u à ce sujet : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout
prend
un corps, une ame, un esprit, un visage ; Chaque
il en avoit reçus. Il donna une de ses cornes aux nymphes qui avoient
pris
soin de son enfance, avec la vertu de produire to
ivins ; Bacchus eut plus de courage que les autres dieux : car, ayant
pris
la figure d’un lion, il combattit avec fermeté pe
cchus s’étant égaré un jour dans les sables brûlants de l’Arabie, fut
pris
d’une soif ardente, et ne pouvoit trouver une gou
piter avoit tout à coup arrêté les Romains, lorsqu’ils commençoient à
prendre
la fuite, en combattant contre les Sabins. D. Les
en une autre. Jupiter, dégoûté de Junon, aima plusieurs mortelles, et
prit
différentes figures pour les séduire. Il se trans
r d’airain où étoit enfermée Danaé, qui le rendit père de Persée ; il
prit
la figure d’un taureau, pour enlever Europe, qui
de Mycènes, sous la forme de ce prince, et devint père d’Hercule. Il
prit
la taille et la figure d’un jeune homme, pour pla
n paon, et attacha les yeux d’Argus à la queue de cet oiseau, qu’elle
prit
sous sa protection. Cependant., elle mit à la pou
faire. Métra, sa fille, que Neptune avoit aimée, obtint de ce Dieu de
prendre
toute sorte de formes, comme Protée. Son père la
issance prodigue. Si le voyage est long, n’en crains pas la fatigue :
Prends
mon char, mes dragons, et vole sur les vents. La
gue : Prends mon char, mes dragons, et vole sur les vents. La nymphe
prend
le char et les dragons volants, S’élève dans les
Ino, craignant pour elle-même et pour Mélicerte un pareil traitement,
prit
son fils dans ses bras, et se jeta avec lui, du h
illé Eut touché de ces prés le tapis émaillé, Je les vois loin de moi
prendre
un élan rapide, Nager sur les gazons comme en un
rne ? R. Il avoit été en effet dévoré par Saturne ; mais Jupiter fit
prendre
à son père un breuvage qui le força de rejeter Pl
précipité dans les enfers, pour avoir secouru les Titans. L’Érèbe se
prend
aussi pour une partie de l’enfer ou pour l’enfer
t qu’il ne le décelât, lui donna la plus belle des vaches qu’il avoit
prises
. Battus promit le secret. Mercure, pour s’assurer
de la sagesse et de la guerre. Lorsqu’elle préside à la guerre, elle
prend
le nom de Pallas ; lorsqu’elle préside à la sages
des amours de Vénus et d’Anchise ? R. La fable dit que Vénus, ayant
pris
du goût pour Anchise, descendant de Tros, fondate
neste curiosité, se lève adroitement pendant le sommeil de son époux,
prend
une lampe, s’approche du lit, et voit Cupidon. Ma
de punir Sémélé de la passion qu’elle avoit inspirée à Jupiter ; elle
prit
les traita de Béroé, nourrice de la princesse, et
ir son serment. Sémélé fut brûlée par la foudre ; le maître des dieux
prit
le petit Bacchus dont elle étoit enceinte, et l’e
de Apollon et Diane. Apollon fut surnommé Délien, du lieu où il avoit
pris
naissance. D. Quels sont les attributs du fils de
e devoit l’emporter sur la lyre d’Apollon. Midas, roi de Phrygie, fut
pris
pour juge, et adjugea la victoire à Pan, son ami.
oit la nymphe la plus chérie de Diane. Jupiter en devint amoureux, et
prit
la figure de Diane même pour tromper la nymphe tr
, est regardé comme le ministre du Sommeil, son père. Quelques-uns le
prennent
pour le dieu même du sommeil. On le représente av
: Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que Tireur
prend
pour un bandeau. ( La Motte.) D. Qu’étoit Astrée
dans l’Arcadie, et ravageoit touts les champs d’alentour. Hercule le
prit
, et l’apporta tout vivant à Eurysthée. 4°. Il y a
e fins tissus de lin ; On fait fumer l’encens, on fait couler le vin.
Prends
ce vase, ô mon fils ! afin qu’il nous seconde, In
endras dans les bras du repos. Mais à peine on l’attaque, il fuit, il
prend
la forme D’un tigre furieux, d’un sanglier énorme
uve la puissance ; Et, sûr de leur usage, il l’enseigne à son fils. «
Prends
le milieu des airs, et crois-en mes avis ; » N’ap
yant ces mortels voyager dans les cieux, S’étonne, les admire, et les
prend
pour des dieux. ( Ovide, trad. de Saintange.) D.
soleil fondit la cire de ses ailes, et Icare tomba dans la mer qui a
pris
de lui le nom de mer Icarienne18. Le malheureux D
fils qui porta le nom, de sa mère. Phèdre, fille de Minos, que Thésée
prit
depuis pour femme, devint éperdument amoureuse du
dorée. Phryxus, fils d’Athamas, et Hellé, sœur du jeune prince, ayant
pris
la résolution de s’enfuir de la maison paternelle
Créuse une cassette pleine de pierres précieuses ensorcelées. Le feu
prit
à la cassette et consuma la princesse et le roi s
rvit de guide. La ville qu’il bâtit fut appelée Thèbes, et la contrée
prit
le nom de Béotie. D. Cadmus régna-t-il long-temps
n’en épargna que la maison et la famille du poëte Pindare qui y avoit
pris
naissance. Viens servir l’ardeur qui m’inspire :
ylles, c’est que celle de Cumes a voyagé en divers pays, et qu’elle a
pris
les noms des lieux qu’elle a parcourus. D. Racont
uumvirs. Le nombre des gardiens fut porté dans la suite à quinze, qui
prirent
le nom de Quindécemvirs. On ne pouvoit consulter
ieu bienfaisant guida vers vous mes pas : La pitié me saisit, je vous
pris
dans mes bras ; Je ranimai dans vous la chaleur p
n, Œdipe s’exila de Corinthe, et réglant sa marche sur les astres, il
prit
le chemin de la Phocide. Il rencontra Laïus dans
ops resta possesseur d’Hippodamie. Il étendit beaucoup ses états, qui
prirent
de lui le nom de Péloponèse. D. Quels furent les
Egisthe. Reconnu par son père, il se chargea de faire périr Atrée, et
prit
le temps d’un sacrifice pour l’assassiner. Egisth
signifie racheté ; il s’appeloit auparavant Podarcès. Quand Priam eut
pris
la place de son père, il fortifia la ville de tou
re dans la ville le fameux cheval de bois. 6°. Les Grecs ne pouvoient
prendre
Troie, s’ils n’avoient dans leur armée un fils d’
t ses secours. Mais Ulysse trouve moyen de lever cette difficulté. Il
prit
de la rouille qui se trouvoit à la lance d’Achill
énie et Electre, et un fils nommé Oreste. D. Quelle princesse Ménélas
prit
-il pour épouse ? R. Il épousa la belle Hélène, s
ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère ;
Prends
pitié de l’état où tu me vois réduit Quoi ! jusqu
t d’Achille devant Troie. R. Achille, dans le sac de Lyrnesse, avoit
pris
Chryséis, fille de Chrysès, grand-prêtre d’Apollo
effet, il se retira dans sa tente, et pendant près d’une année il ne
prit
plus aucune part à la guerre. D. Quel événement d
ire les Thessaliens contre les Troyens. Achille y consentit. Patrocle
prit
donc les armes du fils de Thétis, et réimporta de
os sanguinaire Sentit que la pitié pénétroit dans son cœur. Priam lui
prend
les mains : « Ah ! Prince, ah ! mon vainqueur ! »
e me punir, Au comble des douleurs tu m’as fait parvenir : Ta haine a
pris
plaisir à former ma misère ; J’étois né pour serv
veuglé lui-même, se retirèrent pour éviter sa fureur. D. Quels moyens
prit
Ulysse pour sortir de la caverne de Polyphème ?
une faux. Il va se contempler dans le miroir des eaux ; Il cherche à
prendre
un air moins dur et moins farouche : L’ardente so
ri. Ce crime la rendit si odieuse à ses sujets, qu’ils la forcèrent à
prendre
la fuite ; le Soleil la transporta dans son char,
ent lui arriver. Circé lui indiqua aussi les précautions qu’il devoit
prendre
pour échapper aux Sirènes. Après avoir évité avec
s, ne pouvant plus obtenir de nouveaux délais, elle s’étoit engagée à
prendre
pour époux celui qui le lendemain pourroit tendre
d’Hercule qui donna la mort à touts ses frères, parce qu’ils avoient
pris
parti pour Augias. Il fit le voyage de la Colchid
nseils. Agamemnon disoit que s’il avoit dix Nestor dans son armée, il
prendroit
la ville en peu de temps, Son éloquence étoit si
sque les Grecs feignirent de lever le siége de Troie, Sinon se laissa
prendre
par les Troyens, et leur dit qu’il venoit cherche
armure impuissante Ce vieillard charge en vain son épaule tremblante,
Prend
un glaive à son bras dès long-temps étranger, Et
ouclier, y reste suspendu. Achille est ébranlé du choc inattendu ; Il
prend
son javelot, dans les airs le balance Et, de tout
a, Énée chargea sur son dos son père Anchise, avec ses dieux pénates,
prit
son fils Ascagne par la main, et se retira sur le
llard Anchise, qui ne pouvoient se fixer sur le parti qu’ils devoient
prendre
. Anchise ne se décidoit point à quitter la ville.
dre en même temps à gauche. Ces augures leur parurent favorables. Ils
prirent
la résolution d’aller chercher un établissement d
re, apparut à Didon, lui révéla le crime de Pygmalion, et l’engagea à
prendre
la fuite. Didon rassembla touts ceux qui haïssoie
le dernier cri s’échappe avec mon ame. » Et toi, mon peuple, et toi,
prends
son peuple en horreur : » Didon au lit de mort te
ainsi que mon ombre exige qu’on l’honore. » Sors de ma cendre, sors,
prends
la flamme et le fer, » Toi qui dois me venger des
tre-vingt-dix ans, sans avoir été marié. Sa mère le pressa en vain de
prendre
une femme. Il lui répondit, lorsqu’il étoit encor
’importance qu’il attache à des jeux d’enfants, c’est l’intérêt qu’il
prend
pour un lapin et une belette, qui font qu’on est
chacun d’eux se désaltère. Après qu’abondamment touts deux en eurent
pris
, Le Renard dit au Bouc : Que ferons-nous, compère
, fab. 12.) On acquiert des mœurs avec les personnes qui en ont : ou
prend
des manières polies et gracieuses avec les gens a
Et les Carpillons demeurèrent ; Bientôt ils furent
pris
, Et frits.
moque de tout ; certain âge accompli, Le vase est imbibé, l’étoffe a
pris
son pli. En vain de son train ordinair
poux et au repos des familles, combien les parents ne doivent-ils pas
prendre
de soins pour en faire naître l’amour dans le cœu
R. Non ; et le bon La Fontaine nous avertît de ne point nous laisser
prendre
aux apparences. Un renard voyant une belle tête :
que toujours d’intelligence avec le flatteur. Elles ne sauroient donc
prendre
trop de précautions pour ne pas devenir les victi
Le Corbeau, honteux et confus, Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y
prendroit
plus. (Liv. 1, fab. 2.) D. La modestie ne peut-
oin, que l’orgueil les recherche avec avidité. Lorsque Jupiter
prit
le soin D’assigner aux Vertus leur rang auprès de
O vous que la grâce accompagne, Lui dit le Dieu, les rangs sont déjà
pris
; Mais des autres Vertus vous serez la compagne,
la fin, Fidelle et sûr dépositaire. Les jeunes personnes doivent
prendre
de bonne heure l’habitude d’être scrupuleusement
stime de ses semblables, et le rend le fléau de la société. Le fourbe
prend
touts les titres, se couvre de toute les masques
e fâcher quand on badine ? Ne suis-je pas ton bon ami ? —
Prends
le nom qui convient à ton humeur maligne,
, toutes trois : Ta bonne foi sera récompensée. — En ce cas-là je les
prendrai
, dit-il. L’histoire en est aussitôt dispersée ; E
Que, se croyant estropié, Il fait un si grand bruit que l’oiseau
prend
la fuite. Par la foible Fourmi, ce service rendu
teux de recevoir. D. Quels soins les personnes du sexe doivent-elles
prendre
, pour garantir leur réputation des atteintes de l
Ennemi du travail et de l’embarras, il remplit des emplois pénibles,
prend
non-seulement sur ses aises, mais encore sur son
crée. Qu’il allât ou qu’il vînt, qu’il bût ou qu’il mangeât, On l’eût
pris
de bien court, à moins qu’il ne songeât A l’endro
nde à quel sujet ses cris. — C’est mon trésor que l’on m’a
pris
. — Votre trésor ? où pris ? — Tout joignant cette
— C’est mon trésor que l’on m’a pris. — Votre trésor ? où
pris
? — Tout joignant cette pierre. — Eh !
La Fontaine. Le Laboureur et ses enfants. Fable. Travaillez,
prenez
de la peine, C’est le fonds qui manque le
mpio, et se jette dans le golfe de Salonichi. 13. Le fleuve du Tibre
prend
sa source dans l’Apennin, et se jette dans la mer
consentit à se désister de l’empire, pourvu que son frère à son tour
prît
l’engagement de n’élever aucun enfant mâle, et qu
s, et se sauvèrent tous, excepté Bacchus, au fond de l’Égypte, où ils
prirent
, pour se mieux cacher, différentes formes d’anima
ieusement derrière lui, en fermant les yeux. Ces pierres s’animèrent,
prirent
une figure humaine et devinrent des hommes ; les
hus. Junon, qui regrettait toujours le fidèle espion tué par Mercure,
prit
ses cent yeux, les répandit sur la queue du paon
yrte, se lavaient les mains, écoutaient la lecture des lois de Cérès,
prenaient
un léger repas, et entraient dans le sanctuaire,
d’un soldat, et plaida si bien qu’il fut renvoyé absous. Ce tribunal
prit
alors le nom d’Aréopage16. La guerre de Troie sur
14. Apollon. Apollon ou Phébus, conducteur du char du soleil, est
pris
souvent pour le Soleil même. Il naquit dans l’île
pour la belle nymphe ; et la nymphe, loin de répondre à sa tendresse,
prend
la fuite et se dérobe à ses regards. Apollon cour
mettrait à la discrétion du vainqueur ». Les habitants de Nysa furent
pris
pour juges du combat : Marsyas parut le premier a
la terre et les cieux. Suis le milieu : c’est là le chemin qu’il faut
prendre
. » Apollon parlait encore, et déjà le présomptue
trop bas et dessèchent les rivières. Ce fut alors que les Éthiopiens
prirent
ce teint noir qu’ils conservent encore aujourd’hu
marquait de l’œil sa première victime, lorsque soudain ces neuf sœurs
prennent
des ailes, s’envolent et fuient avec la légèreté
ent des temples et des autels. A peine eut-elle fini, que les nymphes
prises
pour juges lui décernèrent la victoire. Les fille
poussèrent, en le voyant, un cri d’horreur ; Mercure au contraire se
prit
à rire, enveloppa l’enfant chèvre-pied dans une p
ins. Mais le dieu des saisons, Vertumne, ne se laissa pas rebuter. Il
prit
toutes sortes de formes et employa mille déguisem
e métamorphoses, d’échapper à ceux qui l’avaient enchaîné : tantôt il
prenait
la figure d’un sanglier, d’un tigre, d’un dragon
eau fluide, une flamme pétillante, un arbre, un rocher. Mais plus il
prenait
de formes différentes pour tromper les yeux ou ef
uivra leurs efforts. (Le nom de protée, dans le langage ordinaire, se
prend
en mauvaise part, et désigne un homme versatile,
don en Béotie, ayant vu que les poissons qu’il jetait sur le rivage y
prenaient
une vigueur nouvelle et s’élançaient dans la mer,
uche une clepsydre, sorte d’horloge. Au-dessus de sa tête un papillon
prend
son vol : c’est le symbole de la vie future. Les
débarrassa la contrée de ces reptiles.) 3° Eurysthée lui commanda de
prendre
et d’amener vivante une biche aux cornes d’or et
rcadie d’un sanglier furieux qui dévastait cette province. Hercule le
prit
dans la forêt d’Érymanthe, et l’apporta à Eurysth
es béliers, et allaient ainsi équipés à la rencontre de l’ennemi. Ils
prirent
, pour attaquer Hercule, les mêmes précautions qu’
nemi. Ils prirent, pour attaquer Hercule, les mêmes précautions qu’on
prendrait
pour faire le siége d’une ville. Les deux ailes d
r le bord de l’Événus, grossi par les pluies. Il ne savait quel parti
prendre
, craignant d’exposer Déjanire à la rapidité des e
janire, qui appelle et implore du secours : le centaure l’enlevait et
prenait
la fuite. « Téméraire, lui crie Hercule, la vites
: elle était empoisonnée. Nessus, en mourant, songe à se venger : il
prend
sa tunique, infectée de sang et de venin, la donn
aux fils, petits-fils, neveux et arrière-neveux d’Hercule ; leur fait
prendre
les armes, exalte leur courage, et s’avance à leu
ersée se déroba à leur poursuite par le moyen du casque de Pluton, et
prit
son essor dans les airs, emportant la tête de Méd
e prix, je jure de la délivrer. » La condition est acceptée. Le héros
prend
son vol, s’élève, retombe comme un trait sur la c
irrités de cette barbarie, que Jason et Médée se virent contraints de
prendre
la fuite ; ils se retirèrent à Corinthe, auprès d
t soudain sur un char traîné par des dragons, elle fendit les airs et
prit
la route d’Athènes. Après cette catastrophe, Jaso
es fleuves remontaient vers leur source pour l’entendre ; les rochers
prenaient
de la vie et marchaient à lui. Toutes les nymphes
lui fut refusée, et il demeura sept jours au bord de l’Achéron, sans
prendre
de nourriture, baigné de ses larmes et se consuma
evenir, s’étonne et commence à s’inquiéter. Il revêt sa peau de lion,
prend
sa lance et son javelot, et marche à pas précipit
mblable bataillon lui inspirait quelque crainte, et il se disposait à
prendre
les armes, lorsqu’un de ces enfants de la terre s
ille de Thèbes. Quand elle fut achevée, Cadmus y établit des lois, et
prit
de sages mesures pour y maintenir entre les citoy
éraire projet ; mais Pluton, informé à temps du motif de leur voyage,
prit
si bien ses mesures qu’une fois entrés ils ne pur
hôte était porteur ; mais pour ne pas souiller de sang son palais, il
prit
le parti d’exposer Bellérophon aux plus grands da
profondes, dit un poète, ses épaules dominaient les eaux. » Diane le
prit
à sa suite, lui donna les premiers emplois de sa
Corinthe. Ce berger s’appelait Phorbas ; il eut pitié de l’enfant, le
prit
dans ses bras, et le porta à Péribée, femme de Po
et protégé par Minerve, il sut si habilement parer leurs atteintes et
prendre
son avantage, qu’après une lutte sans exemple il
ouleurs aiguës. Mais le désir de la vengeance ranimant ses forces, il
prend
un javelot et le lance à son adversaire qui en es
impie et un blasphémateur. Sous les murs de Thèbes, il se vantait de
prendre
cette ville quand même Jupiter et tous les dieux
tre Thèbes. Le but des Épigones 46 était de venger leurs pères, et de
prendre
la ville de Thèbes. Ayant à leur tête Alcméon, fi
tte perte, les Thébains consultèrent le devin Tirésias sur le parti à
prendre
dans cette funeste conjoncture : et Tirésias leur
Polynice, Thersandre, à qui revenait de droit le trône de Thèbes, en
prit
possession, et l’occupa sans contestation jusqu’à
le mont Ida, et transporta de là Ganymède à la table des dieux. Ilus
prit
un soin particulier d’embellir la ville de Troie
mes aux dames de la cour. Toutes choisirent des bijoux ; Achille seul
prit
des armes. Ce choix le trahit. Obligée de consent
silée, reine des Amazones, et Troïle, fils de Priam. Ayant assiégé et
pris
Lyrnesse, ville de Troade, il demanda et obtint e
n épée. Frappés d’épouvante à la vue des armes d’Achille, les ennemis
prennent
la fuite. Patrocle renverse tout ce qui se présen
oyens se précipite avec des cris d’effroi vers la ville. Mais Apollon
prend
pitié d’eux : il envoie Hector contre Patrocle. H
ge de la Mysie, il tua un grand nombre d’ennemis, et força le reste à
prendre
la fuite. Sa victoire eût été complète, si Bacchu
is l’oracle de Delphes ayant annoncé aux Grecs « qu’ils ne pourraient
prendre
la ville de Troie avant que ces flèches fussent e
sortir de son asile. Il approche : les Phéaciennes poussent un cri et
prennent
la fuite, excepté Nausicaa, aux pieds de laquelle
e dans la lice, « Ce sera moi cc qui le courberai », s’écrie-t-il. On
prend
à peine garde à lui. Il insiste, il invoque l’équ
rincesse, à côté de son père, brûlait des parfums sur l’autel, le feu
prit
à sa chevelure et à ses habits, sans lui faire de
pas homme à se départir facilement de ses droits sur Lavinie. Il fait
prendre
les armes aux Rutules, il entre en campagne : Éné
esses de Sichée et celles de l’avare Pygmalion. La princesse fugitive
prit
d’abord terre dans l’île de Chypre, d’où elle fit
éfi, que le dieu de l’harmonie accepta sans balancer. Les deux rivaux
prirent
pour arbitre le vieux Tmolus, roi de Lydie ; auto
re une paire d’oreilles longues et velues… Effrayé de ce prodige, Pan
prit
la fuite et ne dit mot : Apollon se retira vengé.
isiphone revêt sa robe ensanglantée, arme sa main droite de serpents,
prend
de la gauche une torche incendiaire, et sort des
ne avec ses lionceaux. » Et en même temps il poursuit la reine, qu’il
prend
pour une bête féroce, arrache d’entre ses bras le
bîme les reçoit et les engloutit. Mais à la demande de Vénus, Neptune
prit
en compassion leur triste sort ; et, les dépouill
igner du miroir des eaux. Plus il se regardait, plus sa folle passion
prenait
d’accroissement : il soupirait, tendait les bras
nfants, qui tous répondirent aux soins que cette mère attentive avait
pris
de leur éducation. Ses fils étaient bien faits, a
e ». Les larmes qu’il versait en abondance persuadèrent Progné ; elle
prend
des habits de deuil, dresse un cénotaphe, et rend
e la tête de l’entant. A cette vue, il pousse un cri de désespoir, et
prend
son épée, dont il veut frapper les cruelles sœurs
; mais l’orage croissant d’heure en heure, il ne sait plus quel parti
prendre
, ni quels ordres donner. Les voiles sont déchirée
ge humeur. Un prince puissant, jeune, aimable, l’Amour lui-même67, se
prit
d’affection pour elle, et imagina une ruse pour s
e familiarisé auprès de vous, finira par vous étouffer ? Prévenez-le.
Prenez
cette lampe et ce poignard. Voyez à qui vous avez
voyant se répéter, et devenir à la fin journalières et importunes, il
prit
une résolution dictée par sa farouche humeur ; il
mis, la voûte s’ébranla, le roc sembla s’entr’ouvrir, et les convives
prirent
la fuite. Lui seul resta, et de ses mains nerveus
x : ils lui arrachèrent le sceptre et la bannirent de leur pays. Elle
prit
la route de l’Italie, emportant ses secrets avec
Dardanus, appelée Idæa. Cette femme, d’un naturel jaloux et pervers,
prit
en aversion les enfants du premier lit, résolut l
ieuse. Dans cet abandon général, il eut recours à Jupiter, qui daigna
prendre
pitié de lui, le transporta au ciel, et le fit as
edescendre aux Enfers. Il fallut recourir à la force. Mercure vint le
prendre
au collet, et le reconduisit chez Pluton, qui le
t lui fut accordé ; mais alors elle se moqua du dieu trop crédule, et
prit
la fuite. Le dieu à son tour se moqua d’elle, par
ire du succès de l’expédition ; et chaque spectateur, chaque athlète,
prit
l’engagement de revenir à Olympie pour le même ob
ot, on disait le pentathle, c’est-à-dire les cinq combats. Des juges,
pris
chez les Éléens, présidaient à ces fêtes ; ils y
d’Égypte. Il fut aperçu une dernière fois, lorsque Byzance, l’an 350,
prit
le nom de Constantinople, et l’on en tira, pour l
mené captif avec les autres Troyens ; sa rançon fut ensuite payée, il
prit
le nom de Priam (qui signifie racheté), et rentra
ombat. L’Egypte et la Phénicie sont le berceau de l’idolâtrie. Elle a
pris
naissance dans la famille de Cham, dont les deux
sissait les Vestales dans les plus illustres maisons de Rome ; on les
prenait
dès l’âge de six à dix ans. Cérès. Stellio. —
é. Elle l’obtint. Son père la vendait pour de l’argent ; ensuite elle
prenait
une nouvelle forme, et il la revendait de nouveau
du fleuve Phlégéton, et le métamorphosa en hibou, oiseau que Minerve
prit
ensuite sous sa protection, parce qu’il l’avertis
pendance la mer Méditerranée, avec ses côtes et ses îles. Dès lors on
prit
l’Olympe pour le ciel, et l’on ne parla plus de l
le rendre plus glissant ; et il se tenait si ferme que des hommes qui
prenaient
leur secousse, et qui le heurtaient de toutes leu
à la première secousse, puis se referme ; le bras de Milon s’y trouva
pris
, et tons les efforts de cet homme autrefois si fa
ssance, Jupiter, d’un coup de pied, le précipita du ciel. Junon ayant
pris
parti contre son mari dans la guerre des Géans, J
levé. Un jour, vers le soir, voulant écarter quelque bête sauvage, il
prend
son arc et ses flèches, le trait part, et va frap
happer à la fureur d’Ino leur marâtre. Le Taureau, celui dont Jupiter
prit
la forme pour enlever Europe. Les Gémeaux, sont l
aiterait le plus. Œnopeus dit qu’il désirait ardemment être père sans
prendre
de femme. Il obtint cette faveur : les dieux fire
de Babylone. Pour entretenir la belle Leucothoé sans témoin, le dieu
prit
la figure d’Eurynome, mère de la princesse ; et f
il reprit sa forme divine. La peste cessa aussitôt. » Les poètes font
prendre
à Esculape la figure du serpent, symbole de la pr
terre et les cieux : « Suis le milieu ; c’est là le chemin qu’il faut
prendre
. « Il y va de tes jours à le bien observer : « On
que le vent. Ne reconnaissant pas la main novice qui les guidait, ils
prirent
l’écart, et embrasèrent le ciel et la terre. Jupi
disent qu’elle déshonora son nom et sa naissance par l’amour qu’elle
prit
pour un taureau, dont elle eut le Minautaure avec
iles dont elles se firent des couronnes. D’autres rapportent qu’elles
prirent
des ailes pour échapper aux outrages de Pyrénée,
our Apollon et Pan firent un défi dont Midas et le Mont Tmolus furent
pris
pour juges. Tmolus, pour mieux les entendre, écar
e pria Jupiter de lui donner le don de chasteté. Diane, sur la terre,
prenait
plaisir à poursuivre les animaux des bois, suivie
isto : la vaine Chionée éprouva aussi son courroux. Un jour que Diane
prenait
le bain avec ses nymphes dans un lieu solitaire,
e mari, n’eut pas plutôt connu sa rivale, qu’elle jura sa perte. Elle
prit
la figure de Béroé, nourrice de la princesse, et,
e les éléphans dont les Indiens se servaient, en furent épouvantés et
prirent
la fuite. Cet incident contribua au gain de la vi
nt précieusement. Surnoms de Mercure. Mercure eut plusieurs noms
pris
de ces différens emplois. Il s’appelait Agoreus,
oir, son bonheur, ou sa peine secrète ; « Et qu’un secret dont on
prend
la moitié « Est un dépôt sacré qu’on ne peut se p
Vénus, pour le soustraire aux desseins funestes du maître des dieux,
prit
son fils dans ses bras, et faible encore, elle se
r. Le roi des mers, devenu confiant par faiblesse, ou par nécessité,
prit
les deux dauphins pour ses confidens, et se repos
ntre les Géans ; ces colosses, épouvantés d’un son si extraordinaire,
prirent
la fuite, et laissèrent aux dieux la victoire. Le
t empêcher ses compagnons d’être séduits par la douceur de leur voix,
prit
son luth, sur lequel il chanta avec tant de perfe
happait au moment où l’on croyait le tenir : tigre, lion, serpent, il
prenait
toutes les formes pour effrayer ceux qui le consu
u’il venait de poser sur le rivage, ayant goûté d’une certaine herbe,
prenaient
de la force et resautaient ensuite dans l’eau, il
ts. Neptune les reçut l’un et l’autre au nombre des dieux marins. Ino
prit
le nom de Leucothé, et Mélicerte celui de Palémon
de son conseil que Scylla découvrit, et les clefs de la ville qu’elle
prit
pendant son sommeil. Alcyons. Les Alcyons,
des Gentils l’Air et le Vent ; ainsi il est présumable que les Grecs
prirent
ce culte des Orientaux. Les auteurs varient sur l
tranquille dans son royaume, que personne ne lui disputait, songea à
prendre
une femme. Rebuté de toutes les déesses à cause d
empire, il s’en plaignit à Jupiter ; mais cela ne servant de rien, il
prit
le parti d’enlever Proserpine, fille de Cérès, pe
rreur soudaine inspirée par le dieu Pan, s’empara de leurs âmes ; ils
prirent
l’alarme, et se crurent poursuivis par les Grecs
la nymphe alarmée des poursuites du dieu, et voulant s’y soustraire,
prit
la fuite. Lorsqu’elle fut près des bords du fleuv
elle les anciens donnaient l’intendance des bois et des vergers. Elle
prenait
ce nom de la ville de Féronie, située au pied du
e montagne il y avait un petit bois qui lui était consacré ; le feu y
prit
par hasard ; aussitôt les habitans se hâtèrent d’
le feu y prit par hasard ; aussitôt les habitans se hâtèrent d’aller
prendre
la statue de la déesse pour la transporter ailleu
uguste où l’on voit cette déesse avec une couronne. Les affranchis la
prenaient
pour leur divinité, parce que c’était dans son te
renaient pour leur divinité, parce que c’était dans son temple qu’ils
prenaient
le chapeau ou le bonnet, marque de leur affranchi
qui montra le plus d’empressement à lui plaire. Ce dieu, après avoir
pris
différentes formes pour avoir occasion de la voir
est ainsi appelé du mot latin vertere, tourner, changer, parce qu’il
prenait
à volonté toutes sortes de formes. Il se servit s
grand appartement pour les dieux Pénates. Les Pénates domestiques se
prenaient
parmi les grands dieux, quelquefois même parmi le
Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur
prend
pour un bandeau. Lamotte. Momus Momus,
suite l’oracle se vérifia par les précautions mêmes qu’Acrisius avait
prises
pour s’y soustraire : car Persée, qui ne connaiss
urnoi. Polydecte, à la cour duquel Persée s’était rendu avec sa mère,
prit
un grand soin de son éducation ; mais, quelques a
erpens pour l’étouffer ; mais le héros, déjà d’une force prodigieuse,
prit
entre ses mains les deux serpens et les mit en pi
ès de Lixe ou Lixus, aujourd’hui Larache, dans le royaume de Fez. Ils
prenaient
leur nom de la situation du lieu où l’on croyait
d’Athènes, était contemporain d’Hercule, et son proche parent ; il le
prit
pour modèle et fut un héros. Thésée, témoin des i
, dont étaient aussi les Centaures ; ceux-ci, dans la chaleur du vin,
prirent
querelle avec les Lapithes et en tuèrent plusieur
ieu bienfaisant guida vers vous mes pas. La pitié me saisit : je vous
prends
dans mes bras. Je ranime dans vous la chaleur pre
ec Achille, s’attacha à Patrocle, qu’il défit aisément, quoiqu’il eût
pris
les armes d’Achille. En apprenant la mort de son
rent employées par les Grecs à soumettre plusieurs villes qui avaient
pris
les armes pour la défense de Priam. La trahison d
ers Achille semble justifier la ruse dont les Grecs se servirent pour
prendre
la ville de Troyes. Ils firent semblant de se ret
de toutes ses forces ; mais Sinon, aposté par Ulysse, s’étant laissé
prendre
, leur dit que c’était un vœu des Grecs pour apais
se le pria de quitter un habit à la phrygienne qu’il portait, pour en
prendre
un qu’elle avait tissé pendant son absence ; le r
a sa sœur en mariage à Pylade ; lui-même épousa Hermione ; ensuite il
prit
le gouvernement de ses états. Ulysse Ulys
rintemps : Ni le temps ni l’hymen n’éteignirent leur flamme ; Clothon
prenait
plaisir à filer cette trame. Ils surent cultiver,
e. En doutez-vous ? Je ne veux qu’un exemple pour vous convaincre. Je
prends
sur ma table un journal, non pas l’Almanach des M
dans Paris avec ses lois, sa langue, sa politesse et ses arts, je fus
pris
d’un irrésistible désir de revoir ma ville bien-a
ux sans retour. Des poëtes barbares montèrent à l’assaut de l’Olympe,
prirent
Jupiter par la barbe et l’en firent descendre. Le
ort et la douleur : la sueur coulait de leur front. Deux héros que je
pris
l’un pour César, l’autre pour Alexandre, levaient
’aurions pas le sixième livre de l’Énéide. Les Français, qui ont tout
pris
aux Latins, n’ont pas oublié de s’approprier la b
lut rien moins qu’un Hercule pour la nettoyer. Il semble difficile de
prendre
au pied de la lettre cet exploit singulier, qui t
plus rien de religieux. Il y a une nuance entre ces deux mots, qui se
prennent
souvent l’un pour l’autre. Une bacchanale est une
s en poésie il figure encore assez dignement. Centaure impétueux, tu
pris
sa chevelure Et montas botté sur son dos.
iques et philosophiques l’absurdité de ce qu’il appelait un conte, il
prenait
les croyants à partie et les poussait vigoureusem
e Nouveau-Monde après une première apparition, la fable des Centaures
prenait
rang dans la mythologie américaine. Sans aller ju
sa cabane, si humble que fût le gîte. « La déesse refuse. Elle avait
pris
la forme d’une vieille femme, une mitre emprisonn
es. Mais la ville pieuse entre toutes était Eleusis. Là, des prêtres,
pris
dans les premières familles athéniennes, enseigna
te et faisait aboyer tous ses chiens. A ce bruit les matelots étaient
pris
de vertige, et d’étranges visions passaient sous
uleurs qui me retournent la cervelle sens dessus dessous. Vulcain. —
Prenez
-y garde, Jupiter. La hache coupe bien et il y aur
s de son fils Icare, et, sur cet appareil flottant, les deux fugitifs
prirent
leur essor vers les côtes de Sicile. On sait quel
ret. Or, quand, par la volonté de Notre-Seigneur-Père, ce feu vient à
prendre
au démon, il le chasse du corps, et, l’ennemi mis
ux qui la lisent la comprennent-ils bien ? et ceux qui l’emploient ne
prennent
-ils pas le Pirée pour un nom d’homme ? Je ne hasa
s médiocre, de même que dans les grands siècles tout n’est pas grand.
Prises
isolément, elles auraient aussi leur grandeur ; m
La Fontaine avait assisté à leurs fêtes nocturnes, car où aurait-il
pris
les traits dont il nous peint la princesse de Con
d’un chien pour le conduire. — Vous avez deviné ; mais bien vous en a
pris
d’être fort en géographie, en histoire et en myth
de l’erreur, etc. Voilà bien des hydres qui attendent leur Hercule.
Prends
ta foudre, Louis, et va comme un lion Porter le d
diteurs Libations. Deux braves gens attablés au cabaret se sont
pris
de querelle. Il y a eu quelques verres cassés, qu
» Cette note deviendrait exacte avec deux légers changements que je
prends
la liberté de proposer : Le lynx a la vue perçant
guette que Béranger fait allusion dans ce pénible distique : Momus a
pris
pour adjoints Des rimeurs d’école. De Mom
stères et les moralités comme les farces et les soties. Momerie ne se
prend
plus aujourd’hui qu’en mauvaise part. « Les momer
l’encre. Voilà, j’espère, un critique que les plus difficiles peuvent
prendre
pour patron. Et c’est cependant le même Momus don
nce les fait soupirer. Il faut l’étudier avec passion, avec patience,
prendre
au besoin la loupe du savant, arracher un à un le
er dans ce livre où l’on apprend à se haïr soi-même. A quoi bon ? Ils
prendraient
leur image pour celle du voisin. On dirait que la
ient leur image pour celle du voisin. On dirait que la bonne nature a
pris
à tâche de réparer l’imperfection de ses œuvres e
la coupe à la main, dans la salle des banquets, les Immortels furent
pris
d’un rire inextinguible, et le noir échanson s’al
Académie, etc. Ombres. (Voir Mânes.) Il est clair que ce terme,
pris
dans son acception religieuse, n’offre aucun sens
oint de moine, l’acteur Legrand est un spectre invraisemblable. On le
prendrait
pour le portier du mausolée. Cette fois la pièce
semble que les hommes ne se croient pas assez malheureux, puisqu’ils
prennent
plaisir à surcharger leurs maux présents des inqu
ut qu’ils soulèvent un coin du voile qui sépare demain d’aujourd’hui.
Prenez
de tous les mortels le plus affligé du sort, le p
pour cause, en termes couverts et ambigus. De là ces expressions : —
Prendre
un ton d’oracle, rendre ses oracles ; je ne compr
partisans, c’étaient des parvenus ignorants qui, pour singer la cour,
prenaient
des airs de connaisseurs et décourageaient les ar
és nous amusent encore. Lui aussi encourage les arts à sa manière. Il
prend
un maître de philosophie pour apprendre l’orthogr
immense ambition, le désir et les moyens de la satisfaire. — S’il lui
prenait
envie d’escalader le ciel et de détrôner les dieu
dans les peaux des victimes et dit au dieu : « Choisissez. » Jupiter
prit
au hasard et tomba sur les os. Vulcain fut encore
tomba sur les os. Vulcain fut encore l’exécuteur de sa vengeance. Il
prit
un marteau, une enclume, du plomb fondu, des croc
le ménade et le crabe, subissent des métamorphoses analogues avant de
prendre
leur forme définitive. On dirait que la nature a
op subtils, dont Rabelais dit quelque part : « On pourra d’oresnavant
prendre
les lions par les crinières, les chevaulx par les
arbe, les oiseaulx par les pieds ; mais jà ne seront tels philosophes
pris
par leurs paroles. » Nous le retrouvons avec pl
Enfin Saturne, aidé par sa mère, l’emporte sur Ciel et le détrône. Il
prend
sa place, épouse Rhéa, sa sœur, et dévore tous se
s le don d’évocation, j’irais droit aux caveaux de Saint-Denis, et je
prendrais
par la main non pas Clovis, ni saint Louis, ni mê
résoudre, la pénétration d’un Œdipe. On dit aussi d’une personne qui
prend
des airs mystérieux qu’elle a des attitudes de sp
ir des conceptions aussi sombres que les chrétiens du moyen âge, sans
prendre
comme eux un farouche plaisir à multiplier dans l
le convoitise. Comparaison aussi fausse qu’ingénieuse. Car, à le bien
prendre
, ce fameux supplice consiste moins à désirer ce q
omme un bouclier d’Argos ou comme le disque de la lune. De là Cyclope
pris
dans le sens de borgne. Frédéric II écrit à Volta
us il leur a été possible de rendre obscures ces fables, plus ils ont
pris
soin de le faire, et cela chez tous les peuples,
— D’après ces diverses manières de voir sur les principes qui firent
prendre
à l’univers un aspect régulier, nous dirons que l
ant le surnom synonyme d’Archigénetle. Cybèle. — Mais, lorsqu’on la
prit
dans son large sens, à la manière des Phrygiens,
pas au roi, il finit par tuer ce tendre amant et força la princesse à
prendre
la fuite. Sans changer le résultat de cette légen
, Jupiter, Junon, Vesta et Cérès. Le difficile pour Rhée était de s’y
prendre
de manière à faire vivre ses enfans mâles, car Ch
n donnait des festins dans les rues. Les boulangers et les meûniers y
prenaient
la plus grande part ; pour se rendre la déesse fa
; aussitôt il en est épris, et ne sachant comment s’en approcher, il
prend
la forme d’un cheval, poursuit la pauvre nymphe j
emblent le plus éloignés de présenter un sens caché. Déjà l’on pourra
prendre
une idée de ses attributs et de son pouvoir en pa
les pelories ; Philaletès, ou ami de la vérité ; Physicus, ou l’Ærien
pris
physiquement ; Piseus, ou de Pise ; Pistius, ou d
en admettant que la plupart des rois des temps primitifs de la Grèce
prenaient
ce titre. Ainsi, outre les précédens, on désignai
e, qui déjà avait épousé Rhéa, et de son grand-père Uranus, qui avait
pris
pour femme Titea ou Titia. Ses États étant trop é
é une corne contre les arbres, en bondissant dans les bois, la nymphe
prit
cette corne, la remplit de feuilles et de fruits,
e trouva sevré et grand garçon. Déjà il était si vigoureux, qu’il put
prendre
la défense de son père Saturne, que les Titans, s
Cymodocée, fille de Neptune, il paraît que cet Egéon, au moins, avait
pris
l’empire des eaux pour son séjour habituel. En ef
loin. formation de l’olympe. — Libre ainsi de tout embarras, Jupiter
prit
pour lui seul le sceptre de l’univers ; se réserv
: la volonté seule du Dieu souverain les a fait surgir autour de lui,
prenons
-les donc comme ils viennent, lors même qu’en arri
yés du danger qu’ils couraient, presque tous les habitans de l’Olympe
prirent
honteusement la fuite, et se réfugièrent en Égypt
près en avoir arraché la peau pour en couvrir son bouclier, finit par
prendre
son nom et le pétrifie ainsi qu’Echion, en leur m
piter à la fin de cette guerre, dans laquelle pourtant il n’avait pas
pris
part ouvertement, il se réfugia sur les monts Col
mpie qui se trouvait habiter la terre, et qui, plus d’une fois, avait
pris
part aux diverses révoltes dont les Titans et les
uplé, Prométhée semble n’avoir pas voulu y rester long-temps seul. Il
prend
donc une boule d’argile, la pétrit, lui donne la
épouse par une nuée qui lui ressemble tellement, qu’Ixion s’y laisse
prendre
. Il ose tout auprès de ce simulacre, et dans son
, probablement que ces voleurs ayant été découverts furent obligés de
prendre
la fuite. Choricus, roi d’Arcadie, avait deux fi
toujours au fond du noir Tartare. Pandarée, fils de Mérops le géant,
prenait
plaisir à aider Tantale dans la plupart de ses vo
arbre que le vent avait fendu en l’agitant ; l’envie à cette vue lui
prend
d’en séparer les éclats, mais l’arbre qui s’était
e avec plusieurs autres personnes, la voûte s’ébranla et les convives
prirent
la fuite. Polydamas, seul, resta, comptant sur se
ser à jeter du trouble parmi les divinités. Alors Jupiter son père la
prit
aux cheveux, et, dans sa colère, la précipita au
a ou qui tient les rènes, Hippie ou la cavalière, Hyperchirias ou qui
prend
en main et bénit sur les bords de l’Eurotas en La
ui avaient servi de nourrices, et que Témenus, fils de Pelasgue avait
pris
soin de son enfance ; Samos soutenait que la dées
dant de vivre six, sept ou onze âges d’hommes, que l’on a quelquefois
pris
pour autant de siècles, et en lui donnant le priv
t tout porte à le croire, que ce fut en Arcadie que le culte de Junon
prit
naissance ; car chez les peuples de cette contrée
pensés de leur piété par la déesse, à la demande de Cydippe, en étant
pris
dans le temple même, d’un sommeil éternel. Une fo
trône des ressorts secrets pour se venger de sa mère, qui s’y laissa
prendre
; elle ne put même être délivrée que par Vulcain
on l’en avertit, aussitôt Vulcain fabrique un réseau imperceptible, y
prend
les deux amans, et fait la sottise d’appeler tous
e fut guéri que par les soins d’Hébé et de Péon. Au ciel il se trouva
pris
avec Vénus dans les réseaux invisibles tendus par
Agenor, célébre par sa beauté et par la manière dont nous verrons s’y
prendre
Pélops pour obtenir sa main. Oxilus, fils de Prot
temps la fécondation et l’accouchement ; aussi, arrivée à Rome, elle
prit
le nom de Lucine, et confondit toujours alors en
dérée sous cette même attribution ; seulement dans cette contrée elle
prenait
alors le nom de Latone, ou le plus souvent celui
nt voulu attaquer ces deux enfans encore au berceau, Apollon se leva,
prit
un arc, et le tua aussitôt à coups de flèches. Dè
aire succéder le culte du Soleil ; on pourrait aussi à la rigueur, le
prendre
pour l’homme qui, après avoir satisfait ses passi
; mais nous ne pouvons donner à cette fable le sens allégorique, qui
prend
Niobée pour une fontaine et ses enfans pour des r
is, la rendit mère de Caphaurus et de Nasamon. Après Endymion, Diane
prit
, dit-on, le brillant Orion pour amant. C'était le
it ; alors il répondit qu’il désirerait bien avoir un fils, mais sans
prendre
de femme avec lui. Aussitôt les Dieux, après avoi
comment, moururent de douleur. On dit encore que la chaste déesse se
prit
de passion pour Hippolyte, fils de Thésée, qu’ell
l’homme, savoir la naissance ; la vie et la mort. De Délos, où Diane
prit
le nom de Délia, comme elle emprunta celui de Cyn
ne sait trop comment, Alceste fut accusé par son frère Acaste d’avoir
pris
part avec toutes ses autres sœurs au meurtre de l
l’Olympe où son père lui confia le char du soleil. C'est alors qu’il
prit
le nom de Phébus ou le lumineux. Il conduisait so
tos ou Crocas, ou la cadence qu’elle avait eue avec le dieu Pan, elle
prit
les Muses en nourrice avec son fils, lequel, aprè
aux vierges du Parnasse. Alors celles-ci, avec le secours d’Apollon,
prirent
aussitôt des ailes et s’enfuirent à travers les a
ité jusqu’à lui porter un défi en choisissant pour juge Midas, lequel
prit
pour auxiliaire Tmole, ami du géant Télégone, bri
appelé Aiphius en Grèce ; le pasteur Cragalée d’Ambracie, qu’Apollon
prit
pour avoir servi d’arbitre dans un différent qu’i
nt qu’elle eût été placée sur l’autel ; à cette vue, son père furieux
prend
sur ce même autel un tison enflammé, et fait mour
considération. A peine Apollon fut-il retourné au ciel que son culte
prit
sur la terre le plus grand développement, tant en
ollon, dieu du jour, des mois et des saisons. Riches et pauvres, tous
prenaient
alors part aux jeux et repas publics. Les Poliées
en au conseil entier des Amphictions. On disait que les Dieux avaient
pris
part à la première de ces fêtes, dont la célébrat
e la Grèce, car on y sacrifiait deux victimes humaines que l’on avait
pris
l’affreux soin d’engraisser long-temps auparavant
t de la musique, qu’il paraissait aux festins de Jupiter. Quand on le
prend
pour dieu de la médecine, il est entouré de nuage
causant ils se reconnurent tous les trois, et retournèrent à Mycènes
prendre
possession de l’héritage de leur père. Evanthe, g
ne furent livrés à aucune épidémie. On disait même qu’il vivait sans
prendre
de nourriture. Mais ce qu’il fit de plus remarqua
ien Hyriéus y conservait. Celui-ci tendit des piéges aux voleurs et y
prit
Agamède. Alors, pour que l’on ne pût reconnaître
t obligé de se soumettre pour pouvoir interroger l’oracle. Ensuite on
prenait
une tunique de lin, on montait sur une élévation
s du temps de Codrus, vers l’an 1095 av. J.-C. A cette menace, ils le
prirent
pour un magicien et le tuèrent à coups de flèches
ut les joindre et fit naufrage sur les côtes mêmes de Carie où il fut
pris
et conduit comme suspect en prison. Peu de temps
ge ; mais, qu’étant sur mer, les matelots voulurent l’assassiner pour
prendre
tout ce qu’il possédait. En vain essaya-t-il de l
ent caché sous l’herbe, et perdit la vie. Alors Orphée, inconsolable,
prend
sa lyre, et descend aux enfers : à ses accords, C
t sous le nom d’Arsinoé et que l’on confond avec elle parce qu’on les
prend
l’une et l’autre pour mères d’Esculape, paraît ce
ec quelques motifs de raison que le culte du premier médecin divinisé
prit
son origine en Phénicie, puisqu’il passa en Egypt
il vint en Grèce avec toutes les colonies grecques nomades, et qu’il
prit
ainsi rang au milieu des noms de tous les dieux q
ar les Français, quoique Ophieus et Jason soient souvent confondus et
pris
pour les mêmes ; néanmoins ils soutiennent que la
strophe, que le sang ou, pour plus de vérité, la peau des Ethiopiens,
prit
une couleur noire. Une foule d’interprétations on
deux sœurs. On lui attribue pour nourrice Calligénie, dont elle-même
prit
le nom. L'honneur de sa naissance fut tour-à-tour
l’Attique, depuis appelé Eleusis, où, pour ne pas être reconnue, elle
prend
les traits d’une vieille femme, puis s’assied sur
peu moins désolée vers le coucher du soleil, saisit cet instant pour
prendre
quelques alimens. Après cette scène, Métanire ou
ait fait le plus long séjour, et c’était là aussi que son culte avait
pris
naissance. Célée, nous l’avons dit, bâtit un temp
telles que celles-ci : j’ai bu du cycéôn ou breuvage de Cérès ; j’ai
pris
de la ciste ; après avoir travaillé, j’ai mis dan
aient admis à la révélation des grands mystères, et alors ces initiés
prenaient
le nom d’Epopte ou d’Ephore, c’est-à-dire, contem
Le sixième jour ou Iacchos était le plus célèbre : il était réservé à
prendre
en grande pompe le jeune Iacchus ou Bacchus, pass
ur légende, du moins, par l’habitude que les Romains les modernes ont
pris
de les introduir[ILLISIBLE] leurs travaux littéra
lui seul les réunit toutes et les personnifie dans les figures qu’il
prend
pour faire sa cour à Pomone. Le laboureur est le
ait la Burranica ou boisson composée de miel et de vin doux. Alors on
prenait
sa revanche de la continence qu’il avait fallu ga
acré à Cérès ; à cet ordre sacrilége personne n’ayant voulu obéir, il
prit
une hache et se mit lui-même à l’abattre ; aussit
bligation et se laissa vendre sans cesse ; mais sans cesse aussi elle
prenait
une nouvelle forme qui l’empêchait d’être reconnu
r Saturne, son fils. A nos yeux, elle sera donc une Titanide, nous la
prendrons
à sa naissance, à une époque indéterminée. Mainte
er en réalité une date chronologique à toutes ses infidélités ; ainsi
prenons
-les comme on les range le plus habituellement. Un
contractés n’ont point de larmes à laisser échapper ; à la fin, elle
prend
sa résolution, appelle ses colombes, les fidèles
nœud fatal, la rendit à la vie et favorisa sa passion en lui faisant
prendre
sa place auprès de son père, une nuit, pendant le
ortir sans être à ses côtés, Adonis profite de l’une de ses absences,
prend
un arc et des flèches, s’élance dans les forêts d
de la perte d’Adonis, se souvint du propos d’un dieu qui, voyant Mars
pris
dans les filets de Vulcain, avait dit qu’il ne se
omment satisfaire ses désirs incertains, elle descendit sur la terre,
prit
la figure de la belle Lycaste, épouse de Butès le
le s’arrêta et s’amusa naturellement à les ramasser ; alors son amant
prit
de l’avance et obtint sa main en arrivant au but
ir quelques rapports avec Cypris, il fut très-répandu. On pense qu’il
prit
d’abord naissance dans la Phénicie, traversa tout
sans craindre pour la vie, risquer ce fatal plongeon ; on avait même
pris
la précaution de disposer des filets et des barqu
endroits des fêtes, dont les mystères étaient si licencieux que l’on
prenait
grand soin de les cacher aux yeux du public. Alci
’avaient pas toujours la même origine, puisque si d’habitude nous les
prenons
pour filles de Bacchus et de Vénus, souvent aussi
l’idée de vertus, sagesse, douceur, amour et plaisir ; elles avaient
pris
, dit-on, pour séjour préféré, les bords charmans
remonter l’origine à l’origine même des mondes. Alors Eros peut être
pris
pour fils de tous les personnages que nous venons
s, et fit éclore Cupidon, lequel aussitôt déployant ses ailes dorées,
prit
son essor à travers le monde naissant. Beaucoup p
s un moyen sûr de le savoir sans lui faire tant de questions ; tenez,
prenez
cette lampe ; cachez-la près de votre lit, et dès
la maladie de son fils. Psyché part aussitôt sans savoir quel chemin
prendre
, ni quels étaient les moyens de triompher des obs
x reçurent leur nouvelle sœur avec des transports de joie. Jupiter la
prit
par la main et lui présenta l’ambrosie. Peu de te
propres traits, dès qu’il eut vu Psyché, le temps se passa et l’amour
prit
des années ; pourtant ce dieu volage conserva tou
on lui ferait. D'un autre côté Némésis, déesse de la vengeance, ayant
pris
parti pour Echo, se chargea de punir Narcisse, ce
jeune adolescence, où sans barbe au menton, l’on peut facilement être
pris
pour une fille ; il devint amoureux d’une jeune A
ascension au ciel, sous la transformation de la grande ourse, aurait
pris
le nom d’Hélice parceque sa marche autour du pôle
Méra, était une nymphe, suivante de Diane : Jupiter pour la séduire,
prit
la forme de Minerve. Diane ayant eu connaissance
i des Bisaltiens lesquels, en mémoire de l’origine de leur souverain,
prirent
pour armes les foudres de Jupiter. Othréis. Nymp
uses filles du dieu fleuve Asope. Jupiter pour triompher de sa vertu,
prit
d’abord la forme d’un aigle, puis il l’enveloppa
elle infidélité de son époux, et ne pouvant croire qu’Alcmène n’y eût
pris
aucune part, lui jura une haine implacable. D'abo
osèrent cette masse miraculeuse dans un bois qui depuis fut sacré, et
prit
le nom de Chapelle d’Alcmène. Les Thébains lui re
llations de la grande et petite ourse. Des auteurs disent que Jupiter
prit
la forme de Diane pour la séduire ; d’autres que
e Junon. Bientôt Jupiter aima la belle Europe ; pour en triompher, il
prit
la forme d’un taureau ; ainsi métamorphosé, il al
réunit ces peuples et appela Phoronium son premier établissement qui
prit
ensuite le nom d’Argos, l’an 1635 avant J. C. Son
ui finit par réussir. Junon ayant eu connaissance de leurs relations,
prit
les traits de Béroé nourrice de Sémélée et fut la
. Le chef de l’Olympe fut d’abord incertain sur le parti qu’il devait
prendre
, pourtant, à la fin il donne la commission à Merc
ue deux de ces yeux qui se fermaient à la fois. Junon, après sa mort,
prit
ses yeux et les répandit sur la queue du paon son
oi Minos essaya de la faire se parjurer ; mais elle se mit à fuir, se
prit
dans les filets qu’elle avait elle-même tendus, e
ôt ils vont à Sidon, tantôt en Égypte. Ce fut de cette contrée qu’ils
prirent
la route d’Ilion où ils furent reçus avec joie pa
és du dernier elle ait donné le jour au monstre Erichthonius. Minerve
prit
les arts sous sa protection : elle inventa l’écri
as qu’elle adopta après avoir vaincu le titan Pallas. Nous la verrons
prendre
le parti des Troyens contre les Grecs, et ne les
andonner qu’au moment fixé par le destin pour la ruine de Troie. Elle
prit
le tonnerre des mains de Jupiter et foudroya Ajax
Minerve remplacerait dorénavant celui de Posidon et que cette contrée
prendrait
le nom de la déesse. Cécrops eut de sa femme Agla
firent remarquer par les tribus rudes et sauvages de l’Arcadie qui le
prirent
bientôt pour leur chef. Il leur donna des lois, a
d’Orphée qui venait de parcourir l’Egypte ; mais quoi qu’il en soit,
prenons
Bacchus tel que la fable grecque nous le transmet
isse, jusqu’au moment fixé pour les gestations ordinaires. Jupiter le
prit
-il lui-même dans le sein de Sémélée ? On ne le cr
lcimédon, Dictys, Ethalion, Libys, Lycabas et Mélas, puis Médéide qui
prit
la barre du gouvernail en place du pilote ; malhe
ace sur le bord du chemin où Erigone avait coutume de se promener, et
prend
la forme d’une grappe vermeille suspendue à un je
d’elles. On dit que le Dieu lui-même les excita, quoique le roi l’eût
pris
et jeté dans une prison et chargé de fers ; mais
près sa naissance, plutôt que de vivre. Cependant, pour prouver qu’il
prenait
bravement son parti, il fut un autre jour à la co
mphe, Atheus, Clèogène, Lénéus nourrisson de Bacchus ; Moron que l’on
prend
souvent encore ou pour un compagnon d’Osiris ou p
on voulut le confier pour nourrisson, poussèrent un cri de frayeur et
prirent
la fuite. Il n’en fut pas de même de Mercure qui
nymphe Alexirrhoé ou Alenthoé. Ce fut lui qui conseilla aux dieux de
prendre
la forme d’animaux, pour se soustraire à la pours
uidait, errait avec eux dans les bois et les campagnes ; il a souvent
pris
leur forme et son plaisir était de parcourir les
ntiliens et les Fabiens, en mémoire des chets de factions qui avaient
pris
parti pour Romulus ou Rémus ; ils jouissaient de
divinités tutélaires des Romains qui voulant également en descendre,
prenaient
par cette considération le surnom de Faunigentes
ilumnus et Deverra ou Deverrona. Quant au dieu Terme, pour lequel on
prenait
souvent Sylvain ; c’est un dieu également tout Ro
Jupiter et de Léda. Quoi qu’il en soit, Mercure par ordre de ce dieu,
prit
les deux frères aussitôt après leur naissance, le
s matelots voyaient briller dans les airs deux de ces lueurs, ils les
prenaient
pour signe de beau temps ; mais quand il n’en par
piter et de la nymphe Idée, fut le premier roi de l’ile de Crète, qui
prit
son nom ; il fut l’inventeur des objets les plus
de Cyrno, fut le premier homme aux yeux des habitans de Thérapné, qui
prirent
de lui le nom de Cyrnos. Cytus, fils de Jupiter
ops, fils de Jupiter, donna son nom à une tribu de l’île d’Eubée, qui
prit
de là, celui d’Ellopie. Epaphe, fils de Jupiter
ui lui indiqua comment nétoyer les étables d’Augias et dont le nom se
prend
quelquefois pour celui d’Hercule lui-même, Monœco
nt combattre Géryon, OEteus ou du mont OEta où il se brûla, Olenus se
prend
quelquefois pour Hercule, comme fils de Jupiter,
r, sachant qu’il avait été forcé de quitter momentanément son épouse,
prenait
les traits de sa figure, s’introduisait chez Alcm
la préférence à la valeur. Hercule pendant le temps de son éducation,
prit
une taille et une force gigantesque ; aussi bient
e nez et les oreilles. Les Orchomeniens, voulant venger cette injure,
prirent
les armes ; mais ils furent défaits et forcés de
s environs de cette montagne d’Arcadie. Après une longue lutte, il le
prit
, le chargea sur ses épaules et fut le présenter à
hes contre leurs ennemis, des plumes d’airain, et Mars lui-même avait
pris
à tâche de les instruire aux combats. Hercule ave
Mais revenons à la marche chronologique des triomphes d’Hercule ; il
prit
tour à tour pour théâtre de ses exploits, l’Asie,
à sa peau ; alors il se livre aux plus terribles accès de fureur ; il
prend
par le bras le malheureux Lychas, le soulève, le
vre d’un grand repas ; lors du premier sacrifice, les Potitiens ayant
pris
les devants sur les Pinariens, eurent droit aux m
; Antiochus de Midée, fondateur ou Eponyme de la tribu d’Athènes qui
prit
son nom ; Archemaque de la Thesp. Patro ; Aristod
de Jupiter, le découvrit et le ramena sous le toit maternel, puis il
prit
le nom de Mélitée, par reconnaissance pour ses no
ndu dire en présence de tous les Dieux venus pour voir Mars et Vénus,
pris
dans le réseau invisible : qu’il ne serait pas fâ
llène, vendit Hercule à la reine Omphale ; il vainquit Hippolyte ; et
prit
le casque d’invisibilité à Pluton. Cependant, mal
nce, la lance, la perche armée de traits, le cygne et le coq. Pour le
prendre
dans ses spécialités, on lui met une bourse à la
se mit à la tête d’une flotte, débarqua sur les côtes des Mégarides,
prit
Mégare, grâce à la trahison de Scylla, passa dans
e force aux lois instituées par son aïeul, et mérita comme lui d’être
pris
pour modèle. Ce roi de Crète fut, dit-on, étouffé
lure blanche. Quant à Chrysaor, né comme Pégase du sang de Méduse, il
prit
son nom de ce qu’il portait en naissant une épée
erons connaissance dans quelques pages, en parlant d’Hercule, et il y
prend
les pommes d’or que l’on y voyait, malgré les eff
elate, par Coryte ; l’on vit tout à coup Persée abandonner ses armes,
prendre
la terrible tête de Méduse et pétrifier non seule
Junon lui disputa aussi le royaume d’Argos, fondé par Inachus qui fut
pris
pour arbitre et donna la palme à la Déesse, décis
tte vue, son cœur tressaillit de plaisir ! dès lors, il résolut de la
prendre
pour épouse ; il se présenta donc, mais Amphitrit
beauté de sa figure ; souvent elle s’enivrait et permettait alors de
prendre
auprès d’elle toutes les licences possibles ; car
ait devinée. Créon, le père de Jocaste, après la mort de Laïus, ayant
pris
les rênes du gouvernement Thébain, proposa, pour
cile. Quant à Eole, si au lieu d’un prince purement Sicilien, nous le
prenons
pour Dieu des vents, nous trouvons d’après la fab
n’eût pas à craindre leurs ravages ; aussi pour punir Ulysse d’avoir
pris
parti contre les Troyens, nous le verrons lui fai
yrpace. Cependant, comme tous les vents, bientôt il voulut changer et
prit
pour sa maîtresse chérie Orithye, fille d’Érechth
il fut obligé de quitter son pays ; alors il vécut des poissons qu’il
prenait
. Un jour s’étant aperçu que les poissons qu’il dé
gypte, être ensuite allé en Grèce, avoir régné sur les Mégariens, qui
prirent
le nom de Lélégues, et passèrent pour le plus anc
lalcomenia, Aulis et Thelsinie. Ce fut après son règne, que la Béotie
prit
le nom d’Ogygie, nom, du reste, que l’on donnait
u dans les vertes prairies du voisinage. Protée avait le privilége de
prendre
toutes les formes qu’il voulait ; on le voyait so
ils venaient de quitter. Les Doliens croyant voir en eux des pirates,
prirent
les armes pour les repousser ; aussitôt Hercule,
ueur de s’emparer de la riche dépouille du bélier de Phryxus, mais il
prit
la résolution de faire mourir Jason et ses compag
pourvu qu’il lui promît de l’emmener avec lui dans sa patrie et de la
prendre
pour épouse légitime. Jason se soumit à toutes se
la condition toutefois qu’elle ne serait point unie à Jason, et l’on
prit
l’épouse d’Alcinoüs pour arbitre ; mais cette pri
le égorgea pour se venger de son époux qui venait de la répudier pour
prendre
la fille du roi de Corynthe, qu’elle empoisonna e
es. Il fut, le premier, victime des coups du jeune Thésée qui le tua,
prit
sa massue et la porta toujours comme un monument
il marcha contre le taureau de Marathon, qui ravageait l’Attique, le
prit
vivant et l’immola sur les autels de Mercure ou d
nt et l’immola sur les autels de Mercure ou d’Apollon. Ensuite Thésée
prit
la généreuse résolution de délivrer Athènes du tr
phithes, ayant à leur tête Pirithoüs, leur roi, Hercule et Thésée, en
prirent
la défense, et bientôt la mêlée devint épouvantab
er au siége de Thèbes ; Orios, fut tué par le centaure Grynée ; Ornée
prit
la fuite ; Périphas, renversa le centaure Pyrète
ethronius, inventeur du fléau et de la selle ; Périmède, Pisénor, qui
prirent
la fuite ; Rœcus, ou Rhœtus, fils d’Ixion. Tous c
s deux guerres de Thèbes, car il était mort lors de la seconde, et ne
prit
aucune part à la première, mais seulement il para
la légende : a la plus belle, ce qui força Junon, Minerve et Vénus à
prendre
Pâris, fils de Priam, pour juger, en lui prometta
s, fils de Priam, pour juger, en lui promettant la main d’Hélène, qui
prit
la fuite et épousa Ménélas ; puis fut ensuite enl
main et ayant auprès de lui un monstre marin de forme inconnue. On le
prenait
quelquefois pour l’un des titans, par conséquent
un jour que les autres Dieux l’avaient attaché. Cette Téthys que l’on
prenait
poétiquement pour la mer, portait un nom grec sig
pas plus heureux sous cette forme que sous celle d’un taureau, qu’il
prit
ensuite, car il perdit une de ses cornes, et, hon
père des sirènes. L'Achéloüs réel sépare l’Etolie de l’Arcananie ; il
prend
sa source dans le Pinde, traverse Dodone, berceau
fleuve Nyctime, pour expier ce crime involontaire. Le fleuve Nyctime
prit
depuis le nom d’Alphée. Suivant plusieurs auteurs
ur ces deux fleuves que des traditions obscures, qui souvent les font
prendre
aujourd’hui l’un pour l’autre. Chrysas, dieu-fle
ours à Hercule. Égée, fleuve confondu peut-être avec la mer Egée, qui
prit
ce nom, dit-on, après avoir reçu dans ses eaux, É
asmes pestilentiels qui causaient de graves épidémies. Ce grand canal
prit
le nom d’Eurotas, qui fut si célèbre dans la Myth
ène. On le nommait le plus ancien des dieux, et son nom souvent était
pris
pour celui de la mer elle-même. Ses filles appelé
avec le plus d’ardeur : en vain, pour se soustraire à ses poursuites,
prit
-elle diverses formes, il réussit, avec les consei
s présidaient aux chênes, aux bois et aux arbres en général, qu’elles
prenaient
sous leur protection. Ces Déesses étaient immorte
fondre les Hamadryades avec les Dryades ; de même, on ne doit pas les
prendre
pour les huit filles d’Oxile et d’Hamadryade, don
laxis, Pégée et Jasis. Leurs noms venaient des eaux de ce fleuve qui,
prises
en bains, passaient pour guérir les lassitudes et
fut si vive, que Diane fut obligée de la changer en une fontaine qui
prit
son nom, pour qu’elle ne troublât pas de ses cris
dans ses eaux. Séis, amante et femme d’Endymon ; Sinoé, mère de Pan,
prit
le surnom de Sinoïs ; Smilax, amante de Crocos, d
ne, près de l’Océan, où les Phéniciens, en venant faire des échanges,
prirent
les mineurs pour des êtres infernaux et leur roi
ts : dans le plus voisin de la terre, ils plaçaient l’Erèbe, que l’on
prenait
souvent pour l’enfer même et que l’on personnifia
ou de Gorgyre ou l’ombre, nymphes des régions infernales. Souvent, on
prenait
l’Achéron pour l’enfer lui-même. Le nom du fleuve
sa mère, la Mort, à la porte des enfers, sous le nom de Mœror ; on le
prenait
pour frère de Momus et des Hespérides. Quant à Mo
ités trop souvent trompeuses ; seul, il annonçait la vérité et savait
prendre
la démarche, le visage, l’air et le son de voix d
le ou Phobétor ; ils habitaient le même palais que leur père. Morphée
prenait
la forme des hommes ; Icèle ou Phobétor, celle de
stant de la punition de leurs crimes ; comme Lucine ou Ilythie, elles
prenaient
un soin particulier de la naissance des héros ; e
u’elles égorgeront toutes leurs maris ; ensuite elles se marièrent et
prirent
chacune celui de leurs cousins que nous allons in
t son père pour être punie de sa rébellion. Cependant le peuple ayant
pris
sa défense, elle fut acquittée et retrouva même q
darée, effrayé du nombre des concurrens et de leur puissance, n’osait
prendre
de parti ni dire à Hélène de choisir ; mais Ulyss
aux et des armes. Les princesses choisirent les parures, mais Achille
prit
les armes et les admira. Son sexe ayant été ainsi
é le sort qui l’y attend, et aussitôt les Troyens effrayés à sa voix,
prennent
la fuite : une partie se précipite dans le Xanthe
trocle ; il emporta le prix de la course avec les chevaux qu’il avait
pris
à Enée. Il fut un des guerriers qui s’enfermèrent
génieux des Grecs, qui pourtant le mirent à mort après l’avoir à tort
pris
pour un traitre, par suite de la jalousie d’Ulyss
de l’armée grecque : un jour s’étant fait lier les bras, il se laissa
prendre
par les Troyens dans un moment où les Grecs feign
, fils de Capanée et d’Evadné, fille d’Iphis, fut un des Epigones, il
prit
également part à l’expédition du siége de Troie s
llait chaque jour de la chair humaine. Ulysse et les siens, ayant été
pris
dans cette caverne par ce Cyclope, y perdit la mo
lé Elpe, sa fille, et ses compagnons à son secours, pendant qu’Ulysse
prenait
la fuite, il le sauva malgré lui, en s’écriant qu
uée de nombreux prétendans qui voulaient la forcer à se remarier et à
prendre
l’un d’eux pour époux. Ainsi, l’on voyait autour
so, c’est une fille du nom de Sibylla qu’on lui donne. Ses descendans
prirent
ensuite le nom de Dardanides. Cet Erichthonius d
rver cette relique, fit bâtir un temple à Minerve ; mais le feu ayant
pris
à cet édifice, Ilos courut, au risque de sa vie,
t promis au vainqueur du monstre. Alors Hercule assiégea la ville, la
prit
d’assaut, tua Laomédon et s’empara d’Hésione qu’i
Priam succéda forcément à son père Laomédon, car Hercule, après avoir
pris
la ville de Troie et mis à mort Laomédon, plaça P
le vit point s’opposer au rapt d’Hélène, et, pendant le siége, il ne
prit
véritablement aucune part active à la guerre. Cep
Ulysse, alors, ne pouvant le découvrir, insinua à Andromaque qu’il le
prendrait
sous sa protection et qu’il le sauverait de la fu
de fuir l’incendie qui finit par ravager cette malheureuse ville, il
prit
son jeune fils Ascagne par la main, chargea sur s
; Camerte, chef rutule ; Camille, amazone du Latlum, fille de Métabe,
prit
glorieusement part à la guerre pour les Rutules c
e divisait pas tout-à-fait comme celle des Romains, et cette division
prenait
sur un des mois romains et enjambait sur un autre
ës et blanches. Mens était la personnification de la pensée, et on la
prenait
tantôt pour l’ame du monde, tantôt pour l’ame ind
ayant appris cet événement, découvre pendant une nuit ce cadavre, le
prend
, le coupe en quatorze morceaux et les disperse en
onneurs, principalement à Memphis, et surtout à Alexandrie. Son culte
prit
dans la suite une si grande étendue, qu’il éclips
e pour fils d’ Osiris et d’Isis, c’était un génie égyptien qu’il faut
prendre
pour la personnification de la terre, en tant qu’
, elle le trouva dans les bois où sa mère l’avait abandonné ; elle le
prit
, l’emmena avec elle et lui prodigua les soins les
ue l’on peut féconder. Osiris eut un commerce furtil avec Nefté qu’il
prit
pour Isis, et il en résulta Anbo ou Anubis, ou di
ectangulaire, le sceptre des dieux bienfaiteurs ; on a vu qu’il était
pris
pour les 16, 25, 34 ou 35e dynastes. Aseu, de Sau
, soit un bœuf, soit un mouton, dont ils mangent la chair et dont ils
prennent
la graisse pour s’en frotter le corps. En travers
honneur des fêtes annuelles. Thammouz, dieu-prophète des Assyriens,
prit
la forme humaine pour remettre les rois et les pe
olution interne, d’où résulta que le créateur incorporé dans les eaux
prit
la forme de Brahmanda, ou de l’œuf, ce qui produi
s, la mer de lait et de Kama, ou l’amour. Brahm, devenu souaïambhou,
prit
encore le nom d’Adi-Bouddha, et donna lieu à cinq
ahamaïa. Comme les fleurs d’une plante, ces divines efflorescences ne
prirent
naissance que lors de la fusion des cultes. Trois
; 2° Pardjamia, dieu de la pluie, monté sur Agni, dieu du feu, qui a
pris
la forme d’un cheval. Les fils blancs et noirs so
ent conservateurs. Vichnou, vulgairement Visnou, Vuichnou et Vichnu,
prend
aussi les noms de Danouantari, Naraiana ou poisso
immortalité ainsi que l’empire et le pouvoir des deux mondes. Vichnou
prit
la forme d’une tortue pour soutenir le mont Mérou
savoir : Saraswadi, déesse des sciences et de l’harmonie, que Brahmâ
prit
pour épouse. Lakchini, déesse des richesses qui,
gueil sacrilége avait provoqué le courroux de Vichnou. Cette fois, il
prit
la forme d’un homme-lion, appelé Naracingh, car c
rangla sur le seuil du palais. Dans la cinquième incarnation, Vichnou
prit
la forme d’un simple nain ou Trivikrama, ou aux t
ence des Souriavansas, ou fils du soleil ; devint Brahme et guerrier,
prit
le nom de Paraçourama et de la hache qu’il portai
sein des flots les côtes de Malabar. Dans la septième incarnation, il
prit
le nom de Rama, et conquit le Lanka, ou Ceilan, e
ce bon Satiavrata faisait ses ablutions dans le fleuve Kritamala, il
prit
un petit poisson qu’il mit dans un bocal ; au bou
es eaux furent retirées, Satiavrata fut choisi pour septième Menou et
prit
le nom de Vivaçouata. Mais passons aux personnag
s, allaient être submergés, quand Vichnou, d’après l’ordre de Brahmâ,
prit
la forme d’un sanglier, se présenta à Erouniakcha
de ces prérogatives, il osa donc insulter Vichnou ; aussitôt ce Dieu
prend
la forme d’un homme-lion, se saisit de lui et l’i
e supérieur aux Dieux. Cependant Vichnou, fatigué de cette arrogance,
prit
la forme du Brahme-Nain, Vamana, se présente à Ba
orgé sept. Enfin Vichnou vint au jour, mais de cette fois sa mère s’y
prit
si bien, qu’elle le déroba à la fureur de Kansa.
ux délices de l’amour, la famille de Bharata, dans laquelle ce dieu a
pris
naissance, réclame son intervention, car Douriodh
eance. Ce cri entendu de Krichna, ce dieu accourut à leurs secours et
prit
pour compagnon Ardjouna, l’un d’eux. Dès ce momen
ima, l’aîné des Pandous ; alors, Iouddhichthira, l’un de ces Pandous,
prend
possession des états de son père, et Krichna, apr
e, où son épouse le nourrit de son lait. Quant à Kapila, dont Vichnou
prit
la figure pour voler le cheval destiné à être sac
ombattre Indra pour lui enlever l’arbre de la sagesse, et qui lui fit
prendre
les armes contre les parens de Roukmini. Accompag
nte à une haute antiquité dans l’Inde, et que le Vichnouisme ait même
pris
naissance bien après lui, cependant nous avons pl
e la guerre. Pour engendrer Ganéça, il se métamorphosa en éléphant et
prit
la forme d’un coq pour engendrer Skanda. Parmi le
uction. Sous ce point de vue de génératrice des êtres, les Indiens la
prennent
encore pour la lune comme source de l’humidité pr
e nouvelle, il offrit un sacrifice solennel à Mahadéva, et jura de ne
prendre
aucune nourriture avant d’avoir vengé Kansa ; alo
rable et de ne pas tomber sous les coups de Siva ; mais Vichnou ayant
pris
la forme de Jalendra, il fit succomber Vrindha, f
eux, et jamais Siva n’aurait pu le vaincre, si Vichnou lui-même n’eût
pris
la forme de Jalendra, et n’eût par ce moyen triom
du dépouillement de tout ornement, se conféra lui-même le sacerdoce,
prit
le nom de Gotama et vécut six ans en contemplatio
ment et en formèrent un corps d’ouvrage de cent huit gros volumes qui
prit
le nom générique de Gandjour, ou instruction verb
ha, ne donne point de limites terrestres à ses élus, et bien lui en a
pris
, car l’Inde a expulsé le Bouddhisme de son sein,
ux que pour faire naître l’homme, il fallait qu’un dieu et une déesse
prissent
la forme d’un singe. On le représente en habit de
ddiçatoa, est une déesse protectrice, invoquée dans les dangers. Elle
prit
la forme humaine, régna sur le Thibet et eut un f
ais à peine y fut-il plongé, que son corps devint une pâte superbe et
prit
les formes voulues par l’empereur. Djosie est un
elle fut admise, ainsi que ses fils, au nombre des Kamis ; alors elle
prit
le nom de Bensaïten. Elle préside à la richesse e
instrument de chasse divinisé par les Japonais. Un jour, des voleurs
prirent
dans le plus beau Mia ou temple de Noumatsion, un
son secours à Feridoun, dans la lutte qu’il soutint contre Zohat. Il
prend
la forme d’un cheval, d’un sanglier, d’un chameau
s les animaux dont elle est l’ame ou la force vitale. Khorchid, Ized
pris
pour le soleil lui-même, et habitant au centre du
à Echem. C'est lui qui a révélé la loi aux sept Kechvars. Cependant,
pris
comme Tachter ou Tir, il est chargé de puiser les
, et les répand sur la terre. Dans les processions en son honneur, on
prend
des branches du vieil arbre que l’on suppose touj
ba sur la terre, où le soleil la purifia ; l’Amchasfand Sapandomad en
prit
un tiers, l’Ized Nériocengh prit les deux autres
purifia ; l’Amchasfand Sapandomad en prit un tiers, l’Ized Nériocengh
prit
les deux autres tiers. Au bout de quarante ans, i
s lascives, auxquelles les Roussalkis ou nymphes à chevelure verdâtre
prennent
souvent une part très-active. Nehallenie était à
à tout ce qui se passe dans le monde, mais il avait particulièrement
pris
sous sa protection les naissances, les mariages,
nirent par en forger de nouveaux qu’il ne put briser ; alors les Ases
prirent
un cable énorme qui tenait au rocher Gelgia, et y
uivait sa sœur Malina ; mais celle-ci en s’échappant à toutes jambes,
prit
de la suite à une lampe et en frotta le visage et
ayant partagé sa couche pendant trois nuits, la décida à lui laisser
prendre
trois gorgées de l’hydromel ; elle y consentit ;
a chercher. Nor retrouva sa sœur dans le deuxième mois de l’année qui
prit
le nom de Goe. Nor chassa du pays ou assujétit à
kollos, dieu des morts, apparaissait toujours lorsque la mort voulait
prendre
une victime : à sa troisième apparition, un sacri
force génératrice même, lorsqu’elle apparaît comme mâle ; alors elle
prend
le nom d’Ir, et, sous cette forme, elle peuple l’
deux sœurs, Banba et Ir, mais s’étant fixée dans Sliabh-Eibhline, qui
prit
le nom de Fodhla, elle en devint la déesse princi
s. Il était à peine descendu sur les bords de l’Irlande, qu’ayant été
pris
pour arbitre par trois rois Tuathadaniques, il eu
les trois rivaux l’assassinèrent. Les compagnons d’Ith et ses enfans
prirent
son cadavre, l’emportèrent sur leur navire et le
de faire du mal, même involontairement, à l’animal, dont son Totam a
pris
la forme, car ce serait un crime irrémissible, et
eaux, et finissent par tourner leur fureur sur les animaux qu’ils ont
pris
. Kamachtlé était le plus célèbre des dieux des T
de aussi comme l’excitateur des tremblemens de terre, ce qui lui fait
prendre
le nom de O'Maouve. Après la naissance d’Ohina, E
île des Amis ; il apparut sous des formes humaines, et, comme tel, il
prend
le nom d’Euroa Faboa, septième fils de Tane et de
ns d’exposer les idées, et que nous nous ferons toujours un devoir de
prendre
pour guide, nous n’avons présenté dans cet ouvrag
et le second en Egypte, ce fut dans ces deux royaumes que l’idolâtrie
prit
naissance ; de là elle se répandit en Orient, aux
embellissant : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage ; Tout
prend
un corps, une âme, un esprit, un visage, Chaque v
ont été les premiers auteurs de l’idolâtrie ? Dans quel pays a-t-elle
pris
naissance ? 3. Quels ont été les progrès de l’ido
gie. Ayant été exposée, à sa naissance, sur le mont Cybèle, dont elle
prit
le nom, elle fut sauvée et nourrie par les bêtes
ant un jour cassé une corne, Jupiter la donna aux Nymphes qui avaient
pris
soin de son enfance, en lui attribuant la vertu d
it encore que Jupiter épousa Métis, la prudence : cela signifie qu’il
prit
cette vertu pour compagne inséparable. 20. Con
déesse de la guerre. Le géant Pallas étant tombé sous ses coups, elle
prit
son nom, en souvenir de sa victoire ; et de sa pe
ui, et le défier à un combat sur la flûte. Midas, roi de Phrygie, fut
pris
pour juge ; comme il était ami de Pan, il lui adj
ies, emblème de la loquacité vaniteuse, leurs imprudentes rivales, et
prirent
elles-mêmes le nom de Piérides, en souvenir de le
peine y furent-elles entrées, qu’il voulut les outrager. Alors ayant
pris
des ailes, avec le secours d’Apollon, elles s’enf
e haine ? Où naquit Apollon ? Quel fut son premier soin ? Quel surnom
prit
-il ? Quels jeux furent institués en son honneur ?
l était leur séjour ordinaire ? Qu’est-ce que Pégase ? D’où les Muses
prirent
-elles le nom de Piérides ? Comment échappèrent-el
au mois de Mars. 2° Le Taureau (avril). Selon la fable, Jupiter
prit
la forme de cet animal pour transporter en Crète
du paganisme n’eut plus d’emplois divers. Les autres dieux l’avaient
pris
pour leur interprète, et il se chargeait de leurs
l’empire étaient attachées à la conservation de ce bouclier, pour en
prendre
l’enlèvement plus difficile on en avait fait fair
e que Proserpine sera rendue à sa mère, à la condition qu’elle n’aura
pris
aucune nourriture dans les enfers. Malheureusemen
er en toute sorte d’animaux ; elle se faisait vendre par son père, et
prenait
une nouvelle forme dès qu’elle était vendue, pour
sse fut victime de sa vanité. Junon, toujours jalouse de ses rivales,
prit
la figure de Béroé, nourrice de Sémélé, et lui co
andé lui-même ce funeste présent, reconnut sa faute, lorsqu’il voulut
prendre
de la nourriture. Il pria Bacchus de le lui retir
rs dans l’immensité des airs. Il établit des forges dans cette île et
prit
pour ouvriers les Cyclopes, fils d’Uranus et de T
saisons. Comme il avait le pouvoir de changer de forme à son gré, il
prit
successivement celle d’un laboureur, d’un moisson
rs était peuplé de ces divinités. Les Nymphes qui habitaient la terre
prenaient
différents noms suivant leur séjour. Les montagne
et forment son cortége. Le culte de Neptune passa de la Libye, où il
prit
naissance, dans la Grèce et dans l’Italie. Les Gr
s Protée ne cédait qu’à la violence pour faire ses prédictions, et il
prenait
toutes les formes pour échapper aux instances de
rent à cet amour tendre et dévoué des enfants pour leurs parents, qui
prend
le nom de Pitié filiale. Les Prières, selon Homè
n glaive forgé par Vulcain. Muni de ces armes divines, le jeune héros
prend
son essor travers les airs et arrive d’abord chez
lorsqu’elles lui eurent découvert la retraite des Gorgones. Alors il
prit
sa course vers ce pays, situé au delà de l’Océan
Amphitryon, roi de Thèbes. Le maître des dieux, pour tromper Alcmène,
prit
les traits de son mari, alors occupé à la guerre.
ravages dans les environs du mont Erymanthe, en Arcadie ; Hercule le
prit
vivant et l’apporta à Eurysthée, qui, à cette vue
au géant Atlas, et tandis que celui-ci lui rendit ce service, Hercule
prit
à sa place le monde sur ses robustes épaules. 12°
x père, à l’aspect des voiles funèbres, se précipite dans la mer, qui
prit
dès lors le nom d’Egée. Thésée, après lui avoir r
r donna Jupiter. Mais Hellé, saisie d’effroi, tomba dans la mer qui a
pris
de là le nom d’Hellespont ou de mer d’Hellé. Phry
age. Le commandement fut d’abord déféré à Hercule ; mais quand il eut
pris
terre en Mysie, pour aller à la recherche du jeun
lir un vœu fait par Orphée. On entra ensuite dans l’Hellespont, et on
prit
terre un peu au delà de la Troade. Ce fut alors q
ette magicienne fameuse qu’il subit le châtiment du crime auquel il a
pris
part, et, comme sœur d’Eétès, elle refuse de l’en
e essaya-t-elle de lui faire recouvrer le trône paternel ? Quel parti
prit
Jason à l’égard de Médée ? Comment celle-ci se ve
par Adraste, qui seul avait survécu. Ils viennent assiéger Thèbes, la
prennent
et massacrent l’odieux Créon. Ils placent sur le
s furent les derniers rejetons de la famille d’Œdipe ? Quel parti fut
pris
à l’égard de la royauté dans cette ville ? Quel g
ne, femme de ce prince, s’en fit aimer et l’emmena à Troie. Les Grecs
prirent
les armes pour venger l’outrage fait à Ménélas. T
corbeille ou d’un boisseau, comme signe de l’abondance dont ce dieu,
pris
pour le soleil, est la source. Les Egyptiens lui
découvrit qu’il s’était retiré avec son larcin au fond de la mer ; il
prend
aussitôt la forme d’un poisson, atteint le géant
dans la mer. L’univers allait rentrer dans le Chaos, lorsque Vichnou
prit
la forme d’une immense tortue, supporta sur son é
e de papier, et l’emporta sur ses épaules au fond des enfers. Vichnou
prit
la forme d’un sanglier, poursuivit le géant, le d
Hiranga, corrompait les hommes par son impiété orgueilleuse. Vichnou
prit
la forme d’un lion, se précipita sur le monstre,
nc l’objet de la colère des dieux. Vichnou se chargea de le punir. Il
prit
la forme d’un brahmine extrêmement petit, d’un na
rois de l’Inde), qui opprimaient leurs peuples. 7° Une autre fois, il
prit
le nom et la figure du beau prince Rama, dont les
ième naît sous le nom de Crichna, c’était Vichnou lui-même, qui avait
pris
cette forme pour punir les crimes de Kansa. En va
que, lorsque Vichnou s’incarnera pour la dixième et dernière fois, il
prendra
la forme du cheval exterminateur Kalki, lequel, d
n et ses frères, ayant ainsi créé le monde, en devinrent les dieux et
prirent
possession du ciel. Ils animèrent ensuite deux tr
ommes ce sentiment. La plus célèbre terreur panique est celle qui fit
prendre
la fuite à Brennus et à son armée allant piller l
un voile qu’il est quelquefois difficile de soulever. Ainsi, pour ne
prendre
qu’un exemple, le grain de blé passe six mois sou
a politique et à la morale. Le fond de ces fables, qu’on est tenté de
prendre
, au premier coup d’œil, pour de simples jeux d’im
l put reconnaître que tous les corps étaient animés par le feu. Il en
prit
donc une étincelle qu’il plaça dans une tige de f
me intervertis, les esclaves pouvaient parler impunément, les maîtres
prenaient
leur place et les servaient à leur tour. C’était
ilement. La sagesse des rois consiste à connaître le temps, à le bien
prendre
et à bien l’employer. Janus, qui possédait toutes
te de ses frères. Les dieux, épouvantés à la vue de ce nouvel ennemi,
prirent
la fuite et se réfugièrent en Égypte, où ils se m
animaux pour échapper à la poursuite de Typhon. Cependant Jupiter fut
pris
et renfermé dans un antre, sous la garde d’un mon
si la terre. » Deucalion et sa femme, comprenant le sens de l’oracle,
prirent
des pierres, qui sont les ossements de la Terre,
? — Racontez l’histoire de Philémon et de Baucis. — Quelle résolution
prit
Jupiter en voyant la corruption des hommes ? — N’
is Jupiter, usant de son privilége comme roi des dieux et des hommes,
prit
pour femmes plusieurs déesses et un grand nombre
répandu partout. Elle présidait aux mariages, à la naissance, et elle
prenait
alors le nom de Lucine. On la représente assise s
anciens lui donnent le nom d’Hypérion. Comme dieu du Soleil, Apollon
prenait
le nom de Phébus, et on le représente sur un char
es et présomptueux. Ovide raconte que ces vierges immortelles allant
prendre
possession du Parnasse, acceptèrent l’hospitalité
uivre à travers les airs, tomba du haut de la tour d’où elles avaient
pris
leur essor, et se brisa la tête sur la terre qu’i
qui a formé la constellation qui porte son nom. — Le Taureau. Jupiter
prit
la forme d’un taureau pour transporter en Grèce l
me l’un de ses plus terribles adversaires, le géant Pallas, dont elle
prit
le nom en souvenir de sa victoire. De la peau de
ur de la flûte en présence de Vénus et de Junon ; ces deux déesses se
prirent
à rire en voyant la bouche un peu grimaçante de M
s et des sciences. Questionnaire. Comment naquit Minerve ? — Ne
prit
-elle point part à la guerre des Géants ? — Commen
Questionnaire. Est-on d’accord sur la naissance de Mars ? — Ne
prit
-il point part à la guerre des Géants ? — Par qui
ida que Proserpine serait rendue à sa mère, si toutefois elle n’avait
pris
aucune nourriture dans les enfers. Malheureusemen
ctime de sa vanité mise en jeu par un artifice de Junon. Cette déesse
prit
la forme de Béroé, nourrice de Sémélé, et lui con
t accouchée d’un poulain. Saturne, qui dévorait tout indistinctement,
prit
le change, et Neptune fut sauvé. Il se distingua
dent. Les Tritons et les Néréides l’accompagnent. Le culte de Neptune
prit
naissance en Libye et se répandit de là en Grèce
aconte qu’ayant remarqué que les poissons qu’il amenait sur le rivage
prenaient
une force nouvelle en touchant de certaines herbe
ait sur les îles de la mer de Sicile qu’on appelait Vulcanies, et qui
prirent
de leur roi le nom d’Éolies. Jupiter l’avait étab
ure secrète. Il en sort, et le bruit trompe aussitôt l’époux. Céphale
prend
le dard, toujours sûr de ses coups, Le lance en c
lui avait annoncé qu’il périrait de la main de son petit-fils. Ayant
pris
la résolution de faire périr avec la mère l’enfan
t soumit un taureau furieux qui désolait la plaine de Marathon. Il le
prit
vivant, le promena dans les rues d’Athènes et l’i
t que les Furies ne cesseraient de poursuivre le sang d’Œdipe, et ils
prirent
le parti d’appeler au trône une autre famille.
te déesse. Oreste fit épouser à Pylade, son ami, Électre, sa sœur, et
prit
pour femme Hermione, fille d’Hélène et de Ménélas
érents. D’abord il se montra sous la forme du corbeau poëte ; puis il
prit
les traits d’un Paria, et le nom de Valmiki ; et,
rre, il la rapporta sur ses défenses victorieuses. Plus tard, Vichnou
prit
la forme d’un lion pour triompher d’un autre géan
a colère des dieux. Vichnou se chargea de la vengeance commune. Ayant
pris
la figure d’un brahmane extrêmement petit, d’un n
r raison du ravisseur, se mit à sa poursuite. Dans cette campagne, il
prit
pour auxiliaires le peuple des singes, commandé p
me à cette fantasmagorie qu’un appelle la vie de l’humanité. Alors il
prendra
la forme d’un cheval ailé, d’une blancheur éclata
l sur la terre ? — Que fit-il sous la forme d’un poisson ? — Pourquoi
prit
-il successivement la figure d’une tortue, d’un sa
ans la mer. Ses recherches furent longtemps stériles, quoiqu’elle eût
pris
pour compagnon un fils d’Osiris, le fidèle Anubis
la main à cet ouvrage ; le monde créé, ils en devinrent les dieux, et
prirent
possession du ciel ; puis ils firent l’homme et l
des Égyptiens. On verra que ce fut parmi ces peuples que l’idolâtrie
prit
naissance ; et la suite de cet ouvrage prouvera q
rès s’être comme exhorté lui-même à la production de ce chef-d’œuvre,
prit
de la terre qu’il détrempa avec de l’eau, et lui
dans son vaisseau ; de là on a dit qu’il rentrait dans la mer. Il ne
prenait
ses repas que sur son bord ; on a dit qu’il ne ma
l paraît, au rapport des savans, comme nous l’avons déjà dit, qu’il a
pris
ses idées dans Thaut l’Égyptien. Les observations
par leur nature ; mais ensuite ayant été séparés, le monde commença à
prendre
la forme que nous lui votons. Par le mouvement de
ation, il conserva quelques-unes des formes qu’on aimait en elle ; il
prit
même le perfide soin de les embellir. Ce fut en s
gypte, c’est dans ces deux royaumes qu’on peut croire que l’idolâtrie
prit
naissance. Lucien dit formellement que les Égypt
es îles. L’Égypte et la Phénicie sont donc les lieux où l’idolâtrie a
pris
naissance. Premier objet de l’idolâtrie. S
es bienfaisantes ou nuisibles. Par la suite des temps, Pythagore alla
prendre
cette opinion dans l’Égypte, et la répandit dans
rien ne prouve mieux l’antiquité de cette idolâtrie, que le soin que
prenait
Moïse de la proscrire. Prenez garde, disait-il
mait milésiennes étaient de ce nombre, ainsi que les sybaritides, qui
prenaient
leur nom des habitans de Sybaris, peuple le plus
rte aux actions héroïques dont il lit ou entend les récits. Celui qui
prend
ces actions dans sa fertile imagination cherche à
d’après Varron. Pour mieux éclaircir en quel temps les fables ont
pris
naissance, il faut suivre Varron, et distinguer a
ector, Ulysse, Priam, Pâris, Énée, etc. Dans l’intervalle de ces deux
prises
on doit placer les deux guerres de Thèbes, où par
Ce ne fut qu’au rétablissement des olympiades que l’histoire grecque
prit
enfin une forme certaine, et que les événemens fu
i du pays, qui l’accueillit favorablement. La contrée soumise à Janus
prit
son nom de cette aventure, et fut appelée Latium,
nna le sien au mois d’août. Septembre, octobre, novembre et décembre,
prirent
leur nom du rang qu’ils occupaient dans l’année ;
èle donna son nom à cette déesse, et que les corybantes, ses prêtres,
prirent
leur nom de Corybas. Voilà ce qui, par la suite,
estinés à conserver le feu sacré. Virgile fait remarquer le soin que
prit
Énée d’emporter avec lui le feu sacré, avant de q
ait jusqu’à trois cents. Dans les premiers temps, la plupart des rois
prenaient
ce nom auguste. Cet usage ne cessa qu’après la pr
ce temps il montra beaucoup de prudence. Métis lui conseilla de faire
prendre
à son père Saturne un breuvage qui lui fit rendre
rrassait Clytius. Encelade, voyant les dieux victorieux, commençait à
prendre
la fuite, lorsque Minerve l’arrêta en lui opposan
u le géant Pallas, l’écorcha et s’arma de sa peau. Mercure, qui avait
pris
le casque de Pluton, donna la mort au géant Hippo
ur d’Acmon, épousa Titée ou la Terre, et en eut plusieurs enfans, qui
prirent
de leur mère le nom de Titans : nom si célèbre da
Saturne, devenu le maître d’un vaste empire, épousa Rhéa sa sœur, et
prit
avec le nom de roi la couronne et le diadème. Ura
abitait le ciel. Les lieux qui nous ont vus naître, et ceux où l’on a
pris
soin de notre enfance, nous sont toujours les plu
e faire cette utile découverte. Leurs inscriptions portent que le feu
prit
dans la forêt du mont Ida, soit par le tonnerre,
subir aux mortels, soit pour les récompenser, soit pour les punir. Il
prit
la forme d’un aigle pour enlever Ganymède fils de
lle ajoute que, voulant reconnaître les soins que les nymphes avaient
pris
de son enfance, il leur donna une des cornes de l
e Prométhée, prévoyant qu’il ne trouverait pas de feu sur le Caucase,
prit
la précaution d’en emporter avec lui dans une pla
le ciel fit oublier aux dieux leur gravité ; ce qui décida Jupiter à
prendre
un échanson. Mars, son second fils, fut conçu par
déesse altière et jalouse, déclara souvent la guerre à Jupiter ; elle
prit
même parti contre lui dans la guerre des Titans.
e vengeances lassèrent Jupiter, et le portèrent à punir Junon d’avoir
pris
parti contre lui dans la guerre des Titans. Il la
nement de leur piété. Après avoir offert leur sacrifice, ils allèrent
prendre
leur repas, et s’endormirent paisiblement. La mor
ut métamorphosé en hibou, oiseau qui annonce les malheurs. Minerve le
prit
depuis sous sa protection, parce qu’il veille et
mais il paraît que sa prudence et sa sagesse engagèrent Minerve à le
prendre
sous sa protection. Jupiter, voulant apaiser et c
e par un tremblement de terre. L’histoire dit que les Sarrasins ayant
pris
cette île, chargèrent neuf cents chameaux des seu
r marâtre. Avril, signe du Taureau. Il représente celui dont Jupiter
prit
la forme pour enlever Europe. Mai, signe des Gém
l voudrait leur demander. Il voulut avoir un fils sans être obligé de
prendre
une femme. Sa demande lui fut accordée ; les troi
fférens. Il se nommait Délius, à cause de l’île de Délos, où il avait
pris
naissance ; Phœbus, pour faire allusion à la lumi
lops, suivit son frère lorsqu’il passa dans la partie de la Grèce qui
prit
de lui le nom de Péloponèse. Elle épousa Amphion,
e de les nommer et de les peindre. 1. Clio, la première des Muses,
prend
son nom de la gloire et de la renommée ; elle pré
ais de Pyrénée, roi de Phocide. Ce prince voulut les insulter ; elles
prirent
des ailes et s’envolèrent. Voulant les poursuivre
loir, jusqu’à la grotte solitaire où Diane et les nymphes de sa suite
prenaient
le bain : dans l’instant même, la déesse le métam
a déesse, ne put éviter sa vengeance. Jupiter, pour la séduire, avait
pris
la forme de Diane elle-même. Cette excuse ne la g
s les portaient à croire que tous les dieux et tous les héros avaient
pris
naissance dans leur pays. Jamais peuple ne fut pl
ette princesse habitait la ville de Thèbes. Junon, jalouse de Sémélé,
prit
la figure de Béroé, nourrice de sa rivale, et, so
de Minerve, à qui cet arbre était particulièrement consacré. La ville
prit
alors le nom de sa divinité tutélaire. Athènes de
es. (Fig. 29.) Les Romains, dans leurs traités les plus solennels,
prenaient
le feu vengeur pour témoin ; et les assemblées où
e bruit extraordinaire, dit la fable, les épouvanta tellement, qu’ils
prirent
la fuite et cédèrent la victoire aux dieux. Cette
ins, etc. Les Latins le nommaient aussi Vertumnus. Il avait le don de
prendre
à son gré toutes les formes. Épris de Pomone, dée
onorer l’un et l’autre comme des dieux marins. Le gouffre de Charibde
prit
son nom d’une femme très-cruelle, qui pillait les
nouveau dieu sous la forme d’un rocher inébranlable. La fête de Terme
prenait
de lui le nom Terminalis. On lui offrait du lait,
s dans les orgies ; il profitait effectivement de ses lumières, et le
prenait
pour guide en formant ses établissemens politique
idées se brouillèrent, les traditions furent altérées, et l’idolâtrie
prit
naissance : mais la différence qui existe entre l
nous apprend que le système des poëtes sur les enfers fut entièrement
pris
dans les coutumes que les Égyptiens observaient l
ait peu fertile, souffrirent encore plus que leurs voisins. Érechthée
prit
le parti d’envoyer en Égypte. Ses émissaires rapp
om veut dire angoisse ou hurlement. Ce fleuve est dans la Thesprotie,
prend
sa source dans le marais de l’Achéruse et son emb
a bonne chère : il n’est connu que de nom. Tout peintre a le droit de
prendre
son imagination pour guide lorsqu’il veut le repr
s, habiles médecins, et possesseurs des secrets d’Esculape, faisaient
prendre
des remèdes aux malades, et laissaient à leur die
les temps nommés héroïques. C’est dans la Grèce que l’héroïsme a
pris
naissance ; c’est dans son histoire qu’il en faut
vivait garda le nom de Pélasgie. Ses enfans, témoins de sa gloire, le
prirent
pour modèle, et le peuple, reconnaissant, laissa
decte, roi de cette île, reçut favorablement la mère et l’enfant ; il
prit
même grand soin de l’éducation du jeune prince :
ide. Ovide ajoute à ces fables que Persée, après la mort de Méduse,
prit
son vol par-dessus les plaines de la Libye. Les g
alait en vitesse celle des chevaux, et même le vol des oiseaux. Il en
prit
deux dont le corps était hérissé de crins. Leurs
était répandue généralement, et tout porte à croire que chacun d’eux
prit
pour modèle le législateur des Hébreux. Tous les
r ce moyen qu’il eut connaissance des lois de Moïse, et qu’il put les
prendre
quelquefois pour modèles des siennes. Après avoir
formes dans les cabinets des curieux. Dédale, en faisant ses statues,
prit
le corps humain pour modèle, et suivit exactement
Pline assure que Dédale avait voyagé dans l’Égypte, et qu’il avait
pris
le modèle de son labyrinthe en voyant celui situé
ardait Égée lui-même comme étranger au sang royal des Érechthides. Il
prit
les armes pour s’emparer du royaume ; mais Thésée
cette victoire, le héros alla combattre le taureau de Marathon, qu’il
prit
vivant et qu’ensuite il sacrifia. Ce fut peu de t
qu’il devait le jour au plus grand des dieux. Jupiter, dit la fable,
prit
la forme d’Amphitryon, et fut père d’Alcide. La n
rsécutions de Junon. Hercule fut élevé chez Créon, roi de Thèbes, qui
prit
beaucoup de soin pour cultiver son esprit. Le gra
peindre les soins de ses amis, et les bonnes résolutions que lui fit
prendre
une sage réflexion. Hercule regarda son mariage c
rs. Le héros la poursuivit pendant une année entière, et parvint à la
prendre
vivante. On publia qu’elle avait des pieds d’aira
s conquêtes ; rassuré par son courage et ses nombreuses victoires, il
prit
de faibles précautions pour se camper. Cacus, pet
coupé tous les passages vers la terre, où il allait se rafraîchir et
prendre
de nouvelles troupes, il le fit périr. Cette vict
ète sortit de la ville pour défendre son pays, et fut malheureusement
pris
dans une sortie. Alceste, alors, ne consultant qu
is Laomédon refusa les galères. Hercule indigné, attaqua la ville, la
prit
, enleva Hésione, la fit épouser à Télamon, tua La
a forme d’un centaure, parce qu’il était toujours à cheval, offrit de
prendre
Déjanire sur la croupe de son cheval, et de la tr
la suite on nomma Herculie. Après la mort de ce héros, les poëtes le
prirent
pour l’objet de leurs poëmes et de leurs fables.
s les jeux olympiques, personne n’osa se présenter ; Jupiter lui-même
prit
la forme d’un athlète, et lutta contre lui. Il co
e, et ne marchait point sur les traces d’Hercule Égyptien qu’il avait
pris
pour modèle, il fut si touché qu’il rendit le tré
, fameux devin de ce temps-là, voulut se rendre auprès d’eux ; il fut
pris
pour un espion et mis à mort. La peste recommença
et qu’il portait tous les chefs de l’expédition. Toute la Grèce ayant
pris
part à cet événement, et les fables en parlant sa
ne douta point qu’il ne fût l’homme dont l’oracle l’avait menacé. Il
prit
le parti de dissimuler, et pria l’étranger de lui
s célébrèrent des fêtes pendant cinq jours. Pendant le sixième, Jason
prit
, avec son père et ses oncles, des mesures pour dé
trer pendant la nuit, Cysicus qui les croyait déjà fort éloignés, les
prit
pour les Pélasges, ses ennemis naturels ; il voul
Corinthiens eux-mêmes engagèrent. Médée à quitter Iolchos pour venir
prendre
possession d’un trône qui lui appartenait. Il aj
ès avoir massacré les enfans de Jason, vint se réfugier à Athènes, et
prit
assez d’empire sur Égée pour le décider à l’épous
nestre. La fable dit que Jupiter s’étant métamorphosé en cygne, Vénus
prit
la forme d’un aigle et se mit à sa poursuite ; il
jourd’hui le feu saint Elme et le feu saint Antoine. Ces deux princes
prirent
la ville d’Aphidnes, pour venger une injure faite
gée, ainsi que la statue de Minerve, pour punir les Arcadiens d’avoir
pris
le parti d’Antoine contre lui. Cléopâtre, femme d
de ne plus retourner à Corinthe, qu’il regardait comme sa patrie, il
prit
le chemin de la Phocide, et rencontra dans un sen
et Polynice résolurent de terminer entre eux leurs différens. Le jour
pris
, le lieu fixé, les peuples en pleurs, les armées
nciens nous ont laissés sur ce sujet intéressant. Nous croyons devoir
prendre
le même parti pour le plus célèbre des événemens
e influence sur cette partie de la Grèce qui, de Pélops, son aïeul, a
pris
le nom de Péloponèse. « Tantale, son bisaïeul, ré
éprouvaient. Les premiers avaient été plus d’une fois sur le point de
prendre
la ville ; plus d’une fois les seconds avaient fo
proues de vaisseaux, lorsqu’on avait échappé au naufrage ; les armes
prises
sur les ennemis, des trophées, des boucliers, des
ndement ; elle était liée d’un ruban. Après ces cérémonies, le peuple
prenait
cette pierre et la jetait dans la fosse avec des
atre-vingt-dix ; mais on peut l’entendre de la statue et du piédestal
pris
ensemble. On voyait dans le temple de Bélus plusi
ens avaient remportées sur les Pisans et sur leurs alliés, lorsqu’ils
prirent
et saccagèrent la ville de Pise. Ce temple eut po
oisies avec les plus grandes précautions, exerçaient ce ministère. On
prenait
ordinairement la Pythie dans une maison pauvre ;
s fondemens. Alors les prêtres, que l’on nommait aussi les prophètes,
prenaient
la Pythie, la conduisaient dans le sanctuaire, et
ypée ; et, pour éviter toute espèce de surprise, on combattait nu. On
prit
cet usage, parce que Callipatire, après la mort d
sa patrie. Son véritable nom était Frige, fils de Fridulphe. Il avait
pris
celui à Odin, dieu suprême des Scythes, soit qu’i
umis autant de peuples à suivre les rites du culte de sa patrie, Odin
prit
la route de la Scandinavie par la Chersonèse Cimb
s exposerons quelques autres dogmes de la religion celtique. Nous les
prendrons
dans l’Edda, et dans le poëme nommé Volupsa. On c
’y promenaient, ils trouvèrent deux morceaux de bois flottans, qu’ils
prirent
, et dont ils formèrent l’homme et la femme. L’aîn
i d’un sage inconnu jusqu’alors, et qu’il a fallu désigner par un mot
pris
dans une langue étrangère, sont les traces que la
vertus et de tous les sentimens héroïques. Les rois s’empressèrent de
prendre
pour modèles les héros des poëmes imaginés par le
ontredisent ; le premier, en disant que la religion des druides avait
pris
naissance en Angleterre ; le second, en disant qu
lacs était celui de Toulouse, dans lequel on jetait l’or et l’argent
pris
sur les ennemis. On joignait à ce culte celui des
x cérémonies religieuses. C’était là qu’ils enfouissaient les trésors
pris
sur les ennemis, et que l’on immolait les prisonn
du monde moral. Là, pour nous enchanter tout est mis en usage ; Tout
prend
un corps, une ame, un esprit, un visage ; Chaque
berger, trois puissantes déesses : je suis l’épouse du grand Jupiter.
Prends
cette pomme, et donne-la à celle de nous qui la m
Vénus se plaisait le plus à être honorée : c’est de cette île qu’elle
prit
le nom de Cythérée. Son fils Énée lui avait élevé
nuit que l’Amour reposait près d’elle, elle se lève, allume la lampe,
prend
le poignard, et s’approche en tremblant du lit nu
u dieu de la santé. L’atteinte en est certaine, et la brûlante foudre
Prend
à sa longue barbe et la réduit en poudre. Qui pou
sculape, à la prière d’Apollon, reçut les honneurs de l’apothéose, et
prit
rang parmi les dieux de l’Olympe. Il eut plusieur
îner un corps qui lui servait à peine, Sur la croupe d’un mont Phébus
prenait
haleine, Et couché sur la mousse auprès d’un vert
Midas avec Tmolus est commis pour juger. Sur un gazon fleuri le sénat
prend
séance, Le vulgaire est debout, et tous prêtent s
chers, les montagnes, et charmait enfin toute la nature, qui semblait
prendre
une ame pour jouir de la divine harmonie. Les Nym
e secrète : Il en sort ; et le bruit trompe aussitôt l’époux. Céphale
prend
le dard, toujours sûr de ses coups, Le lance en c
naient à la beauté un air de gravité qui ne permettait point qu’on la
prît
pour Vénus. A peine était-elle née, qu’elle s’arm
: une nymphe empressée A déjà détaché sa robe retroussée ; Une autre
prend
son dard, son arc, et son carquois ; De ses pieds
ays empruntant le visage, Il aborde Phébus de l’air riant et doux Que
prend
la trahison pour faire ses grands coups, Et lui d
it dans l’ame, et sa joie est extrême De voir qu’à ses chansons on le
prend
pour lui-même. Plus son admirateur s’empresse à l
pour lui escamoter sa ceinture. En visitant les forges de Vulcain, il
prit
plusieurs instruments des Cyclopes : s’il ne déro
at ; Arachné les montra sous les formes diverses que l’Amour leur fit
prendre
pour charmer les jeunes mortelles ; et elle obtin
e père des dieux dans la guerre contre les Géants. Un jour, ayant été
pris
par des corsaires, il fit sur le navire un si gra
ôt de ce beau corps la taille souple et libre Sur sa double colonne a
pris
son équilibre. Le Titan s’applaudit et poursuit s
ur l’œil, Donne encore au regard plus d’audace et d’orgueil. Le teint
prend
son éclat ; la lèvre colorée, En deux filets de p
sivement chargé de détruire les oiseaux voraces du lac Stymphale ; de
prendre
vivant un taureau des plus fougueux qui était en
assue. Mais Laomédon ayant refusé de remplir ses engagements, Hercule
prit
d’assaut la ville de Troie, passa au fil de l’épé
dans l’ombre ; A travers l’incendie, à travers la nuit sombre, Il le
prend
, il l’étreint entre ses bras nerveux ; Et, de leu
rincesse. Hercule livra au dieu son rival un combat célèbre. Achéloüs
prit
en combattant la forme d’un homme, d’un serpent,
s seules substances que l’on servît dans le banquet ; mais l’ambrosie
prenait
différents goûts, selon le desir de ceux qui en m
rties d’un corps organisé, se rangèrent les uns auprès des autres, et
prirent
la forme d’une île, sur laquelle on éleva bientôt
la fléchir, sans le secours d’un Dauphin qui la fit enfin résoudre à
prendre
ce dieu pour époux. Neptune, en récompense du ser
ux arts, et leurs noms sont relatifs au domaine de chacune. Clio, qui
prend
son nom de Kléos, gloire, préside à l’Histoire. E
rouler ses ondes argentées autour de l’Hélicon, sur lequel ce fleuve
prenait
sa source. Au pied de cette montagne était la vil
l meurt. Les Dryades lui préparent un bûcher, et lorsqu’elles veulent
prendre
son corps, elles ne trouvent en sa place qu’une f
, le son se communiquait successivement jusqu’au dernier ; ce qu’on a
pris
pour le symbole des babillards. Les Dryades étaie
ourrice, effrayée d’une figure si grotesque, refusa de l’allaiter, et
prit
la fuite. Mercure l’enveloppa de peaux d’animaux,
âce enchanteresse, Ta démarche, ton air, et ta chaste rudesse ; On la
prendrait
pour toi si son arc était d’or, Et souvent toutef
u du jour, Circé, tenait alors sa cour. Elle leur fit
prendre
un breuvage Délicieux, mais plein d’un funeste po
re contre Hercule et perdre une corne dans ce combat, où, après avoir
pris
plusieurs formes diverses, il se présenta sous la
l’amant de cette aimable déesse. Le premier jour qu’elle le vit, elle
prit
la fuite ; mais le jeune dieu l’atteignit, lui pe
ssonneur, comme un bouvier, comme un faucheur, comme un vigneron ; il
prit
aussi la figure d’un pécheur, d’un soldat : ce fu
t été vaincues, c’était parceque les poulets sacrés avaient refusé de
prendre
leur nourriture, ou parceque en volant ils avaien
iture, ou parceque en volant ils avaient décrit tel ou tel cercle, et
pris
une direction funeste. Telles étaient les aberrat
jamais consenti à rédiger ce Précis, parce que nous ne voudrions pas
prendre
sur nous la responsabilité d’une seule parole qui
dire à Boileau : Là pour nous enchanter tout est mis en usage : Tout
prend
un corps, une âme, un esprit, un visage. Chaque v
ea avec lui le souverain pouvoir. La contrée qui lui servit de refuge
prit
le nom de Latium, du mot latin latere, qui signif
rs, contrairement à l’ordre de ce dieu qui lui avait défendu d’y rien
prendre
. Elle métamorphosa en lézard le jeune Stellio, pa
qu’il s’était moqué de l’avidité avec laquelle la bonne déesse avait
pris
son repas chez la vieille Bécubo ; enfin elle env
n, ne pouvant se venger contre son père, le souverain des dieux, s’en
prit
aux Cyclopes qui forgeaient ses foudres et les tu
tes frisaient leurs inspirations dans les eaux du fleuve Permesse qui
prend
sa source au pied de l’Hélicon, dans la fontaine
d’or dont les sons charmaient les dieux et les hommes. — Quand il est
pris
pour le dieu du soleil, il a un coq sur la main,
n chien à ses côtés. On lui met un croissant sur le front quand on la
prend
pour la lune. Les poëtes disent encore qu’elle se
honneur, en déployant dans cet art funeste une étonnante habileté. Il
prit
à Neptune son trident, à Apollon ses flèches et s
erre des géants. Elle terrassa elle-même la terrible Pallas dont elle
prit
le nom en souvenir de sa victoire. Elle alla enco
où cette affaire avait été discutée, et on y établit un tribunal qui
prit
le nom d’Aréopage, parce que les Grecs appelaient
treprises, ils lui offraient des sacrifices. Les consuls qui devaient
prendre
le commandement des légions touchaient sa lance a
de vils et timides animaux, Bacchus resta seul à côté de Jupiter, et
prit
la figure d’un lion pour aider le souverain des d
espérances trompées ! Bacchus la consola des perfidies de Thésée, la
prit
pour épouse et lui donna une couronne d’or qui, a
ses faveurs, mais elle n’a pu le délivrer de la fureur de Mars qui le
prit
dès lors en aversion. Un sanglier énorme suscité
it avait la connaissance du passé, du présent et de l’avenir. Mais il
prenait
toutes sortes de formes pour éluder les questions
flottants sur ses épaules. La fable rapporte qu’un jour, après avoir
pris
des poissons, il s’aperçut qu’ils mangeaient d’un
l’avait dévoré immédiatement après sa naissance, mais Jupiter lui fit
prendre
un breuvage qui le força de le rejeter de son sei
ient prononcé son nom, leur serment était irrévocable. L’Erèbe, qu’on
prend
aussi quelquefois pour l’enfer, fut aussi condamn
les prémices des fruits et des troupeaux. Ces Satyres avancés en âge
prenaient
le nom de Silènes. Nous avons raconté les aventur
nd ils présidaient aux carrefours. Les fêtes établies en leur honneur
prenaient
aussi ce dernier nom parce qu’elles étaient céléb
empires. Chaque famille avait le droit de choisir ses Pénates et les
prenait
souvent parmi les dieux du premier ordre. Les Pén
s la bulla. C’était un petit ornement d’or ou d’argent qu’ils avaient
pris
avec la robe prétexte. On offrait à ces dieux de
t aux passions. Toutes les pensées qui agitent l’intelligence humaine
prirent
corps et visage pour recevoir l’encens des mortel
té, que les Grecs appelaient Até, était une déesse malfaisante qui ne
prenait
plaisir qu’à tourmenter les hommes. Jupiter, son
es derniers. Le laboureur était heureux après ses grandes fatigues de
prendre
un instant de repos, et il plaçait pour ce motif
, et lui dit : « Hercule, je vois que tu ne sais quel chemin tu dois
prendre
. Si tu t’attaches à moi, je te conduirai par la r
sage du fleuve Ladon, et l’apporta sur ses épaules à Eurysthée. 4º Il
prit
également tout vivant un sanglier affreux qui ava
envoyer son fils que quand il serait en âge de remuer ce rocher et de
prendre
l’arme qui devait le faire reconnaître. Thésée av
és par les matelots ? Quelle victime leur offrait-on ? 3. Quelle part
prirent
-ils à l’expédition des Argonautes ? Comment mouru
pourtant pas tremper ses mains dans le sang de ce héros illustre. Il
prit
le parti de l’exposer à des périls auxquels il ne
e celui qui les portait. Questionnaire. 1. Persée et Bellérophon
prirent
-ils part à l’expédition des Argonautes ? Quel est
he, des brigands l’assaillirent et lui demandèrent ses trésors. Arion
prit
sa lyre, et essaya de calmer leur fureur par la d
t d’y bâtir une ville. Il rencontra dans la Phocide une génisse qu’il
prit
pour guide et qui le conduisit en Béotie. Là il b
de Péribée, s’éloigna de Corinthe pour se dérober à tous ces maux et
prit
le chemin de la Phocide. 5. Un jour il trouva dan
cours près d’Adraste, roi d’Argos. La Messénie, l’Arcadie, l’Argolide
prirent
sa défense, et envoyèrent contre Thèbes leurs tro
e Capanée, Thersandre, fils de Polynice, Polydore, fils d’Hippomédon,
prirent
les armes. Le devin Tirésias avait prédit que cet
ésents. Aux joyaux et aux pierreries il avait mêlé des armes. Achille
prit
les armes et se trahit. Ulysse l’emmena sur-le-ch
marcha au combat. Rien ne pouvait lui résister. Les Troyens effrayés
prirent
la fuite au seul son de sa voix terrible. Dans le
hise et de Vénus, chargea sur son dos les dieux pénates de sa patrie,
prit
son fils Ascagne par la main, et se retira avec l
furieux jusqu’à perdre la raison. Il se jeta sur des pourceaux qu’il
prit
pour Ménélas et ses juges, et se perça de son épé
ba. Le bœuf et la vache sont parmi eux en très-grande vénération. Ils
prennent
de l’urine de vache pour leur servir d’eau lustra
isciple de Daniel, d’Ezéchiel ou d’Esdras, et quelques-uns même l’ont
pris
pour un Juif. Il est certain que sa doctrine offr
. Tous les seigneurs le tentèrent vainement. Osiris, sur qui on avait
pris
mesure à son insu, y réussit pour son malheur. Ca
aix et l’abondance régnèrent avec le fils d’Osiris. 8. Le peuple, qui
prenait
ces fables au sérieux, était très-superstitieux.
festins et réjouissances. On amenait le nouveau dieu à Memphis pour y
prendre
possession de sa nouvelle qualité, et il y était
eu des bruyères le sifflement des vents et le bruit du tonnerre qu’il
prenait
pour la voix mélancolique et sombre de ceux qui n
y promenaient, ils trouvèrent deux morceaux de bois flottants, qu’ils
prirent
, et dont ils formèrent l’homme et la femme. L’aîn
22] Cependant Jupiter ne se laissa pas intimider par le danger ; il
prit
sa foudre et vint à bout d’exterminer toute la ra
son frère Épiméthée, séduit par la merveilleuse beauté de Pandore, la
prit
pour épouse et ouvrit la boîte fatale, d’où s’éch
nt qu’il dormait, et le lier de manière qu’il ne pût échapper, car il
prenait
toutes sortes de formes pour épouvanter ceux qui
ets sur l’herbe du rivage, et qu’il comptait les poissons qu’il avait
pris
, il s’aperçut que ces poissons s’agitaient d’une
son palais un silence perpétuel. [Fig. 45] Les Dieux Mânes étaient
pris
, tantôt pour les âmes des morts, tantôt pour des
ida que Proserpine serait rendue à sa mère, si toutefois elle n’avait
pris
aucune nourriture dans les Enfers. Malheureusemen
it d’un seul coup de sa massue les sept têtes de l’hydre de Lerne. Il
prit
en Arcadie le sanglier d’Erymanthe, qui faisait d
nourrissait ses chevaux de chair humaine. Vainqueur des Amazones, il
prit
leur reine Hippolyte, qu’il fit épouser à Thésée,
promis sa fille Iole en mariage, et la lui avait ensuite refusée. Il
prit
la ville, tua le roi et emmena la jeune Iole, qui
palais d’Ulysse et dévoraient ses biens, en attendant que son épouse
prît
un parti ; mais le retour du héros délivra Pénélo
emain matin, avant que de conduire ses troupeaux aux pâturages, il en
prend
encore deux pour son repas du matin, et referme s
tre de vin, en remplit une coupe, qu’il présente au Cyclope. Celui-ci
prend
la coupe et boit ; le vin lui paraît délicieux ;
et cède au sommeil qui l’accable. Ulysse ne perd point de temps ; il
prend
le pieu qu’il avait préparé, et, après l’avoir fa
né que, si, charmé par les chants et les attraits des Sirènes, il lui
prenait
envie de s’arrêter, loin de condescendre à ses dé
u nombre des concurrents ; mais Pénélope les y fait consentir. Ulysse
prend
l’arc, le tend presque sans peine, et la flèche,
é de l’éclat de sa beauté, se mit à la poursuivre. La nymphe effrayée
prend
la fuite ; mais, arrivée sur les bords du Ladon e
resse par là ta course, et suis le droit chemin. Phaéton, à ces mots,
prend
les rênes en main ; De ses chevaux ailés il bat l
montagnes et dessèchent les rivières. Ce fut alors que les Éthiopiens
prirent
ce teint noir qu’ils conservent encore, et que l’
ils avaient faite à un mur commun. Las enfin de cette contrainte, ils
prirent
la résolution de s’enfuir, et se donnèrent rendez
s de Jupiter et de Mnémosyne. Alors les Muses, ayant imploré Apollon,
prirent
des ailes et s’envolèrent. Pyrénée voulut les sui
se percher sur les arbres voisins. Apollon voulut même que les Muses
prissent
le nom de leurs rivales. Stellio. Cérès, ch
éesse boire et manger avec avidité, un petit enfant nommé Stellio, se
prit
à rire ; Cérès, irritée, jeta sur lui ce qui rest
epris sa première forme, elle eut tant de regret de sa faute, qu’elle
prit
la fuite et se retira dans les bois, où elle se m
llon. Apollon, pour le punir, lui fit venir des oreilles d’âne. Midas
prenait
grand soin de cacher cette difformité sous une ti
Métra, sa fille, que Neptune avait aimée, obtint de ce dieu le don de
prendre
toutes sortes de formes. Érésichthon, qui avait i
métamorphosée en lotos. Elle n’a que le temps d’appeler sa sœur pour
prendre
l’enfant, qui aurait été enfermé avec elle sous l
ions privées de la connoissance du vrai Dieu. L’idée de l’Apothéose a
pris
naissance dans les états monarchiques, telle est
e ; mais nous avons tant vu de Vénus et d’Amours, que l’imagination a
pris
la multiplication de ces tableaux pour la multipl
t épouser un mortel. Pour se soustraire aux poursuites de Pélée, elle
prit
mille formes différentes, elle se changea en feu,
prit mille formes différentes, elle se changea en feu, en eau ; elle
prit
successivement la figure de tous les animaux les
d quelquefois les Océanides avec les Néréïdes, nymphes de la mer, qui
prirent
en effet leur nom de Nérée ou l’Océan, leur père,
t les troupeaux de Neptune, se nommoit Protée, il avoit le pouvoir de
prendre
à son gré toutes sortes de formes. Il étoit devin
que Proserpine, dans sa jeunesse, caressée par un moineau, voulut le
prendre
et le nourrir, l’oiseau se réfugia dans le creux
à Linus. Comme ces chants étoient ordinairement vides de sens, on en
prit
occasion d’appeler Nénies les mauvais vers. Nœnie
lle-même dans un temple de Minerve, à Troie. L’oracle assura qu’on ne
prendroit
jamais la ville tant que cette statue resteroit à
ium : peu après la ville fut prise. Les Grecs, selon quelques-uns, ne
prirent
qu’un faux Palladium fait à la ressemblance du vé
tées : l’histoire rapporte que lorsque les tyrans des Phocéens eurent
pris
Delphes, les Thyades, saisies d’une fureur bachiq
temps de Rome, les Gaulois étant aux portes de la ville, les vestales
prirent
la fuite ; Albinus plébéien, qui, sur un chariot,
oulut punir de mort la négligence de la nourrice, mais les Argiens la
prirent
sous leur protection. Ce fut en mémoire de cet év
e princesse, qui s’étoit distinguée par son courage dans les combats,
prit
une passion violente pour un jeune homme de la vi
exposés baignés dans le sang, personne ne les inhuma. Jupiter, ayant
pris
part à cette vengeance atroce, avoit pétrifié tou
ectrice des mânes, s’appelle Hécate : de toutes ces fonctions Diane a
pris
le surnom de triple Déesse. On a fait dériver le
ir l’île de Délos, qui jusque-là, cachée sous les eaux, n’avoit point
pris
part au serment de la Terre. Mais cette île étoit
ler dans l’art de jouer de la flûte, le défia ; Tmolus, roi de Lydie,
pris
pour arbitre, adjugea le prix au Dieu de l’harmon
lle la malédiction de Minerve. Le sang de Marsyas forma un fleuve qui
prit
son nom ; d’autres disent que ce fleuve dut son o
ndre la maturité du fruit ; ensuite, pour excuser son retardement, il
prit
un serpent qu’il accusa faussement de lui avoir f
Ce prince les insulta, et voulut les retenir prisonnières ; les Muses
prirent
des ailes et s’envolèrent. Pyrénée, aussi stupide
tiope, sa femme, pour épouser Dircé. Jupiter, selon quelques auteurs,
prit
alors la forme d’un satyre pour séduire Antiope ;
oit vendue. Ensuite elle passa au Duc de Mantoue. Lorsque Mantoue fut
pris
en 1630 par les Impériaux, cette Table fut perdue
une multitude de Sabins fut engloutie ou brûlée et le reste obligé de
prendre
la fuite. Hébé. Déesse de la Jeunesse,
nymphes, entre autres, Syrinx, qui, pour se dérober à ses poursuites,
prit
la fuite ; arrivée sur les bords du fleuve Ladon,
toient les ministres du culte idolâtre chez les Gaulois. Leur nom est
pris
d’un mot grec qui signifie chêne, parce qu’ils de
ses dont on a déjà parlé. Canente, fille de Janus et de Vénilia, elle
prit
son nom de la beauté de sa voix. Elle épousa Picu
s en aigle et s’en servit depuis pour traverser les airs. Les Romains
prirent
l’aigle pour enseigne la seconde année du consula
jeune homme d’une grande beauté qui, en se voyant dans une fontaine,
prit
sa figure pour celle de la nayade et devint amour
royant revoir sa sœur. Ce fut là que le vit la nymphe Écho et qu’elle
prit
pour lui cette passion malheureuse qui la desséch
t il défendit sous peine de la vie, de la donner à Polynice qui avoit
pris
les armes contre sa patrie. Antigone, toujours dé
ar Nélée Roi de Messène, et sur le relus de ce Prince, il saccagea et
pris
Messène, massacra Nélée et tous ses enfans, à l’e
l’Océan et de la Terre, et père des Syrènes et de plusieurs Nymphes,
prit
diverses formes en combattant Hercule ; étant sou
t après la mort d’Achille, les Grecs voyant qu’il étoit impossible de
prendre
la ville sans les flèches d’Hercule que Philoctèt
paules, parut à toute l’assemblée, si beau et si majestueux, qu’on le
prit
pour le Dieu Mars, Jason demanda alors à Pélias d
ée d’où sortit un superbe bélier, qui les enleva dans les airs et qui
prit
le chemin de la Colchide. Ce brillant Bélier, don
Phrixus, arrivé dans la Colchide, y sacrifia le Bélier à Jupiter, en
prit
la Toison d’or, la suspendit à un arbre dans une
lorsque le savant Chiron, tenant Achille enfant entre ses bras, vint
prendre
congé de Jason ; et après l’avoir embrassé, ainsi
ls Absyrthe, frère de Médée. On atteignit bientôt le ravisseur. Jason
prit
terre avec Absyrthe, sous prétexte d’entrer en ac
ère, ayant su de Calchas qu’il périroit au siége de Troye et qu’on ne
prendroit
jamais cette ville sans lui, l’envoya à la cour d
qui avoit la même taille. Elle ne les eut pas plutôt endossée qu’elle
prit
la fuite. Vulcain la poursuivit sans pouvoir l’at
tor, mais il le rendit aux prières et aux larmes de Priam. Ensuite il
prit
une violente passion pour Polixène fille d’Hécube
iens, ce ne seroit pas Homère, tout sublime qu’il est, qu’il faudroit
prendre
pour modèle, et que l’imitation de Sophocle, d’ E
frère de Didon fit assassiner pour s’emparer de ses richesses, Didon
prit
la fuite, elle conduisit une colonie sur la côte
de bœuf : Didon qui avoit refusé d’épouser Iarbe, Roi de Mauritanie,
prit
une passion violente pour Enée, et lorsque ce hér
de Médée et de tant d’autres. Thieste échappant à la fureur d’Atrée,
prit
la fuite. Quelque temps après il rencontra, sans
il fut élevé avec Pylade, fils de Strophius. Ces deux jeunes Princes
prirent
l’un pour l’autre, cette amitié héroïque et touch
ces, Iphigénie monta sans obstacle sur le vaisseau de son frère, elle
prit
la fuite avec, les deux amis en emportant la stat
elir Ajax. Les anciens qui ont inventé de si belles allégories, n’ont
pris
aucun soin de concilier les caractères de leurs D
e Palladium avec le secours de Diomède, il tua Rhésus en trahison, et
prit
ses chevaux. A son retour, il s’arrêta long-temps
les soldats Grecs enfermés dans les flancs du cheval en sortirent et
prirent
la ville. Presque tous les Princes Grecs périrent
Presque tous les Princes périrent contre ces rochers périlleux qu’ils
prirent
pour des ports, Nauplius et ses fils massacrèrent
Patrocle, il faut qu’il examine sa destinée qu’il ne connoît pas. Il
prend
les balances immortelles, la pèse, et voit que le
ie, si l’on ne savoit pas que les enfans connoissent trop ce jeu pour
prendre
un tel effroi. Il faut de la vraisemblance en tou
ue le cerf aimoit tellement la flûte, qu’en l’écoutant il se laissoit
prendre
. On donne aussi pour attributs à la Flatterie, de
e fondé sur l’opinion que l’on avoit jadis que la licorne se laissoit
prendre
et apprivoiser par une vierge. D’autres représent
s le Ciel. Il fit présent d’une de ses cornes aux Nymphes qui avoient
pris
soin de son enfance, en donnant à cette corne la
ent. C’est ce qu’on appelle la Corne d’abondance. 12. Cette tragédie
prend
son nom de Trachine, ville de Thessalie où se pas
non et de Briséis, pour se soustraire aux fureurs de Clytemnestre, il
prit
la fuite et après beaucoup d’aventures, il aborda
ue l’on donnoit aux jeunes gens quand ils quittoient la prétexte pour
prendre
la robe virile. 37. Le Tasse. 38. Il est possi
dans les cieux ; une de sescornes qu’il donna aux nymphes qui avaient
pris
soin de son enfance avait le don de produire tout
our se soustraire à la vigilance de Junon, qui était fort jalouse, il
prenait
toute espèce de figure : ainsi il se transforma e
ur pénétrer chez Danaé ; en satyre pour surprendre Antiope ; il avait
pris
les traits de Diane pour tromper Callisto, et il
et jeta ses cent yeux à l’extrémité des plumes de cet oiseau, qu’elle
prit
sous sa protection. Cette Déesse avait Iris pour
de cet accident, le Dieu métamorphosa son jeune ami en la fleur qui a
pris
le nom d’hyacinthe ou de jacinthe, et s’éloigna d
éon ayant pénétré jusqu’à une fontaine dans les eaux de laquelle elle
prenait
un bain, Diane offensée le métamorphosa en cerf,
nt le frère de Jupiter, avec qui il partagea l’empire du monde. Ayant
pris
part à la conspiration des Dieux contre Jupiter,
Voyant ses vœux repoussés par les mortelles comme par les Déesses, il
prit
le parti d’enlever de vive force Proserpine, fill
iter. On la considère aussi comme Déesse de la guerre ; et alors elle
prend
le nom de Bellone ; on l’appelle aussi Pallas, du
de sa douleur, s’engagea à la lui faire rendre, pourvu qu’elle n’eût
pris
aucun aliment depuis qu’elle habitait le sombre r
armée en bataille. Ayant accompagné Bacchus dans les Indes, il avait
pris
une part importante à ses combats et à ses triomp
lture des arbres fruitiers. Vertumne usa de la faculté qu’il avait de
prendre
toutes les formes, et se présenta successivement,
traits d’un laboureur, d’un moissonneur et d’un vendangeur. Enfin il
prit
l’aspect d’une vieille femme, et, après avoir, pa
on ne décidait rien d’important sans les avoir consultés. Aussi s’en
prenait
-on quelquefois à ces divinités des afflictions qu
ait accueilli généreusement Bellérophon, ne voulut pas, lorsqu’il eut
pris
connaissance de la lettre de son gendre, faire pé
reprise, et pendant que celui-ci cueillait les pommes, Hercule, ayant
pris
sa place, soutenait le ciel sur ses épaules. 12°
qu’il devait défendre. Le héros, maître du trésor qu’il ambitionnait,
prit
la fuite, enlevant les trésors et la fille d’Æète
Les prêtresses de Bacchus, irritées de cette sombre douleur, qu’elles
prenaient
pour du dédain, s’emparèrent de lui dans les accè
la Grèce. Ils se joignirent ensuite à l’expédition des Argonautes, et
prirent
une part importante à leurs travaux. On raconte q
reste, Electre et Iphigénie. Élu généralissime de l’armée grecque, il
prit
le titre de roi des rois, et mit une grande activ
ecs, et, se renfermant dans sa tente, il resta une année entière sans
prendre
les armes. Grâce à son inaction, les Troyens repr
du sel au lieu de blé. Cependant Palamède, qui soupçonnait la feinte,
prit
le jeune Télémaque qui venait de naître, et le pl
’où il fut chassé par la peste ; de là il se rendit en Epire, ensuite
prit
terre à Drépane, en Sicile, où il vit mourir son
ais cette princesse était déjà fiancée à Turnus, roi des Rutules, qui
prit
les armes pour faire valoir ses droits. Pour évit
t singulier ; Enée, sorti vainqueur de cette lutte, épousa Lavinie et
prit
possession du trône des Latins. Ce mélange de Tro
es. Les plus remarquables avaient lieu près de la ville d’Olympie, et
prirent
de là le nom de jeux olympiques ; comme elles se
de jeux olympiques ; comme elles se célébraient tous les cinq ans, on
prit
de là l’habitude de compter les mesures de temps
uil, et le vainqueur recevait une couronne d’ache. Les jeux isthmiens
prirent
leur nom de l’isthme de Corinthe, qui sépare la M
it une couche assez épaisse pour que les plus grands arbres y pussent
prendre
racine. Les pyramides d’Égypte 91 étaient d’imme
tiens observaient dans l’enterrement de leurs morts. Un prêtre allait
prendre
le mort, c’est la fonction que les Grecs ont attr
t consacré. 13. L’Éridan ou le Pô, le plus grand fleuve de l’Italie,
prend
sa source sur la pente du mont Viso, dans les Alp
ts Gramnos ou Mezzovo, entre l’Épire et la Thessalie. 17. Fleuve qui
prend
sa source au pied de l’Hélicon. 18. Dans son r
enne. Quant à Dédale, il atteignit heureusement les côtes d’Italie et
prit
terre à Cumes, où il construisit un temple en l’h
eau : à peine en voit-on quelques vestiges. 81. Rivière d’Italie qui
prend
sa source dans les Apennins, passe à Rome, et se
veut traiter : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout
prend
un corps, une ame, un esprit, un visage, Chaque v
suite en constellation, et la plaça au ciel. Les Nymphes qui avoient
pris
soin de son enfance, eurent une des cornes de cet
quittèrent le ciel, excepté Bacchus, et se sauvèrent en Egypte où ils
prirent
pour se cacher, différentes formes d’animaux, d’a
uisement L’on connoît le maître du monde. La Grange-Chancel. Il
prit
la figure d’un cygne pour tromper Leda, épouse de
Vous assaisonnez l’ambroisie. Et rendez le nectar plus doux. Jupiter
prit
la forme de Diane pour tromper Calysto, l’une des
ou la petite Ourse. Alcmène fut aussi trompée par Jupiter, qui avoit
pris
la figure d’Amphitrion son époux : Passe encore
mon, et l’adoroient sous la forme d’un bélier, prétendant qu’il avoit
pris
cette figure pour combattre les géans. Ses noms v
tit en fureur, et brisa la statue. Voyant que c’étoit un jeu, elle en
prit
occasion de se raccommoder avec son époux ; mais
r d’un surveillant si incommode. Junon métamorphosa Argus en paon, et
prit
cet oiseau sous sa protection. Ces vers caractéri
aux, ne reconnoissant point la main qui les conduisoit ordinairement,
prennent
le mors aux dents. Tantôt le Soleil embrase le ci
besoin pour réussir. Ce Vallon est arrosé par le Permesse, fleuve qui
prend
sa source au mont Hélicon ; par les eaux de Casta
Des favoris de Mars avec ceux d’Apollon. Rousseau. Les neuf Muses,
prises
en général, président également aux sciences, aux
s te venons d’un fils annoncer la naissance ; Eteins, et de nos mains
prends
ce flambeau fatal, Ses jours sont attachés à ce d
retirer. Toi qui d’une ardeur empressée Sers le maître de l’univers,
Prends
tes aîles, ton caducée, Vole et va t’ouvrir les e
tous les dieux, divisés entr’eux de sentimens et d’intérêts, avoient
pris
différens partis, et se confondoient même souvent
sacrifia son Bélier à Jupiter. Le Taureau ; c’est celui dont Jupiter
prit
la forme pour enlever Europe. Les Gémeaux ; c’est
son des dieux, à la place d’Hébé. Les Poissons, dont Vénus et Cupidon
prirent
la forme pour se dérober à la fureur du géant Tip
oulu de ses jours éteindre le flambeau. La Grange-Chancel. Thémisto
prit
pour sa confidente Ino même qu’elle ne connoissoi
reur, jetta contre un rocher Léarque, son fils aîné. Ino et Mélicerte
prirent
la fuite, et se précipitèrent dans la mer. Neptun
r Pluton, à cause de sa laideur, et de l’obscurité de son royaume. Il
prit
le parti d’enlever Proserpine, fille de Cérès, un
alaphe, fils de la Nuit et de l’Achéron, soutint que Proserpine avoit
pris
sept grains de grenade : Proserpine a goûté des
Venez, avancez, tristes Ombres ; Payez le tribut que je
prends
, Ou retournez errer sur ces rivages sombres. Qui
avec l’Achéron, ou avec quelqu’autre des cinq fleuves. Souvent on le
prend
pour la nuit même, ou pour le dieu qui préside à
atales sœurs, souveraines des âges, Ont adouci leurs loix ; et Clotho
prend
encor Le fuseau qui servit à filer l’âge d’or. G
ment de sa fille Proserpine, qu’elle chercha par toute la terre, sans
prendre
aucun repos. On dit qu’elle avoit placé sur le mo
Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur
prend
pour un bandeau. Lamotte. La Paix est représent
r dans un antre d’où il ne pouvoit trouver le moyen d’échapper, il le
prit
à la gorge et l’étouffa. Hercule porta toujours l
le mont Erimanthe, et ravageoit les champs de l’Arcadie : Hercule le
prit
, et le présenta tout vivant à Eurysthée. Une bich
r Admète. Touché de la douleur de son ami, et sensible à l’amitié, il
prit
une résolution digne de son courage : Montrons q
es teintes du sang de l’hydre de Lerne, sans lesquelles on ne pouvoit
prendre
la ville de Troie. Hercule fut mis au rang des di
épide et le plus téméraire : La Toison est à vous, si vous pouvez la
prendre
; Car ce n’est pas de moi qu’il vous la faut atte
venoit de bâtir : on ne lui annonça que des malheurs ; ce qui lui fit
prendre
la résolution de s’en éloigner. Il fut changé en
ieu bienfaisant guida vers vous mes pas ; La pitié me saisit, je vous
prends
dans mes bras ; Je ranime dans vous la chaleur pr
s de Jocaste, et je connois mon crime. Grands dieux ! ne tonnez plus,
prenez
votre victime. Mon sang vous a fléchis ; Thèbes n
Lamotte. Cette haine devint implacable par les arrangemens que l’on
prit
pour le gouvernement de Thèbes. Les deux frères d
le sein pour tombeau ; Pour fuir ces lieux sanglans, Philomèle vengée
Prend
un nouvel essor, en rossignol changée ; Et le fun
et les eaux. Campistron. Patrocle, fils de Ménœtius et de Sthénélé,
prit
les armes d’Achille, dont il étoit l’ami intime,
s et avec le secours de sa mère. Il chargea son père sur ses épaules,
prit
son fils Iüle, ou Ascagne, par la main, et emport
Aglaïe, une des trois Graces, 76 Aigle, de Jupiter, 36 — Ce dieu en
prend
la forme, 34 Ailes, du tems, 21 — De Mercure, 6
, forgerons de Vulcain, 78 — Tués par Apollon, 40 Cygne, Jupiter en
prend
la forme, 34 Cygnes consacrés à Vénus, 74 Cygnu
re, séjour des méchans après leur mort, 100-103 Taureau dont Jupiter
prit
la forme, 34-88 — Des campagnes de Marathon, 141
héros et leurs héroïnes, pour les faire figurer sur la scène, où l’on
prend
tant de plaisir à recueillir leurs touchantes cat
malheureux mortels. Souvent, dans leur aveuglement ridicule, ils s’en
prirent
aux influences malignes des élémens et des astres
s, des connoissances utiles. Les aventures de Phaëton et d’Icare, qui
prennent
un vol audacieux dans les airs, nous représentent
u à ce sujet : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout
prend
un corps, une ame, un esprit, un visage ; Chaque
il en avoit reçus. Il donna une de ses cornes aux Nymphes qui avoient
pris
soin de sou enfance, avec la vertu de produire ce
aon, et répandit les yeux d’Argus sur la queue de cet animal, qu’elle
prit
sous sa protection. D. Quel étoit l’emploi d’Iris
ur ses droits, foudroya le téméraire médecin. Apollon, qui n’osa s’en
prendre
à Jupiter, s en vengea sur les Cyclopes qui avaie
ter. Voici à quelle occasion. Junon, ennemie déclarée de ses rivales,
prit
la figure de Béroé, nourrice de Sémélé ; vint tro
arole : Toi qui d’une ardeur empressée, Sers le Maître de l’Univers,
Prends
tes ailes, ton caducée, Vole, et va t’ouvrir les
Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte le diadême Que l’erreur
prend
pour un bandeau. (Lamotte.) La Paix. D. La
sur le mont Erimanthe, et ravageoit les champs d’Arcadie : Hercule le
prit
, et le présenta tout vivant à Eurysthée. 4.° Il p
étoient fils de Jupiter6 et de Léda, épouse de Tyndare. Jupiter avoit
pris
la forme du cygne, pour mieux tromper Léda. D. Pa
de Jocaste, et je connois mon crime ; Grands Dieux, ne tonnez plus !
Prenez
votre victime. Mon sang vous a fléchis, Thèbes ne
II échappa à la ruine de Troye ; il chargea son père sur ses épaules,
prit
son fils Iüle, ou Ascagne, par la main, et emport
nce de plusieurs, c’est qu’elle a voyagé en divers pays, et qu’elle a
pris
les noms des pays qu’elle a parcourus. On prétend
……………………………… L’homme n’eût point voulu d’un précepte sévère ; Pour le
prendre
il falloit trouver cet hameçon. Ainsi ce Phrygien
h ! le petit babouin ! Voyez, dit-il, où l’a mis sa sottise ! Et puis
prenez
de tels fripons le soin. Que les parens sont malh
n ami, tire-moi du danger, Tu feras après ta harangue. Les parens
prendront
sur-tout un soin particulier d’inspirer à leurs e
moque de tout ; certain âge accompli, Le vase est imbibé, l’étoffe a
pris
son pli. (La Font., L. 2. F. 18.) D. Quelle est
essent à quiconque écoute le flatteur avec complaisance, et se laisse
prendre
à ses douces et perfides amorces : Mon bon
eprésente à l’un son camarade dans l’embarras. Il se lève en sursaut,
prend
son épée, vole à son secours. L’autre étonné de v
et les talens ne vieillissent pas. On ne doit donc jamais se laisser
prendre
aux apparences. Un Renard voyant une belle tête :
bité délicate s’en fait un devoir sacré. Les jeunes personnes doivent
prendre
de bonne heure l’heureuse habitude d’être scrupul
Me la payer. Le Mouton nia la dette. Un Renard fut
pris
pour arbitre ; on procède ; voici la sentence du
dent dans tes vers : Tes dactyles nombreux, tes riches consonnances Y
prennent
tous les tons et toutes les nuances ; Et ton mode
cée à la main. Message de Mercure à Calipso. Mercure se dispose à
prendre
son essor, A ses pieds immortels il met ses ailes
t c’était Mercure. Pouvu de cette opinion, Il
prend
un jour figure humaine, Quitte l’Olympe,
ombien l’homme et ses arts t’agrandissent encor ! Là, le génie humain
prit
son plus noble essor. Tous ces nombreux vaisseaux
Fit présent d’un bandeau fatal : De-là vient qu’il s’y
prend
si mal Pour distribuer ses largesses. Fa
; A l’aveugle Plutus les uns tendent la main, Les autres le
prennent
en croupe : Plutus s’y rend sans examen.
, et chassé le sommeil, Tout le peuple, incertain du parti qu’il doit
prendre
, Au temple d’Esculape en foule va se rendre, Le p
et le front couronné de lys et de roses. C’est à Samos que Junon
prit
naissance ; C’est à Samos, séjour de son enfance,
ez. L’ouvrier qui fabrique une utile chaussure, Sans l’aveu de Pallas
prendra
mal la mesure : La main la plus habile à façonner
Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur
prend
pour un bandeau. Pour elle la nuit est sans ombre
vous la nature est plus belle ; Dans ses brillans tableaux l’art vous
prend
pour modelle, Simples tributs du cœur, vos dons f
ait d’un père, et d’un frère et de moi. Puisse le Ciel tous deux vous
prendre
pour victimes, Et laisser cheoir sur vous les pei
dans l’ombre ; A travers l’incendie, à travers la nuit sombre, Il le
prend
, il l’étreint entre ses bras nerveux ; Et, de leu
e fins tissus de lin ; On fait fumer l’encens, on fait couler le vin.
Prends
ce vase, ô mon Fils ; afin qu’il nous seconde, In
endras dans les bras du repos. Mais à peine on l’attaque, il fuit, il
prend
la forme D’un tigre furieux, d’un sanglier énorme
os sanguinaire Sentit que la pitié pénétrait dans son cœur. Priam lui
prend
les mains : ah ! prince, ah ! mon vainqueur ! J’é
ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère ;
Prends
pitié de l’état où tu me vois réduit. Quoi ! jusq
Patrocle se revêtit de ses armes, et marcha contre les Troyens qui le
prirent
pour Achille et fuirent devant lui. Il fit mordre
x innocens, Leur répond en ces mots : Sortez loin du portique, Allez,
prenez
les os de votre aïeule antique, Et le front recou
chevaux du Soleil, se sentant menés par une main étrangère et novice,
prirent
le mors aux dents, s’écartèrent de leur route, et
téon, Au fils de votre sœur faites grace… A ce nom, Terrible, Autonoë
prend
le bras qui l’implore, Le déchire ; il tend l’aut
ent marchèrent contre Troie. Ils l’assiégèrent pendant dix années, la
prirent
, la saccagèrent, et massacrèrent l’infortuné Pria
armure impuissante Ce vieillard charge en vain son épaule tremblante,
Prend
un glaive, à son bras dès long-temps étranger, Et
s. Œdipe, devenu grand, rencontre Laïus dans un défilé de la Phocide,
prend
querelle avec lui, le tue sans le connaître. Il e
déchirer ; Mais c’est craindre la mort que de la desirer. Il dit,
prend
le tissu, gage terrible et tendre, Il le porte so
que le premier. Enée sacrifia sa tendresse aux ordres des Dieux ; il
prit
la fuite et abandonna la malheureuse Didon, qui s
, je les retrouve en toi. Ah ! n’expose donc plus une tête si chère ;
Prends
pitié de ton fils, prends pitié de sa mère ; Ou,
Ah ! n’expose donc plus une tête si chère ; Prends pitié de ton fils,
prends
pitié de sa mère ; Ou, si tu veux encor te joindr
un doux souris, Hector pose son casque aux pieds de la princesse,
Prend
son fils en ses bras, le flatte, le caresse, Moll
qui frappait ce monstre audacieux. Meurs, tyran, disait-il : Dieux !
prenez
vos victimes. Erox qui de son maître a servi tous
t : Mais je te nomme, et dans l’instant Voilà mon Argus qui chancèle.
Prends
, me dit-il, cueille, choisis : Chloé seule excita
ainsi que femme. L’infortuné Cadmus ne sait pas qu’Amphitrite A
pris
quelque pitié de sa race proscrite. Poursuivi de
age en pleurs : « O moitié de mon ame ! Ne m’abandonne pas, viens, et
prends
cette main, Tant qu’il me reste encor quelque cho
O Dieux qui le changez en un serpent énorme, Ne puis-je ainsi que lui
prendre
la même forme ! Elle dit : son époux par d’amoure
e : une Nymphe empressée A déjà détaché sa robe retroussée. Une autre
prend
son dard, son arc et son carquois. De ses pieds d
les vents, ses pieds semblent ailés. C’est peu : d’un cerf encore il
prend
l’ame craintive ; Le héros est frappé d’une peur
chaussure, Et l’autre, dans un bain lave encor la blessure. Celui-ci
prend
son arc, le brise en soupirant ; Celui-là foule a
rchestres, On n’entend plus que chants et triolets ; Faunes, Sylvains
prennent
leurs flageolets. Leur chef lui-même à le chanter
l’écouter, évitant sa poursuite, Jusqu’aux bords du Ladon elle avait
pris
la fuite ; Comment le fleuve alors l’arrêtant par
, Pour te vendre le lait dont le tien s’alimente ? Ah ! de l’humanité
prends
l’auguste flambeau, Vois les maux que produit l’a
ère épineuse, N’allez pas, sur des vers, sans fruit vous consumer, Ni
prendre
pour génie un amour de rimer. Craignez d’un vain
se ; Seul, j’offense aujourd’hui le respect de ces lieux, Et seul, je
prends
sur moi le vain courroux des Dieux, A ces mots, t
pe Attirer les rochers, les lions et les ours : Les fleuves après lui
prenaient
un nouveau cours, La Dryade accourait sous l’écor
ennent m’entourer. Au plus jeune sur-tout je vole avec ivresse, Je le
prends
dans mes bras, et suis prête à pleurer. D’un épou
frappe leurs yeux. Le Pilote hardi, cherchant de nouveaux mondes,
Prend
les Astres pour guide, et les suit dans leur cour
à propos il vint à leur secours. De sa morale une ou deux
prises
, Calmant leur sang trop agité,
crit l’hérétique ; Dans l’ombre de la nuit par-tout le fanatique Doit
prendre
sur l’autel des poignards consacrés, Pour offrir
dent dans tes vers : Tes dactyles nombreux, tes riches consonnances Y
prennent
tous les tons et toutes les nuances ; Et ton mode
ée à la main. Message de Mercure à Calipso. Mercure se dispose à
prendre
son essor, A ses pieds immortels il met ses ailes
t c’étoit Mercure. Pouvu de cette opinion, Il
prend
un jour figure humaine, Quitte l’Olympe,
Un rien change vos caractères ; Un rien commande à vos penchans, Vous
prenez
pour des feux ardens Les bluettes les plus légère
et le front couronné de lys et de roses. C’est à Samos que Junon
prit
naissance ; C’est à Samos, séjour de son enfance,
Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur
prend
pour un bandeau. Pour elle la nuit est sans ombre
ait d’un père, et d’un frère et de moi. Puisse le Ciel tous deux vous
prendre
pour victimes, Et laisser cheoir sur vous les pei
fins tissus de lin ; On fait fumer l’encens, on fait couler le vin.
Prends
ce vase, ô mon Fils ; afin qu’il nous seconde, In
endras dans les bras du repos. Mais à peine on l’attaque, il fuit, il
prend
la forme D’un tigre furieux, d’un sanglier énorme
t tombé sous vos coups. Je viens redemander ses dépouilles funestes ;
Prenez
tous mes trésors, et rendez-moi ses restes ; Epar
ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère ;
Prends
pitié de l’état où tu me vois réduit. Quoi ! jusq
e, Patrocle se revêtit de ses armes, et marcha contre les Troyens qui
prirent
pour Achille et fuirent devant lui. Il fit mordre
chevaux du Soleil, se sentant menés par une main étrangère et novice,
prirent
le mors aux dents, s’écartèrent de leur route, et
t, marchèrent contre Troie ! ils l’assiégèrent pendant dix années, la
prirent
, la saccagèrent, et massacrèrent l’infortuné Pria
ds. Œdipe, devenu grand rencontre Laïus dans un défilé de la Phocide,
prend
querelle avec lui, le tue sans le connoître. Il e
déchirer. Mais c’est craindre la mort que de la différer. » Il dit :
prend
ce tissu, gage terrible et tendre ; Il le porte s
que le premier. Enée sacrifia sa tendresse aux ordres des Dieux ; il
prit
la fuite et abandonna la malheureuse Didon, qui s
, je les retrouve en toi. Ah ! n’expose donc plus une tête si chère ;
Prends
pitié de ton fils, prends pitié de sa mère ; Ou,
Ah ! n’expose donc plus une tête si chère ; Prends pitié de ton fils,
prends
pitié de sa mère ; Ou, si tu veux encor te joindr
n doux souris, Hector pose son casque aux pieds de la Princesse,
Prend
son fils en ses bras, le flatte, le caresse, Moll
qui frappoit ce monstre audacieux. Meurs, tyran, disoit-il : Dieux !
prenez
vos victimes. Erox qui de son maître a servi tous
t : Mais je te nomme, et dans l’instant Voilà mon Argus qui chancèle.
Prends
, me dit-il, cueille, choisis : Chloé seule excito
que femme. Cadmus, privé d’enfans, ne sait pas qu’Amphitrite. A
pris
quelque pitié de sa race proscrite. Accablé de re
ge en pleurs : « O moitié de mon ame, « Ne m’abandonne pas, viens, et
prends
cette main, « Tant qu’il me reste encor quelque c
eux ! qui le changez en un serpent énorme, Que du moins avec lui j’en
prenne
aussi la forme ! Elle dit : son époux, par d’amou
ue le vent, ses pieds semblent ailés. C’est peu : d’un cerf encore il
prend
l’ame craintive ; Il hâte au fond des bois sa cou
es cheveux épars se fondent en rosée. Enfin je deviens fleuve et déjà
prends
mon cours. Alphée a reconnu l’objet de ses amours
chaussure, Et l’autre, dans un bain lave encor la blessure. Celui-ci
prend
son arc, le brise en soupirant ; Celui-là foule a
rchestres, On n’entend plus que chants et triolets ; Faunes, Sylvains
prennent
leurs flageolets. Leur chef lui-même à le chanter
, Pour te vendre le lait dont le tien s’alimente ? Ah ! de l’humanité
prends
l’auguste flambeau, Vois les maux que produit l’a
s, elle avoit un cœur tendre, Et, donnant de l’amour, elle pouvoit en
prendre
: Mais, hélas ! dès ce temps, réduite aux dernier
ère épineuse, N’allez pas, sur des vers, sans fruit vous consumer, Ni
prendre
pour génie un amour de rimer. Craignez d’un vain
e ; Seul, j’offense aujourd’hui le respect de ces lieux, Et seul, je
prends
sur moi le vain courroux des Dieux, A ces mots, t
es, Ou sous de verts lauriers célèbrent Apollon. Le Pô dans ce jardin
prend
sa source et son nom, Et contemple en son cours s
ennent m’entourer. Au plus jeune sur-tout je vole avec ivresse, Je le
prends
dans mes bras, et suis prête à pleurer. D’un épou
rappe leurs yeux. Le Pilote hardi, cherchant de nouveaux mondes,
Prend
les Astres pour guide, et les suit dans leur cour
illon, par l’attaque surpris, Use de cent détours ; mais enfin il est
pris
. L’enfant admire l’or de sa robe pompeuse, Qui se
ropos il vint à leur secours. De sa morale une ou deux
prises
, Calmant leur sang trop agité,
nt que le Génie en rien le cède à l’Art. Va, dit l’Esprit, crois-moi,
prends
patience ; D’un rival impuissant que soutient l’I
crit l’hérétique ; Dans l’ombre de la nuit par-tout le fanatique Doit
prendre
sur l’autel des poignards consacrés, Pour offrir
e the grace (Though god of gardens) of this charming place.” Pope.
Pris
′ca [Prisca]. Another name of Vesta. Pro′cris [Pr
lo punì col tormento d’insaziabile voracità : Se l’infelice il cibo
prendre
Ed alla gola cupida compiace, Non la satolla, anz
s, Mount, in Delos, Com. §§ 39, 77- Cyp′rian, the, 113; Com. § 68. Cy′
pris
; see Aphrodite, Venus, 95, 152, 153,156, 163; Com
ar des cœx assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un temple, et
pris
soin de l’orner : De victimes moi-même à toute he
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