/ 23
1 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
u à ce sujet : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout prend un corps, une ame, un esprit, un visage ; Chaque
il en avoit reçus. Il donna une de ses cornes aux nymphes qui avoient pris soin de son enfance, avec la vertu de produire to
ivins ; Bacchus eut plus de courage que les autres dieux : car, ayant pris la figure d’un lion, il combattit avec fermeté pe
cchus s’étant égaré un jour dans les sables brûlants de l’Arabie, fut pris d’une soif ardente, et ne pouvoit trouver une gou
piter avoit tout à coup arrêté les Romains, lorsqu’ils commençoient à prendre la fuite, en combattant contre les Sabins. D. Les
en une autre. Jupiter, dégoûté de Junon, aima plusieurs mortelles, et prit différentes figures pour les séduire. Il se trans
r d’airain où étoit enfermée Danaé, qui le rendit père de Persée ; il prit la figure d’un taureau, pour enlever Europe, qui
de Mycènes, sous la forme de ce prince, et devint père d’Hercule. Il prit la taille et la figure d’un jeune homme, pour pla
n paon, et attacha les yeux d’Argus à la queue de cet oiseau, qu’elle prit sous sa protection. Cependant., elle mit à la pou
faire. Métra, sa fille, que Neptune avoit aimée, obtint de ce Dieu de prendre toute sorte de formes, comme Protée. Son père la
issance prodigue. Si le voyage est long, n’en crains pas la fatigue : Prends mon char, mes dragons, et vole sur les vents. La
gue : Prends mon char, mes dragons, et vole sur les vents. La nymphe prend le char et les dragons volants, S’élève dans les
Ino, craignant pour elle-même et pour Mélicerte un pareil traitement, prit son fils dans ses bras, et se jeta avec lui, du h
illé Eut touché de ces prés le tapis émaillé, Je les vois loin de moi prendre un élan rapide, Nager sur les gazons comme en un
rne ? R. Il avoit été en effet dévoré par Saturne ; mais Jupiter fit prendre à son père un breuvage qui le força de rejeter Pl
précipité dans les enfers, pour avoir secouru les Titans. L’Érèbe se prend aussi pour une partie de l’enfer ou pour l’enfer
t qu’il ne le décelât, lui donna la plus belle des vaches qu’il avoit prises . Battus promit le secret. Mercure, pour s’assurer
de la sagesse et de la guerre. Lorsqu’elle préside à la guerre, elle prend le nom de Pallas ; lorsqu’elle préside à la sages
des amours de Vénus et d’Anchise ? R. La fable dit que Vénus, ayant pris du goût pour Anchise, descendant de Tros, fondate
neste curiosité, se lève adroitement pendant le sommeil de son époux, prend une lampe, s’approche du lit, et voit Cupidon. Ma
de punir Sémélé de la passion qu’elle avoit inspirée à Jupiter ; elle prit les traita de Béroé, nourrice de la princesse, et
ir son serment. Sémélé fut brûlée par la foudre ; le maître des dieux prit le petit Bacchus dont elle étoit enceinte, et l’e
de Apollon et Diane. Apollon fut surnommé Délien, du lieu où il avoit pris naissance. D. Quels sont les attributs du fils de
e devoit l’emporter sur la lyre d’Apollon. Midas, roi de Phrygie, fut pris pour juge, et adjugea la victoire à Pan, son ami.
oit la nymphe la plus chérie de Diane. Jupiter en devint amoureux, et prit la figure de Diane même pour tromper la nymphe tr
, est regardé comme le ministre du Sommeil, son père. Quelques-uns le prennent pour le dieu même du sommeil. On le représente av
: Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que Tireur prend pour un bandeau. ( La Motte.) D. Qu’étoit Astrée
dans l’Arcadie, et ravageoit touts les champs d’alentour. Hercule le prit , et l’apporta tout vivant à Eurysthée. 4°. Il y a
e fins tissus de lin ; On fait fumer l’encens, on fait couler le vin. Prends ce vase, ô mon fils ! afin qu’il nous seconde, In
endras dans les bras du repos. Mais à peine on l’attaque, il fuit, il prend la forme D’un tigre furieux, d’un sanglier énorme
uve la puissance ; Et, sûr de leur usage, il l’enseigne à son fils. «  Prends le milieu des airs, et crois-en mes avis ; » N’ap
yant ces mortels voyager dans les cieux, S’étonne, les admire, et les prend pour des dieux. ( Ovide, trad. de Saintange.) D.
soleil fondit la cire de ses ailes, et Icare tomba dans la mer qui a pris de lui le nom de mer Icarienne18. Le malheureux D
fils qui porta le nom, de sa mère. Phèdre, fille de Minos, que Thésée prit depuis pour femme, devint éperdument amoureuse du
dorée. Phryxus, fils d’Athamas, et Hellé, sœur du jeune prince, ayant pris la résolution de s’enfuir de la maison paternelle
Créuse une cassette pleine de pierres précieuses ensorcelées. Le feu prit à la cassette et consuma la princesse et le roi s
rvit de guide. La ville qu’il bâtit fut appelée Thèbes, et la contrée prit le nom de Béotie. D. Cadmus régna-t-il long-temps
n’en épargna que la maison et la famille du poëte Pindare qui y avoit pris naissance. Viens servir l’ardeur qui m’inspire :
ylles, c’est que celle de Cumes a voyagé en divers pays, et qu’elle a pris les noms des lieux qu’elle a parcourus. D. Racont
uumvirs. Le nombre des gardiens fut porté dans la suite à quinze, qui prirent le nom de Quindécemvirs. On ne pouvoit consulter
ieu bienfaisant guida vers vous mes pas : La pitié me saisit, je vous pris dans mes bras ; Je ranimai dans vous la chaleur p
n, Œdipe s’exila de Corinthe, et réglant sa marche sur les astres, il prit le chemin de la Phocide. Il rencontra Laïus dans
ops resta possesseur d’Hippodamie. Il étendit beaucoup ses états, qui prirent de lui le nom de Péloponèse. D. Quels furent les
Egisthe. Reconnu par son père, il se chargea de faire périr Atrée, et prit le temps d’un sacrifice pour l’assassiner. Egisth
signifie racheté ; il s’appeloit auparavant Podarcès. Quand Priam eut pris la place de son père, il fortifia la ville de tou
re dans la ville le fameux cheval de bois. 6°. Les Grecs ne pouvoient prendre Troie, s’ils n’avoient dans leur armée un fils d’
t ses secours. Mais Ulysse trouve moyen de lever cette difficulté. Il prit de la rouille qui se trouvoit à la lance d’Achill
énie et Electre, et un fils nommé Oreste. D. Quelle princesse Ménélas prit -il pour épouse ? R. Il épousa la belle Hélène, s
ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère ; Prends pitié de l’état où tu me vois réduit Quoi ! jusqu
t d’Achille devant Troie. R. Achille, dans le sac de Lyrnesse, avoit pris Chryséis, fille de Chrysès, grand-prêtre d’Apollo
effet, il se retira dans sa tente, et pendant près d’une année il ne prit plus aucune part à la guerre. D. Quel événement d
ire les Thessaliens contre les Troyens. Achille y consentit. Patrocle prit donc les armes du fils de Thétis, et réimporta de
os sanguinaire Sentit que la pitié pénétroit dans son cœur. Priam lui prend les mains : « Ah ! Prince, ah ! mon vainqueur ! »
e me punir, Au comble des douleurs tu m’as fait parvenir : Ta haine a pris plaisir à former ma misère ; J’étois né pour serv
veuglé lui-même, se retirèrent pour éviter sa fureur. D. Quels moyens prit Ulysse pour sortir de la caverne de Polyphème ?
une faux. Il va se contempler dans le miroir des eaux ; Il cherche à prendre un air moins dur et moins farouche : L’ardente so
ri. Ce crime la rendit si odieuse à ses sujets, qu’ils la forcèrent à prendre la fuite ; le Soleil la transporta dans son char,
ent lui arriver. Circé lui indiqua aussi les précautions qu’il devoit prendre pour échapper aux Sirènes. Après avoir évité avec
s, ne pouvant plus obtenir de nouveaux délais, elle s’étoit engagée à prendre pour époux celui qui le lendemain pourroit tendre
d’Hercule qui donna la mort à touts ses frères, parce qu’ils avoient pris parti pour Augias. Il fit le voyage de la Colchid
nseils. Agamemnon disoit que s’il avoit dix Nestor dans son armée, il prendroit la ville en peu de temps, Son éloquence étoit si
sque les Grecs feignirent de lever le siége de Troie, Sinon se laissa prendre par les Troyens, et leur dit qu’il venoit cherche
armure impuissante Ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, Prend un glaive à son bras dès long-temps étranger, Et
ouclier, y reste suspendu. Achille est ébranlé du choc inattendu ; Il prend son javelot, dans les airs le balance Et, de tout
a, Énée chargea sur son dos son père Anchise, avec ses dieux pénates, prit son fils Ascagne par la main, et se retira sur le
llard Anchise, qui ne pouvoient se fixer sur le parti qu’ils devoient prendre . Anchise ne se décidoit point à quitter la ville.
dre en même temps à gauche. Ces augures leur parurent favorables. Ils prirent la résolution d’aller chercher un établissement d
re, apparut à Didon, lui révéla le crime de Pygmalion, et l’engagea à prendre la fuite. Didon rassembla touts ceux qui haïssoie
le dernier cri s’échappe avec mon ame. » Et toi, mon peuple, et toi, prends son peuple en horreur : » Didon au lit de mort te
ainsi que mon ombre exige qu’on l’honore. » Sors de ma cendre, sors, prends la flamme et le fer, » Toi qui dois me venger des
tre-vingt-dix ans, sans avoir été marié. Sa mère le pressa en vain de prendre une femme. Il lui répondit, lorsqu’il étoit encor
’importance qu’il attache à des jeux d’enfants, c’est l’intérêt qu’il prend pour un lapin et une belette, qui font qu’on est
chacun d’eux se désaltère. Après qu’abondamment touts deux en eurent pris , Le Renard dit au Bouc : Que ferons-nous, compère
, fab. 12.) On acquiert des mœurs avec les personnes qui en ont : ou prend des manières polies et gracieuses avec les gens a
    Et les Carpillons demeurèrent ;                Bientôt ils furent pris ,                           Et frits.             
moque de tout ; certain âge accompli, Le vase est imbibé, l’étoffe a pris son pli.            En vain de son train ordinair
poux et au repos des familles, combien les parents ne doivent-ils pas prendre de soins pour en faire naître l’amour dans le cœu
R. Non ; et le bon La Fontaine nous avertît de ne point nous laisser prendre aux apparences. Un renard voyant une belle tête :
que toujours d’intelligence avec le flatteur. Elles ne sauroient donc prendre trop de précautions pour ne pas devenir les victi
  Le Corbeau, honteux et confus, Jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendroit plus. (Liv. 1, fab. 2.) D. La modestie ne peut-
oin, que l’orgueil les recherche avec avidité.       Lorsque Jupiter prit le soin D’assigner aux Vertus leur rang auprès de
 O vous que la grâce accompagne, Lui dit le Dieu, les rangs sont déjà pris  ; Mais des autres Vertus vous serez la compagne,
la fin,    Fidelle et sûr dépositaire. Les jeunes personnes doivent prendre de bonne heure l’habitude d’être scrupuleusement
stime de ses semblables, et le rend le fléau de la société. Le fourbe prend touts les titres, se couvre de toute les masques
e fâcher quand on badine ?             Ne suis-je pas ton bon ami ? —  Prends le nom qui convient à ton humeur maligne,        
, toutes trois : Ta bonne foi sera récompensée. — En ce cas-là je les prendrai , dit-il. L’histoire en est aussitôt dispersée ; E
     Que, se croyant estropié, Il fait un si grand bruit que l’oiseau prend la fuite. Par la foible Fourmi, ce service rendu
teux de recevoir. D. Quels soins les personnes du sexe doivent-elles prendre , pour garantir leur réputation des atteintes de l
Ennemi du travail et de l’embarras, il remplit des emplois pénibles, prend non-seulement sur ses aises, mais encore sur son
crée. Qu’il allât ou qu’il vînt, qu’il bût ou qu’il mangeât, On l’eût pris de bien court, à moins qu’il ne songeât A l’endro
nde à quel sujet ses cris.            — C’est mon trésor que l’on m’a pris . — Votre trésor ? où pris ? — Tout joignant cette
           — C’est mon trésor que l’on m’a pris. — Votre trésor ? où pris  ? — Tout joignant cette pierre.            — Eh !
La Fontaine. Le Laboureur et ses enfants. Fable.        Travaillez, prenez de la peine,        C’est le fonds qui manque le
mpio, et se jette dans le golfe de Salonichi. 13. Le fleuve du Tibre prend sa source dans l’Apennin, et se jette dans la mer
2 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
consentit à se désister de l’empire, pourvu que son frère à son tour prît l’engagement de n’élever aucun enfant mâle, et qu
s, et se sauvèrent tous, excepté Bacchus, au fond de l’Égypte, où ils prirent , pour se mieux cacher, différentes formes d’anima
ieusement derrière lui, en fermant les yeux. Ces pierres s’animèrent, prirent une figure humaine et devinrent des hommes ; les
hus. Junon, qui regrettait toujours le fidèle espion tué par Mercure, prit ses cent yeux, les répandit sur la queue du paon
yrte, se lavaient les mains, écoutaient la lecture des lois de Cérès, prenaient un léger repas, et entraient dans le sanctuaire,
d’un soldat, et plaida si bien qu’il fut renvoyé absous. Ce tribunal prit alors le nom d’Aréopage16. La guerre de Troie sur
14. Apollon. Apollon ou Phébus, conducteur du char du soleil, est pris souvent pour le Soleil même. Il naquit dans l’île
pour la belle nymphe ; et la nymphe, loin de répondre à sa tendresse, prend la fuite et se dérobe à ses regards. Apollon cour
mettrait à la discrétion du vainqueur ». Les habitants de Nysa furent pris pour juges du combat : Marsyas parut le premier a
la terre et les cieux. Suis le milieu : c’est là le chemin qu’il faut prendre . » Apollon parlait encore, et déjà le présomptue
trop bas et dessèchent les rivières. Ce fut alors que les Éthiopiens prirent ce teint noir qu’ils conservent encore aujourd’hu
marquait de l’œil sa première victime, lorsque soudain ces neuf sœurs prennent des ailes, s’envolent et fuient avec la légèreté
ent des temples et des autels. A peine eut-elle fini, que les nymphes prises pour juges lui décernèrent la victoire. Les fille
poussèrent, en le voyant, un cri d’horreur ; Mercure au contraire se prit à rire, enveloppa l’enfant chèvre-pied dans une p
ins. Mais le dieu des saisons, Vertumne, ne se laissa pas rebuter. Il prit toutes sortes de formes et employa mille déguisem
e métamorphoses, d’échapper à ceux qui l’avaient enchaîné : tantôt il prenait la figure d’un sanglier, d’un tigre, d’un dragon 
eau fluide, une flamme pétillante, un arbre, un rocher. Mais plus il prenait de formes différentes pour tromper les yeux ou ef
uivra leurs efforts. (Le nom de protée, dans le langage ordinaire, se prend en mauvaise part, et désigne un homme versatile,
don en Béotie, ayant vu que les poissons qu’il jetait sur le rivage y prenaient une vigueur nouvelle et s’élançaient dans la mer,
uche une clepsydre, sorte d’horloge. Au-dessus de sa tête un papillon prend son vol : c’est le symbole de la vie future. Les
débarrassa la contrée de ces reptiles.) 3° Eurysthée lui commanda de prendre et d’amener vivante une biche aux cornes d’or et
rcadie d’un sanglier furieux qui dévastait cette province. Hercule le prit dans la forêt d’Érymanthe, et l’apporta à Eurysth
es béliers, et allaient ainsi équipés à la rencontre de l’ennemi. Ils prirent , pour attaquer Hercule, les mêmes précautions qu’
nemi. Ils prirent, pour attaquer Hercule, les mêmes précautions qu’on prendrait pour faire le siége d’une ville. Les deux ailes d
r le bord de l’Événus, grossi par les pluies. Il ne savait quel parti prendre , craignant d’exposer Déjanire à la rapidité des e
janire, qui appelle et implore du secours : le centaure l’enlevait et prenait la fuite. « Téméraire, lui crie Hercule, la vites
 : elle était empoisonnée. Nessus, en mourant, songe à se venger : il prend sa tunique, infectée de sang et de venin, la donn
aux fils, petits-fils, neveux et arrière-neveux d’Hercule ; leur fait prendre les armes, exalte leur courage, et s’avance à leu
ersée se déroba à leur poursuite par le moyen du casque de Pluton, et prit son essor dans les airs, emportant la tête de Méd
e prix, je jure de la délivrer. » La condition est acceptée. Le héros prend son vol, s’élève, retombe comme un trait sur la c
irrités de cette barbarie, que Jason et Médée se virent contraints de prendre la fuite ; ils se retirèrent à Corinthe, auprès d
t soudain sur un char traîné par des dragons, elle fendit les airs et prit la route d’Athènes. Après cette catastrophe, Jaso
es fleuves remontaient vers leur source pour l’entendre ; les rochers prenaient de la vie et marchaient à lui. Toutes les nymphes
lui fut refusée, et il demeura sept jours au bord de l’Achéron, sans prendre de nourriture, baigné de ses larmes et se consuma
evenir, s’étonne et commence à s’inquiéter. Il revêt sa peau de lion, prend sa lance et son javelot, et marche à pas précipit
mblable bataillon lui inspirait quelque crainte, et il se disposait à prendre les armes, lorsqu’un de ces enfants de la terre s
ille de Thèbes. Quand elle fut achevée, Cadmus y établit des lois, et prit de sages mesures pour y maintenir entre les citoy
éraire projet ; mais Pluton, informé à temps du motif de leur voyage, prit si bien ses mesures qu’une fois entrés ils ne pur
hôte était porteur ; mais pour ne pas souiller de sang son palais, il prit le parti d’exposer Bellérophon aux plus grands da
profondes, dit un poète, ses épaules dominaient les eaux. » Diane le prit à sa suite, lui donna les premiers emplois de sa
Corinthe. Ce berger s’appelait Phorbas ; il eut pitié de l’enfant, le prit dans ses bras, et le porta à Péribée, femme de Po
et protégé par Minerve, il sut si habilement parer leurs atteintes et prendre son avantage, qu’après une lutte sans exemple il
ouleurs aiguës. Mais le désir de la vengeance ranimant ses forces, il prend un javelot et le lance à son adversaire qui en es
impie et un blasphémateur. Sous les murs de Thèbes, il se vantait de prendre cette ville quand même Jupiter et tous les dieux
tre Thèbes. Le but des Épigones 46 était de venger leurs pères, et de prendre la ville de Thèbes. Ayant à leur tête Alcméon, fi
tte perte, les Thébains consultèrent le devin Tirésias sur le parti à prendre dans cette funeste conjoncture : et Tirésias leur
Polynice, Thersandre, à qui revenait de droit le trône de Thèbes, en prit possession, et l’occupa sans contestation jusqu’à
le mont Ida, et transporta de là Ganymède à la table des dieux. Ilus prit un soin particulier d’embellir la ville de Troie
mes aux dames de la cour. Toutes choisirent des bijoux ; Achille seul prit des armes. Ce choix le trahit. Obligée de consent
silée, reine des Amazones, et Troïle, fils de Priam. Ayant assiégé et pris Lyrnesse, ville de Troade, il demanda et obtint e
n épée. Frappés d’épouvante à la vue des armes d’Achille, les ennemis prennent la fuite. Patrocle renverse tout ce qui se présen
oyens se précipite avec des cris d’effroi vers la ville. Mais Apollon prend pitié d’eux : il envoie Hector contre Patrocle. H
ge de la Mysie, il tua un grand nombre d’ennemis, et força le reste à prendre la fuite. Sa victoire eût été complète, si Bacchu
is l’oracle de Delphes ayant annoncé aux Grecs « qu’ils ne pourraient prendre la ville de Troie avant que ces flèches fussent e
sortir de son asile. Il approche : les Phéaciennes poussent un cri et prennent la fuite, excepté Nausicaa, aux pieds de laquelle
e dans la lice, « Ce sera moi cc qui le courberai », s’écrie-t-il. On prend à peine garde à lui. Il insiste, il invoque l’équ
rincesse, à côté de son père, brûlait des parfums sur l’autel, le feu prit à sa chevelure et à ses habits, sans lui faire de
pas homme à se départir facilement de ses droits sur Lavinie. Il fait prendre les armes aux Rutules, il entre en campagne : Éné
esses de Sichée et celles de l’avare Pygmalion. La princesse fugitive prit d’abord terre dans l’île de Chypre, d’où elle fit
éfi, que le dieu de l’harmonie accepta sans balancer. Les deux rivaux prirent pour arbitre le vieux Tmolus, roi de Lydie ; auto
re une paire d’oreilles longues et velues… Effrayé de ce prodige, Pan prit la fuite et ne dit mot : Apollon se retira vengé.
isiphone revêt sa robe ensanglantée, arme sa main droite de serpents, prend de la gauche une torche incendiaire, et sort des
ne avec ses lionceaux. » Et en même temps il poursuit la reine, qu’il prend pour une bête féroce, arrache d’entre ses bras le
bîme les reçoit et les engloutit. Mais à la demande de Vénus, Neptune prit en compassion leur triste sort ; et, les dépouill
igner du miroir des eaux. Plus il se regardait, plus sa folle passion prenait d’accroissement : il soupirait, tendait les bras
nfants, qui tous répondirent aux soins que cette mère attentive avait pris de leur éducation. Ses fils étaient bien faits, a
e ». Les larmes qu’il versait en abondance persuadèrent Progné ; elle prend des habits de deuil, dresse un cénotaphe, et rend
e la tête de l’entant. A cette vue, il pousse un cri de désespoir, et prend son épée, dont il veut frapper les cruelles sœurs
; mais l’orage croissant d’heure en heure, il ne sait plus quel parti prendre , ni quels ordres donner. Les voiles sont déchirée
ge humeur. Un prince puissant, jeune, aimable, l’Amour lui-même67, se prit d’affection pour elle, et imagina une ruse pour s
e familiarisé auprès de vous, finira par vous étouffer ? Prévenez-le. Prenez cette lampe et ce poignard. Voyez à qui vous avez
voyant se répéter, et devenir à la fin journalières et importunes, il prit une résolution dictée par sa farouche humeur ; il
mis, la voûte s’ébranla, le roc sembla s’entr’ouvrir, et les convives prirent la fuite. Lui seul resta, et de ses mains nerveus
x : ils lui arrachèrent le sceptre et la bannirent de leur pays. Elle prit la route de l’Italie, emportant ses secrets avec
Dardanus, appelée Idæa. Cette femme, d’un naturel jaloux et pervers, prit en aversion les enfants du premier lit, résolut l
ieuse. Dans cet abandon général, il eut recours à Jupiter, qui daigna prendre pitié de lui, le transporta au ciel, et le fit as
edescendre aux Enfers. Il fallut recourir à la force. Mercure vint le prendre au collet, et le reconduisit chez Pluton, qui le
t lui fut accordé ; mais alors elle se moqua du dieu trop crédule, et prit la fuite. Le dieu à son tour se moqua d’elle, par
ire du succès de l’expédition ; et chaque spectateur, chaque athlète, prit l’engagement de revenir à Olympie pour le même ob
ot, on disait le pentathle, c’est-à-dire les cinq combats. Des juges, pris chez les Éléens, présidaient à ces fêtes ; ils y
d’Égypte. Il fut aperçu une dernière fois, lorsque Byzance, l’an 350, prit le nom de Constantinople, et l’on en tira, pour l
mené captif avec les autres Troyens ; sa rançon fut ensuite payée, il prit le nom de Priam (qui signifie racheté), et rentra
3 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
ombat. L’Egypte et la Phénicie sont le berceau de l’idolâtrie. Elle a pris naissance dans la famille de Cham, dont les deux
sissait les Vestales dans les plus illustres maisons de Rome ; on les prenait dès l’âge de six à dix ans. Cérès. Stellio. —
é. Elle l’obtint. Son père la vendait pour de l’argent ; ensuite elle prenait une nouvelle forme, et il la revendait de nouveau
du fleuve Phlégéton, et le métamorphosa en hibou, oiseau que Minerve prit ensuite sous sa protection, parce qu’il l’avertis
pendance la mer Méditerranée, avec ses côtes et ses îles. Dès lors on prit l’Olympe pour le ciel, et l’on ne parla plus de l
le rendre plus glissant ; et il se tenait si ferme que des hommes qui prenaient leur secousse, et qui le heurtaient de toutes leu
à la première secousse, puis se referme ; le bras de Milon s’y trouva pris , et tons les efforts de cet homme autrefois si fa
ssance, Jupiter, d’un coup de pied, le précipita du ciel. Junon ayant pris parti contre son mari dans la guerre des Géans, J
levé. Un jour, vers le soir, voulant écarter quelque bête sauvage, il prend son arc et ses flèches, le trait part, et va frap
happer à la fureur d’Ino leur marâtre. Le Taureau, celui dont Jupiter prit la forme pour enlever Europe. Les Gémeaux, sont l
aiterait le plus. Œnopeus dit qu’il désirait ardemment être père sans prendre de femme. Il obtint cette faveur : les dieux fire
de Babylone. Pour entretenir la belle Leucothoé sans témoin, le dieu prit la figure d’Eurynome, mère de la princesse ; et f
il reprit sa forme divine. La peste cessa aussitôt. » Les poètes font prendre à Esculape la figure du serpent, symbole de la pr
terre et les cieux : « Suis le milieu ; c’est là le chemin qu’il faut prendre . « Il y va de tes jours à le bien observer : « On
que le vent. Ne reconnaissant pas la main novice qui les guidait, ils prirent l’écart, et embrasèrent le ciel et la terre. Jupi
disent qu’elle déshonora son nom et sa naissance par l’amour qu’elle prit pour un taureau, dont elle eut le Minautaure avec
iles dont elles se firent des couronnes. D’autres rapportent qu’elles prirent des ailes pour échapper aux outrages de Pyrénée,
our Apollon et Pan firent un défi dont Midas et le Mont Tmolus furent pris pour juges. Tmolus, pour mieux les entendre, écar
e pria Jupiter de lui donner le don de chasteté. Diane, sur la terre, prenait plaisir à poursuivre les animaux des bois, suivie
isto : la vaine Chionée éprouva aussi son courroux. Un jour que Diane prenait le bain avec ses nymphes dans un lieu solitaire,
e mari, n’eut pas plutôt connu sa rivale, qu’elle jura sa perte. Elle prit la figure de Béroé, nourrice de la princesse, et,
e les éléphans dont les Indiens se servaient, en furent épouvantés et prirent la fuite. Cet incident contribua au gain de la vi
nt précieusement. Surnoms de Mercure. Mercure eut plusieurs noms pris de ces différens emplois. Il s’appelait Agoreus,
oir, son bonheur, ou sa peine secrète ;     « Et qu’un secret dont on prend la moitié « Est un dépôt sacré qu’on ne peut se p
Vénus, pour le soustraire aux desseins funestes du maître des dieux, prit son fils dans ses bras, et faible encore, elle se
r. Le roi des mers, devenu confiant par faiblesse, ou par nécessité, prit les deux dauphins pour ses confidens, et se repos
ntre les Géans ; ces colosses, épouvantés d’un son si extraordinaire, prirent la fuite, et laissèrent aux dieux la victoire. Le
t empêcher ses compagnons d’être séduits par la douceur de leur voix, prit son luth, sur lequel il chanta avec tant de perfe
happait au moment où l’on croyait le tenir : tigre, lion, serpent, il prenait toutes les formes pour effrayer ceux qui le consu
u’il venait de poser sur le rivage, ayant goûté d’une certaine herbe, prenaient de la force et resautaient ensuite dans l’eau, il
ts. Neptune les reçut l’un et l’autre au nombre des dieux marins. Ino prit le nom de Leucothé, et Mélicerte celui de Palémon
de son conseil que Scylla découvrit, et les clefs de la ville qu’elle prit pendant son sommeil. Alcyons. Les Alcyons,
des Gentils l’Air et le Vent ; ainsi il est présumable que les Grecs prirent ce culte des Orientaux. Les auteurs varient sur l
tranquille dans son royaume, que personne ne lui disputait, songea à prendre une femme. Rebuté de toutes les déesses à cause d
empire, il s’en plaignit à Jupiter ; mais cela ne servant de rien, il prit le parti d’enlever Proserpine, fille de Cérès, pe
rreur soudaine inspirée par le dieu Pan, s’empara de leurs âmes ; ils prirent l’alarme, et se crurent poursuivis par les Grecs
la nymphe alarmée des poursuites du dieu, et voulant s’y soustraire, prit la fuite. Lorsqu’elle fut près des bords du fleuv
elle les anciens donnaient l’intendance des bois et des vergers. Elle prenait ce nom de la ville de Féronie, située au pied du
e montagne il y avait un petit bois qui lui était consacré ; le feu y prit par hasard ; aussitôt les habitans se hâtèrent d’
le feu y prit par hasard ; aussitôt les habitans se hâtèrent d’aller prendre la statue de la déesse pour la transporter ailleu
uguste où l’on voit cette déesse avec une couronne. Les affranchis la prenaient pour leur divinité, parce que c’était dans son te
renaient pour leur divinité, parce que c’était dans son temple qu’ils prenaient le chapeau ou le bonnet, marque de leur affranchi
qui montra le plus d’empressement à lui plaire. Ce dieu, après avoir pris différentes formes pour avoir occasion de la voir
est ainsi appelé du mot latin vertere, tourner, changer, parce qu’il prenait à volonté toutes sortes de formes. Il se servit s
grand appartement pour les dieux Pénates. Les Pénates domestiques se prenaient parmi les grands dieux, quelquefois même parmi le
Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend pour un bandeau. Lamotte. Momus Momus,
suite l’oracle se vérifia par les précautions mêmes qu’Acrisius avait prises pour s’y soustraire : car Persée, qui ne connaiss
urnoi. Polydecte, à la cour duquel Persée s’était rendu avec sa mère, prit un grand soin de son éducation ; mais, quelques a
erpens pour l’étouffer ; mais le héros, déjà d’une force prodigieuse, prit entre ses mains les deux serpens et les mit en pi
ès de Lixe ou Lixus, aujourd’hui Larache, dans le royaume de Fez. Ils prenaient leur nom de la situation du lieu où l’on croyait
d’Athènes, était contemporain d’Hercule, et son proche parent ; il le prit pour modèle et fut un héros. Thésée, témoin des i
, dont étaient aussi les Centaures ; ceux-ci, dans la chaleur du vin, prirent querelle avec les Lapithes et en tuèrent plusieur
ieu bienfaisant guida vers vous mes pas. La pitié me saisit : je vous prends dans mes bras. Je ranime dans vous la chaleur pre
ec Achille, s’attacha à Patrocle, qu’il défit aisément, quoiqu’il eût pris les armes d’Achille. En apprenant la mort de son
rent employées par les Grecs à soumettre plusieurs villes qui avaient pris les armes pour la défense de Priam. La trahison d
ers Achille semble justifier la ruse dont les Grecs se servirent pour prendre la ville de Troyes. Ils firent semblant de se ret
de toutes ses forces ; mais Sinon, aposté par Ulysse, s’étant laissé prendre , leur dit que c’était un vœu des Grecs pour apais
se le pria de quitter un habit à la phrygienne qu’il portait, pour en prendre un qu’elle avait tissé pendant son absence ; le r
a sa sœur en mariage à Pylade ; lui-même épousa Hermione ; ensuite il prit le gouvernement de ses états. Ulysse Ulys
rintemps : Ni le temps ni l’hymen n’éteignirent leur flamme ; Clothon prenait plaisir à filer cette trame. Ils surent cultiver,
4 (1866) Dictionnaire de mythologie
e. En doutez-vous ? Je ne veux qu’un exemple pour vous convaincre. Je prends sur ma table un journal, non pas l’Almanach des M
dans Paris avec ses lois, sa langue, sa politesse et ses arts, je fus pris d’un irrésistible désir de revoir ma ville bien-a
ux sans retour. Des poëtes barbares montèrent à l’assaut de l’Olympe, prirent Jupiter par la barbe et l’en firent descendre. Le
ort et la douleur : la sueur coulait de leur front. Deux héros que je pris l’un pour César, l’autre pour Alexandre, levaient
’aurions pas le sixième livre de l’Énéide. Les Français, qui ont tout pris aux Latins, n’ont pas oublié de s’approprier la b
lut rien moins qu’un Hercule pour la nettoyer. Il semble difficile de prendre au pied de la lettre cet exploit singulier, qui t
plus rien de religieux. Il y a une nuance entre ces deux mots, qui se prennent souvent l’un pour l’autre. Une bacchanale est une
s en poésie il figure encore assez dignement. Centaure impétueux, tu pris sa chevelure         Et montas botté sur son dos.
iques et philosophiques l’absurdité de ce qu’il appelait un conte, il prenait les croyants à partie et les poussait vigoureusem
e Nouveau-Monde après une première apparition, la fable des Centaures prenait rang dans la mythologie américaine. Sans aller ju
sa cabane, si humble que fût le gîte. « La déesse refuse. Elle avait pris la forme d’une vieille femme, une mitre emprisonn
es. Mais la ville pieuse entre toutes était Eleusis. Là, des prêtres, pris dans les premières familles athéniennes, enseigna
te et faisait aboyer tous ses chiens. A ce bruit les matelots étaient pris de vertige, et d’étranges visions passaient sous
uleurs qui me retournent la cervelle sens dessus dessous. Vulcain. —  Prenez -y garde, Jupiter. La hache coupe bien et il y aur
s de son fils Icare, et, sur cet appareil flottant, les deux fugitifs prirent leur essor vers les côtes de Sicile. On sait quel
ret. Or, quand, par la volonté de Notre-Seigneur-Père, ce feu vient à prendre au démon, il le chasse du corps, et, l’ennemi mis
ux qui la lisent la comprennent-ils bien ? et ceux qui l’emploient ne prennent -ils pas le Pirée pour un nom d’homme ? Je ne hasa
s médiocre, de même que dans les grands siècles tout n’est pas grand. Prises isolément, elles auraient aussi leur grandeur ; m
La Fontaine avait assisté à leurs fêtes nocturnes, car où aurait-il pris les traits dont il nous peint la princesse de Con
d’un chien pour le conduire. — Vous avez deviné ; mais bien vous en a pris d’être fort en géographie, en histoire et en myth
de l’erreur, etc. Voilà bien des hydres qui attendent leur Hercule. Prends ta foudre, Louis, et va comme un lion Porter le d
diteurs Libations. Deux braves gens attablés au cabaret se sont pris de querelle. Il y a eu quelques verres cassés, qu
 » Cette note deviendrait exacte avec deux légers changements que je prends la liberté de proposer : Le lynx a la vue perçant
guette que Béranger fait allusion dans ce pénible distique : Momus a pris pour adjoints       Des rimeurs d’école. De Mom
stères et les moralités comme les farces et les soties. Momerie ne se prend plus aujourd’hui qu’en mauvaise part. « Les momer
l’encre. Voilà, j’espère, un critique que les plus difficiles peuvent prendre pour patron. Et c’est cependant le même Momus don
nce les fait soupirer. Il faut l’étudier avec passion, avec patience, prendre au besoin la loupe du savant, arracher un à un le
er dans ce livre où l’on apprend à se haïr soi-même. A quoi bon ? Ils prendraient leur image pour celle du voisin. On dirait que la
ient leur image pour celle du voisin. On dirait que la bonne nature a pris à tâche de réparer l’imperfection de ses œuvres e
la coupe à la main, dans la salle des banquets, les Immortels furent pris d’un rire inextinguible, et le noir échanson s’al
Académie, etc. Ombres. (Voir Mânes.) Il est clair que ce terme, pris dans son acception religieuse, n’offre aucun sens
oint de moine, l’acteur Legrand est un spectre invraisemblable. On le prendrait pour le portier du mausolée. Cette fois la pièce
semble que les hommes ne se croient pas assez malheureux, puisqu’ils prennent plaisir à surcharger leurs maux présents des inqu
ut qu’ils soulèvent un coin du voile qui sépare demain d’aujourd’hui. Prenez de tous les mortels le plus affligé du sort, le p
pour cause, en termes couverts et ambigus. De là ces expressions : —  Prendre un ton d’oracle, rendre ses oracles ; je ne compr
partisans, c’étaient des parvenus ignorants qui, pour singer la cour, prenaient des airs de connaisseurs et décourageaient les ar
és nous amusent encore. Lui aussi encourage les arts à sa manière. Il prend un maître de philosophie pour apprendre l’orthogr
immense ambition, le désir et les moyens de la satisfaire. — S’il lui prenait envie d’escalader le ciel et de détrôner les dieu
dans les peaux des victimes et dit au dieu : « Choisissez. » Jupiter prit au hasard et tomba sur les os. Vulcain fut encore
tomba sur les os. Vulcain fut encore l’exécuteur de sa vengeance. Il prit un marteau, une enclume, du plomb fondu, des croc
le ménade et le crabe, subissent des métamorphoses analogues avant de prendre leur forme définitive. On dirait que la nature a
op subtils, dont Rabelais dit quelque part : « On pourra d’oresnavant prendre les lions par les crinières, les chevaulx par les
arbe, les oiseaulx par les pieds ; mais jà ne seront tels philosophes pris par leurs paroles. » Nous le retrouvons avec pl
Enfin Saturne, aidé par sa mère, l’emporte sur Ciel et le détrône. Il prend sa place, épouse Rhéa, sa sœur, et dévore tous se
s le don d’évocation, j’irais droit aux caveaux de Saint-Denis, et je prendrais par la main non pas Clovis, ni saint Louis, ni mê
résoudre, la pénétration d’un Œdipe. On dit aussi d’une personne qui prend des airs mystérieux qu’elle a des attitudes de sp
ir des conceptions aussi sombres que les chrétiens du moyen âge, sans prendre comme eux un farouche plaisir à multiplier dans l
le convoitise. Comparaison aussi fausse qu’ingénieuse. Car, à le bien prendre , ce fameux supplice consiste moins à désirer ce q
omme un bouclier d’Argos ou comme le disque de la lune. De là Cyclope pris dans le sens de borgne. Frédéric II écrit à Volta
5 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
us il leur a été possible de rendre obscures ces fables, plus ils ont pris soin de le faire, et cela chez tous les peuples,
 — D’après ces diverses manières de voir sur les principes qui firent prendre à l’univers un aspect régulier, nous dirons que l
ant le surnom synonyme d’Archigénetle. Cybèle. — Mais, lorsqu’on la prit dans son large sens, à la manière des Phrygiens,
pas au roi, il finit par tuer ce tendre amant et força la princesse à prendre la fuite. Sans changer le résultat de cette légen
, Jupiter, Junon, Vesta et Cérès. Le difficile pour Rhée était de s’y prendre de manière à faire vivre ses enfans mâles, car Ch
n donnait des festins dans les rues. Les boulangers et les meûniers y prenaient la plus grande part ; pour se rendre la déesse fa
 ; aussitôt il en est épris, et ne sachant comment s’en approcher, il prend la forme d’un cheval, poursuit la pauvre nymphe j
emblent le plus éloignés de présenter un sens caché. Déjà l’on pourra prendre une idée de ses attributs et de son pouvoir en pa
les pelories ; Philaletès, ou ami de la vérité ; Physicus, ou l’Ærien pris physiquement ; Piseus, ou de Pise ; Pistius, ou d
en admettant que la plupart des rois des temps primitifs de la Grèce prenaient ce titre. Ainsi, outre les précédens, on désignai
e, qui déjà avait épousé Rhéa, et de son grand-père Uranus, qui avait pris pour femme Titea ou Titia. Ses États étant trop é
é une corne contre les arbres, en bondissant dans les bois, la nymphe prit cette corne, la remplit de feuilles et de fruits,
e trouva sevré et grand garçon. Déjà il était si vigoureux, qu’il put prendre la défense de son père Saturne, que les Titans, s
Cymodocée, fille de Neptune, il paraît que cet Egéon, au moins, avait pris l’empire des eaux pour son séjour habituel. En ef
loin. formation de l’olympe. — Libre ainsi de tout embarras, Jupiter prit pour lui seul le sceptre de l’univers ; se réserv
: la volonté seule du Dieu souverain les a fait surgir autour de lui, prenons -les donc comme ils viennent, lors même qu’en arri
yés du danger qu’ils couraient, presque tous les habitans de l’Olympe prirent honteusement la fuite, et se réfugièrent en Égypt
près en avoir arraché la peau pour en couvrir son bouclier, finit par prendre son nom et le pétrifie ainsi qu’Echion, en leur m
piter à la fin de cette guerre, dans laquelle pourtant il n’avait pas pris part ouvertement, il se réfugia sur les monts Col
mpie qui se trouvait habiter la terre, et qui, plus d’une fois, avait pris part aux diverses révoltes dont les Titans et les
uplé, Prométhée semble n’avoir pas voulu y rester long-temps seul. Il prend donc une boule d’argile, la pétrit, lui donne la
épouse par une nuée qui lui ressemble tellement, qu’Ixion s’y laisse prendre . Il ose tout auprès de ce simulacre, et dans son
, probablement que ces voleurs ayant été découverts furent obligés de prendre la fuite. Choricus, roi d’Arcadie, avait deux fi
toujours au fond du noir Tartare. Pandarée, fils de Mérops le géant, prenait plaisir à aider Tantale dans la plupart de ses vo
arbre que le vent avait fendu en l’agitant ; l’envie à cette vue lui prend d’en séparer les éclats, mais l’arbre qui s’était
e avec plusieurs autres personnes, la voûte s’ébranla et les convives prirent la fuite. Polydamas, seul, resta, comptant sur se
ser à jeter du trouble parmi les divinités. Alors Jupiter son père la prit aux cheveux, et, dans sa colère, la précipita au
a ou qui tient les rènes, Hippie ou la cavalière, Hyperchirias ou qui prend en main et bénit sur les bords de l’Eurotas en La
ui avaient servi de nourrices, et que Témenus, fils de Pelasgue avait pris soin de son enfance ; Samos soutenait que la dées
dant de vivre six, sept ou onze âges d’hommes, que l’on a quelquefois pris pour autant de siècles, et en lui donnant le priv
t tout porte à le croire, que ce fut en Arcadie que le culte de Junon prit naissance ; car chez les peuples de cette contrée
pensés de leur piété par la déesse, à la demande de Cydippe, en étant pris dans le temple même, d’un sommeil éternel. Une fo
trône des ressorts secrets pour se venger de sa mère, qui s’y laissa prendre  ; elle ne put même être délivrée que par Vulcain
on l’en avertit, aussitôt Vulcain fabrique un réseau imperceptible, y prend les deux amans, et fait la sottise d’appeler tous
e fut guéri que par les soins d’Hébé et de Péon. Au ciel il se trouva pris avec Vénus dans les réseaux invisibles tendus par
Agenor, célébre par sa beauté et par la manière dont nous verrons s’y prendre Pélops pour obtenir sa main. Oxilus, fils de Prot
temps la fécondation et l’accouchement ; aussi, arrivée à Rome, elle prit le nom de Lucine, et confondit toujours alors en
dérée sous cette même attribution ; seulement dans cette contrée elle prenait alors le nom de Latone, ou le plus souvent celui
nt voulu attaquer ces deux enfans encore au berceau, Apollon se leva, prit un arc, et le tua aussitôt à coups de flèches. Dè
aire succéder le culte du Soleil ; on pourrait aussi à la rigueur, le prendre pour l’homme qui, après avoir satisfait ses passi
 ; mais nous ne pouvons donner à cette fable le sens allégorique, qui prend Niobée pour une fontaine et ses enfans pour des r
is, la rendit mère de Caphaurus et de Nasamon. Après Endymion, Diane prit , dit-on, le brillant Orion pour amant. C'était le
it ; alors il répondit qu’il désirerait bien avoir un fils, mais sans prendre de femme avec lui. Aussitôt les Dieux, après avoi
comment, moururent de douleur. On dit encore que la chaste déesse se prit de passion pour Hippolyte, fils de Thésée, qu’ell
l’homme, savoir la naissance ; la vie et la mort. De Délos, où Diane prit le nom de Délia, comme elle emprunta celui de Cyn
ne sait trop comment, Alceste fut accusé par son frère Acaste d’avoir pris part avec toutes ses autres sœurs au meurtre de l
l’Olympe où son père lui confia le char du soleil. C'est alors qu’il prit le nom de Phébus ou le lumineux. Il conduisait so
tos ou Crocas, ou la cadence qu’elle avait eue avec le dieu Pan, elle prit les Muses en nourrice avec son fils, lequel, aprè
aux vierges du Parnasse. Alors celles-ci, avec le secours d’Apollon, prirent aussitôt des ailes et s’enfuirent à travers les a
ité jusqu’à lui porter un défi en choisissant pour juge Midas, lequel prit pour auxiliaire Tmole, ami du géant Télégone, bri
appelé Aiphius en Grèce ; le pasteur Cragalée d’Ambracie, qu’Apollon prit pour avoir servi d’arbitre dans un différent qu’i
nt qu’elle eût été placée sur l’autel ; à cette vue, son père furieux prend sur ce même autel un tison enflammé, et fait mour
considération. A peine Apollon fut-il retourné au ciel que son culte prit sur la terre le plus grand développement, tant en
ollon, dieu du jour, des mois et des saisons. Riches et pauvres, tous prenaient alors part aux jeux et repas publics. Les Poliées
en au conseil entier des Amphictions. On disait que les Dieux avaient pris part à la première de ces fêtes, dont la célébrat
e la Grèce, car on y sacrifiait deux victimes humaines que l’on avait pris l’affreux soin d’engraisser long-temps auparavant
t de la musique, qu’il paraissait aux festins de Jupiter. Quand on le prend pour dieu de la médecine, il est entouré de nuage
causant ils se reconnurent tous les trois, et retournèrent à Mycènes prendre possession de l’héritage de leur père. Evanthe, g
ne furent livrés à aucune épidémie. On disait même qu’il vivait sans prendre de nourriture. Mais ce qu’il fit de plus remarqua
ien Hyriéus y conservait. Celui-ci tendit des piéges aux voleurs et y prit Agamède. Alors, pour que l’on ne pût reconnaître
t obligé de se soumettre pour pouvoir interroger l’oracle. Ensuite on prenait une tunique de lin, on montait sur une élévation
s du temps de Codrus, vers l’an 1095 av. J.-C. A cette menace, ils le prirent pour un magicien et le tuèrent à coups de flèches
ut les joindre et fit naufrage sur les côtes mêmes de Carie où il fut pris et conduit comme suspect en prison. Peu de temps
ge ; mais, qu’étant sur mer, les matelots voulurent l’assassiner pour prendre tout ce qu’il possédait. En vain essaya-t-il de l
ent caché sous l’herbe, et perdit la vie. Alors Orphée, inconsolable, prend sa lyre, et descend aux enfers : à ses accords, C
t sous le nom d’Arsinoé et que l’on confond avec elle parce qu’on les prend l’une et l’autre pour mères d’Esculape, paraît ce
ec quelques motifs de raison que le culte du premier médecin divinisé prit son origine en Phénicie, puisqu’il passa en Egypt
il vint en Grèce avec toutes les colonies grecques nomades, et qu’il prit ainsi rang au milieu des noms de tous les dieux q
ar les Français, quoique Ophieus et Jason soient souvent confondus et pris pour les mêmes ; néanmoins ils soutiennent que la
strophe, que le sang ou, pour plus de vérité, la peau des Ethiopiens, prit une couleur noire. Une foule d’interprétations on
deux sœurs. On lui attribue pour nourrice Calligénie, dont elle-même prit le nom. L'honneur de sa naissance fut tour-à-tour
l’Attique, depuis appelé Eleusis, où, pour ne pas être reconnue, elle prend les traits d’une vieille femme, puis s’assied sur
peu moins désolée vers le coucher du soleil, saisit cet instant pour prendre quelques alimens. Après cette scène, Métanire ou
ait fait le plus long séjour, et c’était là aussi que son culte avait pris naissance. Célée, nous l’avons dit, bâtit un temp
telles que celles-ci : j’ai bu du cycéôn ou breuvage de Cérès ; j’ai pris de la ciste ; après avoir travaillé, j’ai mis dan
aient admis à la révélation des grands mystères, et alors ces initiés prenaient le nom d’Epopte ou d’Ephore, c’est-à-dire, contem
Le sixième jour ou Iacchos était le plus célèbre : il était réservé à prendre en grande pompe le jeune Iacchus ou Bacchus, pass
ur légende, du moins, par l’habitude que les Romains les modernes ont pris de les introduir[ILLISIBLE] leurs travaux littéra
lui seul les réunit toutes et les personnifie dans les figures qu’il prend pour faire sa cour à Pomone. Le laboureur est le
ait la Burranica ou boisson composée de miel et de vin doux. Alors on prenait sa revanche de la continence qu’il avait fallu ga
acré à Cérès ; à cet ordre sacrilége personne n’ayant voulu obéir, il prit une hache et se mit lui-même à l’abattre ; aussit
bligation et se laissa vendre sans cesse ; mais sans cesse aussi elle prenait une nouvelle forme qui l’empêchait d’être reconnu
r Saturne, son fils. A nos yeux, elle sera donc une Titanide, nous la prendrons à sa naissance, à une époque indéterminée. Mainte
er en réalité une date chronologique à toutes ses infidélités ; ainsi prenons -les comme on les range le plus habituellement. Un
contractés n’ont point de larmes à laisser échapper ; à la fin, elle prend sa résolution, appelle ses colombes, les fidèles
nœud fatal, la rendit à la vie et favorisa sa passion en lui faisant prendre sa place auprès de son père, une nuit, pendant le
ortir sans être à ses côtés, Adonis profite de l’une de ses absences, prend un arc et des flèches, s’élance dans les forêts d
de la perte d’Adonis, se souvint du propos d’un dieu qui, voyant Mars pris dans les filets de Vulcain, avait dit qu’il ne se
omment satisfaire ses désirs incertains, elle descendit sur la terre, prit la figure de la belle Lycaste, épouse de Butès le
le s’arrêta et s’amusa naturellement à les ramasser ; alors son amant prit de l’avance et obtint sa main en arrivant au but
ir quelques rapports avec Cypris, il fut très-répandu. On pense qu’il prit d’abord naissance dans la Phénicie, traversa tout
sans craindre pour la vie, risquer ce fatal plongeon ; on avait même pris la précaution de disposer des filets et des barqu
endroits des fêtes, dont les mystères étaient si licencieux que l’on prenait grand soin de les cacher aux yeux du public. Alci
’avaient pas toujours la même origine, puisque si d’habitude nous les prenons pour filles de Bacchus et de Vénus, souvent aussi
l’idée de vertus, sagesse, douceur, amour et plaisir ; elles avaient pris , dit-on, pour séjour préféré, les bords charmans
remonter l’origine à l’origine même des mondes. Alors Eros peut être pris pour fils de tous les personnages que nous venons
s, et fit éclore Cupidon, lequel aussitôt déployant ses ailes dorées, prit son essor à travers le monde naissant. Beaucoup p
s un moyen sûr de le savoir sans lui faire tant de questions ; tenez, prenez cette lampe ; cachez-la près de votre lit, et dès
la maladie de son fils. Psyché part aussitôt sans savoir quel chemin prendre , ni quels étaient les moyens de triompher des obs
x reçurent leur nouvelle sœur avec des transports de joie. Jupiter la prit par la main et lui présenta l’ambrosie. Peu de te
propres traits, dès qu’il eut vu Psyché, le temps se passa et l’amour prit des années ; pourtant ce dieu volage conserva tou
on lui ferait. D'un autre côté Némésis, déesse de la vengeance, ayant pris parti pour Echo, se chargea de punir Narcisse, ce
jeune adolescence, où sans barbe au menton, l’on peut facilement être pris pour une fille ; il devint amoureux d’une jeune A
ascension au ciel, sous la transformation de la grande ourse, aurait pris le nom d’Hélice parceque sa marche autour du pôle
Méra, était une nymphe, suivante de Diane : Jupiter pour la séduire, prit la forme de Minerve. Diane ayant eu connaissance
i des Bisaltiens lesquels, en mémoire de l’origine de leur souverain, prirent pour armes les foudres de Jupiter. Othréis. Nymp
uses filles du dieu fleuve Asope. Jupiter pour triompher de sa vertu, prit d’abord la forme d’un aigle, puis il l’enveloppa
elle infidélité de son époux, et ne pouvant croire qu’Alcmène n’y eût pris aucune part, lui jura une haine implacable. D'abo
osèrent cette masse miraculeuse dans un bois qui depuis fut sacré, et prit le nom de Chapelle d’Alcmène. Les Thébains lui re
llations de la grande et petite ourse. Des auteurs disent que Jupiter prit la forme de Diane pour la séduire ; d’autres que
e Junon. Bientôt Jupiter aima la belle Europe ; pour en triompher, il prit la forme d’un taureau ; ainsi métamorphosé, il al
réunit ces peuples et appela Phoronium son premier établissement qui prit ensuite le nom d’Argos, l’an 1635 avant J. C. Son
ui finit par réussir. Junon ayant eu connaissance de leurs relations, prit les traits de Béroé nourrice de Sémélée et fut la
. Le chef de l’Olympe fut d’abord incertain sur le parti qu’il devait prendre , pourtant, à la fin il donne la commission à Merc
ue deux de ces yeux qui se fermaient à la fois. Junon, après sa mort, prit ses yeux et les répandit sur la queue du paon son
oi Minos essaya de la faire se parjurer ; mais elle se mit à fuir, se prit dans les filets qu’elle avait elle-même tendus, e
ôt ils vont à Sidon, tantôt en Égypte. Ce fut de cette contrée qu’ils prirent la route d’Ilion où ils furent reçus avec joie pa
és du dernier elle ait donné le jour au monstre Erichthonius. Minerve prit les arts sous sa protection : elle inventa l’écri
as qu’elle adopta après avoir vaincu le titan Pallas. Nous la verrons prendre le parti des Troyens contre les Grecs, et ne les
andonner qu’au moment fixé par le destin pour la ruine de Troie. Elle prit le tonnerre des mains de Jupiter et foudroya Ajax
Minerve remplacerait dorénavant celui de Posidon et que cette contrée prendrait le nom de la déesse. Cécrops eut de sa femme Agla
firent remarquer par les tribus rudes et sauvages de l’Arcadie qui le prirent bientôt pour leur chef. Il leur donna des lois, a
d’Orphée qui venait de parcourir l’Egypte ; mais quoi qu’il en soit, prenons Bacchus tel que la fable grecque nous le transmet
isse, jusqu’au moment fixé pour les gestations ordinaires. Jupiter le prit -il lui-même dans le sein de Sémélée ? On ne le cr
lcimédon, Dictys, Ethalion, Libys, Lycabas et Mélas, puis Médéide qui prit la barre du gouvernail en place du pilote ; malhe
ace sur le bord du chemin où Erigone avait coutume de se promener, et prend la forme d’une grappe vermeille suspendue à un je
d’elles. On dit que le Dieu lui-même les excita, quoique le roi l’eût pris et jeté dans une prison et chargé de fers ; mais
près sa naissance, plutôt que de vivre. Cependant, pour prouver qu’il prenait bravement son parti, il fut un autre jour à la co
mphe, Atheus, Clèogène, Lénéus nourrisson de Bacchus ; Moron que l’on prend souvent encore ou pour un compagnon d’Osiris ou p
on voulut le confier pour nourrisson, poussèrent un cri de frayeur et prirent la fuite. Il n’en fut pas de même de Mercure qui
nymphe Alexirrhoé ou Alenthoé. Ce fut lui qui conseilla aux dieux de prendre la forme d’animaux, pour se soustraire à la pours
uidait, errait avec eux dans les bois et les campagnes ; il a souvent pris leur forme et son plaisir était de parcourir les
ntiliens et les Fabiens, en mémoire des chets de factions qui avaient pris parti pour Romulus ou Rémus ; ils jouissaient de
divinités tutélaires des Romains qui voulant également en descendre, prenaient par cette considération le surnom de Faunigentes
ilumnus et Deverra ou Deverrona. Quant au dieu Terme, pour lequel on prenait souvent Sylvain ; c’est un dieu également tout Ro
Jupiter et de Léda. Quoi qu’il en soit, Mercure par ordre de ce dieu, prit les deux frères aussitôt après leur naissance, le
s matelots voyaient briller dans les airs deux de ces lueurs, ils les prenaient pour signe de beau temps ; mais quand il n’en par
piter et de la nymphe Idée, fut le premier roi de l’ile de Crète, qui prit son nom ; il fut l’inventeur des objets les plus
de Cyrno, fut le premier homme aux yeux des habitans de Thérapné, qui prirent de lui le nom de Cyrnos. Cytus, fils de Jupiter
ops, fils de Jupiter, donna son nom à une tribu de l’île d’Eubée, qui prit de là, celui d’Ellopie. Epaphe, fils de Jupiter
ui lui indiqua comment nétoyer les étables d’Augias et dont le nom se prend quelquefois pour celui d’Hercule lui-même, Monœco
nt combattre Géryon, OEteus ou du mont OEta où il se brûla, Olenus se prend quelquefois pour Hercule, comme fils de Jupiter,
r, sachant qu’il avait été forcé de quitter momentanément son épouse, prenait les traits de sa figure, s’introduisait chez Alcm
la préférence à la valeur. Hercule pendant le temps de son éducation, prit une taille et une force gigantesque ; aussi bient
e nez et les oreilles. Les Orchomeniens, voulant venger cette injure, prirent les armes ; mais ils furent défaits et forcés de
s environs de cette montagne d’Arcadie. Après une longue lutte, il le prit , le chargea sur ses épaules et fut le présenter à
hes contre leurs ennemis, des plumes d’airain, et Mars lui-même avait pris à tâche de les instruire aux combats. Hercule ave
Mais revenons à la marche chronologique des triomphes d’Hercule ; il prit tour à tour pour théâtre de ses exploits, l’Asie,
à sa peau ; alors il se livre aux plus terribles accès de fureur ; il prend par le bras le malheureux Lychas, le soulève, le
vre d’un grand repas ; lors du premier sacrifice, les Potitiens ayant pris les devants sur les Pinariens, eurent droit aux m
 ; Antiochus de Midée, fondateur ou Eponyme de la tribu d’Athènes qui prit son nom ; Archemaque de la Thesp. Patro ; Aristod
de Jupiter, le découvrit et le ramena sous le toit maternel, puis il prit le nom de Mélitée, par reconnaissance pour ses no
ndu dire en présence de tous les Dieux venus pour voir Mars et Vénus, pris dans le réseau invisible : qu’il ne serait pas fâ
llène, vendit Hercule à la reine Omphale ; il vainquit Hippolyte ; et prit le casque d’invisibilité à Pluton. Cependant, mal
nce, la lance, la perche armée de traits, le cygne et le coq. Pour le prendre dans ses spécialités, on lui met une bourse à la
se mit à la tête d’une flotte, débarqua sur les côtes des Mégarides, prit Mégare, grâce à la trahison de Scylla, passa dans
e force aux lois instituées par son aïeul, et mérita comme lui d’être pris pour modèle. Ce roi de Crète fut, dit-on, étouffé
lure blanche. Quant à Chrysaor, né comme Pégase du sang de Méduse, il prit son nom de ce qu’il portait en naissant une épée
erons connaissance dans quelques pages, en parlant d’Hercule, et il y prend les pommes d’or que l’on y voyait, malgré les eff
elate, par Coryte ; l’on vit tout à coup Persée abandonner ses armes, prendre la terrible tête de Méduse et pétrifier non seule
Junon lui disputa aussi le royaume d’Argos, fondé par Inachus qui fut pris pour arbitre et donna la palme à la Déesse, décis
tte vue, son cœur tressaillit de plaisir ! dès lors, il résolut de la prendre pour épouse ; il se présenta donc, mais Amphitrit
beauté de sa figure ; souvent elle s’enivrait et permettait alors de prendre auprès d’elle toutes les licences possibles ; car
ait devinée. Créon, le père de Jocaste, après la mort de Laïus, ayant pris les rênes du gouvernement Thébain, proposa, pour
cile. Quant à Eole, si au lieu d’un prince purement Sicilien, nous le prenons pour Dieu des vents, nous trouvons d’après la fab
n’eût pas à craindre leurs ravages ; aussi pour punir Ulysse d’avoir pris parti contre les Troyens, nous le verrons lui fai
yrpace. Cependant, comme tous les vents, bientôt il voulut changer et prit pour sa maîtresse chérie Orithye, fille d’Érechth
il fut obligé de quitter son pays ; alors il vécut des poissons qu’il prenait . Un jour s’étant aperçu que les poissons qu’il dé
gypte, être ensuite allé en Grèce, avoir régné sur les Mégariens, qui prirent le nom de Lélégues, et passèrent pour le plus anc
lalcomenia, Aulis et Thelsinie. Ce fut après son règne, que la Béotie prit le nom d’Ogygie, nom, du reste, que l’on donnait
u dans les vertes prairies du voisinage. Protée avait le privilége de prendre toutes les formes qu’il voulait ; on le voyait so
ils venaient de quitter. Les Doliens croyant voir en eux des pirates, prirent les armes pour les repousser ; aussitôt Hercule,
ueur de s’emparer de la riche dépouille du bélier de Phryxus, mais il prit la résolution de faire mourir Jason et ses compag
pourvu qu’il lui promît de l’emmener avec lui dans sa patrie et de la prendre pour épouse légitime. Jason se soumit à toutes se
la condition toutefois qu’elle ne serait point unie à Jason, et l’on prit l’épouse d’Alcinoüs pour arbitre ; mais cette pri
le égorgea pour se venger de son époux qui venait de la répudier pour prendre la fille du roi de Corynthe, qu’elle empoisonna e
es. Il fut, le premier, victime des coups du jeune Thésée qui le tua, prit sa massue et la porta toujours comme un monument
il marcha contre le taureau de Marathon, qui ravageait l’Attique, le prit vivant et l’immola sur les autels de Mercure ou d
nt et l’immola sur les autels de Mercure ou d’Apollon. Ensuite Thésée prit la généreuse résolution de délivrer Athènes du tr
phithes, ayant à leur tête Pirithoüs, leur roi, Hercule et Thésée, en prirent la défense, et bientôt la mêlée devint épouvantab
er au siége de Thèbes ; Orios, fut tué par le centaure Grynée ; Ornée prit la fuite ; Périphas, renversa le centaure Pyrète 
ethronius, inventeur du fléau et de la selle ; Périmède, Pisénor, qui prirent la fuite ; Rœcus, ou Rhœtus, fils d’Ixion. Tous c
s deux guerres de Thèbes, car il était mort lors de la seconde, et ne prit aucune part à la première, mais seulement il para
la légende : a la plus belle, ce qui força Junon, Minerve et Vénus à prendre Pâris, fils de Priam, pour juger, en lui prometta
s, fils de Priam, pour juger, en lui promettant la main d’Hélène, qui prit la fuite et épousa Ménélas ; puis fut ensuite enl
main et ayant auprès de lui un monstre marin de forme inconnue. On le prenait quelquefois pour l’un des titans, par conséquent
un jour que les autres Dieux l’avaient attaché. Cette Téthys que l’on prenait poétiquement pour la mer, portait un nom grec sig
pas plus heureux sous cette forme que sous celle d’un taureau, qu’il prit ensuite, car il perdit une de ses cornes, et, hon
père des sirènes. L'Achéloüs réel sépare l’Etolie de l’Arcananie ; il prend sa source dans le Pinde, traverse Dodone, berceau
fleuve Nyctime, pour expier ce crime involontaire. Le fleuve Nyctime prit depuis le nom d’Alphée. Suivant plusieurs auteurs
ur ces deux fleuves que des traditions obscures, qui souvent les font prendre aujourd’hui l’un pour l’autre. Chrysas, dieu-fle
ours à Hercule. Égée, fleuve confondu peut-être avec la mer Egée, qui prit ce nom, dit-on, après avoir reçu dans ses eaux, É
asmes pestilentiels qui causaient de graves épidémies. Ce grand canal prit le nom d’Eurotas, qui fut si célèbre dans la Myth
ène. On le nommait le plus ancien des dieux, et son nom souvent était pris pour celui de la mer elle-même. Ses filles appelé
avec le plus d’ardeur : en vain, pour se soustraire à ses poursuites, prit -elle diverses formes, il réussit, avec les consei
s présidaient aux chênes, aux bois et aux arbres en général, qu’elles prenaient sous leur protection. Ces Déesses étaient immorte
fondre les Hamadryades avec les Dryades ; de même, on ne doit pas les prendre pour les huit filles d’Oxile et d’Hamadryade, don
laxis, Pégée et Jasis. Leurs noms venaient des eaux de ce fleuve qui, prises en bains, passaient pour guérir les lassitudes et
fut si vive, que Diane fut obligée de la changer en une fontaine qui prit son nom, pour qu’elle ne troublât pas de ses cris
dans ses eaux. Séis, amante et femme d’Endymon ; Sinoé, mère de Pan, prit le surnom de Sinoïs ; Smilax, amante de Crocos, d
ne, près de l’Océan, où les Phéniciens, en venant faire des échanges, prirent les mineurs pour des êtres infernaux et leur roi
ts : dans le plus voisin de la terre, ils plaçaient l’Erèbe, que l’on prenait souvent pour l’enfer même et que l’on personnifia
ou de Gorgyre ou l’ombre, nymphes des régions infernales. Souvent, on prenait l’Achéron pour l’enfer lui-même. Le nom du fleuve
sa mère, la Mort, à la porte des enfers, sous le nom de Mœror ; on le prenait pour frère de Momus et des Hespérides. Quant à Mo
ités trop souvent trompeuses ; seul, il annonçait la vérité et savait prendre la démarche, le visage, l’air et le son de voix d
le ou Phobétor ; ils habitaient le même palais que leur père. Morphée prenait la forme des hommes ; Icèle ou Phobétor, celle de
stant de la punition de leurs crimes ; comme Lucine ou Ilythie, elles prenaient un soin particulier de la naissance des héros ; e
u’elles égorgeront toutes leurs maris ; ensuite elles se marièrent et prirent chacune celui de leurs cousins que nous allons in
t son père pour être punie de sa rébellion. Cependant le peuple ayant pris sa défense, elle fut acquittée et retrouva même q
darée, effrayé du nombre des concurrens et de leur puissance, n’osait prendre de parti ni dire à Hélène de choisir ; mais Ulyss
aux et des armes. Les princesses choisirent les parures, mais Achille prit les armes et les admira. Son sexe ayant été ainsi
é le sort qui l’y attend, et aussitôt les Troyens effrayés à sa voix, prennent la fuite : une partie se précipite dans le Xanthe
trocle ; il emporta le prix de la course avec les chevaux qu’il avait pris à Enée. Il fut un des guerriers qui s’enfermèrent
génieux des Grecs, qui pourtant le mirent à mort après l’avoir à tort pris pour un traitre, par suite de la jalousie d’Ulyss
de l’armée grecque : un jour s’étant fait lier les bras, il se laissa prendre par les Troyens dans un moment où les Grecs feign
, fils de Capanée et d’Evadné, fille d’Iphis, fut un des Epigones, il prit également part à l’expédition du siége de Troie s
llait chaque jour de la chair humaine. Ulysse et les siens, ayant été pris dans cette caverne par ce Cyclope, y perdit la mo
lé Elpe, sa fille, et ses compagnons à son secours, pendant qu’Ulysse prenait la fuite, il le sauva malgré lui, en s’écriant qu
uée de nombreux prétendans qui voulaient la forcer à se remarier et à prendre l’un d’eux pour époux. Ainsi, l’on voyait autour
so, c’est une fille du nom de Sibylla qu’on lui donne. Ses descendans prirent ensuite le nom de Dardanides. Cet Erichthonius d
rver cette relique, fit bâtir un temple à Minerve ; mais le feu ayant pris à cet édifice, Ilos courut, au risque de sa vie,
t promis au vainqueur du monstre. Alors Hercule assiégea la ville, la prit d’assaut, tua Laomédon et s’empara d’Hésione qu’i
Priam succéda forcément à son père Laomédon, car Hercule, après avoir pris la ville de Troie et mis à mort Laomédon, plaça P
le vit point s’opposer au rapt d’Hélène, et, pendant le siége, il ne prit véritablement aucune part active à la guerre. Cep
Ulysse, alors, ne pouvant le découvrir, insinua à Andromaque qu’il le prendrait sous sa protection et qu’il le sauverait de la fu
de fuir l’incendie qui finit par ravager cette malheureuse ville, il prit son jeune fils Ascagne par la main, chargea sur s
; Camerte, chef rutule ; Camille, amazone du Latlum, fille de Métabe, prit glorieusement part à la guerre pour les Rutules c
e divisait pas tout-à-fait comme celle des Romains, et cette division prenait sur un des mois romains et enjambait sur un autre
ës et blanches. Mens était la personnification de la pensée, et on la prenait tantôt pour l’ame du monde, tantôt pour l’ame ind
ayant appris cet événement, découvre pendant une nuit ce cadavre, le prend , le coupe en quatorze morceaux et les disperse en
onneurs, principalement à Memphis, et surtout à Alexandrie. Son culte prit dans la suite une si grande étendue, qu’il éclips
e pour fils d’ Osiris et d’Isis, c’était un génie égyptien qu’il faut prendre pour la personnification de la terre, en tant qu’
, elle le trouva dans les bois où sa mère l’avait abandonné ; elle le prit , l’emmena avec elle et lui prodigua les soins les
ue l’on peut féconder. Osiris eut un commerce furtil avec Nefté qu’il prit pour Isis, et il en résulta Anbo ou Anubis, ou di
ectangulaire, le sceptre des dieux bienfaiteurs ; on a vu qu’il était pris pour les 16, 25, 34 ou 35e dynastes. Aseu, de Sau
, soit un bœuf, soit un mouton, dont ils mangent la chair et dont ils prennent la graisse pour s’en frotter le corps. En travers
honneur des fêtes annuelles. Thammouz, dieu-prophète des Assyriens, prit la forme humaine pour remettre les rois et les pe
olution interne, d’où résulta que le créateur incorporé dans les eaux prit la forme de Brahmanda, ou de l’œuf, ce qui produi
s, la mer de lait et de Kama, ou l’amour. Brahm, devenu souaïambhou, prit encore le nom d’Adi-Bouddha, et donna lieu à cinq
ahamaïa. Comme les fleurs d’une plante, ces divines efflorescences ne prirent naissance que lors de la fusion des cultes. Trois
 ; 2° Pardjamia, dieu de la pluie, monté sur Agni, dieu du feu, qui a pris la forme d’un cheval. Les fils blancs et noirs so
ent conservateurs. Vichnou, vulgairement Visnou, Vuichnou et Vichnu, prend aussi les noms de Danouantari, Naraiana ou poisso
immortalité ainsi que l’empire et le pouvoir des deux mondes. Vichnou prit la forme d’une tortue pour soutenir le mont Mérou
savoir : Saraswadi, déesse des sciences et de l’harmonie, que Brahmâ prit pour épouse. Lakchini, déesse des richesses qui,
gueil sacrilége avait provoqué le courroux de Vichnou. Cette fois, il prit la forme d’un homme-lion, appelé Naracingh, car c
rangla sur le seuil du palais. Dans la cinquième incarnation, Vichnou prit la forme d’un simple nain ou Trivikrama, ou aux t
ence des Souriavansas, ou fils du soleil ; devint Brahme et guerrier, prit le nom de Paraçourama et de la hache qu’il portai
sein des flots les côtes de Malabar. Dans la septième incarnation, il prit le nom de Rama, et conquit le Lanka, ou Ceilan, e
ce bon Satiavrata faisait ses ablutions dans le fleuve Kritamala, il prit un petit poisson qu’il mit dans un bocal ; au bou
es eaux furent retirées, Satiavrata fut choisi pour septième Menou et prit le nom de Vivaçouata. Mais passons aux personnag
s, allaient être submergés, quand Vichnou, d’après l’ordre de Brahmâ, prit la forme d’un sanglier, se présenta à Erouniakcha
de ces prérogatives, il osa donc insulter Vichnou ; aussitôt ce Dieu prend la forme d’un homme-lion, se saisit de lui et l’i
e supérieur aux Dieux. Cependant Vichnou, fatigué de cette arrogance, prit la forme du Brahme-Nain, Vamana, se présente à Ba
orgé sept. Enfin Vichnou vint au jour, mais de cette fois sa mère s’y prit si bien, qu’elle le déroba à la fureur de Kansa.
ux délices de l’amour, la famille de Bharata, dans laquelle ce dieu a pris naissance, réclame son intervention, car Douriodh
eance. Ce cri entendu de Krichna, ce dieu accourut à leurs secours et prit pour compagnon Ardjouna, l’un d’eux. Dès ce momen
ima, l’aîné des Pandous ; alors, Iouddhichthira, l’un de ces Pandous, prend possession des états de son père, et Krichna, apr
e, où son épouse le nourrit de son lait. Quant à Kapila, dont Vichnou prit la figure pour voler le cheval destiné à être sac
ombattre Indra pour lui enlever l’arbre de la sagesse, et qui lui fit prendre les armes contre les parens de Roukmini. Accompag
nte à une haute antiquité dans l’Inde, et que le Vichnouisme ait même pris naissance bien après lui, cependant nous avons pl
e la guerre. Pour engendrer Ganéça, il se métamorphosa en éléphant et prit la forme d’un coq pour engendrer Skanda. Parmi le
uction. Sous ce point de vue de génératrice des êtres, les Indiens la prennent encore pour la lune comme source de l’humidité pr
e nouvelle, il offrit un sacrifice solennel à Mahadéva, et jura de ne prendre aucune nourriture avant d’avoir vengé Kansa ; alo
rable et de ne pas tomber sous les coups de Siva ; mais Vichnou ayant pris la forme de Jalendra, il fit succomber Vrindha, f
eux, et jamais Siva n’aurait pu le vaincre, si Vichnou lui-même n’eût pris la forme de Jalendra, et n’eût par ce moyen triom
du dépouillement de tout ornement, se conféra lui-même le sacerdoce, prit le nom de Gotama et vécut six ans en contemplatio
ment et en formèrent un corps d’ouvrage de cent huit gros volumes qui prit le nom générique de Gandjour, ou instruction verb
ha, ne donne point de limites terrestres à ses élus, et bien lui en a pris , car l’Inde a expulsé le Bouddhisme de son sein,
ux que pour faire naître l’homme, il fallait qu’un dieu et une déesse prissent la forme d’un singe. On le représente en habit de
ddiçatoa, est une déesse protectrice, invoquée dans les dangers. Elle prit la forme humaine, régna sur le Thibet et eut un f
ais à peine y fut-il plongé, que son corps devint une pâte superbe et prit les formes voulues par l’empereur. Djosie est un
elle fut admise, ainsi que ses fils, au nombre des Kamis ; alors elle prit le nom de Bensaïten. Elle préside à la richesse e
instrument de chasse divinisé par les Japonais. Un jour, des voleurs prirent dans le plus beau Mia ou temple de Noumatsion, un
son secours à Feridoun, dans la lutte qu’il soutint contre Zohat. Il prend la forme d’un cheval, d’un sanglier, d’un chameau
s les animaux dont elle est l’ame ou la force vitale. Khorchid, Ized pris pour le soleil lui-même, et habitant au centre du
à Echem. C'est lui qui a révélé la loi aux sept Kechvars. Cependant, pris comme Tachter ou Tir, il est chargé de puiser les
, et les répand sur la terre. Dans les processions en son honneur, on prend des branches du vieil arbre que l’on suppose touj
ba sur la terre, où le soleil la purifia ; l’Amchasfand Sapandomad en prit un tiers, l’Ized Nériocengh prit les deux autres
purifia ; l’Amchasfand Sapandomad en prit un tiers, l’Ized Nériocengh prit les deux autres tiers. Au bout de quarante ans, i
s lascives, auxquelles les Roussalkis ou nymphes à chevelure verdâtre prennent souvent une part très-active. Nehallenie était à
à tout ce qui se passe dans le monde, mais il avait particulièrement pris sous sa protection les naissances, les mariages,
nirent par en forger de nouveaux qu’il ne put briser ; alors les Ases prirent un cable énorme qui tenait au rocher Gelgia, et y
uivait sa sœur Malina ; mais celle-ci en s’échappant à toutes jambes, prit de la suite à une lampe et en frotta le visage et
ayant partagé sa couche pendant trois nuits, la décida à lui laisser prendre trois gorgées de l’hydromel ; elle y consentit ;
a chercher. Nor retrouva sa sœur dans le deuxième mois de l’année qui prit le nom de Goe. Nor chassa du pays ou assujétit à
kollos, dieu des morts, apparaissait toujours lorsque la mort voulait prendre une victime : à sa troisième apparition, un sacri
force génératrice même, lorsqu’elle apparaît comme mâle ; alors elle prend le nom d’Ir, et, sous cette forme, elle peuple l’
deux sœurs, Banba et Ir, mais s’étant fixée dans Sliabh-Eibhline, qui prit le nom de Fodhla, elle en devint la déesse princi
s. Il était à peine descendu sur les bords de l’Irlande, qu’ayant été pris pour arbitre par trois rois Tuathadaniques, il eu
les trois rivaux l’assassinèrent. Les compagnons d’Ith et ses enfans prirent son cadavre, l’emportèrent sur leur navire et le
de faire du mal, même involontairement, à l’animal, dont son Totam a pris la forme, car ce serait un crime irrémissible, et
eaux, et finissent par tourner leur fureur sur les animaux qu’ils ont pris . Kamachtlé était le plus célèbre des dieux des T
de aussi comme l’excitateur des tremblemens de terre, ce qui lui fait prendre le nom de O'Maouve. Après la naissance d’Ohina, E
île des Amis ; il apparut sous des formes humaines, et, comme tel, il prend le nom d’Euroa Faboa, septième fils de Tane et de
6 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
ns d’exposer les idées, et que nous nous ferons toujours un devoir de prendre pour guide, nous n’avons présenté dans cet ouvrag
et le second en Egypte, ce fut dans ces deux royaumes que l’idolâtrie prit naissance ; de là elle se répandit en Orient, aux
embellissant : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage ; Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage, Chaque v
ont été les premiers auteurs de l’idolâtrie ? Dans quel pays a-t-elle pris naissance ? 3. Quels ont été les progrès de l’ido
gie. Ayant été exposée, à sa naissance, sur le mont Cybèle, dont elle prit le nom, elle fut sauvée et nourrie par les bêtes
ant un jour cassé une corne, Jupiter la donna aux Nymphes qui avaient pris soin de son enfance, en lui attribuant la vertu d
it encore que Jupiter épousa Métis, la prudence : cela signifie qu’il prit cette vertu pour compagne inséparable. 20. Con
déesse de la guerre. Le géant Pallas étant tombé sous ses coups, elle prit son nom, en souvenir de sa victoire ; et de sa pe
ui, et le défier à un combat sur la flûte. Midas, roi de Phrygie, fut pris pour juge ; comme il était ami de Pan, il lui adj
ies, emblème de la loquacité vaniteuse, leurs imprudentes rivales, et prirent elles-mêmes le nom de Piérides, en souvenir de le
peine y furent-elles entrées, qu’il voulut les outrager. Alors ayant pris des ailes, avec le secours d’Apollon, elles s’enf
e haine ? Où naquit Apollon ? Quel fut son premier soin ? Quel surnom prit -il ? Quels jeux furent institués en son honneur ?
l était leur séjour ordinaire ? Qu’est-ce que Pégase ? D’où les Muses prirent -elles le nom de Piérides ? Comment échappèrent-el
au mois de Mars. 2° Le Taureau (avril). Selon la fable, Jupiter prit la forme de cet animal pour transporter en Crète
du paganisme n’eut plus d’emplois divers. Les autres dieux l’avaient pris pour leur interprète, et il se chargeait de leurs
l’empire étaient attachées à la conservation de ce bouclier, pour en prendre l’enlèvement plus difficile on en avait fait fair
e que Proserpine sera rendue à sa mère, à la condition qu’elle n’aura pris aucune nourriture dans les enfers. Malheureusemen
er en toute sorte d’animaux ; elle se faisait vendre par son père, et prenait une nouvelle forme dès qu’elle était vendue, pour
sse fut victime de sa vanité. Junon, toujours jalouse de ses rivales, prit la figure de Béroé, nourrice de Sémélé, et lui co
andé lui-même ce funeste présent, reconnut sa faute, lorsqu’il voulut prendre de la nourriture. Il pria Bacchus de le lui retir
rs dans l’immensité des airs. Il établit des forges dans cette île et prit pour ouvriers les Cyclopes, fils d’Uranus et de T
saisons. Comme il avait le pouvoir de changer de forme à son gré, il prit successivement celle d’un laboureur, d’un moisson
rs était peuplé de ces divinités. Les Nymphes qui habitaient la terre prenaient différents noms suivant leur séjour. Les montagne
et forment son cortége. Le culte de Neptune passa de la Libye, où il prit naissance, dans la Grèce et dans l’Italie. Les Gr
s Protée ne cédait qu’à la violence pour faire ses prédictions, et il prenait toutes les formes pour échapper aux instances de
rent à cet amour tendre et dévoué des enfants pour leurs parents, qui prend le nom de Pitié filiale. Les Prières, selon Homè
n glaive forgé par Vulcain. Muni de ces armes divines, le jeune héros prend son essor travers les airs et arrive d’abord chez
lorsqu’elles lui eurent découvert la retraite des Gorgones. Alors il prit sa course vers ce pays, situé au delà de l’Océan
Amphitryon, roi de Thèbes. Le maître des dieux, pour tromper Alcmène, prit les traits de son mari, alors occupé à la guerre.
ravages dans les environs du mont Erymanthe, en Arcadie ; Hercule le prit vivant et l’apporta à Eurysthée, qui, à cette vue
au géant Atlas, et tandis que celui-ci lui rendit ce service, Hercule prit à sa place le monde sur ses robustes épaules. 12°
x père, à l’aspect des voiles funèbres, se précipite dans la mer, qui prit dès lors le nom d’Egée. Thésée, après lui avoir r
r donna Jupiter. Mais Hellé, saisie d’effroi, tomba dans la mer qui a pris de là le nom d’Hellespont ou de mer d’Hellé. Phry
age. Le commandement fut d’abord déféré à Hercule ; mais quand il eut pris terre en Mysie, pour aller à la recherche du jeun
lir un vœu fait par Orphée. On entra ensuite dans l’Hellespont, et on prit terre un peu au delà de la Troade. Ce fut alors q
ette magicienne fameuse qu’il subit le châtiment du crime auquel il a pris part, et, comme sœur d’Eétès, elle refuse de l’en
e essaya-t-elle de lui faire recouvrer le trône paternel ? Quel parti prit Jason à l’égard de Médée ? Comment celle-ci se ve
par Adraste, qui seul avait survécu. Ils viennent assiéger Thèbes, la prennent et massacrent l’odieux Créon. Ils placent sur le
s furent les derniers rejetons de la famille d’Œdipe ? Quel parti fut pris à l’égard de la royauté dans cette ville ? Quel g
ne, femme de ce prince, s’en fit aimer et l’emmena à Troie. Les Grecs prirent les armes pour venger l’outrage fait à Ménélas. T
corbeille ou d’un boisseau, comme signe de l’abondance dont ce dieu, pris pour le soleil, est la source. Les Egyptiens lui
découvrit qu’il s’était retiré avec son larcin au fond de la mer ; il prend aussitôt la forme d’un poisson, atteint le géant
dans la mer. L’univers allait rentrer dans le Chaos, lorsque Vichnou prit la forme d’une immense tortue, supporta sur son é
e de papier, et l’emporta sur ses épaules au fond des enfers. Vichnou prit la forme d’un sanglier, poursuivit le géant, le d
Hiranga, corrompait les hommes par son impiété orgueilleuse. Vichnou prit la forme d’un lion, se précipita sur le monstre,
nc l’objet de la colère des dieux. Vichnou se chargea de le punir. Il prit la forme d’un brahmine extrêmement petit, d’un na
rois de l’Inde), qui opprimaient leurs peuples. 7° Une autre fois, il prit le nom et la figure du beau prince Rama, dont les
ième naît sous le nom de Crichna, c’était Vichnou lui-même, qui avait pris cette forme pour punir les crimes de Kansa. En va
que, lorsque Vichnou s’incarnera pour la dixième et dernière fois, il prendra la forme du cheval exterminateur Kalki, lequel, d
n et ses frères, ayant ainsi créé le monde, en devinrent les dieux et prirent possession du ciel. Ils animèrent ensuite deux tr
ommes ce sentiment. La plus célèbre terreur panique est celle qui fit prendre la fuite à Brennus et à son armée allant piller l
7 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
un voile qu’il est quelquefois difficile de soulever. Ainsi, pour ne prendre qu’un exemple, le grain de blé passe six mois sou
a politique et à la morale. Le fond de ces fables, qu’on est tenté de prendre , au premier coup d’œil, pour de simples jeux d’im
l put reconnaître que tous les corps étaient animés par le feu. Il en prit donc une étincelle qu’il plaça dans une tige de f
me intervertis, les esclaves pouvaient parler impunément, les maîtres prenaient leur place et les servaient à leur tour. C’était
ilement. La sagesse des rois consiste à connaître le temps, à le bien prendre et à bien l’employer. Janus, qui possédait toutes
te de ses frères. Les dieux, épouvantés à la vue de ce nouvel ennemi, prirent la fuite et se réfugièrent en Égypte, où ils se m
animaux pour échapper à la poursuite de Typhon. Cependant Jupiter fut pris et renfermé dans un antre, sous la garde d’un mon
si la terre. » Deucalion et sa femme, comprenant le sens de l’oracle, prirent des pierres, qui sont les ossements de la Terre,
? — Racontez l’histoire de Philémon et de Baucis. — Quelle résolution prit Jupiter en voyant la corruption des hommes ? — N’
is Jupiter, usant de son privilége comme roi des dieux et des hommes, prit pour femmes plusieurs déesses et un grand nombre
répandu partout. Elle présidait aux mariages, à la naissance, et elle prenait alors le nom de Lucine. On la représente assise s
anciens lui donnent le nom d’Hypérion. Comme dieu du Soleil, Apollon prenait le nom de Phébus, et on le représente sur un char
es et présomptueux. Ovide raconte que ces vierges immortelles allant prendre possession du Parnasse, acceptèrent l’hospitalité
uivre à travers les airs, tomba du haut de la tour d’où elles avaient pris leur essor, et se brisa la tête sur la terre qu’i
qui a formé la constellation qui porte son nom. — Le Taureau. Jupiter prit la forme d’un taureau pour transporter en Grèce l
me l’un de ses plus terribles adversaires, le géant Pallas, dont elle prit le nom en souvenir de sa victoire. De la peau de
ur de la flûte en présence de Vénus et de Junon ; ces deux déesses se prirent à rire en voyant la bouche un peu grimaçante de M
s et des sciences. Questionnaire. Comment naquit Minerve ? — Ne prit -elle point part à la guerre des Géants ? — Commen
Questionnaire. Est-on d’accord sur la naissance de Mars ? — Ne prit -il point part à la guerre des Géants ? — Par qui
ida que Proserpine serait rendue à sa mère, si toutefois elle n’avait pris aucune nourriture dans les enfers. Malheureusemen
ctime de sa vanité mise en jeu par un artifice de Junon. Cette déesse prit la forme de Béroé, nourrice de Sémélé, et lui con
t accouchée d’un poulain. Saturne, qui dévorait tout indistinctement, prit le change, et Neptune fut sauvé. Il se distingua
dent. Les Tritons et les Néréides l’accompagnent. Le culte de Neptune prit naissance en Libye et se répandit de là en Grèce
aconte qu’ayant remarqué que les poissons qu’il amenait sur le rivage prenaient une force nouvelle en touchant de certaines herbe
ait sur les îles de la mer de Sicile qu’on appelait Vulcanies, et qui prirent de leur roi le nom d’Éolies. Jupiter l’avait étab
ure secrète. Il en sort, et le bruit trompe aussitôt l’époux. Céphale prend le dard, toujours sûr de ses coups, Le lance en c
lui avait annoncé qu’il périrait de la main de son petit-fils. Ayant pris la résolution de faire périr avec la mère l’enfan
t soumit un taureau furieux qui désolait la plaine de Marathon. Il le prit vivant, le promena dans les rues d’Athènes et l’i
t que les Furies ne cesseraient de poursuivre le sang d’Œdipe, et ils prirent le parti d’appeler au trône une autre famille.
te déesse. Oreste fit épouser à Pylade, son ami, Électre, sa sœur, et prit pour femme Hermione, fille d’Hélène et de Ménélas
érents. D’abord il se montra sous la forme du corbeau poëte ; puis il prit les traits d’un Paria, et le nom de Valmiki ; et,
rre, il la rapporta sur ses défenses victorieuses. Plus tard, Vichnou prit la forme d’un lion pour triompher d’un autre géan
a colère des dieux. Vichnou se chargea de la vengeance commune. Ayant pris la figure d’un brahmane extrêmement petit, d’un n
r raison du ravisseur, se mit à sa poursuite. Dans cette campagne, il prit pour auxiliaires le peuple des singes, commandé p
me à cette fantasmagorie qu’un appelle la vie de l’humanité. Alors il prendra la forme d’un cheval ailé, d’une blancheur éclata
l sur la terre ? — Que fit-il sous la forme d’un poisson ? — Pourquoi prit -il successivement la figure d’une tortue, d’un sa
ans la mer. Ses recherches furent longtemps stériles, quoiqu’elle eût pris pour compagnon un fils d’Osiris, le fidèle Anubis
la main à cet ouvrage ; le monde créé, ils en devinrent les dieux, et prirent possession du ciel ; puis ils firent l’homme et l
8 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
des Égyptiens. On verra que ce fut parmi ces peuples que l’idolâtrie prit naissance ; et la suite de cet ouvrage prouvera q
rès s’être comme exhorté lui-même à la production de ce chef-d’œuvre, prit de la terre qu’il détrempa avec de l’eau, et lui
dans son vaisseau ; de là on a dit qu’il rentrait dans la mer. Il ne prenait ses repas que sur son bord ; on a dit qu’il ne ma
l paraît, au rapport des savans, comme nous l’avons déjà dit, qu’il a pris ses idées dans Thaut l’Égyptien. Les observations
par leur nature ; mais ensuite ayant été séparés, le monde commença à prendre la forme que nous lui votons. Par le mouvement de
ation, il conserva quelques-unes des formes qu’on aimait en elle ; il prit même le perfide soin de les embellir. Ce fut en s
gypte, c’est dans ces deux royaumes qu’on peut croire que l’idolâtrie prit naissance. Lucien dit formellement que les Égypt
es îles. L’Égypte et la Phénicie sont donc les lieux où l’idolâtrie a pris naissance. Premier objet de l’idolâtrie. S
es bienfaisantes ou nuisibles. Par la suite des temps, Pythagore alla prendre cette opinion dans l’Égypte, et la répandit dans
rien ne prouve mieux l’antiquité de cette idolâtrie, que le soin que prenait Moïse de la proscrire. Prenez garde, disait-il
mait milésiennes étaient de ce nombre, ainsi que les sybaritides, qui prenaient leur nom des habitans de Sybaris, peuple le plus
rte aux actions héroïques dont il lit ou entend les récits. Celui qui prend ces actions dans sa fertile imagination cherche à
d’après Varron. Pour mieux éclaircir en quel temps les fables ont pris naissance, il faut suivre Varron, et distinguer a
ector, Ulysse, Priam, Pâris, Énée, etc. Dans l’intervalle de ces deux prises on doit placer les deux guerres de Thèbes, où par
Ce ne fut qu’au rétablissement des olympiades que l’histoire grecque prit enfin une forme certaine, et que les événemens fu
i du pays, qui l’accueillit favorablement. La contrée soumise à Janus prit son nom de cette aventure, et fut appelée Latium,
nna le sien au mois d’août. Septembre, octobre, novembre et décembre, prirent leur nom du rang qu’ils occupaient dans l’année ;
èle donna son nom à cette déesse, et que les corybantes, ses prêtres, prirent leur nom de Corybas. Voilà ce qui, par la suite,
estinés à conserver le feu sacré. Virgile fait remarquer le soin que prit Énée d’emporter avec lui le feu sacré, avant de q
ait jusqu’à trois cents. Dans les premiers temps, la plupart des rois prenaient ce nom auguste. Cet usage ne cessa qu’après la pr
ce temps il montra beaucoup de prudence. Métis lui conseilla de faire prendre à son père Saturne un breuvage qui lui fit rendre
rrassait Clytius. Encelade, voyant les dieux victorieux, commençait à prendre la fuite, lorsque Minerve l’arrêta en lui opposan
u le géant Pallas, l’écorcha et s’arma de sa peau. Mercure, qui avait pris le casque de Pluton, donna la mort au géant Hippo
ur d’Acmon, épousa Titée ou la Terre, et en eut plusieurs enfans, qui prirent de leur mère le nom de Titans : nom si célèbre da
Saturne, devenu le maître d’un vaste empire, épousa Rhéa sa sœur, et prit avec le nom de roi la couronne et le diadème. Ura
abitait le ciel. Les lieux qui nous ont vus naître, et ceux où l’on a pris soin de notre enfance, nous sont toujours les plu
e faire cette utile découverte. Leurs inscriptions portent que le feu prit dans la forêt du mont Ida, soit par le tonnerre,
subir aux mortels, soit pour les récompenser, soit pour les punir. Il prit la forme d’un aigle pour enlever Ganymède fils de
lle ajoute que, voulant reconnaître les soins que les nymphes avaient pris de son enfance, il leur donna une des cornes de l
e Prométhée, prévoyant qu’il ne trouverait pas de feu sur le Caucase, prit la précaution d’en emporter avec lui dans une pla
le ciel fit oublier aux dieux leur gravité ; ce qui décida Jupiter à prendre un échanson. Mars, son second fils, fut conçu par
déesse altière et jalouse, déclara souvent la guerre à Jupiter ; elle prit même parti contre lui dans la guerre des Titans.
e vengeances lassèrent Jupiter, et le portèrent à punir Junon d’avoir pris parti contre lui dans la guerre des Titans. Il la
nement de leur piété. Après avoir offert leur sacrifice, ils allèrent prendre leur repas, et s’endormirent paisiblement. La mor
ut métamorphosé en hibou, oiseau qui annonce les malheurs. Minerve le prit depuis sous sa protection, parce qu’il veille et
mais il paraît que sa prudence et sa sagesse engagèrent Minerve à le prendre sous sa protection. Jupiter, voulant apaiser et c
e par un tremblement de terre. L’histoire dit que les Sarrasins ayant pris cette île, chargèrent neuf cents chameaux des seu
r marâtre. Avril, signe du Taureau. Il représente celui dont Jupiter prit la forme pour enlever Europe. Mai, signe des Gém
l voudrait leur demander. Il voulut avoir un fils sans être obligé de prendre une femme. Sa demande lui fut accordée ; les troi
fférens. Il se nommait Délius, à cause de l’île de Délos, où il avait pris naissance ; Phœbus, pour faire allusion à la lumi
lops, suivit son frère lorsqu’il passa dans la partie de la Grèce qui prit de lui le nom de Péloponèse. Elle épousa Amphion,
e de les nommer et de les peindre. 1. Clio, la première des Muses, prend son nom de la gloire et de la renommée ; elle pré
ais de Pyrénée, roi de Phocide. Ce prince voulut les insulter ; elles prirent des ailes et s’envolèrent. Voulant les poursuivre
loir, jusqu’à la grotte solitaire où Diane et les nymphes de sa suite prenaient le bain : dans l’instant même, la déesse le métam
a déesse, ne put éviter sa vengeance. Jupiter, pour la séduire, avait pris la forme de Diane elle-même. Cette excuse ne la g
s les portaient à croire que tous les dieux et tous les héros avaient pris naissance dans leur pays. Jamais peuple ne fut pl
ette princesse habitait la ville de Thèbes. Junon, jalouse de Sémélé, prit la figure de Béroé, nourrice de sa rivale, et, so
de Minerve, à qui cet arbre était particulièrement consacré. La ville prit alors le nom de sa divinité tutélaire. Athènes de
es. (Fig. 29.) Les Romains, dans leurs traités les plus solennels, prenaient le feu vengeur pour témoin ; et les assemblées où
e bruit extraordinaire, dit la fable, les épouvanta tellement, qu’ils prirent la fuite et cédèrent la victoire aux dieux. Cette
ins, etc. Les Latins le nommaient aussi Vertumnus. Il avait le don de prendre à son gré toutes les formes. Épris de Pomone, dée
onorer l’un et l’autre comme des dieux marins. Le gouffre de Charibde prit son nom d’une femme très-cruelle, qui pillait les
nouveau dieu sous la forme d’un rocher inébranlable. La fête de Terme prenait de lui le nom Terminalis. On lui offrait du lait,
s dans les orgies ; il profitait effectivement de ses lumières, et le prenait pour guide en formant ses établissemens politique
idées se brouillèrent, les traditions furent altérées, et l’idolâtrie prit naissance : mais la différence qui existe entre l
nous apprend que le système des poëtes sur les enfers fut entièrement pris dans les coutumes que les Égyptiens observaient l
ait peu fertile, souffrirent encore plus que leurs voisins. Érechthée prit le parti d’envoyer en Égypte. Ses émissaires rapp
om veut dire angoisse ou hurlement. Ce fleuve est dans la Thesprotie, prend sa source dans le marais de l’Achéruse et son emb
a bonne chère : il n’est connu que de nom. Tout peintre a le droit de prendre son imagination pour guide lorsqu’il veut le repr
s, habiles médecins, et possesseurs des secrets d’Esculape, faisaient prendre des remèdes aux malades, et laissaient à leur die
9 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
les temps nommés héroïques. C’est dans la Grèce que l’héroïsme a pris naissance ; c’est dans son histoire qu’il en faut
vivait garda le nom de Pélasgie. Ses enfans, témoins de sa gloire, le prirent pour modèle, et le peuple, reconnaissant, laissa
decte, roi de cette île, reçut favorablement la mère et l’enfant ; il prit même grand soin de l’éducation du jeune prince :
ide. Ovide ajoute à ces fables que Persée, après la mort de Méduse, prit son vol par-dessus les plaines de la Libye. Les g
alait en vitesse celle des chevaux, et même le vol des oiseaux. Il en prit deux dont le corps était hérissé de crins. Leurs
était répandue généralement, et tout porte à croire que chacun d’eux prit pour modèle le législateur des Hébreux. Tous les
r ce moyen qu’il eut connaissance des lois de Moïse, et qu’il put les prendre quelquefois pour modèles des siennes. Après avoir
formes dans les cabinets des curieux. Dédale, en faisant ses statues, prit le corps humain pour modèle, et suivit exactement
Pline assure que Dédale avait voyagé dans l’Égypte, et qu’il avait pris le modèle de son labyrinthe en voyant celui situé
ardait Égée lui-même comme étranger au sang royal des Érechthides. Il prit les armes pour s’emparer du royaume ; mais Thésée
cette victoire, le héros alla combattre le taureau de Marathon, qu’il prit vivant et qu’ensuite il sacrifia. Ce fut peu de t
qu’il devait le jour au plus grand des dieux. Jupiter, dit la fable, prit la forme d’Amphitryon, et fut père d’Alcide. La n
rsécutions de Junon. Hercule fut élevé chez Créon, roi de Thèbes, qui prit beaucoup de soin pour cultiver son esprit. Le gra
peindre les soins de ses amis, et les bonnes résolutions que lui fit prendre une sage réflexion. Hercule regarda son mariage c
rs. Le héros la poursuivit pendant une année entière, et parvint à la prendre vivante. On publia qu’elle avait des pieds d’aira
s conquêtes ; rassuré par son courage et ses nombreuses victoires, il prit de faibles précautions pour se camper. Cacus, pet
coupé tous les passages vers la terre, où il allait se rafraîchir et prendre de nouvelles troupes, il le fit périr. Cette vict
ète sortit de la ville pour défendre son pays, et fut malheureusement pris dans une sortie. Alceste, alors, ne consultant qu
is Laomédon refusa les galères. Hercule indigné, attaqua la ville, la prit , enleva Hésione, la fit épouser à Télamon, tua La
a forme d’un centaure, parce qu’il était toujours à cheval, offrit de prendre Déjanire sur la croupe de son cheval, et de la tr
la suite on nomma Herculie. Après la mort de ce héros, les poëtes le prirent pour l’objet de leurs poëmes et de leurs fables.
s les jeux olympiques, personne n’osa se présenter ; Jupiter lui-même prit la forme d’un athlète, et lutta contre lui. Il co
e, et ne marchait point sur les traces d’Hercule Égyptien qu’il avait pris pour modèle, il fut si touché qu’il rendit le tré
, fameux devin de ce temps-là, voulut se rendre auprès d’eux ; il fut pris pour un espion et mis à mort. La peste recommença
et qu’il portait tous les chefs de l’expédition. Toute la Grèce ayant pris part à cet événement, et les fables en parlant sa
ne douta point qu’il ne fût l’homme dont l’oracle l’avait menacé. Il prit le parti de dissimuler, et pria l’étranger de lui
s célébrèrent des fêtes pendant cinq jours. Pendant le sixième, Jason prit , avec son père et ses oncles, des mesures pour dé
trer pendant la nuit, Cysicus qui les croyait déjà fort éloignés, les prit pour les Pélasges, ses ennemis naturels ; il voul
Corinthiens eux-mêmes engagèrent. Médée à quitter Iolchos pour venir prendre possession d’un trône qui lui appartenait. Il aj
ès avoir massacré les enfans de Jason, vint se réfugier à Athènes, et prit assez d’empire sur Égée pour le décider à l’épous
nestre. La fable dit que Jupiter s’étant métamorphosé en cygne, Vénus prit la forme d’un aigle et se mit à sa poursuite ; il
jourd’hui le feu saint Elme et le feu saint Antoine. Ces deux princes prirent la ville d’Aphidnes, pour venger une injure faite
gée, ainsi que la statue de Minerve, pour punir les Arcadiens d’avoir pris le parti d’Antoine contre lui. Cléopâtre, femme d
de ne plus retourner à Corinthe, qu’il regardait comme sa patrie, il prit le chemin de la Phocide, et rencontra dans un sen
et Polynice résolurent de terminer entre eux leurs différens. Le jour pris , le lieu fixé, les peuples en pleurs, les armées
nciens nous ont laissés sur ce sujet intéressant. Nous croyons devoir prendre le même parti pour le plus célèbre des événemens
e influence sur cette partie de la Grèce qui, de Pélops, son aïeul, a pris le nom de Péloponèse. « Tantale, son bisaïeul, ré
éprouvaient. Les premiers avaient été plus d’une fois sur le point de prendre la ville ; plus d’une fois les seconds avaient fo
proues de vaisseaux, lorsqu’on avait échappé au naufrage ; les armes prises sur les ennemis, des trophées, des boucliers, des
ndement ; elle était liée d’un ruban. Après ces cérémonies, le peuple prenait cette pierre et la jetait dans la fosse avec des
atre-vingt-dix ; mais on peut l’entendre de la statue et du piédestal pris ensemble. On voyait dans le temple de Bélus plusi
ens avaient remportées sur les Pisans et sur leurs alliés, lorsqu’ils prirent et saccagèrent la ville de Pise. Ce temple eut po
oisies avec les plus grandes précautions, exerçaient ce ministère. On prenait ordinairement la Pythie dans une maison pauvre ;
s fondemens. Alors les prêtres, que l’on nommait aussi les prophètes, prenaient la Pythie, la conduisaient dans le sanctuaire, et
ypée ; et, pour éviter toute espèce de surprise, on combattait nu. On prit cet usage, parce que Callipatire, après la mort d
sa patrie. Son véritable nom était Frige, fils de Fridulphe. Il avait pris celui à Odin, dieu suprême des Scythes, soit qu’i
umis autant de peuples à suivre les rites du culte de sa patrie, Odin prit la route de la Scandinavie par la Chersonèse Cimb
s exposerons quelques autres dogmes de la religion celtique. Nous les prendrons dans l’Edda, et dans le poëme nommé Volupsa. On c
’y promenaient, ils trouvèrent deux morceaux de bois flottans, qu’ils prirent , et dont ils formèrent l’homme et la femme. L’aîn
i d’un sage inconnu jusqu’alors, et qu’il a fallu désigner par un mot pris dans une langue étrangère, sont les traces que la
vertus et de tous les sentimens héroïques. Les rois s’empressèrent de prendre pour modèles les héros des poëmes imaginés par le
ontredisent ; le premier, en disant que la religion des druides avait pris naissance en Angleterre ; le second, en disant qu
lacs était celui de Toulouse, dans lequel on jetait l’or et l’argent pris sur les ennemis. On joignait à ce culte celui des
x cérémonies religieuses. C’était là qu’ils enfouissaient les trésors pris sur les ennemis, et que l’on immolait les prisonn
10 (1823) Mythologie des dames
du monde moral. Là, pour nous enchanter tout est mis en usage ; Tout prend un corps, une ame, un esprit, un visage ; Chaque
berger, trois puissantes déesses : je suis l’épouse du grand Jupiter. Prends cette pomme, et donne-la à celle de nous qui la m
Vénus se plaisait le plus à être honorée : c’est de cette île qu’elle prit le nom de Cythérée. Son fils Énée lui avait élevé
nuit que l’Amour reposait près d’elle, elle se lève, allume la lampe, prend le poignard, et s’approche en tremblant du lit nu
u dieu de la santé. L’atteinte en est certaine, et la brûlante foudre Prend à sa longue barbe et la réduit en poudre. Qui pou
sculape, à la prière d’Apollon, reçut les honneurs de l’apothéose, et prit rang parmi les dieux de l’Olympe. Il eut plusieur
îner un corps qui lui servait à peine, Sur la croupe d’un mont Phébus prenait haleine, Et couché sur la mousse auprès d’un vert
Midas avec Tmolus est commis pour juger. Sur un gazon fleuri le sénat prend séance, Le vulgaire est debout, et tous prêtent s
chers, les montagnes, et charmait enfin toute la nature, qui semblait prendre une ame pour jouir de la divine harmonie. Les Nym
e secrète : Il en sort ; et le bruit trompe aussitôt l’époux. Céphale prend le dard, toujours sûr de ses coups, Le lance en c
naient à la beauté un air de gravité qui ne permettait point qu’on la prît pour Vénus. A peine était-elle née, qu’elle s’arm
 : une nymphe empressée A déjà détaché sa robe retroussée ; Une autre prend son dard, son arc, et son carquois ; De ses pieds
ays empruntant le visage, Il aborde Phébus de l’air riant et doux Que prend la trahison pour faire ses grands coups, Et lui d
it dans l’ame, et sa joie est extrême De voir qu’à ses chansons on le prend pour lui-même. Plus son admirateur s’empresse à l
pour lui escamoter sa ceinture. En visitant les forges de Vulcain, il prit plusieurs instruments des Cyclopes : s’il ne déro
at ; Arachné les montra sous les formes diverses que l’Amour leur fit prendre pour charmer les jeunes mortelles ; et elle obtin
e père des dieux dans la guerre contre les Géants. Un jour, ayant été pris par des corsaires, il fit sur le navire un si gra
ôt de ce beau corps la taille souple et libre Sur sa double colonne a pris son équilibre. Le Titan s’applaudit et poursuit s
ur l’œil, Donne encore au regard plus d’audace et d’orgueil. Le teint prend son éclat ; la lèvre colorée, En deux filets de p
sivement chargé de détruire les oiseaux voraces du lac Stymphale ; de prendre vivant un taureau des plus fougueux qui était en
assue. Mais Laomédon ayant refusé de remplir ses engagements, Hercule prit d’assaut la ville de Troie, passa au fil de l’épé
dans l’ombre ; A travers l’incendie, à travers la nuit sombre, Il le prend , il l’étreint entre ses bras nerveux ; Et, de leu
rincesse. Hercule livra au dieu son rival un combat célèbre. Achéloüs prit en combattant la forme d’un homme, d’un serpent,
s seules substances que l’on servît dans le banquet ; mais l’ambrosie prenait différents goûts, selon le desir de ceux qui en m
rties d’un corps organisé, se rangèrent les uns auprès des autres, et prirent la forme d’une île, sur laquelle on éleva bientôt
la fléchir, sans le secours d’un Dauphin qui la fit enfin résoudre à prendre ce dieu pour époux. Neptune, en récompense du ser
ux arts, et leurs noms sont relatifs au domaine de chacune. Clio, qui prend son nom de Kléos, gloire, préside à l’Histoire. E
rouler ses ondes argentées autour de l’Hélicon, sur lequel ce fleuve prenait sa source. Au pied de cette montagne était la vil
l meurt. Les Dryades lui préparent un bûcher, et lorsqu’elles veulent prendre son corps, elles ne trouvent en sa place qu’une f
, le son se communiquait successivement jusqu’au dernier ; ce qu’on a pris pour le symbole des babillards. Les Dryades étaie
ourrice, effrayée d’une figure si grotesque, refusa de l’allaiter, et prit la fuite. Mercure l’enveloppa de peaux d’animaux,
âce enchanteresse, Ta démarche, ton air, et ta chaste rudesse ; On la prendrait pour toi si son arc était d’or, Et souvent toutef
u du jour,         Circé, tenait alors sa cour.         Elle leur fit prendre un breuvage Délicieux, mais plein d’un funeste po
re contre Hercule et perdre une corne dans ce combat, où, après avoir pris plusieurs formes diverses, il se présenta sous la
l’amant de cette aimable déesse. Le premier jour qu’elle le vit, elle prit la fuite ; mais le jeune dieu l’atteignit, lui pe
ssonneur, comme un bouvier, comme un faucheur, comme un vigneron ; il prit aussi la figure d’un pécheur, d’un soldat : ce fu
t été vaincues, c’était parceque les poulets sacrés avaient refusé de prendre leur nourriture, ou parceque en volant ils avaien
iture, ou parceque en volant ils avaient décrit tel ou tel cercle, et pris une direction funeste. Telles étaient les aberrat
11 (1850) Précis élémentaire de mythologie
jamais consenti à rédiger ce Précis, parce que nous ne voudrions pas prendre sur nous la responsabilité d’une seule parole qui
dire à Boileau : Là pour nous enchanter tout est mis en usage : Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage. Chaque v
ea avec lui le souverain pouvoir. La contrée qui lui servit de refuge prit le nom de Latium, du mot latin latere, qui signif
rs, contrairement à l’ordre de ce dieu qui lui avait défendu d’y rien prendre . Elle métamorphosa en lézard le jeune Stellio, pa
qu’il s’était moqué de l’avidité avec laquelle la bonne déesse avait pris son repas chez la vieille Bécubo ; enfin elle env
n, ne pouvant se venger contre son père, le souverain des dieux, s’en prit aux Cyclopes qui forgeaient ses foudres et les tu
tes frisaient leurs inspirations dans les eaux du fleuve Permesse qui prend sa source au pied de l’Hélicon, dans la fontaine
d’or dont les sons charmaient les dieux et les hommes. — Quand il est pris pour le dieu du soleil, il a un coq sur la main,
n chien à ses côtés. On lui met un croissant sur le front quand on la prend pour la lune. Les poëtes disent encore qu’elle se
honneur, en déployant dans cet art funeste une étonnante habileté. Il prit à Neptune son trident, à Apollon ses flèches et s
erre des géants. Elle terrassa elle-même la terrible Pallas dont elle prit le nom en souvenir de sa victoire. Elle alla enco
où cette affaire avait été discutée, et on y établit un tribunal qui prit le nom d’Aréopage, parce que les Grecs appelaient
treprises, ils lui offraient des sacrifices. Les consuls qui devaient prendre le commandement des légions touchaient sa lance a
de vils et timides animaux, Bacchus resta seul à côté de Jupiter, et prit la figure d’un lion pour aider le souverain des d
espérances trompées ! Bacchus la consola des perfidies de Thésée, la prit pour épouse et lui donna une couronne d’or qui, a
ses faveurs, mais elle n’a pu le délivrer de la fureur de Mars qui le prit dès lors en aversion. Un sanglier énorme suscité
it avait la connaissance du passé, du présent et de l’avenir. Mais il prenait toutes sortes de formes pour éluder les questions
flottants sur ses épaules. La fable rapporte qu’un jour, après avoir pris des poissons, il s’aperçut qu’ils mangeaient d’un
l’avait dévoré immédiatement après sa naissance, mais Jupiter lui fit prendre un breuvage qui le força de le rejeter de son sei
ient prononcé son nom, leur serment était irrévocable. L’Erèbe, qu’on prend aussi quelquefois pour l’enfer, fut aussi condamn
les prémices des fruits et des troupeaux. Ces Satyres avancés en âge prenaient le nom de Silènes. Nous avons raconté les aventur
nd ils présidaient aux carrefours. Les fêtes établies en leur honneur prenaient aussi ce dernier nom parce qu’elles étaient céléb
empires. Chaque famille avait le droit de choisir ses Pénates et les prenait souvent parmi les dieux du premier ordre. Les Pén
s la bulla. C’était un petit ornement d’or ou d’argent qu’ils avaient pris avec la robe prétexte. On offrait à ces dieux de
t aux passions. Toutes les pensées qui agitent l’intelligence humaine prirent corps et visage pour recevoir l’encens des mortel
té, que les Grecs appelaient Até, était une déesse malfaisante qui ne prenait plaisir qu’à tourmenter les hommes. Jupiter, son
es derniers. Le laboureur était heureux après ses grandes fatigues de prendre un instant de repos, et il plaçait pour ce motif
, et lui dit : « Hercule, je vois que tu ne sais quel chemin tu dois prendre . Si tu t’attaches à moi, je te conduirai par la r
sage du fleuve Ladon, et l’apporta sur ses épaules à Eurysthée. 4º Il prit également tout vivant un sanglier affreux qui ava
envoyer son fils que quand il serait en âge de remuer ce rocher et de prendre l’arme qui devait le faire reconnaître. Thésée av
és par les matelots ? Quelle victime leur offrait-on ? 3. Quelle part prirent -ils à l’expédition des Argonautes ? Comment mouru
pourtant pas tremper ses mains dans le sang de ce héros illustre. Il prit le parti de l’exposer à des périls auxquels il ne
e celui qui les portait. Questionnaire. 1. Persée et Bellérophon prirent -ils part à l’expédition des Argonautes ? Quel est
he, des brigands l’assaillirent et lui demandèrent ses trésors. Arion prit sa lyre, et essaya de calmer leur fureur par la d
t d’y bâtir une ville. Il rencontra dans la Phocide une génisse qu’il prit pour guide et qui le conduisit en Béotie. Là il b
de Péribée, s’éloigna de Corinthe pour se dérober à tous ces maux et prit le chemin de la Phocide. 5. Un jour il trouva dan
cours près d’Adraste, roi d’Argos. La Messénie, l’Arcadie, l’Argolide prirent sa défense, et envoyèrent contre Thèbes leurs tro
e Capanée, Thersandre, fils de Polynice, Polydore, fils d’Hippomédon, prirent les armes. Le devin Tirésias avait prédit que cet
ésents. Aux joyaux et aux pierreries il avait mêlé des armes. Achille prit les armes et se trahit. Ulysse l’emmena sur-le-ch
marcha au combat. Rien ne pouvait lui résister. Les Troyens effrayés prirent la fuite au seul son de sa voix terrible. Dans le
hise et de Vénus, chargea sur son dos les dieux pénates de sa patrie, prit son fils Ascagne par la main, et se retira avec l
furieux jusqu’à perdre la raison. Il se jeta sur des pourceaux qu’il prit pour Ménélas et ses juges, et se perça de son épé
ba. Le bœuf et la vache sont parmi eux en très-grande vénération. Ils prennent de l’urine de vache pour leur servir d’eau lustra
isciple de Daniel, d’Ezéchiel ou d’Esdras, et quelques-uns même l’ont pris pour un Juif. Il est certain que sa doctrine offr
. Tous les seigneurs le tentèrent vainement. Osiris, sur qui on avait pris mesure à son insu, y réussit pour son malheur. Ca
aix et l’abondance régnèrent avec le fils d’Osiris. 8. Le peuple, qui prenait ces fables au sérieux, était très-superstitieux.
festins et réjouissances. On amenait le nouveau dieu à Memphis pour y prendre possession de sa nouvelle qualité, et il y était
eu des bruyères le sifflement des vents et le bruit du tonnerre qu’il prenait pour la voix mélancolique et sombre de ceux qui n
y promenaient, ils trouvèrent deux morceaux de bois flottants, qu’ils prirent , et dont ils formèrent l’homme et la femme. L’aîn
12 (1845) Mythologie de la jeunesse
 22] Cependant Jupiter ne se laissa pas intimider par le danger ; il prit sa foudre et vint à bout d’exterminer toute la ra
son frère Épiméthée, séduit par la merveilleuse beauté de Pandore, la prit pour épouse et ouvrit la boîte fatale, d’où s’éch
nt qu’il dormait, et le lier de manière qu’il ne pût échapper, car il prenait toutes sortes de formes pour épouvanter ceux qui
ets sur l’herbe du rivage, et qu’il comptait les poissons qu’il avait pris , il s’aperçut que ces poissons s’agitaient d’une
son palais un silence perpétuel. [Fig. 45] Les Dieux Mânes étaient pris , tantôt pour les âmes des morts, tantôt pour des
ida que Proserpine serait rendue à sa mère, si toutefois elle n’avait pris aucune nourriture dans les Enfers. Malheureusemen
it d’un seul coup de sa massue les sept têtes de l’hydre de Lerne. Il prit en Arcadie le sanglier d’Erymanthe, qui faisait d
nourrissait ses chevaux de chair humaine. Vainqueur des Amazones, il prit leur reine Hippolyte, qu’il fit épouser à Thésée,
promis sa fille Iole en mariage, et la lui avait ensuite refusée. Il prit la ville, tua le roi et emmena la jeune Iole, qui
palais d’Ulysse et dévoraient ses biens, en attendant que son épouse prît un parti ; mais le retour du héros délivra Pénélo
emain matin, avant que de conduire ses troupeaux aux pâturages, il en prend encore deux pour son repas du matin, et referme s
tre de vin, en remplit une coupe, qu’il présente au Cyclope. Celui-ci prend la coupe et boit ; le vin lui paraît délicieux ;
et cède au sommeil qui l’accable. Ulysse ne perd point de temps ; il prend le pieu qu’il avait préparé, et, après l’avoir fa
né que, si, charmé par les chants et les attraits des Sirènes, il lui prenait envie de s’arrêter, loin de condescendre à ses dé
u nombre des concurrents ; mais Pénélope les y fait consentir. Ulysse prend l’arc, le tend presque sans peine, et la flèche,
é de l’éclat de sa beauté, se mit à la poursuivre. La nymphe effrayée prend la fuite ; mais, arrivée sur les bords du Ladon e
resse par là ta course, et suis le droit chemin. Phaéton, à ces mots, prend les rênes en main ; De ses chevaux ailés il bat l
montagnes et dessèchent les rivières. Ce fut alors que les Éthiopiens prirent ce teint noir qu’ils conservent encore, et que l’
ils avaient faite à un mur commun. Las enfin de cette contrainte, ils prirent la résolution de s’enfuir, et se donnèrent rendez
s de Jupiter et de Mnémosyne. Alors les Muses, ayant imploré Apollon, prirent des ailes et s’envolèrent. Pyrénée voulut les sui
se percher sur les arbres voisins. Apollon voulut même que les Muses prissent le nom de leurs rivales. Stellio. Cérès, ch
éesse boire et manger avec avidité, un petit enfant nommé Stellio, se prit à rire ; Cérès, irritée, jeta sur lui ce qui rest
epris sa première forme, elle eut tant de regret de sa faute, qu’elle prit la fuite et se retira dans les bois, où elle se m
llon. Apollon, pour le punir, lui fit venir des oreilles d’âne. Midas prenait grand soin de cacher cette difformité sous une ti
Métra, sa fille, que Neptune avait aimée, obtint de ce dieu le don de prendre toutes sortes de formes. Érésichthon, qui avait i
métamorphosée en lotos. Elle n’a que le temps d’appeler sa sœur pour prendre l’enfant, qui aurait été enfermé avec elle sous l
13 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
ions privées de la connoissance du vrai Dieu. L’idée de l’Apothéose a pris naissance dans les états monarchiques, telle est
e ; mais nous avons tant vu de Vénus et d’Amours, que l’imagination a pris la multiplication de ces tableaux pour la multipl
t épouser un mortel. Pour se soustraire aux poursuites de Pélée, elle prit mille formes différentes, elle se changea en feu,
prit mille formes différentes, elle se changea en feu, en eau ; elle prit successivement la figure de tous les animaux les
d quelquefois les Océanides avec les Néréïdes, nymphes de la mer, qui prirent en effet leur nom de Nérée ou l’Océan, leur père,
t les troupeaux de Neptune, se nommoit Protée, il avoit le pouvoir de prendre à son gré toutes sortes de formes. Il étoit devin
que Proserpine, dans sa jeunesse, caressée par un moineau, voulut le prendre et le nourrir, l’oiseau se réfugia dans le creux
à Linus. Comme ces chants étoient ordinairement vides de sens, on en prit occasion d’appeler Nénies les mauvais vers. Nœnie
lle-même dans un temple de Minerve, à Troie. L’oracle assura qu’on ne prendroit jamais la ville tant que cette statue resteroit à
ium : peu après la ville fut prise. Les Grecs, selon quelques-uns, ne prirent qu’un faux Palladium fait à la ressemblance du vé
tées : l’histoire rapporte que lorsque les tyrans des Phocéens eurent pris Delphes, les Thyades, saisies d’une fureur bachiq
temps de Rome, les Gaulois étant aux portes de la ville, les vestales prirent la fuite ; Albinus plébéien, qui, sur un chariot,
oulut punir de mort la négligence de la nourrice, mais les Argiens la prirent sous leur protection. Ce fut en mémoire de cet év
e princesse, qui s’étoit distinguée par son courage dans les combats, prit une passion violente pour un jeune homme de la vi
exposés baignés dans le sang, personne ne les inhuma. Jupiter, ayant pris part à cette vengeance atroce, avoit pétrifié tou
ectrice des mânes, s’appelle Hécate : de toutes ces fonctions Diane a pris le surnom de triple Déesse. On a fait dériver le
ir l’île de Délos, qui jusque-là, cachée sous les eaux, n’avoit point pris part au serment de la Terre. Mais cette île étoit
ler dans l’art de jouer de la flûte, le défia ; Tmolus, roi de Lydie, pris pour arbitre, adjugea le prix au Dieu de l’harmon
lle la malédiction de Minerve. Le sang de Marsyas forma un fleuve qui prit son nom ; d’autres disent que ce fleuve dut son o
ndre la maturité du fruit ; ensuite, pour excuser son retardement, il prit un serpent qu’il accusa faussement de lui avoir f
Ce prince les insulta, et voulut les retenir prisonnières ; les Muses prirent des ailes et s’envolèrent. Pyrénée, aussi stupide
tiope, sa femme, pour épouser Dircé. Jupiter, selon quelques auteurs, prit alors la forme d’un satyre pour séduire Antiope ;
oit vendue. Ensuite elle passa au Duc de Mantoue. Lorsque Mantoue fut pris en 1630 par les Impériaux, cette Table fut perdue
une multitude de Sabins fut engloutie ou brûlée et le reste obligé de prendre la fuite. Hébé. Déesse de la Jeunesse,
nymphes, entre autres, Syrinx, qui, pour se dérober à ses poursuites, prit la fuite ; arrivée sur les bords du fleuve Ladon,
toient les ministres du culte idolâtre chez les Gaulois. Leur nom est pris d’un mot grec qui signifie chêne, parce qu’ils de
ses dont on a déjà parlé. Canente, fille de Janus et de Vénilia, elle prit son nom de la beauté de sa voix. Elle épousa Picu
s en aigle et s’en servit depuis pour traverser les airs. Les Romains prirent l’aigle pour enseigne la seconde année du consula
jeune homme d’une grande beauté qui, en se voyant dans une fontaine, prit sa figure pour celle de la nayade et devint amour
royant revoir sa sœur. Ce fut là que le vit la nymphe Écho et qu’elle prit pour lui cette passion malheureuse qui la desséch
14 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
t il défendit sous peine de la vie, de la donner à Polynice qui avoit pris les armes contre sa patrie. Antigone, toujours dé
ar Nélée Roi de Messène, et sur le relus de ce Prince, il saccagea et pris Messène, massacra Nélée et tous ses enfans, à l’e
l’Océan et de la Terre, et père des Syrènes et de plusieurs Nymphes, prit diverses formes en combattant Hercule ; étant sou
t après la mort d’Achille, les Grecs voyant qu’il étoit impossible de prendre la ville sans les flèches d’Hercule que Philoctèt
paules, parut à toute l’assemblée, si beau et si majestueux, qu’on le prit pour le Dieu Mars, Jason demanda alors à Pélias d
ée d’où sortit un superbe bélier, qui les enleva dans les airs et qui prit le chemin de la Colchide. Ce brillant Bélier, don
Phrixus, arrivé dans la Colchide, y sacrifia le Bélier à Jupiter, en prit la Toison d’or, la suspendit à un arbre dans une
lorsque le savant Chiron, tenant Achille enfant entre ses bras, vint prendre congé de Jason ; et après l’avoir embrassé, ainsi
ls Absyrthe, frère de Médée. On atteignit bientôt le ravisseur. Jason prit terre avec Absyrthe, sous prétexte d’entrer en ac
ère, ayant su de Calchas qu’il périroit au siége de Troye et qu’on ne prendroit jamais cette ville sans lui, l’envoya à la cour d
qui avoit la même taille. Elle ne les eut pas plutôt endossée qu’elle prit la fuite. Vulcain la poursuivit sans pouvoir l’at
tor, mais il le rendit aux prières et aux larmes de Priam. Ensuite il prit une violente passion pour Polixène fille d’Hécube
iens, ce ne seroit pas Homère, tout sublime qu’il est, qu’il faudroit prendre pour modèle, et que l’imitation de Sophocle, d’ E
frère de Didon fit assassiner pour s’emparer de ses richesses, Didon prit la fuite, elle conduisit une colonie sur la côte
de bœuf : Didon qui avoit refusé d’épouser Iarbe, Roi de Mauritanie, prit une passion violente pour Enée, et lorsque ce hér
de Médée et de tant d’autres. Thieste échappant à la fureur d’Atrée, prit la fuite. Quelque temps après il rencontra, sans
il fut élevé avec Pylade, fils de Strophius. Ces deux jeunes Princes prirent l’un pour l’autre, cette amitié héroïque et touch
ces, Iphigénie monta sans obstacle sur le vaisseau de son frère, elle prit la fuite avec, les deux amis en emportant la stat
elir Ajax. Les anciens qui ont inventé de si belles allégories, n’ont pris aucun soin de concilier les caractères de leurs D
e Palladium avec le secours de Diomède, il tua Rhésus en trahison, et prit ses chevaux. A son retour, il s’arrêta long-temps
les soldats Grecs enfermés dans les flancs du cheval en sortirent et prirent la ville. Presque tous les Princes Grecs périrent
Presque tous les Princes périrent contre ces rochers périlleux qu’ils prirent pour des ports, Nauplius et ses fils massacrèrent
Patrocle, il faut qu’il examine sa destinée qu’il ne connoît pas. Il prend les balances immortelles, la pèse, et voit que le
ie, si l’on ne savoit pas que les enfans connoissent trop ce jeu pour prendre un tel effroi. Il faut de la vraisemblance en tou
ue le cerf aimoit tellement la flûte, qu’en l’écoutant il se laissoit prendre . On donne aussi pour attributs à la Flatterie, de
e fondé sur l’opinion que l’on avoit jadis que la licorne se laissoit prendre et apprivoiser par une vierge. D’autres représent
s le Ciel. Il fit présent d’une de ses cornes aux Nymphes qui avoient pris soin de son enfance, en donnant à cette corne la
ent. C’est ce qu’on appelle la Corne d’abondance. 12. Cette tragédie prend son nom de Trachine, ville de Thessalie où se pas
non et de Briséis, pour se soustraire aux fureurs de Clytemnestre, il prit la fuite et après beaucoup d’aventures, il aborda
ue l’on donnoit aux jeunes gens quand ils quittoient la prétexte pour prendre la robe virile. 37. Le Tasse. 38. Il est possi
15 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
dans les cieux ; une de sescornes qu’il donna aux nymphes qui avaient pris soin de son enfance avait le don de produire tout
our se soustraire à la vigilance de Junon, qui était fort jalouse, il prenait toute espèce de figure : ainsi il se transforma e
ur pénétrer chez Danaé ; en satyre pour surprendre Antiope ; il avait pris les traits de Diane pour tromper Callisto, et il
et jeta ses cent yeux à l’extrémité des plumes de cet oiseau, qu’elle prit sous sa protection. Cette Déesse avait Iris pour
de cet accident, le Dieu métamorphosa son jeune ami en la fleur qui a pris le nom d’hyacinthe ou de jacinthe, et s’éloigna d
éon ayant pénétré jusqu’à une fontaine dans les eaux de laquelle elle prenait un bain, Diane offensée le métamorphosa en cerf,
nt le frère de Jupiter, avec qui il partagea l’empire du monde. Ayant pris part à la conspiration des Dieux contre Jupiter,
Voyant ses vœux repoussés par les mortelles comme par les Déesses, il prit le parti d’enlever de vive force Proserpine, fill
iter. On la considère aussi comme Déesse de la guerre ; et alors elle prend le nom de Bellone ; on l’appelle aussi Pallas, du
de sa douleur, s’engagea à la lui faire rendre, pourvu qu’elle n’eût pris aucun aliment depuis qu’elle habitait le sombre r
armée en bataille. Ayant accompagné Bacchus dans les Indes, il avait pris une part importante à ses combats et à ses triomp
lture des arbres fruitiers. Vertumne usa de la faculté qu’il avait de prendre toutes les formes, et se présenta successivement,
traits d’un laboureur, d’un moissonneur et d’un vendangeur. Enfin il prit l’aspect d’une vieille femme, et, après avoir, pa
on ne décidait rien d’important sans les avoir consultés. Aussi s’en prenait -on quelquefois à ces divinités des afflictions qu
ait accueilli généreusement Bellérophon, ne voulut pas, lorsqu’il eut pris connaissance de la lettre de son gendre, faire pé
reprise, et pendant que celui-ci cueillait les pommes, Hercule, ayant pris sa place, soutenait le ciel sur ses épaules. 12°
qu’il devait défendre. Le héros, maître du trésor qu’il ambitionnait, prit la fuite, enlevant les trésors et la fille d’Æète
Les prêtresses de Bacchus, irritées de cette sombre douleur, qu’elles prenaient pour du dédain, s’emparèrent de lui dans les accè
la Grèce. Ils se joignirent ensuite à l’expédition des Argonautes, et prirent une part importante à leurs travaux. On raconte q
reste, Electre et Iphigénie. Élu généralissime de l’armée grecque, il prit le titre de roi des rois, et mit une grande activ
ecs, et, se renfermant dans sa tente, il resta une année entière sans prendre les armes. Grâce à son inaction, les Troyens repr
du sel au lieu de blé. Cependant Palamède, qui soupçonnait la feinte, prit le jeune Télémaque qui venait de naître, et le pl
’où il fut chassé par la peste ; de là il se rendit en Epire, ensuite prit terre à Drépane, en Sicile, où il vit mourir son
ais cette princesse était déjà fiancée à Turnus, roi des Rutules, qui prit les armes pour faire valoir ses droits. Pour évit
t singulier ; Enée, sorti vainqueur de cette lutte, épousa Lavinie et prit possession du trône des Latins. Ce mélange de Tro
es. Les plus remarquables avaient lieu près de la ville d’Olympie, et prirent de là le nom de jeux olympiques ; comme elles se
de jeux olympiques ; comme elles se célébraient tous les cinq ans, on prit de là l’habitude de compter les mesures de temps
uil, et le vainqueur recevait une couronne d’ache. Les jeux isthmiens prirent leur nom de l’isthme de Corinthe, qui sépare la M
it une couche assez épaisse pour que les plus grands arbres y pussent prendre racine. Les pyramides d’Égypte 91 étaient d’imme
tiens observaient dans l’enterrement de leurs morts. Un prêtre allait prendre le mort, c’est la fonction que les Grecs ont attr
t consacré. 13. L’Éridan ou le Pô, le plus grand fleuve de l’Italie, prend sa source sur la pente du mont Viso, dans les Alp
ts Gramnos ou Mezzovo, entre l’Épire et la Thessalie. 17. Fleuve qui prend sa source au pied de l’Hélicon. 18. Dans son r
enne. Quant à Dédale, il atteignit heureusement les côtes d’Italie et prit terre à Cumes, où il construisit un temple en l’h
eau : à peine en voit-on quelques vestiges. 81. Rivière d’Italie qui prend sa source dans les Apennins, passe à Rome, et se
16 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
veut traiter : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout prend un corps, une ame, un esprit, un visage, Chaque v
suite en constellation, et la plaça au ciel. Les Nymphes qui avoient pris soin de son enfance, eurent une des cornes de cet
quittèrent le ciel, excepté Bacchus, et se sauvèrent en Egypte où ils prirent pour se cacher, différentes formes d’animaux, d’a
uisement     L’on connoît le maître du monde. La Grange-Chancel. Il prit la figure d’un cygne pour tromper Leda, épouse de
Vous assaisonnez l’ambroisie. Et rendez le nectar plus doux. Jupiter prit la forme de Diane pour tromper Calysto, l’une des
ou la petite Ourse. Alcmène fut aussi trompée par Jupiter, qui avoit pris la figure d’Amphitrion son époux : Passe encore
mon, et l’adoroient sous la forme d’un bélier, prétendant qu’il avoit pris cette figure pour combattre les géans. Ses noms v
tit en fureur, et brisa la statue. Voyant que c’étoit un jeu, elle en prit occasion de se raccommoder avec son époux ; mais
r d’un surveillant si incommode. Junon métamorphosa Argus en paon, et prit cet oiseau sous sa protection. Ces vers caractéri
aux, ne reconnoissant point la main qui les conduisoit ordinairement, prennent le mors aux dents. Tantôt le Soleil embrase le ci
besoin pour réussir. Ce Vallon est arrosé par le Permesse, fleuve qui prend sa source au mont Hélicon ; par les eaux de Casta
Des favoris de Mars avec ceux d’Apollon. Rousseau. Les neuf Muses, prises en général, président également aux sciences, aux
s te venons d’un fils annoncer la naissance ; Eteins, et de nos mains prends ce flambeau fatal, Ses jours sont attachés à ce d
retirer. Toi qui d’une ardeur empressée Sers le maître de l’univers, Prends tes aîles, ton caducée, Vole et va t’ouvrir les e
tous les dieux, divisés entr’eux de sentimens et d’intérêts, avoient pris différens partis, et se confondoient même souvent
sacrifia son Bélier à Jupiter. Le Taureau ; c’est celui dont Jupiter prit la forme pour enlever Europe. Les Gémeaux ; c’est
son des dieux, à la place d’Hébé. Les Poissons, dont Vénus et Cupidon prirent la forme pour se dérober à la fureur du géant Tip
oulu de ses jours éteindre le flambeau. La Grange-Chancel. Thémisto prit pour sa confidente Ino même qu’elle ne connoissoi
reur, jetta contre un rocher Léarque, son fils aîné. Ino et Mélicerte prirent la fuite, et se précipitèrent dans la mer. Neptun
r Pluton, à cause de sa laideur, et de l’obscurité de son royaume. Il prit le parti d’enlever Proserpine, fille de Cérès, un
alaphe, fils de la Nuit et de l’Achéron, soutint que Proserpine avoit pris sept grains de grenade : Proserpine a goûté des
      Venez, avancez, tristes Ombres ;         Payez le tribut que je prends , Ou retournez errer sur ces rivages sombres. Qui
avec l’Achéron, ou avec quelqu’autre des cinq fleuves. Souvent on le prend pour la nuit même, ou pour le dieu qui préside à
atales sœurs, souveraines des âges, Ont adouci leurs loix ; et Clotho prend encor Le fuseau qui servit à filer l’âge d’or. G
ment de sa fille Proserpine, qu’elle chercha par toute la terre, sans prendre aucun repos. On dit qu’elle avoit placé sur le mo
Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend pour un bandeau. Lamotte. La Paix est représent
r dans un antre d’où il ne pouvoit trouver le moyen d’échapper, il le prit à la gorge et l’étouffa. Hercule porta toujours l
le mont Erimanthe, et ravageoit les champs de l’Arcadie : Hercule le prit , et le présenta tout vivant à Eurysthée. Une bich
r Admète. Touché de la douleur de son ami, et sensible à l’amitié, il prit une résolution digne de son courage : Montrons q
es teintes du sang de l’hydre de Lerne, sans lesquelles on ne pouvoit prendre la ville de Troie. Hercule fut mis au rang des di
épide et le plus téméraire : La Toison est à vous, si vous pouvez la prendre  ; Car ce n’est pas de moi qu’il vous la faut atte
venoit de bâtir : on ne lui annonça que des malheurs ; ce qui lui fit prendre la résolution de s’en éloigner. Il fut changé en
ieu bienfaisant guida vers vous mes pas ; La pitié me saisit, je vous prends dans mes bras ; Je ranime dans vous la chaleur pr
s de Jocaste, et je connois mon crime. Grands dieux ! ne tonnez plus, prenez votre victime. Mon sang vous a fléchis ; Thèbes n
Lamotte. Cette haine devint implacable par les arrangemens que l’on prit pour le gouvernement de Thèbes. Les deux frères d
le sein pour tombeau ; Pour fuir ces lieux sanglans, Philomèle vengée Prend un nouvel essor, en rossignol changée ; Et le fun
et les eaux. Campistron. Patrocle, fils de Ménœtius et de Sthénélé, prit les armes d’Achille, dont il étoit l’ami intime,
s et avec le secours de sa mère. Il chargea son père sur ses épaules, prit son fils Iüle, ou Ascagne, par la main, et emport
Aglaïe, une des trois Graces, 76 Aigle, de Jupiter, 36 — Ce dieu en prend la forme, 34 Ailes, du tems, 21 — De Mercure, 6
, forgerons de Vulcain, 78 — Tués par Apollon, 40 Cygne, Jupiter en prend la forme, 34 Cygnes consacrés à Vénus, 74 Cygnu
re, séjour des méchans après leur mort, 100-103 Taureau dont Jupiter prit la forme, 34-88 — Des campagnes de Marathon, 141
17 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
héros et leurs héroïnes, pour les faire figurer sur la scène, où l’on prend tant de plaisir à recueillir leurs touchantes cat
malheureux mortels. Souvent, dans leur aveuglement ridicule, ils s’en prirent aux influences malignes des élémens et des astres
s, des connoissances utiles. Les aventures de Phaëton et d’Icare, qui prennent un vol audacieux dans les airs, nous représentent
u à ce sujet : Là, pour nous enchanter, tout est mis en usage : Tout prend un corps, une ame, un esprit, un visage ; Chaque
il en avoit reçus. Il donna une de ses cornes aux Nymphes qui avoient pris soin de sou enfance, avec la vertu de produire ce
aon, et répandit les yeux d’Argus sur la queue de cet animal, qu’elle prit sous sa protection. D. Quel étoit l’emploi d’Iris
ur ses droits, foudroya le téméraire médecin. Apollon, qui n’osa s’en prendre à Jupiter, s en vengea sur les Cyclopes qui avaie
ter. Voici à quelle occasion. Junon, ennemie déclarée de ses rivales, prit la figure de Béroé, nourrice de Sémélé ; vint tro
arole : Toi qui d’une ardeur empressée, Sers le Maître de l’Univers, Prends tes ailes, ton caducée, Vole, et va t’ouvrir les
Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte le diadême Que l’erreur prend pour un bandeau. (Lamotte.) La Paix. D. La
sur le mont Erimanthe, et ravageoit les champs d’Arcadie : Hercule le prit , et le présenta tout vivant à Eurysthée. 4.° Il p
étoient fils de Jupiter6 et de Léda, épouse de Tyndare. Jupiter avoit pris la forme du cygne, pour mieux tromper Léda. D. Pa
de Jocaste, et je connois mon crime ; Grands Dieux, ne tonnez plus ! Prenez votre victime. Mon sang vous a fléchis, Thèbes ne
II échappa à la ruine de Troye ; il chargea son père sur ses épaules, prit son fils Iüle, ou Ascagne, par la main, et emport
nce de plusieurs, c’est qu’elle a voyagé en divers pays, et qu’elle a pris les noms des pays qu’elle a parcourus. On prétend
……………………………… L’homme n’eût point voulu d’un précepte sévère ; Pour le prendre il falloit trouver cet hameçon. Ainsi ce Phrygien
h ! le petit babouin ! Voyez, dit-il, où l’a mis sa sottise ! Et puis prenez de tels fripons le soin. Que les parens sont malh
n ami, tire-moi du danger,    Tu feras après ta harangue. Les parens prendront sur-tout un soin particulier d’inspirer à leurs e
moque de tout ; certain âge accompli, Le vase est imbibé, l’étoffe a pris son pli. (La Font., L. 2. F. 18.) D. Quelle est
essent à quiconque écoute le flatteur avec complaisance, et se laisse prendre à ses douces et perfides amorces :       Mon bon
eprésente à l’un son camarade dans l’embarras. Il se lève en sursaut, prend son épée, vole à son secours. L’autre étonné de v
et les talens ne vieillissent pas. On ne doit donc jamais se laisser prendre aux apparences. Un Renard voyant une belle tête :
bité délicate s’en fait un devoir sacré. Les jeunes personnes doivent prendre de bonne heure l’heureuse habitude d’être scrupul
                  Me la payer. Le Mouton nia la dette. Un Renard fut pris pour arbitre ; on procède ; voici la sentence du
18 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
dent dans tes vers : Tes dactyles nombreux, tes riches consonnances Y prennent tous les tons et toutes les nuances ; Et ton mode
cée à la main. Message de Mercure à Calipso.    Mercure se dispose à prendre son essor, A ses pieds immortels il met ses ailes
t c’était Mercure.             Pouvu de cette opinion,             Il prend un jour figure humaine,         Quitte l’Olympe,
ombien l’homme et ses arts t’agrandissent encor ! Là, le génie humain prit son plus noble essor. Tous ces nombreux vaisseaux
      Fit présent d’un bandeau fatal :          De-là vient qu’il s’y prend si mal          Pour distribuer ses largesses. Fa
 ; A l’aveugle Plutus les uns tendent la main,          Les autres le prennent en croupe :          Plutus s’y rend sans examen.
, et chassé le sommeil, Tout le peuple, incertain du parti qu’il doit prendre , Au temple d’Esculape en foule va se rendre, Le p
et le front couronné de lys et de roses.    C’est à Samos que Junon prit naissance ; C’est à Samos, séjour de son enfance,
ez. L’ouvrier qui fabrique une utile chaussure, Sans l’aveu de Pallas prendra mal la mesure : La main la plus habile à façonner
Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend pour un bandeau. Pour elle la nuit est sans ombre
vous la nature est plus belle ; Dans ses brillans tableaux l’art vous prend pour modelle, Simples tributs du cœur, vos dons f
ait d’un père, et d’un frère et de moi. Puisse le Ciel tous deux vous prendre pour victimes, Et laisser cheoir sur vous les pei
dans l’ombre ; A travers l’incendie, à travers la nuit sombre, Il le prend , il l’étreint entre ses bras nerveux ; Et, de leu
e fins tissus de lin ; On fait fumer l’encens, on fait couler le vin. Prends ce vase, ô mon Fils ; afin qu’il nous seconde, In
endras dans les bras du repos. Mais à peine on l’attaque, il fuit, il prend la forme D’un tigre furieux, d’un sanglier énorme
os sanguinaire Sentit que la pitié pénétrait dans son cœur. Priam lui prend les mains : ah ! prince, ah ! mon vainqueur ! J’é
ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère ; Prends pitié de l’état où tu me vois réduit. Quoi ! jusq
Patrocle se revêtit de ses armes, et marcha contre les Troyens qui le prirent pour Achille et fuirent devant lui. Il fit mordre
x innocens, Leur répond en ces mots : Sortez loin du portique, Allez, prenez les os de votre aïeule antique, Et le front recou
chevaux du Soleil, se sentant menés par une main étrangère et novice, prirent le mors aux dents, s’écartèrent de leur route, et
téon, Au fils de votre sœur faites grace… A ce nom, Terrible, Autonoë prend le bras qui l’implore, Le déchire ; il tend l’aut
ent marchèrent contre Troie. Ils l’assiégèrent pendant dix années, la prirent , la saccagèrent, et massacrèrent l’infortuné Pria
armure impuissante Ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, Prend un glaive, à son bras dès long-temps étranger, Et
s. Œdipe, devenu grand, rencontre Laïus dans un défilé de la Phocide, prend querelle avec lui, le tue sans le connaître. Il e
déchirer ; Mais c’est craindre la mort que de la desirer.    Il dit, prend le tissu, gage terrible et tendre, Il le porte so
que le premier. Enée sacrifia sa tendresse aux ordres des Dieux ; il prit la fuite et abandonna la malheureuse Didon, qui s
, je les retrouve en toi. Ah ! n’expose donc plus une tête si chère ; Prends pitié de ton fils, prends pitié de sa mère ; Ou,
Ah ! n’expose donc plus une tête si chère ; Prends pitié de ton fils, prends pitié de sa mère ; Ou, si tu veux encor te joindr
un doux souris,    Hector pose son casque aux pieds de la princesse, Prend son fils en ses bras, le flatte, le caresse, Moll
qui frappait ce monstre audacieux. Meurs, tyran, disait-il : Dieux ! prenez vos victimes. Erox qui de son maître a servi tous
t : Mais je te nomme, et dans l’instant Voilà mon Argus qui chancèle. Prends , me dit-il, cueille, choisis : Chloé seule excita
ainsi que femme.     L’infortuné Cadmus ne sait pas qu’Amphitrite A pris quelque pitié de sa race proscrite. Poursuivi de
age en pleurs : « O moitié de mon ame ! Ne m’abandonne pas, viens, et prends cette main, Tant qu’il me reste encor quelque cho
O Dieux qui le changez en un serpent énorme, Ne puis-je ainsi que lui prendre la même forme ! Elle dit : son époux par d’amoure
e : une Nymphe empressée A déjà détaché sa robe retroussée. Une autre prend son dard, son arc et son carquois. De ses pieds d
les vents, ses pieds semblent ailés. C’est peu : d’un cerf encore il prend l’ame craintive ; Le héros est frappé d’une peur
chaussure, Et l’autre, dans un bain lave encor la blessure. Celui-ci prend son arc, le brise en soupirant ; Celui-là foule a
rchestres, On n’entend plus que chants et triolets ; Faunes, Sylvains prennent leurs flageolets. Leur chef lui-même à le chanter
l’écouter, évitant sa poursuite, Jusqu’aux bords du Ladon elle avait pris la fuite ; Comment le fleuve alors l’arrêtant par
, Pour te vendre le lait dont le tien s’alimente ? Ah ! de l’humanité prends l’auguste flambeau, Vois les maux que produit l’a
ère épineuse, N’allez pas, sur des vers, sans fruit vous consumer, Ni prendre pour génie un amour de rimer. Craignez d’un vain
se ; Seul, j’offense aujourd’hui le respect de ces lieux, Et seul, je prends sur moi le vain courroux des Dieux, A ces mots, t
pe Attirer les rochers, les lions et les ours : Les fleuves après lui prenaient un nouveau cours, La Dryade accourait sous l’écor
ennent m’entourer. Au plus jeune sur-tout je vole avec ivresse, Je le prends dans mes bras, et suis prête à pleurer. D’un épou
frappe leurs yeux.    Le Pilote hardi, cherchant de nouveaux mondes, Prend les Astres pour guide, et les suit dans leur cour
à propos il vint à leur secours.             De sa morale une ou deux prises ,             Calmant leur sang trop agité,       
crit l’hérétique ; Dans l’ombre de la nuit par-tout le fanatique Doit prendre sur l’autel des poignards consacrés, Pour offrir
19 (1800) Cours de mythologie pp. -360
dent dans tes vers : Tes dactyles nombreux, tes riches consonnances Y prennent tous les tons et toutes les nuances ; Et ton mode
ée à la main. Message de Mercure à Calipso.     Mercure se dispose à prendre son essor, A ses pieds immortels il met ses ailes
t c’étoit Mercure.             Pouvu de cette opinion,             Il prend un jour figure humaine,         Quitte l’Olympe,
Un rien change vos caractères ; Un rien commande à vos penchans, Vous prenez pour des feux ardens Les bluettes les plus légère
et le front couronné de lys et de roses.     C’est à Samos que Junon prit naissance ; C’est à Samos, séjour de son enfance,
Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend pour un bandeau. Pour elle la nuit est sans ombre
ait d’un père, et d’un frère et de moi. Puisse le Ciel tous deux vous prendre pour victimes, Et laisser cheoir sur vous les pei
fins tissus de lin ; On fait fumer l’encens, on fait couler le vin. Prends ce vase, ô mon Fils ; afin qu’il nous seconde, In
endras dans les bras du repos. Mais à peine on l’attaque, il fuit, il prend la forme D’un tigre furieux, d’un sanglier énorme
t tombé sous vos coups. Je viens redemander ses dépouilles funestes ; Prenez tous mes trésors, et rendez-moi ses restes ; Epar
ombre de mon père ; Viens défendre ton fils des fureurs de sa mère ; Prends pitié de l’état où tu me vois réduit. Quoi ! jusq
e, Patrocle se revêtit de ses armes, et marcha contre les Troyens qui prirent pour Achille et fuirent devant lui. Il fit mordre
chevaux du Soleil, se sentant menés par une main étrangère et novice, prirent le mors aux dents, s’écartèrent de leur route, et
t, marchèrent contre Troie ! ils l’assiégèrent pendant dix années, la prirent , la saccagèrent, et massacrèrent l’infortuné Pria
ds. Œdipe, devenu grand rencontre Laïus dans un défilé de la Phocide, prend querelle avec lui, le tue sans le connoître. Il e
déchirer. Mais c’est craindre la mort que de la différer. » Il dit : prend ce tissu, gage terrible et tendre ; Il le porte s
que le premier. Enée sacrifia sa tendresse aux ordres des Dieux ; il prit la fuite et abandonna la malheureuse Didon, qui s
, je les retrouve en toi. Ah ! n’expose donc plus une tête si chère ; Prends pitié de ton fils, prends pitié de sa mère ; Ou,
Ah ! n’expose donc plus une tête si chère ; Prends pitié de ton fils, prends pitié de sa mère ; Ou, si tu veux encor te joindr
n doux souris,     Hector pose son casque aux pieds de la Princesse, Prend son fils en ses bras, le flatte, le caresse, Moll
qui frappoit ce monstre audacieux. Meurs, tyran, disoit-il : Dieux ! prenez vos victimes. Erox qui de son maître a servi tous
t : Mais je te nomme, et dans l’instant Voilà mon Argus qui chancèle. Prends , me dit-il, cueille, choisis : Chloé seule excito
que femme.     Cadmus, privé d’enfans, ne sait pas qu’Amphitrite. A pris quelque pitié de sa race proscrite. Accablé de re
ge en pleurs : « O moitié de mon ame, « Ne m’abandonne pas, viens, et prends cette main, « Tant qu’il me reste encor quelque c
eux ! qui le changez en un serpent énorme, Que du moins avec lui j’en prenne aussi la forme ! Elle dit : son époux, par d’amou
ue le vent, ses pieds semblent ailés. C’est peu : d’un cerf encore il prend l’ame craintive ; Il hâte au fond des bois sa cou
es cheveux épars se fondent en rosée. Enfin je deviens fleuve et déjà prends mon cours. Alphée a reconnu l’objet de ses amours
chaussure, Et l’autre, dans un bain lave encor la blessure. Celui-ci prend son arc, le brise en soupirant ; Celui-là foule a
rchestres, On n’entend plus que chants et triolets ; Faunes, Sylvains prennent leurs flageolets. Leur chef lui-même à le chanter
, Pour te vendre le lait dont le tien s’alimente ? Ah ! de l’humanité prends l’auguste flambeau, Vois les maux que produit l’a
s, elle avoit un cœur tendre, Et, donnant de l’amour, elle pouvoit en prendre  : Mais, hélas ! dès ce temps, réduite aux dernier
ère épineuse, N’allez pas, sur des vers, sans fruit vous consumer, Ni prendre pour génie un amour de rimer. Craignez d’un vain
e ; Seul, j’offense aujourd’hui le respect de ces lieux, Et seul, je prends sur moi le vain courroux des Dieux, A ces mots, t
es, Ou sous de verts lauriers célèbrent Apollon. Le Pô dans ce jardin prend sa source et son nom, Et contemple en son cours s
ennent m’entourer. Au plus jeune sur-tout je vole avec ivresse, Je le prends dans mes bras, et suis prête à pleurer. D’un épou
rappe leurs yeux.     Le Pilote hardi, cherchant de nouveaux mondes, Prend les Astres pour guide, et les suit dans leur cour
illon, par l’attaque surpris, Use de cent détours ; mais enfin il est pris . L’enfant admire l’or de sa robe pompeuse, Qui se
ropos il vint à leur secours.                De sa morale une ou deux prises ,                Calmant leur sang trop agité,    
nt que le Génie en rien le cède à l’Art. Va, dit l’Esprit, crois-moi, prends patience ; D’un rival impuissant que soutient l’I
crit l’hérétique ; Dans l’ombre de la nuit par-tout le fanatique Doit prendre sur l’autel des poignards consacrés, Pour offrir
20 (1895) The youth’s dictionary of mythology for boys and girls
e the grace (Though god of gardens) of this charming place.” Pope. Pris ′ca [Prisca]. Another name of Vesta. Pro′cris [Pr
21 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Della mitologia in generale. » pp. 17-359
lo punì col tormento d’insaziabile voracità : Se l’infelice il cibo prendre Ed alla gola cupida compiace, Non la satolla, anz
22 (1898) Classic myths in english literature
s, Mount, in Delos, Com. §§ 39, 77- Cyp′rian, the, 113; Com. § 68. Cy′ pris ; see Aphrodite, Venus, 95, 152, 153,156, 163; Com
23 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
ar des cœx assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un temple, et pris soin de l’orner : De victimes moi-même à toute he
/ 23