s avons déjà dit que la seule Hypermnestre sauva Lyncée son époux. Ce
prince
fit la guerre à Danaüs, que le repentir de son cr
et lui éleva un autel. La grande ressemblance entre les lois que ce
prince
donna aux Athéniens, et celles du peuple hébreu,
ptienne et la langue grecque que Cécrops parlait également. Ce fut ce
prince
qui régla les lois du mariage, et polit les mœurs
volume. Les mêmes marbres placent à la quatrième année du règne de ce
prince
le déluge de Deucalion dont nous parlerons bientô
on père, roi de Phénicie, envoya à sa recherche Cadmus et deux autres
princes
nommés Cilix et Phénix. Cadmus s’arrêta dans la B
vant la prise de Troie, fut Pélops, fils de Tantale, roi de Lydie. Ce
prince
, forcé de quitter son pays à cause de la guerre q
beaucoup plus loin : il fut un des plus puissans rois de la Grèce. Ce
prince
eut deux enfans, Atrée et Thyeste, fameux l’un et
élops régnèrent à Mycène jusqu’au retour des Héraclides. Le nom de ce
prince
se représentera souvent lorsqu’il sera question d
nt pour croire que son origine remonte à Cadmus. Ils observent que ce
prince
, ayant rapporté dans la Grèce les lois, les usage
e, grand père de Persée, n’avait qu’une seule fille, nommée Danaé. Ce
prince
, ayant appris de l’oracle qu’il aurait un petit-f
la mère et l’enfant ; il prit même grand soin de l’éducation du jeune
prince
: mais, dans la suite, aimant Danaé, et redoutant
la Grèce ; et, pour le célébrer avec plus d’éclat, il invita tous les
princes
voisins, en les priant d’apporter avec eux ce que
rgos, avait fait construire pour y tenir renfermée Danaé sa fille. Ce
prince
espéra, par cette précaution, empêcher l’accompli
s, et prêta son secours à Persée pour la surprendre et la vaincre. Ce
prince
lui coupa la tête pendant qu’elle était ensevelie
eprésenté par le signe de la baleine. Dans le récit des actions de ce
prince
, on leur ajouta tout le surnaturel que l’on put i
, pour désigner le bonheur qui le garantissait de tous les périls. Ce
prince
avait un temple dans Athènes. On se bornait à l’h
ommait Pégase ; la proue représentait un cheval ailé. Aussitôt que ce
prince
fut de retour dans la Grèce avec des richesses im
vait pour lui, l’accusa devant son époux d’avoir voulu la séduire. Ce
prince
voulut d’abord le faire mourir ; mais, respectant
es pendant neuf jours, pour remercier les dieux de l’arrivée du jeune
prince
. Le dixième jour, il lut la lettre de Prœtus, et,
et Sarpédon. Il régna sur l’île de Crète après la mort d’Astérius. Ce
prince
épousa Ithone, dont il eut pour fils Lycaste, qui
elle d’Apollonie, et celle de Minoia Lictia. Les lois établies par ce
prince
l’ont fait regarder comme l’un des plus grands lé
èrent le nom de Minos. Les poëtes, pour mieux célébrer l’équité de ce
prince
, le peignirent comme le premier juge des enfers ;
ns. Les marbres d’Arundel ou de Paros placent l’époque du règne de ce
prince
au même temps que celui du roi d’Athènes Pandion
ent à le rendre maître de toutes les îles voisines de son royaume. Ce
prince
, parvenu au plus haut point de la gloire, vit dét
ables de la Grèce. Minos voulut y envoyer son fils Androgée. Ce jeune
prince
remporta tous les prix, et s acquit l’estime et l
r les Athéniens de ce tribut honteux était réservé à Thésée. Ce jeune
prince
aspirait à marcher sur les traces d’Hercule. Il o
rès la fuite de Thésée, Minos voulut punir Dédale d’avoir favorisé ce
prince
; il le fit enfermer avec son fils Icare dans le
rès de Cocalus un asile qui lui avait ôté refusé par plusieurs autres
princes
, parce que tous redoutaient la puissance de Minos
autres princes, parce que tous redoutaient la puissance de Minos. Ce
prince
le poursuivit en effet jusque dans la Sicile, et
, fit proposer à Minos de venir traiter cette affaire à l’amiable. Ce
prince
imprudent accepta la proposition. Cocalus le reçu
u en bâtissant la ville d’Agrigente ; on recueillit les cendres de ce
prince
, et on les renvoya dans l’île de Crète. Ainsi mou
t Minos second, qui aurait joui de la réputation d’un des plus grands
princes
de son temps, sans la haine des poëtes tragiques
us, de Deucalion, de Molus, d’Ariadne et de Phèdre. Le premier fut un
prince
pacifique, aimant la justice et la retraite. Le s
ppolyte, pour le punir de l’attentat dont Phèdre l’accusait. Le jeune
prince
accourut aux ordres de son père avec toute la séc
e. Quelques auteurs racontent différemment sa mort. Ils disent que ce
prince
arriva près de son père, et qu’il ne périt qu’en
ecine, l’avait ressuscité. Les Athéniens, témoins de la mort du jeune
prince
, ont toujours rejeté cette fable. Par la suite de
était petit-fils de Pélops, roi du Péloponèse, l’un des plus puissans
princes
de son temps. Parmi les enfans de Pélops, Pitthée
nda la ville de Trézène ; sa fille, Éthra, devint l’épouse d’Égée. Ce
prince
, ayant été forcé de s’éloigner d’elle, eut soin,
apithes, peuple de la Thessalie, devint le meilleur ami de Thésée. Ce
prince
, ayant entendu vanter les exploits du fils d’Égée
es. Il était fils d’Alcmène et d’Amphitryon, descendant de Persée. Ce
prince
, héritier d’Électryon par sa femme, devait succéd
n crime involontaire, et vint se soumettre aux ordres d’Eurysthée. Ce
prince
trouva son repentir si grand et sa soumission si
a la chasse, les détruisit, et présenta le plus gros à Eurysthée ; ce
prince
crut qu’il n’était pas encore mort : il en eut un
origine de la fable des écuries d’Augias, nettoyées par un fleuve. Ce
prince
avare n’ayant pas voulu payer la récompense qu’il
rcule reçut aussi l’ordre d’aller enlever les cavales de Diomède ; ce
prince
voulut les défendre ; il fut tué. Diomède aimait
it le fameux Géryon, géant à trois corps, c’est-à-dire qu’il défit un
prince
qui régnait sur les trois îles Majorque, Minorque
es couleurs pour raconter l’histoire d’Alcméon, fils d’Amphiaraüs. Ce
prince
avait tué sa mère ; il consulta l’oracle, qui lui
mète, où elles s’étaient réfugiées après leur crime involontaire ; ce
prince
voulut d’autant moins les livrer, qu’épris d’Alce
l donné par Médée aux filles de Pélias. On trouve au contraire que ce
prince
n’existait plus au retour des Argonautes, que mêm
couronne de Mycène passa dans la famille de Pélops. Atrée, fils de ce
prince
, était gouverneur de Mycène ; il se fit déclarer
re périr, parce que l’oracle avait prédit qu’il serait détrôné par un
prince
de la race des Éolides. Éson et Alcimède, prévenu
e Jason apprit tout ce qu’il devait savoir pour s’illustrer. Ce jeune
prince
, parvenu à l’âge de vingt ans, alla consulter l’o
mme, lui offrit de le porter à l’autre bord. Dans le trajet, le jeune
prince
perdit un de ses souliers ; l’oracle avait averti
e tyran, qui avait remarqué tout l’intérêt qu’inspirait déjà le jeune
prince
, osât rien entreprendre contre lui. Phérès, roi d
élée et Amithaon, qui s’étaient établis dans la Messénie. Lorsque ces
princes
furent rassemblés, ils célébrèrent des fêtes pend
saient tous ceux qui le voyaient. S’apercevant aussi combien ce jeune
prince
était avide de grandes actions, il lui dit que le
de pareils avis ne feraient qu’exciter l’héroïsme de Jason. Ce jeune
prince
, en effet, accepta sur-le-champ la proposition ;
pour donner plus d’éclat à cette expédition, il fit inviter tous les
princes
Grecs à se réunir à lui. Pendant que l’on se rass
naturels ; il voulut les combattre, et fut tué par Jason lui-même. Ce
prince
, pour expier son crime involontaire, fit de magni
nt dans la Bébricie, premier nom de la Bithynie. Amicus y régnait. Ce
prince
excellait au combat du ceste. Il fit un défi que
un coup de vent les jeta sur les côtes de Thrace, où régnait Phinée,
prince
vieux et aveugle, que les Harpies tourmentaient s
s, attirèrent Absyrthe, sous le prétexte d’un accommodement. Ce jeune
prince
descendit à terre ; Jason et Médée le firent mass
la flotte d’Éétès eut rejoint les Argonautes. Hérodote assure que ce
prince
et son fils y périrent ; ce qui laissa aux Argona
Lorsqu’ils furent jetés par la tempête sur les côtes de la Libye, un
prince
du pays, nommé Eurypile, leur donna de grands sec
ides pour sortir du passage difficile des sirtes. La fable peignit ce
prince
bienfaisant sous la forme d’un triton. Jason, pou
ès les conseils de Médée, est un fait entièrement dénué de vérité. Ce
prince
fut mis à mort par Éson, qui lui fit avaler du sa
s’y trouvèrent, sans aucune surprise ni réclamation de la part de ce
prince
, fils de Pélias. L’histoire apprend l’origine de
tte princesse, les Corinthiens massacrèrent eux-mêmes les deux jeunes
princes
. Ils s’étaient vainement réfugiés dans le temple
ssaya de persuader au roi d’Athènes qu’il devait empoisonner ce jeune
prince
dans un festin. La coupe fatale fut préparée ; ma
-être suffi pour donner lieu à la fable que nous venons de citer. Ces
princes
et princesses naquirent dans la Laconie, près de
mment aujourd’hui le feu saint Elme et le feu saint Antoine. Ces deux
princes
prirent la ville d’Aphidnes, pour venger une inju
u monde, les Parques mirent dans le feu un tison, et prédirent que ce
prince
mourrait aussitôt que le tison serait réduit en c
ta dans le feu le tison auquel tenaient les jours de Méléagre ; et ce
prince
périt en peu d’instans, comme s’il eût été consum
tigone et Ismène, qu’il eut d’Euriganée, sa seconde femme. « Les deux
princes
ne furent pas plutôt en âge de régner, qu’ils rel
le lieu fixé, les peuples en pleurs, les armées en silence, les deux
princes
fondirent l’un sur l’autre : et, après s’être per
ls dignes de les venger. Dès que les temps furent arrivés, ces jeunes
princes
, parmi lesquels on voyait Diomède, fils de Tydée,
elques années après, en allant au siége de Troie. Après sa mort, deux
princes
de la même famille régnèrent à Thèbes ; mais le s
r la côte de l’Asie, à l’opposite de la Grèce, vivait paisiblement un
prince
, qui ne comptait que des souverains pour aïeux, e
ydie ; et, contre les droits les plus sacrés, retint dans les fers un
prince
troyen, nommé Ganymède. Plus récemment encore, He
auté d’Hélène fixait tous les regards. Aux avantages de la figure, le
prince
troyen réunissait le désir de plaire. Hélène aban
l’entreprise, de venger Ménélas, de réduire Ilium en cendres. Si des
princes
refusent d’abord d’entrer dans la confédération,
, que commandait Hector, fils de Priam. Il avait sous lui quantité de
princes
alliés, qui avaient joint leurs troupes à celles
nt à l’abri d’un coup de main, on résolut d’attaquer les alliés de ce
prince
, soit pour profiter de leurs dépouilles, soit pou
agnes de Troie, sur ces lieux où la gloire appelait à grands cris les
princes
qui n’avaient pas été du commencement de l’expédi
érable, que c’était une grande gloire lorsque, dans un long règne, un
prince
avait pu faire construire un seul portique. D
ur le trépied ; elle refusa, et allégua la loi qui l’en empêchait. Ce
prince
, indigné d’être arrêté par un pareil obstacle, ar
nconie. La plupart des familles souveraines du Nord descendent de ces
princes
. Ainsi, Horsa et Hengist, chefs de ces Saxons qui
u Woden, au nombre de leurs ancêtres : il en était de même des autres
princes
Anglo-Saxons. Le nom d’Odin désignait donc le die
ils que de régner lui-même, se rendit ensuite en Suède, où régnait un
prince
nommé Gylphe, qui, regardant l’auteur d’un nouvea
r fidèlement le dépôt des connaissances religieuses et magiques de ce
prince
. Tant de conquêtes n’avaient point encore satisfa
elqu’un mourait pour lui. Lorsque quelque guerrier célèbre ou quelque
prince
était près de périr, on croyait qu’Odin, apaisé p
fendu, et l’armée des mauvais génies et des géans, conduite par leurs
princes
, entrera pour attaquer les dieux ; mais Hiemdal,
que le jeu de l’imagination des poètes. On divinisait les héros, les
princes
, les grands capitaines qui s’étaient illustrés pa
e, médecin célèbre, fut honoré comme un dieu. La cour des rois et des
princes
était regardée comme la demeure des dieux ; le pr
es rois et des princes était regardée comme la demeure des dieux ; le
prince
bannissait du ciel celui qu’il exilait. Ceux qui
des métaphores, fondées sur des qualités bonnes ou mauvaises. Lycaon,
prince
cruel, faisait mourir les étrangers ; la fable le
r ; c’est pourquoi on le représente avec deux visages. Janus était un
prince
qui gouvernait ses peuples avec sagesse, et qui s
d’une manière terrible dans la personne de Lycaon, roi d’Arcadie. Ce
prince
cruel faisait mourir tous ceux qui passaient par
tes qu’il avait mis à mort. Jupiter, irrité, foudroya la maison de ce
prince
et le changea en loup. C’est sans doute à cette o
Pour le sens historique de cette fable, il faut savoir que différens
princes
, sous le nom de Jupiter, ont régné tour à tour da
gouverné par un habile maître, sous le nom d’Apollon. Les chiennes du
prince
furent nommées Harpies. Le combat des Géans qui v
’il voulait le faire périr avec sa flotte ; mais heureusement pour ce
prince
, Vénus le protégeait. La jalousie de cette déesse
ndre, s’appelait Quirinus. On a donné le nom de Mars à la plupart des
princes
belliqueux. Le dernier Mars fut celui qui trompa
la ville. Afin de le conserver, et pour empêcher qu’on l’enlevât, ce
prince
en fit faire onze autres de même figure et de mêm
x le sang du maître du tonnerre, elle préférait ses enfans à ceux des
princes
voisins. Niobé, fille de Tantale et femme d’Amphi
atisfait des bons traitemens du roi Admète, obtint des Parques que ce
prince
pût s’exempter de la mort, en substituant un autr
e quelqu’un ne consentit à descendre pour lui au tombeau. Les amis du
prince
, ses proches, son père et sa mère, qui étaient tr
ur avait promise. Apollon et Neptune irrités de la mauvaise foi de ce
prince
, en tirèrent une prompte vengeance : Neptune envo
é avait eue, et sur la fenêtre de laquelle étaient des œillets que ce
prince
y avait fait mettre : En voyant ces œillets, qu’
nt aux divinités de l’Egypte. Ainsi, Apollon, un de leurs plus grands
princes
, fut chez eux ce qu’était Osiris chez les Egyptie
, à sa prière, l’Aurore le changea en cigale, ce qui veut dire que ce
prince
mourut dans une extrême vieillesse. L’Aurore eut
sse pluie les avait obligées de se réfugier en allant au Parnasse. Ce
prince
, voulant les poursuivre monta sur une haute tour
l’Oracle d’Apollon. Les Grecs, les étrangers, les particuliers et les
princes
même venaient à Delphes en personne, ou y envoyai
n neuf volumes, pour lesquels elle lui demandait trois cents écus. Ce
prince
s’en étant moqué, elle jeta dans le feu trois de
ois de ces livres, que la Sybille brûla ; ce qui surprit tellement ce
prince
qu’il lui donna les trois cents écus pour avoir l
e se rendait dans ce lieu. Cette prétendue passion de la Lune pour ce
prince
est fondée probablement sur le goût d’Endymion po
taient ornées de bas-reliefs admirables. Tous les peuples et tous les
princes
de l’Asie contribuèrent à la dépense de cet édifi
de Bellonne : Soyez libres ; je veux n’enchaîner que les cœurs. A vos
princes
soumis je laisse la couronne : Mais à condition q
ps dans les Champs-Elysées. Cette fable vient sans doute de ce que le
prince
qu’on honore sous le nom de Mercure s’appliquait
sauvages. Mars, jaloux de la préférence que Vénus donnait à ce jeune
prince
, employa le secours de Diane pour faire périr son
fils de Saturne et de Rhée, frère de Jupiter et de Pluton, fut un des
princes
Titans qui, dans le partage que les trois frères
evaient et se plaçaient d’elles-mêmes au son de la lyre d’Apollon. Le
prince
troyen, charmé des talens de ses architectes, les
es immortels, et regardé comme le dieu de la mer, était sans doute un
prince
, un héros ou un capitaine qui commandant une gran
le compte de Neptune vient de ce que les poètes ont donné ce nom aux
princes
inconnus, ou qui venaient par mer s’établir dans
qui enlevaient tout ce qu’on servait sur sa table. Le supplice de ce
prince
dura jusqu’à l’arrivée des Argonautes dans ses ét
fils de Jupiter. Il présidait aux vents et aux tempêtes, parce que ce
prince
, habile pour ce temps-là dans l’art de la navigat
ciel quel vent devait souffler. Le peuple ignorant se persuada que ce
prince
tenait les vents enfermés dans une île de Sicile
accueille, le console, le fait asseoir à sa table. Ivre de nectar, le
prince
osa lever les yeux sur Junon, et lui déclarer son
n tourment insupportable, mais encore moins affreux que son crime. Ce
prince
impie et cruel reçut les dieux dans son palais. P
de mai, jour de la fondation de Rome par Romulus. Ce fut, dit-on, ce
prince
même qui l’établit, pour célébrer le jour annuel
ux augure, était fils de Saturne, et roi de Lauretanum, en Italie. Ce
prince
fut, dit-on, changé en pivert par la magicienne C
i fut le quatrième roi d’Italie. Le courage et la rare prudence de ce
prince
l’ont rendu célèbre. Voulant enrichir ses sujets,
x : faut-il s’étonner si l’aveugle déesse met l’esclave à la place du
prince
, et le prince à celle de l’esclave ? Inconstante
étonner si l’aveugle déesse met l’esclave à la place du prince, et le
prince
à celle de l’esclave ? Inconstante et volage, apr
es, les hommes de toutes les classes lui adressaient leurs vœux : les
princes
, les grands avaient dans leurs palais une statue
lle, se transforma en pluie d’or et entra dans la tour ; ou plutôt un
prince
de ce nom prodigua ce métal pour corrompre les ga
ux qui la regardaient : Polydecte en fit la funeste épreuve. Un autre
prince
avait déjà subi ce châtiment. Atlas, roi de Mauri
ec ses serpens sur la redoutable égide de la déesse. Les vertus de ce
prince
égalèrent sa valeur. Après sa mort, la reconnaiss
du héros. A la fin Hercule, pénétrant les mauvaises intentions de ce
prince
jaloux et défiant, résolut de ne plus lui obéir e
Hercule acquit par ces douze travaux une gloire immortelle. Tous les
princes
le respectèrent et le craignirent. Eurysthée même
ent de sa première victoire. Il extermina Phalaris, roi de Sicile. Ce
prince
barbare faisait enfermer des hommes tout vivans d
Vous vivez ! et bientôt je vous porte à Corinthe. Je vous présente au
prince
: admirez votre sort ! Le prince vous adopte au l
orte à Corinthe. Je vous présente au prince : admirez votre sort ! Le
prince
vous adopte au lieu de son fils mort, Et par ce c
du royaume de Thèbes et épousa Jocaste. De ce mariage naquirent deux
princes
, Etéocle et Polynice, et deux princesses, Antigon
e et Polynice Etéocle et Polynice, fils d’Œdipe, désignés par ce
prince
pour gouverner le royaume de Thèbes, résolurent,
ipe. En parlant du Tartare, nous avons dit quel supplice souffrait ce
prince
impie dans les enfers ; nous ajouterons que sa cr
tait le tournoi succombait, Œnomaüs le perçait de sa lance. Plusieurs
princes
avaient déjà péri dans cette dangereuse épreuve ;
n Phrygie : il épousa la fille de Teucer maître du pays ; et ces deux
princes
jetèrent les fondemens de la ville de Troyes dans
n nom à la ville de Troyes, et celui de Troade à toute la contrée. Ce
prince
eut trois enfans : Ganymède, enlevé par Jupiter,
ris. Celui-ci alla droit à Sparte, chez Ménélas, qui en était roi. Ce
prince
, non-seulement l’accueillit avec bienveillance, m
ar un échange, il serait facile de se faire rendre Hésione ; mais les
princes
grecs réclamèrent l’une, sans vouloir relâcher l’
le fit porter chez Strophius, son oncle, roi de la Phocide. Ce jeune
prince
lia, à la cour de Strophius, une étroite amitié a
aissèrent échapper, c’est un trait d’histoire qui nous apprend que ce
prince
avait averti Ulysse de se garantir du vent qui de
ge, pour n’avoir pas cédé aux conseils d’Éole. De même Atlas était un
prince
astronome, qui se servait d’une sphère pour étudi
fable le représenta portant le ciel sur ses épaules. Protée était un
prince
sage, prévoyant, éloquent, artificieux ; on peign
préféraient d’ingénieux mensonges à des vérités communes. Si quelque
prince
pleurait la mort d’un fils, la poésie plaçait ce
culte de Minerve, qui était honorée à Saïs, sa patrie. Ce fut le même
prince
, selon Pausanias, qui régla le culte des dieux et
l est vrai de dire qu’un gouvernement sage, sous la conduite d’un bon
prince
, est le plus grand bien que le ciel puisse accord
t parce qu’il partagea son empire avec Saturne. Elle dit aussi que ce
prince
fit frapper des médailles à deux faces, pour anno
s, dont Romulus prétendait descendre, et sous la protection duquel ce
prince
avait mis son peuple belliqueux. Le nom du mois d
douces et sages qui firent donner à leur règne le nom d’âge d’or. Ce
prince
quitta Perrhèbes, ville de Thessalie, environ cen
ns de ce pays sauvage vivaient sans lois et presque sans religion. Ce
prince
adoucit la férocité de leurs mœurs, les rassembla
suffisamment la différence des Jupiter. Histoire de Jupiter et des
princes
Titans. L’histoire que nous allons rapporter
stoires, et qui les a fait regarder comme les enfans de la Terre. Ces
princes
, étant plus grands et plus robustes que les autre
s le souvenir de la postérité les noms de ceux dont il descendait. Ce
prince
passa le Bosphore, porta ses armes dans la Thrace
a vers le nord de l’Europe, et soumit tout le pays à sa puissance. Ce
prince
eut plusieurs enfans : Titan, Océan, Hypérion, Ja
ent que ses enfans le traiteraient comme il avait traité son père. Ce
prince
, épouvanté d’une menace qu’il sentait mériter, la
isé en un grand nombre de petits royaumes, gouvernés par une suite de
princes
dont la plupart nous sont inconnus. Ce qui reste
essalie, où ses enfans régnèrent long-temps. Telle est l’histoire des
princes
Titans et de Jupiter, le plus grand dieu des Grec
attributs divins. Dans une de ses courses, il alla loger chez Lycaon,
prince
arcadien très-cruel, qui faisait mourir les étran
En cherchant l’explication de cette fable, nous trouvons que Lycaon,
prince
très-inférieur à Jupiter, abusait souvent de son
re plus d’honneur à Jupiter en lui sacrifiant un enfant ; mais que ce
prince
, ou ce dieu, pénétré d’horreur, le punit sur-le-c
Histoire de Japet, de Prométhée, d’Épyméthée et de Pandore. Ces
princes
étant très-célèbres, et de la famille des Titans,
sent, il lui donna une boîte, avec ordre de la porter à Prométhée. Ce
prince
, trop sage et trop prudent pour ne pas sentir tou
e vivaient sans lois, et de la manière la plus grossière : Prométhée,
prince
savant et très-poli, leur apprit à vivre d’une ma
nterprétation au feu céleste volé par Prométhée ; ils assurent que ce
prince
fut l’inventeur du fusil d’acier avec lequel on t
u fleuve Astérion ; d’autres enfin, par les Heures. Dans le temps des
princes
Titans, on suivait encore quelques usages des pre
mes de la jalousie de Junon. Ino, la première des quatre filles de ce
prince
, après avoir épousé Athamas, fut tellement maltra
son fils, changé en cerf, et dévoré par ses propres chiens ; ce jeune
prince
, guidé par Junon, ou par un hasard funeste, avait
perd dans les nues ; et les poëtes, confondant cette montagne avec le
prince
dont elle portait le nom, peignirent Atlas comme
te montagne, que les poëtes, dans l’histoire de Persée, dirent que ce
prince
avait métamorphosé Atlas en rocher, en lui présen
’histoire d’Hercule et de Persée, héros très-postérieurs aux premiers
princes
Titans. Il paraît aussi qu’Atlas eut un frère nom
e la Grèce qui prit de lui le nom de Péloponèse. Elle épousa Amphion,
prince
célèbre par son éloquence. Il venait de faire con
ons de leurs biens pour mettre leur ville eu état de défense. Le même
prince
, amateur de la musique, avait ajouté trois cordes
x, après ce terme, les ensevelirent eux-mêmes. L’histoire dit que ces
princes
étant morts de la peste, ou fut long-temps sans o
it confié le gouvernement) ; la cour d’Admète lui servit d’asile : ce
prince
le reçut favorablement, et lui donna la souverain
hné, fille d’un roi de Thessalie nommé Pénée, poursuivie par un jeune
prince
sur les bords d’un fleuve qui portait le même nom
Cicéron distinguait quatre Apollon : les trois derniers étaient des
princes
grecs ; le plus ancien de tous était Horus, fils
ement surprenant qu’ayant donné le nom d’Apollon à plusieurs de leurs
princes
, ils les aient confondus avec l’Apollon égyptien.
es que l’imagination la plus brillante voudrait lui donner. Parmi les
princes
grecs qui ont porté le nom d’Apollon, l’un d’eux
es força de se réfugier dans le palais de Pyrénée, roi de Phocide. Ce
prince
voulut les insulter ; elles prirent des ailes et
riser, et lorsqu’il mourut, personne ne voulut honorer sa mémoire. Ce
prince
médiocre, après avoir vainement essayé de faire a
it oublier, ne songea plus à fuir ; ses yeux se fixèrent sur le jeune
prince
, qui s’apprêtait à la percer d’un dard. Jupiter,
ie, et sur son attention à observer tous les mouvemens de la lune. Ce
prince
aimait à se retirer à Latma, dans une grotte des
ils le disent fils de Sémélé et petit-fils de Cadmus. Or, ce dernier
prince
n’exista que plusieurs siècles après cette guerre
illi, le poëte voulut témoigner sa reconnaissance, en attribuant à un
prince
de la famille de Cadmus l’histoire et la fable du
ette divinité fut porté dans la Grèce par Cadmus. Sémélé, fille de ce
prince
, eut un fils surnommé Bacchus, qui fit quelques a
e dans la Grèce, où l’on adopta bientôt ses coutumes et son culte. Ce
prince
avait une fille qu’il avait fait nommer Athénée,
la dîme des dépouilles consacrées au dieu Mars. Il y eut beaucoup de
princes
de ce nom, et par la suite presque tous les peupl
oux. L’histoire explique la fable d’Adonis. Elle apprend que ce jeune
prince
régnait sur une partie de la Phénicie, et réuniss
es sujets le crurent mort ; le deuil fut général dans la Phénicie. Le
prince
guérit ; et, dans les transports d’allégresse pub
mont Etna en Sicile. L’histoire représente le Vulcain grec, l’un des
princes
Titans, comme très-habile dans l’art de forger le
lèbre que le Mercure égyptien. Il était l’âme du conseil d’Osiris. Ce
prince
, en partant pour la conquête des Indes, voulut qu
ure, fils de Jupiter et de Maïa, devint extrêmement célèbre parmi les
princes
Titans. Après la mort de son père, il eut pour so
il n’en fut le maître absolu qu’après la mort de son oncle Pluton. Ce
prince
, très-habile, très-fin, artificieux même, voyagea
au Gange les honneurs divins. Cette superstition dure encore, et les
princes
qui règnent sur les bords de ce fleuve font payer
partout la fécondité. Il paraît certain que ce nom a été porté par un
prince
de la famille des Titans. Homère dit que Junon fu
marines. L’histoire nous apprend que Neptune, l’un des plus célèbres
princes
Titans, eut en partage la mer, les îles, et tous
es flottes, et le trouva toujours fidèle à seconder ses desseins. Les
princes
Titans ayant fui devant Jupiter jusque dans les p
tes multiplièrent le nombre des Neptune, en donnant ce nom à tous les
princes
inconnus qui arrivaient par mer, et s’acquéraient
Égypte, vivant vers le temps de la guerre de Troie. On croyait que ce
prince
, impénétrable, très-sage et très-prévoyant, avait
é comme le dieu particulier des mortels. Il était roi de Corinthe. Ce
prince
, très-passionné pour la chasse, s’élança dans la
assait pour fils de Jupiter, et devait ce titre à son seul mérite. Ce
prince
, fils d’Hippotas, vivait au temps de la guerre de
re assurée dont il donnait ce conseil fit croire aux compagnons de ce
prince
qu’Éole commandait aux tempêtes, et qu’à la prièr
épouser Orythie, fille d’Érechthée, roi d’Athènes, fut refusé par ce
prince
: il se servit de son souffle pour l’enlever et l
fort inquiété, promit à Midas de lui accorder sa première demande. Ce
prince
, avide de richesses, lui demanda le pouvoir de co
de Delphes d’une chaîne d’or d’un prix inestimable. Les jardins de ce
prince
avaient de la célébrité ; Silène voulut les voir,
; Silène voulut les voir, et passa quelques jours auprès de Midas. Ce
prince
, économe jusqu’à l’avarice, régnait sur un pays f
mps de Pandion, roi d’Athènes, et du temps d’Évandre et d’Hercule. Ce
prince
, rempli de bravoure et de sagesse, se distingua t
Satyres que l’on croyait ses frères. Picus, père de Faunus, était un
prince
accompli. Devenu l’époux de la belle Canente, don
isite ; il voulut éprouver s’ils connaissaient les choses cachées. Ce
prince
barbare égorgea Pélops son fils, et fit entremêle
t cinquante filles. Son frère Égyptus eut de même cinquante fils. Ces
princes
, ayant appris la puissance et la nouvelle fortune
a à Alcmène, épouse d’Amphytrion, roi de Mycènes, sous la forme de ce
prince
, et devint père d’Hercule. Il prit la taille et l
le malheureux Enée, Troublèrent si long-temps la haute destinée D’un
prince
magnanime, humain, religieux : Tant de fiel entre
elle enseigna particulièrement l’agriculture à Triptolème, fils de ce
prince
; elle continua son voyage, et rencontra la nymph
eut plusieurs amants, dont les principaux sont Mars, Bacchus, Anchise
prince
troyen, et Adonis jeune chasseur. D. Quel enfant
nt de Tros, fondateur de Troie, le venoit trouver sur le mont Ida. Ce
prince
osa se vanter de son bonheur ; et Jupiter, pour l
tes, au milieu desquelles se trouvoient la mère et les parentes de ce
prince
. Les Minéides, ou filles de Minée, s’étant moquée
de la tête de Méduse ? R. Ce fut contre Atlas, roi de Mauritanie. Ce
prince
avoit appris d’un oracle de Thémis, qu’un fils de
grands succès de Thésée, vint avec une armée ravager les états de ce
prince
, afin de l’attirer à un combat singulier. Thésée
depuis pour femme, devint éperdument amoureuse du jeune Hippolyte. Le
prince
, uniquement occupé de l’étude de la sagesse et de
n monstre marin qui effaroucha les chevaux d’Hippolyte. Le malheureux
prince
fut renversé de son char, et périt, traîné par se
se pendit de désespoir. Les sujets de Thésée se révoltèrent contre ce
prince
et le chassèrent de ses états. Thésée se retira d
se réfugia à la cour de Proetus, roi d’Argos. Sthénobée, femme de ce
prince
, conçut une forte passion pour Bellérophon qui s’
e étoit porteur. Ne voulant point souiller sa maison du sang du jeune
prince
, il l’envoya combattre les Solymes avec un foible
flammes et de feux. Neptune donna le cheval Pégase à Bellérophon. Le
prince
, monté sur ce coursier, tua la Chimère. Alors Iob
cherchât à remonter sur le trône de son père, il pensa à éloigner ce
prince
, en lui proposant une expédition glorieuse, mais
bélier étoit dorée. Phryxus, fils d’Athamas, et Hellé, sœur du jeune
prince
, ayant pris la résolution de s’enfuir de la maiso
le fit mourir pour s’en rendre maître : Jason, et un grand nombre de
princes
de la Grèce, informés de cette barbarie, résolure
par son père. Médée fut soupçonnée d’avoir voulu faire périr le jeune
prince
par le poison. Elle fut donc encore obligée de s’
puis elle demanda le même prix pour les six volumes qui restoient. Le
prince
la rebuta encore. Elle en brûla trois autres, et
de cette persévérance, envoya chercher les augures qui engagèrent le
prince
à donner la somme que la Sibylle exigeoit pour se
, ayant conduit par hasard son troupeau dans ce lieu, trouva le jeune
prince
, le détacha et l’emporta. La reine de Corinthe vo
Vous viviez ; aussitôt je vous porte à Corinthe ; Je vous présente au
prince
: admirez votre sort ! Le prince vous adopte au l
rte à Corinthe ; Je vous présente au prince : admirez votre sort ! Le
prince
vous adopte au lieu de son fils mort. Et, par ce
ltaire.) D. Achevez le récit des malheurs d’Œdipe. R. Ce malheureux
prince
, saisi horreur à la vue de ses forfaits, s’arrach
après leur trépas. Vous avez vu, Madame, avec quelle furie Les deux
princes
sortoient pour s’arracher la vie ; Que d’une arde
bûcher le corps de Polynice, et lui refusa la sépulture, parce que ce
prince
avoit armé des étrangers contre sa patrie. Mais A
clavette qui tenoit les roues. Le char d’Œnomaüs fut renversé, et ce
prince
se cassa la tête ; Pélops resta possesseur d’Hipp
e, dans la suite, donna la mort à Agamemnon, fils d’Atrée, lorsque ce
prince
revenoit de la guerre de Troie. Guerre de Troi
faire en Crète, laissa Pâris dans son palais pendant son absence. Le
prince
troyen se fit aimer d’Hélène, épouse de Ménélas,
hange d’Hésione avec Hélène. Mais l’événement trompa son attente. Les
princes
grecs refusèrent de rendre Hésione ; et, ayant fa
oie ne pouvoit être prise pendant la vie de Troïle, fils de Priam. Ce
prince
fut tué par Achille. On comprend dans la cinquièm
les deux frères Agamemnon et Ménélas étoient-ils fils ? R. Ces deux
princes
avoient pour père Plisthène, un des fils de Pélop
t à enlever sa fille à Tantale, à condition de l’épouser lui-même. Le
prince
accepta l’offre, et, avec le secours de Tyndare,
i hésita long-temps, et accorda enfin sa fille aux sollicitations des
princes
confédérés. Ulysse s’offrit pour l’aller retirer,
ez, et Calchas mille fois vous l’a dit, Qu’un hymen clandestin mit ce
prince
en son lit ; Et qu’il en eut pour gage une jeune
Phocide, lié d’une étroite amitié avec Oreste, voulut accompagner ce
prince
dans son voyage. Mais, ayant été surpris touts de
r d’Achille qui l’obligeoit à faire ce sacrifice, il fit enlever à ce
prince
la jeune Briséis, qu’Achille aimoit passionnément
énélas et d’Hélène. Cet amour fut cause de la mort de Pyrrhus. Car ce
prince
étant allé à Delphes, pour offrir un sacrifice à
octète le conjure de l’emmener avec lui, et déjà il a confié au jeune
prince
ses armes et ses flèches pour les porter au vaiss
um. Le mot grec Ulysse veut dire, qui est craint de tout le monde. Ce
prince
étoit éloquent, rusé, artificieux. Il contribua b
lope, lui fit chercher plusieurs moyens pour ne point accompagner les
princes
grecs dans leur expédition. Il imagina de contref
sa folie n’étoit que simulée. D. Quels services Ulysse rendit-il aux
princes
grecs ? R. Il découvrit, à son tour, Achille qui
es côtes de la Thrace, où régnoit Polymnestor. C’étoit à la foi de ce
prince
que Priam avoit confié son fils Polydore, pour le
avoir encore un autre trésor à confier à Polymnestor. Ayant attiré le
prince
dans un lieu écarté, elle lui sauta au visage, et
so de laisser partir Ulysse. La déesse fit équiper un vaisseau, et le
prince
se remit en mer. Pour fixer le volage Ulysse, Jo
s de son fils et de ses serviteurs. D. Comment mourut Ulysse ? R. Ce
prince
régnoit paisiblement dans son île, lorsque Télégo
? R. Diomède, fils de Tydée, étoit roi d’Etolie. Il partit avec les
princes
grecs pour la guerre de Troie. Ses exploits l’y f
l’armée, après Achille, et Ajax fils de Télamon. Homère représente ce
prince
comme le favori de Pallas. Cette déesse le suit p
il soutient des combats singuliers contre Hector, Énée, et les autres
princes
troyens ; qu’il se saisit des chevaux de Rhésus,
mme dont ils étoient convenus. La lettre fut lue dans l’assemblée des
princes
grecs ; on envoya dans la tente de Palamède, pour
e Thrace, elle fut poursuivie à coups de pierres par les sujets de ce
prince
. Hécube mordoit de rage les pierres qu’on lui lan
ité du haut des murs de la ville, au lieu d’Astyanax, et que ce jeune
prince
suivit sa mère en Épire. C’est cette tradition, q
r la ruine de sa patrie. Priam, effrayé de cet oracle, livra le jeune
prince
à un de ses serviteurs, et lui ordonna de le mett
e échut en partage à Agamemnon qui l’emmena en Grèce. Elle prévint ce
prince
des malheurs qui l’attendoient dans ses états. Sa
rthage pour disposer la reine Didon à recevoir favorablement Énée. Le
prince
passe quelque temps à la cour de cette reine ; il
ge, et ses ennemis pour en faire des amis. Il dit aussi : Heureux le
prince
qui ne croit rien de ce que lui disent les courti
sur sa tombe, et sur sa cendre même ; Nous sommes dans les ports d’un
prince
qui nous aime : Honorez donc Anchise, implorez do
up en fait sa cour, daube, au coucher du roi, Son camarade absent. Le
prince
tout à l’heure Veut qu’on aille enfumer Renard da
Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs : Tout petit
prince
a des ambassadeurs : Tout marquis veut
il descendit en Arcadie, contrée du Péloponèse, où régnait Lycaon. Ce
prince
, avare et sanguinaire, faisait périr, disait-on,
ux, de les détruire par le déluge. Il excepta de cet arrêt Deucalion,
prince
pieux, et Pyrrha, sa femme, qui régnaient en Thes
l lui adjugea le prix. Apollon punit l’ignorance ou l’injustice de ce
prince
en lui infligeant des oreilles d’âne. Midas dérob
l y travailla de ses mains avec Neptune, chassé comme lui du ciel. Le
prince
troyen les ayant frustrés du salaire promis, Apol
tels fut souvent troublée. Vénus aima le dieu Mars, Bacchus, Anchise,
prince
troyen, dont elle eut Enée. Elle aima aussi le be
ce service, la déesse enseigna l’agriculture à Triptolème, fils de ce
prince
. Hippothoon, roi d’Eleusis, et Mégaurie, sa femme
vèrent, et l’ayant paré de guirlandes, le conduisirent à leur roi. Ce
prince
le retint pendant dix jours, qui se passèrent en
e, les orgies qui s’y tenaient en l’honneur de Bacchus, ce malheureux
prince
en fut puni ; il devint aveugle. D’autres disent
ivrer si Laomédon consentait à lui donner ses chevaux invincibles. Le
prince
sans foi promit tout et viola de nouveau sa prome
i avait conseillé à son père de tenir sa parole. Hercule mit ce jeune
prince
sur le trône et donna Hésione en mariage à Télamo
t de ce que les premiers Grecs donnaient le nom de Neptune à tous les
princes
étrangers qui venaient chez eux par mer, ou qui a
remière institution au roi Evandre et le renouvellement à Romulus. Ce
prince
prétendait que le dieu Consus lui avait inspiré l
? Quel châtiment Neptune infligea-t-il à Laomédon ? Comment finit ce
prince
parjure ? Quelle fut la destinée de sa fille Hési
’opposer une vaine résistance, il cède, et révèle à Ménélas ce que ce
prince
désirait savoir. Orphée allait épouser la nymphe
rma en cigale. Memnon, fils de Tithon et de l’Aurore, fut un puissant
prince
qui régna sur l’Ethiopie et sur plusieurs vastes
les morts de l’Europe. Rhadamanthe était chargé de ceux de l’Asie. Ce
prince
était frère de Minos ; forcé de quitter la Crète,
, fils de Phlégyas, succéda à son père. Ayant épousé Clia, fille d’un
prince
voisin nommé Dionée, non-seulement il refusa à so
mps Élysées. La description en est bien insuffisante, même dans le
prince
des poëtes latins, dans Virgile. Le bonheur ne s’
s, qu’il éleva à sa cour. Mais dans la suite voulant écarter le jeune
prince
, dont la présence gênait ses desseins à l’égard d
é par les ailes de Mercure, passa en Mauritanie, où régnait Atlas. Ce
prince
refuse l’hospitalité au fils de Jupiter, qui l’en
oi de Larisse, pour échapper à la prédiction de l’oracle. L’infortuné
prince
ne fit qu’en hâter l’accomplissement. Persée, pro
roi d’Argos, qui l’accueillit avec bonté. Mais Sténobée, femme de ce
prince
, ayant conçu pour son jeune hôte une passion que
roi de Lycie et père de Sténobée, avec des lettres qui informaient ce
prince
de l’attentat supposé, et qui en demandaient le c
. Phèdre avait sollicité Hippolyte à l’épouser ; et comme ce vertueux
prince
avait repoussé avec indignation ses offres coupab
la funeste présence des Harpies. En reconnaissance de ce service, ce
prince
dirigea leur course au milieu des Cyanées, située
ours à un moyen barbare, à un crime affreux ; ils massacrent le jeune
prince
et dispersent ses membres sur la route, afin d’ar
ient Polynice, son gendre, Tydée, fils d’Œnée, roi d’Etolie, Capanée,
prince
argien, le devin Amphiaraüs, Hippomédon et Parthé
, fils d’Hippomédon. Dix ans après la première expédition, ces jeunes
princes
, connus sous le nom d’Epigones ou de descendants,
qui fut tué, quelques années après, en allant au siége de Troie. Deux
princes
de cette même famille régnèrent encore à Thèbes.
’absence de Ménélas, Pâris s’éprit de la beauté d’Hélène, femme de ce
prince
, s’en fit aimer et l’emmena à Troie. Les Grecs pr
parte. Sa rare beauté l’avait fait rechercher en mariage par tous les
princes
de la Grèce. Tyndare, les voyant un jour réunis,
nt rompre leur union en enlevant Hélène. Aussitôt Ménélas rappela aux
princes
grecs leur serment. La plupart s’y montrèrent fid
ar une armée nombreuse que commandait Hector, fils de Priam. Tous les
princes
de l’Asie Mineure, les plus illustres guerriers e
s Déiphobe, et Troïle, tous trois fils de Priam ; Anténor et Anchise,
princes
troyens ; ensuite Rhésus, roi de Thrace ; Penthés
yséis, fille d’un prêtre d’Apollon, était échue à Agamemnon. Comme ce
prince
, refusant toute rançon, voulait garder sa captive
après l’avoir vaincu dans deux batailles, le tue de sa main. Le jeune
prince
monte alors sur le trône paternel, mais bientôt i
le plus solennel. Ils croyaient qu’après la mort d’Osiris l’âme de ce
prince
était entrée dans l’un de ces animaux, qui lui av
é. La deuxième, celle des Chattryas, d’où sont issus les Radjahs (les
princes
) et les Hairs (les nobles), comprend les guerrier
ux les exploits des rois et des guerriers. Ils vivaient à la cour des
princes
et les accompagnaient à la guerre, afin d’être té
euse Antigone et Ismène, et deux fils, Etéocle et Polynice ; ces deux
princes
ennemis l’un de l’autre dès le berceau furent à-l
contrée de la Thessalie dont Phère étoit la capitale, il fut l’un des
Princes
grecs qui s’assemblèrent pour la chasse du sangli
ion de Nestor qui étoit absent ; Périclyménus, l’un de ces malheureux
Princes
, fut le seul qui lui résista : ayant reçu de son
nger, suscita un sanglier qui vint ravager les terres de Calydon. Les
Princes
de la contrée s’étant réunis pour exterminer ce m
La beauté de Déjanire attira à la Cour de son père un grand nombre de
Princes
qui demandèrent sa main. Œnée invita ces Princes
e un grand nombre de Princes qui demandèrent sa main. Œnée invita ces
Princes
à combattre entre eux en déclarant que Déjanire s
donne à ce nom diverses étymologies. Ilinus et Scolopite, deux jeunes
Princes
Scythes, du sang royal, furent chassés de la Cour
nquête. Le Bélier fut mis au nombre des douze signes du Zodiaque. Les
Princes
qui s’engagèrent dans l’expédition de la Toison d
parmi les étoiles. Suivant l’opinion la plus commune, cinquante-deux
princes
grecs s’embarquèrent avec Jason. On songea d’abor
rages, mais ce héros déféra le commandement à Jason, quoique ce jeune
prince
n’eût que vingt ans, parce qu’il étoit proche par
cus ; mais, par une funeste erreur, Jason le tua. Clite, épouse de ce
prince
, ne put lui survivre, et se pendit de désespoir.
ent ensuite dans la Thrace, chez Phinée, qui régnoit à Salmidesse. Le
prince
, fils d’Agénor, avoit épousé d’abord Cléopâtre, f
avec Ethra qu’ils firent prisonnière. Quelques années après, tous les
Princes
de la Grèce demandèrent la main d’Hélène, Tyndare
e dernier les éleva comme ses propres enfans, c’est delà que ces deux
Princes
sont appelés Atrides, et fils d’Atrée quoiqu’ils
fils que sa mère exposa sur une montagne, et qui, ainsi que tous les
Princes
abandonnés de la fable, fut recueilli et élevé pa
rdée. Egisthe fut élevé avec Agamemnon et Ménélas. Lorsque ces jeunes
Princes
furent en âge de porter les armes, ils voyagèrent
cide, où il fut élevé avec Pylade, fils de Strophius. Ces deux jeunes
Princes
prirent l’un pour l’autre, cette amitié héroïque
a morsure d’une vipère. Ajax. Ajax fils d’Oïlée, fut un des
Princes
Grecs qui allèrent au siége de Troye. Il outragea
tant de part à la prise de Troie, par ses stratagèmes, que les autres
Princes
grecs y contribuèrent par leur valeur. Il avoit t
aque et d’aller chercher son père. Durant l’absence de Télémaque, les
princes
amoureux de Pénélope deviennent plus audacieux et
s flancs du cheval en sortirent et prirent la ville. Presque tous les
Princes
Grecs périrent à leur retour de Troie. Nauplius,
ya ses deux autres fils, Oacès et Nausimédon, chez les épouses de ces
Princes
, pour leur apprendre ou l’infidélité ou la mort s
Nauplius alluma des feux sur les rochers Capharéens. Presque tous les
Princes
périrent contre ces rochers périlleux qu’ils prir
même au siége de Troie, quoiqu’il fût alors le plus vieux de tous les
Princes
grecs, mais il en étoit aussi le plus sage. Il pe
répondit qu’elle étoit de Mysie, petit pays de Thrace ; là-dessus, ce
prince
fit prier, par ses ambassadeurs, Cotys Roi de Thr
se plurent à retracer sur la toile les exploits de leurs époux ; des
Princes
alloient fonder des empires dans diverses parties
s si merveilleux, qu’on peut les comparer, avec avantage, aux anciens
Princes
Grecs les plus renommés ; les Duguesclin, les Bay
sa conduite était réglée par la prudence. Les Romains rendirent à ce
prince
les honneurs divins ; ils le représentèrent avec
plissait au ciel le rôle que les fous des rois ont joué à la cour des
princes
de l’Europe au moyen âge. Il y faisait entrer la
ée le reconnurent à la majesté de son visage ; mais Lycaon, leur roi,
prince
impie et cruel, doutant de la divinité du voyageu
ts affreux fut-il servi, que le palais de Lycaon s’écroula, et que ce
prince
farouche s’enfuit dans un bois voisin à travers l
ressources de l’art pour le peindre dans toute sa majesté. Homère, le
prince
des poëtes, et Phidias, sculpteur grec, se sont s
rée à Junon, qui la fit surveiller par un gardien à cent yeux, Argus,
prince
argien, de la race d’Inachus. Mercure parvint à l
e venger de cet arrêt, allongea aussitôt les coupables oreilles de ce
prince
, qui cacha cet ornement nouveau sous une tiare de
prendre possession du Parnasse, acceptèrent l’hospitalité de Pyrénée,
prince
barbare, qui avait envahi la Phocide et la Daulid
en avait reçue, elle enseigna l’agriculture à Triptolème, fils de ce
prince
. Hippothoon, autre fils d’Éleusius, et Mégaurie,
ris par les Phrygiens, qui le livrèrent enchaîné à leur roi Midas. Ce
prince
s’empressa de le rendre à Bacchus, qui lui accord
epuis cette époque, roule un sable d’or dans ses flots. C’est ce même
prince
que nous avons vu plaisamment châtié par Apollon.
consentait à lui livrer ses chevaux invincibles. Toute promesse de ce
prince
amenait un parjure. Hercule, frustré du prix de s
prises si communes dans ce périlleux divertissement. Memnon, puissant
prince
qui régna sur une partie de l’Orient, et qui cond
ts de l’Europe. Rhadamanthe avait dans son ressort ceux de l’Asie. Ce
prince
était frère de Minos. Obligé de quitter la Crète
foudroyé et précipité dans le Tartare en punition de son orgueil. Ce
prince
voulant passer pour un dieu, fit jeter sur l’Alph
ollon ayant outragé sa fille Coronis, qui devient mère d’Esculape, ce
prince
osa piller le temple de Delphes. Le dieu irrité l
er dont la chute toujours imminente lui inspire un éternel effroi. Ce
prince
est le père d’Ixion qui, pour un crime différent,
e Hercule les plus rudes épreuves. Ce fut pour obéir aux ordres de ce
prince
qu’il entreprit les exploits, connus sous le nom
ier, il passa à la cour de Prœtus, roi d’Argos. Sténobée, femme de ce
prince
, conçut pour Bellérophon une violente passion, qu
être lié d’amitié avec Pirithoüs, roi des Lapithes, il reprit avec ce
prince
sa vie aventureuse. Il se trouva avec lui dans la
age de son père, par l’usurpateur Pélias ; celui-ci promit à ce jeune
prince
de lui rendre son trône, s’il parvenait à reconqu
te, roi d’Argos, Polynice, Tydée, fils d’Œnée, roi d’Étolie, Capanée,
prince
argien, le devin Amphiaraüs, Hippomédon et Parthé
uelques années après en allant au siége de Troie. Après sa mort, deux
princes
de la même famille régnèrent successivement à Thè
tor et de Pollux. Sa surprenante beauté attira auprès d’elle tous les
princes
de la Grèce, qui se disputaient sa main. Lorsqu’i
onsentit à le suivre. Au bruit de ce rapt insolent, Ménélas somma les
princes
grecs de tenir leur parole et de s’armer contre l
Italie une ville, Lavinium, qui fut le berceau d’Albe et de Rome. Les
princes
grecs, pour la plupart, furent moins heureux. Le
e des Phéaciens, où il reçut d’Alcinoüs une généreuse hospitalité. Ce
prince
équipa un vaisseau qui conduisit Ulysse à l’île d
ée, gardien de ses pourceaux, et par son fils Télémaque, tua tous ces
princes
, et reprit possession de son royaume. Quelques an
rcourait la terre en délivrant les peuples de la tyrannie des mauvais
princes
et des brigandages des voleurs. Il leur donnait e
de Saturne et de Cybèle. Son culte fut introduit en Italie par Énée,
prince
troyen ; cinq siècles plus tard, Numa lui bâtit u
teurs infidèles, les citoyens traîtres à leur patrie, les avares, les
princes
qui ont fait des guerres injustes. Tous expient l
, devenu berger, il garda durant plusieurs années les troupeaux de ce
prince
loyal et hospitalier. Hyacinthe, fils d’Amyclas,
Elle aima si tendrement Tithon, qu’elle pria Jupiter d’accorder à ce
prince
l’immortalité21. Ses vœux furent accomplis ; mais
s protecteurs de chaque maison, les gardiens de chaque famille. Énée,
prince
troyen, avait introduit leur culte en Italie. Lor
r. Par ces douze travaux, Hercule acquit une gloire infinie. Tous les
princes
le respectèrent et le craignirent. Eurysthée même
le unique, Danaé, dans une tour d’airain, et repoussa tous les jeunes
princes
qui la demandèrent en mariage. Mais le roi des di
rir. Son expédition est annoncée dans toute la Grèce ; cinquante-deux
princes
accourent à Iolchos, pour y prendre part. (Cette
nt le gage, et qui ne fut troublée que par l’ingratitude de Jason. Ce
prince
, oubliant les obligations qu’il avait à son épous
rivale ? Elle n’eut point de repos qu’elle n’eût tari les joies de ce
prince
, et accumulé sur lui tous les genres de deuil. Ac
it que d’études sérieuses. Inaccessible aux séductions de l’amour, ce
prince
n’avait d’autre délassement que la chasse, d’autr
n éléphant. Thésée, Jason, Castor, Pollux et beaucoup d’autres jeunes
princes
accoururent des villes voisines pour délivrer le
dans l’Asie-Mineure sous la figure humaine, habitèrent chez Tantale,
prince
impie et cruel, qui, pour éprouver si ses hôtes é
héritière du trône, Hippodamie était aimée et recherchée de plusieurs
princes
; mais Œnomaüs, averti par un oracle qu’il serait
ent neveux d’Atrée. § 18. Œdipe. Œdipe, un des plus malheureux
princes
qui aient existé, était fils de Laïus roi de Thèb
a en mariage une de ses filles : la seconde venait d’épouser un autre
prince
fugitif, Polynice, fils d’Œdipe. Quand Adraste le
eil la réponse du dieu. § 21. Capanée. — Parthénopée. Capanée,
prince
argien, époux d’Évadné, nous est dépeint dans l’h
lança au milieu des flammes, et y fut soudain consumée. Parthénopée,
prince
arcadien, un des Sept Chefs, était jeune, aimable
ir, jure de venger son fils. Il va lui-même solliciter l’alliance des
princes
voisins, équipe une flotte, et vient mettre le si
es côtes de Sicile, et somma Cocalus de lui rendre son prisonnier. Le
prince
refusa ; et comme Minos insistait avec menaces, o
Son règne fut long, et plus heureux qu’on ne pouvait l’attendre d’un
prince
qui s’était signalé, au début de sa carrière, par
du héros. Hercule, que tant de générosité et de courage dans un jeune
prince
avait profondément touché, lui accorda, comme un
onèse et la Grèce. A sa voix éloquente, tous les capitaines, tous les
princes
et les rois voisins, brûlant de venger une si san
e l’armée est confié à Agamemnon, roi d’Argos et de Mycènes, frère du
prince
outragé. Mais un prodige inattendu s’oppose au dé
filles, et Andromaque, veuve d’Hector. § 8. Anténor. Anténor,
prince
troyen, parent de Priam, voyagea en Grèce dans sa
submergea, au retour de l’expédition, les vaisseaux d’Ajax ; mais ce
prince
échappa à ce naufrage, gravit avec bonheur sur un
ent auparavant enlevé les chevaux de Rhésus, roi de Thrace, et tué ce
prince
, qui venait avec son armée au secours des Troyens
après tant d’années, elle ne le voyait point revenir avec les autres
princes
de la Grèce. La beauté de Pénélope, ses talents,
es, cette mère infortunée apprit que ce barbare avait égorgé le jeune
prince
et dilapidé ses trésors. Transportée de fureur, e
tes les circonstances de sa fin tragique, et leur expliqua comment ce
prince
, avide de renommée, mais téméraire, s’étant prése
jour même de leur entrée au palais d’Argos. § 23. Énée. Énée,
prince
troyen, fils d’Anchise et de Vénus, est connu dan
soler, offrit de lui accorder la première grâce qu’il demanderait. Le
prince
était d’une avarice sordide ; il demanda et obtin
ne lui eût conseillé de se laver dans le Pactole, fleuve de Lydie. Ce
prince
obéit, fut délivré de son incommode privilège, et
lle. Mais, se laissant fléchir aux instances d’Apollon, il changea le
prince
athénien en aigle, oiseau majestueux qui porte la
famille de Cadmus depuis que Jupiter avait enlevé Europe, sœur de ce
prince
, ne put voir avec indifférence la prospérité et l
que la maison d’Athamas soit réduite en cendres, et que tu engages ce
prince
dans un crime dont l’univers frémisse d’horreur.
les perça de ses flèches. A cette affreuse nouvelle, les sœurs de ces
princes
accoururent tout éplorées sur les remparts, et el
s glorieuses espérances. Ces catastrophes successives avaient jeté ce
prince
dans une mélancolie profonde ; le souvenir de tan
du papillon, donneraient une idée imparfaite de sa volage humeur. Un
prince
puissant, jeune, aimable, l’Amour lui-même67, se
tu te dérobes à mes regards, toi, le plus généreux des mortels ! » Le
prince
persistait à demeurer invisible. De leur côté, le
d’éclaircir son doute. Quand donc la nuit est venue, et que le jeune
prince
fatigué repose, elle s’approche du sofa où il som
ns ce moment, et tandis que son visage est encore noirci de fumée, le
prince
paraît. Qu’on juge de sa confusion ! Il la rassur
te, fille de Pélias, fut recherchée en mariage par un grand nombre de
princes
. Son père, pour se délivrer de leurs poursuites i
de Némée, fut donnée pour nourrice à Archémore, fils nouveau-né de ce
prince
. Un jour qu’elle le portait entre ses bras et che
pt colonnes (hautes chacune de soixante pieds), élevées par autant de
princes
, qui avaient cherché à se surpasser les uns les a
sole. Mausole, roi de Carie, un des plus riches et des plus puissants
princes
de son siècle, fut si regretté d’Artémise II, son
é donné depuis à tous les monuments funèbres élevés en l’honneur d’un
prince
ou d’un autre personnage de distinction. VII. Ph
ens. Les peuples voisins, entraînés par cet exemple, déifièrent leurs
princes
, leurs législateurs, leurs guerriers, leurs grand
vait déclaré, au sujet d’Hercule et d’Eurysthée, « que celui des deux
princes
qui naîtrait le dernier obéirait à l’autre ». Jun
dences d’Hercule, surnommé de là le héros de Tirynthe. 29. Plusieurs
princes
de l’antiquité ont porté le nom de Jupiter, comme
ig. 28], et fut plus tard remplacée dans cette fonction par Ganymède,
prince
troyen, enlevé au ciel par l’aigle de Jupiter ; M
itage de son père par l’usurpateur Pélias. Celui-ci promit à ce jeune
prince
de lui rendre son trône, s’il parvenait à reconqu
rendre la couronne, Médée feignit d’avoir un secret pour rajeunir ce
prince
, et engagea ses filles à tuer leur père et à fair
, il se rendit à Tirynthe, à la cour de Prœtus. Sténobée, femme de ce
prince
, ayant conçu une violente passion pour Belléropho
uelques années après en allant au siège de Troie. Après sa mort, deux
princes
de sa famille régnèrent à Thèbes ; mais le second
ccompagné ; Philoctète, héritier des flèches d’Hercule, etc. Tous ces
princes
étaient arrivés dans l’Aulide avec leurs vaisseau
rès la prédiction de Chalcas, ne pouvait être prise sans Achille, les
princes
grecs chargèrent Ulysse de découvrir le lieu de s
, où il fonda une ville qui fut le berceau de Rome. [Fig. 104] Les
princes
grecs, pour la plupart, furent moins heureux qu’É
où il fut reçu avec distinction par le roi Alcinoüs. [Fig. 105] Ce
prince
, après avoir entendu le récit de ses aventures, l
spectacle tragique par le carnage dont il allait être suivi. Tous les
princes
font de vains efforts pour tendre l’arc. Ulysse,
ants. La reconnaissance d’Ulysse et de Pénélope suivit le meurtre des
princes
. On peut se figurer la joie que firent éclater le
Seconde partie. Métamorphoses Lycaon. Lycaon, roi d’Arcadie,
prince
impie et cruel, faisait périr tous les étrangers
ée se chargea d’aller chercher Philomèle. Mais, pendant le retour, ce
prince
infâme osa outrager la sœur de son épouse, et, da
orage qui les força de s’arrêter chez Pyrénée, roi de la Phocide. Le
prince
leur fit beaucoup d’accueil ; mais à peine furent
, après sa mort, parmi les juges des Enfers, parce qu’il avait été le
prince
le plus équitable de son temps. Céphale et Pro
ort de Nisus et des Mégariens dépendait d’un cheveu de pourpre que ce
prince
portait parmi ses cheveux blancs46. Scylla, sa fi
Nisus pendant qu’il dormait, et le porta à Minos dans l’espoir que ce
prince
l’épouserait en récompense de ce bon office. Mais
haussure. Comme elle était recherchée en mariage par plusieurs jeunes
princes
, son père déclara que sa main serait le prix de c
ntretiens secrets avec une nymphe, nommée Égérie. Après la mort de ce
prince
, les Romains allèrent chercher cette nymphe dans
pandre le sang de tous les étrangers qui tombaient en son pouvoir. Ce
prince
cruel, pour s’assurer de la divinité de son hôte,
ttique, elle s’arrêta chez Céléus, roi d’Éleusis. Pour récompenser ce
prince
de son hospitalité généreuse et empressée, elle r
avelot qui avait donné la mort à Procris. Aurore épousa Tithon, jeune
prince
célèbre par sa beauté, fils de Laomédon. Dans l’a
sortir. Tantale était un des plus célèbres habitants du Tartare. Ce
prince
, qui avait régné en Phrygie et en Lydie, ayant re
de quelques guerriers que leur valeur avait illustrés, ou de quelques
princes
qui se sont distingués par leurs talents au milie
le qui régnait dans ce pays, il lui présenta la tête de Méduse, et le
prince
inhospitalier fut changé en une montagne élevée d
i ne se rendit que trop promptement à ses vœux. Au moment où le jeune
prince
se disposait à quitter l’Attique, un monstre épou
tellement les chevaux d’Hippolyte, qu’ils entraînèrent le malheureux
prince
sur des roches, où son corps fut déchiré. Phèdre
peine la résolution de Jason fut-elle connue, qu’une foule de jeunes
princes
et de capitaines vint se ranger sous ses ordres e
trouvé un appui inattendu à la cour du roi Æètes : Médée, fille de ce
prince
, fort habile magicienne, résolut de le faire réus
dieux caractère de sa femme, la répudia pour épouser Créuse, fille du
prince
qui lui avait donné l’hospitalité. Médée cacha d’
a Grèce, qui fut appelée, du nom de son conquérant, le Péloponèse. Ce
prince
laissa deux enfants, Atrée et Thyeste, sur lesque
re de Thrace, avait été fondée par Dardanus. Erichthonius, fils de ce
prince
, eut pour successeur son fils Tros, qui donna son
la ville, tua le roi et emmena en esclavage son fils Priam. Ce jeune
prince
avait été depuis racheté par les Troyens, et c’ét
levée par Hercule, et qui était encore retenue prisonnière ; le jeune
prince
fut accueilli avec hospitalité par Ménélas, roi d
plaintes du roi de Sparte retentirent dans toute la Grèce ; tous les
princes
se rassemblèrent en courroux, et jurèrent de ne p
chantée69. Questions. Quelle fut l’origine de Troie et quels
princes
y régnèrent successivement ? — Quels furent les m
égnèrent successivement ? — Quels furent les motifs qui portèrent les
princes
grecs à se confédérer contre Troie ? — Par quels
userait celui qui pourrait faire plier l’arc d’Ulysse. Tandis que ces
princes
efféminés s’épuisaient en efforts superflus pour
gociations, il enleva Hélène, et détermina ainsi la confédération des
princes
grecs contre Troie. Pendant la durée du siége, Pâ
Quelle fut sa conduite durant le siége de Troie ? Enée. Enée,
prince
troyen, fils d’Anchise et gendre de Priam, est su
tifs parvinrent dans les États de Latinus ; Enée fit alliance avec ce
prince
, qui lui promit en mariage sa fille Lavinie. Mais
des principaux sages de la Grèce, car l’histoire le présente comme un
prince
cruel et soupçonneux. Il redoutait et persécutait
emier qui commanda une armée navale. On donna aussi ce nom à tous les
princes
qui tentèrent, dans l’origine de la navigation, d
opriétaire. Géryon, le géant à trois têtes et à trois corps, était un
prince
qui régnait sur les trois îles Baléares. Passant
oute espèce de sciences, qu’on lui envoyait de toutes parts de jeunes
princes
à élever, entre autres Achille. 58. L’Hellespont
traveller, sought hospitality of Lycaon, king of Arcadia. The impious
prince
had just received an ambassador from the Molossia
s name. The punishment inflicted on King Midas was not so cruel. This
prince
had the bad taste to declare his preference for t
t is the origin of the history of Bacchus? Ans. He was probably some
prince
who taught the people to till the ground, and cul
decision of Paris, who was then feeding his sheep on Mount Ida. This
prince
was the son of Priam, king of Troy. An oracle had
onus [Titho′nus], the son of Laomedon [Laom′edon], king of Troy. This
prince
was endowed with wonderful beauty; but when Auror
of the dead? Ans. Minos, Rhadamanthus and Æacus [Æ′acus]. These were
princes
, who governed so justly during life, that the fat
nd passed into fable as a monster. He was probably a wicked and cruel
prince
. There were also the Harpies, which had the faces
ter, and of Danaë, the only daughter of Acrisius, king of Argos. This
prince
had been warned by an oracle that his daughter wo
, king of the Lycians, with sealed letters in which he requested that
prince
to put the bearer to death. Jobates was also unwi
Meleager — The Calydonian Hunt. Ques. What was the story of this
prince
? Ans. Meleager was the son of Œneus and Althea,
ew on the head of Nisus, remained uncut. Scylla, the daughter of this
prince
, admired the majestic person of Minos, and the va
uba] learned soon after the sad fate of her son Polydorus. This young
prince
, who had been commended by Priam to the care of P
secret. Then, aided by her fellow captives, Hecuba murdered the young
princes
and put out the father’s eyes. While endeavoring
s Ulysses? Ans. He was king of Ithaca, and had been, like many other
princes
of Greece, a suitor of the beautiful Helen. Belie
a statue to Modesty, on the spot where they parted. When the Grecian
princes
were called upon to revenge the abduction of Hele
were often admitted, in ancient times, to the halls of chieftains and
princes
, where they entertained the guests with stories o
deprived of their weapons, and terrified at the aspect of the injured
prince
, whom they recognized too late, turned to fly, bu
dipus — Eteocles And Polynices. Ques. What was the story of these
princes
? Ans. Œdipus was the son of Laius [La′ius], king
and the Argives were totally defeated. Creon, the uncle of the fallen
princes
, was now king of Thebes; he had the body of Eteoc
who had died there the preceding year. He left with Acestes, a Trojan
prince
who governed a part of the island, the women, the
ength in the mouth of the Tiber. The country around was governed by a
prince
named Latinus, the son of Faunus and the nymph Ma
a prince named Latinus, the son of Faunus and the nymph Marica. This
prince
had one child, a daughter named Lavinia. Her hand
hild, a daughter named Lavinia. Her hand had been promised to Turnus,
prince
of the Rutulians, but Latinus was warned by an or
assy to Latinus, requesting permission to settle in the country, that
prince
believed that the Trojan chief was the person poi
t the Fury Alecto to the palace of Turnus, with orders to excite this
prince
against the stranger, who was about to rob him of
of Latins. The new kingdom was attacked by several of the neighboring
princes
, led by Mezentius, king of Etruria. Æneas defeate
temple of Apollo at Delphi was enriched by the offerings of different
princes
, and the surrounding nations vied with one anothe
ne books which compose the work. Dionysius was not so fortunate. This
prince
believed himself the most excellent poet of the t
e was afterwards considered as ominous of the early fate of the Roman
prince
. Ques. Who was Harpocrates? Ans. Horus or Harpo
ay with the decline of the feudal system, and the power of the native
princes
and chieftains whose glory they sung. Ques. Who
y short space of time, darkness settled on the island. The chiefs and
princes
, together with the assembled people, then assiste
was held in high esteem at the court of Hiero, king of Syracuse. This
prince
having inquired of him concerning the nature of G
ding at the court of Scopas, king of Thessaly, he was engaged by that
prince
to compose a poem in his honor for an approaching
ntry. Saturn, in gratitude for the hospitality of Janus, endowed that
prince
with extraordinary prudence, with a knowledge of
by a successful usurper, who was perhaps his son; and, as a fugitive
prince
, escaping from injustice, was hospitably received
shall extend to the end of the world — his coming into the world, the
prince
of peace, while mankind enjoyed a memorable peace
ebe was dismissed, Ganymede was chosen to succeed her. Ganymede was a
prince
of Troy. His occupation was the care of flocks on
isfigured. Medusa became an object of aversion and horror. Perseus, a
prince
of Argos, was employed to cut off this terrific h
heavens as she advanced from the east. Aurora married Tithonus, and a
prince
of Troy, and a mortal. Tithonus entreated of his
he Danaides. The Danaides were the fifty daughters of an Egyptian
prince
. Danaus emigrated from Egypt to Argos in Peloponn
le life of his son, because in those days people pretended to think a
prince
was of more value than a hundred ordinary persons
tribute. It is probable the truth is nothing more, than that the two
princes
peaceably agreed that this bad custom should ceas
ad abandoned his duty, and had shown no regard to the rights of other
princes
, and they banished him to the island of Scyros, w
d in procuring his right, from Adrastus, King of Argos. Seven chiefs,
princes
of Peloponnesus, at the head of their troops, mar
uch wrong as right. It is related in their history, that Leucippus, a
prince
who was uncle to these adventurers, had two daugh
es themselves had not intruded upon his peaceful obscurity. Peleus, a
prince
of Thessaly, was married to the sea-nymph Thetis,
Menelaus, King of Sparta. Soon after Priam proposed a contest to the
princes
of Troy, and promised that the most beautiful bul
es had carried off Hesione, the sister of Priam, and married her to a
prince
of Peloponnesus, and now Priam resolved to recove
arried her off, but she was recovered, and her numerous admirers, the
princes
of Greece, made a vow, if she should ever again b
ommit the outrage. The injured Menelaus remembered the promise of the
princes
, and demanded of them to assist him in punishing
dy. Menelaus, with more forbearance than was common to that age, when
princes
in their quarrels sought revenge rather than righ
d war was mutually declared between the Greeks and Trojans. The Greek
princes
readily consented to aid Menelaus: and 1000 ships
roceed rashly to the punishment of Paris? Iphigenia. The Greek
princes
having made suitable preparations for the siege o
irst, Agamemnon chose rather to abandon the expedition, but the other
princes
at length persuaded him to yield to the will of D
he married Clytemnestra, the sister of Helen, Queen of Sparta. These
princes
in their youth were driven away from Argos, by th
ell dead at his feet. During the absence of Ulysses, the neighbouring
princes
had severally importuned Penelope to marry one of
and hoping that he still lived, denied them all. The suitors, as the
princes
were called, took up their abode in the palace of
e Trojans. His wife was Andromache, the daughter of Ætian, an Asiatic
prince
, and their only child was Astyanax. The parting o
Is the history of Priam likely to be true? Eneas. Eneas was a
prince
of Troy, son of Anchises and the goddess Venus. W
nus, for a wife. Eneas met also with a kind reception from Evander, a
prince
of Arcadia, who had brought a colony into Italy,
tle tract adjacent to Latium, and had established himself there. This
prince
gave Eneas an interesting account of the former s
ern, which, as containing an assemblage of all the deified heroes and
princes
of India, may be called the Hindu Pantheon: is ab
of a tax of half-a-crown on each one of them, exacted by a Mohammedan
prince
of the country, was 750,000 l.; and 8000 lbs. wei
doration of the Egyptians, was sometimes regarded as some illustrious
prince
in a very early age of the world. He was the supp
l’hospitalité que lui avait donnée Janus, Saturne fit connaître à ce
prince
le passé et l’avenir, et le rendit le plus sage d
de célébrer ces fêtes licencieuses. Bacchus s’en vengea en livrant ce
prince
à ses bacchantes qui le mirent en lambeaux. 7. Le
uscité par Diane que Mars avait appelée à son secours dévora le jeune
prince
, et Vénus fut réduite à changer en anémone son fa
gement équitable, un jugement de Rhadamanthe. Les vertus de ces trois
princes
leur méritèrent l’honneur d’être placés par les p
a introduisit à Rome le culte de ce dieu, ce qui signifie que sous ce
prince
la propriété commença à être respectée chez les R
e de régner, le régent se fit usurpateur et ne voulut rendre au jeune
prince
son trône qu’à la condition qu’il irait reconquér
rsuivit, et envoya contre eux son fils Absyrte. Médée saisit ce jeune
prince
, l’égorgea cruellement et dispersa ses membres su
qui avait sa retraite sur le mont Erymanthe, et le présenta à ce même
prince
qui faillit en mourir de frayeur. 5º Il fit la gu
redressant subitement. Thésée lui fit endurer le même supplice. 4. Ce
prince
combattit également avec succès les monstres les
rcule et Thésée en tuèrent un grand nombre aux noces de Pirithoüs. Ce
prince
fit ensuite alliance avec Thésée, et l’accompagna
nait d’entendre. Phèdre se vengea de ce dédain en calomniant le jeune
prince
près de son père. Thésée eut la faiblesse de croi
s furent admirablement accueillis par Polydecte, roi de cette île. Ce
prince
prit soin tout spécialement de l’éducation de Per
il d’Atlas, roi de Mauritanie ? Quelle métamorphose fit-il subir à ce
prince
? 5. Quels furent ses exploits en Ethiopie ? Quel
histoire, et Delille a traduit en beaux vers français cet épisode du
prince
des poëtes latins. Un jour tu poursuivais sa
rival d’Orphée. Il vivait à la cour de Périandre, roi de Corinthe. Ce
prince
récompensa généreusement ses talents. Un jour qu’
ut le sort des compagnons de Cadmus ? Quel conseil donna Minerve à ce
prince
? Quelle invention lui attribuent les Grecs ? L’h
le bisaïeul des rois d’Argos, avait retenu dans les fers Ganymède, un
prince
troyen, et violé les droits les plus sacrés. Herc
n, qui en était alors roi. Pâris, fils de Priam, le successeur de ces
princes
outragés, vint en Grèce, à la cour de Ménélas, et
our de Ménélas, et usa de représailles. Il enleva Hélène, l’épouse du
prince
qui lui donnait l’hospitalité, et refusa de donne
avait fait. Les Atrides appelèrent la Grèce entière aux armes, et les
princes
les plus illustres répondirent à leur appel. Ils
senta donc chez Lycomède à titre de marchand, et fit aux filles de ce
prince
de magnifiques présents. Aux joyaux et aux pierre
éesse, et il ajouta qu’il fallait le sang d’Iphigénie, la fille de ce
prince
, pour calmer le ciel : Vous armez contre Troie u
ité furent en proie aux calamités les plus terribles. A son retour ce
prince
fut égorgé par Clytemnestre, son épouse, qui avai
it sa chère patrie. On le croyait mort depuis longtemps. Une foule de
princes
se disputaient la main de Pénélope, sa fidèle épo
ans un même jour ; Pythagore y discutait au milieu des lutteurs ; les
princes
éloignés y envoyaient leurs chevaux pour y rempor
nt dans les tribunaux et le conseil du roi, faisaient l’éducation des
princes
, et s’ils ne régnaient pas, ils limitaient souven
’Osiris il usa de ruse pour exécuter son perfide dessein. 5. Quand ce
prince
rentra dans ses Etats, les Egyptiens l’accueillir
décidé en faveur de Marsyas, Ce n’étoit point la première fois que ce
prince
étoit la dupe de son ignorance. Il avoir demandé
qui avoit eu la gloire de combattre le monstre à la tête de plusieurs
princes
Grecs, et de lui porter le premier coup. Les oncl
de Carie. Son épouse Artémise ne pouvoit se consoler de la mort de ce
prince
: Ainsi, quand Mausole fut mort, Artémise accusa
race, et l’ennemi déclaré de Bacchus, qui se vengea en inspirant à ce
prince
des accès de fureur, dans l’un desquels il se cou
Le sort tomba sur Hésione, fille de Laomédon. Hercule convint avec ce
prince
de la délivrance d’Hésione ; ce qu’il exécuta, en
voir été mis au monde par Pasiphaé, épouse de Minos, roi de Crète. Ce
prince
, pour venger la mort de sou fils Androgé, que les
chèvre à la queue d’un serpent, et qui vomissoit des flammes ; Ah !
prince
, songez-vous que trois monstres ensemble
oit reçu des dieux, et dont la toison étoit d’or. Phryxus, fils de ce
prince
, fuyant les mauvais traitemens de Néphèles, sa be
enlevé Europe, sœur de Cadmus, et fille d’Agénor, roi de Phénicie, ce
prince
ordonna à son fils d’aller chercher Europe, et de
Vous vivez, et bientôt je vous porte à Corinthe. Je vous présente au
prince
: admirez votre sort ! Le prince vous adopte au l
orte à Corinthe. Je vous présente au prince : admirez votre sort ! Le
prince
vous adopte au lieu de son fils mort ; Et par ce
s, Etéocle et Polinice ; et deux filles, Antigone et Ismène. Les deux
princes
firent paroître, dès leur enfance, une haine mutu
ie en sa fleur doit être moissonnée. Racine. Thétis, voyant que les
princes
Grecs s’assembloient, et que leur premier soin se
it contrefait l’insensé, pour se dispenser d’entrer dans la ligue des
princes
Grecs. Un jour qu’il labouroit follement le rivag
ée des Grecs étoit conduite par quatre-vingt-quinze capitaines, rois,
princes
ou héros déjà célèbres par de grands exploits. Le
Troie Tous ces mille vaisseaux dont elle fut la proie. Lamotte. Les
princes
de la Grèce s’assemblèrent pour venger cette insu
xerce des cruautés inouies. Il pénètre au palais de Priam ; immole ce
prince
avec toute sa famille, au pied d’un autel où il s
nélope, son épouse, avoit à se délivrer des importunités de plusieurs
princes
qui vouloient l’épouser, et prétendoient que le r
s Troyens fut, dans un sens, moins funeste que celle des Grecs. Enée,
prince
du sang royal, fils d’Anchise et de la déesse Vén
fets de la haine que Junon conservoit encore contre le nom Troyen. Ce
prince
vertueux appaise la colère de la reine des dieux
, 63-64 Serment par le Styx, 105 — Par Castor et Pollux, 149 — Des
princes
Grecs contre Troie, 178 Serpent, attribut du Tem
people, and divided his empire with Saturn. It also records that that
prince
had medals with two faces stamped, to announce th
istorical sense of this fable, it is necessary to know that different
princes
of the name of Jupiter successively reigned in Cr
overned by a skilful master by the name of Apollo. The bitches of the
prince
were called Harpies. Obs. 4. — The Titans were n
led Harpies. Obs. 4. — The Titans were nothing more than a family of
princes
, who acknowledged Saturn for their sovereign, but
ne, daughter of a king of Thessaly, called Peneus, pursued by a young
prince
on the shores of a river which bore the same name
o should excel in poetry and in the Pythian games. Obs. 4. — A Greek
prince
by the name of Apollo, loved Clytia, and abandone
ter in the palace of Pyreneus, king of Phocis. Being insulted by that
prince
, they took wings and flew away. To pursue them, h
gave rise to the fable of Adonis, which is thus explained. That young
prince
reigned over a part of Phœnicia, and joined to ex
his subjects thought him dead and mourning spread over Phœnicia. The
prince
recovered, however; and in a fit of frantick joy,
red the Ganges divine honours. This superstition still lasts, and the
princes
who reign on the banks of this river, make their
of immortals, and considered as the god of the sea, was undoubtedly a
prince
, hero, or captain who, commanding a great naval a
Orythia, daughter of Erechtheus, king of Athens, was refused by that
prince
. He therefore blew her away, and carried her to T
nus hospitably, Bacchus promised to grant him his first request. That
prince
, greedy after riches, asked of him the gift of tu
ll’s dark abodes, And mortals hate him, as the worst of gods.’’ Great
prince
o’ th’ gloomy regions of the dead, From whom we h
away. Obs. — This fable inclines us to the belief, that Geryon was a
prince
who reigned over three islands, called Baleares.
nerally agree in tracing its origin to Cadmus. They observe that this
prince
, having brought into Greece the laws, customs, an
withdrew to the court of Lycomedes, king of Scyros. That treacherous
prince
threw him unawares from a high rock, and he peris
.” Obs. 1. — To explain the fable in reference to the birth of those
princes
and princesses, Castor and Pollux and their siste
his aunt. Paris entered Sparta, the king of which was Menelaus. This
prince
received him very courteously, and let him occupy
Æneas was the son of Anchises by Venus, and almost the only Trojan
prince
of any note who escaped the destruction of Troy.
lost in the clouds; and the poets, confounding that mountain with the
prince
whose name it bears, painted him as the pillar of
ifferent deities, requesting him to establish modes of worship to the
prince
. Every sacerdotal body was furnished with land to
lious and malignant spirits, called Dewtahs, headed by Mahasoor their
prince
, throws at them the fiery bolts of vengeance, cal
ensive that it was considered a great glory, when, in a long reign, a
prince
had constructed only a single portico. Chapter
but she refused, and alleged that the law deterred her from it. This
prince
, indignant at being stopped by such an obstacle,
he sovereign families of the North are descended from these self-same
princes
. Thus, Horsa and Hengist, chiefs of those Saxons
the number of their ancestors. The same was true of other Anglo-Saxon
princes
. The name of Odin, therefore, ultimately came to
than with reigning himself, next repaired to Sweden, where reigned a
prince
named Gylphe, who, regarding the author of a new
y to preserve the deposit of the religious and magic sciences of this
prince
. So many conquests had not yet satisfied his ambi
if some one should die for him. When some celebrated warrior or some
prince
was about to perish, it was thought that Odin, ap
be split, and an army of evil genii and of giants, conducted by their
princes
, will enter to attack the gods; but Hiendal, the
nd to see her at her work. Her name was famous throughout Greece, and
princes
and merchants paid her great prices for her wonde
went down to Thebes, to avenge the insult to their mother. The seven
princes
were in the fields, mounted on their fiery horses
was taught all the arts which at that time were thought fitting for a
prince
. Every year the people of Athens had a festival,
neighboring islands met to try their skill in various games. When the
prince
of Crete had grown up, his father told him he mig
had not something happened which made them forget all about the young
prince
of Crete. And this was nothing less than the comi
ince of Crete. And this was nothing less than the coming of their own
prince
to his father’s kingdom. The boy, Theseus, whom t
thens. And that was the reason why no one asked after the other young
prince
. While Athens was almost beside itself with joy,
le. In vain the old king tried to make him change his mind, the brave
prince
vowed that he would either free Athens of this un
beheld Theseus, and his eyes sparkled, as he said, “Is not the young
prince
of Athens standing among you?” “I am he, your maj
nter the labyrinth alone. In the morning the others may follow.” “The
prince
wishes to die alone,” answered the king. “Let him
n looking with blushing cheeks and a beating heart at the brave young
prince
. “He shall not die, if I can save him,” was her t
th him and be his wife; and the girl consented, for she had loved the
prince
from the moment when first she pitied him and his
verty and friendlessness, King Aeson brought up his little son like a
prince
. At that time the wisest person in the world was
’opinion, la seule barrière imposée à l’adulation, c’est le dégoût du
prince
, et il y a des princes peu dégoûtés ! Apis.
rière imposée à l’adulation, c’est le dégoût du prince, et il y a des
princes
peu dégoûtés ! Apis. (Bœuf adoré des Égypti
araît pas que la litière des pauvres bêtes fût souvent renouvelée. Ce
prince
négligent laissa le fumier s’accumuler dans l’éta
rser et de rétablir tour à tour ? Oui, certes, ils ont un sénat et un
prince
du sénat, et des questeurs aussi, Jupiter me pard
édiger les éphémérides où sont consignés au jour le jour les actes du
prince
et du sénat. — “Vous ne pourrez jamais vous imagi
racher en Romains. L’exemple vient d’en haut. Dernièrement, un de nos
princes
fait construire à grands frais une maison romaine
ou d’un médecin auprès de celui d’un empereur ? Pline, sous le même
prince
, en avait vu un autre apporté d’Égypte et conserv
dernier murmure de la vague assoupie. L’Olympe entier résonne, et les
princes
immortels qui l’habitent sont ravis en extase, et
ce et du courage, comme l’agneau est celui de la douceur. « Ce grand
prince
, qui ne put voir égorger ces lions comme de timid
maître. — « Un jour un des flatteurs de Denys, s’entretenant avec ce
prince
, lui faisait un tableau pompeux de sa puissance,
rone et Apulée le signalent expressément. Pline assure que Tibère, un
prince
exigeant sur l’étiquette, voulait qu’on le saluât
par leur génie, les poëtes ne vivaient guère que de la libéralité des
princes
et des financiers. A quelques rares élus leurs lo
de la maison d’Œdipe : Œdipe Roi, révélation de la fatale destinée du
prince
; Œdipe à Colone, son exil, sa mort ; Antigone, l
istorien, Diodore, les ramène tous seulement à deux : le plus ancien,
prince
des Atlantes ; et l’autre, son neveu, roi de Crèt
au ciel comme astre. Aussi, quelques historiens en font-ils encore un
prince
astronome fort habile, élevé au ciel par les Dieu
Si l’on cherche le fond de cette fable, on est porté à supposer qu’un
prince
appelé Jupiter ayant accordé l’hospitalité à un r
é, sa punition du rocher qu’il roule incessamment, est l’emblème d’un
prince
ambitieux, d’un caractère remuant et inquiet, et
rent encore punis par Jupiter pour divers crimes ; ainsi : Adimante,
prince
des Phlasiens, peuple du Péloponèse, fut un jour
sacre. Au bruit de leurs cris douloureux, les sœurs de ces malheureux
princes
se montrèrent sur les remparts, et aussitôt, elle
t de la mer Egée et se couchait dans la mer Ionienne, ou parce que ce
prince
, l’un des Titans, par suite de ses observations,
les campagnes la vie pastorale. Il fut de la plus grande utilité à ce
prince
qui plus tard devint un des Argonautes, et l’un d
qu’ils étaient les suites de la vengeance d’Apollon et de Neptune. Un
prince
du nom d’Hercule étant venu à bout d’arrêter l’in
bas de la tour et se tue. Fable qui fait allusion peut-être à quelque
prince
ennemi des belles-lettres. Adonis ne fut pas plu
nconnu ; dans le barbier, le silence des courtisans qui entourent les
princes
, et dans les roseaux parlans, la plume indiscrète
table : son intrigue avec Apollon ayant été découverte à son père, ce
prince
la fit enterrer toute vive et jeter sur son corps
grande réputation. L'histoire, pour expliquer cette fable, dit qu’un
prince
, du nombre de ceux auxquels l’amour des lettres f
d’Athènes, duquel on faisait descendre cet Erysichton, ou du moins un
prince
du même nom. Nous avons dit que l’on donnait pour
lles de Cinyre, au nombre desquelles se trouvait Braesie, fille de ce
prince
et de Métharne ; elles encoururent la vengeance d
ne, est-il beau. Psyché confuse leur répondit, mon époux est un jeune
prince
qui passe tous les jours à la chasse. Elle combla
changé dans la fleur qui porte son nom. Ce Narcisse, dit-on, était un
prince
amoureux de sa sœur jumelle, à laquelle il ressem
rs l’an 1520 avant J.-C., la Thessalie fut inondée sous le règne d’un
prince
du nom de Deucalion. Ce qu’il y a de curieux dans
xo ou de Lysidice ou d’Eurimède ; elle ne voulut donner sa main qu’au
prince
qui vengerait la mort de ses frères immolés par l
ayant excité la fureur et l’indignation des jeunes fiancés, ces deux
princes
poursuivirent les Dioscures, et les attaquèrent p
l donna le nom de Myrmidons ; allégorie qui prêterait à croire que ce
prince
, après un fléau quelconque, repeupla les états d’
itôt le héros y court, dompte le terrible animal et l’amène devant le
prince
; puis lui donne la liberté, car il était consacr
hommes, puis il fait alliance avec Iphitus. Malheureusement ce jeune
prince
ayant eu la légéreté d’accuser ensuite Hercule d’
, Apollon, Bacchus et Hercule ; les lares publics étaient les rois et
princes
divinisés, que l’on chargeait d’être les interprè
rs il fut à Cumes bâtir un temple en l’honneur d’Apollon ; mais aucun
prince
, dans la crainte d’encourir la haine de Minos, ne
encore contre Polydecte ; alors, Persée furieux, change en rocher ce
prince
insolent, et met sur son trône Dictys, le protect
à des fêtes funèbres que l’on célébrait en l’honneur de la mort de ce
prince
. Persée veut prendre part à ces jeux, mais, privé
de Labdacus eut encore à diriger l’enfance de Laïus, fils de ce jeune
prince
. Mais Lycus ne fut pas toujours dépositaire aussi
avaient avec eux Lycurgue, qui les suivait en simple volontaire. Ces
princes
, sous les ordres d’Adraste, quittèrent Argos pour
e, dépose sur le gazon Ophelte, fils de Lycurgue, puis guide les sept
princes
vers un ruisseau. Pendant l’absence d’Hypsipyle,
Ismène. Soudain Jupiter entr’ouvre la terre et chevaux, char, écuyer,
prince
, tout s’engloutit et disparaît. Il laissa deux fi
é pour la raison contraire aux oiseaux de proie. Pendant son exil, ce
prince
qui avait épousé Argie, fille d’Adraste, en eut u
.-C., une colonie de Troyens en Sicile. Quant à Eole, si au lieu d’un
prince
purement Sicilien, nous le prenons pour Dieu des
qui jette du trouble dans cette fable, c’est la présence de plusieurs
princes
Siciliens du nom d’Eole. Ainsi l’on trouve d’abor
our venger Eurydice. Protée, suivant Hérodote et l’histoire, était un
prince
adroit et sage, d’un esprit difficile à pénétrer,
st, ils abordèrent en Bébrycie ou Bithynie, dont Amycus était roi. Ce
prince
défia les Argonautes au pugilat ; Pollux accepta
patrie qu’après avoir été purifié de ce meurtre, purification que ce
prince
reçut dans l’île d’Æa des mains de la fameuse enc
vaient beaucoup de rapport avec la sienne. Iphicle, fils de Phylaque
prince
Thessalien, et de Climène fille de Minyas, épousa
e qui frappait de mort quiconque avait le malheur de la respirer. Les
princes
coalisés étaient au nombre de quarante, sans comp
r habitant ; cependant on disait qu’avant d’être fleuve, il avait été
prince
troyen sous le nom d’Hypothès, et amant de la nym
monde que fit ensuite Jupiter ; c’est-à-dire, suivant Diodore, que ce
prince
eut le gouvernement d’un pays fort bas, par rappo
ios, ainsi que Tritopatrée et Eubulée, trio que l’on appela Anacès ou
princes
de même que les Dioscures Tyntarides ; quelquefoi
donna l’hospitalité, il eut la lâcheté de profiter d’un instant où ce
prince
était absent, pour séduire Hélène, l’enlever et l
higénie, Électre, Chrysothémis, Laodicée, Halèse et Oreste. Quand les
princes
de la Grèce se furent assemblés, ils nommèrent Ag
prêter secours aux Grecs. Agamemnon, se distingua toujours des autres
princes
et se montra digne de son rang dans les conseils
, elle lui présente une tanique fermée par le haut, et pendant que ce
prince
, la tête engagée dans le vêtement cherche à l’en
este se lia à cette cour d’une étroite amitié avec Pylade, fils de ce
prince
, et de Cydragores, fille de Plisthène et sœur d’A
plaudit aux horribles mutilations qu’ils exercèrent sur ce malheureux
prince
avant de lui donner le coup de la mort. Alors, Mé
à la cour de Lycomède, déguisé en marchand et offrit aux filles de ce
prince
des parures, de riches tissus, des joyaux et des
livrer la priamide Polydore avec ses trésors, et lorsqu’il eut tué le
prince
phrygien Teuthras, il fit de sa fille Tecmesse, s
rs renfermés dans ses flancs. Après la prise de la ville, lorsque les
princes
Grecs se furent embarqués pour retourner dans leu
en eut dix-neuf fils et autant de filles. Ses enfans s’étant unis aux
princes
et princesses des petites monarchies de l’Asie mi
s et firent de son empire l’état le plus puissant de toute l’Asie. Ce
prince
était d’un caractère doux, sage et équitable, mai
n avait enveloppé son fils, l’embrasse et lui rend sa place parmi les
princes
de sa race. Quelque temps plus tard, Pàris passa
tua dans le temple d’Apollon, pour se venger des rigueurs de ce jeune
prince
, dont il ne pouvait obtenir aucun retour d’amitié
illes. Cassandre avait été recherchée vainement en mariage par divers
princes
asiatiques et notamment par Otryonée ; elle fut a
ment que ravagea une épidémie ; ensuite, il fut en Sicile, où Aceste,
prince
originaire de la Troade, lui fit l’accueil le plu
ivée de cet enfant, la reine l’embrasse, le caresse, comme le fils du
prince
troyen ; cependant, peu à peu le Dieu volage exer
iers d’épreuves, Vichnou-Krichna le pétrifia et le tua. Djaracandha,
prince
célèbre de la dynastie lunaire, régnait dans l’em
et dont il se fit autant de partisans, se trouva Khâkho Manson, ou le
prince
des grands singes. Malheureusement la joie de ce
Khourmousta-Tingri revenir l’en solliciter accompagné de trente-trois
princes
des génies, au nom desquels il lui remit un Doung
ektchi-Bourkhan, Altan-Tchidaktchi et Géril-Sakitkichi, fondateurs et
princes
des trois époques religieuses, antérieures de ce
r militairement cette contrée, et de nommer à Pékin le Gioun Ouan, ou
prince
gouverneur du Thibet, sans même consulter le Dala
tous les biens possibles. Pour exécuter ses volontés, Ormuzd créa des
princes
nommés Amchasfands, qui commandaient à des génies
man, Chahriver, Sapandomad, Kordad, Amerdad. Les Amchasfands sont les
princes
et chefs des vingt-huit Izeds, qui sont, ainsi qu
eds, qui sont, ainsi que les Amchasfands, de purs esprits. A ces bons
princes
étaient opposés sept autres mauvais princes appel
purs esprits. A ces bons princes étaient opposés sept autres mauvais
princes
appelés Devs. Leur lutte commence et finit avec c
-ci, ils ont sept chefs en opposition aux sept Amschasfands. Ces sept
princes
ou chefs des Devs portent les noms qui suivent :
l descendit dans ces tristes lieux. Goustasp ou Gouchtasp, quatrième
prince
de la dynastie des Kaïanides, était fils de Kaï k
Iran ou de la Perse, qui précédèrent Zoroastre. Il était le troisième
prince
de la dynastie des Periodékéchan, le législateur
m de Goe. Nor chassa du pays ou assujétit à ses armes tous les petits
princes
de la contrée où ses recherches l’avaient amené.
i de Glaisruidhe. Qonnor, ou Konnor, ou Connor, le plus illustre des
princes
de l’Ulster, devait le jour à Fachtna Fathach, fi
ther among the people itself, as its own adventures, and those of its
princes
and heroes, and which may therefore be called dom
eir drink Nectar344. Their mode of life exactly resembles that of the
princes
and nobles of the heroic ages. In the palace of Z
2. In his palace on Olympos Zeus lives after the fashion of a Grecian
prince
in the midst of his family ; altercations and qua
the shade of an olive885. The three beautiful daughters of Keleos, a
prince
of that place, coming to the well to draw water,
amily. The princess Callidice tells the goddess the names of the five
princes
, who with her father governed Eleusis, each of wh
sticism than Dionysos, the god of wine. Creuzer1080, for example, the
prince
of mystics, deduces his worship from India, and m
en passing through Thrace he was so furiously assailed by Lycurgos, a
prince
of the country, that he was obliged to take refug
hebes.” From Herodotus1158 we learn, that when (Ol. 27.) the Egyptian
prince
Psammitichos was driven by his competitors for th
erior in strength, displayed the head of Medusa, and the inhospitable
prince
was turned into the mountain which still bears hi
the dominion over Iolcos, which he had founded, by his son Æsôn. This
prince
married Alcimede daughter of Phylacos, or, as oth
covered over with bits of wood and dust, into which the unsuspecting
prince
fell and perished. After this deed Ixiôn’s mind b
aving committed homicide, were admitted to the house and table of the
prince
, who consented to perform the rites by which the
simple earnestness of early mythology, is represented like an earthly
prince
receiving his suppliant to his house and board. T
her name seems to intimate, to have been a Centauress, married to the
prince
of the Lapiths1602, and thus accounts for the Cen
surviving sons of Agrios, watching their opportunity, killed the aged
prince
at the house of Telephos in Arcadia. Diomedes bro
ut Mount Œta), Ætolia and the Peloponnese ; and as the Dorians, whose
princes
were supposed to be descended from Heracles, had
d it was taken by the treachery of Scylla the daughter of Nisos. This
prince
had a golden or purple lock of hair growing on hi
the Attic territory, they met with a signal defeat from the Athenian
prince
. Theseus was also a sharer in the dangers of the
hout giving the youth an opportunity of clearing himself, the blinded
prince
, calling to mind that Poseidôn had promised him t
temple of Apollo Lycios1855, it is not unlikely that the god and the
prince
were the same person. Pallas may in like manner h
It would not surprise us if the ancient form of the legend was that a
prince
of Corinth had, by the aid of a winged horse, rid
ty derived the rulers of more ancient countries from its own gods and
princes
. He married, we are told, Memphis the daughter of
he could accomplish nothing. At length Comætho, the daughter of that
prince
, falling in love with Amphitryôn, pulled out the
hand of this beautiful maiden was sought by most of the neighbouring
princes
, her father declared that he would give her only
ter of Œnomaos, son of Ares, king of Pisa. An oracle having told this
prince
that he would lose his life through his son-in-la
as given to ‘horse-lashing’ Pelops, which signifies that Pelops was a
prince
rich in flocks and herds who ruled by a legitimat
splendour, and render it the Illustrious, an honorific appellation of
prince
or people2074. Others connect it with πηλὸς, ἕλα,
ing’ Thyestes, who left it to Agamemnôn2083. Here we have a family of
princes
rich in cattle legitimately transmitting the scep
se king was named Cyzicos. Having been hospitably entertained by this
prince
, and having slain the giants who opposed their de
ukes engaged and killed him. The Bebrycians, seeing the fate of their
prince
, fell on the victor ; but his companions coming t
os came forth and put an end to the conflict. An oracle had told this
prince
that he should marry his two daughters to a lion
of the strangers. He gave Deïpyla to Tydeus, and Argeia to the Theban
prince
, engaging to restore each to his country. The exp
om the people were called Teucrians2191. He was well received by this
prince
, who gave him his daughter Bateia2192 in marriage
the heralds of the king take Briseïs away from Achilleus. The injured
prince
complains to his mother, at whose entreaty Zeus p
as (Ajax) and Teucros sons of Telamôn, Aias son of Oïleus, the Cretan
princes
Idomeneus and Mériones, Thoas the Ætolian, and Tl
d by Sarpedôn the son of Zeus, by Glaucos, Pandaros, Asios, and other
princes
. Οἱ Νόστoι. The Returns. After the destru
elemachos. After a variety of adventures, he succeeded in killing the
princes
who wooed his chaste spouse Penelope and wasted h
cial mounds which lie scattered over the plain, the tombs probably of
princes
and warriors of an extinct race, have been regard
On awaking, they struggled, but in vain, to get free ; and the pious
prince
, apologising for what necessity had obliged him t
02. Hygin. 166. 1803. Apollod. ut sup. 1804. He was said to be the
prince
of the Thracians, who were supposed to have dwelt
, xlviii. 400. 419. 2126. So Ovid calls him ; he is usually styled a
prince
. 2127. ᾽Απὸ τοῦ οὐρϵῖν. Euphoriôn ap. Sch. II.
on Olympus, Zeus was supposed to live after the fashion of a Grecian
prince
in the midst of his family. Zeus was the earliest
th the assistance of the goddess, she initiated Celeus and some other
princes
of Eleusis in the solemn rites of her service. In
de Medici is so called from its having been in the possession of the
princes
of that name in Rome when it first attracted atte
tormented by the Harpies. As soon as food was set before the unhappy
prince
, they came and devoured a portion of it and defil
n after this event, Priam proposed a contest among his sons and other
princes
, promising to reward the conqueror with one of th
e prediction was forgotten, and Paris enjoyed all the privileges of a
prince
of Troy. Hesione, sister of Priam, had been carri
ted to Agamemnon*, king of Mycenæ, the most powerful of all the Greek
princes
. The army offered a solemn sacrifice, during whic
nourished with my blood.” Æneas recollected that Polydore was a young
prince
of Troy, whom Priam had sent to be brought up in
er, who had been dead exactly a year. He left with Acestes*, a Trojan
prince
who governed a part of the island, the women, the
ad a daughter named Lavinia, whose hand had been promised to Turnus*,
prince
of the Rutulians*; but Latinus was warned by an o
ission to settle in the country. The latter concluded that the Trojan
prince
was the son-in-law indicated by the oracle, and i
t the Fury Alecto to the palace of Turnus, with orders to excite that
prince
against the stranger who was to rob him of his pr
of Latins. The new kingdom was attacked by several of the neighboring
princes
, led by Mezentius, king of Etruria. Æneas defeate
e conferred. In the earlier period judges were appointed by the Welsh
princes
, and, after the conquest of Wales, by commission
es prétentions des trois Déesses. Il donna la pomme à Vénus. Anchise,
prince
troyen, épousa secrètement Vénus : ayant osé s’en
sa à la main au siége de Troie ; elle inspira à Egialée, épouse de ce
prince
, un amour criminel pour un jeune homme, nommé Cyl
contre Thèbes ; cet enfant mourut de la morsure d’un serpent que les
princes
tuèrent. Licurgue voulut punir de mort la néglige
e, roi de Naxos, fils de Charopus et d’Aglaïa, étoit le plus beau des
princes
Grecs qui firent le siége de Troie. Aconce, jeune
la plus vertueuse ». Diodore de Sicile conte que Sopithès étoit un
prince
indien dont les états étoient régis par les lois
e, et se réfugièrent chez Pyrénée, roi de Daulis, dans la Phocide. Ce
prince
les insulta, et voulut les retenir prisonnières ;
oucher sur le Mont-Cythéron, de Zéthus et d’Amphion ; ces deux jeunes
princes
, instruits par la suite, de l’histoire de leur mè
tous les trois faussement accusés par leurs belles-mères, furent des
princes
chastes et vertueux. Phase, qui résista à l’amour
der sisters of moderate charms had now long been married to two royal
princes
; but Psyche, in her lonely apartment, deplored he
d downward, to give her a lesson of humility. Memnon was an Æthiopian
prince
, of whom we shall tell in a future chapter. Th
ountenance thus addressed them: “I am pleased to see your concern, my
princes
, and am gratified to perceive that I am the ruler
dertook to introduce his worship into Greece, but was opposed by some
princes
, who dreaded its introduction on account of the d
ave warriors, who would willingly have perilled their lives for their
prince
, shrunk from the thought of dying for him on the
and fled, leaving their dead unburied. Creon, the uncle of the fallen
princes
, now become king, caused Eteocles to be buried wi
nd conduct than of person. She was the daughter of Icarius, a Spartan
prince
. Ulysses, king of Ithaca, sought her in marriage,
previous chapter. Simonides passed much of his life at the courts of
princes
, and often employed his talents in panegyric and
occasion, when residing at the court of Scopas, king of Thessaly, the
prince
desired him to prepare a poem in celebration of h
no feeble enemy. Priam, the king, was now old, but he had been a wise
prince
and had strengthened his state by good government
chilles, revolving in his mind all he had seen and heard. He told the
prince
the sad condition of affairs at the camp of their
ntinued its resistance. One of these allies was Memnon, the Æthiopian
prince
, whose story we have already told. Another was Pe
f old, in no inglorious days, The mode of spinning, when the Egyptian
prince
A golden distaff gave that beauteous nymph, Too b
s of finest texture, the work of Phæacian maidens. On these seats the
princes
sat and feasted, while golden statues of graceful
words recalled to the recollection of Æneas that Polydore was a young
prince
of Troy, whom his father had sent with ample trea
alinurus. After touching at the island of Sicily, where Acestes, a
prince
of Trojan lineage, bore sway, who gave them a hos
med him of the arrival of the foreigners and of the attempts of their
prince
to rob him of his bride. Next she turned her atte
the Medici is so called from its having been in the possession of the
princes
of that name in Rome when it first attracted atte
to place singing his lays to the music of his harp, in the courts of
princes
or the cottages of peasants, and dependent upon t
aveller, Pedro Covilham, happening to hear that there was a Christian
prince
in the country of the Abessines, (Abyssinia,) not
nferred. In the earlier period the judges were appointed by the Welsh
princes
, and after the conquest of Wales, by commission f
les. Columba was a native of Ireland, and connected by birth with the
princes
of the land. Ireland was at that time a land of g
that he held him in the highest honor, and the neighboring chiefs and
princes
sought his counsel and availed themselves of his
ing the Trojan War. All unconscious of their sister’s fate, the young
princes
had returned in haste to their father’s palace to
ad all been devoured by a huge dragon, which lived in the hollow. The
prince
raised his sword to avenge their death, and dealt
fered to while away the time by telling him tales. As Mercury was the
prince
of story-tellers, this offer was not to be despis
y months poor Mars lingered there in durance vile, until Mercury, the
prince
of thieves, noiselessly and deftly slipped the ch
ndemned Hercules to serve his cousin Eurystheus — a mean and cowardly
prince
who ruled over the kingdom of Argos — for a certa
ongs. Chiron discharged his duties most faithfully, trained the young
prince
with great care, and soon made him the wisest and
d called the babe Œdipus (swollen-footed). Years passed by. The young
prince
grew up in total ignorance of the unfortunate cir
oclamation was issued, that, if any dared bury the body of the fallen
prince
, he would incur the penalty of being buried alive
erophon The Flight of Bellerophon Bellerophon, a brave young
prince
, the grandson of Sisyphus, King of Corinth, had t
Too honest to betray a man who had treated him as a friend, the young
prince
refused to listen to the queen’s proposals. His r
took her time, and finally decided to marry Andræmon, a worthy young
prince
, who possessed every charm calculated to win a fa
n if he brought a statue of Diana in Tauris back to Greece. The young
prince
hastened thither, accompanied by the ever-faithfu
return to Ithaca, where he would find the parent he sought. The young
prince
immediately obeyed, and landed near Eumæus’ hut,
, and had already had many suitors, among whom Turnus, a neighbouring
prince
, boasted of the most exalted rank. The queen, Ama
t twice been warned by the gods to reserve his daughter for a foreign
prince
, who had now appeared. In spite of all the years
ell, slain by Turnus. When aware of the death of this promising young
prince
, Æneas’ heart was filled with grief, for he could
ygmalion, who prays Venus to give it life, 98. 99 Gan′y-mede. Trojan
prince
carried off by Jupiter to act as cup-bearer, 29
7, 8, 10-12; marriages of, 14; significance, 363 Ti-tho′nus. Trojan
prince
who visited Aurora, 70 Tit′y-us. Giant in Tartar
r. Who is Mars supposed to represent in real history? There were many
princes
of this name, and almost every nation had its own
her, their first divinity. The third, the Grecian Vulcan, was a Titan
prince
, son of Jupiter, obliged, by disgrace, to take re
Chimæra, Harpies, and Gorgons.] Who were the Heroes or Demigods?
Princes
and others, who, having, in their life-time, perf
ern, which, as containing an assemblage of all the deified heroes and
princes
of India, may be called the Hindû Pantheon, is ab
of a tax of half-a-crown on each one of them, exacted by a Mahommedan
prince
of the country, was 750,000 l.; and 8000 lb. weig
gyptians, was sometimes regarded as a deification of some illustrious
prince
in a very early age of the world; but was general
quently offered, and were often esteemed substitutes for warriors, or
princes
about to die, In times of great danger, or public
glorious resistance to the insatiable ambition of the Romans. Surtur,
prince
of the Genii of fire. He was described as inhabit
hurt their amiable sister. Psyche’s elder sisters were married to two
princes
whose dominions lay hear their father’s kingdom.
eir daughters were Ino, Agave, Antinoe, and Semele. Antinoe married a
prince
named Aristeus, and they had a son called Acteon.
h. Ann. Was there ever such a man as Perseus? Mother. Yes; he was a
prince
of Peloponnesus, in Greece, and he had many child
is back, he was a hunter in the woods. He was found in the palaces of
princes
, and as often in the cottages of peasants. In fac
aphus. “My dear son,” answered Clymene to this complaint, “this young
prince
has no more glorious ancestors than your own; as
e sylvan ornaments of the majestic Eridanus. Cygnus, a young Ligurian
prince
, who was the intimate friend of Phæton, came also
ervices à Laomédon pour bâtir la ville de Troie. L’ouvrage achevé, ce
prince
refusa de leur donner le prix convenu ; mais il f
rait à la chasse avec non moins d’ardeur que Diane : un jour ce jeune
prince
, fatigué de sa course, venait d’inviter ses compa
e Lyncus. Ce tyran, jaloux de la préférence que Cérès avait donnée au
prince
grec, voulut l’assassiner ; mais Lyncus fut chang
ivinités de l’Olympe, qu’il soumettrait tous les héros de son sang au
prince
qui devait naître ce jour-là. Junon aussitôt pria
illent réunis dans des scènes champêtres Les héros des Troyens, leurs
princes
, leurs ancêtres ; Tous conservant les goûts dont
gérie, nymphe chérie de Numa, fut changée en fontaine à la mort de ce
prince
. On assure que la fontaine de Salmacis, dans la C
g and shaggy. Alarmed at this phenomenon, Pan took to flight, and the
prince
, desolate at the loss of his favourite, made one
t if she told it not the woman died. Loth to betray her husband and a
prince
, But she must burst or blab, and no pretence Of h
ld boar; and to rid their country of its ravages, he caused the Greek
princes
to assemble to the chase. Atalanta, daughter of t
Meleager; a fire immediately spread itself through the vitals of the
prince
, and he expired in the midst of torments, the mos
ructure high, Where sceptred angels held their residence, And sate as
princes
; Nor was his name unheard, or unadored, In ancien
their branches, and their apples, gold. Then Perseus the gigantic
prince
addressed, Humbly implored a hospitable rest: If
selves in the service of their country. Homer represents a hero as a
prince
of the ancient time, loved and protected by the G
ss, and from thence to Sparta, where, like the remainder of the Greek
princes
, they sought the hand of Helen. By the advice and
ound, and divided the plunder. The widows and daughters of the Trojan
princes
who were left behind, were obliged to remain in t
adventures. The glowing language and animating gestures of the young
prince
, together with the high deeds which he announced,
l. For the same reason we must omit the crowd of Emperors, Kings, and
Princes
, who, having the folly to believe themselves gods
ropa, who was carried away by Jupiter in the likeness of a bull; this
prince
being ordered by his father never to return if he
to place singing his lays to the music of his harp, in the courts of
princes
or the cottages of peasants, — a dependant upon t
d old of every civilized land.” In an incidental manner, Horace, the
prince
of Roman lyric poets, and the lyric and elegiac w
d epic poems, the most beautiful of which is the Episode of Nala, — a
prince
who, succumbing to a weakness common to his conte
y, grace, and maidenly vigor. She is associated with her brother, the
prince
of archery, in nearly all his adventures, and in
hematicians and astronomers. His agility and strength made him easily
prince
in athletic pursuits. His cunning rendered him a
ave warriors, who would willingly have perilled their lives for their
prince
, shrunk from the thought of dying for him on the
nefit from her charms. Her two elder sisters had long been married to
princes
; but Psyche’s beauty failed to awaken love. Conse
took to introduce his worship into Greece, but was opposed by certain
princes
who dreaded the disorders and madness it brought
and fled, leaving their dead unburied. Creon, the uncle of the fallen
princes
, now become king, caused Eteocles to be buried wi
brother of Tithonus and Hesione, was now old; but he had been a wise
prince
, and had strengthened his state by good governmen
friend, revolving in his mind what he had seen and heard. He told the
prince
the sad condition of affairs at the camp of their
ntinued its resistance. One of these allies was Memnon, the Æthiopian
prince
, whose story has been already told.355 Another wa
f old, in no inglorious days, The mode of spinning, when the Egyptian
prince
A golden distaff gave that beauteous nymph, Too b
l of tenderness and despair. Soon a recognition was effected, and the
prince
with the aid of his sister slew both Ægisthus and
s of finest texture, the work of Phæacian maidens. On these seats the
princes
sat and feasted, while golden statues of graceful
of Tyndareus, — being the daughter of his brother Icarius, a Spartan
prince
. Ulysses, seeking her in marriage, had won her ov
words recalled to the recollection of Æneas that Polydore was a young
prince
of Troy, whom his father had sent with ample trea
y at Last. — After touching at the island of Sicily, where Acestes, a
prince
of Trojan lineage, bore sway, who gave them a hos
ed him of the arrival of the foreigners, and of the attempts of their
prince
to rob him of his bride. Next, she turned her att
he had taken not from a dwarf, as in the Norse version, but from two
princes
, the sons of King Nibelung. Meanwhile Gunther dwe
h befallen since; The women all were weeping, and the Ritters and the
prince
, Also the noble squires, their dear friends lying
uperior to both. The Venus of the Medici was in the possession of the
princes
of that name in Rome when, about two hundred year
ne Et la contagion de sa triste fortune : Tel un flatteur délaisse un
prince
infortuné. Banni par eux il fuit, il erre abandon
l’encens brûlait sur leurs pas. Le sujet, dans ces jours de fête, Du
prince
devenait l’égal, Et le même bandeau royal Semblai
ue la pitié pénétrait dans son cœur. Priam lui prend les mains : ah !
prince
, ah ! mon vainqueur ! J’étais père d’Hector, et s
Laharpe. Patrocle, Fils de Ménœtius et de Sthénélé. L’un des
princes
Grecs qui allèrent assiéger Troie. Achille l’aima
chevaux, qu’ils n’obéirent pas au frein, et traînèrent le malheureux
prince
à travers les rochers. Le char se fracassa et Hip
trésor précieux, Qui me rendait si fière, et m’égalait aux Dieux. Ah
prince
! puisqu’enfin la fortune jalouse Défend un nom p
chille un époux qu’elle adorait ; elle vit dévouer à la mort, par les
Princes
Grecs, l’innocent Astyanax, qui lui retraçait l’i
lent réunis, dans des scènes champêtres, Les héros des Troyens, leurs
princes
, leurs ancêtres ; Tous, conservant les goûts dont
a des crimes. N’est-ce pas, en suivant ses horribles maximes, Que les
Princes
des Grecs ont offert sous leurs coups Le sang d’I
ut kind shepherds had found him and taken care of him, and the little
prince
had grown up. He was now living, still unknown an
in the world; carried off by Paris to Troy, 177. To avenge this, the
princes
of Greece waged war against Troy, 178, which, aft
e 144. Patrocle, Fils de Ménœtius et de Sthénélé. L’un des
princes
Grecs qui allèrent assiéger Troie. Achille l’aima
chevaux, qu’ils n’obéirent pas au frein, et traînèrent le malheureux
prince
à travers les rochers. Le char se fracassa et Hip
chille un époux qu’elle adoroit ; elle vit dévouer à la mort, par les
Princes
Grecs, l’innocent Astyanax, qui lui retraçoit l’i
a des crimes. N’est-ce pas, en suivant ses horribles maximes, Que les
Princes
des Grecs ont offert sous leurs coups Le sang d’I
ee Cassandra. G Ga′briel [Gabriel], in Jewish mythology is the
prince
of fire and thunder, and the angel of death to th
charrue, ce qui le démasqua, et l’obligea d’entrer dans la ligue des
Princes
Grecs. D. Dites-nous comment Ulysse a surmonté to
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