offrit pour épouse. Phinée,
ir sa main ? A qui consacra-t-il la tête de Méduse ? 6. Quels service rendit -il à son beau-père Acrisius ? Comment lui donna-t
ntairement la mort ? Quelle fut la fin de Persée ? Quels honneurs lui rendirent les habitants de Mycènes et d’Argos ? Jupiter n’e
e la Chimère ? Qui aida Bellérophon à la dompter ? Quels honneurs ont rendus les poëtes à ce héros ? Ses aventures n’ont-elles
infernales furent touchées de ses accents, et sa chère épouse lui fut rendue à condition qu’elle le suivrait et qu’il ne tourn
use ? Que fit-il pour la recouvrer ? A quelle condition Pluton la lui rendit -il ? Quel fut le triste sort d’Orphée après cette
pes, sous la conduite des sept chefs que le talent du poëte Eschyle a rendus si célèbres : Polynice, Adraste, Tydée, Capanée,
vance le bras. Le roi, qui semble mort, observe tous ses pas : Prêt à rendre la vie, il en cache le reste ; Et sa mort au vain
on, le frère de Jocaste, s’empara du souverain pouvoir et défendit de rendre les derniers honneurs à Polynice, parce qu’il éta
s, et les princes les plus illustres répondirent à leur appel. Ils se rendirent tous à Mycènes. Là on vit paraître le frère de Mé
mmédiatement après sa naissance dans les eaux du Styx, et avait ainsi rendu tout son corps invulnérable. Mais comme en le plo
armes et se trahit. Ulysse l’emmena sur-le-champ avec lui, et ils se rendirent ensemble au camp des Grecs. 4. Avant le départ, A
n eut la bassesse de vouloir se venger d’Achille qui l’avait obligé à rendre à Chrysès, prêtre d’Apollon, sa fille Chryséïs. P
a de son souverain pouvoir pour forcer à son tour le fils de Thétis à rendre Briséïs, une de ses captives. Cette injustice et
arts d’Ilion. 8. Après cette atroce vengeance, le fils de Thétis vint rendre les honneurs funèbres aux mânes de Patrocle. Il l
’Ithaque, aidé des conseils de Mercure, obligea cette enchanteresse à rendre à ses compagnons leur forme première et reprit le
ta-t-il son noble rival après sa défaite ? 8. Quels honneurs funèbres rendit -il à Patrocle ? Quelle fut son entrevue avec Pria
ne faisaient rien que par son ordre, et son caractère prophétique le rendait maître des événements. Il mourut pour n’avoir pu
e la science des vérités primitives. Pour maintenir leur puissance et rendre le peuple esclave de leurs caprices, ils eurent d
s de la Grèce. Les Athéniens s’y firent initier, lorsqu’ils se furent rendus maîtres de ce pays. Les philosophes, les guerrier
n. Osiris était fils de Jupiter et de Junon. Il régna sur l’Egypte et rendit son peuple heureux en le gratifiant d’une foule d
œuf Apis était le plus célèbre. On lui avait bâti des temples. On lui rendait des honneurs extraordinaires pendant sa vie et de
s ordinaires, monta à plus de cinquante mille écus. Après qu’on avait rendu les derniers honneurs au mort, il s’agissait de l
able raconte-t-elle les aventures d’Osiris et d’Isis ? Quels services rendit Osiris à l’Egypte ? Quels bienfaits répandit Isis
jamais la vie sans que les harpes des bardes attachés à sa famille ne rendissent ce son prophétique10. » 4. Leurs prêtres portaie
druides proprement dits habitaient dans de vieilles forêts où ils se rendaient presque inaccessibles. Ils formaient la classe sa
cornes étaient liées pour la première fois, et l’on priait le ciel de rendre son présent salutaire à ceux qu’ils en avaient gr
e vaillant, celui qui gouverne tout, sort des demeures d’en haut pour rendre la justice divine ; il prononce ses arrêts ; il é
15 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
l devroit être, ce me semble, la devise des Maisons d’éducation. Pour rendre les connoissances mythologiques, répandues dans l
âtrie. On a élevé au rang des Dieux une foule d’hommes qui se sont rendus célèbres par des actions éclatantes, ou utiles au
quelquefois enfoncée dans l’eau ; mais Neptune la fit surnager et la rendit stable. D. Sous quels noms divers Apollon étoit-i
e dans toute sa gloire, c’est-à-dire, la foudre à la main. Jupiter se rendit avec peine à sa demande. Ayant paru devant elle d
, ce seul espoir me soulage ; Va lui porter le tendre hommage Que lui rend ma triste amitié. D. Mercure n’avoit-il pas enco
Amour. Jupiter, pour récompenser Vulcain des services qu’il lui avoit rendus , lui fit épouser Vénus. D. Dites-nous quelques mo
ailes, et un carquois rempli de flèches ardentes. Le culte qu’on lui rend lui est commun avec sa mère. Dans une obscurité
e, Je porte au hasard mon flambeau : Otez à l’Amour son bandeau, Vous rendez le repos au monde. (Rousseau.) D. Dites-nous le
r, mille nouveaux appas         Animez nos cœurs et nos bras,          Rendez la victoire constante,                 Conduisez
stre de ce nom qui vomissoit feu et flammes, que Minerve tua. Pour le rendre plus effroyable, elle y attacha la tête de Méduse
Mars. C’étoit le Dieu de la guerre. Le caractère de ce Dieu est bien rendu dans ces vers que Rousseau met dans la bouche de
voyageurs pour les dévorer. Nos chants harmonieux forcent tout à se rendre ,    Nous disposons des cœurs à notre gré ;    Dès
omboit sans cesse. Tantale. D. De quel crime Tantale s’étoit-il rendu coupable ? R. Tantale voulant éprouver les Dieux,
de ses dons :    Aimable Dieu, de qui la main dispense       Ce qui rend les mortels heureux,          Votre vaste puissan
sa barque, enchaîna Cerbère, et enleva Alceste, malgré Pluton, et la rendit à Admète son époux. Ainsi, traversant l’Achéron,
ndît la cire qui attachait ses ailes, ou que les vapeurs de la mer ne rendissent les plumes trop humides. Ce jeune téméraire, oubl
n, Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain. (Racine.) Esculape rendit la vie à Hyppolite, et Diane le transporta en Ita
s de Médée, dont les enchantemens étoient absolument nécessaires pour rendre les taureaux dociles, et, endormir les dragons. M
siter les sombres bords, pour la redemander à Pluton. Celui-ci la lui rendit , mais à condition qu’elle le suivroit, et qu’il n
trouveroit son père dans la Phocide, province de la Grèce. Œdipe s’y rendit , et tua Laïus, en lui disputant le passage dans u
lui avoit fait connoître Minerve. Ce fut aussi avec cette herbe qu’il rendit à ses compagnons leur première forme. Il épousa e
. Cette Nymphe mit tout en usage pour le retenir, et lui promit de le rendre immortel. Pour fixer le volage Ulysse, Jouet de
it que de la moëlle de lion. Sa mère le plongea dans le Styx, pour le rendre invulnérable ; mais le talon par où elle le tenoi
chille : Ulysse, cependant, zélé pour sa patrie,            Veut lui rendre le seul Héros Dont l’appui des Troyens doit senti
’appui des Troyens doit sentir la furie, Et, pour le découvrir, il se rend à Scyros,            Il étale aux yeux des Prince
’une partie de sa famille, redemande le cadavre de son fils, pour lui rendre les derniers devoirs. Achille l’accorda, sur-tout
rement, malgré les défenses de leurs parens. Ils se donnèrent un jour rendez -vous hors de la ville de Babylone, près d’un mûri
er son voile. La lionne le déchira et l’ensanglanta. Pyrame arriva au rendez -vous, apperçut le voile tout ensanglanté ; se per
s ; mais il ne tarde pas à faire sentir toute son amertume, et à nous rendre ses infortunées victimes. Les paroles suivantes d
eilleront particulièrement leur conduite, régleront leurs mœurs, leur rendront tous leurs devoirs chers et précieux. Ils ne se p
lus nuisibles à la société, et les plus honteux pour l’homme qui s’en rend coupable ? R. Ce sont la fourberie, l’hypocrisie,
de l’homme, qui lui fait perdre l’estime de ses semblables, et qui le rend le fléau de la société. Il faut voir dans La Font
é. Il se disculpe pleinement, et pour se venger du Loup qui lui avoit rendu ce mauvais service, il dit au roi des animaux : S
du mensonge ? R. On sait combien ce vice est bas et honteux, et nous rend méprisables. On ne peut donner aucune confiance a
duit. Dans tous les cas, il marque un défaut de savoir-vivre qui nous rend indignes de la bonne société. L’homme honnête et
de toutes les ames bien nées. D. Avec quel soin doit-on éviter de se rendre coupable d’injustice ? R. L’injustice est justeme
ames honnêtes doivent donc fuir même jusqu’à l’ombre de l’injustice. Rendre à chacun ce qui lui est dû, respecter scrupuleuse
16 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
  Il ne suffit pas d’être belle,           C’est à la Beauté qu’on se rend  ;           Mais c’est au cœur qu’on est fidelle 
main,          Les autres le prennent en croupe :          Plutus s’y rend sans examen. Quel examen peut faire un Dieu qui n
il fut appelé le Dieu de la Médecine. Jupiter le foudroya, pour avoir rendu la vie au malheureux fils de Thésée. La ville d’E
tain du parti qu’il doit prendre, Au temple d’Esculape en foule va se rendre , Le priant d’annoncer, par des signes certains, S
,       Chargea Momus, pour un jour seulement, De régir l’Univers, de rendre la justice,          Et d’être en tout son lieute
urmures,             Ses coups de langue, ses injures,             Le rendait digne de pitié…             Que s’il régale ses a
ommença par détruire         De l’autre Dieu les folâtres statuts, Et rendit à nos gens devenus pacifiques,             Les de
rcé l’obscurité paisible. A peine un demi-jour, crépuscule douteux, Y rend visible un air humide et nébuleux. Jamais le chan
l qu’un doux souris qui naît parmi des larmes, A la campagne en deuil rend un moment ses charmes ! Qu’on goûte avec transpor
in promet des plaisirs non moins doux, Et la gaîté revient, exacte au rendez -vous. Ainsi dans l’Hiver même on connaît l’allégr
à l’encens funéraire. Ovide. —  Desaintange 65. Honneurs funèbres rendus par Énée aux Mânes de son père Anchise.    La nui
nchise a recueilli la cendre. Voici, voici le jour, où j’ai promis de rendre A cette ombre sacrée, objet de ma douleur, D’un d
! Allez, préparez tout pour de funèbres jeux. Qu’Anchise à nos desirs rende les vents propices : Qu’en des temples fondés sou
ir La voix de la reconnaissance, Sans qu’un long et profond soupir Ne rende à mon cœur ta présence. Soit qu’à travers les pas
es autels, vous, que votre art illustre, Honorez ses autels, vous qui rendez leur lustre Aux tissus des habits de taches impré
de faim. Le culte de Vesta remontait jusqu’au temps d’Enée. Numa lui rendit sa première splendeur. On la représente vêtue d’u
na. A cette triste nouvelle, Cérès alla conjurer Jupiter de lui faire rendre Proserpine. Le Père des Dieux le lui promit, pour
monstre se consume ; Et dévorant liaisons, palais, châteaux entiers, Rend pour des monceaux d’or de vains tas de papiers. S
a flûte et ma voix ; Que le lait le plus pur écume entre mes doigts ; Rends mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes ; P
le lait le plus pur écume entre mes doigts ; Rends mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes ; Puissent de frais gazons,
Cieux :                La nuit et son noir attelage        N’eût pas rendu les airs plus ténébreux :                C’était
s vœux, Ouvrir son sein, répandre sans obstacles Tous les trésors qui rendent l’homme heureux ; Des biens acquis par un travail
d’une amante à côté d’une mère ; Et par ces doux tableaux, à ton pays rendu , Ton cœur revoit le ciel que tes yeux ont perdu,
veurs !. L’abbé Roman, d’Avignon 109.    O toi, mère des biens qui rendent l’homme heureux, Fille de la raison et de la temp
ts semés dans l’Univers. Ce palais merveilleux, bâti d’airain sonore, Rend le son, le répète, et le répète encore. La voix r
ort Recevoir l’hyménée, et le trône et la mort ; Poison, me sauras-tu rendre mon diadême ? Le fer m’a bien servie, en feras-tu
fers, toute sa Cour. Elle voulait choisir un bon premier ministre Qui rendît ses états encor plus florissans.         Pour rem
n, Loin de m’abandonner à des pleurs inutiles ; Je dois de ton trépas rendre grace au destin. Forcé de renoncer au doux titre
ts. Virgile va nous offrir un tableau des derniers devoirs qu’on leur rendait .    Cependant, les Troyens, sur ces rives funest
te. Vainqueur du fleuve Achéloüs, il lui arracha une corne, qu’il lui rendit ensuite en échange d’Amalthée. Plusieurs Géans, p
parfum l’essence précieuse ; Cette pure ambrosie embaume ses cheveux, Rend son corps plus agile et ses bras plus nerveux.  
e More Aux eaux de l’Ister. Mais, Ombre chérie ! Un tribut d’honneurs Rend -il à la vie L’objet de nos pleurs ? Non, pour la
d’Hector, et ses généreux frères Flattaient mes derniers jours et les rendaient prospères. Ils ne sont plus : Hector est tombé so
né de leur perfidie, fut d’abord insensible à leurs instances : il se rendit enfin à l’éloquence artificieuse d’Ulysse, et sui
u’ils tendent ; Ils m’ont fait tous ces maux : que les Dieux les leur rendent  ! Sophocle. —  Laharpe. Patrocle, Fils de M
il déplora les lamentables malheurs de cet illustre vieillard, et lui rendit le corps de son fils. Patrocle à Achille.    « 
re plaintive, Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive, Qu’il lui rende … » A ce mot ce héros expiré, N’a laissé dans mes
ils murmuraient tout bas. Sur un trône brillant leur jeune Souveraine Rendit d’abord le calme à mon ame incertaine : Ses regar
nt que leurs filles, à qui elles brûlaient la mamelle droite pour les rendre plus propres à tirer de l’arc. Ces héroïnes souti
rouillards pluvieux, Ordonne à l’Aquilon de leur livrer la guerre, Et rend la terre au ciel, et le ciel à la terre.    La m
s’élance plein de joie, Saisit avidement les rênes qu’il déploie, Et rend grace à Phœbus qui tremble pour son fils. Cependa
is bientôt, fatigué d’un vol audacieux, A tes pieds, roi des arts, il rendit grace aux Dieux ; Tu reçus le tribut de ses ailes
tride cependant la flotte a disparu. Ilion, à la paix tu crus ton sol rendu  ! Vers des bords étrangers ces voiles fugitives,
ts, de sa main qu’anime un noble effort Un trait part… Mais quel Dieu rend ce trait inutile ? Il tombe, et meurt aux pieds d
r la combattre, hélas ! tu n’as que ton amour : Ton trépas à tes fils rendra-t -il donc le jour ?… Tu tombes ! et vers Troie, à t
ssentiment, Atrée dissimula pour se venger mieux ; il feignit d’avoir rendu son amitié à Thyeste ; et l’ayant attiré dans son
n’accuse que lui du malheur qui l’accable ; Le sang qui nous unit me rend -il seul coupable ? D’un criminel amour le perfide
dépouille des treilles ; Mais un nouveau raisin, de la fleur échappé, Rend aux pampres verdis le fruit qu’on a coupé. Non lo
n tragique. Leurs parens s’opposant à leur hymen, ils se donnèrent un rendez -vous pour quitter ensemble leur patrie, et se ret
re, en mûrissant, les mûres se teignirent. Leurs parens même enfin se rendent à leurs vœux, Et le même tombeau les enferma tous
par la sagesse de ses lois. Sa sévère équité lui mérita l’honneur de rendre la justice au tribunal des Enfers ; c’était le pr
la rive Africaine ; J’ai perdu la pudeur, ce trésor précieux, Qui me rendait si fière, et m’égalait aux Dieux. Ah prince ! pui
vertu courageuse. Hercule, logé un jour par Admète, entreprit de lui rendre son épouse ; il descendit aux Enfers, combattit l
et tressaille de joie. »    A sa chère Andromaque, à ces mots, il le rend . La mère le reçoit, et sourit en pleurant ; Hecto
tement vers l’autel ou l’Usurpateur périt de la main d’Egiste.    Me rendrez -vous mon fils, Dieux témoins de mes larmes ? Egis
ance est vaine,               Si ta voix souveraine            Ne lui rend des jours plus heureux.            O mon Père ! é
verrais la clarté des Cieux ! Pollux.                C’est peu de te rendre à la vie,            Le sort t’élève au rang des
tes pieds, tes bras, et tout ce que tu fus ? Demeure, et si tu peux, rends -moi, rends-moi Cadmus. O Dieux qui le changez en
tes bras, et tout ce que tu fus ? Demeure, et si tu peux, rends-moi, rends -moi Cadmus. O Dieux qui le changez en un serpent
rs, et la redemanda à Pluton. Le Dieu touché des sons de sa Lyre, lui rendit son épouse, à condition qu’il ne regarderait derr
ble à mes alarmes, Tu parais à mes pleurs mêler aussi tes larmes ; Tu rends geste pour geste ; et même en ce moment, Si ce n’
défigurer ses traits, On dirait qu’il sommeille endormi dans la paix. Rends à son corps glacé sa parure élégante… Quelque tri
ux se firent les derniers adieux.    Ni l’or, ni la grandeur ne nous rendent heureux ; Ces deux divinités n’accordent à nos vœ
époux surpris, étonnés, confondus, Se crurent par miracle en l’Olympe rendus . Vous comblez, dirent-ils, vos moindres créatures
els. Cloton ferait d’un coup ce double sacrifice. D’autres mains nous rendraient un vain et triste office. Je ne pleurerais point
dut m’être funeste, Aujourd’hui seul remède aux horreurs de mon sort, Rend un dernier service à qui cherche la mort. O vous 
n ces lieux, Dieux, hâtez le retour. Que Teucer me retrouve, et qu’il rende à la terre Le cadavre sanglant de son malheureux
s, amis imaginaires, Qui tout le jour lui baisant le genou, Surent le rendre enfin tout-à-fait fou ; L’un de son corps vante l
e la mort de Chioné sa mère, alla demander à l’Oracle de Claros de la rendre à la vie. Alcyone qui l’adorait, s’était long-tem
embrasse au lieu d’elle ; Comment par le Zéphir ces roseaux ébranlés Rendent des sons plaintifs en soupirs exhalés ; Comment l
rop parlé n’ayant pu se défendre, Sa voix, comme aujourd’hui, déjà ne rendait plus Que les derniers des mots qu’elle avait ente
fet suit la menace. Echo, depuis ce jour, Ne peut plus qu’écouter, et rendre tour-à-tour De la voix qui la frappe une image fr
chappe à l’œil séduit ; Tant de mille couleurs l’accord imperceptible Rend des tons différens le passage insensible : Tant d
eindre vos têtes ; Latone sur mes pas vous appelle à ses fêtes. On se rend dans le temple : et déjà sur l’autel Monte avec l
. Et n’ai-je pas le droit de me croire offensée Des honneurs que l’on rend à la fille de Cée, Elle qui, sans asile en ce vas
iques. Il couvrit de son horrible peau le Trépied sacré sur lequel il rendait ses oracles.    Impitoyables Zoïles, Plus sourds
trop fatal, Ce vil or, dont l’ardeur croît par la jouissance, Et qui rend les humains pauvres dans l’abondance, Moins heure
tte Le terrible clairon de Mars.    Est-ce le Dieu de l’harmonie Qui rend ces magiques accords ? C’est Pindare, enfant du G
même les Dieux. Horace d’une main hardie Touchant la lyre d’Ausonie, Rend des sons plus majestueux.    Je veux vous suivre
uses années Dans les douceurs d’un éternel repos. C’est la raison qui rend les lieux aimables ; Tout ici bas lui doit ses ag
émens : Antres obscurs, déserts impraticables, Son seul aspect vous a rendus charmans : Palais des Rois, vos cours ambitieuses
me divinisée, Soit insensible aux grandeurs, aux revers : De la vertu rends -nous la route aisée, Et pour jamais fais rentrer
ps reverdit les coteaux, Des chaînes de l’Hiver dégage les ruisseaux, Rend leur feuillage aux bois, ses rayons à l’Aurore ;
in. O quel combat alors ébranle son bassin ! Le volcan à la mer vient rendre sa secousse, Et heurte avec fracas les ondes qu’i
du Monde, Du fier Mars et de toi sait discerner le prix : Ton sceptre rend la Terre en délices féconde ; Le sien ne fait rég
unés aiment toujours le plus. Loin de vous accuser, ô Dieux ! je vous rends grace De m’avoir fait connaitre et sentir la disg
élégante,        Et son maintien modeste et gracieux. Ce sourire qui rend la beauté si touchante        Semblait encor l’em
l’avantage ;             L’amour est le prix des bienfaits. Le besoin rendit l’homme à l’homme nécessaire ; Et l’espoir du sec
long recueillement ; Et d’un amour si rare admirant la constance, Il rend graces au ciel qui créa l’Espérance. J. B. de Sa
nos talens. Ma lyre se taisait : l’auguste Poésie                Lui rend des sons brillans.    Recueille ces leçons : dan
De la naissante Liberté             Tempérèrent les fortes crises, Et rendirent à tous la force et la santé.    On devine aiséme
urer sur ses débris ?… Meurs, avant de sentir mes maux et ta misère ; Rends -moi le jour, le sang que t’a donné ta mère ; Que
.           Je sens bien au fond de mon cœur,           Qu’il faut te rendre enfin les armes,           Et qu’il faut d’une do
mphes opulentes ; Mais, hélas ! on sait à quel prix : Cet or, qui les rend si brillantes, Devient le signal du mépris. Oui,
Ebloui, mais lassé de l’éclat de nos villes, Souvent il s’écriait : «  Rendez -moi mes forêts ! » Un jour, dans ces jardins où L
eau ? Pauvre, chargé de soins, et consumé par l’âge, Qui peut l’avoir rendu le Dieu du voisinage ? Les pasteurs rassemblés vi
17 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
elui que Dieu avait choisi pour être le dépositaire de la loi et pour rendre témoignage de la vérité sur la terre, perdirent p
ommes qui s’étaient signalés par de grands exploits, par des services rendus à leurs semblables, et pour les rapprocher davant
s une étroite prison. Jupiter, encore enfant, délivra Saturne, et lui rendit son trône ; mais, comme celui-ci oubliait les bie
 : de sorte que sa conduite était réglée par la prudence. Les Romains rendirent à ce prince les honneurs divins ; ils le représen
le précipita dans les gouffres du Tartare. Cette dernière victoire le rendit paisible possesseur du monde. Il est facile de vo
res dieux, nous devons dire quelque chose du culte que les hommes lui rendaient et de la manière dont ils le représentaient. Jupi
e sur ceux de Saturne ou de Diane. Le chêne lui était consacré, et il rendait des oracles par la voix de ceux de la forêt de Do
lébrées avec magnificence : tous les dieux du ciel et de la terre s’y rendirent avec empressement ; une seule nymphe nommée Chelo
eigné l’art de la médecine, fut aussi foudroyé par Jupiter pour avoir rendu la vie à Glaucus, fils de Minos, et à Hippolyte,
e la terre, s’élevait un temple fameux consacré à Apollon, où le dieu rendait des oracles par la bouche de sa prêtresse qu’on a
ez déjà qu’il ne l’épargna pas plus que les autres dieux. Services rendus aux dieux par Mercure. Cependant, comme l’adre
fugia-t-il ? — Ne rentra-t-il pas en grâce ? — Quels services Mercure rendit -il aux dieux ? — Comment le représente-t-on ? — Q
faveur de sa fille. Le maître des dieux décida que Proserpine serait rendue à sa mère, si toutefois elle n’avait pris aucune
ui le livrèrent enchaîné à leur roi Midas. Ce prince s’empressa de le rendre à Bacchus, qui lui accorda, par reconnaissance, l
les dieux : Chômons, c’est faire assez qu’aller de temple en temple Rendre à chaque immortel les vœux qui lui sont dus : Les
les de Palès, Flore et Pomone. Pan faisait sa résidence en Arcadie et rendait des oracles sur le mont Lycée. Il inventa la flût
ire s’étendait sur les fleuves dont il était le père. Les anciens lui rendaient un culte solennel, et l’invoquaient au départ des
marins. Il avait, comme Nérée, le don de prévoir l’avenir, mais il ne rendait ses oracles que par violence ; avant de parler, i
vaisseaux. C’est elle qui, avec Charybde, amène les naufrages qui ont rendu si fameux le détroit de Messine. Ce dieu est le s
coups étaient inévitables. La jalousie de Procris, femme de Céphale, rendit ce don fatal. Elle s’était cachée derrière un bui
i éleva des statues, dont la plus fameuse est ce colosse égyptien qui rendait un son plaintif aux premiers rayons du soleil. Le
nt sévère, Minos, Éaque et Rhadamanthe, siégent sur leur tribunal, et rendent des arrêts irrévocables. Plus on avance dans ce t
père et se couvrit la tête d’un casque fabriqué par les Cyclopes, qui rendait invisible celui qui le portait. Pluton resta long
ncu. Hercule trempa ses flèches dans le sang de l’hydre, et ce poison rendit mortelles toutes les blessures qu’elles faisaient
qu’elles se passaient tour à tour. Grâce au casque de Pluton, qui le rendait invisible, Persée déroba cet œil et cette dent, e
invisible, Persée déroba cet œil et cette dent, et ne consentit à les rendre que si les Grées lui révélaient la retraite des G
l donna son trône au fidèle Dictys. Après ce nouvel exploit, le héros rendit aux dieux les armes dont il s’était servi pendant
i-même l’accomplissement. Cette mort, qui mit Persée au désespoir, le rendit maître d’Argos ; mais il céda cette ville à Mégap
e, par l’usurpateur Pélias ; celui-ci promit à ce jeune prince de lui rendre son trône, s’il parvenait à reconquérir la toison
de Pélée, l’un des Argonautes. Orphée, par l’harmonie de sa lyre, les rendit insensibles aux chants des Sirènes. Enfin ils arr
 ; mais de nouvelles épreuves attendaient Jason. Pélias refusa de lui rendre son trône. Médée, pour se venger de cette trahiso
jetés dans une chaudière bouillante. Médée les laissa bouillir, et ne rendit à Pélias ni la vie ni la jeunesse. Ce crime fut i
e la vie, d’ensevelir le corps de Polynice. La pieuse Antigone voulut rendre les derniers devoirs à son malheureux frère. Jeté
éclamer sa fille Chryséis, esclave d’Agamemnon. Celui-ci, forcé de là rendre , et voulant se venger d’Achille, qui avait provoq
touché des larmes de Priam qui pénétra la nuit dans sa tente, il lui rendit le corps de son fils. Bientôt, épris des charmes
corps que les eaux du Styx, où sa mère l’avait plongé, n’avaient pas rendue invulnérable. Après la mort d’Achille les Grecs c
ypte ce précieux fardeau. Résolue de venger la mort d’Osiris, elle se rendit à la ville de Buto, où Horus, leur fils, était se
rnement distinctif d’Isis. Typhon profita de la liberté qui lui était rendue pour ourdir de nouvelles trames, et voulut ravir
ation des Ptolémées, la religion se modifia, et les hommages que l’on rendait à Osiris se portèrent sur Sérapis. On pense que c
er ces monstres ; mais un jour viendra où l’ébranlement du monde leur rendra un moment la liberté ; alors, dans une lutte horr
18 (1800) Cours de mythologie pp. -360
e suffit pas d’être belle,                 C’est à la Beauté qu’on se rend  ;                 Mais c’est au cœur qu’on est fi
il fut appelé le Dieu de la Médecine. Jupiter le foudroya, pour avoir rendu la vie au malheureux fils de Thésée. La ville d’E
        Chargea Momus, pour un jour seulement, De régir l’Univers, de rendre la justice,             Et d’être en tout son lie
ommença par détruire         De l’autre Dieu les folâtres statuts, Et rendit à nos gens devenus pacifiques,             Les de
donne aussi le nom de Mânes aux ames des morts. Honneurs funèbres Rendus par Enée aux Mânes de son père Anchise.     La n
nchise a recueilli la cendre. Voici, voici le jour, où j’ai promis de rendre A cette Ombre sacrée, objet de ma douleur, D’un d
? Allez, préparez tout pour de funèbres jeux. Qu’Anchise à nos désirs rende les vents propices, Qu’en des temples fondés sous
ir La voix de la reconnoissance, Sans qu’un long et profond soupir Ne rende à mon cœut ta présence Soit qu’à travers les pass
ent de faim. Le culte de Vesta remontoit jusqu’au temps d’Enée. a lui rendit sa première splendeur. On la représente vêtue d’u
aisible asile, Loin des erreurs du monde, un sort doux et tranquille, Rendez grace à Vesta, méritez ses bienfaits ; Son culte
na. A cette triste nouvelle, Cérès alla conjurer Jupiter de lui faire rendre Proserpine. Le Père des Dieux le lui promit, pour
monstre se consume ; Et dévorant liaisons, palais, châteaux entiers, Rend pour des monceaux d’or de vains tas de papiers. S
a flûte et ma voix ; Que le lait le plus pur écume entre mes doigts ; Rends mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes ; P
le lait le plus pur écume entre mes doigts ; Rends mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes ; Puissent de frais gazons,
Cieux :                La nuit et son noir attelage        N’eût pas rendu les airs plus ténébreux :                C’étoit
s vœux, Ouvrir son sein, répandre sans obstacles Tous les trésors qui rendent l’homme heureux ; Des biens acquis par un travail
d’une amante à côté d’une mère ; Et par ces doux tableaux, à ton pays rendu , Ton cœur revoit le ciel que tes yeux ont perdu,
tes faveurs !. Roman, d’Avignon 107.     O toi, mère des biens qui rendent l’homme heureux, Fille de la raison et de la temp
ts semés dans l’Univers. Ce palais merveilleux, bâti d’airain sonore, Rend le son, le répète, et le répète encore. La voix r
ort Recevoir l’hymenée, et le trône et la mort ; Poison, me sauras-tu rendre mon diadème ? Le fer m’a bien servie, en feras-tu
fers, toute sa Cour. Elle vouloir choisir un bon premier ministre Qui rendit ses états encor plus florissans. Pour remplir cet
n, Loin de m’abandonner à des pleurs inutiles ; Je dois de ton trépas rendre grace au destin. Forcé de renoncer au doux titre
te. Vainqueur du fleuve Achéloüs, il lui arracha une corne, qu’il lui rendit ensuite en échange d’Amalthée. Plusieurs Géans, p
arfum l’essence précieuse ; Cette pure ambrosie embaume ses cheveux, Rend son corps plus agile et ses bras plus nerveux.  
More Aux eaux de l’Ister. Mais, Ombre chérie ! Un tribut d’honneurs Rend -il à la vie L’objet de nos pleurs ? Non, pour la
iens redemander ses dépouilles funestes ; Prenez tous mes trésors, et rendez -moi ses restes ; Epargnez-moi l’affront d’un refu
t parle sans mystère : Pour remplir à ton gré l’auguste ministère, De rendre au grand Hector les funèbres honneurs, Quel temps
né de leur perfidie, fut d’abord insensible à leurs instances : il se rendit enfin à l’éloquence artificieuse d’Ulysse, et sui
u’ils tendent ; Ils m’ont fait tous ces maux : que les Dieux les leur rendent  ! Sophocle. —  La Harpe 144. Patrocle, Fil
il déplora les lamentables malheurs de cet illustre vieillard, et lui rendit le corps de son fils. Patrocle à Achille.     «
e plaintive, Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive, Qu’il lui rende … » A ce mot ce héros expiré, N’a laissé dans mes
ils murmuroient tout bas. Sur un trône brillant leur jeune Souveraine Rendit d’abord le calme à mon ame incertaine : Ses regar
t que leurs filles, à qui elles brûloient la mammelle droite pour les rendre plus propres à tirer de l’arc. Ces héroïnes souti
s’élance plein de joie, Saisit avidement les rênes qu’il déploie, Et rend grace à Phébus qui tremble pour son fils. Cependa
            Vous ne verrez point de rivages               Qui ne vous rendent dès hommages Dignes de vos vertus, dignes de vos
is bientôt, fatigué d’un vol audacieux, A tes pieds, Roi des arts, il rendit grace aux Dieux ; Tu reçus le tribut de ses ailes
Une fin si tragique effrayant les Thébains, Du pouvoir de Bacchus les rendit trop certains ; L’encens fume, et le peuple animé
’Achille fut ton père. Achille fut humain : touché de ma misère Il me rendit Hector, il respecta sa foi, Et jusqu’à mon palais
tride cependant la flotte a disparu. Ilion, à la paix tu crus ton sol rendu  ! Vers des bords étrangers ces voiles fugitives,
ts, de sa main qu’anime un noble effort Un trait part… Mais quel Dieu rend ce trait inutile ? Il tombe, et meurt aux pieds d
r la combattre, hélas ! tu n’as que ton amour : Ton trépas à tes fils rendra-t -il donc le jour ?… Tu tombes ! et vers Troie, à t
ssentiment, Atrée dissimula pour se venger mieux ; il feignit d’avoir rendu son amitié à Thyeste ; et l’ayant attiré dans son
n’accuse que lui du malheur qui l’accable ; Le sang qui nous unit me rend -il seul coupable ? D’un criminel amour le perfide
dépouille des treilles ; Mais un nouveau raisin, de la fleur échappé, Rend aux pampres verdis le fruit qu’on a coupé. Non lo
n tragique. Leurs parens s’opposant à leur hymen, ils se donnèrent un rendez -vous pour quitter ensemble leur patrie, et se ret
par la sagesse de ses lois. Sa sévère équité lui mérita l’honneur de rendre la justice au tribunal des Enfers ; c’étoit le pr
vertu courageuse. Hercule, logé un jour par Admète, entreprit de lui rendre son Epouse ; il descendit aux Enfers, combattit l
il, et tressaille de joie. » A sa chère Andromaque, à ces mots, il le rend . La mère le reçoit, et sourit en pleurant ; Hecto
ement vers l’autel ou l’Usurpateur périt de la main d’Egiste.     Me rendrez -vous mon fils, Dieux témoins de mes larmes ? Egis
t vaine,                   Si ta voix souveraine               Ne lui rend des jours plus heureux.                   O mon P
tor. Je verrois la clarté des Cieux ! Pollux.      C’est peu de te rendre à la vie, Le sort t’élève au rang des Dieux. Cas
tes pieds, tes bras, et tout ce que tu fus ? Demeure… et si tu peux, rends -moi, rends-moi Cadmus. O Dieux ! qui le changez e
tes bras, et tout ce que tu fus ? Demeure… et si tu peux, rends-moi, rends -moi Cadmus. O Dieux ! qui le changez en un serpen
rs, et la redemanda à Pluton. Le Dieu touché des sons de sa Lyre, lui rendit son épouse, à condition qu’il ne regarderoit derr
le à mes allarmes, Tu parois à mes pleurs mêler aussi tes larmes ; Tu rends geste pour geste ; et même en ce moment, Si ce n’
raye un long chemin ; Et cette Ile, à Diane en tout temps consacrée ; Rend enfin à mon cours la lumière éthérée. Ovide.— Sa
défigurer ses traits, On diroit qu’il sommeille endormi dans la paix. Rends à son corps glacé sa parure élégante… Quelque tri
x se firent les derniers adieux.     Ni l’or, ni la grandeur ne nous rendent heureux ; Ces deux divinités n’accordent à nos vœ
époux surpris, étonnés, confondus, Se crurent par miracle en l’Olympe rendus . Vous comblez, dirent-ils, vos moindres créatures
dut m’être funeste, Aujourd’hui seul remède aux horreurs de mon sort, Rend un dernier service à qui cherche la mort. O vous 
n ces lieux, Dieux, hâtez le retour. Que Teucer me retrouve, et qu’il rende à la terre Le cadavre sanglant de son malheureux
s, amis imaginaires., Qui tout le jour lui baisant le genou Surent le rendre enfin tout-à-fait fou ; L’un de son corps vante l
e la mort de Chioné sa mère, alla demander à l’Oracle de Claros de la rendre à la vie. Alcyone qui l’adoroit, s’étoit long-tem
ur. Et, n’ai-je pas sujet de me croire offensée Des honneurs que l’on rend à la fille de Cée, Elle, qui vit le Ciel et la te
s,             Naquirent avec l’Univers.             Eux seuls ont pu rendre inutile Le feu du Ciel et l’effort des Autans ;  
trop fatal, Ce vil or, dont l’ardeur croît par la jouissance, Et qui rend les humains pauvres dans l’abondance, Moins heur
us brillans concerts. Orphée est à leur tête, et sa robe flottante Le rend plus vénérable aux Ombres qu’il enchante ; Il acc
te Le terrible clairon de Mars.     Est-ce le Dieu de l’harmonie Qui rend ces magiques accords ? C’est Pindare, enfant du G
même les Dieux. Horace d’une main hardie Touchant la lyre d’Ausonie, Rend des sons plus majestueux.     Je veux vous suivr
uses années Dans les douceurs d’un éternel repos. C’est la raison qui rend les lieux aimables ; Tout ici bas lui doit ses ag
émens : Antres obscurs, déserts impraticables, Son seul aspect vous a rendus charmans : Palais des Rois, vos cours ambitieuses
me divinisée, Soit insensible aux grandeurs, aux revers : De la vertu rends -nous la route aisée, Et pour jamais fais rentrer
ps revendit les côteanx, Des chaînes de l’Hiver dégage les ruisseaux, Rend leur feuillage aux bois, ses rayons à l’Aurore ;
du Monde, Du fier Mars et de toi sait discerner le prix : Ton sceptre rend la Terre en délices féconde ; Le sien ne fait rég
unés aiment toujours le plus. Loin de vous accuser, ô Dieux ! je vous rends grace De m’avoir fait connoitre et sentir la disg
taille élégante, Et son maintien modeste et gracieux. Ce sourire qui rend la beauté si touchante         Sembloit encor l’e
l’avantage ;             L’amour est le prix des bienfaits. Le besoin rendit l’homme à l’homme nécessaire ; Et l’espoir du sec
e nos talens. Ma lyre se taisoit : l’auguste Poésie               Lui rend des sons brillans.     Recueille ces leçons : da
la naissante Liberté                Tempérèrent les fortes crises, Et rendirent à tous la force et la santé.     On devine aisém
urer sur ses débris ?… Meurs, avant de sentir mes maux et ta misère ; Rends -moi le jour, le sang que t’a donné ta mère ; Que
vue.         Je sens bien au fond de mon cœur,         Qu’il faut te rendre enfin les armes,         Et qu’il faut d’une douc
mphes opulentes ; Mais, hélas ! on sait à quel prix : Cet or, qui les rend si brillantes, Devient le signal du mépris. Oui,
dû ton réveil qu’aux pointes au remord ; Le Ciel, des scélérats ne se rend point complice : S’il vient de te priver d’une tr
Ebloui, mais lassé de l’éclat de nos villes, Souvent il s’écrioit : «  Rendez -moi mes forêts ! » Un jour, dans ces jardins où L
eau ? Pauvre, chargé de soins, et consumé par l’âge, Qui peut l’avoir rendu le Dieu du voisinage ? Les pasteurs rassemblés vi
19 (1866) Dictionnaire de mythologie
forcé d en convenir. — Et ne croyez-vous pas que ce sera un service à rendre à bon nombre d’entre eux que de leur expliquer de
qu’en pensez-vous ? — Je pense qu’il est bien difficile de ne pas se rendre aux raisons d’un auteur qui veut faire valoir son
lui valut de la part des gens d’Antioche des plaisanteries qu’il leur rendit bien. Je n’aime pas les revenants, surtout les re
tai ses compliments de l’air réservé d’un homme qui sent qu’on ne lui rend pas toute la justice qui lui est due. Je laissai
liberté profitable au public et aux artistes, j’ai joint à mon compte rendu quelques réflexions dont les personnes qui voudro
contrée. Après cette scène de coups, de larmes et de lamentations, on rend les derniers devoirs à Adonis, comme à un mort, e
près du Père éternel. Plus tard, l’adulation avilit cet hommage pieux rendu à la vertu, à la bienfaisance ou au courage, en l
dans le dix-septième siècle, pour rajeunir ainsi la vieille Aurore et rendre un dernier éclat à ses fleurs flétries pour toujo
ur sacrilége, une soif que les libations rallument sans cesse. Il les rend tristes, sombres, hagards ; il dépouille leur fro
Cette fille qui t’a été volée et que tu pleures, puisse-t-elle t’être rendue  ! Lève-toi et ne méprise pas le pauvre asile de m
face. La déesse enfin retrouva sa fille, et Pluton consentit à la lui rendre , mais à condition qu’il la garderait six mois : l
nséquences de ces présages funestes, et la coutume en est restée. » Rendons à la sottise humaine la justice qui lui est due,
Justinien ; Judith, l’impérieuse femme du Débonnaire ; Constance, qui rendit la vie si dure au bon roi Robert ; Anne de Beauje
Chiron. Il devint si habile et fit des cures si merveilleuses, qu’il rendit la Mort inquiète et Jupiter jaloux. Si les hommes
des guirlandes de violettes, quelques grains de sel dans l’âtre, les rendent contents. En retour, ils comblent la maison de bi
e du marteau, le hasard des partages et l’instabilité des fortunes en rendent la possession incertaine et précaire. La nécessit
voir. Aussi n’est-il pas de parages de la Méditerranée qu’ils n’aient rendus fameux par les contes qu’ils en rapportaient. En
térieuse union, les génies devenaient des dieux infernaux auxquels on rendait , sous le nom de Mânes, un culte de Dulie. Comme o
ir les maux de notre condition. Remercions-le de ce présent, qui nous rend la vie à peu près supportable. Des poëtes plus ré
re jusqu’à présent que de beaux discoureurs. Il viendra quelqu’un qui rendra le poignard de Melpomène plus tranchant. Mais… je
t perdu leurs attributs antiques, mais chaque jour nos poëtes leur en rendent de nouveaux. Pour peu qu’ils aient au cœur l’étin
langue de circonlocutions vieillies où se noyait la pensée, ils l’ont rendue plus nette et plus énergique. Notre poésie, charg
entendait plus : en l’allégeant de ce bagage allégorique, ils lui ont rendu ses allures naïves et populaires. S’ils ont fait
aste et poétique nudité. Voilà ce que doit faire le poëte, et non pas rendre une vie artificielle à des fictions mortes avec l
er : la mort ne leur enlevait que le mouvement, qui pouvait leur être rendu  ; mais la flamme, en réduisant leur substance à u
mais la flamme, en réduisant leur substance à une poignée de cendres, rendait leur ruine irréparable. Ulysse, dans l’Odyssée, d
qui doivent parler à nos sens et à notre imagination, ne peuvent nous rendre les âmes visibles sans les envelopper d’une sorte
oisir. Mais il fallait la présenter décemment, et, s’il ne pouvait la rendre terrible, la sauver du ridicule en la rendant imp
egagner le terrain perdu ? Ce qui doit nous consoler pourtant et nous rendre confiance, c’est que dans tous les âges il s’est
uverts et ambigus. De là ces expressions : — Prendre un ton d’oracle, rendre ses oracles ; je ne comprends pas vos oracles. Le
 ? — Une table couverte de la peau de Python, où les prêtres accoudés rendaient des oracles ? — Un siége où s’asseyait la pythoni
20 (1841) Mitologia iconologica pp. -243
par per lei l’istessa morte. Ella fiamme d’onor nell’alma desta, Ella rende gentil qualunque sorte : Figlia di Dio la gran Sa
o’suoi raggi nella notte più sensibili dissipando le tenebre guida si rende , de’viaggi. Regina del silenzio, e madre de’ripos
ce piacer le sue ritorte. Da leï ogni virtù mortale impara Questa che rende appien dolce ogni sorte E fedeltà che al mondo d’
ietto, e lo scopo. L’altro pregio, che brillante non men, che robusto rende la narrativa sono appunto le somiglianze, ed i co
el verso deriva quel sentenzioso, e mellifluo parlare, che padroni ci rende del cuor di chi ci ascolta. Il verso però in altr
Con voce ben chiara L’oracolo intende La cosa più cara Salute gli rende Al fuoco si da. Nè prezza l’orror. Esclama :
ere sviluppato ne’ tre antecedenti endecasillabi, questo si è, che lo rende assai difficile, e presso che impraticabile. Quin
nde, Mormora il venticel dolce alla valle, L’aura serena dolce l’aria rende , E si comincia a scior nevoso calle, Dolce il rio
con allettante armonia, così per l’ordinato misto di questi sonoro si rende il secondo. Dalla varietà però della nomenclatura
e. Orrida maestà nel fero aspetto Terrore accresce, e più superbo il rende Rosseggian gl’occhi, e di veneno infetto Come inf
21 (1880) Lezioni di mitologia
ambrosio odor che delle fere edaci Gl’ impeti affrena, e inviolato il rende Del cocchio ostile al trascinar; lo copre D’ into
e distingue. Non hanno i glauchi occhi minaccia; amore Folgoranti gli rende , e sulla fronte Sorgon le corna, e son fra loro e
Ma seco quel piacer sì grato prende. Che quel ch’ama e l’ottien beato rende . Gli occhi intanto Giunon chinando a terra, Vide
fresche erbe il suo gregge ristora: E con le canne sue sì dolce canto Rende , che n’addolcisce il cielo e l’ora. Or l’occhiuto
 Il caduceo, in greco ααδυκειον, cioè verga di banditore e di araldo, rende assai distinta questa statua di Mercurio, giacché
e al vano morso Quasi presa si toglie. Era lo dio Con la vergine tal: rende paura Celer la ninfa, e la speranza Febo, Che più
enitor consperge Al figlio il volto, e a tollerar la fiamma Capace il rende ; gli circonda il crine Coi raggi, e fuori dal com
e già coll’agil corpo, e gode Trattar con mano le permesse briglie, E rende grazie non volute al padre. D’infiammati nitriti
nume, a cui è sacra una delle sommità del Parnaso. La nostra Diana si rende con ciò tanto più singolare, non avendo col jiume
ge alla fronte di vivace cervo Le corna, il collo gli prolunga, acute Rende l’orecchie, ed in sottili gambe Muta i piedi e le
Cura del nume era l’Arcadia: impera Ai fiumi irresoluti il corso, e rende L’onor primiero delle verdi frondi Ai rami inarid
rnato di frange per asciugarsi, che cade aggruppato sopra di un’urna, rende singolare questo bel simulacro di Venere, quanto
n han le navi ogni lor vela, ancora Stringonsi al remo i naviganti, e rende Contrastato pallor le guancie incerte. Stazio
avevano colla Terra, reputata lo stesso che Vesta. Questa differenza rende maggiormente probabile il parere accennatovi sull
ngegnosamente da lui spiegata per Biante Prieneo: lo che tanto più si rende verisimile quanto è certo dall’annessa epigrafe c
l’ immagine di Aspasia unica nel nostro Museo col suo nome greco, non rende improbabile che possa darsi questo abbigliamento
lia di Eretteo, e dopo essa Glimene che le volge le spalle. L’istoria rende ragione di questa attitudine. L’avventura di Proc
il ramo di frassino. La perdita però dei simboli secondari non ci si rende molto sensibile, attesa la conservazione di quel
que Clio la musa della fama, poiché essa la registra in iscritti e la rende durevole, e perchè ancora trasmette tutte indisti
a con tal simbolo. « La grazia dell’attitudine di questo simulacro la rende pregevolissima da osservarsi, ed avvene un’altra
i dice, scorge mi ad Esculapio un uomo barbato vestito di pallio, che rende grazie al Nume con un ginocchio a terra e le mani
ti: nel nostro la figlia è in piedi, il padre siede: questa diversità rende il nostro assai più pregevole, poiché lo possiamo
zie del suo misero amante. Egli accusa l’ Inferno inesorabile che non rende le sue prede. Scongiura Giove di voler rendere la
zia. Lo dio del Vino si placa, e nelr istante il vento settentrionale rende al fiume le sue acque. Deriade arma gl’Indiani co
nno i nomi coll’Iadi comune. Giunone sostiene Deriade, e terribile lo rende agli occhi di Bacco che prende la fuga: Minerva l
ago ch’è nel Palazzo Farnese, dove il Centauro suona la lira. Furnuto rende ragione perchè le tibie fossero ado prate da’ Bac
22 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XV. Giunone regina degli Dei e Iride sua messaggiera » pp. 79-85
empo fra Giove e Giunone ; e Omero sin dal 1° libro dell’Iliade ce ne rende accorti in questi versi : « Acerbissimo Giove, e
di congiunzione fra la Mitologia classica e il Feticismo egiziano, e rende qualche probabile ragione di così strano culto, c
23 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Appendice. » pp. -386
no. Tutte queste opere, e sopra ogni cosa la carità che è tra noi, ci rende appresso alcuni degni di biasimo. Vedi, dicono, c
dei Cristiani si mormora. E pure la nostra cena col proprio vocabolo rende buon conto di sè ; perciocchè è detta Agape, che
24 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — Introduzione » pp. 6-9
Roma soltanto, ma per tutta Italia, la cognizione della Mitologia si rende necessaria non solo ai cultori delle Arti Belle,
25 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXII. Marte » pp. 138-143
o viii del Paradiso : « …….e vien Quirino « Da sì vil padre, che si rende a Marte. » 180. Trovasi infatti in Cicerone :
26 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXVIII. Le regioni infernali » pp. 195-202
elle mura « Più e più fossi cingon li castelli, « La parte dov’ei son rende figura ; « Tale imagine quivi facean quelli, « E
27 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXIV. Vulcano e i Ciclopi » pp. 152-160
inoltre per l’assenza di qualunque cemento : la loro pesante mole ne rende sicura la stabilità, e fece attribuire tali costr
28 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXXI. Il Genio e i Genii » pp. 232-241
a, « E in parte ha forma della madre, in parte « Di più alto esemplar rende figura ; ecc. » (A Gino Capponi, strofa ultima.)
29 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Della mitologia in generale. » pp. 17-359
o in Capricorno. Età del rame. Dal metallo, che, fuso in varie forme, Rende adorno il Tarpejo e il Vaticano, Sorti la terza e
0). 158. Era immolata a Bacco la gazza, per avvertire che il vino ci rende indiscretamente loquaci ; ed il capro perchè ques
are tutti i mali della vita, Saturno vi regna con la moglie Rea, e vi rende perpetua l’età dell’oro che fu tanto breve sopra
rad. del Pindemonte.) Come poteva esser meglio dipinta l’avarizia che rende povero l’uomo in mezzo alle sue ricchezze ? 252 D
 : Orrida maestà nel fero aspetto Terrore accresce, e più superbo il rende  : Rosseggian gli occhi, e di veneno infetto, Com
insegna a correggere i nostri propri difetti, smaschera l’ipocrisia e rende odioso il mal costume ; mentre Tersicore muove il
esi dell’ anno ; e qualche idea sul moto dei segni celesti (676, 677) rende facile l’ interpretazione dei principali avvenime
30 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLV. La spedizione degli Argonauti alla conquista del Vello d’oro » pp. 331-341
rte molto secondaria ; ma appunto per questo vi è maggiore unità e si rende più facile e più breve la narrazione. Giasone er
31 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXVI. Nettuno re del mare e gli altri Dei marini » pp. 173-183
o del Canto xxx dell’Inferno. 222. L’aver provato i mali della vita rende piu compassionevoli per le altrui sventure. Perci
32 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XVII. Apollo considerato come Dio del Sole, degli Arcieri e della Medicina » pp. 92-103
ando ha decretato la dissoluzione dei corpi anche meglio organizzati, rende nulla la scienza e l’arte degli uomini. 105. C
33 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXIX. Plutone re dell’ Inferno e i suoi Ministri » pp. 203-215
tizia ; e la sua lunghissima coda non gli offusca l’intelletto, nè lo rende un animale irragionevole e indegno di cotanto uff
34 (1855) Della interpretazione de’ miti e simboli eterodossi per lo intendimento della mitologia pp. 3-62
della terra, o da ανδανειν, placare, perchè presedendo alla morte, la rende per antifrasi quasi gioconda e soave. Ed è chiama
rispondenze amorose, ed ogni legame, che rannoda l’uomo all’uomo e ne rende un tipo di grandezza sociale. E veramente elleno
35 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
venir meno. L’arbore, ch’era verde, si fa smorta, Ed ogni spoglia sua rende al terreno : Le ninfe della selva abitatrici Abba
farse, Che pende al retto resuplno, e leve ; Dal picciol corpo il lin rende e lo stame, Ed incatena ancor l’antiche trame.
ue forme o nature. Soprannome che veniva dato a Bacco, perchè il vino rende gli uomini o gai, o furiosi. 798. Bilancia. — Il
l’ali, ed alza il grido, Trema per tutto il mare, e s’apre e mugge, E rende polveroso il cielo e ’l lido, E le biade e le pia
ià la serpigna squama asconde il volto, E se vuol favellare, il sibil rende  : Pur si volge alla moglie, e dir s’arrischia : M
utunno si levan le foglie L’una appresso dell’altra. infin che’l ramo Rende alla terra tutte le sue spoglie ; Similemente il
Il desolato genitore fa ritrarre la figura del morto figliuolo, e gli rende nel silenzio delle domestiche pareti gli onori e
direttamente dalla Lidia per assediare la città di O calia di cui si rende padrone. Abbordato al capo Cineo nell’Eubea, Erco
encor ses désirs Et retarde le cours de ses derniers soupirs. Prét à rendre la vie, il en câche le reste ; Et sa mort au vain
so nello spazio, durante il periodo di 9mila anni. Lo storico Serbio, rende ragione di simile tradizione col dire che gli dei
uol dire tempesta ; ed infatti l’apparizione di quella meteora non si rende visibile alla terra, se non dopo una tempesta ; e
anzia prende origine dalla parola greca λιτο che significa : cosa che rende suono. 2550. Littorale. — Qualificazione data, in
36 (1842) Heathen mythology
rn. Pour forth the cup of pain.     First Fury. Thou thinkest we will rend thee bone from bone, And nerve from nerve, workin
g like fire within!     Pro. Pain is my element, as hate is thine; Ye rend me now; I care not.     Second Fury. Dost imagine
hearts’ left to brood. “I marked the haughty spirit’s strife,     To rend its bonds in vain: Again I heard the cause of ill
d huge bones he bares. (A ghastly sight!) or raging with his pain, To rend the sick’ning plague, he tugs in vain. As the red
shield the fearful weapon went, His corslet pierces, and his garment rends , And, glancing downward, near his flank descends.
37 (1897) Mitologia classica illustrata
ulcani, e, dominato dall’ uomo, torna utile nell’ azienda domestica e rende possibile la lavorazione dei metalli, ond’ esso è
ia. Esse erano venerate come datrici di tutto quello che abbellisce e rende gradevole la vita. Senza di esse, neppur gli Dei
rioso; egli è un re occulto e che occultamente opera, anzi un elmo lo rende invisibile (donde il suo nome); ma tanto più è te
coltà, e combattendo con invitta costanza le battaglie della vita, si rende degno d’ una gloria immortale. In tal senso Orazi
i danno incremento; giacchè gli Dei hanno in odio quelle violenza che rende l’ uomo capace di qualunque delitto. » 2. « Giov
38 (1836) Mitologia o Esposizione delle favole
ilvano, perchè le puerpere non molestasse. Strenua dicessi la Dea che rende gli nomini valorosi; Agenoria e Stimula quella ch
Volunna que’ che lor danno il buon volere; Cazio quello che cauti li rende ; Angerona quella che libera dalle angosci e, e fa
39 (1855) Compendio della mitologia pe’ giovanetti. Parte I pp. -389
al quale ebbero in premio quell’stinto nel fabbricare il mele, che le rende fra gli animali tanto ammirabili. Così allevato c
(1) facendo gustare ad Enèa ambrosia mescolata con dolce nettare, il rende immortale, percui è annoverato fra gli Dei. Quant
le vie del cielo. Ma Fulgenzio(2) il vuole così detto, perchè il vino rende libera l’anima dalle cure e dalla tristezza. Cice
forza alcuna distornare. Nettuno intanto, per le preghiere di Venere, rende il mare tranquillo, ed Enea, dopo la dipartita da
gella, non teme la fiamma, si lacera il corpo e col proprio sangue si rende propizia la Dea(4). In Roma, fuori del pomerio, e
40 (1898) Classic myths in english literature
ing the Giants. [Gem: Baumeister.] 4. Two of the Hours. [Vase: Compte Rendu de St. Petersbourg, 1862, Table 4; Roscher 16 and
e dwellings for the night. Fig. 4. Two of the Hours. [Vase: Compte Rendu de St. Petersbourg, 1862, Table 4; Roscher 16 and
ed behind The urns of the silent snow, And earthquake and thunder Did rend in sunder The bars of the springs below; The bear
ng to the styes again; Where they in hopeless bitterness were fain To rend the oaken woodwork as before, And tear the trough
n sight of land, a storm arose that broke his mast, and threatened to rend the raft asunder. In this crisis he was seen by a
d to the hand and quit its parent trunk, but otherwise no force could rend it away. If torn away another would succeed. Ænea
,” but she moveth never the more…. Then with his bright blade Sigurd rends the ring-knit mail that encloses her, “till nough
41 (1831) Mitologia ad uso della gioventù pp. -
i essa personifica le idee e le passioni umane, brillanti e vivissime rende le immagini, nè senza di essa potrebbe la poesia
otina al bere, Educa o Edusa al mangiare. Strenua dicevasi la dea che rende gli uomini valorosi, Agenoria o Stimula quella ch
42 (1855) The Age of Fable; or, Stories of Gods and Heroes
n sight of land, a storm arose that broke his mast, and threatened to rend the raft asunder. In this crisis he was seen by a
d to the hand and quit its parent trunk, but otherwise no force could rend it away. If torn away, another would succeed. 27
which had been partially split open by wood-cutters, and attempted to rend it further; but the wood closed upon his hands an
leon Bonaparte, alludes to the story of Milo: — “He who of old would rend the oak     Deemed not of the rebound; Chained by
43 (1806) Corso di mitologia, utilissimo agli amatori della poesia, pittura, scultura, etc. Tomo II pp. 3-387
perchè essa si trova spezialmente ne’ vecchi ; smunta, perchè tale la rende il continuo affanno d’accumulare ; pallida, perch
o, perchè la mento dell’ Accidioso è occupata da tale torpore, che lo rende insensato. Il pesce poi testè nominato è di natur
44 (1824) Breve corso di mitologia elementare corredato di note per uso de’ collegi della capitale, e del regno pp. 3-248
Acate s’incamina l’Eroe verso Cartagine, e coverto da un velo che lo rende invisibile, si approssima alla bella Didone detta
45 (1836) The new pantheon; or, an introduction to the mythology of the ancients
e, the Sire of Gods his thunder rolls, And peals on peals, redoubled, rend the poles. Beneath, stern Neptune shakes the soli
46 (1806) Corso di mitologia, utilissimo agli amatori della poesia, pittura, scultura, etc. Tomo I pp. 3-423
e) (4). Era chiamata Murcia o Murzia, ossia Dea de’pigri, perchè tali rende i suoi adoratori. Altridicono, che Venere da prim
ntraddizioni dell’Istoria e nelle tenebre della Favola, che appena si rende probabile di poter asserirne la verità. Platone,
47 (1832) A catechism of mythology
th’ impatient captives tend, And, pressing for release, the mountains rend . High in this hall th’ undaunted monarch stands,
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