e qu’il touche, l’expérience et la lassitude du malheur vinrent enfin
rendre
quelque moralité au monde. On sentit la nécessité
orgueil au milieu des maux qui l’accablaient, porta sa folie jusqu’à
rendre
des honneurs divins à ceux de ses semblables qui
rend en même temps comment furent institués ces jeux et ces fêtes qui
rendirent
la Grèce si célèbre. Le pays que nous connaissons
es descendans traversèrent probablement le Bosphore de Thrace pour se
rendre
dans la Grèce. Voilà sans contredit les premiers
rennent que ce fut sous son règne que l’Aréopage, établi par Cécrops,
rendit
le jugement entre Neptune et Mars, dont nous avon
Héraclides, descendans d’Hercule, entrèrent dans le Péloponèse, et se
rendirent
maîtres des royaumes d’Argos, de Mycène et de Lac
mémoire, on la respectait ; mais les Grecs furent les premiers à leur
rendre
un culte. C’est aussi de leur langue que dérivé l
er le séjour des dieux ; cette opinion donna lieu au culte qu’on leur
rendit
. Le culte des dieux et celui des héros n’était po
ombeaux se transformer en temples. Tout particulier avait le droit de
rendre
des devoirs à ses ancêtres, et même de leur accor
aux héros du pays ressemblaient aux temples des dieux, et, pour leur
rendre
un hommage encore plus solennel, on établissait e
des airs, vint à son secours, tua le monstre, brisa ses chaînes et la
rendit
à ses parens. (Fig. 70.) Andromède était promise
de leur beauté, en disant que leurs regards changeaient en pierre et
rendaient
immobile. Pline le Naturaliste les peint comme d
eçut très-bien ; mais Antée ou Sthénobée, femme de Prœtus, n’ayant pu
rendre
Bellérophon sensible à la tendresse qu’elle avait
roces en faisaient leur repaire. Bellérophon fut chargé par Iobate de
rendre
ces forêts moins dangereuses, en donnant la chass
législateurs de l’antiquité : pour leur donner plus de force, et les
rendre
plus sacrées, il feignait que son père Jupiter le
de remarquable. Minos second, son fils, le fit bientôt oublier, et se
rendit
très-célèbre par sa puissance et ses conquêtes. J
lui, on n’avait vu de fiottes aussi nombreuses : elles servirent à le
rendre
maître de toutes les îles voisines de son royaume
nteux de leur défaite et d’un tribut si déshonorant, s’efforcèrent de
rendre
odieuse la mémoire de Minos second, en publiant u
rète, grand nombre de sacrifices furent offerts aux dieux pour se les
rendre
favorables. Thésée, parvenu au port de Phalère, f
nt. L’histoire, poursuivant son récit, rapporte que de Naxe Thésée se
rendit
à l’île de Délos, où il consacra une statue de la
phe de Thésée avait été connu trop tard. Thésée, de retour à Athènes,
rendit
les derniers devoirs à son père : il institua des
frapper une médaille sur laquelle on voyait un taureau ; mais rien ne
rendit
si célèbre le souvenir de cette victoire, que le
le poursuivit en effet jusque dans la Sicile, et somma Cocalus de lui
rendre
son prisonnier. Cocalus, ne voulant point violer
us affecta de montrer les plus grands regrets de la mort de Minos, il
rendit
son corps à ses soldats, qui le firent enterrer s
temps, sans la haine des poëtes tragiques qui cherchèrent toujours à
rendre
sa mémoire odieuse. Pour distinguer les deux Mino
allait lui offrir quelques nouveaux sacrifices ; mais un autre motif
rendait
seul ses prières aussi fréquentes. Du haut de cet
comme un dieu dans Trézène. Diomède lui fit élever un temple, et lui
rendit
les honneurs divins. Les Trézéniens assurèrent qu
a gloire d’avoir, le premier, fait usage des voiles ; mais rien ne le
rendit
plus célèbre que la perfection qu’il sut donner à
ingénieux artiste, il ne sut point triompher de la jalousie ; elle le
rendit
criminel, et vint ternir sa gloire. Il s’était pl
ventions étaient de véritables bienfaits pour les hommes, et qu’elles
rendaient
leurs auteurs immortels ; il craignit d’être surp
rt, changea la peine en un bannissement perpétuel. Ce meurtre l’ayant
rendu
généralement odieux dans Athènes, Dédale se réfug
aux passions humaines. Il institua des fêtes auxquelles on pouvait se
rendre
avec sûreté, parce qu’à l’exemple d’Hercule il av
isant la réunion des douze bourgades de l’Attique, n’avait songé qu’à
rendre
les Athéniens plus puissans, et n’avait pas prévu
ment ses enfans dans l’Eubée, chez Elphénor, fils de Chalcodon, et se
rendit
lui-même au bourg de Gagette, où il adressa aux d
core aujourd’hui le Champ des Malédictions. Thésée s’embarqua pour se
rendre
à la cour de Lycomède, roi de l’île de Scyros. Ce
n se rappela ses actions et sa grande piété envers les dieux ; on lui
rendit
les honneurs accordés aux héros ; on lui bâtit mê
s. Le troisième, fils de Jupiter et d’Alcmène, naquit à Thèbes, et se
rendit
célèbre par mille travaux. Il en existait un plus
el que l’on appela depuis la voie lactée. (Amas immense d’étoiles qui
rend
plus claire cette portion du ciel.) Le tonnerre s
ousie de Junon ; ils publièrent que Pallas, en jetant une pierre, lui
rendit
son calme, et le fit tomber dans un profond somme
aux pour en purger entièrement ces marais, et la culture vint ensuite
rendre
ce lieu très-fertile : ce qui fit dire qu’il s’ét
Lerne. Hercule trempa ses flèches dans le venin de ce serpent, ce qui
rendit
leurs blessures incurables. Junon, continue la fa
s campagnes ; ce qui les foula aux pieds, les couvrit de boue, et les
rendit
impossibles à cultiver. Hercule, à sa prière, emp
phée ; ses eaux, en coulant sur les plaines, les nettoyèrent, et leur
rendirent
toute leur fertilité. Telle fut l’origine de la f
es, les travaux d’Hercule, que les Grecs y gravèrent par la suite, le
rendirent
extrêmement célèbre. La ville de Cadix se croyait
aient les propriétés. Hercule construisit des digues, et par ce moyen
rendit
la paix aux Calydoniens et aux Arcadiens, qui se
lui lier les mains avec des chaînes de diamant. Il ne consentit à lui
rendre
sa liberté qu’à la condition qu’elle rendrait Alc
nt. Il ne consentit à lui rendre sa liberté qu’à la condition qu’elle
rendrait
Alceste à la vie. La Mort fut contrainte de céder
lorsqu’Hercule les rencontra. Il combattit Acaste, et le força de lui
rendre
Alceste, qu’il ramena auprès de son époux. La cél
très-grande du temps d’Hercule. Leurs conquêtes sur leurs voisins les
rendaient
très-redoutables : Eurysthée voulut qu’Hercule al
ns elles allaient visiter leurs maris. Dans ces entrevues, elles leur
rendaient
les enfans mâles, et conservaient les filles pour
Hercule Égyptien qu’il avait pris pour modèle, il fut si touché qu’il
rendit
le trépied. Hercule, avant sa mort, avait fait ju
Héraclides allèrent s’établir dans le Péloponèse, dont ils s’étaient
rendus
les maîtres ; mais la peste ayant désolé leur arm
une flotte à Neupacte. Arnus, fameux devin de ce temps-là, voulut se
rendre
auprès d’eux ; il fut pris pour un espion et mis
, à qui elle appartenait légitimement, et une longue tyrannie l’avait
rendu
l’horreur de son peuple. Ayant appris qu’Alcimède
it un arbre de la forêt de Dodone, ce qui donna lieu à la fable qu’il
rendait
des oracles. La forme de ce vaisseau était longue
lotte redemandèrent Médée. On convint de part et d’autre que Jason la
rendrait
, si elle n’était pas son épouse. La femme d’Alcin
une ligue contre tous ceux qui voudraient les attaquer ; et, pour la
rendre
plus solennelle, Hercule les assembla dans les pl
ces, lui fit présent d’un trépied d’or, auquel on croyait la vertu de
rendre
des oracles. Suites des aventures de Jason et
que le poëte emploierait tout son art à les justifier d’un crime qui
rendait
la mémoire de leurs pères odieuse et méprisable à
que ces mystères de Samothrace. On leur croyait surtout le pouvoir de
rendre
les dieux propices pendant les grandes navigation
ompter les chevaux. Après le voyage de la Colchide, ces deux héros se
rendirent
très-redoutables sur la mer, et purgèrent l’Archi
près lui, firent ce même voyage. Orphée, de retour dans la Grèce, s’y
rendit
respectable, en persuadant qu’il connaissait les
son temps. Ses talens, et les grands biens qu’il fit à la société, le
rendirent
l’un des hommes les plus justement célèbres. Ayan
alla dans un lieu de la Thesprotie, nommé Aornos. Un ancien oracle y
rendait
ses réponses, et prétendait avoir la puissance d’
connaître quelle est l’issue des combats qui se donnent. Son absence
rend
tout le courage aux Curètes ; ils redoublent leur
’abîme restait toujours ouvert, et refusa d’en descendre. Polynice se
rendit
auprès d’Adraste, roi d’Argos, qui lui donna sa f
lus grande solennité. Après avoir passé l’isthme de Corinthe, elle se
rendit
en Béotie, et força les troupes d’Étéocle de se r
es fondirent l’un sur l’autre : et, après s’être percés de coups, ils
rendirent
les derniers soupirs, sans pouvoir assouvir leur
à faire éclore ces semences de division. « Pâris vint en Grèce, et se
rendit
à la cour de Ménélas, où la beauté d’Hélène fixai
la campagne, enlevaient les récoltes et les troupeaux. Un autre motif
rendait
ces détachemens indispensables. La ville n’était
titres qu’une longue absence avait fait oublier, qu’un retour imprévu
rendait
odieux. Au lieu des transports que devait exciter
aître quels étaient les premiers oracles. Thémis, Jupiter et Apollon,
rendaient
seuls autrefois des oracles ; mais, par la suite,
plus alors que pendant un seul jour de chaque mois. Les oracles ne se
rendaient
pas tous de la même manière. Quelquefois la prêtr
s, on jetait des sorts, comme à Préneste, en Italie. Souvent, pour se
rendre
digne de l’oracle, il fallait des jeûnes, des sac
la consulter. Par la suite, on mit plus d’artifice dans la manière de
rendre
cet oracle. On suspendit quelques chaudrons de cu
le mettait en mouvement ; tous les autres alors étaient ébranlés, et
rendaient
un son qui durait assez long-temps : c’était sur
des interprètes ; et l’on publia que les chênes de la forêt de Dodone
rendaient
aussi leurs oracles. La poutre du navire Argo, qu
divin, et probablement elle sut tirer avantage des hommages qu’on lui
rendait
; bientôt ses réponses passèrent pour des oracles
ir. Des prêtres succédèrent à cette femme, et s’emparèrent du soin de
rendre
les oracles. Ils représentèrent Jupiter Àmmon ave
; Eschyle, dans sa tragédie des Euménides, dit que la Terre d’abord y
rendit
des oracles, ensuite, Thémis, et après elle Phœbé
e ; mais, dans la suite, il y en eut jusqu’à trois. Les oracles ne se
rendaient
pas tous les jours. Apollon n’inspirait ordinaire
zarre, dans l’espérance de l’embarrasser. La réponse de la Pythie lui
rendit
toute sa crédulité, et les présens redoublèrent.
Elle était fille de Glaucus et prêtresse d’Apollon. Ce dieu voulut la
rendre
sensible, et lui promit de lui accorder la demand
aux Sibylles ; celle de Cumes, que l’on croyait inspirée par Apollon,
rendait
ses oracles du fond d’un antre placé dans le temp
le romain se préparait à lui accorder ce litre, et le sénat devait en
rendre
le décret, le jour même que César fut assassiné.
, et l’honorèrent comme une divinité, dans le lieu même où elle avait
rendu
ses oracles. 5°. La cinquième Sibylle était l’Éry
lon et de Crésus. 9°. La Phrygienne faisait son séjour à Ancyre, et y
rendait
ses oracles. 10°. La Tiburtine, ou de Tibur, se n
taient d’abord que deux ; mais on porta leur nombre jusqu’à dix, pour
rendre
plus difficile le moyen de les corrompre. Le mond
es habitans du Nord. Nous espérons que cet hommage, que nous aimons à
rendre
au célèbre historien du Danemarck, déterminera no
a religion, qu’il y a joui d’une grande autorité, et qu’on lui a même
rendu
les honneurs divins. Tous ces faits ne peuvent êt
les dieux, soit qu’il fût le premier prêtre ou le chef du culte qu’on
rendait
au dieu Odin. On sait que plusieurs nations donna
a mer Caspienne. Leur ville principale était Asgard. Le culte qu’on y
rendait
au dieu suprême était célèbre dans tous les pays
tions en chef, aidé par douze autres pontifes, espèces de druides qui
rendaient
aussi la justice. Odin ayant réuni sous ses drape
tisfait de donner des couronnes à ses fils que de régner lui-même, se
rendit
ensuite en Suède, où régnait un prince nommé Gylp
cré par de si brillantes conquêtes, comme un être extraordinaire, lui
rendit
de grands honneurs, et l’adora même comme une div
e la même autorité qu’en Danemarck ; les Suédois vinrent en foule lui
rendre
leurs hommages, et déférèrent d’un consentement u
ouze seigneurs ou druides. Ils devaient veiller à la sûreté publique,
rendre
la justice au peuple, présider au nouveau culte,
s dans les combats, seraient morts les armes à la main. Dès qu’il eut
rendu
le dernier soupir, on porta son corps à Sigutna,
in la fit embaumer ; et sut persuader aux Scandinaves qu’il lui avait
rendu
la parole par ses enchantemens. Il la portait tou
e, par la force de ses enchantemens, il ôtait la force à ses ennemis,
rendait
à ses amis la santé, et découvrait tous les tréso
ses ennemis était si grande, que, pour la peindre, on dit qu’elle les
rendait
sourds et aveugles. Aussi terrible que les taurea
ou dans des forêts consacrées. Là elle régnait dans le silence, et se
rendait
sensible dans le respect qu’elle inspirait. La re
Mais leurs passions dominantes devinrent la mesure déshonneurs qu’ils
rendaient
; ce fut ainsi que le dieu suprême, dont l’idée p
. Il reste même encore aujourd’hui quelques traces du culte qu’on lui
rendait
parmi les peuples du Nord. Le quatrième jour de l
es dieux se tient ordinairement sous un grand frêne ; c’est là qu’ils
rendent
la justice. Ce frêne est le plus grand de tous le
e vaillant, celui qui gouverne tout, sort des demeures d’en-haut pour
rendre
la justice divine ; il prononce ses arrêts ; il é
et sociales, il est bientôt environné de mille noires terreurs qui le
rendent
féroce et défiant. Tous les êtres qui partagent s
cette opinion. Les trois Parques, dont nous avons déjà cité les noms,
rendaient
les oracles dans les temples. Celui d’Upsal était
e peuplèrent les Celtes des Gaules. La situation respective des lieux
rend
cette opinion probable, et la conformité de langa
x des chefs que l’on nommait Vergobrets (titre égal à celui de rois),
rendit
leur pouvoir plus indépendant des druides. Tremno
. On prévoit avec quel soin les bardes entretenaient les opinions qui
rendaient
leur ministère si consolant et si nécessaire. On
jamais la vie sans que les harpes des bardes attachés à sa famille ne
rendissent
ce son prophétique. On sent combien il paraissait
taient interdits également. Organes et protecteurs de la justice, ils
rendaient
les sentences, et veillaient sur ceux qu’ils char
es druides entretenaient un feu éternel dans leurs forêts. Les Perses
rendaient
à l’eau un culte religieux ; les Gaulois rendaien
forêts. Les Perses rendaient à l’eau un culte religieux ; les Gaulois
rendaient
les mêmes honneurs à cet élément. Ces ressemblanc
ous les différens, de tous les intérêts des peuples, la justice ne se
rendait
que par leur ministère. Ils décidaient également
leurs fonctions séparément des hommes. Leurs divinations les avaient
rendues
plus célèbres que les druides eux-mêmes. Lorsque
érémonie du gui de chêne. Toute la doctrine des druides tendait à
rendre
les hommes sages, justes, vaillans et religieux.
présence de leurs père et mère. 15°. L’argent prêté en cette vie sera
rendu
aux créanciers dans l’autre monde. 16°. Il y a un
lettres données au mourant ou jetées dans les bûchers sont fidèlement
rendues
dans l’autre monde. 18°. Que le désobéissant soit
troisième, des Demi-Dieux et des Héros ; dans la quatrième, du culte
rendu
aux faux Dieux, des jeux publics, des monuments e
ouvantables3. Questions. Qu’est-ce que Cybèle ? — Quel culte lui
rendait
-on sous le nom de Vesta ? — Comment la représente
rit le trépied sur lequel s’asseyait le pythonisse de Delphes11, pour
rendre
ses oracles. Ce fut à l’occasion de cette victoir
ecine. Il était devenu tellement habile dans cette science, qu’il put
rendre
la vie à Hippolyte, fils de Thésée, que ses cheva
mais Jupiter, pour punir ce meurtre, le chassa de l’Olympe et ne lui
rendit
ses bonnes grâces et la conduite du char du solei
lon, nous devons citer Phaéton, que son imprudence et son malheur ont
rendu
célèbre. Voulant donner une preuve irrécusable de
Diane, quelles étaient ses fonctions sur la terre ? — Quel culte lui
rendait
-on ? — Comment la représente-t-on ? VII. — Ba
de sa gloire. Après avoir longtemps résisté, le maître du tonnerre se
rendit
à ses vœux imprudents ; mais le spectacle de sa g
é de l’éducation du jeune Dieu. Quand il fut devenu grand, Bacchus se
rendit
célèbre par son courage, et fut considéré comme l
divinités déchues : Mercure, qui ne voulait que prouver son adresse,
rendit
les troupeaux à Apollon, et lui fit don en outre
onna à Vulcain, comme une récompense du service que ce Dieu lui avait
rendu
en forgeant les foudres qui l’avaient rendu vainq
ice que ce Dieu lui avait rendu en forgeant les foudres qui l’avaient
rendu
vainqueur des géants. Vénus, frappée de sa laideu
, désespérée d’avoir reçu un tel affront, alla se pendre. Minerve lui
rendit
la vie ; mais elle la métamorphosa en araignée. M
— Comment punit-il Alectryon de sa négligence ? — Les Romains ne lui
rendaient
-ils pas un culte particulier ? — Comment le repré
récompenser ce prince de son hospitalité généreuse et empressée, elle
rendit
la santé à son jeune fils Triptolème, se chargea
Le maître de l’Olympe, touché de sa douleur, s’engagea à la lui faire
rendre
, pourvu qu’elle n’eût pris aucun aliment depuis q
ttique ? — Parvint-elle enfin à retrouver sa fille ? — Quel culte lui
rendait
-on ? — Comment la représentait-on ? Deuxième
s de Vénus, était le Dieu des tendres attachements. Le culte que l’on
rendait
à sa mère lui était commun. A peine était-il né,
rce de persécutions ; mais Jupiter, sur les instances de Cupidon, lui
rendit
la vie et lui donna l’immortalité. On représente
ppris qu’il était l’époux de Procris, fille du roi d’Athènes, elle le
rendit
à sa femme. Cette princesse, devenue fort jalouse
avancé, Tithon était en proie à des maux et à des infirmités qui lui
rendaient
la vie insupportable. Il supplia alors Jupiter de
i les divinités champêtres. On dit qu’il naquit en Arcadie, où on lui
rendait
un culte particulier sur les monts Ménale et Lycé
Questions. Qu’était-ce que Pan ? — Où naquit-il, et quel culte lui
rendait
-on ? — A quelle occasion inventa-t-il la flûte pa
n lui bâtit des temples, qui devinrent fameux par les oracles qu’il y
rendait
. Sa femme Fauna, ayant imité ses vertus, fut auss
des forêts. A Rome, les hommes seuls pouvaient prendre part au culte
rendu
à Sylvain ; on lui sacrifiait du lait et un cocho
Questions. Qu’était-ce que Sylvain ? — En quoi le culte qu’on lui
rendait
à Rome était-il remarquable ? — Ne donne-t-on pas
cédèrent la place sans résistance au maître du tonnerre ; Terme seul
rendit
vains tous les efforts que l’on fit pour le dépla
Qu’étaient les Néréides ? — Quelles sont les plus célèbres ? — Leur
rendait
-on un culte ? — Comment les poëtes et les peintre
affranchis déposaient leurs chaînes au pied de leurs autels. On leur
rendait
un culte continuel dans l’intérieur de chaque mai
oëtes représentent les Enfers comme un lieu souterrain où les âmes se
rendaient
après la mort pour être jugées suivant leurs œuvr
x de sa puissance, qu’il voulut usurper les honneurs divins ; pour se
rendre
, autant que possible, égal à Jupiter, il avait fa
e et de la Grèce ; un des plus célèbres se trouvait à Antium, où elle
rendait
des oracles. On représente la Fortune aveugle ou
tre les trois Déesses, termina la querelle en faveur de Vénus, ce qui
rendit
Junon l’ennemie acharnée des Troyens. On représen
it-elle la Nécessité ? — En quoi était remarquable le culte qu’on lui
rendait
? — Quels sont les attributs auxquels on peut la
na son bouclier, Pluton lui fit don d’un casque qui avait la vertu de
rendre
invisible, et Vulcain l’arma d’une épée au tranch
nchant de laquelle rien ne pouvait résister. Ainsi préparé, Persée se
rendit
dans les îles Gorgades, où les Gorgones faisaient
tête de la Gorgone, il pétrifia tous ses adversaires. Il alla ensuite
rendre
la liberté à sa mère, que Polydecte retenait capt
vaincu le fleuve Achéloüs53, qui voulait la lui disputer. Comme il se
rendait
dans sa patrie, emmenant avec lui sa jeune épouse
ette tunique empoisonnée, qu’il fut embrasé d’un feu intérieur qui le
rendit
furieux ; sentant qu’il ne pouvait se soustraire
travaux ? — Pouvez-vous citer ces différents exploits ? — Hercule ne
rendit
-il pas encore d’autres services à l’humanité ? —
lheureux père invoqua contre son fils la colère de Neptune, qui ne se
rendit
que trop promptement à ses vœux. Au moment où le
le malheureux prince sur des roches, où son corps fut déchiré. Phèdre
rendit
trop tard témoignage à l’innocence du fils de Thé
e montra bientôt digne d’un tel maître, et ses qualités brillantes le
rendirent
l’idole des peuples. Son oncle, voyant le jeune h
it de l’épouser. Jason, s’y étant engagé par un serment solennel, fut
rendu
invulnérable par les enchantements de sa fiancée
Médée, touchée de ses souffrances, renouvela son sang épuisé, et lui
rendit
, par la force de ses enchantements, la force et l
nt leur père à ses jeunes années. La cruelle magicienne feignit de se
rendre
à leurs vœux et leur persuada de couper leur père
attendirent vainement l’effet des promesses perfides qui les avaient
rendues
parricides. Le peuple de Thessalie fut tellement
ants qu’elle avait eus de lui, et qu’elle venait d’égorger61. Elle se
rendit
à Athènes, où elle devint l’épouse du roi Égée. J
suffit pour lui faire perdre à jamais le bonheur qui allait lui être
rendu
: Eurydice, entraînée par une force surnaturelle,
dit qu’il trouverait ses parents en Phocide65 ; il se hâta donc de se
rendre
dans ce royaume. En y arrivant, il rencontra dans
e, leur sœur, étant revenue à Thèbes, après la mort de son père, pour
rendre
les derniers devoirs à ses deux frères, fut mise
Questions. Comment Œdipe passa-t-il son enfance ? — Pourquoi se
rendit
-il en Phocide, et quelle rencontre y fit-il ? — Q
pour cet épouvantable forfait, précipita Tantale dans les enfers, et
rendit
la vie à Pélops, en réunissant tous les morceaux
éconcilier avec son frère et l’invita à un festin ; Thyeste s’y étant
rendu
, on lui fit manger la chair de ses propres enfant
devint-il roi d’Élide et époux d’Hippodamie ? — De quelle contrée se
rendit
-il maître par la victoire ? — Quels furent ses en
té par Ménélas, roi de Sparte ; mais, voyant qu’on ne voulait pas lui
rendre
Hésione, il profita d’une absence de Ménélas pour
n épouse Hélène, déclarant qu’il la garderait tant qu’on n’aurait pas
rendu
la liberté à la princesse troyenne. Les plaintes
vait donné d’immenses proportions, pour que les Troyens ne pussent se
rendre
la Déesse favorable en introduisant cette offrand
ifs de la guerre. Ayant appris de la bouche de Calchas70 que Diane ne
rendrait
les vents favorables qu’après qu’il lui aurait im
lle était fils de Pélée, roi de la Phthiotide, en Thessalie ; pour le
rendre
invulnérable, Thétis, sa mère, alla le plonger da
nourrit le jeune héros de la mœlle des lions et des tigres, et qui le
rendit
habile dans le maniement des armes. Le courage qu
lysse se chargea de le découvrir dans sa retraite. Dans ce but, il se
rendit
à Scyros caché sous le déguisement d’un marchand,
e laissa toucher par les prières et les larmes du vieux Priam, et lui
rendit
le corps défiguré de son fils. Dans la dernière a
ontre les Grecs. Sa demande ayant été accueillie favorablement, il se
rendit
dans le temple d’Apollon pour célébrer ce mariage
e suivre les autres capitaines grecs devant Troie. Une fois arrivé au
rendez
-vous général, il rendit les plus grands services
taines grecs devant Troie. Une fois arrivé au rendez-vous général, il
rendit
les plus grands services à l’armée confédérée, pa
empressement à l’expédition des Grecs contre Troie ? — Quels services
rendit
-il aux confédérés ? — Que lui arriva-t-il à son r
ils du roi Laomédon, fut emmené captif en Grèce avec sa sœur Hésione.
Rendu
à la liberté, il monta sur le trône après la mort
ne put cependant résister aux larmes et aux prières de Priam, et lui
rendit
le corps de son fils. Questions. Qu’était He
rda en l’île de Thrace, d’où il fut chassé par la peste ; de là il se
rendit
en Epire, ensuite prit terre à Drépane, en Sicile
répane, en Sicile, où il vit mourir son père Anchise. Après lui avoir
rendu
les derniers devoirs, il se mit en mer, et une te
l établissement fonda-t-il en Italie ? Quatrième partie. Culte
rendu
aux Dieux du paganisme. I. — Les Temples, le
’un monument gigantesque au moyen duquel l’orgueil des hommes pensait
rendre
un nouveau déluge impossible. Un regard du seul v
s ces magnificences ; un insensé nommé Erostrate, voulant à tout prix
rendre
son nom célèbre, incendia le temple, qui fut enti
fait dire que les chênes de la forêt de Dodone avaient le pouvoir de
rendre
des oracles. L’oracle de Jupiter Ammon 87 a la mê
ts ans. Cette Sibylle, que l’on prétendait être inspirée par Apollon,
rendait
ses oracles dans un antre qui se trouvait dans le
s élevèrent un temple à la Sibylle dans les lieux mêmes où elle avait
rendu
ses oracles, et il y avait quinze prêtres chargés
gine à des fêtes funéraires fondées par les sept chefs argiens qui se
rendaient
au siége de Thèbes, en faveur d’un enfant nommé A
aient à ceux qui s’aventuraient sur les flots, et le culte qu’on leur
rendait
pour calmer leur fureur. L’histoire des divinités
e Sicile qui vint dans l’Attique enseigner à Triptolème les moyens de
rendre
la terre fertile. Suivant d’autres auteurs, il fa
feignait d’écrire ses lois sous l’inspiration des Dieux, afin de les
rendre
plus respectables, imagina, pour assurer le respe
ations de quelques-uns des travaux les plus extraordinaires qui l’ont
rendu
si célèbre. Le marais de Lerne était infesté de s
dire tout ; de sorte que, suivant quelques auteurs, le culte que l’on
rendait
à ce dieu s’adressait à l’ensemble de la création
umes, où il construisit un temple en l’honneur d’Apollon. De là il se
rendit
en Sicile, où il termina ses jours. 56. La mer É
cs à Troie. Après la chute de cette ville, qu’il avait prédite, il se
rendit
à Colophon, où il mourut de chagrin pour s’être t
fut un des plus vaillants héros grecs. Après le siége de Troie, il se
rendit
en Italie, où il fut tué par Énée. 74. Rhésus ét
s leur parurent sans doute altérés de sang, puisqu’ils crurent se les
rendre
favorables par des sacrifices humains. Il y eut d
Un peuple agriculteur, à ses leçons docile, Ensemença la terre, et la
rendit
fertile. Saturne en fut aimé : ce bonheur, à mon
nissait tous. Lamotte. Janus, roi d’Italie, nommée alors le Latium,
rendit
toute sorte de bons offices à Saturne, et lui fit
t la guerre, et fermé pendant la paix ; mais les Romains voulaient se
rendre
maîtres du monde, et le temple de Janus ne fut fe
représentations, consentit, pour l’apaiser, que Proserpine lui serait
rendue
, pourvu qu’elle n’eût rien mangé depuis son entré
les tuer. Le culte du dieu Terme ne se bornait pas à celui qu’on lui
rendait
dans les temples ; on l’honorait encore sur les b
it fils de Saturne et de Cybèle. Ayant chassé son père du ciel, il se
rendit
maître de l’empire du monde, qu’il partagea avec
lydamas. Théagène, né à Thase, petite ville voisine de Lacédémone, se
rendit
recommandable par son adresse, son agilité, et le
à pieds joints sur un disque où l’on avait répandu de l’huile pour le
rendre
plus glissant ; et il se tenait si ferme que des
passa à la nage la Méditerranée, et arriva en Egypte, où Jupiter lui
rendit
sa première forme. Elle y fut depuis adorée sous
ainsi que Mars vit le jour. Les inclinations guerrières de ce dieu le
rendirent
célèbre. Il se trouva à la guerre que l’Olympe eu
de la mort d’Ascalaphus, son fils, tué au siége de Troyes, le dieu se
rendit
en armes devant cette ville. Minerve qui avait pé
aisons d’Athènes. Depuis ce célèbre jugement, l’endroit où il s’était
rendu
, porta le nom du dieu qu’on y avait absous : de l
s belliqueux. Le dernier Mars fut celui qui trompa Rhéa-Sylvia, et la
rendit
mère de Rémus et Romulus. Culte du dieu Mars.
émus et Romulus. Culte du dieu Mars. Les Romains principalement
rendaient
un culte au dieu Mars : ils l’honoraient comme le
de Mars et de Vénus ; ensuite il alla appeler tous les dieux pour les
rendre
témoins de sa honte. Mars, outré de colère, punit
n de compassion pour les malheurs de Latone, fit surnager l’île et la
rendit
stable. Le temps des couches de Latone approchait
ner un peu d’eau pour apaiser sa soif ; mais ces paysans, loin de lui
rendre
ce service, troublèrent l’eau pour l’empêcher d’e
uler des larmes, c’est-à-dire, que l’excès des maux de cette reine la
rendit
insensible à tout, et qu’elle resta comme pétrifi
sacrifier ; malgré sa vive douleur, Admète le reçut très-bien, et lui
rendit
tous les devoirs de l’hospitalité. Par reconnaiss
aissance, Hercule descendit aux enfers, d’où il ramena Alceste, qu’il
rendit
à son époux. Daphné Pendant son exil, Apo
Apollon apaisèrent enfin Jupiter ; il le rappela dans le ciel, et lui
rendit
les honneurs et les priviléges de la divinité. Ap
l et changé en serpent, pour reconnaître les services qu’il lui avait
rendus
en la suivant sur les montagnes et dans les forêt
éré de sa perte, la transforma en l’arbre qui porte l’encens. Loin de
rendre
son cœur à la nymphe jalouse, le dieu n’eut plus
a suite, il fut regardé et honoré comme le dieu de la médecine. Ayant
rendu
la vie au malheureux Hippolite par la force et la
u son cher Memnon, se couvrit d’un voile noir, et elle ne voulut plus
rendre
le jour au monde ; pour la consoler et l’obliger
t en son honneur une statue qui, frappée des rayons du soleil levant,
rendait
un son mélodieux. Phaéton De tous les enf
s, et qu’elle l’empoisonna pour régner seule. Cette action barbare la
rendit
odieuse à ses sujets ; ils voulurent la tuer ; ma
fre que Minerve avait jeté et accablé de malédictions, parce qu’il la
rendait
si difforme quand elle en jouait, qu’elle excitai
propres ; il fallait attendre le temps où il plaisait aux dieux d’en
rendre
. La Pythie à Delphes ne donnait de réponse à ceux
ntemps ; dans la suite, ce fut un jour de chaque mois. Les Oracles se
rendaient
de diverses manières : tantôt c’était le dieu lui
n tirant au sort. Souvent il fallait beaucoup de préparations pour se
rendre
digne de l’Oracle ; d’autres fois, au contraire,
êtresse d’Apollon qui présidait au temple de Delphes. Le jour qu’elle
rendait
ses oracles, on lui faisait boire de l’eau de la
table à trois pieds, couverte de la peau du serpent Python, la Pythie
rendait
ses oracles ; puis, on la reconduisait dans la ce
rêtresse d’Apollon. Ce dieu la trouvant belle, n’épargna rien pour la
rendre
sensible ; il lui offrit même de lui accorder tou
a sans doute donné lieu à cette fable. Cumane, inspirée par Apollon,
rendait
ses oracles dans le temple de ce dieu, au fond d’
temple que les Romains lui élevèrent dans le lieu même où elle avait
rendu
ses oracles. On compte jusqu’à dix Sybilles : la
yant tableau de la mort de Laocoon. Prêtre du dieu des mers, pour le
rendre
propice, Laocoon offrait un pompeux sacrifice, Qu
Latma, montagne de Carie, où était la ville d’Héraclée, et la Lune se
rendait
dans ce lieu. Cette prétendue passion de la Lune
ificateurs. C’étaient des espèces de fanatiques que les fumées du vin
rendaient
comme furieuse. Les premières Bacchantes accompag
e la couronne : Mais à condition que de votre bonheur Ils me
rendront
un pur hommage. Je ne veux de mes droits que votr
être témoin du jugement de Pâris. Mais tous les services que Mercure
rendit
à Jupiter et aux autres dieux n’empêchèrent pas q
idérable. Minerve, irritée de ce trafic honteux, ordonna à l’Envie de
rendre
Aglaure jalouse de sa sœur. Mercure, ne pouvant s
qu’elle lui opposait, le changea en statue de pierre. Culte qu’on
rendait
à Mercure. Mercure avait un temple dans plusie
élève ; elles lui apprirent encore les belles manières et l’art de se
rendre
agréable, et elles lui disaient : Ma fille, si vo
n faveur de Vulcain, pour le récompenser des services qu’il lui avait
rendus
dans la guerre des Géans. On donne à Vénus les no
i leur en éleva un, et qui leur assigna un culte particulier. On leur
rendit
des honneurs à Byzance, Delphes, Elis, Perges, Pé
nt, et les nymphes du voisinage le reçurent. Adonis, devenu grand, se
rendit
à la cour de Byblos en Phénicie, où Vénus éprise
n pièces. Vénus vint trop tard au secours de son favori, il venait de
rendre
le dernier soupir : elle le changea en anémone. O
é son fils, qu’elle la persécuta jusqu’à la faire mourir. Jupiter lui
rendit
la vie, et lui donna l’immortalité en faveur de l
des monstres marins qui ravagèrent cette malheureuse contrée. Culte
rendu
à Neptune. Les Romains célébraient des fêtes e
i consacraient le mois de février, pendant lequel ils tâchaient de se
rendre
le dieu favorable pour l’époque prochaine de la n
nt encore ce nom à ceux qui régnaient dans les îles, ou qui s’étaient
rendus
célèbres par l’établissement du commerce. Comm
re fort serré qui est entre Reggio et Messine. Une autre Scylla s’est
rendue
fameuse par sa perfidie ; voici son histoire.
allait sur les murs de la ville pour entendre les sons harmonieux que
rendaient
les pierres lorsqu’on les touchait. Apollon, qui
dans les exercices militaires ; bientôt sa passion la détermina à le
rendre
maître de la place. Le destin de la ville dépenda
nt. Ils furent de l’expédition des Argonautes dans la Colchide, et se
rendirent
célèbres en délivrant des Harpies le roi Phinée e
cisses ou de cyprès. Quelquefois il couvre sa tête d’un casque qui le
rend
invisible ; alors il monte sur son char, s’élance
on le croyait l’inventeur. Les Lupercales. Les peuples d’Arcadie
rendaient
un culte particulier au dieu Pan ; ils lui offrai
ement historique. Pan ayant remarqué que l’air agité dans un roseau y
rendait
une espèce de son, s’en servit pour faire une flû
rième roi d’Italie. Le courage et la rare prudence de ce prince l’ont
rendu
célèbre. Voulant enrichir ses sujets, il fit son
, il fit son étude de l’agriculture, les appliqua au labourage et les
rendit
industrieux. De si grands bienfaits lui méritèren
ides de juillet (le 15 juillet) dans le temple de l’Honneur, pour se
rendre
au Capitole. Sur les médailles de Titus, qui mett
par sa valeur, fut donné sans doute dans la suite à tous ceux qui se
rendirent
célèbres par leur bravoure ou leurs belles action
l, le tua dans un tournoi. Polydecte, à la cour duquel Persée s’était
rendu
avec sa mère, prit un grand soin de son éducation
Méduse comme une beauté parfaite que Minerve, qu’elle avait offensée,
rendit
effroyable, en changeant ses cheveux en serpens.
Persée, et poursuivi dans les montagnes, où il périt. Le jeune héros
rendit
surtout son nom célèbre par la victoire qu’il rem
ons furent tous changés en pierres. Après cette victoire, le héros se
rendit
à Argos ; mais, comme il avait eu le malheur d’y
vât sa place sous le signe de la baleine. Le cheval Pégase, qui avait
rendu
de si grands services à Persée, ne lui étant plus
dans les prairies le long du Xante. Bellérophon chassa ces animaux et
rendit
ce lieu habitable, et l’on dit qu’il avait dompté
ellérophon retourna à la cour de Prétus, qui, admirant sa valeur, lui
rendit
son amitié, et lui donna sa fille en mariage.
sa à son ami de l’enlever ; ce qu’ils exécutèrent ; ensuite, pour lui
rendre
la pareille, il lui prêta son secours pour enleve
traîna à travers les rochers et le mit en pièces. Esculape lui ayant
rendit
la vie, Diane le transporta en Italie, et lui don
r. Dans la suite, les Athéniens le mirent au rang des demi-dieux ; et
rendirent
des honneurs à ses cendres. Castor et Pollux
rtel, voyant son frère mort et n’ayant pu obtenir de Jupiter qu’il le
rendît
à la vie, demanda comme une grâce de lui faire pa
égorger Pélias par ses propres filles, en lui persuadant qu’elles lui
rendraient
sa première jeunesse. Ce crime en annonçait d’aut
e une autre cour, un roi dont la puissance, Pour m’attacher à lui, me
rend
avec éclat Tout ce que je perdis en suivant un in
èrent. Le dévouement de Ménécée, fils de Créon, qui se donna la mort,
rendit
les dieux favorables aux Thébains, et plusieurs c
t la colère de Créon, fit ramasser les cendres de son frère pour leur
rendre
les derniers honneurs. D’après les lois, elle fut
bre d’enfans ; les plus fameux sont Atrée et Tyeste. Celui-ci s’étant
rendu
coupable envers son frère, Atrée en lira une horr
emps Priam donna un superbe tournoi à la noblesse troyenne. Pâris s’y
rendit
, Sa bonne mine attira les yeux de toute la cour,
t il avait été prisonnier, envoya Pâris avec une flotte pour se faire
rendre
Hésione. Cette princesse était sœur de Priam et t
on fils : il croyait que par un échange, il serait facile de se faire
rendre
Hésione ; mais les princes grecs réclamèrent l’un
pas quitter les armes qu’ils n’eussent vaincu les Troyens. Le lieu du
rendez
-vous des Grecs était en Aulide, ville maritime de
le camp. Le divin Calchas déclara que pour la faire cesser il fallait
rendre
Chryséis à son père. Agamemnon y consentit ; mais
m accepta ses offres. Mais comme, pour célébrer cet hymen, il s’était
rendu
dans le temple d’Apollon Tymbréen, Pâris, pour ve
avec Pylade son cousin. Sept ans après le meurtre de son père, il se
rendit
secrètement à Argos, et tua de sa propre main Egi
s enchantemens ; de plus, il la contraignit, l’épée à la main, de lui
rendre
ses gens sous leur première forme. La prudence d’
argé de ses dieux, de son père, et accompagné d’Ascagne, son fils, se
rendit
à un port de Phrygie peu éloigné du mont Ida, où
re romain. Philémon et Baucis Ni l’or ni la grandeur ne nous
rendent
heureux. Ces deux divinités n’accordent à nos vœu
e devoir à pas un domestique Le plaisir ou le gré des soins qu’ils se
rendaient
. Tout vieillit : sur leur front les rides s’étend
oux, surpris, étonnés, confondus, Se crurent par miracle, en l’Olympe
rendus
; Vous comblez, dirent-ils, vos moindres créature
s, Clothon ferait d’un coup ce double sacrifice ; D’autres mains nous
rendraient
un vain et triste office : Je ne pleurerai point
e celles des autres peuples, qui offraient plus d’intérêt ou devaient
rendre
plus intelligibles les livres qui parlent de ces
’intelligence des auteurs. Nous avons évité un étalage de science que
rendraient
facile les savants et ingénieux travaux du chance
ors la peine de son crime, cette race fut prompte à se corrompre et à
rendre
à des objets créés le culte qui n’est dû qu’au Cr
prochés. Durs, inégaux, sans peine ils se sont accrochés. Le hasard a
rendu
la nature parfaite. L’œil au-dessous du front se
vages. Il leur donna des lois, leur apprit à cultiver la terre et les
rendit
si heureux, que ce règne fut appelé l’âge d’or. S
les Romains exprimaient en le représentant avec deux visages. On lui
rendit
après sa mort les honneurs divins, et Numa Pompil
t de l’expérience pour gouverner son peuple par des lois sages qui le
rendirent
heureux. On représente Saturne sous les traits d’
nvers le pays, sa reconnaissance envers Janus ? Quels honneurs furent
rendus
à Janus après sa mort ? Quelle remarque y a-t-il
rtaient le nom de Galli, du Gallus, fleuve de Phrygie, dont l’eau les
rendait
furieux ; le nom de Corybantes, parce qu’ils marc
nt les fruits de l’intelligence et de la mémoire. Jupiter, que Thémis
rend
père de trois Parques, chargées de filer la desti
nclume à chaque pied. Bientôt, sur les instances des dieux, Junon fut
rendue
à la liberté, et reprit sa place auprès de son ép
reuvage étaient l’ambroisie et le nectar, qui avaient la puissance de
rendre
immortel. Hébé, déesse de la jeunesse, versait le
toutes les divinités du ciel et de la terre y furent invitées, et s’y
rendirent
. Une seule nymphe, appelée Cheloné, y manqua, et
et, par le conseil de Flore, elle respira l’odeur d’une plante qui la
rendit
mère de Mars, quelques auteurs disent de Vulcain.
tre lui tous les dieux (n° 20). Le châtiment qu’elle en recueillit la
rendit
furieuse. Elle renonça alors au séjour de l’Olymp
on redoutait les effets de sa haine, on ne négligeait rien pour se la
rendre
propice. Son culte était répandu partout ; mais e
30. Quelle fut la naissance merveilleuse de Minerve ? Quels services
rendit
-elle à Jupiter dans la guerre des Géants ? D’où l
rve eut-elle avec Neptune ? 33. Quels honneurs Athènes reconnaissante
rendit
-elle à la déesse ? Qu’est-ce que les Panathénées
de ne donner à sa rivale aucun asile. Alors Neptune, touché de pitié,
rendit
stable l’île de Délos, jusqu’alors flottante. Lat
vrit de sa peau le trépied sur lequel la prêtresse appelée Pythonisse
rendait
ses oracles. Lui-même reçut dès lors le surnom de
nymphe Coronis, Esculape, auquel il avait enseigné la médecine, avait
rendu
à la vie Glaucus, fils de Minos, et Hippolyte, fi
e son nom. Cyparisse, autre jeune homme que son talent pour la poésie
rendait
cher au dieu des vers, ayant tué par mégarde un c
à mi-côte du mont Parnasse, possédait un temple magnifique où le dieu
rendait
ses oracles par la bouche d’une prêtresse nommée
échappèrent-elles à Pyrénée ? 38. Faites connaître la manière dont se
rendaient
les oracles dans le temple de Delphes ? Quelle di
l’Olympe. Mercure ne tarda pas à être rappelé dans l’Olympe, où il
rendit
aux dieux, par son adresse et son courage, d’impo
que le caducée ? 47. De retour dans l’Olympe, quels services Mercure
rendit
-il aux dieux ? 48. Dans quel pays le culte de Mer
eu honoré chez les Grecs, beaucoup chez les Thraces ; les Romains lui
rendaient
un culte particulier. Ils le regardaient comme le
Mars chez les Grecs et chez les Romains ? Quels hommages les consuls
rendaient
-ils à ce dieu avant d’aller à la guerre ? Qu’étai
el est le sens allégorique de son histoire ? 54. Pourquoi les Romains
rendaient
-ils un culte particulier à Vénus ? Dans quels lie
re accepter Pluton pour gendre ; alors il déclare que Proserpine sera
rendue
à sa mère, à la condition qu’elle n’aura pris auc
mante fable de La Fontaine intitulée Le Laboureur et ses enfants, qui
rend
sensible cette vérité. Plutus est ordinairement r
la Terre, ou, selon d’autres, de Pan et d’une nymphe. Silène s’était
rendu
agréable aux dieux par son humeur joyeuse et son
jours, qui se passèrent en festins et en réjouissances. Lorsqu’il le
rendit
à Bacchus, le dieu par reconnaissance lui accorda
testent que le vin, dont il était le dieu, inspire la vengeance et la
rend
cruelle. Penthée, roi de Thèbes et successeur de
nt ses vers Chômons ; c’est faire assez qu’aller de temple en temple
Rendre
au maître immortel les vœux qui lui sont dus : Le
ur nom de celui du dieu du feu33, justifient cette tradition. Vulcain
rendit
de grands services à Jupiter et aux autres dieux
et ses divers ateliers ? D’où vient le nom de volcan ? Quels services
rendit
Vulcain dans la guerre des dieux contre les Géant
mœurs dissolues. Pan était particulièrement honoré en Arcadie : il y
rendait
ses oracles sur le mont Lycée. Il inventa la flût
t que c’étaient autant de génies propices : de là le culte qu’on leur
rendait
. Il consistait dans de petites figures d’argent,
s, les Pénates, les Mânes ? Quelle est leur origine ? Quel culte leur
rendait
-on ? Chapitre XVI. Divinités de la mer.
phes de la mer, au nombre de plus de trois mille. Les nautoniers leur
rendaient
un culte particulier. Dans les temps calmes, on i
r, mais aussi sur les fleuves, dont il était le père. Les anciens lui
rendaient
un culte solennel et lui confiaient le soin de le
naquirent les Océanides ? Qu’étaient ces divinités ? Quel culte leur
rendait
-on ? Qu’était-ce qu’Océan ? Quel était le culte q
eur rendait-on ? Qu’était-ce qu’Océan ? Quel était le culte qu’on lui
rendait
? Comment le représentait-on ? Quelle fut la nais
comme avait fait Ménélas, et en obtient un secret merveilleux qui lui
rendit
ses abeilles. Cette histoire forme un délicieux é
ué par Achille, Il eut à Thèbes, en Egypte, une statue fameuse : elle
rendait
, au lever de l’Aurore, des sons plaintifs et harm
Cybèle, avait été dévoré par son père ; mais celui-ci fut forcé de le
rendre
, après un breuvage que lui donna Jupiter. Aussi,
erre des Géants. Il combattait armé d’un casque qui avait la vertu de
rendre
invisible celui qui le portait. Ce fut après cett
r et d’Europe, régna sur l’île de Crète, lui donna de bonnes lois, et
rendit
son peuple heureux. Eaque, fils aussi de Jupiter,
ternel supplice. 91. Titye. — Tantale. — Les Danaïdes. Titye se
rendit
coupable d’un crime pareil. Ce géant, fils de la
pardonne pas ; « Livrez ce cœur farouche aux affronts de l’Injure ; «
Rendez
-lui tous les maux qu’il aime qu’on endure ; « Que
celui qui le portait, Persée enleva cet œil et cette dent, et ne les
rendit
aux Grées que lorsqu’elles lui eurent découvert l
te de Méduse, et met sur le trône, à sa place, le généreux Dictys. Il
rend
ensuite aux dieux les armes qui l’avaient protégé
prépare à célébrer des jeux funèbres en l’honneur de son père. Il s’y
rend
pour disputer le prix ; mais un disque, qu’il lan
the, où il bâtit la ville de Mycènes, dont il fit sa capitale. On lui
rendit
, après sa mort, les honneurs divins. Il eut un te
evint-il le meurtrier involontaire d’Acrisius ? Quels honneurs furent
rendus
à Persée après sa mort ? Chapitre XXIV. Bellé
’égard d’Hercule, et consentit même à lui donner de son lait, pour le
rendre
immortel ; quelques gouttes, en tombant dans le c
n d’autres, il eut recours au géant Atlas, et tandis que celui-ci lui
rendit
ce service, Hercule prit à sa place le monde sur
Déjanire sa tunique, teinte de son sang, comme un moyen propre à lui
rendre
le cœur de son époux, s’il devenait infidèle. L’o
. Omphale, reine de Lydie, l’acheta, mais bientôt elle l’aima, et lui
rendit
la liberté. Hercule resta néanmoins auprès d’elle
neus, quelle est ta trahison ! Et quels sont les tourments dont tu me
rends
la proie, Par ce fatal présent que ta fureur m’en
dans la mer, qui prit dès lors le nom d’Egée. Thésée, après lui avoir
rendu
les devoirs de la piété filiale, institua des jeu
mpli. Tous les ans des députés56, couronnés de branches d’olivier, se
rendaient
à Délos, sur le vaisseau même qu’avait monté Thés
lement assis sur une pierre dont il ne peut se détacher. Plus tard on
rendit
à sa mémoire les hommages qu’elle méritait. Ses r
nt les suites funestes ? Quelle fut la fin de Thésée ? Quels honneurs
rendit
-on à sa mémoire ? Chapitre XXVII. Expédition
or. Jason déclara à Eétès le sujet de son voyage. Le roi promit de
rendre
la toison d’or, mais à des conditions si bizarres
vait cessé de les poursuivre. Les envoyés du roi demandent qu’on leur
rende
Médée ; mais Jason refuse de livrer cette princes
os, réclama de Pélias le trône paternel, que celui-ci avait promis de
rendre
au prix de la conquête qu’il venait de faire, Mai
uelles conditions furent imposées à Jason par Eétès pour que celui-ci
rendît
la toison d’or ? Comment Médée aida-t-elle Jason
la couronne. Suivant une tradition différente de la première, il fit
rendre
les derniers honneurs à Etéocle, qui avait courag
che de Calchas, que le fléau ne cesserait que lorsque Chryséis serait
rendue
à son père. Agamemnon consentit à rendre sa capti
que lorsque Chryséis serait rendue à son père. Agamemnon consentit à
rendre
sa captive, mais à la condition d’avoir à sa plac
ccède à son père, sous le nom de Néoptolème (nouveau guerrier). Il se
rend
avec Ulysse auprès de Philoctète, que les Grecs a
oble courroux, « Ne vit pas sans pitié Priam à ses genoux, « Et pour
rendre
au tombeau des dépouilles si chères, « II me renv
rs sauvages de leurs sujets, en leur enseignant l’agriculture, et les
rendirent
heureux par de bonnes lois. Mais Osiris voulant r
on frère, qui aspirait au trône, avait conspiré contre lui et s’était
rendu
redoutable. Osiris, d’un caractère pacifique, ess
’il est caché près de Byblos, sous les feuilles d’un tamarin. Isis se
rend
dans cette ville, obtient la permission d’enlever
s tombeaux et des temples. Isis partagea, après sa mort, les honneurs
rendus
à Osiris. Cependant Orus, leur fils, voulant veng
le Nil, à Memphis, où il avait deux temples superbes dans lesquels il
rendait
ses oracles. 131. Sérapis. Sérapis était au
uels étaient les autres dieux de l’Égypte ? A quelle espèce d’animaux
rendait
-on un culte particulier ? 130. Qu’était-ce que le
ux époques différentes, pour défendre les hommes, les éclairer et les
rendre
heureux. 6° La première fois, il emprunta le nom
d’affranchis. « C’est la gloire du christianisme, dit Rollin, d’avoir
rendu
commune une vertu pour laquelle Rome pouvait à pe
ndre et aimante. 45. On appelle allégorie une fiction ingénieuse qui
rend
sensible une idée abstraite, et personnifie un êt
Nil. Épuisée de souffrance et de fatigue, elle supplia Jupiter de lui
rendre
sa première forme, et elle mit au monde un fils n
de sa peine, vint lui offrir son intervention et son ministère. Il se
rendit
auprès de la nymphe rebelle, lui vanta les riches
les conduit devant le redoutable tribunal. Trois juges y siégent et y
rendent
la justice au nom et en présence de Pluton : ce s
: « Si cependant, ajoute-t-il, vous désirez que Proserpine vous soit
rendue
, j’y consens, pourvu qu’elle n’ait rien mangé dep
eu des ténèbres ; quelquefois sa tête est couverte d’un casque qui le
rend
invisible. Près de lui sont assises les trois Par
voquaient son nom, sollicitaient son appui, et lui offraient, pour la
rendre
propice, des agneaux, des chiens et du miel. Tous
cueil que la déesse, pleine de reconnaissance pour cette hospitalité,
rendit
la santé à son fils Triptolème, encore au berceau
. Elle fit plus encore ; elle se chargea d’élever Triptolème et de le
rendre
immortel. Dans ce but, elle le nourrissait pendan
el cri d’effroi que l’enchantement fut détruit. Cérès ne pouvant plus
rendre
immortel le jeune Triptolème, voulut du moins le
da au maître des dieux que son cher Adonis revînt à la vie et lui fût
rendu
. La loi du destin s’y opposa. Elle obtint seuleme
Après un long exil, Apollon fut rappelé dans l’Olympe, et Jupiter lui
rendit
son premier emploi. De tous les dieux, Apollon es
issait pas, la fable dit vrai, puisque le génie et la science peuvent
rendre
l’homme immortel. Mais cette même déesse, habitué
cence effrénée des Orgies ; et voulant y mettre enfin un terme, il se
rendit
en personne sur le mont Cithéron, bien déterminé
ce et de puissance. Les Grecs lui immolaient la pie, parce que le vin
rend
indiscret, et le bouc, parce que cet animal détru
du dieu, qui ne rêva plus qu’aux moyens de plaire, et déploya pour se
rendre
aimable toutes les saillies d’un esprit jovial, t
later. Alors les chefs de la nation, les magistrats, les pontifes, se
rendaient
solennellement au temple de Janus, détachaient de
auprès de cette plante nouvelle, qui, agitée par le vent, paraissait
rendre
des sons plaintifs. Il en coupa quelques tiges, e
la jalousie de Borée, qui l’aimait aussi, mais qui, ne pouvant se la
rendre
favorable, la précipita du haut d’un rocher. Les
e donner aux armées une aile droite et une aile gauche. L’Arcadie lui
rendait
un culte particulier sur les monts Ménale et Lycé
paniques. Faune ou Faunus, fils de Picus et de la nymphe Canente, se
rendit
recommandable aux habitants du Latium par sa vail
ête (appelée Terminales), les deux possesseurs de terres contiguës se
rendaient
ensemble près de la borne qui séparait leurs cham
orps terminé en queue de poisson. § 15. Les Fleuves. Les Païens
rendaient
un culte aux Fleuves, à cause des avantages qu’il
chi d’offrandes et de présents magnifiques ; la statue de la déesse y
rendait
des oracles ; elle répondait aux demandes des sup
ais trop tard ; il n’y restait plus que l’espérance. Prométhée voulut
rendre
à Jupiter tromperie pour tromperie. Dans ce desse
laient vivantes. D’autres disent que ce fut un ami de l’humanité, qui
rendit
aux mortels d’éminents services. Avant lui, les h
de ruse à son tour, et dit à Atlas qu’il consentait volontiers à lui
rendre
ce service, pourvu qu’il lui laissât le temps de
laient les campagnes de l’Étolie ; Hercule éleva de fortes digues, et
rendit
le cours du fleuve uniforme. La métamorphose d’Ac
, du haut de l’Olympe, voyaient avec douleur périr un héros qui avait
rendu
tant de services à l’humanité : « Ne craignez poi
talonnières et un glaive de diamant ; Pluton lui donna un casque qui
rendait
invisible. Avec ce triple secours, il se transpor
pierres. Ce fut alors que Persée, après une absence de quatre ans, se
rendit
avec son épouse à l’île de Sériphe où Danaé était
tit-fils, vint à sa rencontre jusqu’à Larisse, pour le féliciter, lui
rendre
grâces et se réconcilier avec lui. Ce jour même o
avant tout, vers le milieu de cette nuit, accompagné d’amis intimes,
rends
-toi au temple d’Hécate. Là, en présence de cette
de ce tyran, étonnées du rajeunissement d’Éson, conjurèrent Médée de
rendre
le même service à leur père. La magicienne le leu
ût entièrement consumés, et qu’il fût impossible à ses enfants de lui
rendre
les honneurs de la sépulture. Mais les habitants
at singulier, Pollux, qui l’aimait tendrement, conjura Jupiter de lui
rendre
la vie, ou de le priver lui-même de l’immortalité
s plus opiniâtres et les plus désespérées, il s’appliqua et réussit à
rendre
la vie aux morts : Glaucus35, Capanée, Tyndare, H
de foudre tua le trop habile médecin. Des honneurs divins lui furent
rendus
après sa mort : son culte s’établit à Épidaure, s
; elle approche d’un pas lent, car sa blessure était récente ; on la
rend
à Orphée, mais sous la condition expresse qu’il n
nie : Hippolyte y était accusé du crime dont Phèdre elle-même s’était
rendue
coupable. A son retour, Thésée apprenant le suici
, Œnée ayant offert un sacrifice solennel à tous les dieux, pour leur
rendre
grâces de l’abondance des récoltes, oublia par ma
ntenir ; il court sur ses oncles, les perce tous deux de son épée, et
rend
à la belle Atalante la dépouille du sanglier. Al
Jupiter rassembla les membres épars de cette innocente créature, lui
rendit
la vie, et substitua une épaule d’ivoire à celle
on frère une entrevue amicale. Thyeste, trompé par les apparences, se
rendit
avec empressement au palais de son frère, et prit
s roi de Thèbes, et de Jocaste. Avant leur mariage, ces deux époux se
rendirent
au temple de Delphes pour y consulter l’oracle d’
œur de Polynice, moins sensible à la crainte de mourir qu’au désir de
rendre
à son frère les honneurs funèbres, trompa la vigi
n arrache la cervelle… Minerve, qui venait pour secourir Tydée et lui
rendre
sa première vigueur, fut si révoltée de cette bar
ée de cette barbarie qu’elle l’abandonna à sa destinée, et lui laissa
rendre
le dernier soupir. § 20. Amphiaraüs. Amphi
rendre dans cette funeste conjoncture : et Tirésias leur conseilla de
rendre
la ville. Les vainqueurs y entrèrent et la saccag
ogée, doué d’une rare habileté dans les exercices du gymnase, s’était
rendu
à Athènes, pour y disputer les prix de la lutte,
la cire de tes ailes ; si tu voles trop bas, l’humidité de la mer les
rendra
trop pesantes pour ta faiblesse. Évite l’un et l’
ntôt avec une flotte sur les côtes de Sicile, et somma Cocalus de lui
rendre
son prisonnier. Le prince refusa ; et comme Minos
insistait avec menaces, on lui proposa de descendre à terre et de se
rendre
au palais, pour y terminer à l’amiable tout diffé
delle, et d’y conserver religieusement cette statue, dont la présence
rendrait
à jamais imprenable la ville de Troie. Laomédon,
à jamais imprenable la ville de Troie. Laomédon, fils d’Ilus, s’est
rendu
fameux dans l’antiquité par sa mauvaise foi. Il s
s trois déesses, qui mirent en usage toutes les séductions pour se le
rendre
favorable. Junon lui promit les richesses ; Miner
de Pélée, naquit à Phtia, ville de Thessalie. Sa mère, qui voulait le
rendre
invulnérable, le porta aux enfers, et le plongea
Sigée (non loin des plaines de Troie), lui bâtirent un temple, et lui
rendirent
les honneurs divins. Néoptolème ou Pyrrhus, fils
valoir avec autant d’adresse que de chaleur les services qu’il avait
rendus
à la Grèce : son éloquence triompha. Ajax, désesp
Teucer se soumit sans se décourager. Accompagné d’amis fidèles, il se
rendit
à Sidon auprès du roi Bélus, qui, pénétré de ses
ient se flatter d’aller mettre un jour le siége devant Mycènes, et de
rendre
au centuple à la Grèce tous les maux, toutes les
u’ils avaient toujours condamné la conduite de Pâris, et conseillé de
rendre
Hélène à son époux. Leur vengeance assouvie, les
. Durant le siége, Anténor insista auprès de Priam pour qu’Hélène fût
rendue
à Ménélas, et ne cessa, au rapport d’ Homère, de
Junon, pour le punir d’avoir soigné Hercule mourant, et de lui avoir
rendu
les honneurs de la sépulture.) § 13. Idoménée.
erre par sa prudence consommée, son courage et ses stratagèmes. Il se
rendit
à Lemnos pour y chercher Philoctète, possesseur d
our lui présente Il boit a longs traits le poison. J.-B. Rousseau.
Rendu
prudent par ses fautes, il résista aux mélodieuse
pays, s’arrêtèrent sur les côtes de la Chersonèse de Thrace, afin d’y
rendre
une fois encore au divin Achille des honneurs fun
t été autrefois promise en mariage. » Les Grecs n’hésitèrent pas à se
rendre
aux volontés d’un chef et d’un ami. Polyxène fut
cour de Mycènes, favorisé par Électre, et sous un déguisement qui le
rendait
méconnaissable. Il se fit introduire auprès de l’
ssaya de s’en délivrer par des sacrifices expiatoires ; en vain il se
rendit
à Athènes pour y être jugé par le sévère Aréopage
ombre de ses nymphes. Douloureusement affecté de cette perte, Énée se
rendit
au rivage et monta sur ses vaisseaux, avec une tr
faveur de la nuit ; et, afin de ne pas s’égarer, ils se donnèrent un
rendez
-vous au mausolée de Ninus, et sous le mûrier blan
persuade qu’elle a péri. Hors de lui-même, il arrive sous l’arbre du
rendez
-vous ; il y arrose de larmes le voile de son aman
du roi de Crète, sut si bien gagner l’amour de ses peuples qu’ils lui
rendirent
après sa mort des honneurs divins. Ses fils, Mino
8. Ath amas et Ino. Athamas, roi de Thèbes, épousa Néphélé, qui le
rendit
père d’un fils et d’une fille (Phryxus et Hellé),
Égérie. Égérie était une nymphe du Latium à laquelle les Romains
rendaient
un culte religieux. Numa Pompilius voulant rédige
ne nymphe inspirée que pour donner à ses lois une sanction divine, et
rendre
le peuple romain plus docile à s’y conformer.
Neptune, d’un coup de son trident, fit sortir du milieu des flots et
rendit
stable Délos, île jusqu’alors cachée et flottante
uelquefois même d’une raillerie coupable ; et tandis que le peuple se
rendait
en foule au sanctuaire d’Apollon, Niobé se promen
rent Progné ; elle prend des habits de deuil, dresse un cénotaphe, et
rend
à Philomèle les devoirs funèbres. Un an s’était é
mnon, une statue colossale, qui, frappée des premiers rayons du jour,
rendait
un son clairet harmonieux, et le soir dans l’obsc
one, reconnaissez-vous Céyx ? La mort l’a-t-elle assez changé pour le
rendre
méconnaissable ? Jetez les yeux sur moi, et vos d
lieue.) Chaque soir, Léandre traversait le détroit à la nage, pour se
rendre
auprès de Héro. Héro, de son côté, pour diriger l
condamnation ; mais le peuple d’Argos se prononça en sa faveur, et la
rendit
à son époux. § 4. Atalante et Hippomène. A
ieille femme pour l’aller trouver, couvrit sa tête de cheveux blancs,
rendit
sa peau toute ridée, marcha d’un pas mal assuré ;
ède était regardé comme infaillible. Des pays les plus éloignés on se
rendait
à Leucade. On se préparait à l’épreuve du saut pa
ndonnait ce remède, pire en effet que le mal, cherchèrent un moyen de
rendre
le saut moins dangereux. Des filets, artistement
i glacé que jamais. Alors, n’écoutant plus que son désespoir, elle se
rend
à Leucade, se jette du haut de la roche fatale, e
ous les flots. Les habitants de Lesbos lui élevèrent des temples, lui
rendirent
les honneurs divins, et firent graver son effigie
était un anneau d’or, qu’il s’appropria. Cet anneau avait la vertu de
rendre
invisibles ceux qui le portaient. Au moyen de ce
ment dans le palais de Circé, et la contraignit, l’épée à la main, de
rendre
à ses compagnons leur forme première. Tant d’auda
t une statue si belle qu’il en devint amoureux, et pria le ciel de la
rendre
vivante et sensible. « Grands dieux, s’écria-t-il
reçut dans sa chute et le transporta au cap Ténare, en Laconie. Il se
rendit
de là chez Périandre, qui fit mettre à mort les m
eil, Hercule descendit aux enfers, combattit la Mort, la vainquit, et
rendit
Alceste à son époux. § 17. Phinée et les Harpy
u palais. Mais cette cruauté ne tarda pas à être punie : les dieux le
rendirent
aveugle à son tour, et lancèrent à sa poursuite l
Salmonée. Sisyphe, fils d’Éolus ou Éole, régna à Corinthe et s’y
rendit
fameux par ses fourberies, ses vols et ses brigan
l’avoir pour gendre, et lui fit épouser sa fille Anticlée70. Près de
rendre
le dernier soupir, Sisyphe imagina une supercheri
Après avoir conquis toute l’Élide, il exigea de ses sujets qu’ils lui
rendissent
les mêmes honneurs qu’aux dieux ; et il tâcha d’i
La Pythie. Les Grecs donnaient le nom de Pythie à la prêtresse qui
rendait
les oracles d’Apollon à Delphes ; ils appelaient
s Sibylles étaient des vierges inspirées qui prédisaient l’avenir, et
rendaient
des oracles. On varie sur leur nombre, leurs noms
t que son frère Typhon avait soulevé une partie du peuple, et s’était
rendu
redoutable à Isis. Naturellement pacifique, Osiri
mutilé, et le jeta dans le Nil. Isis voulait avoir la consolation de
rendre
à son époux les honneurs de la sépulture : elle c
érit lui-même de la main des Titans. Isis, sa mère, le ressuscita, le
rendit
immortel, et lui enseigna la médecine et l’art de
es peut jamais connaître qu’imparfaitement. f) L’ibis. L’Égypte
rendait
aux animaux un culte particulier : les temples de
ibis, même par mégarde. Ce respect venait des services que cet oiseau
rend
à l’Égypte, en y détruisant les chenilles, les sa
èdes… Vous riez, lecteurs, de cette superstition ! Mais nous-mêmes ne
rendons
-nous pas une sorte de culte aux hirondelles, à ce
n autre phénix, jeune, brillant, radieux, dont le premier soin est de
rendre
à son père les honneurs de la sépulture. Cet oise
de son éloquence, on prétendait qu’il avait apprivoisé les lions, et
rendu
sensibles les rochers. Une femme qui avait perdu
les admirant, les chefs-d’œuvre des peintres et des sculpteurs ; elle
rend
facile et intéressante la lecture des poètes ; el
’établit dans le Latium. Elle épousa Tibérinus, dieu du Tibre, qui la
rendit
mère d’Ocnus (appelé aussi Bianor), fondateur de
oésie ; on ne doit point les séparer : c’est même un double service à
rendre
aux jeunes gens, que de leur apprendre à bien con
e Babylone la statue de son père, et ordonna à tous ses sujets de lui
rendre
le culte qui est dû à la divinité. A l’exemple de
en fut informé, et déclara la guerre à son frère qui refusoit de lui
rendre
l’empire du Monde. Saturne fut vaincu et mis aux
nt l’Age d’or, tous les dieux habitoient la terre, et contribuoient à
rendre
les hommes heureux, en leur donnant des exemples
, il remit son père sur le trône, l’en chassa peu de tems après et se
rendit
maître du ciel et de la terre. Il épousa Junon, s
légumes qui croissoient dans leurs jardins. Jupiter, qui s’étoit déjà
rendu
maître du tonnerre, foudroya les Titans, et les é
eur repos rougir les Immortels. Du feu des cieux je me suis
rendu
maître ; C’est par moi que l’homme
quer, par Vulcain, une femme qu’ils appellèrent Pandore ; et, pour la
rendre
parfaite, chacun lui fit son présent. Vénus lui d
vous ; Au goût de la troupe choisie, Vous assaisonnez l’ambroisie. Et
rendez
le nectar plus doux. Jupiter prit la forme de Di
rouillée avec Jupiter, elle se retira dans l’isle de Samos, où on lui
rendit
, dans la suite, un culte particulier ; ce qui la
ane, naquit dans l’isle de Délos, que Neptune fit sortir des eaux, et
rendit
stable, sans égard pour Junon qui persécutoit Lat
et dieu de la Médecine qu’il avoit apprise du Centaure Chiron, ayant
rendu
la vie à Hypolite, fils de Thésée, fut foudroyé p
alut de tous ; Et, le frappant au cœur d’une atteinte mortelle, Il le
rend
pour jamais à la nuit éternelle. La Grange-Chanc
elle fit bâtir ce tombeau avec des soins et des frais immenses, et le
rendit
si magnifique, qu’il mérita d’être mis au nombre
monument célèbre. Les jardins et les murs de Babilone : ouvrages qui
rendirent
immortelle Sémiramis, reine d’Egypte, et qu’elle
a, ce seul espoir me soulage, Va lui porter le tendre hommage Que lui
rend
ma triste amitié. Lamotte. Mercure étoit lui-mê
Dioné. La plupart prétendent qu’elle est sortie du sein de la mer :
Rendez
à cette reine un éclatant hommage ; Jamais Vé
la préférence à Vulcain, pour le récompenser des services qu’il avoit
rendus
pendant la guerre des Géans. Vénus fut très-mécon
t volontiers au Jugement de Pâris, fils de Priam, roi de Troie, et se
rendirent
sur le mont Ida, dans la Phrygie : Là, ce berger
e. Je porte au hasard mon flambeau : Otez à l’Amour son bandeau, Vous
rendez
le repos au monde. Rousseau. On lui donne un ca
e Vénus persécuta au point de la faire mourir de douleur. Jupiter lui
rendit
la vie, et lui donna l’immortalité. On la représe
appas ! Animez nos cœurs ce nos bras,
Rendez
la victoire constante, Condui
est Egide en grec. Pallas avoit reçu de Jupiter ce bouclier : elle le
rendit
encore plus redoutable, en y attachant la tête de
allas, la barbare Pallas, Fut jalouse de mes appas, Et me
rendit
affreuse, autant que j’étois belle : Ma tête est
présidât à la guerre et aux combats. Le caractère de ce dieu est bien
rendu
dans ces vers que Rousseau met dans la bouche de
élivra ce dieu de la prison où Vulcain l’avoir mis. Il lui avoit déjà
rendu
le même service, en le tirant des mains des fils
geurs, afin de les dévorer : Nos chants harmonieux forcent tout à se
rendre
, Nous disposons des cœurs i notre gré ;
rsuader, eut recours à l’autorité de Jupiter, qui s’engagea de la lui
rendre
, si elle n’avoit rien mangé depuis son enlèvement
e dieu qui préside à cette nuit éternelle dont les affreuses ténèbres
rendent
si effrayant l’empire des morts. Cerbère, chien à
damante, roi de Lycie, fils de Jupiter et d’Europe, ou d’Egire, avoit
rendu
ses sujets si heureux, qu’ils en firent un dieu ;
destinées. Rousseau. La beauté de ce séjour ne suffiroit point pour
rendre
les hommes heureux, s’ils portoient encore au-ded
urmentent, et s’ils n’étoient pas à l’abri de tout ce qui contribue à
rendre
la vie malheureuse, ou même moins agréable : Hor
s : Aimable dieu, de qui la main dispense Ce qui
rend
les mortels heureux. Votre vaste
x arbres, et à l’aide desquelles ils viennent à bout d’ennoblir et de
rendre
plus agréables les images qu’ils nous tracent du
unit ma fierté criminelle. Quinault. Persée pétrifia le monstre, et
rendit
Andromède à Céphée qui la lui donna pour épouse.
ans sa barque, enchaîne Cerbère, enlève Alceste, malgré Pluton, et la
rend
à son époux : Ainsi, traversant Achéron, Hercule
ndît la cire qui attachoit ses ailes, ou que les vapeurs de la mer ne
rendissent
les plumes trop humides. Ce jeune téméraire, oubl
n, Il ouvre un œil mourant, qu’il referme soudain. Racine. Esculape
rendit
la vie à Hippolyte, et Diane le transporta em Ita
las, roi de Sparte ou Lacédémone. Elle fut enlevée par Thésée, qui la
rendit
à son époux ; et par le berger Pâris, ce qui occa
, fille d’Aëte, dont les enchantemens étoient nécessaires pour ne pas
rendre
inutiles la valeur de ce héros : Toute l
on. Malherbe. Elle conseilla aux filles de Pélias, frère d’Eson, de
rendre
le même service à leur père, en faisant bouillir
erbes inconnues, Lui forme un nouveau sang avec cette liqueur, Et lui
rend
d’un agneau la taille et la vigueur. Les sœurs cr
élevant dans les airs sur un char traîné par des dragons aîlés, et se
rendit
auprès du roi d’Athènes, qui lui avoit promis de
e une autre cour, un roi dont la puissance, Pour m’attacher à lui, me
rend
avec éclat Tout ce que je perdis en suivant un in
ut touché des accords de l’époux d’Euridicc. Gresset. Pluton la lui
rendit
; mais à condition qu’elle le suivroit, et qu’il
trouveroit son père dans la Phocide, province de la Grèce. Œdipe s’y
rendit
, et tua Laïus, en lui disputant le passage dans u
ère d’Atrée se changea en une haine et une fureur implacables, qui le
rendit
trop ingénieux à chercher une vengeance éclatante
: ils comptoient beaucoup sut la prudence de ses conseils ; et il se
rendit
aisément à leur invitation, dans l’espérance de l
eux. Lamotte. Achille mérite le premier rang parmi les héros qui se
rendirent
célèbres au siège de Troie. Il étoit fils de Thét
e Thétis et de Pélée. Sa mère l’avoit plongé dans le Styx, afin de le
rendre
invulnérable : Thétis, même, en trempant Achille
Lycomède : Ulysse, cependant, zélé pour sa patrie, Veut lui
rendre
le seul héros Dont l’appui des Troyens doit senti
appui des Troyens doit sentir la furie ; Et, pour le découvrir, il se
rend
à Scyros. Il étale aux yeux des princesse
le punir d’une impiété dont il avoit toujours fait gloire. Diomède se
rendit
immortel par mille exploits, et sur-tout en bless
, après avoir détruit la ville de Troie. Priam en releva les murs, et
rendit
son empire le plus florissant de l’univers. Il av
et de riches présens, redemander le cadavre de son fils, afin de lui
rendre
les derniers devoirs. Achille l’accorda sur-tout
la lance qu’elle tenoit à la main. Cependant les Grecs, ne pouvant se
rendre
maîtres de la ville par la force, entreprennent d
te consulta l’Oracle, qui lut ordonna d’aller dans la Tauride. Il s’y
rendit
avec Pilade, son ami fidèle. Tous deux furent arr
es malheureux si voisins du naufrage, Dieu puissant ! m’écriai-je, et
rends
-nous au rivage. Le premier des sujets rencontré p
par son roi, A Neptune immolé satisfera pour moi…… Mon sacrilège vœu
rendit
le calme à l’onde ; Mais rien ne put le rendre à
oi…… Mon sacrilège vœu rendit le calme à l’onde ; Mais rien ne put le
rendre
à ma douleur profonde ; Et, l’effroi succédant à
. Cette nymphe mit tout en usage pour le retenir, et lui promit de le
rendre
immortel : Pour fixer le volage Ulysse, Jouet de
fleuve des enfers, 104-105 Achille, fils de Thétis et de Pelée, est
rendu
invulnérable, 173 — Est élevé par le centaure Ch
Alphée, chargé en fleuve par Diane, 58 Altée, reine de Calidon, se
rend
odieuse à Diane, ibid. — Fait périr Méléagre, 5
caractère, 76 — Comment on le représente, ibid. — Culte qu’on lui
rend
, 77 Cyanée, nymphe changée en ruisseau, 99 Cybè
Déjanire, épouse Hercule, 138 — Lui cause la mort, 139 Delos, isle
rendue
stable, 40 — Lieu de la naissance d’Apollon et d
, fils d’Apollon, 40 — Apprend la médecine du centaure Chiron, 89 —
Rend
la vie à Hyppolite, 40-147 Eson, rajeuni par Méd
Quelle étoit leur ambition, 81 — Surprennent la ville de Troie, s’en
rendent
les maîtres, etc. 184 — En partagent les dépouil
calomnié par Phèdre, 145 Hippolyte puni malgréson innocence, 146 —
Rendu
à la vie par Esculape, 40-147 — Sauvé par Diane,
t l’appeler le père des dieux, 12 — Ses poëmes, 51 Honneurs divins,
rendus
au Soleil et à la Lune, 9 — Aux rois et aux héro
res, 28 — Crée des hommes, 31 — Et leur envoie la sagesse, 61 — Se
rend
maître du tonnerre, 30 — En est surnommé l’arbit
juger les trois désses qui se disputoient le prix de la beauté, 75 —
Rend
la vie à Psyché, 76 — — A Pélops, 169 — Change
4 Pélion, montagne célèbre, 29-30-47 Pélops, fils de Tantale, 102 —
Rendu
à la vie, il épouse Hippodamie, 169 Pénates, die
age l’empire du monde avec ses frères, 28 — Enlève Proserpine, 98 —
Rend
Euridice à Orphée, 158 — Son palais est gardé pa
duite en cendres, ibid. Sémiramis, reine d’Egypte, 63 — Ce qui l’a
rendue
immortelle, 63-64 Serment par le Styx, 105 — Pa
ment est célèbre dans l’Histoire poétique, 11 Tonnerre, Jupiter s’en
rend
le maître, 20 Tour d’airain qui renfermoit Danaé
2 Travaux d’Hercule, 132-133-134-135 Trépied sacré, 46 — Servoit à
rendre
les oracles, 47 Trident, sceptre de Neptune, 91
eu de l’Automne, 113 Vertus, érigées en divinités, 14-121 — On leur
rend
les honneurs divins, 11 Vesta, la même que Cybèl
tuel, 27 Vestales, ibid. Vices, érigés en divinités, 221 — On leur
rend
les honneurs divins, 11 Victoire de Jupiter, 30-
Babylone, la statue de son père et, ordonna à touts ses sujets de lui
rendre
le culte qui est dû à la divinité. A l’exemple de
formes d’animaux : c’est pour cela que, dans la suite, les Egyptiens
rendirent
aux bêtes des honneurs divins ; Bacchus eut plus
réer des hommes, firent fabriquer une femme par Vulcain ; et, pour la
rendre
parfaite, chacun lui fit son présent. Pallas, lui
, pour pénétrer dans la tour d’airain où étoit enfermée Danaé, qui le
rendit
père de Persée ; il prit la figure d’un taureau,
à la nage toute la Méditerranée, et arriva en Egypte, ou Jupiter lui
rendit
sa première forme. Ce fut là qu’elle mit au monde
beauté à celle de Junon. La déesse, indignée de ce téméraire orgueil,
rendit
les Prœtides si furieuses, qu’elles s’imaginèrent
la statue, qu’elle brisa. Cette aventure la couvrit de honte, sans la
rendre
plus sage. D. Jupiter et Junon eurent-ils des enf
ressa alors à Jupiter, père de Proserpine, et le conjura de lui faire
rendre
sa fille. Jupiter y consentit, pourvu qu’elle n’e
i consacroient le mois de février, pendant lequel ils tâchoient de se
rendre
le dieu favorable pour l’époque prochaine de la n
e foudre, précipita Ixion dans les enfers. D. Titye ne s’étoit-il pas
rendu
coupable d’un pareil crime envers Latone ? R. Ou
ès, qui vomissoit feu et flammes, et que Minerve tua. La déesse, pour
rendre
son bouclier plus effroyable, y attacha la tête d
référence à Vulcain, pour le récompenser des services qu’il lui avoit
rendus
en forgeant des foudres contre les géants. Ainsi,
e la persécuta si cruellement qu’elle la fit mourir. Mais Jupiter lui
rendit
la vie, et lui donna l’immortalité, en faveur de
ontre le rivage l’île de Délos, qui étoit flottante, et qui fut alors
rendue
stable. Latone s’y réfugia, et y mit au monde Apo
ouvrir de sa peau le trépied sur lequel s’asseyoit la pythonisse pour
rendre
ses oracles. En mémoire de cet événement, on inst
du centaure Chiron l’art de la médecine. Il y devint si habile, qu’il
rendit
la vie à Hippolyte, fils de Thésée, que des monst
sta fidelle à Procris. L’Aurore, après l’avoir inutilement retenu, le
rendit
à son épouse. Céphale résolut d’éprouver la fidél
r apprendre de sa propre bouche la vérité de sa naissance. Phaéton se
rendit
donc au palais du Soleil. Ovide nous a laissé une
s lèvres le vin ruisselle en or fluide : Détrompé d’un bonheur qui le
rend
malheureux, Il maudit sa richesse, et condamne se
: ô Bacchus ! pardonne un vœu coupable ; Délivre-moi d’un bien qui me
rend
misérable. ( Ovide, trad. de Saintange.) Bacchus
mœurs. Terpsichore, avec art règle ses pas agiles ; A la danse elle
rend
ses élèves habiles. Euterpe, présidant aux leçon
a naissance d’Alexandre. Érostrate y mit le feu, dans la seule vue de
rendre
son nom célèbre. Les Éphésiens défendirent par un
a flûte et ma voix ; Que le lait le plus pur écume entre mes doigts ;
Rends
mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes ; P
le lait le plus pur écume entre mes doigts ; Rends mon bélier ardent,
rends
mes chèvres fécondes ; Puissent de frais gazons,
s qui courent l’univers. Ce palais merveilleux, bâti d’airain sonore,
Rend
le son, le répète, et le répète encore. La voix r
de Pallas, et consentit même à donner de son lait à l’enfant, pour le
rendre
immortel. Hercule aspira si fortement le lait de
en conçut tant de regret, qu’elle se tua elle-même. D. Quels honneurs
rendit
-on à Hercule après sa mort ? R. Philoctète recue
engeance est vaine, Si ta voix souveraine Ne lui
rend
des jours plus heureux. O mon père ! éco
demanda à Pluton. Le dieu des enfers, touché des sons de sa lyre, lui
rendit
son épouse, à condition qu’il l’emmèneroit derriè
arfum l’essence précieuse : Cette pure ambroisie embaume ses cheveux,
Rend
son corps plus agile et ses bras plus nerveux. Au
c lui ; mais bientôt il oublia le service important qu’elle lui avoit
rendu
, et la délaissa dans l’île de Naxos. Bacchus vint
ndît la cire qui attachoit ses ailes, ou que les vapeurs de la mer ne
rendissent
les plumes trop humides. Dédale cependant qu’un
aintive, » Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive ; » Qu’il lui
rende
… » A ce mot, ce héros expiré N’a laissé dans mes
ps après, les Athéniens, pour réparer leur ingratitude envers Thésée,
rendirent
des honneurs à ses cendres, et lui élevèrent des
nsuite il envia les trésors de son gendre, et le fit mourir pour s’en
rendre
maître : Jason, et un grand nombre de princes de
e une autre cour, un roi dont la naissance, Pour m’attacher à lui, me
rend
avec éclat, Tout ce que je perdis en suivant un i
it fils de Jupiter et d’Antiope, femme de Lycus, roi de Thèbes. Il se
rendit
habile dans la musique, et Mercure, dont il fut l
sur son dos, et le porta jusqu’au cap Ténare, en Laconie, d’où il se
rendit
à Corinthe. Périandre fut ravi de le revoir ; il
s parents de ces jeunes amants. Pyrame et Thisbé se donnèrent un jour
rendez
-vous hors des murs de Babylone, sous un mûrier bl
Elle sortit alors avec plusieurs dames habillées en bacchantes, et se
rendit
à la prison de sa sœur qu’elle délivra. La vue de
ux mains sans se connoître, et Laïus fut tué. D. Dans quelle ville se
rendit
Œdipe, après avoir tué Laïus ? R. Il alla à Thèb
ncor ses desirs, Et retarde le cours de ses derniers soupirs. Près de
rendre
la vie, il en cache le reste, Et sa mort au vainq
é des étrangers contre sa patrie. Mais Antigone revint à Thèbes, pour
rendre
les derniers devoirs à son frère. Créon, instruit
is, fils de Priam, fut envoyé par son père, à Salamine, pour se faire
rendre
Hésione, fille de Laomédon. Cette princesse avoit
Mais l’événement trompa son attente. Les princes grecs refusèrent de
rendre
Hésione ; et, ayant fait entr’eux une ligue puiss
ertains événements qui devoient être accomplis avant que les Grecs se
rendirent
maîtres de cette ville. On compte six fatalités d
à ne jamais révéler le lieu de la sépulture du héros auquel il avoit
rendu
les derniers devoirs. 3°. Il falloit enlever le p
assurer sa victoire, Cassandre, qu’Apollon nous défendoit de croire,
Rend
des oracles vains que l’on écoute pas ; Et nous,
ouvre enfin la barrière. Dans l’ombre de la nuit la machine guerrière
Rend
cet affreux dépôt ; et de son vaste sein S’échapp
ent instruites du sacrifice qui se prépare, il presse Iphigénie de se
rendre
à l’autel, sous prétexte de l’unir à Achille. Mai
e tête innocente ; Et, respectant le coup par vous-même ordonné, Vous
rendre
tout le sang que vous m’avez donné. Si pourtant c
leurs prouver votre tendresse ? Où sont-ils ces combats que vous avez
rendus
? Quels flots de sang pour elle, avez-vous répand
upable moitié dont il est trop épris. Mais vous, quelles fureurs vous
rendent
sa victime ? Pourquoi vous imposer la peine de so
urrit que de moëlle de lion. Sa mère le plongea dans le Styx, pour le
rendre
invulnérable. Mais le talon par où elle le tenoit
fut-il amené au siége de Troie ? R. Ulysse, déguisé en marchand, se
rendit
à la cour de Lycomède. Il avoit mêlé des armes pa
s déclara que la contagion ne cesseroit que quand Chryséis auroit été
rendue
à son père. Achille pressa vivement Agamemnon de
recs du terrible fléau qui depeuploit leur camp. Le roi de Mycènes ne
rendit
Chryséis que malgré lui, et, pour se venger d’Ach
Priam vint redemander le corps de son fils à son vainqueur, pour lui
rendre
les honneurs de la sépulture. Achille se laissa f
hille se laissa fléchir par les larmes dès ce malheureux père, et lui
rendit
le cadavre d’Hector. Priam aux pieds d’Achille.
Racine.) Oreste. Madame, c’en est fait, et vous êtes servie : Pyrrhus
rend
à l’autel son infidelle vie. Hermione. Il est mor
ut votre sang se soulevât pour lui ? Mais parle : de son sort qui t’a
rendu
l’arbitre ? Pourquoi l’assassiner ? qu’a-t’il fai
sépulture. Les Grecs, instruits par l’oracle, qu’ils ne pouvoient se
rendre
maîtres de Troie, s’ils n’avoient en leur possess
it aux artifices : il soupire : il avoue son projet à Philoctète, lui
rend
ses armes, et le laisse libre. Ulysse, quoique en
ils tendent ; Ils m’ont fait touts ces maux : que les dieux les leur
rendent
! Ulysse. D. Qui étoit Ulysse ? R. Ulysse
oir par là que sa folie n’étoit que simulée. D. Quels services Ulysse
rendit
-il aux princes grecs ? R. Il découvrit, à son to
r paisible possesseur des trésors que Priam lui avoit livrés pour les
rendre
à son fils. Hécube, qui étoit échue en partage à
d nombre des siens. Il ne lui resta qu’un vaisseau, avec lequel il se
rendit
dans l’île d’Œa, chez Circé. D. Faites connoître
fit de ses talents fut sur le roi des Sarmates, son mari. Ce crime la
rendit
si odieuse à ses sujets, qu’ils la forcèrent à pr
te à plaire à Ulysse, et le retint pendant un an, auprès d’elle. Elle
rendit
à ses compagnon leur première forme. Elle procura
ils d’Oïlée, roi des Locriens. Il étoit renommé pour sa valeur, et il
rendit
de grands services pendant le siége. Mais, à la p
ombattit contre les Centaures, Il étoit déjà fort vieux, lorsqu’il se
rendit
au siége de Troie, Il fut très-utile aux Grecs pa
s malheureux si voisins du naufrage, » Dieu puissant, m’écriai-je, et
rends
-nous au rivage ! » Le premier des sujets rencontr
r son roi, » A Neptune immolé satisfera pour moi. » Mon sacrilége vœu
rendit
le calme à l’onde ; Mais rien ne put le rendre à
i. » Mon sacrilége vœu rendit le calme à l’onde ; Mais rien ne put le
rendre
à ma douleur profonde ; Et, l’effroi succédant à
refit une lettre de Priam, qui le remercioit d’un service qu’il avoit
rendit
aux Troyens, et lui annonçoit l’envoi de la somme
oble courroux, » Ne vit pas sans pitié Priam à ses genoux, » Et, pour
rendre
au tombeau des dépouilles si-chères, » Il me renv
à votre époux c’est être assez fidelle : Trop de vertu pourroit vous
rendre
criminelle. Lui-même il porteroit votre ame à la
ouvient plus qu’Achille étoit son père Qui dément ses exploits et les
rend
superflus ? Andromaque. Dois-je les oublier, s’il
uneste, D’une infidelle vie abrégera le reste ; Et, sauvant ma vertu,
rendra
ce que je dois A Pyrrhus, à mon fils, à mon époux
riam, son père ? R. Priam fit célébrer des jeux à sa cour. Pâris s’y
rendit
, combattit contre ses frères, et les vainquit. He
tride cependant la flotte a disparu, Ilion, à la paix tu crus ton sol
rendu
! Vers des bords étrangers ces voiles fugitives,
s, de sa main qu’anime un noble effort, Un trait part… Mais quel dieu
rend
ce trait inutile ? Il tombe, et meurt aux pieds d
r la combattre, hélas ! tu n’as que ton amour : Ton trépas à tes fils
rendra-t
-il donc le jour ?… Tu tombes ! et vers Troie, à t
-nous les beaux vers dans lesquels le traducteur de Virgile a si bien
rendu
les fureurs de Didon après le départ d’Énée, et l
ui plaisante ; c’est un témoin présent à l’action, et qui veut vous y
rendre
présent vous-même : son érudition, son éloquence,
de votre père, et suivez-les, afin que vous soyez sauvés : car Dieu a
rendu
le père vénérable aux enfants, et il a affermi su
les parents perdent toute espèce d’autorité sur leurs enfants, et se
rendent
ainsi eux-mêmes incapables de les bien élever. Fi
l’autre ; ne les portant à céder pour le moment que de manière à les
rendre
bien plus opiniâtres et plus volontaires par la s
en écrivant. Au moins accoutumez-les à faire leurs lignes droites, à
rendre
leur caractère net et lisible. » Ajoutons à ces
doucement la meilleure manière de faire une narration, qui est de la
rendre
courte., simple et naïve, par le choix des circon
ie dégrade l’homme, lui fait perdre l’estime de ses semblables, et le
rend
le fléau de la société. Le fourbe prend touts les
uire ; Faites, si vous pouvez, votre cour sans vous nuire : Le mal se
rend
chez vous au quadruple du bien. Les daubeurs ont
ée ; Et boquillons de perdre leur outil, Et de crier pour se le faire
rendre
. Le roi des dieux ne sait auquel entendre. Son fi
d bruit que l’oiseau prend la fuite. Par la foible Fourmi, ce service
rendu
A la Colombe bienfaisante,
noissance ! Et que peu de gens en font voir ! D’un service
rendu
la flatteuse espérance, Fait porter à l’excès les
ce, Fait porter à l’excès les soins, la complaisance : A peine est-il
rendu
, qu’on cesse d’en avoir. De qui nous a servis, la
doit servir à la régler ; qu’il y a telle bizarrerie, qui ne peut que
rendre
une mode souverainement ridicule ; que, pour paro
talents. L’espoir de parvenir aux dignités suprêmes
Rend
esclave de la faveur ; Rien d’un ambitieux ne reb
vec, n’ayant d’autre déduit, Que d’y ruminer jour et nuit, Et
rendre
sa chevance à lui-même sacrée. Qu’il allât ou qu’
era ; Mais Dieu, qui voit tout, le verra ; Je le prîrai qu’il vous la
rende
. L’homme bienfaisant doit répandre ses grâces da
elles deviennent odieuses et insupportables, elle les dénature et les
rend
hideuses. Si les femmes savoient combien les empo
duisit dans l’île de Crète, où ayant repris sa forme naturelle, il la
rendit
mère de Minos, de Sarpédon, et de Rhadamanthe. Eu
. Mercure et Bacchus furent aussi favorisés de Vénus : le premier la
rendit
mère d’Hermaphrodite, et le second de Priape, qui
s et derniers efforts d’une imparfaite joie, Moments pour qui le Sort
rend
leurs vœux superflus Délicieux moments, vous ne r
victimes humaines sur le tombeau d’Adonis, et que le culte qu’on lui
rendait
ressemblait à celui du génie du mal. La douleur q
rmirent à Énée d’entrer dans les Enfers, accompagné de la Sibylle qui
rendait
les oracles d’Apollon à Cumes. Il vit les tourmen
charme tout-puissant à une ceinture mystérieuse qui avait la vertu de
rendre
aimable celle qui la portait, et de faire naître
et Euphrosine. Ces déesses présidaient aux libéralités, aux services
rendus
par l’amitié, à tous les bienfaits ; et c’est à c
nt ses autels ; et sa modestie ne put empêcher que les mortels ne lui
rendissent
un culte semblable à celui de la reine de Cythère
cité. Au moyen du sang de la Gorgone, que Minerve lui avait donné, il
rendit
la vie à Capanée, à Lycurgue, roi de Mémée, à Éri
eux. « Bientôt Apollon montra à tous ces bergers les arts qui peuvent
rendre
la vie agréable. Il chantait les fleurs dont le P
uditeurs surpris, En tumulte au berger accordèrent le prix ; Et, pour
rendre
sa gloire encore plus complète, Pan lui-même tout
e celles des autres hommes, les allongea, les couvrit de poil, et les
rendit
parfaitement semblables à celles de l’âne. Midas
l’insensible Daphné : Phaéton fut le fruit de cet amour. Sa beauté le
rendit
cher à Vénus. Fier de ses avantages, il fut indig
pandait ses premiers rayons, l’enleva pour en faire son époux ; il la
rendit
mère de Memnon et d’Émathion. Memnon fut roi d’Ét
dit mère de Memnon et d’Émathion. Memnon fut roi d’Éthiopie : s’étant
rendu
au siège de Troie, il y périt de la main d’Achill
es sons articulés au lever de l’Aurore, et qui le soir, dans l’ombre,
rendait
des sons lugubres. Tithon obtint de Jupiter l’imm
tième entretien. Diane. La compagnie était arrivée dans le lieu du
rendez
-vous un peu plus tard que les jours précédents. O
ut chargé de fonctions plus importantes. Le maître des dieux, pour le
rendre
plus agile, lui donna un bonnet ailé, nommé pétus
e pouvoir de faire des miracles, de changer de forme à son gré, et de
rendre
les hommes invisibles. Toutes ses attributions le
n gré, et de rendre les hommes invisibles. Toutes ses attributions le
rendirent
propre à exercer tour-à-tour avec succès l’emploi
ventures galantes. Nous avons vu qu’il fut aimé de Vénus, et qu’il la
rendit
mère d’Hermaphrodite, mot qui renfermé le nom de
é la vie des hommes, et en les dirigeant dans leurs actions, elle les
rendait
capables de résister aux plus grands périls. C’es
une fontaine du mont Ida, elle reconnut qu’en effet cet instrument la
rendait
difforme, et elle le donna au satyre Marsyas. On
hanger en serpents, elle semble dire : « J’ai perdu la beauté qui me
rendit
si vaine « Je n’ai plus ces cheveux si
las, la barbare Pallas, « Fut jalouse de mes appas, « Et me
rendit
affreuse autant que j’étais belle. « Mais l’excès
l’effroi23. » Persée. Persée, fils de Jupiter et de Danaé, se
rendit
en Libye pour combattre Méduse, la seule des Gorg
t ses talonnières ; Pluton lui prêta son casque qui avait la vertu de
rendre
invisible celui qui le portait. Persée, armé de l
se distinguèrent sur toutes les autres villes dans le culte qu’elles
rendaient
à cette déesse. Jupiter, charmé de voir les Rhodi
our furent ses fils. Pour n’être point surpris dans les visites qu’il
rendait
à la reine de Cythère, ce dieu avait un serviteur
ge de Bacchus pendant les Orgies, Jupiter, à la prière de ce dieu, le
rendit
aveugle. Les filles de Minée, après avoir travail
ait beaucoup souffert pendant le courroux de Cérès ; cette déesse s’y
rendit
, et séjourna à Éleusis, où elle instruisit Tripto
consacré à Vénus, les jeunes Romaines, sur le point de se marier, se
rendaient
dans le temple de la Fortune, et qu’après avoir b
ûte et ma voix ; « Que le lait le plus pur écume entre mes doigts ; «
Rends
mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes : «
lait le plus pur écume entre mes doigts ; « Rends mon bélier ardent,
rends
mes chèvres fécondes : « Puissent de frais gazons
présentée portée sur un brancard par quatre femmes. Le culte que l’on
rendait
à cette déesse variait dans les différents pays.
e sont empressés de donner le nom de la déesse des moissons : ils ont
rendu
les mêmes honneurs à Minerve, et sa planète est a
s arts mécaniques, et principalement de ceux qui emploient les métaux
rendus
malléables par le feu. Vulcain. On dit que J
ue, il fut précipité sur la terre, et se rompit la cuisse ; ce qui le
rendit
boiteux pour toujours. Il tomba dans l’île de Lem
de Vulcain, devenir l’objet du culte des anciens peuples. Les Romains
rendaient
un culte à ce même élément, sous les attributs de
ux qu’il allait lui prescrire. Ayant d’abord refusé d’obéir, Junon le
rendit
insensible et furieux ; mais cédant au Destin, il
averne près de laquelle s’élevait un temple d’Apollon, où une sibylle
rendait
des oracles. La prêtresse d’Apollon annonça à Éné
ls naquirent avec une longue crinière, un visage de fille que la Faim
rendait
toujours pâle, de grandes ailes, et des mains arm
re les Géants, les Cyclopes forgèrent un casque qui avait la vertu de
rendre
invisible celui qui le portait, et ils en firent
pleins de larmes. Le maître des dieux décida que sa fille lui serait
rendue
, pourvu toutefois qu’elle n’eût rien mangé depuis
r d’enfants mâles, dévora Neptune le jour même de sa naissance, et le
rendit
, quelque temps après, par le moyen d’un breuvage
our époux. Neptune, en récompense du service que le Dauphin lui avait
rendu
, le plaça parmi les astres, où il forme la conste
e son nom. Amphitrite partagea l’empire des eaux avec son mari. Il la
rendit
mère de Triton, un des dieux marins, et de Rhode,
ied à l’homme et lui donne son prix, « L’œil que je porte au front me
rend
-il si difforme ? « C’est l’orbe étincelant d’un b
er, près de la ville du même nom, en Épire : là, les chênes eux-mêmes
rendaient
des oracles célèbres. On voyait dans ce bois une
oré en Arcadie ; il avait un temple sur le mont Lycée, dans lequel il
rendait
des oracles. Les Arcadiens célébraient en son hon
il courut auprès de la magicienne, et la força, l’épée à la main, de
rendre
à ses compagnons leur première forme. Circé vit b
ironnent ? Éloignez-vous de moi ; et que, dès aujourd’hui, Achille se
rende
maître de Troie.” « Il parle ainsi à demi consumé
t de ce prince. On assure que la fontaine de Salmacis, dans la Carie,
rendait
efféminés et amoureux tous ceux qui buvaient de s
e craint, on l’abhorre… L’onde du Lyncestis, contraire en ses effets,
Rend
ivre l’imprudent qui la boit à longs traits : Com
onstant et plus heureux. Il se déguisa de toutes les manières pour la
rendre
sensible et pour la déterminer à l’épouser : il p
it aussi sous les berceaux verdoyants et fleuris des jardins que l’on
rendait
un culte aux Saisons, divinités aimables qui prés
le, donné à la pièce d’entrée d’une maison, vient du culte que l’on y
rendait
à Vesta. Lorsqu’on pénétrait dans les appartement
les prémices des fruits : le pêcher lui était spécialement consacré.
Rendre
quelqu’un harpocrate, signifiait, chez les Romain
consacré. Rendre quelqu’un harpocrate, signifiait, chez les Romains,
rendre
muet. Enfin, si de la demeure des hommes on pénét
r un Oracle de se tenir en garde contre un fils de Jupiter, refusa de
rendre
au héros les devoirs sacrés de l’hospitalité, aus
e hâte de délivrer Andromède, il la conduit en triomphe au palais, la
rend
à ses parens, la demande pour épouse, l’obtient ;
re combien ce héros étoit redoutable, mais l’envie ne raisonne pas et
rend
aveugle. Persée changea en pierres Phinée et ses
ce jeune héros. Cependant Persée se rappelant ses premiers bienfaits
rendit
de grands honneurs à sa mémoire. Dans les jeux fu
son épouse, Cassiope et Céphée. Les peuples de Mycènes et d’Argos lui
rendirent
les honneurs divins, ainsi que ceux de l’île de S
fosse au pied de quelques arbres. Sa chienne Méra, que sa fidélité a
rendue
célèbre, resta errante dans les champs, mais elle
à sa noire destinée, devint parricide en tuant Laïus. Delà, Œdipe se
rendit
à Thèbes où il trouva la Cour et la ville dans la
terminer sa déplorable existence à Colonne voulut y retourner. Il s’y
rendit
seul avec Thésée. Après avoir marché quelque temp
es vers sa tombe… Arrivé près d’un précipice il s’en détourne pour se
rendre
auprès d’une fontaine dont le murmure règle sa ma
, brave tous les périls, et va chercher le corps de Polynice pour lui
rendre
les derniers devoirs. Le barbare Créon qui comman
e lui dit de se laisser guider par Vénus ; en sortant du temple il se
rendit
sur le bord de la mer et là, il immola à sa Déess
Ils ont donné une touchante sensibilité aux héroïnes qu’ils ont voulu
rendre
intéressantes, Pénélope, Andromaque, Iphigénie, A
; quoiqu’elle n’eût que dix ans, il l’enleva, mais on le força de la
rendre
. Ce héros si fameux eut des mœurs infâmes. Il enl
et par un sanglier. Apollon, reconnoissant des services que lui avoit
rendus
Admète, lui enseigna l’art de réduire sous un mêm
ice de cette abominable action la redemanda, mais Admète refusa de la
rendre
. Acaste assiégea Admète dans son palais, s’en emp
ême se remettre volontairement entre les mains d’Acaste, qui aussitôt
rendit
la liberté à Admète. Ce dernier, désespéré, craig
de chez Diomède, attaqua Acaste, le vainquit, délivra Alceste, qu’il
rendit
à Admète qui l’épousa. On dit encore que lorsque
ls de ses triples bouches sur les herbes de cette contrée, ce qui les
rendit
si vénéneuses et si propres aux opérations les pl
Podarcès en celui de Priam du mot grec priamaï, j’achète, Hercule lui
rendit
le royaume de son père. Hésione eut de Télamon, u
ire se poignarda. Hercule consulta l’Oracle, qui lui prescrivit de se
rendre
avec ses amis sur le mont Œta et d’y élever un bû
d’Athènes, accompagna Hercule dans cette expédition. Ces guerriers se
rendirent
à Thémiscyre, la Reine Antiope refusant de donner
en eut le chaste Hypolite. Une autre sœur de la Reine des Amazones se
rendit
dans l’Attique avec une armée pour délivrer sa sœ
is il indiqua avec le pied, le lieu où il avoit inhumé Hercule. Il se
rendit
à Troye avec les Grecs, et durant le voyage, une
et surtout celui de haïr. Pluton attendri pour la première fois, lui
rendit
Euridice à condition qu’il ne la regarderoit que
ard de cette Princesse qu’elle avoit toujours persécutée. Junon, pour
rendre
à jamais ces Thébaines incapables d’éprouver une
de le venger de Pélias ; ce qu’elle fit par un crime atroce. Elle se
rendit
à Iolcos, sous les traits d’une vieille magicienn
e la beauté sur Vénus même qui le lui disputa. Ce fut le Dieu Pan qui
rendit
ce jugement, en punition de cette décision, l’Amo
ie, et de Thétis : on dit que sa mère le plongea dans le Styx pour le
rendre
invulnérable, tout son corps le devint excepté le
la terreur des ennemis. Pendant le siége, Agamemnon fut contraint de
rendre
sa captive Chriséis à Chrisès, père de cette jeun
Achille vouloit priver de la sépulture le corps d’Hector, mais il le
rendit
aux prières et aux larmes de Priam. Ensuite il pr
toit inconnu. Priam voulut le voir, le questionna, le reconnut et lui
rendit
son rang. Il l’envoya en qualité d’ambassadeur à
pour Enée, et lorsque ce héros la quitta, elle se poignarda. Enée se
rendit
en Italie, y fut bien reçu par le Roi Latinus, et
ravisseur et se fit nommer chef de l’expédition contre Troye. Il s’y
rendit
avec cent vaisseaux. Mais pendant que les Grecs s
ve appelée Briséis qu’il lui avoit enlevée et qu’il fut obligé de lui
rendre
lors de la prise de Troie. Cassandre, dont il éto
ur l’autre, cette amitié héroïque et touchante qui, par la suite, les
rendit
plus célèbres que leurs exploits. Cependant l’exi
épandit ; Egisthe et Clytemnestre en conçurent tant de joie qu’ils se
rendirent
au temple d’Apollon pour en remercier les Dieux ;
autre tragédie de cet admirable poëte, Oreste tourmenté des furies se
rend
à Athènes, Minerve établit l’aréopage pour le jug
tresse d’un temple de Diane. Oreste obéit, et, suivi de Pylade, il se
rendit
dans cette contrée barbare où l’on immoloit tous
eptune. Ajax s’étoit fait une grande réputation par son courage et il
rendit
beaucoup de services pendant le siége de Troye. I
roye. Il y eut un autre Ajax fils de Télamon et de Péribée, qui ne se
rendit
pas moins célèbre que le premier. Celui-ci, tout
ne s’y montre point dans son caractère ; elle propose à Ulysse de le
rendre
invisible, pour lui faire entendre Ajax en démenc
tans d’Ithaque l’envoyèrent en Messénie pour engager les Messéniens à
rendre
trois cents brebis qu’ils avoient enlevés ; ce fu
nfaisante nommée Moly ; la passion de Circé pour lui, qui la décida à
rendre
à ses compagnons leur première forme, et à lui co
ets le chassèrent. Il alla fonder un nouvel empire dans la Calabre et
rendit
son nouveau peuple heureux. Mycile. C’étoi
enommée. Fille de la Terre et messagère de Jupiter. Les Grecs lui
rendirent
les honneurs divins, elle eut à Athènes un autel
xime de La Rochefoucault : « L’hypocrisie est un hommage que le vice
rend
à la vertu ». L’Impiété et l’Injustice. F
us les traits odieux de la licence. Loin que ses symboles puissent la
rendre
respectable, ils la déshonorent56, soit qu’on n’a
e d’Echo et de Pan. Junon croyant que par ses enchantemens elle avoit
rendu
Jupiter amoureux d’Io, la changea en oiseau qui c
9e. 22. Iliade, chant 12e. 23. En récompense Castor et Pollux lui
rendirent
beaucoup d’honneurs et après sa mort les Lacédémo
Il est impossible de traduire littérallement ces beaux vers, et d’en
rendre
en français les expressions frappantes. Mais en v
escrit l’étude dans toutes les écoles du royaume de France. Mais pour
rendre
cette étude convenable à tous les âges, il a fall
pas même sentir la nécessité d’une première cause. Il faut cependant
rendre
aux Égyptiens la justice de dire qu’en étudiant l
e. Lucien dit formellement que les Égyptiens furent les premiers qui
rendirent
un culte solennel aux dieux . Hérodote, au commen
e, c’est-à-dire astre vivant, parce qu’il avait porté les Égyptiens à
rendre
aux astres un culte religieux ; mais cette assert
tous les autres astres, vous ne tombiez dans l’erreur, et que vous ne
rendiez
un culte d’adoration à des créatures que le Seign
coupé ; celle de Samos une simple planche. Mais l’invention des arts
rendit
rapides les progrès de l’idolâtrie. Des statues b
dée bien nette de ces derniers, on craignait leur influence ; on leur
rendait
un culte pour les apaiser quand on les croyait ir
sée, Jason, Orphée, Castor et Pollux (noms que leur amitié mutuelle a
rendus
inséparables), ce fut alors que brillèrent tous l
il fut même obligé de se retirer dans l’Illyrie ; mais, s’étant enfin
rendu
maître du pays, il y établit sa religion. Il est
prétendue pierre devint par la suite un objet de vénération : on lui
rendit
même quelquefois les honneurs divins, et on la no
jusqu’au temps où Jupiter, devenu grand, combattit pour eux, et leur
rendit
la liberté. Jupiter, avant de délivrer son père,
Idea, Berrescynthya. Ils viennent de différentes montagnes où on lui
rendait
un culte particulier. On l’appelait aussi Ops et
us les fruits. Enfin, ses temples étaient d’une forme ronde, pour les
rendre
conformes à la rondeur de la terre. Les fêtes de
marche. Les Romains se distinguèrent extrêmement par le culte qu’ils
rendaient
à la mère des dieux. On donne souvent à Cybèle le
de Jupiter, la manière dont on le représentait, et le culte qu’on lui
rendait
. En donnant cette étendue à son histoire, nous fa
conseilla de faire prendre à son père Saturne un breuvage qui lui fit
rendre
la pierre Abdir, et aussitôt tous les enfans que
tié serpent. Mercure et Pan ayant surpris la vigilance de ce gardien,
rendirent
à Jupiter ses mains et ses jambes, c’est-à-dire s
ù il bâtit une seconde ville du même nom d’Acmonie : et, après s’être
rendu
maître de la Phénicie et de la Syrie, il mourut p
: celui-ci resta toujours soumis. Saturne, délivré par sa mère Titée,
rendit
la liberté à ses frères, qui, s’étant à leur tour
e et le souvenir de sa propre conduite envers son père Uranus l’ayant
rendu
soupçonneux, il consulta l’oracle, qui lui répond
le nous apprend qu’Atlas gouvernait les frontières d’Afrique ; il s’y
rendit
si célèbre, qu’il donna son nom à la chaîne de mo
Après la mort de Pluton, le gouvernement fut donné à Mercure, qui s’y
rendit
très-célèbre, et devint la principale divinité de
Titans par la mer. Ce frère de Jupiter commandait ses flottes ; il se
rendit
maître des ports de l’Espagne, et ferma tous les
la d’abord qu’un immense marais, et pendant long-temps ses vapeurs le
rendirent
inhabitable ; mais, lorsque le temps et les trava
colère. Des métamorphoses de Jupiter. Il serait impossible de
rendre
un compte exact de toutes les métamorphoses de Ju
tion de cette fable ; ils disent que Lycaon, fanatique et cruel, crut
rendre
plus d’honneur à Jupiter en lui sacrifiant un enf
lui enleva une de ses cornes. Achéloüs ne put obtenir qu’elle lui fût
rendue
qu’en cédant à son vainqueur la corne d’abondance
a dans les fables des dieux, des demi-dieux et des héros. Du culte
rendu
à Jupiter. On ne peut pas douter que le plus
er. On ne peut pas douter que le plus solennel de tous les cultes
rendus
aux dieux du paganisme était celui que l’on renda
de tous les cultes rendus aux dieux du paganisme était celui que l’on
rendait
à Jupiter. Il était aussi le plus varié, puisque
de l’égaler en formant des statues avec de l’argile. Il parvint à les
rendre
si parfaites, qu’elles paraissaient presque animé
, un vautour lui rongeait le foie, qui renaissait sans cesse ; ce qui
rendait
son supplice éternel. (Fig. 7.) Les autres dieux,
t un maillet, preuve certaine qu’il s’agit de l’art des statues. Pour
rendre
le sens des fables des poëtes, on a placé Minerve
rs jambes en les sculptant. Prométhée fut du nombre des Titans qui se
rendirent
redoutables à Jupiter. Forcé de fuir devant ce ro
rs dans la Grèce. Après sa mort, on lui accorda les honneurs que l’on
rendait
aux demi-dieux et aux héros. Quelques historiens
acrent une partie de leur vie à l’accroissement des sciences, et à se
rendre
vraiment utiles aux hommes. L’histoire n’a rien c
tous les ans on y rappelait la cérémonie de ce mariage. Jupiter, pour
rendre
ses noces plus solennelles, chargea Mercure d’y i
ère forme. Elle eut un fils nommé Épaphus. Le culte que les Égyptiens
rendaient
à la déesse Iris, sous la forme d’une vache, a sû
evoir placer celle d’Hymen. Ce fut pour consacrer son souvenir et lui
rendre
un culte, que les Grecs donnèrent le nom d’hyméné
rait aux enfers redemander sa fille, et que Pluton serait forcé de la
rendre
, pourvu qu’elle restât sans boire et sans manger
courut à leur secours, vainquit facilement ces lâches ravisseurs, et
rendit
les Atlantides à leur père Atlas, qui, par reconn
Un jour elle enleva Tithon, fils de Laomédon, et pria les dieux de le
rendre
immortel. Ils cédèrent à sa demande ; mais elle n
ipitait Tithon vers la vieillesse. Les dégoûts qui l’accompagnent lui
rendirent
la vie insupportable ; il implora de nouveau le c
Délos. Neptune, par pitié pour Latone, fit surnager cette île, et la
rendit
stable. Ce fut là qu’elle mit au monde Apollon et
acus, à cause du promontoire d’Actium, si célèbre par la victoire qui
rendit
Auguste maître de Rome et du monde ; Palatinas, p
luence du soleil et de la lune. La fière Niobé, piquée de ce que l’on
rendait
à Latone un culte religieux, tandis qu’on la déla
rier devant sa maison, dans l’espoir que le dieu épargnerait ceux qui
rendaient
cet honneur à la nymphe Daphné qu’il avait aimée,
arbe. Il avait presque autant de noms qu’il y avait de pays où on lui
rendait
un culte. Nous avons cité les principaux, mais no
statues qui paraîtraient les plus parfaites. L’habileté des ouvriers
rendit
la préférence si difficile à décider, que, pour c
’il lui brisa la tête avec sa lyre. Les oracles d’Apollon servirent à
rendre
très-fameuses plusieurs villes et plusieurs contr
nait à s’éclipser, ils assuraient qu’elle venait sur la terre, et s’y
rendait
à leurs ordres. Diane naquit avec son frère Apoll
nce d’Alexandre-le-Grand. Érostrate, coupable de cet incendie, voulut
rendre
son nom immortel en commettant un crime que l’on
du pays supposèrent qu’une divinité favorable, ou la Terre elle-même,
rendait
ses oracles par cette ouverture, et donnait à ceu
le magnifique environna ce sanctuaire, et l’affluence de ceux qui s’y
rendaient
multiplia tellement les habitations, qu’elles ser
histoire et la fable du Bacchus égyptien. En effet, le culte que l’on
rendait
à ce dieu et celui que l’on rendait à Osiris se r
tien. En effet, le culte que l’on rendait à ce dieu et celui que l’on
rendait
à Osiris se ressemblaient parfaitement. Ce rappro
es et d’enfans, fut obligée d’errer long-temps dans le désert pour se
rendre
dans la Palestine, qui tenait, ainsi que les Inde
bles de la loi sur le mont Sinaï. La transposition d’une seule lettre
rend
les deux noms absolument semblables. Bacchus armé
On les confondit ensemble par la suite ; et, pour honorer Cadmus, on
rendit
à son petit-fils les mêmes honneurs qu’au Bacchus
lage, que l’excès du vin inspire la fureur, fait perdre la raison, et
rend
souvent cruel. Dans les sacrifices offerts à Bacc
production de Jupiter ; mais long-temps avant eux, les Égyptiens lui
rendaient
un culte. Parmi cinq déesses de ce nom, que Cicér
tans de l’île de Rhodes se distinguèrent beaucoup par le culte qu’ils
rendirent
d’abord à Minerve ; mais ils le négligèrent après
e son siècle, l’orna d’une statue d’or et d’ivoire ; son génie sut la
rendre
digne de la déesse qu’elle représentait. Les Athé
tristés et jaloux de Junon sont l’hommage le plus vrai qu’elle puisse
rendre
à la beauté de sa rivale. Près d’elle on voit Pal
. Cependant les Lacédémoniens lui disputaient l’honneur de leur avoir
rendu
le premier hommage, et l’attribuaient à Lacédémon
son rival en lui lançant un rocher. La triste Galatée, ne pouvant le
rendre
au jour, le métamorphosa en fleuve ; il coule dan
onnait seul le mouvement et la vie à tout ce qui respire. Les Indiens
rendaient
au Gange les honneurs divins. Cette superstition
issance de ce qu’il leur avait appris à dompter ces animaux, et à les
rendre
utiles, Des Tritons et des Sirènes. Le pre
igieuse des animaux marins, a suffi pour accréditer ces fables et les
rendre
innombrables. On doit avoir la même opinion des S
vait le talent de plonger et de rester long-temps sous l’eau. Pour se
rendre
plus recommandable, il se vantait d’être reçu par
noms prouvent qu’ils ne devaient leur origine et le culte qu’on leur
rendait
qu’au besoin que les hommes avaient de leur secou
r les propriétés. Les deux possesseurs de terres qui se touchaient se
rendaient
, chacun de leur côté, près de la borne qui sépara
es Romains honorèrent une seconde Flore, et lui attribuèrent le culte
rendu
à la première, qui n’était probablement qu’un per
. Pan ayant observé que le vent, en agitant ces roseaux, leur faisait
rendre
des sons mélodieux, en coupa quelques-uns, et en
vestirent l’histoire. Nous allons la débarrasser de son voile, et lui
rendre
sa simplicité. Midas était roi du pays où coule l
l’honora comme demi-dieu ; son culte était indépendant de celui qu’on
rendait
à Bacchus. De Faunus et de Sylvanus. Faunu
pêtres, et on le représenta sous la forme de Satyre. On croyait qu’il
rendait
des oracles ; mais cette fable tient à l’étymolog
de toutes parts. Trois enceintes de murailles et des portes d’airain
rendent
encore ces lieux plus inaccessibles. Tysiphone, l
t dans l’île d’Ænone ; sa seconde femme, fille du centaure-Chiron, le
rendit
père de Télamon et de Pélée. Sa première femme ét
l’endormit au son de sa lyre, lorsqu’il alla demander à Pluton de lui
rendre
Eurydice. Lorsqu’Hercule descendit dans les enfer
ssalie, la vue du jour lui fit vomir son venin sur l’herbe, ce qui la
rendit
mortelle pour les animaux qui la goûtaient. Cette
. (Fig. 47.) On l’accusait d’avoir essayé de tromper Pluton, et de se
rendre
immortel, en retournant sur la terre. On trouve d
lle en avertit Lyncée, qui s’enfuit à Lyrce, près d’Argos, et elle se
rendit
à Larisse. En arrivant dans ces deux villes, ils
Cité de Dieu, par saint Augustin, quelques traces du culte qu’on lui
rendait
. Scipion, le destructeur de Numance, fut le premi
es, et leur fut extrêmement utile. Peu de temps après sa mort, on lui
rendit
les honneurs divins. On le plaça dans le ciel ; i
ressusciter des morts ; que Pluton se plaignit à Jupiter de ce qu’il
rendait
son royaume désert, et que ce dieu, pour apaiser
personnages dont ils firent des dieux. Plus il leur a été possible de
rendre
obscures ces fables, plus ils ont pris soin de le
autres enfans, les premiers Titans. Un jour donc qu’Uranus allait la
rendre
mère de nouveau, elle appelle Chrone, autrement d
ant rejailli sur la terre, il put encore cependant la féconder, et la
rendre
mère d’Erimys, des Géans et des Mélies ; puis, la
ans : Zélos, Bîa, Cratos et Nicée ; puis, Persès uni à Astérie, qu’il
rendit
mère d’Hécate. De l’union d’Hypérion avec Thîa,
Thaumas, qui se maria à Électre, une des trois mille Océanides, et la
rendit
mère d’Iris et des Harpyes. Quant à Phorcys et Cé
fourni par une appelée Métis. C’était un violent vomitif qui lui fit
rendre
les filles et les fils qu’il avait précédemment d
omme une épouse du soleil cédant aux sollicitations de Saturne qui la
rend
enceinte, en lui déclarant qu’elle n’accouchera d
in. En effet, par leurs travaux, leurs inventions, les secours qu’ils
rendaient
au peuple comme médecins et ceux qu’ils lui prome
boulangers et les meûniers y prenaient la plus grande part ; pour se
rendre
la déesse favorable, on priait les vestales de lu
arouches Latins, jeta les fondemens de Saturnie sur le mont Tarpéien,
rendit
son règne l’Age d’or de l’Italie, puis enfin lais
urs Dieux. Les autres enfans de Saturne étaient : Phtonia, que Sipyle
rendit
mère d’Olympe et de Tmole, Athénée, à tort Hymnus
rigeait, en leur montrant à vivre de peu, à cultiver la terre et à la
rendre
fertile. Dès-lors aussi, il institua le commerce,
ace. Il ne fut pas grandement vénéré en Grèce, la Thessalie seule lui
rendait
les honneurs divins en célébrant les Pétories, fê
ieux sous sa loi. Mais cherchons comment il arriva graduellement à se
rendre
ainsi le maître de l’empire du monde. Ce Jupiter,
ieux dans leur patrie, avaient un culte fort différent de celui qu’on
rendait
au personnage que représentait l’ensemble de leur
e Jupiter, on réunissait en un seul plusieurs individus qui s’étaient
rendus
célèbres. Varron et Eusèbe avancent que ce nombre
Après la mort de Pluton, ce gouvernement fut donné à Mercure, qui s’y
rendit
tellement célèbre, qu’il devint la grande divinit
intenant suivre en détail. Un oracle, que le ciel et la terre avaient
rendu
, ayant prédit à Saturne qu’un de ses enfans lui r
trée, attribuée aussi à son mariage avec Hemera ou le Jour. Aurore le
rendit
père, en outre, d’Hesper, des Astres et des trois
vivant. Tout étant rajusté, ils ressoudent ensemble ces débris, leur
rendent
le mouvement au moyen d’une étincelle vitale, et
lots, se débarrasse complètement des turbulens qui l’inquiétaient, et
rend
ainsi la paix au séjour des Dieux. Cependant les
uelle au maître des Dieux, qui ne songeait plus aux services nombreux
rendus
et reçus pendant les diverses guerres que nous av
hius, Pélasgue et Achœus. Xuthus eut encore Ion et Diomède, que Déion
rendit
mère d’Astérope, de Céphale et de Dia. Magnès e
fut père d’Admète, de Lycurgue et d’Idomène, qu’Amythaon, son oncle,
rendit
mère de Bias, d’Eolie et de Mélampe. Bias eut d
ée de son alliance avec Péribée, eut Tydée, dont sa femme Déiphile le
rendit
père de Diomède. Plus tard il épousa aussi Althée
e croire ; aussi il engage Junon à tout promettre, et, à l’instant du
rendez
-vous, il remplace sa divine épouse par une nuée q
se prendre. Il ose tout auprès de ce simulacre, et dans son erreur il
rend
la nuée mère des Centaures, race sur laquelle nou
ée Néphélée ou la nuée. Mais par la suite Ixion s’étant vanté d’avoir
rendu
la reine sensible à ses vœux, fut chassé de la co
ette contrée ; seulement il fut le premier à lui faire un nom et à la
rendre
illustre. Homère le représente comme le plus gran
d’Ulysse, lors de son retour du siége de Troie. Partout, au reste, on
rendait
honneur à Jupiter, et par des jeux analogues, et
ce de son empire ; la nudité supérieure de son corps indique qu’il se
rendait
visible aux intelligences supérieures de l’univer
pour frères Jupiter, Neptune et Pluton. Après avoir été avalée, puis
rendue
à la lumière par Saturne, elle fut élevée à Argos
onna à Mercure de faire ses invitations. Tous les Dieux et Déesses se
rendirent
à cette noce brillante. Une nymphe cependant y ma
. Junon seule obtint pour elle ce caractère indélébile du mariage qui
rend
cette union publique, légitime et indissoluble. T
plus, et lui donnèrent le caractère boudeur, complément très-propre à
rendre
tout-à-fait insupportable une femme acariâtre. Un
as, après avoir usurpé le royame d’Olchos sur Eson, son frère utérin,
rendit
sa propre femme très-malheureuse, la fit même pér
s esclaves qui proposèrent par l’une d’elles, appelée Philotis, de se
rendre
au camp ennemi en place de leurs maîtresses, ce q
x de la beauté ; les Épidémies chez les Milésiens avaient pour but de
rendre
la déesse favorable au peuple ; les Fébruales ins
es Grecs les confondirent probablement tous sous un même nom, et leur
rendirent
honneur en adorant le troisième. Il était si laid
les deux amans, et fait la sottise d’appeler tous les dieux pour les
rendre
témoins des infidélités de son épouse. Il vainqui
beaux ouvrages, pour remercier Jupiter de la liberté qu’il leur avait
rendue
: ainsi dirigés par Vulcain, ils forgèrent les fo
et un bouclier. C'était à Comane, en Cappadoce, et à Rome, qu’on lui
rendait
le plus d’hommages. Dans cette dernière ville sur
e en lui opposant sa fécondité, elle s’opposa même au culte qu’on lui
rendait
, en disant qu’elle en était indigne, et voulut re
ue les prêtres desservans des temples se fussent enfin décidés à leur
rendre
les devoirs funèbres. Du reste, on comprend aisém
les regards du maître des Dieux qui, prenant l’apparence de Diane, la
rendit
mère d’Arcas. Alors la paubre nymphe encourut la
gendes anciennes assurent qu’un fils d’Apollon appelé Amphithémis, la
rendit
mère de Caphaurus et de Nasamon. Après Endymion,
ou du fleuve Amphyse, Amyclœus ou d’Amiclé en Laconie, Anaphé ou qui
rend
clair, Apharée et Aphœé ou l’invisible, Apertus o
rce dont l’eau abrégeait les jours et dont buvait le prêtre chargé de
rendre
les oracles du dieu Cœlispex ou la statue regarda
ce que son temple était bâti sur une hauteur, la prêtresse chargée de
rendre
les oracles ne devait jamais avoir de communicati
brillant, ou le Soleil, Hysios ou d’Hysie en Béotie, les oracles s’y
rendaient
comme à Claros. Ieus ou le guérisseur, Ileus ou d
jour spécial le plateau de Delphes. Là il fit élever un temple pour y
rendre
ses oracles, là aussi il institua les Jeux Pythiq
re particulière : il prétend que ce monstre gardait l’antre où Thémis
rendait
ses oracles, et qu’il fut tué à coups de flèches
que. Apollon fut reçu chez ce roi comme un propre fils ; aussi il lui
rendit
les plus éminens services, et devint bientôt la d
nt et emportent le char de la princesse. Apollon ne fut pas le seul à
rendre
de brillans services au roi de Thessalie. Ainsi P
, l’atteignit au-delà du fleuve Achéron et lui enleva Alceste pour la
rendre
à son mari. Mais ce fait, trop historique pour le
a tellement Admète, que Proserpine, touchée de sa douleur, voulut lui
rendre
son épouse. Pluton, moins sensible, s’y refusa. A
l’attaqua, la vainquit, l’enchaîna avec une chaîne de diamant, et ne
rendit
la liberté à cette sombre divinité qu’après avoir
en garde à Laomédon Hésione et les chevaux, à condition qu’il les lui
rendrait
à son retour de la Colchide ; mais il n’en fut pa
séquent de Saturne et de Rhée. Jupiter, sous la forme d’un berger, la
rendit
mère des neuf Muses. Ces filles de Mnémosyne port
n, elle prit les Muses en nourrice avec son fils, lequel, après avoir
rendu
les plus grands services à ses sœurs de lait, fut
t aux funérailles ainsi qu’à tous les devoirs funèbres que les vivans
rendent
aux morts. Clio ou la gloire présidait à l’histoi
me ami de Bacchus-Liber, il avait aussi à Rome dans le forum, où l’on
rendait
la justice, des statues que les avocats invoquaie
ir comme astre l’adoration des Grecs et surtout des Rhodiens, qui lui
rendaient
un culte pompeux et solennel. Devant lui on jurai
temples dont plusieurs étaient célèbres par les oracles que ce dieu y
rendait
, et que ses prêtres ou prêtresses transmettaient
t pas s’inspirer au hasard sur ce trépied divin. D'abord la Pythie ne
rendait
ses oracles que dans les premiers jours du printe
de la Pythonisse, et les faisaient connaître aux fidèles. D'abord ils
rendirent
ces interprétations en mauvais vers fort obscurs
temple. Mais ensuite Jupiter employa un autre moyen, car il se mit à
rendre
ses ordres en faisant faire divers signes de tête
battues l’une en Libye et l’autre dans le bois sacré de Dodone pour y
rendre
les oracles de Jupiter. Cette double fable reposa
onides ou Péléades à trois vieilles prêtresses ou vierges sacrées qui
rendaient
les oracles de ce temple, quelquefois en vers, et
ssez suivis. Tels étaient ceux de Vaticanus et d’Aius-Locutius qui se
rendaient
auprès de la ville de Rome. Ces oracles furent pr
auprès de la ville de Rome. Ces oracles furent primitivement supposés
rendus
par les Dieux et transmis au peuple par des prêtr
reconnaître, et Icare, étonné d’un événement si extraordinaire, leur
rend
à tous les trois la liberté, et les renvoie à Arg
goé ou Bigoé, ou Bygoïs de Toscane. Elle fut, dit-on, la première qui
rendit
des oracles ; elle apprit aux Toscans l’art de de
rès les prophétesses, apparaissent les sibylles, femmes inspirées qui
rendaient
des oracles. Varron en comptait dix qu’il nommait
obe, Démophile, Hérophile, Manto et Phémoné. On dit qu’Apollon, pour
rendre
sensible la sibylle Déiphobe, fille de Glaucus, o
ux compositions poétiques et à la naissance des enfans, parce qu’elle
rendait
ses oracles en vers et qu’elle chantait les desti
n parlant plus tard des Argonautes. On se rappelle que les oracles se
rendaient
en vers et que la poésie servait à composer les h
ment. Aussitôt ce roi fit punir les matelots. C'est depuis ce service
rendu
à Arion que le dauphin prit place parmi les astre
Proserpine, l’écoutent émerveillés ; et, dans leur enthousiasme, lui
rendent
Eurydice à la condition qu’en l’emportant il ne r
t arriver à lui faire partager son amour. En vain essaya-t-elle de le
rendre
infidèle ; en vain lui fit-elle les plus belles p
ant quelques écrivains, Aurore fût parvenue à obtenir de lui qu’il la
rendît
mère de Phaéton. Que le fait soit vrai ou erroné,
riches les uns que les autres, il fut sur le point de voir Procris se
rendre
à ses sollicitations, quand, reprenant tout à cou
lais souterrain pour Neptune, son père. Alors Aurore, que Vénus avait
rendue
amoureuse de lui, enleva ce jeune et beau forgero
doux murmure ; aussi était-elle consacrée aux Muses, et la Pythie qui
rendait
les oracles de Delphes avait soin, on s’en souvie
était une fille d’Hyamus, fils lui-même de la nymphe Evadne. Apollon
rendit
Céléno mère de Delphus que l’on fait souvent auss
l et de la Terre, ou de Canacé ; Cléobule était une nymphe qu’Apollon
rendit
mère d’Eurypide, ou d’Eurypidice ; Climène était
désappointement, il porta ses désirs vers Climène, la séduisit, et la
rendit
mère de trois filles appelées Héliades : Phaétuse
oute l’Assyrie. Cette jeune nymphe fut d’abord aimée d’Apollon qui la
rendit
mère de Dircée ; mais ce Dieu l’ayant quittée pou
roi d’Athènes, eut aussi une inclination secrète pour Apollon qui la
rendit
mère d’Ion et d’Anis ; Cydippe fut mère de Camire
rée à Sparte comme déesse, sous la désignation de Pasiphaé, et elle y
rendait
des oracles en grande réputation. L'histoire, pou
r pour fils de la mer. Néère était une déesse aimée du soleil, qui la
rendit
mère de deux filles, Phaétuse et Lampétie, déjà i
en, et de Samia, issue du fleuve Méandre, fut animée d’Apollon qui la
rendit
mère de Lycomède. Persa, fille de l’Océan et de T
on donne encore Tydée pour époux : Théro fut aimée d’Apollon, qui la
rendit
mère de Chœron. Uranie passait pour avoir eu auss
lors il fut divinisé, on l’adora sous le nom d’Apollon-Philesius ; il
rendait
ses oracles à Didyme ; Camire passait pour fils d
lape les dieux Apotropéeos et Averrunci, ou détournant les maux ; ils
rendaient
même un hommage particulier aux maladies spéciale
e putatif ; Isménius, fils de Mélie, avait reçu de son père le don de
rendre
des oracles ; Lampétie ou Lampéthuse, a déjà été
à Phorbas, il eut pour fils Augias, père d’Agamède et d’Actor, lequel
rendit
Molione mère des Molionides ; Ctéatus et Euryte q
insaisissable. C'est la pensée, la méditation, la conception. Pour la
rendre
sensible aux yeux du vulgaire, la Théogonie grecq
t Jupiter. Ce fut elle qui donna le breuvage à Saturne pour lui faire
rendre
au jour ses enfans ; mais, ajoutèrent quelques au
de Rhée. Jupiter la séduisit en prenant la forme d’un berger. Elle se
rendit
célèbre dans la mythologie grecque et romaine en
es herbes, Patrensis ou de Patræ en Achaïe. Là était une fontaine qui
rendait
des oracles en montrant ses arrêts en images sur
e, jaloux des succès de son frère, fatigua Cérès de ses prières et la
rendit
mère d’une fille nommée Hira. D'autres disent que
is son arrivée, aussi dès qu’il est appelé à la barre céleste, il s’y
rend
et dépose qu’il a vu Proserpine rompre son jeune
les autres six mois auprès de Pluton, son mari. Cette sentence étant
rendre
, Cérès irritée change l’indiscret Ascalaphe en hi
oûter à des grenades, car cette journée était entièrement consacrée à
rendre
ce qui s’était passé lors de l’enlèvement de Pros
qui entourait une chapelle, dans laquelle les Latins et les Sabins se
rendaient
en commun pour fêter la déesse ; et où les esclav
Rome. Ces fêtes n’étaient pas seulement des invocations, des hommages
rendus
à la divinité : c’étaient encore des demandes exp
s anciens eût changé en amourettes, les services essentielles qu’elle
rendit
à Zévs, pendant la guerre des Géants ? nous serio
t ; et, comme présidant aux plaisirs, aux peines, aux espérances, aux
rendez
-vous, à l’étude, aux arts et aux saisons, elles s
, y fabrique un filet mystérieux à mailles métalliques que la finesse
rendait
imperceptible, arrive dans l’île de Lemnos à l’he
ve dans l’île de Lemnos à l’heure indiquée par Apollon comme celle du
rendez
-vous, trouve ensemble les deux amans et pour les
-il posé ses filets, qu’il convoque à grand bruit tous les dieux pour
rendre
l’Olympe assemblé témoin de leur réveil et de leu
t y réussir, car, sa nourrice étant survenue, coupa le nœud fatal, la
rendit
à la vie et favorisa sa passion en lui faisant pr
que grotte inconnue de l’Arabie. Puis débarrassé de ses langes, il se
rendit
à Biblos en Phénicie, et là, il fit la conquête d
tôt il y apprit la nouvelle inclination de Cypris ; alors le dépit le
rend
jaloux, il veut se venger, et pour y arriver aisé
r à la lumière. Mais Proserpine refusa, dit-on, seulement alors de le
rendre
; de là le différent que l’on connaît ; de là aus
; de là aussi, par ordre de Jupiter une sentence en premier ressort,
rendue
par la muse Calliope, déclarant qu’Adonis passera
ar les Heures, mais au bout des six premiers mois, celle-ci refusa de
rendre
son amant : de là nouveaux débats, et de là vint
es remplies de gâteaux, de parfums et de fleurs. Dans cet ordre on se
rendait
près d’un immense catafalque sur lequel des femme
, elle fit partager à Anchise sa passion ; puis un jour pressée de se
rendre
au conseil des Dieux, elle s’éleva dans les cieux
us retourna dans l’Olympe offrir son cœur à quelque dieu, qui pût lui
rendre
par compensation et bonheur et plaisir. Ce fut à
nt d’accorder à leurs vœux des époux et des enfans ; puis, afin de la
rendre
plus favorable, elles lui offraient leur chevelur
issance d’une essence divine, que Vénus lui avait donnée. refusait de
rendre
amour pour amour aux beautés les plus renommées d
êtes féroces, il finit par s’en servir pour blesser les cœurs et s’en
rendre
maître : les premiers ne faisaient qu’effleurer,
rs et s’en rendre maître : les premiers ne faisaient qu’effleurer, et
rendaient
plus aimés et plus aimans ; mais ceux en plomb ca
redoublent sa curiosité, et le désir de le voir, de le connaître, lui
rend
la journée éternelle. Enfin la nuit ramena l’épou
de Cupidon, et chez les esclaves, pour célébrer le jour qui les avait
rendus
à la liberté ; les Erosanthies dans la Peloponèse
reux de sa sœur jumelle, à laquelle il ressemblait ; sa perte l’ayant
rendu
inconsolable, il venait pleurer sur les bords d’u
était donc une nymphe de Libye et fut aimée par Jupiter-Ammon qui la
rendit
mère de Iarbas, de Phylée et de Picumne ou Pilumn
eu de Jupiter le dieu Pan. Lardane fut maîtresse de Jupiter, qui la
rendit
mère de Sarpédon et d’Argus. Idée. Les poètes o
ins. Ora. Jupiter trompa cette nymphe sous la forme d’un cygne et la
rendit
mère de Colaxès, roi des Bisaltiens lesquels, en
ollon dont elle eut un fils nommé Phagre, ensuite par Jupiter, qui la
rendit
mère de Mélitée, que l’on confia, suivant la fabl
pigeon. Plota ou Plato, fille de l’Océan fut aimée de Jupiter, il la
rendit
mère de Tantale, dont nous connaissons les vols e
nom des nymphes Mégariennes : une d’elles fut aimée de Jupiter qui la
rendit
mère de Mégare, fondateur de la ville de ce nom.
était une nymphe Sicilienne, fille de Vulcain ; Jupiter l’aima et la
rendit
mère des deux Paliques ou Palices, frères jumeaux
les yeux avec son fuseau. Elle était alors à Athènes où elle s’était
rendue
après la mort et la divinisation de son fils. Un
uis fut sacré, et prit le nom de Chapelle d’Alcmène. Les Thébains lui
rendirent
des honneurs divins, et sa disparition fut regard
s. Mais Jupiter déjoua toutes les précautions [ILLISIBLE] ; car il se
rendit
auprès de Danaé en se changeant en pluie d’or. Ac
ant J. C. Son fils Apis né de Cinna, fut s’établir en Égypte où il se
rendit
si fameux qu’après sa mort il fut mis au rang des
avec Jupiter un fils que l’on appela également Apis, mais que rien ne
rendit
célèbre. La dernière maîtresse de Jupiter que nou
arriva sur les bords du Nil où Jupiter, après avoir apaisé Junon, lui
rendit
sa première figure. Ce fut là qu’elle accoucha d’
contrée. Ce fut après cette aventure, lorsque la jeune princesse fut
rendue
à sa première forme, que Junon voulut rompre avec
te fable ; ainsi ce fut une tour, une chambre, un lit en forme d’œuf,
rendez
-vous du couple amoureux, qui donna lieu à cette f
rotégerait que la science et la vertu, Jupiter ne le voulut pas et le
rendit
aveugle ; aussi le peignait-on sous la forme d’un
ne, obtint les faveurs de la reine de Sparte que son époux avait déjà
rendue
enceinte. Léda porta dans son sein deux œufs ; du
la Grèce avait de héros distingués ; mais elle préféra Ménélas qui la
rendit
mère d’Hermione. Quelque temps après, cédant aux
la réclama vainement à plusieurs reprises ; enfin, la Grèce ne put la
rendre
à son premier époux, qu’après un siége de dix ans
le mit au jour Amphion et Zéthus, et même, dit-on, Calathus. Lycus se
rendit
maître de ces enfans et les fit exposer auprès d’
lide. Il punit les Telchines de Sicyone du meurtre dont ils s’étaient
rendus
coupables sur la personne de son oncle Apis. Il é
veloppé de colonnes ; Politès ou le citoyen en Arcadie ; Psila ou qui
rend
agile ; Pyrigène ou né du feu, parce que sa mère
tendres, ni les promesses les plus brillantes, ne purent arriver à la
rendre
sensible. Érigone surnommée Aletis ou l’errante,
ne voulut pas condescendre aux vœux de Bacchus ; ensuite il sut se la
rendre
favorable. Le dieu du vin finit par s’ennuyer dan
nquêtes ; mais auparavant il séduisit encore plusieurs belles, et les
rendit
sensibles à son amour, Alexirée mère de Carmon ;
u sparte Echion et d’Agavé, et roi de Thébes, voulant s’y opposer, se
rendit
sur le mont Cythéron avec l’intention de punir ce
erain empire sur les bergères et les bergers de cette contrée. Il les
rendit
même tellement heureux et s’en fit tant aimer, qu
er Echo pour Pitys ; celle-ci pour Sénélé, et Sénélé pour Ega, qui le
rendit
père d’Egipan. Il ne fut pas toujours heureux dan
et à gauche tous ceux qu’ils rencontraient. Malgré ses dédains, Echo
rendit
le dieu Pan, père d’Irinx ou Syrinx, que nous ver
et sa femme aussi, comme exemple de la fidélité conjugale. Tous deux
rendaient
des oracles, savoir : Fauna aux femmes, Faunus au
le nom générique de Patellarii Dii ou dieux des libations, et qu’ils
rendaient
encore hommage à Méthyne, déesse du vin nouveau e
e perte de Castor affligea tellement Pollux, qu’il supplia Jupiter de
rendre
son frère à la vie ou de le faire mourir lui-même
’Ilion. Il épousa Batée, fille de Teucer, auquel il succéda. Batée le
rendit
père d’Ideus et d’un Erichthonius, qui lui succéd
ropéens, pour le récompenser de sa rare probité. Egine et Athènes lui
rendirent
des honneurs divins. On disait que ses états ayan
ercure, pour réunir les membres dispersés du maître des Dieux, et lui
rendre
la vie après sa défaite par Typhoé. Egipan enseig
lios, fils de Jupiter et de Protogénie, fut l’époux de Calyce, qui le
rendit
père d’Endymion. Il fut, dit-on, le premier roi d
equel il tua les enfans qu’il avait eus de Mégare. Ensuite, Junon lui
rendit
la raison. Alors il consulta l’Oracle, et apprit
me l’emblème d’une armée ennemie qui s’augmentait à mesure qu’elle se
rendait
maîtresse du pays. 3° La Biche aux cornes d’or et
rès l’avoir terrassé trois fois, s’aperçut que la Terre, sa mère, lui
rendait
de nouvelles forces à chaque fois qu’il la toucha
a fille, dans un chaudron, et le faire étuver jusqu’à ce qu’elle soit
rendue
à la vie. Cependant pour la punir de son vol, on
, n’échappa, car Pholus lui-même, qui était reste simplement occupé à
rendre
la sépulture aux morts, s’étant blessé avec une d
a en mariage ses cinquante ou cinquante-deux filles, que le Demi-Dieu
rendit
mère d’un garçon dans une seule nuit, ou suivant
, et l’on prétend alors que ce furent ses cinquante filles qu’Hercule
rendit
mères dans une seule nuit. Arrivé en Grèce, Hercu
nglantée et la prévient qu’en la faisant revêtir à son mari, elle lui
rendra
toujours son cœur, dès qu’il voudra devenir volag
nciens habitans d’Éphèse. Bientôt éprise de ce héros, cette reine lui
rendit
la liberté, mais il n’en profita point et resta p
envoyer les cendres à son père : ce fut, dit-on, le premier auquel on
rendit
ce genre d’honneur funéraire. Baleus fut inhu
Phénops, père d’Abyde ; Phormion, pécheur d’Erythrée, auquel Hercule
rendit
la vue ; Poltis, fils de Neptune et frère de Sarp
ec, adopté par Hercule ; Soscrate, grec de Pelée en Achaie, auquel on
rendait
des honneurs héroïques, en mémoire de l’amitié do
e de Meltas, quoique l’un des rameaux de cette branche se soit encore
rendu
célèbre plus tard, en donnant naissance à Caranus
; quant à Cynortas, il devint père d’OEbalus, que sa femme Gorgophone
rendit
père d’Arane ou Arène, d’Icare, d’Hippocoon et de
avec Arène et en eut Idas, époux de Marpesse, fille d’Evenus, qui le
rendit
père de Cléopâtre. Enfin nous ferons observer que
er ; subtil larron, son bonheur était de voler les bestiaux et de les
rendre
méconnaissables en effaçant leurs marques distinc
r mieux encore se venger, séduisit sa fille Anticlée, l’enleva, et la
rendit
mère d’Ulysse. Autolycus fit aussi partie des Arg
thènes, le troisième jour des Anthestéries de Bacchus ; alors pour le
rendre
propice aux naufragés, on lui offrait des légumes
piter, dont il recevait les instructions, afin d’être plus en état de
rendre
ses peuples heureux, moyen qu’il put emprunter à
Pasiphaé eut un amour criminel pour Taurus, courtisan du roi, que les
rendez
-vous des deux amans eurent lieu dans la maison de
ter et de la Danaïde Hésione, épousa Hermippe, fille de Béote, qui le
rendit
père d’un fils nommé Minyas, et d’une fille appel
eraient moins rigoureusement à l’avenir. Les jugemens que les palices
rendaient
sur les contestations relatives aux paiemens, éta
leva le seul œil et la seule dent qui leur restassent, et ne les leur
rendit
qu’après avoir appris la résidence des monstres q
lent, et met sur son trône Dictys, le protecteur de sa mère ; puis il
rend
aux Dieux les armes qu’ils lui avaient prêtées, e
rd Médée, dont il eut Antimachus, Archelaüs et Lycimnius que Périmède
rendit
père d’Argée ; puis Electryon, épousa Anaxo et en
aodocus ou Odoëdocus et en eut Oïlée, mari d’Eriope ou Egriope qui le
rendit
père d’Ajax le Locrien. Si maintenant nous cherch
cieux, où il forme la constellation du Dauphin ; ensuite, Amphitrite
rendit
Neptune père de Triton et de Rhode. Le séjour ord
et à Rome, c’était pendant le mois de février que l’on tâchait de se
rendre
ce dieu favorable pour l’époque prochaine de la n
t il eut Léarque, Mélicerte, Orchomène et Plinthius ; il fut en outre
rendu
père d’Erythreus, de Leucon, de Ptoüs et de Schœn
l’île de Rhodes. Là, il éleva un temple au Dieu des mers, pour se le
rendre
favorable. Ensuite il parcourut Samothrace et la
ur ou le bon esprit de les éviter. Enfin Lycus mourut et les Thébains
rendirent
à Laïus la couronne que son oncle lui avait injus
es jeux Néméens et changent son nom en celui d’Archémore. Après avoir
rendu
les honneurs funèbres à cette jeune victime ils c
Cependant Eriphyle, sœur d’Adraste, ayant épousé Amphiaras, celui-ci
rendit
la couronne à son beau-frère, puis il fut se cach
épousa Déiphile, fille d’Adraste. Il fut chargé de sommer Étéocle de
rendre
le trône à son frère. En conséquence, il séjourna
ère au trône d’Olène, en Achaïe, quoique son père l’eût maudit. Il se
rendit
à l’expédition contre Thèbes et combattit avec co
et reconduisit ces jeunes captives chez leur père ; puis ce héros se
rendit
en Égypte, où il fit périr Busiris pour le punir
e la nymphe Calypso, fut le père de Nausicaa et d’Alcinoüs, qu’Arétée
rendit
père de cinq fils ; Nélée, fils de Créthée ou d’H
et trois fils Nestor, Périclymène, Chromius ; diverses maîtresses le
rendirent
encore père d’un grand nombre d’autres fils, parm
ys ; Palène en Macédoine était sa patrie, et Psamathé, son épouse, le
rendit
père de cinq fils, Polygone, Télégone, Théoclymèn
nna asile à Hélène et à Pàris, puis chassa ce dernier de ses états et
rendit
la princesse à Ménélas après avoir appris son enl
’Iolchos, dont il avait chassé Jason fils d’Eson, ce Pélias promit de
rendre
la couronne à Jason, aussitôt que celui-ci aurait
de leur crime involontaire, frappa d’immobilité leur navire, puis le
rendit
le jouet d’une tempête épouvantable qui dura douz
l’embouchure du Danube, et envoya Absyrte, son fils, les sommer de se
rendre
; mais la célèbre Médée détourne le danger qui me
a fameuse enchanteresse Circée. Une fois arrivée à Iolchos, Médée s’y
rendit
célèbre par le meurtre de Pélias ; puis elle suiv
il succeda à son père au trône de Locride ; il épousa Ériopis, qui le
rendit
père d’un fils nommé Ajax. Maintenant, nous devon
ux graces naïves de la jolie Pérygone, fille du géant Sinis, et il la
rendit
mère d’un fils nommé Ménalippe. Après que les Phy
à la voile et emmène avec lui Ariadne et Phèdre, sa sœur. Ariadne le
rendit
père de deux fils, Œnopion et Staphyle. Thésée,
écipité dans les flots. Alors, les premiers soins de Thésée furent de
rendre
les honneurs funèbres à ce tendre père, de remerc
victoire qu’il remporta sur le Minotaure. Arrivée à Athènes, elle le
rendit
mère de deux fils, Acamas et Démophon, puis Phèdr
auser si cruellement la mort. Esculape, dit-on, à la prière de Diane,
rendit
la vie à Hippolyte, qui resta près d’elle sous le
e, Menalippe ou Motone et Dejanire ; ensuite il épousa Péribée qui le
rendit
père de Périphas, de Phérée, et de Tydée, père de
ne fut pas plus heureux ; Mopsus l’atteignit sans le blesser, mais le
rendit
plus furieux ; alors la belle Atalante, amante du
son royaume ; il en eut Polydore, jeune fille que le fleuve Sperchius
rendit
mère de Ménesthius, et que pourtant Bors, fils de
sie et Lybie, et de l’autre Europe et Thrace, quant à Téthys, elle le
rendit
père de la plupart des trois cents principaux fle
eut pour amante une des Muses, Melpomène, Calliope ou Stérope, qui le
rendit
père des sirènes. L'Achéloüs réel sépare l’Etolie
qui était l’objet des vœux du cyclope Polyphème. Chaque jour, Acis se
rendait
auprès de son amante, et dans les bras l’un de l’
dieu-fleuve de l’Elide ; Clitumne ou Clitomne, fleuve de l’Ombrie qui
rendait
des oracles. Crinise, grand dieu-fleuve de la Si
yen sous le nom d’Hypothès, et amant de la nymphe Égeste, qui l’avait
rendu
père d’Aceste. Dyras, dieu-fleuve de la Thessalie
ers sacrificateurs. On lui donne le nom de Xanthe, parce que ses eaux
rendaient
les femmes blondes. Les jeunes vierges, la veille
onger immédiatement après sa naissance, dans les eaux du Styx pour le
rendre
invulnérable, privilége qu’il obtint, excepté au
Troye, eut de Déidamie son fils Néoptolème ou Pyrrhus, qu’Andromaque
rendit
père d’Amphiale, ou de Molossus, de Pictus et de
on, dont le père Alope avait pour frères Irus et Ménèce, que Sténélée
rendit
père de Patrocle ami d’Achille ; cet Alope en out
utre était fils d’Actor, l’Eolien, et d’Egine fille d’Eaque. Pélée se
rendit
avec Eurythion, comme nous l’avons vu, à la fameu
e mont Cithérus, près d’Héraclée, en Élide ; les eaux de leur rivière
rendait
, disait-on, la beauté. Ilissades, nymphes du fleu
ient aux plaines, aux vallons, aux collines et aux bosquets ; on leur
rendait
le même culte à peu près qu’aux Naïades. Néréides
e Sélemne ; Asie, fille de l’Océan et de Thétys, épousa Japet, qui la
rendit
mère de quatre fils, Prométhée, Epiméthée, Atlas,
t-être la même que la fille de Ladon mère d’Asope. Midée, que Neptune
rendit
mère d’Asplédon ; Myia, nymphe-mouche, amante d’E
upiter, grace au casque que lui avaient fabriqué les Cyclopes pour le
rendre
invisible, il reçut, en récompense de ses service
qui ne put la lui accorder que six mois par année. Ce fut Pluton qui
rendit
la liberté à Pélée, enchaîné par Acaste sur le mo
les funérailles on se coupait les cheveux en son honneur, et pour la
rendre
favorable on les jetait sur le bûcher. Ses fêtes
se levait à minuit et au milieu des ténèbres les plus épaisses, il se
rendait
vers une fontaine, marchant nu-pieds, en silence,
tans furent terrassés. Pour reconnaître le service que Styx lui avait
rendu
, Jupiter en fit le premier fleuve des enfers, déc
ux qui, disparaissant sous terre, avaient laissé supposer qu’elles se
rendaient
aux enfers. Sur le bord du Styx, on voyait, à la
à Ochalie, en Béotie, où il épousa Alemène, veuve d’Amphitrion. Il se
rendit
célèbre par son équité et sa frugalité ; c’est lu
es du taureau sur ses yeux ou sur ses épaules Minerve, de n’avoir pas
rendu
sa maison portative, en cas de mauvais voisinage,
. Il ne faut par conséquent pas s’étonner si les Grecs et les Romains
rendaient
un grand honneur aux parques qu’ils invoquaient h
d’une fontaine que l’on voyait près de cette ville, et dont les eaux
rendaient
furieux ; les filles d’enfer ; Cunes ou les chien
e Mycènes Eurysthée, dont il avait épousé la fille Érope, qui l’avait
rendu
père de trois fils, Alcon, Eumolus et Mélampus, a
vengeance plus loin, il séduisit Érope, femme d’Atrée, l’enleva et la
rendit
mère de Plistène et de Tantale, lequel passe pour
e sanglante du sein de sa mère, pour courir massacrer Atrée, qui déjà
rendait
grace aux Dieux de la mort de son frère. Après la
Sparte près de Tyndarée, dont il épousa la fille Clytemnestre, qui le
rendit
père de six enfans : Iphigénie, Électre, Chrysoth
e du pontife Chrysès : épris de ses charmes, il refusa arrogamment de
rendre
cette Chryséis à son père, qui vint lui apporter
re périr s’il ne se retirait à l’instant. Cependant, il fut obligé de
rendre
cette jeune fille, car l’oracle déclara que c’éta
s les conseils et sur le champ de bataille. Quand les Grecs se furent
rendus
maître de Troie après un siège de dix ans, Agamem
temple d’Apollon, en attendant qu’Egisthe et Clytemnestre y vinssent
rendre
graces aux dieux de les avoir délivrés d’un parei
sse Onis. Ce fut alors que commença ce beau combat de générosité, qui
rendit
l’amitié d’Oreste et de Pylade si célèbre. Chacun
ses états, il s’arrêta dans l’île de Ténédos, ensuite à Sunium, pour
rendre
les honneurs funèbres à Phrontis, son pilote. A p
er présomptif et bientôt le possesseur du trône de Sparte. Hélène, le
rendit
père d’une fille nommée Hermione. Pâris, fils de
brave des Troyens après Hector. Lors de la prise de Troie, voulant se
rendre
agréable à son premier mari, Hélène introduisit l
édier à cet inconvénient, le plongea dans les eaux du Styx, ce qui le
rendit
invulnérable, excepté au talon par où sa mère l’a
canéum ou talon du géant Damyse, l’adapta au pied de son élève, et le
rendit
le plus vaillant des hommes en le nourrissant ave
is sachant que son fils se couvrirait d’une gloire immortelle s’il se
rendait
devant Troie, mais qu’il y mourrait, le conduisit
ger la mort de son ami. Il se réconcilie donc avec Agamemnon, qui lui
rend
Briséis, en l’assurant qu’elle n’avait éprouvé au
courroie et le traîne trois fois autour des remparts de la ville. Il
rend
ensuite les honneurs funèbres aux mânes de Patroc
use et s’engage même à empêcher le pillage de la ville ; mais s’étant
rendu
dans le temple d’Apollon, pour y célébrer cette a
épouser. Plusieurs peuples honorèrent Achille comme un héros, et lui
rendirent
même des honneurs divins ; les Lacédémoniens lui
ubine favorite, il en eut trois fils Molosse, Pièle et Pergame. Il se
rendit
ensuite en Thessalie, pour réclamer la couronne d
lequel, dit-on, épris des charmes de sa cousine Hermione, et pour lui
rendre
la liberté, avait persuadé à la populace, que Pyr
r reprendre les restes inanimés de ce héros, et revinrent au camp lui
rendre
les honneurs funèbres. Phénix, fils d’Amyntor, r
la main d’Apollon cesserait de s’appesantir sur eux, quand on aurait
rendu
la captive Chryséis à Chrysès, son père, grand pr
e, bâtit Pétélie, en Calabre et finit par rencontrer Machaon, qui lui
rendit
la santé et le guérit de sa blessure, dont il res
es d’OEchalie ; Podalire était attaché au chef suprême Agamemnon ; il
rendit
de très grands services aux Grecs par sa science
roid et même hostile ; obligé alors de quitter encore Salamine, il se
rendit
à Sidon, auprès du roi Bélus. De là, il fut dans
ué roi par les habitans. Il épousa Pénéloppe, fille d’Icarius, qui le
rendit
père de Télémaque. Environ un an après la naissa
fut pourtant séduit par la magicienne, dont il fit son amante. Circé
rendit
dès-lors tous ses compagnons à leur première form
n de ne pas tomber sans défense sous les coups de ses adversaires, se
rend
d’abord à la cabane du vieil Eumée, l’un des gard
es pleurs les genoux du meurtrier de son fils, en le suppliant de lui
rendre
les restes sanglans et inanimés d’Hector. Achille
s restes de son cher Hector, et les remporte dans sa ville, pour leur
rendre
les derniers devoirs. A Thèbes, on institua une f
x funèbres qu’on célébrait à Troie. Pâris, furieux de cette perte, se
rendit
à la ville, y disputa le prix et l’emporta sur to
onnaît les langes dont on avait enveloppé son fils, l’embrasse et lui
rend
sa place parmi les princes de sa race. Quelque te
a sa main ; mais quand Troye fut prise, cette perfide épouse, pour se
rendre
agréable à Ménélas, son premier mari, introduisit
r. Hélénus conduisait la troisième colonne de troupes de Priam. Il se
rendit
célèbre pendant le siége de la vilie. Il fit mord
temps après la ruine de Troye, il suivit Néoptolème en Épire, et lui
rendit
de très-grands services, surtout en le détournant
t du côté des Grecs ; aussitôt Achille le guérit en effet. Laodice le
rendit
père d’Euripyle, mais, après avoir été abandonnée
Agamemnon qui, suivant la coutume, lui fit partager sa couche, et la
rendit
mère de deux jumeaux. Agamemnon la conduisit ensu
terrasse et lui passe son épée au travers du corps. Enée, après avoir
rendu
les honneurs funèbres aux Troyens morts sur le ch
ieu sacré, autorisé par [ILLISIBLE] formel d’Apollon, ne pouvait être
rendu
à son ennemi ; la Grèce aussi avait des asiles ;
es ou les Purs et Immortels de l’Arcadie. Catius ou Cautius, dieu qui
rendait
les hommes fins et circonspects. Cerus Manus ou l
des charbons éteints et des libations ; sacrifices que les Epicuriens
rendaient
plus brillans par une vie joyeuse, la paresse et
ailles de la terre ; ils portaient, disait-on, de petits chapeaux qui
rendaient
maîtres des richesses terrestres les heureux poss
thex, et de la troisième, Cranus et Fontus ; quant à Vénilie, elle le
rendit
père d’une fille-déesse, appelée Canente, qui fut
agnifique, appelé à Rome, comme tous ses temples, Ammonium. Ce Dieu y
rendait
des oracles que les habitans des contrées les plu
rts et semble avoir été doué de la vie ; car, dans cet intervalle, il
rendit
Isis mère d’un fils que l’on nomma Harpokrat et e
ombe d’ Osiris qui, pour la consoler, s’anime d’une vie factice et la
rend
mère d’Harpokrat. Alors, nous le savons, Typhon a
Typhon, le bat, et le fait lui-même prisonnier ; mais Isis lui ayant
rendu
la liberté, elle fâcha tellement son fils, qu’il
Abydos, où elle avait un temple célèbre à cause des oracles qu’elle y
rendait
. Ses réponses étaient données dans des lettres ca
eux qui l’invoquent ; alors il les remplit du don de prophétie et ils
rendent
des oracles. On l’honore en se frappant les mains
re, sont sous l’invocation de ce dieu. Le culte d’adoration qu’on lui
rend
, consiste dans une aspersion faite par un Ganga s
sur les affaires de ménage. Ngoia-Chilvani, roi d’Angola, qui se fit
rendre
même de son vivant les honneurs divins. Les Singh
ateur du ciel et de la terre, et comme souverainement bon. Ils ne lui
rendent
aucun honneur, parce qu’ils sont convaincus qu’il
élicieuse paresse, sans s’occuper aucunement des hommes. Aussi ne lui
rendent
-ils aucun culte. Mourimo est aussi un dieu suprê
t le fondateur de l’empire de Babylone ; il fit faire des travaux qui
rendirent
ces contrées fertiles et habitables. Il unit plus
moyen de vastes canaux, entoura la ville de Babylone de murailles, et
rendit
par la de si grands services aux peuples de ces c
regardée comme le vaste utérus, où tout s’organisait. Le culte qu’on
rendait
à Élagbaal était magnifique et voluptueux. Son im
ns de la Syrie à se servir de la charrue pour labourer la terre et la
rendre
fertile ; aussi le regarde-t-on comme présidant s
le regardait comme jeune, mou, et presque efféminé. Son indolence le
rendait
indifférent ; aussi, pour le tirer de cette espèc
long-temps aux désirs de Brahmâ, mais elle finit par succomber et le
rendit
père de Naréda, dieu de la sagesse, de Dakcha, et
s nuages. Il est fils de Kaçiapa et d’Aditi. Il épousa Indrani qui le
rendit
père d’une fille nommée Devani. Il habite Souarga
andu sur l’oreille de cette jeune beauté de la liqueur prolifique, la
rendit
mère du célèbre dieu-singe Hanouman. Arddhanari
dre à cet embryon des formules mystérieuses, et assez puissantes pour
rendre
la vie à un mort, et puis se déchire le sein. A p
le sein. A peine Boudha est-il sorti du sein de son maître, qu’il lui
rend
la vie qu’il avait perdue pour lui. Boudha, ayant
lune. Il épousa trois femmes, Kéikéii, Soumatra et Kaoukaliâ, qui le
rendirent
père de quatre enfans : Bharata, Lakchman, Satrou
e Démavati. Dhanouantara, ou Danavandri, sage des premiers temps, se
rendit
célèbre dans la médecine, dont on le regarde comm
i sa femme, fut un saint très-célèbre, dont le caractère irascible le
rendit
fameux dans la mythologie hindoue. Un jour qu’il
ions pendant le règne de Sandana, son frère. Il avait la puissance de
rendre
la jeunesse et la force aux vieillards, par le se
rme, et il aurait succombé si Vichnou ne lui fût apparu et ne lui eût
rendu
sa forme primitive. Les brahmes qui répètent chaq
ram eut lieu sous le septième Menou-Vaivaçouata, et eut pour objet de
rendre
aux hommes et aux Dévas, les quatre Védas, dérobé
ins des Açouras la fiole divine qui contient l’Amrita ; c’est lui qui
rend
infidèle la belle Andjani, épouse du géant Jalend
cha ou Hiraniakcha, fils de Raciapa ou l’Espace, et de Diti : s’étant
rendu
maître du globe terrestre, Erouniakcha le précipi
errible ; il avait obtenu la souveraineté des trois mondes, ce qui le
rendit
tellement arrogant, qu’il se regardait comme supé
a cent ans de son existence, ses dix têtes et dix mains. Siva les lui
rendit
et lui donna le privilége de n’être tué qu’après
, deuxième incarnation d’Hiraniakcha, Krichna épousa Roukmini, qui le
rendit
père de plusieurs enfans, parmi lesquels on remar
s de Lakchmi ; car sous les formes de Sita, elle s’unit à Rama, et le
rend
père de Koucha, auquel il abandonne l’empire, et
dieux, alors simples mortels, résolurent de faire une liqueur qui les
rendît
immortels, Adicéchen leur aida dans ce travail en
quit à l’aide de Vichnou. Il avait épousé Gavarata ou Drovati, qui le
rendit
père de deux fils, Davaga et Vima. Indradhioumn
ville du même nom, fréquentée par un grand nombre de pélerins qui s’y
rendent
de toutes parts, et dont la richesse des cadeaux
la lune comme source de l’humidité primitive que la chaleur du soleil
rend
productive pour la terre féconde et pour l’eau ca
t de l’époux de sa mère. Un jour qu’il voulait connaître ceux qui lui
rendaient
des hommages ou qui le négligeaient, il monta sur
plus parfaite harmonie. Il avait vingt et un ans quand son épouse le
rendit
père d’un fils que l’on nomma Rakholi. Elle lui d
nfin il résolut d’aller prêcher sa doctrine par toute la terre, et de
rendre
les hommes meilleurs. Ni les pleurs de son épouse
a, au Thibet : il peut être choisi homme ou femme, sa consécration le
rend
saint ; mais il est servi avec tant d’activité et
n fonte polie. Ociouvominomikotto, héros, fils de Tsensiodaitsin, se
rendit
célèbre par ses nombreux et glorieux exploits, pa
cut près de deux mille ans. Ce fut pendant cette incarnation qu’il se
rendit
célèbre par ses nombreuses pénitences et par ses
a convenance du Japon. Gouannon est fils d’Amida. Ses adorateurs lui
rendent
plus spécialement hommage, et récitent en son hon
de la philosophie et de la religion. En mourant, il ordonna qu’on lui
rendît
les honneurs divins, et dit de quelle manière on
ce qu’il sait et sent. Ce génie malfaisant fait tous ses efforts pour
rendre
la terre stérile, la couvrir de désastres, de pla
orant le mal. Mais Ahriman lui fit boire le lait d’une chèvre, ce qui
rendit
malades l’homme et la femme, puis il leur présent
réfak, fils de Siamak, et de Bechak, épousa sa sœur Frevakein, qui le
rendit
père de quinze couples humains dont neuf, montés
et répandit la lumière primordiale, peupla neuf cents contrées et les
rendit
fertiles, en montrant l’agriculture aux hommes. I
it toujours des sacrifices, avant la cérémonie de l’hymen, pour se le
rendre
propice. Il eut deux enfans, l’un Éla ou l’amour,
fin Odin se maria et il épousa : Frigga, fille de Fieurgin ; elle le
rendit
père de quatre Ases Balder, Braga, Hermode et Tho
de garder une boîte renfermant des pommes d’or dont la vertu était de
rendre
la jeunesse aux Dieux ; en vain Loke essaya-t-il
Loke essaya-t-il de la lui enlever, il fut toujours obligé de la lui
rendre
. Balder, également fils d’Odin et de Frigga, éta
génies assistèrent à ses tristes funérailles. La noire Héla promit de
rendre
Balder au jour, si tous les êtres de la création
dall, ensuite, s’incarna sous la figure d’Afi, et épousa Amma, qui le
rendit
père de Karll, de sorte qu’il devint aussi la tig
ce illégitime avec la géante Angourboda, messagère de malheur, qui le
rendit
père de trois enfans : le loup Fenrir, le grand s
pons est le dieu protecteur de la nature vivante ; le culte qu’on lui
rendait
était un culte d’amour ; on lui sacrifiait des re
donner sa main à Fréi, mais il ne put jamais en obtenir qu’un simple
rendez
-vous. Skidner garda toujours le glaive d’or, que
t infailliblement la mort : au contraire, les flots s’empressaient de
rendre
à la mère fidèle le fruit de ses chastes amours.
eur puissance à ceux qui le réclamaient. Dans les hommages qu’on leur
rendait
au fond des forêts-vierges de la Germanie, le prê
honoré dans la Lusace. Les habitans de cette contrée croyaient qu’il
rendait
la vie aux morts : aussi cette superstition donna
ité pour leur règne. Nemeed, fils de Dnamhain, époux de Macha qui le
rendit
père de quatre fils. Nemedh est la personnificati
ses armes jusque dans la Gaule et l’Ibérie. Elle épousa Nemed, et le
rendit
père de quatre fils nommés Si-tiearna, Aixinn, Ja
ar la flèche ou par l’épée. Niparaia épousa la belle Anaikondi, et la
rendit
mère de Qaïaïp. Qaïaïp est le plus jeune et le
les biens de la terre et les plantes. Lorsque ces peuples veulent se
rendre
favorable Houékoub, ils se masquent, mettent plus
sparut d’une manière mystérieuse. Les pieux sectateurs de Botchica se
rendaient
en foule en pélerinage à Iraca, et jouissaient en
garder jour et nuit un pont de bois, jeté sur un grand fleuve, où se
rendaient
les ames des morts. Là il purifiait les unes avan
e divin primordial ; elle descendit sur la terre alors stérile, et la
rendit
productive ; car sa présence la couvrit soudain d
ensuite il épousa Popoharra Haréha, ou la roche personnifiée, qui le
rendit
père de Tetouba-Hamatou-Hatou. Enfin s’étant inca
lle de Ti et d’Osira. Après la mort de sa mère, elle épousa Ti, et le
rendit
père de trois fils, Ora, Vanou et Titou, et de tr
ivant les habitans de l’Archipel de la Société. Tarra, son épouse, le
rendit
père de Po, ou la nuit ; de Arié ou le ciel ; d’A
la page 140 nous montre Cérès aux pieds de Jupiter, le priant de lui
rendre
sa fille Proserpine, dont plus bas on aperçoit l’
pas cet astre éblouissant, niais on entrevoit toujours ses rayons qui
rendent
les ténèbres moins épaisses et moins obscures. Ai
ls redoutoient ; ils leur attribuoient des noms flatteurs pour se les
rendre
favorables ; ceux qui s’embarquoient sur la mer,
e d’Iphigénie, ne connoissant point d’expression (disent-ils) qui pût
rendre
la douleur de son père, voila la tête d’Agamemnon
dit : Xercès respire et voit le jour. Atossa s’écrie : Ah ! tu me
rends
la lumière ?… Ce dialogue doit nous paroître plu
Dieux, pour récompenser le berger Cytheron du culte qu’il leur avoit
rendu
, le changèrent en montagne. Ces mêmes Dieux, pour
lée, roi de Thessalie. Thétis, que ses premières conquêtes avoient dû
rendre
ambitieuse, ne vouloit point épouser un mortel. P
tis avec Téthys, fille d’Uranus et de Ghé, elle épousa l’Océan qui la
rendit
mère de 3000 filles, appelées Océanides. Océan, o
taine. Cérès redemanda sa fille, et Jupiter décida qu’elle lui seroit
rendue
si elle n’avoit rien mangé aux enfers. Ascalaphe
selon l’Odyssée, Thésée et Pirithoüs restèrent aux enfers. La Sicile
rendit
le culte le plus solennel à Proserpine. Les Locri
ec Bacchus, Lycurgue les fit emprisonner toutes, mais Bacchus l’ayant
rendu
furieux, les Bacchantes furent remises en liberté
apitole, et sa fille, au bruit des acclamations de tout le peuple, se
rendit
au temple de Vesta. Les vestales avoient la préro
du collége des pontifes. On ne s’en tenoit pas toujours aux jugemens
rendus
par le conseil souverain des pontifes ; le tribun
ntendoit elles-mêmes plusieurs fois, et lorsque l’arrêt de mort étoit
rendu
, on ne le leur signifioit point d’abord ; on comm
que le feu sacré ne pouvoit s’éteindre que lorsque la vestale s’étoit
rendue
indigne de le conserver. Emillie, en présence des
nteuse de le voir si malfait, le précipita du haut du ciel, ce qui le
rendit
boiteux. On conte différemment cette fable : on d
iter le précipita dans l’île de Lemnos, et que ce fut cette chute qui
rendit
Vulcain boiteux ; que cependant, par le crédit de
ans les éteindre. On regarda, comme fils de Vulcain, tous ceux qui se
rendirent
célèbres dans l’art de forger les métaux ; Olenus
ise à côté de la forge de Vulcain, fut frappée d’une étincelle qui la
rendit
mère d’un enfant auquel elle donna le nom de Cœcu
its qu’elles doivent embellir et même à la reconnoissance, dont elles
rendent
l’expression plus touchante. Les Athéniens ayant
tre, il l’épousa dans les ténèbres, lui cacha son nom et ne lui donna
rendez
-vous que dans l’obscurité. Tant de mystère persua
on malheureuse (car on avoit l’espoir d’échapper à la mort), ce qui a
rendu
ce promontoire fameux sous le nom de saut de Leuc
n, jeune Lesbien, reçut de Vénus un vase rempli de parfums, ce qui le
rendit
le plus beau des hommes. Il fut passionnément aim
es d’oiseaux et même des oiseaux vivans, pour le soutenir en l’air et
rendre
sa chute moins périlleuse. On rangeoit au bas du
un jeune homme de la ville d’Abydos nommé Dardanus21, qu’elle ne put
rendre
sensible. Artémise, guidée par la rage, entra dan
s ; Hyménée laissa dans l’île les femmes qu’il avoit délivrées, et se
rendit
à Athènes ou il fit ses conditions avec les paren
de Polynice dont elle alla chercher le cadavre avec Antigone pour lui
rendre
les derniers devoirs, ce qui irrita tellement le
ouvrir de sa peau le trépied sur lequel s’asséyoit la Pythonisse pour
rendre
ses oracles. En mémoire de cet événement on insti
hnéphages, c’est-à-dire mangeurs de laurier, des devins qui, avant de
rendre
leurs réponses, mangeoient des feuilles de laurie
ître de lyre d’Hercule ; un jour il donna un coup à son élève pour le
rendre
plus attentif, et le terrible disciple frappa Lin
criminels du Tartare, et touchèrent tellement Pluton, que ce Dieu lui
rendit
Euridice, à condition qu’il ne la regarderoit que
fut tué par Achille. L’Aurore, baignée de pleurs, conjura Jupiter de
rendre
quelques honneurs à la mémoire de son fils, et Ju
ndormit aux sons de sa flûte, ensuite lui coupa la tête36. Mais Junon
rendit
Io furieuse, et la fit errer et poursuivre, selon
par un spectre ou par un taon. Elle se jeta dans la mer ; Jupiter lui
rendit
sa première forme, et elle fut adorée en Egypte s
stitution une grâce, une galanterie et une ancienneté qui dévoient la
rendre
intéressante et respectable, d’autant plus que ce
cause des jeunes filles qui quêtoient. Il paroît naturel que le culte
rendu
aux divinités champêtres ait subsisté long-temps
es femmes qui n’étoient point de l’ordre sénatorial alloient en foule
rendre
leurs vœux. La Pudicité étoit représentée sur les
our éviter les poursuites d’Apollon. Ce Dieu, touché de sa vertu, lui
rendit
la vie et lui donna l’immortalité. Ea, nymphe qui
teur qui mêla son onde avec la sienne. Panope, l’une des Néréides, se
rendit
recommandable par sa sagesse et par l’intégrité d
sculape acquit bientôt une grande réputation, et après sa mort on lui
rendit
des honneurs divins. On dit que Jupiter le foudro
re des morts. II étoit surtout adoré à Epidaure, où l’on dit qu’il se
rendit
sous la forme d’un serpent. Le serpent étoit cons
it ce monstre et le tua. Elle fit de sa peau une cuirasse, et pour la
rendre
plus terrible, elle y plaça, par la suite, la têt
on le métamorphosa en cygne. 29. Un brigand, nommé Phorbas, s’étoit
rendu
le maître du chemin qui conduisoit à Delphes. Apo
nimal ne produit aucun son. Voici une Fable à ce sujet : Jupiter pour
rendre
ses noces avec Junon plus solemnelles, ordonna à
nna à Mercure d’y inviter tous les Dieux et tous les hommes. Tous s’y
rendirent
, excepté la nymphe Chéloné qui eut l’audace de se
ymphe Chéloné qui eut l’audace de se moquer de ce mariage. Mercure se
rendit
chez cette Nymphe impie, qui demeuroit sur le bor
maison sur son dos, parce qu’elle n avoit pas voulu en sortir pour se
rendre
aux ordres de Jupiter. Chéloné, en grec, signifie
souvent de recourir à des allégories et à des personnifications pour
rendre
plus sensibles leurs systèmes sur la formation du
nt tout à fait retirées, ils allèrent consulter la déesse Thémis, qui
rendait
les oracles au pied de ce mont. L’invisible divin
inquit et l’emprisonna. Jupiter, devenu grand, vengea son père et lui
rendit
son trône ; mais Saturne, ayant appris du destin
nts animaux et même de plantes. De là vint le culte que les Égyptiens
rendaient
aux animaux et aux plantes. On vit le peuple fou
e d’un casque, présent des Cyclopes, et dont la propriété était de le
rendre
invisible. [Fig. 38] Les Enfers étaient des li
[Fig. 38] Les Enfers étaient des lieux souterrains, où les âmes se
rendaient
après la mort. Ils se divisaient en deux parties
juraient par ses eaux, et le serment était irrévocable ; celui qui se
rendait
parjure était privé de la divinité pendant cent a
taché à une roue environnée de serpents, et qui, tournant sans cesse,
rendait
son supplice éternel ; Titye, géant monstrueux, é
faveur de sa fille. Le maître des dieux décida que Proserpine serait
rendue
à sa mère, si toutefois elle n’avait pris aucune
de la médecine [Fig. 59], que Jupiter foudroya pour le punir d’avoir
rendu
la vie à Hippolyte. Apollon, furieux, tua les Cyc
ire. Après quelques années d’exil, il fut rappelé par Jupiter qui lui
rendit
sa divinité. Comme dieu des beaux-arts, Apollon p
erveilles du monde24, et auquel Érostrate mit le feu dans l’espoir de
rendre
son nom célèbre. On l’honorait encore dans la Che
ère par l’usurpateur Pélias. Celui-ci promit à ce jeune prince de lui
rendre
son trône, s’il parvenait à reconquérir la toison
le magicienne ; avec son secours, il endormit et tua le dragon, et se
rendit
maître de la toison. Après cet heureux succès, Ja
s, et revint en Thessalie. Là, comme Pélias différait toujours de lui
rendre
la couronne, Médée feignit d’avoir un secret pour
in de vigueur et de jeunesse. Pélias perdit la vie ; mais ce crime ne
rendit
pas la couronne à Jason. Acaste, fils de Pélias,
mégarde à la chasse son frère Bellerus36. Forcé de s’expatrier, il se
rendit
à Tirynthe, à la cour de Prœtus. Sténobée, femme
euse Antigone brava cet ordre cruel, et alla avec sa belle-sœur Argie
rendre
à cet infortuné les honneurs funèbres [Fig. 101].
en mangea une épaule. Jupiter précipita Tantale au fond des Enfers et
rendit
la vie au jeune Pélops, dont il rajusta tous les
uelle était cette inscription : À la plus belle ! Plus tard, Pâris se
rendit
à Lacédémone, et, secondé par Vénus, à qui il ava
Thétis, sachant que son fils devait périr au siège de Troie s’il s’y
rendait
, l’envoya, déguisé en femme sous le nom de Pyrrha
rir le lieu de sa retraite. Celui-ci, s’étant déguisé en marchand, se
rendit
à Scyros, où il soupçonnait qu’il était caché, et
u Soleil, fameuse magicienne. Ulysse, que ses malheurs passés avaient
rendu
encore plus circonspect, entre sans bruit dans le
plus touchants ; mais il refuse de l’écouter, jusqu’à ce qu’elle ait
rendu
à ses compagnons leur première forme. Circé obéit
de retourner à Ithaque. Ulysse y débarqua déguisé en mendiant, et se
rendit
d’abord à la cabane du vieil Eumée, son fidèle se
se que des roseaux. Il gémit, et, frappés de ses soupirs, les roseaux
rendent
des sons harmonieux. Le dieu, charmé de la douceu
endre de la propre bouche du Soleil la vérité sur sa naissance. Il se
rendit
donc auprès du Soleil, et le supplia de lui accor
te contrainte, ils prirent la résolution de s’enfuir, et se donnèrent
rendez
-vous sous un mûrier, à quelque distance de la vil
par ses chants et les accords de sa lyre, que cette déesse la lui fit
rendre
par Pluton, mais à condition qu’il ne regarderait
. [Fig. 112] Les Muses recueillirent ses membres dispersés et leur
rendirent
les honneurs funèbres. Il fut métamorphosé en cyg
vre de ce poète. Pyrénée et les Muses. Un jour que les Muses se
rendaient
au Parnasse, elles furent surprises par un orage
Des paysans lui ayant amené Silène, qu’ils avaient trouvé ivre, il le
rendit
à Bacchus, qui, charmé de retrouver son père nour
pour lui apprendre qu’il avait fait naufrage. Désespérée, Alcyone se
rendit
sur le bord de la mer au lieu où elle avait dit a
r Achille au siège de Troie. À Thèbes, en Égypte, la statue de Memnon
rendait
, dit la légende, un son harmonieux lorsque les ra
hangée en pierre [Fig. 117]. La vérité est que son affliction l’avait
rendue
muette et immobile comme une pierre : effet ordin
ombe : de là vint la fable que les colombes et les chênes de la forêt
rendaient
des oracles. 12. Trophonius était un habile arch
dit que c’était à Trophonius qu’il fallait s’adresser. Les députés se
rendirent
donc à l’antre de Trophonius, et y entendirent un
du christianisme qui a dissipé toutes ces ténèbres. Ensuite elle nous
rend
plus facile l’étude des auteurs anciens, des poët
s. On regardait la Nuit comme la mère des dieux et des hommes. On lui
rendait
un culte solennel, et l’on immolait sur ses autel
le divinité est née du Chaos ? Qu’est-ce que la Nuit ? Quel culte lui
rendait
-on ? Comment était-elle représentée ? 5. Quels fu
Janus, Saturne fit connaître à ce prince le passé et l’avenir, et le
rendit
le plus sage de tous les monarques. C’est par all
poux, surpris, étonnés, confondus, Se crurent par miracle en l’Olympe
rendus
. Vous comblez, dirent-ils, vos moindres créatures
; Clothon ferait d’un coup ce double sacrifice ; D’autres mains nous
rendraient
en vain ce triste office. Je ne pleurerais point
de Lucine elle présidait aux unions conjugales, et cet attribut ne la
rendit
pas moins populaire que le premier. 2. On lui a s
ès-répandu et très-solennel. Ses vengeances et ses cruautés l’avaient
rendue
si redoutable qu’on n’épargnait rien pour détourn
u serpent Python servit à couvrir le trépied sur lequel la pythonisse
rendait
ses oracles. 2. La joie d’Apollon libérateur fut
ein de la société les premiers éléments de la civilisation. Boileau a
rendu
cette pensée en beaux vers : Avant que la raison
uette. Questionnaire. 1. Comment naquit Minerve ? Quels services
rendit
-elle à son père après sa naissance ? Quels sont s
it prisonnier, et il avait fallu que Mercure vint à son aide pour lui
rendre
la liberté. Dans la guerre de Troie, il fut bless
pouvait lui pardonner sa propre laideur dont il avait la folie de la
rendre
responsable. Il s’unit à Jupiter irrité, et forge
rtes d’ouvrages ingénieux. Il y fabriqua pour Pluton le casque qui le
rend
invincible, pour Neptune le trident qui soulève l
consacrés : Chômons ; c’est faire assez qu’aller de temple en temple
Rendre
à chaque immortel les vœux qui lui sont dus. Les
léopard couvre ses épaules. On lui immolait des pies parce que le vin
rend
indiscret, et des boucs parce que ces animaux déd
cité de son époux et le cacha dans une écurie. Lorsque Jupiter se fut
rendu
maître de l’univers, il donna l’empire des mers à
nt condamnées à remplir d’eau un tonneau percé aux deux bouts, ce qui
rendait
leurs fatigues éternelles. Enfin Ixion était atta
élevèrent une statue colossale dans la ville de Thèbes. Cette statue
rendait
des sons lorsqu’elle était frappée par les premie
était la Victoire ? Que disait-on de son origine ? Quels honneurs lui
rendirent
les Romains ? Que lui offrait-on en sacrifice ? 5
conjuraient de leur épargner les infirmités qui lui font cortége. On
rendait
également un culte public à la Fièvre, à la Goutt
illesse était-elle fille ? Que lui demandaient les Grecs ? Quel culte
rendaient
-ils aux Maladies ? 5. Quelle était l’origine de l
Jason fut en âge de régner, le régent se fit usurpateur et ne voulut
rendre
au jeune prince son trône qu’à la condition qu’il
Jason réclama d’Eétès la toison d’or, le tyran répondit qu’il la lui
rendrait
, s’il domptait deux taureaux furieux qui avaient
plus qu’à recueillir les restes inanimés de son fils chéri pour leur
rendre
les derniers honneurs. 7. Jason, délivré des atta
as à la fin de ses souffrances et de ses revers. Pélias refusa de lui
rendre
son trône, comme il en était convenu. Médée résol
x père fut victime de leur horrible superstition. Ce crime affreux ne
rendit
pas à Jason ses Etats. Les fils de Pélias continu
e passion coupable pour Glaucé, fille du roi de Corinthe. Cet affront
rendit
Médée furieuse, et elle envoya à sa rivale une ro
Où séjournèrent-ils ? 5. A quelles conditions Eétès s’engagea-t-il à
rendre
à Jason la toison d’or ? 6. Comment ce héros s’en
aux de chair humaine, et il extermina en Espagne Busiris, qui s’était
rendu
coupable du même forfait. 9º Il attaqua encore Gé
n’avait pu le vaincre en l’exposant à de rudes travaux, réussit à le
rendre
méprisable en soufflant dans son cœur les plus vi
vêtement empoisonné ? Comment mourut ce héros ? 8. Quels honneurs lui
rendit
-on après sa mort ? Où était le plus célèbre de se
exploits d’Hercule son parent troublaient son sommeil, et avant de se
rendre
à Athènes il voulut se signaler en exterminant le
âtre vit d’un mauvais œil le jeune héros et résolut sa perte. Elle le
rendit
suspect au roi et décida ce monarque à l’empoison
re plaintive, Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive, Qu’il lui
rende
… » A ces mots, ce héros expiré N’a laissé dans me
aloux de la réputation de son hôte et le jeta à la mer. Les Athéniens
rendirent
de grands honneurs à ses cendres. Cimon les fit t
t le sort de Dédale et de son fils Icare ? 5. Pourquoi Minos avait-il
rendu
les Athéniens ses tributaires ? Combien de fois p
fut mis à mort. Pollux en eut un grand chagrin. Il supplia Jupiter de
rendre
à son frère la vie et de lui accorder l’immortali
sur Pégase, pétrifia le monstre, brisa les chaînes d’Andromède et la
rendit
à son père qui la lui offrit pour épouse. Phinée,
ir sa main ? A qui consacra-t-il la tête de Méduse ? 6. Quels service
rendit
-il à son beau-père Acrisius ? Comment lui donna-t
ntairement la mort ? Quelle fut la fin de Persée ? Quels honneurs lui
rendirent
les habitants de Mycènes et d’Argos ? Jupiter n’e
e la Chimère ? Qui aida Bellérophon à la dompter ? Quels honneurs ont
rendus
les poëtes à ce héros ? Ses aventures n’ont-elles
infernales furent touchées de ses accents, et sa chère épouse lui fut
rendue
à condition qu’elle le suivrait et qu’il ne tourn
use ? Que fit-il pour la recouvrer ? A quelle condition Pluton la lui
rendit
-il ? Quel fut le triste sort d’Orphée après cette
pes, sous la conduite des sept chefs que le talent du poëte Eschyle a
rendus
si célèbres : Polynice, Adraste, Tydée, Capanée,
vance le bras. Le roi, qui semble mort, observe tous ses pas : Prêt à
rendre
la vie, il en cache le reste ; Et sa mort au vain
on, le frère de Jocaste, s’empara du souverain pouvoir et défendit de
rendre
les derniers honneurs à Polynice, parce qu’il éta
s, et les princes les plus illustres répondirent à leur appel. Ils se
rendirent
tous à Mycènes. Là on vit paraître le frère de Mé
mmédiatement après sa naissance dans les eaux du Styx, et avait ainsi
rendu
tout son corps invulnérable. Mais comme en le plo
armes et se trahit. Ulysse l’emmena sur-le-champ avec lui, et ils se
rendirent
ensemble au camp des Grecs. 4. Avant le départ, A
n eut la bassesse de vouloir se venger d’Achille qui l’avait obligé à
rendre
à Chrysès, prêtre d’Apollon, sa fille Chryséïs. P
a de son souverain pouvoir pour forcer à son tour le fils de Thétis à
rendre
Briséïs, une de ses captives. Cette injustice et
arts d’Ilion. 8. Après cette atroce vengeance, le fils de Thétis vint
rendre
les honneurs funèbres aux mânes de Patrocle. Il l
’Ithaque, aidé des conseils de Mercure, obligea cette enchanteresse à
rendre
à ses compagnons leur forme première et reprit le
ta-t-il son noble rival après sa défaite ? 8. Quels honneurs funèbres
rendit
-il à Patrocle ? Quelle fut son entrevue avec Pria
ne faisaient rien que par son ordre, et son caractère prophétique le
rendait
maître des événements. Il mourut pour n’avoir pu
e la science des vérités primitives. Pour maintenir leur puissance et
rendre
le peuple esclave de leurs caprices, ils eurent d
s de la Grèce. Les Athéniens s’y firent initier, lorsqu’ils se furent
rendus
maîtres de ce pays. Les philosophes, les guerrier
n. Osiris était fils de Jupiter et de Junon. Il régna sur l’Egypte et
rendit
son peuple heureux en le gratifiant d’une foule d
œuf Apis était le plus célèbre. On lui avait bâti des temples. On lui
rendait
des honneurs extraordinaires pendant sa vie et de
s ordinaires, monta à plus de cinquante mille écus. Après qu’on avait
rendu
les derniers honneurs au mort, il s’agissait de l
able raconte-t-elle les aventures d’Osiris et d’Isis ? Quels services
rendit
Osiris à l’Egypte ? Quels bienfaits répandit Isis
jamais la vie sans que les harpes des bardes attachés à sa famille ne
rendissent
ce son prophétique10. » 4. Leurs prêtres portaie
druides proprement dits habitaient dans de vieilles forêts où ils se
rendaient
presque inaccessibles. Ils formaient la classe sa
cornes étaient liées pour la première fois, et l’on priait le ciel de
rendre
son présent salutaire à ceux qu’ils en avaient gr
e vaillant, celui qui gouverne tout, sort des demeures d’en haut pour
rendre
la justice divine ; il prononce ses arrêts ; il é
l devroit être, ce me semble, la devise des Maisons d’éducation. Pour
rendre
les connoissances mythologiques, répandues dans l
âtrie. On a élevé au rang des Dieux une foule d’hommes qui se sont
rendus
célèbres par des actions éclatantes, ou utiles au
quelquefois enfoncée dans l’eau ; mais Neptune la fit surnager et la
rendit
stable. D. Sous quels noms divers Apollon étoit-i
e dans toute sa gloire, c’est-à-dire, la foudre à la main. Jupiter se
rendit
avec peine à sa demande. Ayant paru devant elle d
, ce seul espoir me soulage ; Va lui porter le tendre hommage Que lui
rend
ma triste amitié. D. Mercure n’avoit-il pas enco
Amour. Jupiter, pour récompenser Vulcain des services qu’il lui avoit
rendus
, lui fit épouser Vénus. D. Dites-nous quelques mo
ailes, et un carquois rempli de flèches ardentes. Le culte qu’on lui
rend
lui est commun avec sa mère. Dans une obscurité
e, Je porte au hasard mon flambeau : Otez à l’Amour son bandeau, Vous
rendez
le repos au monde. (Rousseau.) D. Dites-nous le
r, mille nouveaux appas Animez nos cœurs et nos bras,
Rendez
la victoire constante, Conduisez
stre de ce nom qui vomissoit feu et flammes, que Minerve tua. Pour le
rendre
plus effroyable, elle y attacha la tête de Méduse
Mars. C’étoit le Dieu de la guerre. Le caractère de ce Dieu est bien
rendu
dans ces vers que Rousseau met dans la bouche de
voyageurs pour les dévorer. Nos chants harmonieux forcent tout à se
rendre
, Nous disposons des cœurs à notre gré ; Dès
omboit sans cesse. Tantale. D. De quel crime Tantale s’étoit-il
rendu
coupable ? R. Tantale voulant éprouver les Dieux,
de ses dons : Aimable Dieu, de qui la main dispense Ce qui
rend
les mortels heureux, Votre vaste puissan
sa barque, enchaîna Cerbère, et enleva Alceste, malgré Pluton, et la
rendit
à Admète son époux. Ainsi, traversant l’Achéron,
ndît la cire qui attachait ses ailes, ou que les vapeurs de la mer ne
rendissent
les plumes trop humides. Ce jeune téméraire, oubl
n, Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain. (Racine.) Esculape
rendit
la vie à Hyppolite, et Diane le transporta en Ita
s de Médée, dont les enchantemens étoient absolument nécessaires pour
rendre
les taureaux dociles, et, endormir les dragons. M
siter les sombres bords, pour la redemander à Pluton. Celui-ci la lui
rendit
, mais à condition qu’elle le suivroit, et qu’il n
trouveroit son père dans la Phocide, province de la Grèce. Œdipe s’y
rendit
, et tua Laïus, en lui disputant le passage dans u
lui avoit fait connoître Minerve. Ce fut aussi avec cette herbe qu’il
rendit
à ses compagnons leur première forme. Il épousa e
. Cette Nymphe mit tout en usage pour le retenir, et lui promit de le
rendre
immortel. Pour fixer le volage Ulysse, Jouet de
it que de la moëlle de lion. Sa mère le plongea dans le Styx, pour le
rendre
invulnérable ; mais le talon par où elle le tenoi
chille : Ulysse, cependant, zélé pour sa patrie, Veut lui
rendre
le seul Héros Dont l’appui des Troyens doit senti
’appui des Troyens doit sentir la furie, Et, pour le découvrir, il se
rend
à Scyros, Il étale aux yeux des Prince
’une partie de sa famille, redemande le cadavre de son fils, pour lui
rendre
les derniers devoirs. Achille l’accorda, sur-tout
rement, malgré les défenses de leurs parens. Ils se donnèrent un jour
rendez
-vous hors de la ville de Babylone, près d’un mûri
er son voile. La lionne le déchira et l’ensanglanta. Pyrame arriva au
rendez
-vous, apperçut le voile tout ensanglanté ; se per
s ; mais il ne tarde pas à faire sentir toute son amertume, et à nous
rendre
ses infortunées victimes. Les paroles suivantes d
eilleront particulièrement leur conduite, régleront leurs mœurs, leur
rendront
tous leurs devoirs chers et précieux. Ils ne se p
lus nuisibles à la société, et les plus honteux pour l’homme qui s’en
rend
coupable ? R. Ce sont la fourberie, l’hypocrisie,
de l’homme, qui lui fait perdre l’estime de ses semblables, et qui le
rend
le fléau de la société. Il faut voir dans La Font
é. Il se disculpe pleinement, et pour se venger du Loup qui lui avoit
rendu
ce mauvais service, il dit au roi des animaux : S
du mensonge ? R. On sait combien ce vice est bas et honteux, et nous
rend
méprisables. On ne peut donner aucune confiance a
duit. Dans tous les cas, il marque un défaut de savoir-vivre qui nous
rend
indignes de la bonne société. L’homme honnête et
de toutes les ames bien nées. D. Avec quel soin doit-on éviter de se
rendre
coupable d’injustice ? R. L’injustice est justeme
ames honnêtes doivent donc fuir même jusqu’à l’ombre de l’injustice.
Rendre
à chacun ce qui lui est dû, respecter scrupuleuse
Il ne suffit pas d’être belle, C’est à la Beauté qu’on se
rend
; Mais c’est au cœur qu’on est fidelle
main, Les autres le prennent en croupe : Plutus s’y
rend
sans examen. Quel examen peut faire un Dieu qui n
il fut appelé le Dieu de la Médecine. Jupiter le foudroya, pour avoir
rendu
la vie au malheureux fils de Thésée. La ville d’E
tain du parti qu’il doit prendre, Au temple d’Esculape en foule va se
rendre
, Le priant d’annoncer, par des signes certains, S
, Chargea Momus, pour un jour seulement, De régir l’Univers, de
rendre
la justice, Et d’être en tout son lieute
urmures, Ses coups de langue, ses injures, Le
rendait
digne de pitié… Que s’il régale ses a
ommença par détruire De l’autre Dieu les folâtres statuts, Et
rendit
à nos gens devenus pacifiques, Les de
rcé l’obscurité paisible. A peine un demi-jour, crépuscule douteux, Y
rend
visible un air humide et nébuleux. Jamais le chan
l qu’un doux souris qui naît parmi des larmes, A la campagne en deuil
rend
un moment ses charmes ! Qu’on goûte avec transpor
in promet des plaisirs non moins doux, Et la gaîté revient, exacte au
rendez
-vous. Ainsi dans l’Hiver même on connaît l’allégr
à l’encens funéraire. Ovide. — Desaintange 65. Honneurs funèbres
rendus
par Énée aux Mânes de son père Anchise. La nui
nchise a recueilli la cendre. Voici, voici le jour, où j’ai promis de
rendre
A cette ombre sacrée, objet de ma douleur, D’un d
! Allez, préparez tout pour de funèbres jeux. Qu’Anchise à nos desirs
rende
les vents propices : Qu’en des temples fondés sou
ir La voix de la reconnaissance, Sans qu’un long et profond soupir Ne
rende
à mon cœur ta présence. Soit qu’à travers les pas
es autels, vous, que votre art illustre, Honorez ses autels, vous qui
rendez
leur lustre Aux tissus des habits de taches impré
de faim. Le culte de Vesta remontait jusqu’au temps d’Enée. Numa lui
rendit
sa première splendeur. On la représente vêtue d’u
na. A cette triste nouvelle, Cérès alla conjurer Jupiter de lui faire
rendre
Proserpine. Le Père des Dieux le lui promit, pour
monstre se consume ; Et dévorant liaisons, palais, châteaux entiers,
Rend
pour des monceaux d’or de vains tas de papiers. S
a flûte et ma voix ; Que le lait le plus pur écume entre mes doigts ;
Rends
mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes ; P
le lait le plus pur écume entre mes doigts ; Rends mon bélier ardent,
rends
mes chèvres fécondes ; Puissent de frais gazons,
Cieux : La nuit et son noir attelage N’eût pas
rendu
les airs plus ténébreux : C’était
s vœux, Ouvrir son sein, répandre sans obstacles Tous les trésors qui
rendent
l’homme heureux ; Des biens acquis par un travail
d’une amante à côté d’une mère ; Et par ces doux tableaux, à ton pays
rendu
, Ton cœur revoit le ciel que tes yeux ont perdu,
veurs !. L’abbé Roman, d’Avignon 109. O toi, mère des biens qui
rendent
l’homme heureux, Fille de la raison et de la temp
ts semés dans l’Univers. Ce palais merveilleux, bâti d’airain sonore,
Rend
le son, le répète, et le répète encore. La voix r
ort Recevoir l’hyménée, et le trône et la mort ; Poison, me sauras-tu
rendre
mon diadême ? Le fer m’a bien servie, en feras-tu
fers, toute sa Cour. Elle voulait choisir un bon premier ministre Qui
rendît
ses états encor plus florissans. Pour rem
n, Loin de m’abandonner à des pleurs inutiles ; Je dois de ton trépas
rendre
grace au destin. Forcé de renoncer au doux titre
ts. Virgile va nous offrir un tableau des derniers devoirs qu’on leur
rendait
. Cependant, les Troyens, sur ces rives funest
te. Vainqueur du fleuve Achéloüs, il lui arracha une corne, qu’il lui
rendit
ensuite en échange d’Amalthée. Plusieurs Géans, p
parfum l’essence précieuse ; Cette pure ambrosie embaume ses cheveux,
Rend
son corps plus agile et ses bras plus nerveux.
e More Aux eaux de l’Ister. Mais, Ombre chérie ! Un tribut d’honneurs
Rend
-il à la vie L’objet de nos pleurs ? Non, pour la
d’Hector, et ses généreux frères Flattaient mes derniers jours et les
rendaient
prospères. Ils ne sont plus : Hector est tombé so
né de leur perfidie, fut d’abord insensible à leurs instances : il se
rendit
enfin à l’éloquence artificieuse d’Ulysse, et sui
u’ils tendent ; Ils m’ont fait tous ces maux : que les Dieux les leur
rendent
! Sophocle. — Laharpe. Patrocle, Fils de M
il déplora les lamentables malheurs de cet illustre vieillard, et lui
rendit
le corps de son fils. Patrocle à Achille. «
re plaintive, Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive, Qu’il lui
rende
… » A ce mot ce héros expiré, N’a laissé dans mes
ils murmuraient tout bas. Sur un trône brillant leur jeune Souveraine
Rendit
d’abord le calme à mon ame incertaine : Ses regar
nt que leurs filles, à qui elles brûlaient la mamelle droite pour les
rendre
plus propres à tirer de l’arc. Ces héroïnes souti
rouillards pluvieux, Ordonne à l’Aquilon de leur livrer la guerre, Et
rend
la terre au ciel, et le ciel à la terre. La m
s’élance plein de joie, Saisit avidement les rênes qu’il déploie, Et
rend
grace à Phœbus qui tremble pour son fils. Cependa
is bientôt, fatigué d’un vol audacieux, A tes pieds, roi des arts, il
rendit
grace aux Dieux ; Tu reçus le tribut de ses ailes
tride cependant la flotte a disparu. Ilion, à la paix tu crus ton sol
rendu
! Vers des bords étrangers ces voiles fugitives,
ts, de sa main qu’anime un noble effort Un trait part… Mais quel Dieu
rend
ce trait inutile ? Il tombe, et meurt aux pieds d
r la combattre, hélas ! tu n’as que ton amour : Ton trépas à tes fils
rendra-t
-il donc le jour ?… Tu tombes ! et vers Troie, à t
ssentiment, Atrée dissimula pour se venger mieux ; il feignit d’avoir
rendu
son amitié à Thyeste ; et l’ayant attiré dans son
n’accuse que lui du malheur qui l’accable ; Le sang qui nous unit me
rend
-il seul coupable ? D’un criminel amour le perfide
dépouille des treilles ; Mais un nouveau raisin, de la fleur échappé,
Rend
aux pampres verdis le fruit qu’on a coupé. Non lo
n tragique. Leurs parens s’opposant à leur hymen, ils se donnèrent un
rendez
-vous pour quitter ensemble leur patrie, et se ret
re, en mûrissant, les mûres se teignirent. Leurs parens même enfin se
rendent
à leurs vœux, Et le même tombeau les enferma tous
par la sagesse de ses lois. Sa sévère équité lui mérita l’honneur de
rendre
la justice au tribunal des Enfers ; c’était le pr
la rive Africaine ; J’ai perdu la pudeur, ce trésor précieux, Qui me
rendait
si fière, et m’égalait aux Dieux. Ah prince ! pui
vertu courageuse. Hercule, logé un jour par Admète, entreprit de lui
rendre
son épouse ; il descendit aux Enfers, combattit l
et tressaille de joie. » A sa chère Andromaque, à ces mots, il le
rend
. La mère le reçoit, et sourit en pleurant ; Hecto
tement vers l’autel ou l’Usurpateur périt de la main d’Egiste. Me
rendrez
-vous mon fils, Dieux témoins de mes larmes ? Egis
ance est vaine, Si ta voix souveraine Ne lui
rend
des jours plus heureux. O mon Père ! é
verrais la clarté des Cieux ! Pollux. C’est peu de te
rendre
à la vie, Le sort t’élève au rang des
tes pieds, tes bras, et tout ce que tu fus ? Demeure, et si tu peux,
rends
-moi, rends-moi Cadmus. O Dieux qui le changez en
tes bras, et tout ce que tu fus ? Demeure, et si tu peux, rends-moi,
rends
-moi Cadmus. O Dieux qui le changez en un serpent
rs, et la redemanda à Pluton. Le Dieu touché des sons de sa Lyre, lui
rendit
son épouse, à condition qu’il ne regarderait derr
ble à mes alarmes, Tu parais à mes pleurs mêler aussi tes larmes ; Tu
rends
geste pour geste ; et même en ce moment, Si ce n’
défigurer ses traits, On dirait qu’il sommeille endormi dans la paix.
Rends
à son corps glacé sa parure élégante… Quelque tri
ux se firent les derniers adieux. Ni l’or, ni la grandeur ne nous
rendent
heureux ; Ces deux divinités n’accordent à nos vœ
époux surpris, étonnés, confondus, Se crurent par miracle en l’Olympe
rendus
. Vous comblez, dirent-ils, vos moindres créatures
els. Cloton ferait d’un coup ce double sacrifice. D’autres mains nous
rendraient
un vain et triste office. Je ne pleurerais point
dut m’être funeste, Aujourd’hui seul remède aux horreurs de mon sort,
Rend
un dernier service à qui cherche la mort. O vous
n ces lieux, Dieux, hâtez le retour. Que Teucer me retrouve, et qu’il
rende
à la terre Le cadavre sanglant de son malheureux
s, amis imaginaires, Qui tout le jour lui baisant le genou, Surent le
rendre
enfin tout-à-fait fou ; L’un de son corps vante l
e la mort de Chioné sa mère, alla demander à l’Oracle de Claros de la
rendre
à la vie. Alcyone qui l’adorait, s’était long-tem
embrasse au lieu d’elle ; Comment par le Zéphir ces roseaux ébranlés
Rendent
des sons plaintifs en soupirs exhalés ; Comment l
rop parlé n’ayant pu se défendre, Sa voix, comme aujourd’hui, déjà ne
rendait
plus Que les derniers des mots qu’elle avait ente
fet suit la menace. Echo, depuis ce jour, Ne peut plus qu’écouter, et
rendre
tour-à-tour De la voix qui la frappe une image fr
chappe à l’œil séduit ; Tant de mille couleurs l’accord imperceptible
Rend
des tons différens le passage insensible : Tant d
eindre vos têtes ; Latone sur mes pas vous appelle à ses fêtes. On se
rend
dans le temple : et déjà sur l’autel Monte avec l
. Et n’ai-je pas le droit de me croire offensée Des honneurs que l’on
rend
à la fille de Cée, Elle qui, sans asile en ce vas
iques. Il couvrit de son horrible peau le Trépied sacré sur lequel il
rendait
ses oracles. Impitoyables Zoïles, Plus sourds
trop fatal, Ce vil or, dont l’ardeur croît par la jouissance, Et qui
rend
les humains pauvres dans l’abondance, Moins heure
tte Le terrible clairon de Mars. Est-ce le Dieu de l’harmonie Qui
rend
ces magiques accords ? C’est Pindare, enfant du G
même les Dieux. Horace d’une main hardie Touchant la lyre d’Ausonie,
Rend
des sons plus majestueux. Je veux vous suivre
uses années Dans les douceurs d’un éternel repos. C’est la raison qui
rend
les lieux aimables ; Tout ici bas lui doit ses ag
émens : Antres obscurs, déserts impraticables, Son seul aspect vous a
rendus
charmans : Palais des Rois, vos cours ambitieuses
me divinisée, Soit insensible aux grandeurs, aux revers : De la vertu
rends
-nous la route aisée, Et pour jamais fais rentrer
ps reverdit les coteaux, Des chaînes de l’Hiver dégage les ruisseaux,
Rend
leur feuillage aux bois, ses rayons à l’Aurore ;
in. O quel combat alors ébranle son bassin ! Le volcan à la mer vient
rendre
sa secousse, Et heurte avec fracas les ondes qu’i
du Monde, Du fier Mars et de toi sait discerner le prix : Ton sceptre
rend
la Terre en délices féconde ; Le sien ne fait rég
unés aiment toujours le plus. Loin de vous accuser, ô Dieux ! je vous
rends
grace De m’avoir fait connaitre et sentir la disg
élégante, Et son maintien modeste et gracieux. Ce sourire qui
rend
la beauté si touchante Semblait encor l’em
l’avantage ; L’amour est le prix des bienfaits. Le besoin
rendit
l’homme à l’homme nécessaire ; Et l’espoir du sec
long recueillement ; Et d’un amour si rare admirant la constance, Il
rend
graces au ciel qui créa l’Espérance. J. B. de Sa
nos talens. Ma lyre se taisait : l’auguste Poésie Lui
rend
des sons brillans. Recueille ces leçons : dan
De la naissante Liberté Tempérèrent les fortes crises, Et
rendirent
à tous la force et la santé. On devine aiséme
urer sur ses débris ?… Meurs, avant de sentir mes maux et ta misère ;
Rends
-moi le jour, le sang que t’a donné ta mère ; Que
. Je sens bien au fond de mon cœur, Qu’il faut te
rendre
enfin les armes, Et qu’il faut d’une do
mphes opulentes ; Mais, hélas ! on sait à quel prix : Cet or, qui les
rend
si brillantes, Devient le signal du mépris. Oui,
Ebloui, mais lassé de l’éclat de nos villes, Souvent il s’écriait : «
Rendez
-moi mes forêts ! » Un jour, dans ces jardins où L
eau ? Pauvre, chargé de soins, et consumé par l’âge, Qui peut l’avoir
rendu
le Dieu du voisinage ? Les pasteurs rassemblés vi
elui que Dieu avait choisi pour être le dépositaire de la loi et pour
rendre
témoignage de la vérité sur la terre, perdirent p
ommes qui s’étaient signalés par de grands exploits, par des services
rendus
à leurs semblables, et pour les rapprocher davant
s une étroite prison. Jupiter, encore enfant, délivra Saturne, et lui
rendit
son trône ; mais, comme celui-ci oubliait les bie
: de sorte que sa conduite était réglée par la prudence. Les Romains
rendirent
à ce prince les honneurs divins ; ils le représen
le précipita dans les gouffres du Tartare. Cette dernière victoire le
rendit
paisible possesseur du monde. Il est facile de vo
res dieux, nous devons dire quelque chose du culte que les hommes lui
rendaient
et de la manière dont ils le représentaient. Jupi
e sur ceux de Saturne ou de Diane. Le chêne lui était consacré, et il
rendait
des oracles par la voix de ceux de la forêt de Do
lébrées avec magnificence : tous les dieux du ciel et de la terre s’y
rendirent
avec empressement ; une seule nymphe nommée Chelo
eigné l’art de la médecine, fut aussi foudroyé par Jupiter pour avoir
rendu
la vie à Glaucus, fils de Minos, et à Hippolyte,
e la terre, s’élevait un temple fameux consacré à Apollon, où le dieu
rendait
des oracles par la bouche de sa prêtresse qu’on a
ez déjà qu’il ne l’épargna pas plus que les autres dieux. Services
rendus
aux dieux par Mercure. Cependant, comme l’adre
fugia-t-il ? — Ne rentra-t-il pas en grâce ? — Quels services Mercure
rendit
-il aux dieux ? — Comment le représente-t-on ? — Q
faveur de sa fille. Le maître des dieux décida que Proserpine serait
rendue
à sa mère, si toutefois elle n’avait pris aucune
ui le livrèrent enchaîné à leur roi Midas. Ce prince s’empressa de le
rendre
à Bacchus, qui lui accorda, par reconnaissance, l
les dieux : Chômons, c’est faire assez qu’aller de temple en temple
Rendre
à chaque immortel les vœux qui lui sont dus : Les
les de Palès, Flore et Pomone. Pan faisait sa résidence en Arcadie et
rendait
des oracles sur le mont Lycée. Il inventa la flût
ire s’étendait sur les fleuves dont il était le père. Les anciens lui
rendaient
un culte solennel, et l’invoquaient au départ des
marins. Il avait, comme Nérée, le don de prévoir l’avenir, mais il ne
rendait
ses oracles que par violence ; avant de parler, i
vaisseaux. C’est elle qui, avec Charybde, amène les naufrages qui ont
rendu
si fameux le détroit de Messine. Ce dieu est le s
coups étaient inévitables. La jalousie de Procris, femme de Céphale,
rendit
ce don fatal. Elle s’était cachée derrière un bui
i éleva des statues, dont la plus fameuse est ce colosse égyptien qui
rendait
un son plaintif aux premiers rayons du soleil. Le
nt sévère, Minos, Éaque et Rhadamanthe, siégent sur leur tribunal, et
rendent
des arrêts irrévocables. Plus on avance dans ce t
père et se couvrit la tête d’un casque fabriqué par les Cyclopes, qui
rendait
invisible celui qui le portait. Pluton resta long
ncu. Hercule trempa ses flèches dans le sang de l’hydre, et ce poison
rendit
mortelles toutes les blessures qu’elles faisaient
qu’elles se passaient tour à tour. Grâce au casque de Pluton, qui le
rendait
invisible, Persée déroba cet œil et cette dent, e
invisible, Persée déroba cet œil et cette dent, et ne consentit à les
rendre
que si les Grées lui révélaient la retraite des G
l donna son trône au fidèle Dictys. Après ce nouvel exploit, le héros
rendit
aux dieux les armes dont il s’était servi pendant
i-même l’accomplissement. Cette mort, qui mit Persée au désespoir, le
rendit
maître d’Argos ; mais il céda cette ville à Mégap
e, par l’usurpateur Pélias ; celui-ci promit à ce jeune prince de lui
rendre
son trône, s’il parvenait à reconquérir la toison
de Pélée, l’un des Argonautes. Orphée, par l’harmonie de sa lyre, les
rendit
insensibles aux chants des Sirènes. Enfin ils arr
; mais de nouvelles épreuves attendaient Jason. Pélias refusa de lui
rendre
son trône. Médée, pour se venger de cette trahiso
jetés dans une chaudière bouillante. Médée les laissa bouillir, et ne
rendit
à Pélias ni la vie ni la jeunesse. Ce crime fut i
e la vie, d’ensevelir le corps de Polynice. La pieuse Antigone voulut
rendre
les derniers devoirs à son malheureux frère. Jeté
éclamer sa fille Chryséis, esclave d’Agamemnon. Celui-ci, forcé de là
rendre
, et voulant se venger d’Achille, qui avait provoq
touché des larmes de Priam qui pénétra la nuit dans sa tente, il lui
rendit
le corps de son fils. Bientôt, épris des charmes
corps que les eaux du Styx, où sa mère l’avait plongé, n’avaient pas
rendue
invulnérable. Après la mort d’Achille les Grecs c
ypte ce précieux fardeau. Résolue de venger la mort d’Osiris, elle se
rendit
à la ville de Buto, où Horus, leur fils, était se
rnement distinctif d’Isis. Typhon profita de la liberté qui lui était
rendue
pour ourdir de nouvelles trames, et voulut ravir
ation des Ptolémées, la religion se modifia, et les hommages que l’on
rendait
à Osiris se portèrent sur Sérapis. On pense que c
er ces monstres ; mais un jour viendra où l’ébranlement du monde leur
rendra
un moment la liberté ; alors, dans une lutte horr
e suffit pas d’être belle, C’est à la Beauté qu’on se
rend
; Mais c’est au cœur qu’on est fi
il fut appelé le Dieu de la Médecine. Jupiter le foudroya, pour avoir
rendu
la vie au malheureux fils de Thésée. La ville d’E
Chargea Momus, pour un jour seulement, De régir l’Univers, de
rendre
la justice, Et d’être en tout son lie
ommença par détruire De l’autre Dieu les folâtres statuts, Et
rendit
à nos gens devenus pacifiques, Les de
donne aussi le nom de Mânes aux ames des morts. Honneurs funèbres
Rendus
par Enée aux Mânes de son père Anchise. La n
nchise a recueilli la cendre. Voici, voici le jour, où j’ai promis de
rendre
A cette Ombre sacrée, objet de ma douleur, D’un d
? Allez, préparez tout pour de funèbres jeux. Qu’Anchise à nos désirs
rende
les vents propices, Qu’en des temples fondés sous
ir La voix de la reconnoissance, Sans qu’un long et profond soupir Ne
rende
à mon cœut ta présence Soit qu’à travers les pass
ent de faim. Le culte de Vesta remontoit jusqu’au temps d’Enée. a lui
rendit
sa première splendeur. On la représente vêtue d’u
aisible asile, Loin des erreurs du monde, un sort doux et tranquille,
Rendez
grace à Vesta, méritez ses bienfaits ; Son culte
na. A cette triste nouvelle, Cérès alla conjurer Jupiter de lui faire
rendre
Proserpine. Le Père des Dieux le lui promit, pour
monstre se consume ; Et dévorant liaisons, palais, châteaux entiers,
Rend
pour des monceaux d’or de vains tas de papiers. S
a flûte et ma voix ; Que le lait le plus pur écume entre mes doigts ;
Rends
mon bélier ardent, rends mes chèvres fécondes ; P
le lait le plus pur écume entre mes doigts ; Rends mon bélier ardent,
rends
mes chèvres fécondes ; Puissent de frais gazons,
Cieux : La nuit et son noir attelage N’eût pas
rendu
les airs plus ténébreux : C’étoit
s vœux, Ouvrir son sein, répandre sans obstacles Tous les trésors qui
rendent
l’homme heureux ; Des biens acquis par un travail
d’une amante à côté d’une mère ; Et par ces doux tableaux, à ton pays
rendu
, Ton cœur revoit le ciel que tes yeux ont perdu,
tes faveurs !. Roman, d’Avignon 107. O toi, mère des biens qui
rendent
l’homme heureux, Fille de la raison et de la temp
ts semés dans l’Univers. Ce palais merveilleux, bâti d’airain sonore,
Rend
le son, le répète, et le répète encore. La voix r
ort Recevoir l’hymenée, et le trône et la mort ; Poison, me sauras-tu
rendre
mon diadème ? Le fer m’a bien servie, en feras-tu
fers, toute sa Cour. Elle vouloir choisir un bon premier ministre Qui
rendit
ses états encor plus florissans. Pour remplir cet
n, Loin de m’abandonner à des pleurs inutiles ; Je dois de ton trépas
rendre
grace au destin. Forcé de renoncer au doux titre
te. Vainqueur du fleuve Achéloüs, il lui arracha une corne, qu’il lui
rendit
ensuite en échange d’Amalthée. Plusieurs Géans, p
arfum l’essence précieuse ; Cette pure ambrosie embaume ses cheveux,
Rend
son corps plus agile et ses bras plus nerveux.
More Aux eaux de l’Ister. Mais, Ombre chérie ! Un tribut d’honneurs
Rend
-il à la vie L’objet de nos pleurs ? Non, pour la
iens redemander ses dépouilles funestes ; Prenez tous mes trésors, et
rendez
-moi ses restes ; Epargnez-moi l’affront d’un refu
t parle sans mystère : Pour remplir à ton gré l’auguste ministère, De
rendre
au grand Hector les funèbres honneurs, Quel temps
né de leur perfidie, fut d’abord insensible à leurs instances : il se
rendit
enfin à l’éloquence artificieuse d’Ulysse, et sui
u’ils tendent ; Ils m’ont fait tous ces maux : que les Dieux les leur
rendent
! Sophocle. — La Harpe 144. Patrocle, Fil
il déplora les lamentables malheurs de cet illustre vieillard, et lui
rendit
le corps de son fils. Patrocle à Achille. «
e plaintive, Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive, Qu’il lui
rende
… » A ce mot ce héros expiré, N’a laissé dans mes
ils murmuroient tout bas. Sur un trône brillant leur jeune Souveraine
Rendit
d’abord le calme à mon ame incertaine : Ses regar
t que leurs filles, à qui elles brûloient la mammelle droite pour les
rendre
plus propres à tirer de l’arc. Ces héroïnes souti
s’élance plein de joie, Saisit avidement les rênes qu’il déploie, Et
rend
grace à Phébus qui tremble pour son fils. Cependa
Vous ne verrez point de rivages Qui ne vous
rendent
dès hommages Dignes de vos vertus, dignes de vos
is bientôt, fatigué d’un vol audacieux, A tes pieds, Roi des arts, il
rendit
grace aux Dieux ; Tu reçus le tribut de ses ailes
Une fin si tragique effrayant les Thébains, Du pouvoir de Bacchus les
rendit
trop certains ; L’encens fume, et le peuple animé
’Achille fut ton père. Achille fut humain : touché de ma misère Il me
rendit
Hector, il respecta sa foi, Et jusqu’à mon palais
tride cependant la flotte a disparu. Ilion, à la paix tu crus ton sol
rendu
! Vers des bords étrangers ces voiles fugitives,
ts, de sa main qu’anime un noble effort Un trait part… Mais quel Dieu
rend
ce trait inutile ? Il tombe, et meurt aux pieds d
r la combattre, hélas ! tu n’as que ton amour : Ton trépas à tes fils
rendra-t
-il donc le jour ?… Tu tombes ! et vers Troie, à t
ssentiment, Atrée dissimula pour se venger mieux ; il feignit d’avoir
rendu
son amitié à Thyeste ; et l’ayant attiré dans son
n’accuse que lui du malheur qui l’accable ; Le sang qui nous unit me
rend
-il seul coupable ? D’un criminel amour le perfide
dépouille des treilles ; Mais un nouveau raisin, de la fleur échappé,
Rend
aux pampres verdis le fruit qu’on a coupé. Non lo
n tragique. Leurs parens s’opposant à leur hymen, ils se donnèrent un
rendez
-vous pour quitter ensemble leur patrie, et se ret
par la sagesse de ses lois. Sa sévère équité lui mérita l’honneur de
rendre
la justice au tribunal des Enfers ; c’étoit le pr
vertu courageuse. Hercule, logé un jour par Admète, entreprit de lui
rendre
son Epouse ; il descendit aux Enfers, combattit l
il, et tressaille de joie. » A sa chère Andromaque, à ces mots, il le
rend
. La mère le reçoit, et sourit en pleurant ; Hecto
ement vers l’autel ou l’Usurpateur périt de la main d’Egiste. Me
rendrez
-vous mon fils, Dieux témoins de mes larmes ? Egis
t vaine, Si ta voix souveraine Ne lui
rend
des jours plus heureux. O mon P
tor. Je verrois la clarté des Cieux ! Pollux. C’est peu de te
rendre
à la vie, Le sort t’élève au rang des Dieux. Cas
tes pieds, tes bras, et tout ce que tu fus ? Demeure… et si tu peux,
rends
-moi, rends-moi Cadmus. O Dieux ! qui le changez e
tes bras, et tout ce que tu fus ? Demeure… et si tu peux, rends-moi,
rends
-moi Cadmus. O Dieux ! qui le changez en un serpen
rs, et la redemanda à Pluton. Le Dieu touché des sons de sa Lyre, lui
rendit
son épouse, à condition qu’il ne regarderoit derr
le à mes allarmes, Tu parois à mes pleurs mêler aussi tes larmes ; Tu
rends
geste pour geste ; et même en ce moment, Si ce n’
raye un long chemin ; Et cette Ile, à Diane en tout temps consacrée ;
Rend
enfin à mon cours la lumière éthérée. Ovide.— Sa
défigurer ses traits, On diroit qu’il sommeille endormi dans la paix.
Rends
à son corps glacé sa parure élégante… Quelque tri
x se firent les derniers adieux. Ni l’or, ni la grandeur ne nous
rendent
heureux ; Ces deux divinités n’accordent à nos vœ
époux surpris, étonnés, confondus, Se crurent par miracle en l’Olympe
rendus
. Vous comblez, dirent-ils, vos moindres créatures
dut m’être funeste, Aujourd’hui seul remède aux horreurs de mon sort,
Rend
un dernier service à qui cherche la mort. O vous
n ces lieux, Dieux, hâtez le retour. Que Teucer me retrouve, et qu’il
rende
à la terre Le cadavre sanglant de son malheureux
s, amis imaginaires., Qui tout le jour lui baisant le genou Surent le
rendre
enfin tout-à-fait fou ; L’un de son corps vante l
e la mort de Chioné sa mère, alla demander à l’Oracle de Claros de la
rendre
à la vie. Alcyone qui l’adoroit, s’étoit long-tem
ur. Et, n’ai-je pas sujet de me croire offensée Des honneurs que l’on
rend
à la fille de Cée, Elle, qui vit le Ciel et la te
s, Naquirent avec l’Univers. Eux seuls ont pu
rendre
inutile Le feu du Ciel et l’effort des Autans ;
trop fatal, Ce vil or, dont l’ardeur croît par la jouissance, Et qui
rend
les humains pauvres dans l’abondance, Moins heur
us brillans concerts. Orphée est à leur tête, et sa robe flottante Le
rend
plus vénérable aux Ombres qu’il enchante ; Il acc
te Le terrible clairon de Mars. Est-ce le Dieu de l’harmonie Qui
rend
ces magiques accords ? C’est Pindare, enfant du G
même les Dieux. Horace d’une main hardie Touchant la lyre d’Ausonie,
Rend
des sons plus majestueux. Je veux vous suivr
uses années Dans les douceurs d’un éternel repos. C’est la raison qui
rend
les lieux aimables ; Tout ici bas lui doit ses ag
émens : Antres obscurs, déserts impraticables, Son seul aspect vous a
rendus
charmans : Palais des Rois, vos cours ambitieuses
me divinisée, Soit insensible aux grandeurs, aux revers : De la vertu
rends
-nous la route aisée, Et pour jamais fais rentrer
ps revendit les côteanx, Des chaînes de l’Hiver dégage les ruisseaux,
Rend
leur feuillage aux bois, ses rayons à l’Aurore ;
du Monde, Du fier Mars et de toi sait discerner le prix : Ton sceptre
rend
la Terre en délices féconde ; Le sien ne fait rég
unés aiment toujours le plus. Loin de vous accuser, ô Dieux ! je vous
rends
grace De m’avoir fait connoitre et sentir la disg
taille élégante, Et son maintien modeste et gracieux. Ce sourire qui
rend
la beauté si touchante Sembloit encor l’e
l’avantage ; L’amour est le prix des bienfaits. Le besoin
rendit
l’homme à l’homme nécessaire ; Et l’espoir du sec
e nos talens. Ma lyre se taisoit : l’auguste Poésie Lui
rend
des sons brillans. Recueille ces leçons : da
la naissante Liberté Tempérèrent les fortes crises, Et
rendirent
à tous la force et la santé. On devine aisém
urer sur ses débris ?… Meurs, avant de sentir mes maux et ta misère ;
Rends
-moi le jour, le sang que t’a donné ta mère ; Que
vue. Je sens bien au fond de mon cœur, Qu’il faut te
rendre
enfin les armes, Et qu’il faut d’une douc
mphes opulentes ; Mais, hélas ! on sait à quel prix : Cet or, qui les
rend
si brillantes, Devient le signal du mépris. Oui,
dû ton réveil qu’aux pointes au remord ; Le Ciel, des scélérats ne se
rend
point complice : S’il vient de te priver d’une tr
Ebloui, mais lassé de l’éclat de nos villes, Souvent il s’écrioit : «
Rendez
-moi mes forêts ! » Un jour, dans ces jardins où L
eau ? Pauvre, chargé de soins, et consumé par l’âge, Qui peut l’avoir
rendu
le Dieu du voisinage ? Les pasteurs rassemblés vi
forcé d en convenir. — Et ne croyez-vous pas que ce sera un service à
rendre
à bon nombre d’entre eux que de leur expliquer de
qu’en pensez-vous ? — Je pense qu’il est bien difficile de ne pas se
rendre
aux raisons d’un auteur qui veut faire valoir son
lui valut de la part des gens d’Antioche des plaisanteries qu’il leur
rendit
bien. Je n’aime pas les revenants, surtout les re
tai ses compliments de l’air réservé d’un homme qui sent qu’on ne lui
rend
pas toute la justice qui lui est due. Je laissai
liberté profitable au public et aux artistes, j’ai joint à mon compte
rendu
quelques réflexions dont les personnes qui voudro
contrée. Après cette scène de coups, de larmes et de lamentations, on
rend
les derniers devoirs à Adonis, comme à un mort, e
près du Père éternel. Plus tard, l’adulation avilit cet hommage pieux
rendu
à la vertu, à la bienfaisance ou au courage, en l
dans le dix-septième siècle, pour rajeunir ainsi la vieille Aurore et
rendre
un dernier éclat à ses fleurs flétries pour toujo
ur sacrilége, une soif que les libations rallument sans cesse. Il les
rend
tristes, sombres, hagards ; il dépouille leur fro
Cette fille qui t’a été volée et que tu pleures, puisse-t-elle t’être
rendue
! Lève-toi et ne méprise pas le pauvre asile de m
face. La déesse enfin retrouva sa fille, et Pluton consentit à la lui
rendre
, mais à condition qu’il la garderait six mois : l
nséquences de ces présages funestes, et la coutume en est restée. »
Rendons
à la sottise humaine la justice qui lui est due,
Justinien ; Judith, l’impérieuse femme du Débonnaire ; Constance, qui
rendit
la vie si dure au bon roi Robert ; Anne de Beauje
Chiron. Il devint si habile et fit des cures si merveilleuses, qu’il
rendit
la Mort inquiète et Jupiter jaloux. Si les hommes
des guirlandes de violettes, quelques grains de sel dans l’âtre, les
rendent
contents. En retour, ils comblent la maison de bi
e du marteau, le hasard des partages et l’instabilité des fortunes en
rendent
la possession incertaine et précaire. La nécessit
voir. Aussi n’est-il pas de parages de la Méditerranée qu’ils n’aient
rendus
fameux par les contes qu’ils en rapportaient. En
térieuse union, les génies devenaient des dieux infernaux auxquels on
rendait
, sous le nom de Mânes, un culte de Dulie. Comme o
ir les maux de notre condition. Remercions-le de ce présent, qui nous
rend
la vie à peu près supportable. Des poëtes plus ré
re jusqu’à présent que de beaux discoureurs. Il viendra quelqu’un qui
rendra
le poignard de Melpomène plus tranchant. Mais… je
t perdu leurs attributs antiques, mais chaque jour nos poëtes leur en
rendent
de nouveaux. Pour peu qu’ils aient au cœur l’étin
langue de circonlocutions vieillies où se noyait la pensée, ils l’ont
rendue
plus nette et plus énergique. Notre poésie, charg
entendait plus : en l’allégeant de ce bagage allégorique, ils lui ont
rendu
ses allures naïves et populaires. S’ils ont fait
aste et poétique nudité. Voilà ce que doit faire le poëte, et non pas
rendre
une vie artificielle à des fictions mortes avec l
er : la mort ne leur enlevait que le mouvement, qui pouvait leur être
rendu
; mais la flamme, en réduisant leur substance à u
mais la flamme, en réduisant leur substance à une poignée de cendres,
rendait
leur ruine irréparable. Ulysse, dans l’Odyssée, d
qui doivent parler à nos sens et à notre imagination, ne peuvent nous
rendre
les âmes visibles sans les envelopper d’une sorte
oisir. Mais il fallait la présenter décemment, et, s’il ne pouvait la
rendre
terrible, la sauver du ridicule en la rendant imp
egagner le terrain perdu ? Ce qui doit nous consoler pourtant et nous
rendre
confiance, c’est que dans tous les âges il s’est
uverts et ambigus. De là ces expressions : — Prendre un ton d’oracle,
rendre
ses oracles ; je ne comprends pas vos oracles. Le
? — Une table couverte de la peau de Python, où les prêtres accoudés
rendaient
des oracles ? — Un siége où s’asseyait la pythoni
par per lei l’istessa morte. Ella fiamme d’onor nell’alma desta, Ella
rende
gentil qualunque sorte : Figlia di Dio la gran Sa
o’suoi raggi nella notte più sensibili dissipando le tenebre guida si
rende
, de’viaggi. Regina del silenzio, e madre de’ripos
ce piacer le sue ritorte. Da leï ogni virtù mortale impara Questa che
rende
appien dolce ogni sorte E fedeltà che al mondo d’
ietto, e lo scopo. L’altro pregio, che brillante non men, che robusto
rende
la narrativa sono appunto le somiglianze, ed i co
el verso deriva quel sentenzioso, e mellifluo parlare, che padroni ci
rende
del cuor di chi ci ascolta. Il verso però in altr
Con voce ben chiara L’oracolo intende La cosa più cara Salute gli
rende
Al fuoco si da. Nè prezza l’orror. Esclama :
ere sviluppato ne’ tre antecedenti endecasillabi, questo si è, che lo
rende
assai difficile, e presso che impraticabile. Quin
nde, Mormora il venticel dolce alla valle, L’aura serena dolce l’aria
rende
, E si comincia a scior nevoso calle, Dolce il rio
con allettante armonia, così per l’ordinato misto di questi sonoro si
rende
il secondo. Dalla varietà però della nomenclatura
e. Orrida maestà nel fero aspetto Terrore accresce, e più superbo il
rende
Rosseggian gl’occhi, e di veneno infetto Come inf
ambrosio odor che delle fere edaci Gl’ impeti affrena, e inviolato il
rende
Del cocchio ostile al trascinar; lo copre D’ into
e distingue. Non hanno i glauchi occhi minaccia; amore Folgoranti gli
rende
, e sulla fronte Sorgon le corna, e son fra loro e
Ma seco quel piacer sì grato prende. Che quel ch’ama e l’ottien beato
rende
. Gli occhi intanto Giunon chinando a terra, Vide
fresche erbe il suo gregge ristora: E con le canne sue sì dolce canto
Rende
, che n’addolcisce il cielo e l’ora. Or l’occhiuto
Il caduceo, in greco ααδυκειον, cioè verga di banditore e di araldo,
rende
assai distinta questa statua di Mercurio, giacché
e al vano morso Quasi presa si toglie. Era lo dio Con la vergine tal:
rende
paura Celer la ninfa, e la speranza Febo, Che più
enitor consperge Al figlio il volto, e a tollerar la fiamma Capace il
rende
; gli circonda il crine Coi raggi, e fuori dal com
e già coll’agil corpo, e gode Trattar con mano le permesse briglie, E
rende
grazie non volute al padre. D’infiammati nitriti
nume, a cui è sacra una delle sommità del Parnaso. La nostra Diana si
rende
con ciò tanto più singolare, non avendo col jiume
ge alla fronte di vivace cervo Le corna, il collo gli prolunga, acute
Rende
l’orecchie, ed in sottili gambe Muta i piedi e le
Cura del nume era l’Arcadia: impera Ai fiumi irresoluti il corso, e
rende
L’onor primiero delle verdi frondi Ai rami inarid
rnato di frange per asciugarsi, che cade aggruppato sopra di un’urna,
rende
singolare questo bel simulacro di Venere, quanto
n han le navi ogni lor vela, ancora Stringonsi al remo i naviganti, e
rende
Contrastato pallor le guancie incerte. Stazio
avevano colla Terra, reputata lo stesso che Vesta. Questa differenza
rende
maggiormente probabile il parere accennatovi sull
ngegnosamente da lui spiegata per Biante Prieneo: lo che tanto più si
rende
verisimile quanto è certo dall’annessa epigrafe c
l’ immagine di Aspasia unica nel nostro Museo col suo nome greco, non
rende
improbabile che possa darsi questo abbigliamento
lia di Eretteo, e dopo essa Glimene che le volge le spalle. L’istoria
rende
ragione di questa attitudine. L’avventura di Proc
il ramo di frassino. La perdita però dei simboli secondari non ci si
rende
molto sensibile, attesa la conservazione di quel
que Clio la musa della fama, poiché essa la registra in iscritti e la
rende
durevole, e perchè ancora trasmette tutte indisti
a con tal simbolo. « La grazia dell’attitudine di questo simulacro la
rende
pregevolissima da osservarsi, ed avvene un’altra
i dice, scorge mi ad Esculapio un uomo barbato vestito di pallio, che
rende
grazie al Nume con un ginocchio a terra e le mani
ti: nel nostro la figlia è in piedi, il padre siede: questa diversità
rende
il nostro assai più pregevole, poiché lo possiamo
zie del suo misero amante. Egli accusa l’ Inferno inesorabile che non
rende
le sue prede. Scongiura Giove di voler rendere la
zia. Lo dio del Vino si placa, e nelr istante il vento settentrionale
rende
al fiume le sue acque. Deriade arma gl’Indiani co
nno i nomi coll’Iadi comune. Giunone sostiene Deriade, e terribile lo
rende
agli occhi di Bacco che prende la fuga: Minerva l
ago ch’è nel Palazzo Farnese, dove il Centauro suona la lira. Furnuto
rende
ragione perchè le tibie fossero ado prate da’ Bac
empo fra Giove e Giunone ; e Omero sin dal 1° libro dell’Iliade ce ne
rende
accorti in questi versi : « Acerbissimo Giove, e
di congiunzione fra la Mitologia classica e il Feticismo egiziano, e
rende
qualche probabile ragione di così strano culto, c
no. Tutte queste opere, e sopra ogni cosa la carità che è tra noi, ci
rende
appresso alcuni degni di biasimo. Vedi, dicono, c
dei Cristiani si mormora. E pure la nostra cena col proprio vocabolo
rende
buon conto di sè ; perciocchè è detta Agape, che
Roma soltanto, ma per tutta Italia, la cognizione della Mitologia si
rende
necessaria non solo ai cultori delle Arti Belle,
o viii del Paradiso : « …….e vien Quirino « Da sì vil padre, che si
rende
a Marte. » 180. Trovasi infatti in Cicerone :
elle mura « Più e più fossi cingon li castelli, « La parte dov’ei son
rende
figura ; « Tale imagine quivi facean quelli, « E
inoltre per l’assenza di qualunque cemento : la loro pesante mole ne
rende
sicura la stabilità, e fece attribuire tali costr
a, « E in parte ha forma della madre, in parte « Di più alto esemplar
rende
figura ; ecc. » (A Gino Capponi, strofa ultima.)
o in Capricorno. Età del rame. Dal metallo, che, fuso in varie forme,
Rende
adorno il Tarpejo e il Vaticano, Sorti la terza e
0). 158. Era immolata a Bacco la gazza, per avvertire che il vino ci
rende
indiscretamente loquaci ; ed il capro perchè ques
are tutti i mali della vita, Saturno vi regna con la moglie Rea, e vi
rende
perpetua l’età dell’oro che fu tanto breve sopra
rad. del Pindemonte.) Come poteva esser meglio dipinta l’avarizia che
rende
povero l’uomo in mezzo alle sue ricchezze ? 252 D
: Orrida maestà nel fero aspetto Terrore accresce, e più superbo il
rende
: Rosseggian gli occhi, e di veneno infetto, Com
insegna a correggere i nostri propri difetti, smaschera l’ipocrisia e
rende
odioso il mal costume ; mentre Tersicore muove il
esi dell’ anno ; e qualche idea sul moto dei segni celesti (676, 677)
rende
facile l’ interpretazione dei principali avvenime
rte molto secondaria ; ma appunto per questo vi è maggiore unità e si
rende
più facile e più breve la narrazione. Giasone er
o del Canto xxx dell’Inferno. 222. L’aver provato i mali della vita
rende
piu compassionevoli per le altrui sventure. Perci
ando ha decretato la dissoluzione dei corpi anche meglio organizzati,
rende
nulla la scienza e l’arte degli uomini. 105. C
tizia ; e la sua lunghissima coda non gli offusca l’intelletto, nè lo
rende
un animale irragionevole e indegno di cotanto uff
della terra, o da ανδανειν, placare, perchè presedendo alla morte, la
rende
per antifrasi quasi gioconda e soave. Ed è chiama
rispondenze amorose, ed ogni legame, che rannoda l’uomo all’uomo e ne
rende
un tipo di grandezza sociale. E veramente elleno
venir meno. L’arbore, ch’era verde, si fa smorta, Ed ogni spoglia sua
rende
al terreno : Le ninfe della selva abitatrici Abba
farse, Che pende al retto resuplno, e leve ; Dal picciol corpo il lin
rende
e lo stame, Ed incatena ancor l’antiche trame.
ue forme o nature. Soprannome che veniva dato a Bacco, perchè il vino
rende
gli uomini o gai, o furiosi. 798. Bilancia. — Il
l’ali, ed alza il grido, Trema per tutto il mare, e s’apre e mugge, E
rende
polveroso il cielo e ’l lido, E le biade e le pia
ià la serpigna squama asconde il volto, E se vuol favellare, il sibil
rende
: Pur si volge alla moglie, e dir s’arrischia : M
utunno si levan le foglie L’una appresso dell’altra. infin che’l ramo
Rende
alla terra tutte le sue spoglie ; Similemente il
Il desolato genitore fa ritrarre la figura del morto figliuolo, e gli
rende
nel silenzio delle domestiche pareti gli onori e
direttamente dalla Lidia per assediare la città di O calia di cui si
rende
padrone. Abbordato al capo Cineo nell’Eubea, Erco
encor ses désirs Et retarde le cours de ses derniers soupirs. Prét à
rendre
la vie, il en câche le reste ; Et sa mort au vain
so nello spazio, durante il periodo di 9mila anni. Lo storico Serbio,
rende
ragione di simile tradizione col dire che gli dei
uol dire tempesta ; ed infatti l’apparizione di quella meteora non si
rende
visibile alla terra, se non dopo una tempesta ; e
anzia prende origine dalla parola greca λιτο che significa : cosa che
rende
suono. 2550. Littorale. — Qualificazione data, in
rn. Pour forth the cup of pain. First Fury. Thou thinkest we will
rend
thee bone from bone, And nerve from nerve, workin
g like fire within! Pro. Pain is my element, as hate is thine; Ye
rend
me now; I care not. Second Fury. Dost imagine
hearts’ left to brood. “I marked the haughty spirit’s strife, To
rend
its bonds in vain: Again I heard the cause of ill
d huge bones he bares. (A ghastly sight!) or raging with his pain, To
rend
the sick’ning plague, he tugs in vain. As the red
shield the fearful weapon went, His corslet pierces, and his garment
rends
, And, glancing downward, near his flank descends.
ulcani, e, dominato dall’ uomo, torna utile nell’ azienda domestica e
rende
possibile la lavorazione dei metalli, ond’ esso è
ia. Esse erano venerate come datrici di tutto quello che abbellisce e
rende
gradevole la vita. Senza di esse, neppur gli Dei
rioso; egli è un re occulto e che occultamente opera, anzi un elmo lo
rende
invisibile (donde il suo nome); ma tanto più è te
coltà, e combattendo con invitta costanza le battaglie della vita, si
rende
degno d’ una gloria immortale. In tal senso Orazi
i danno incremento; giacchè gli Dei hanno in odio quelle violenza che
rende
l’ uomo capace di qualunque delitto. » 2. « Giov
ilvano, perchè le puerpere non molestasse. Strenua dicessi la Dea che
rende
gli nomini valorosi; Agenoria e Stimula quella ch
Volunna que’ che lor danno il buon volere; Cazio quello che cauti li
rende
; Angerona quella che libera dalle angosci e, e fa
al quale ebbero in premio quell’stinto nel fabbricare il mele, che le
rende
fra gli animali tanto ammirabili. Così allevato c
(1) facendo gustare ad Enèa ambrosia mescolata con dolce nettare, il
rende
immortale, percui è annoverato fra gli Dei. Quant
le vie del cielo. Ma Fulgenzio(2) il vuole così detto, perchè il vino
rende
libera l’anima dalle cure e dalla tristezza. Cice
forza alcuna distornare. Nettuno intanto, per le preghiere di Venere,
rende
il mare tranquillo, ed Enea, dopo la dipartita da
gella, non teme la fiamma, si lacera il corpo e col proprio sangue si
rende
propizia la Dea(4). In Roma, fuori del pomerio, e
ing the Giants. [Gem: Baumeister.] 4. Two of the Hours. [Vase: Compte
Rendu
de St. Petersbourg, 1862, Table 4; Roscher 16 and
e dwellings for the night. Fig. 4. Two of the Hours. [Vase: Compte
Rendu
de St. Petersbourg, 1862, Table 4; Roscher 16 and
ed behind The urns of the silent snow, And earthquake and thunder Did
rend
in sunder The bars of the springs below; The bear
ng to the styes again; Where they in hopeless bitterness were fain To
rend
the oaken woodwork as before, And tear the trough
n sight of land, a storm arose that broke his mast, and threatened to
rend
the raft asunder. In this crisis he was seen by a
d to the hand and quit its parent trunk, but otherwise no force could
rend
it away. If torn away another would succeed. Ænea
,” but she moveth never the more…. Then with his bright blade Sigurd
rends
the ring-knit mail that encloses her, “till nough
i essa personifica le idee e le passioni umane, brillanti e vivissime
rende
le immagini, nè senza di essa potrebbe la poesia
otina al bere, Educa o Edusa al mangiare. Strenua dicevasi la dea che
rende
gli uomini valorosi, Agenoria o Stimula quella ch
n sight of land, a storm arose that broke his mast, and threatened to
rend
the raft asunder. In this crisis he was seen by a
d to the hand and quit its parent trunk, but otherwise no force could
rend
it away. If torn away, another would succeed. 27
which had been partially split open by wood-cutters, and attempted to
rend
it further; but the wood closed upon his hands an
leon Bonaparte, alludes to the story of Milo: — “He who of old would
rend
the oak Deemed not of the rebound; Chained by
perchè essa si trova spezialmente ne’ vecchi ; smunta, perchè tale la
rende
il continuo affanno d’accumulare ; pallida, perch
o, perchè la mento dell’ Accidioso è occupata da tale torpore, che lo
rende
insensato. Il pesce poi testè nominato è di natur
Acate s’incamina l’Eroe verso Cartagine, e coverto da un velo che lo
rende
invisibile, si approssima alla bella Didone detta
e, the Sire of Gods his thunder rolls, And peals on peals, redoubled,
rend
the poles. Beneath, stern Neptune shakes the soli
e) (4). Era chiamata Murcia o Murzia, ossia Dea de’pigri, perchè tali
rende
i suoi adoratori. Altridicono, che Venere da prim
ntraddizioni dell’Istoria e nelle tenebre della Favola, che appena si
rende
probabile di poter asserirne la verità. Platone,
th’ impatient captives tend, And, pressing for release, the mountains
rend
. High in this hall th’ undaunted monarch stands,
▲