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1 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
d’une religion riche de personnages et d’événemens : le génie de ses prêtres et de ses chefs, toujours en harmonie avec le gén
gnorans et humblement soumis au fanatisme feint ou véritable de leurs prêtres , ou aux chants mélodieux de leurs poètes, comment
u’il était, il devint élève, et par la suite véritable apôtre et même prêtre de celle qu’il fit monter au premier rang des pui
ur au bel Atys, que, suivant Pausanias, elle avait eu en réalité d’un prêtre nommé Calaüs. N’importe d’où lui vint cet enfant
ée avec cette nymphe dans une grotte, malgré les représentations d’un prêtre de Cybèle placé par elle auprès du jeune homme po
premier jour dans le vestibule ou même dans le temple de Cybèle ; les prêtres faisaient sur cet arbre des incisions allégorique
, où la joie s’exprimait par les actes les plus extravagans ; car les prêtres ayant un couteau d’une main et une torche allumée
des fêtes de Cybèle. Elles s’appelaient Cybélées ou Cybébées, et les prêtres qui les présidaient se nommaient des Corybantes.
sse au bord de laquelle on immolait un taureau ou un bélier, puis ces prêtres recevaient sur toutes les parties du corps ces do
e dans le port, ce qui prouva, dit la foule pieusement ébahie, que la prêtresse de Vesta était innocente. Mais les statues de Cyb
es sacrifices mystérieux, et où les hommes n’étaient point admis. Les prêtres de Cybèle étaient les Galles, les Corybantes et l
uques, et formaient son collége sacerdotal complet. Ces Corybantes ou prêtres de Cybèle furent extrêmement puissans, au moins d
aux mystères de Cybèle ; ils étaient donc, dans l’origine, de simples prêtres , qui peut-être civilisèrent la Phrygie. Peut-être
lée Dactyles, que nous retrouverons plus loin en parlant des Curètes, prêtres de Rhéa, qui enseignèrent ainsi que les Dactyles
n se livrant à leurs travaux métallurgiques. Enfin les Corybantes, de prêtres se firent Dieux, puis terminèrent par se faire de
éloignées les unes des autres, ne furent mariées ensemble que par les prêtres grecs seulement, qui cependant leur conservèrent
à celui de Cybèle, en différait cependant. Il était desservi par des prêtres appelés Curètes qu’il ne faut pas confondre avec
à laquelle ne ressemblait pas celle inspirée par la conduite toute de prêtres des Curètes et des Corybantes, ne cherchant à s’é
ctyles, et peut-être agricoles et cultivateurs ; mais par dessus tout prêtres surhumains, propagandistes de la religion de Jupi
nous par la suite toutes ses filles. Les noms de quelques-uns de ces prêtres sont venus jusqu’à nous ; ainsi on remarque Bienn
and pontife, une seule était choisie. Dès que le sort avait parlé, le prêtre l’enlevait à ses parens ; mais par compensation c
ges, il est bon de se rappeler que tous les peuples gouvernés par des prêtres divisèrent les temps primitifs qui suivirent la c
les femmes répétaient le premier mars sous le nom de Matronales. Les prêtres de Saturne, appelés Basiles, lui sacrifiaient la
ans : Jupiter Apis, roi d’Argos, petit-fils d’Inachus, qui enleva Io, prêtresse de Junon ; Jupiter-Astérius, roi de Crète ; il se
x-mêmes fort anciens, les groupèrent sur un seul individu, auquel les prêtres s’empressèrent d’accorder la divinisation ; et de
et franchir leur clôture était la profanation la plus téméraire. Les prêtres en créant la sanctification de la foudre avaient-
Christ. On peut croire par la fable des bœufs immolés, qu’il était un prêtre titanide qui voulut éprouver l’habileté de son co
ruisit point, il est probable, toute la caste, et se borna à quelques prêtres dont l’ignorance n’avait pas su prévoir l’effet d
s dans la Grèce et en Italie, avaient servi à nourrir les hommes. Les prêtres de ce dieu étaient de puissans fonctionnaires ; l
olivier, afin de montrer que sa présence portait partout la paix. Les prêtres de Jupiter exerçaient leurs fonctions sacerdotale
ias, fils de la nymphe Tyro et de Neptune, ou du moins de l’un de ses prêtres . Ce Pélias, après avoir usurpé le royame d’Olchos
nthe, appelée Callithéa ou vulgairement Io-Callithye, fut la première prêtresse de Héra, dans un temple entre Argos et Mycène, d’
mple entre Argos et Mycène, d’où vint le nom de Junon Argiva. A cette prêtresse à laquelle on attribue l’invention des chars, on
er plusieurs autres, parmi lesquelles on trouve le nom de Calybé. Ces prêtresses , appelées encore Hérésides à Argos, étaient au no
e, de Cybèle et de Rhée dans la Grèce, où déjà se trouvait Junon, les prêtres se mirent à les unir ensemble, et à en faire des
ine voisine d’Éleuthérie. Un jour, Cléobis et Biton, fils de Cydippe, prêtresse de cette Junon d’Argos, n’ayant pas trouvé de bœu
mois de septembre, et les chiens gardaient ses temples, dont l’un des prêtres les plus connus fut Darès, qui desservait aussi,
était assis sur un trône resplendissant de lumière, autour duquel des prêtres et les autres initiés faisaient des danses symbol
e Strymon, Théogène, Thrace, Thrittia, fille de Triton et nourrice ou prêtresse de Minerve et Vénus. On sait peu de choses sur c
e nom de Ares et de Mars. Numa institua un culte et son honneur ; ses prêtres , tous patriciens, et au nombre de douze, se nomma
par Veturinus Mamurrius, onze pareils, et il en donna la garde à ces prêtres , dont le chef, appelé Prœsul, marchait toujours à
de là était venu le proverbe : Saliares dapes, ou repas saliens. Ces prêtres étaient habillés d’une tunique de pourpre, brodée
n droite, et tenaient le bouclier avec la gauche. Pour les aider, ces prêtres avaient les Saliennes, jeunes filles portant l’ha
es le roi de Rome Tullus Hostilius, édifia un temple desservi par des prêtres Saliens appelés Palloriens et Pavoriens, qui leur
recevoir les ambassadeurs, et qui était desservi par une multitude de prêtres , appelés Bellonaires, dont le chef ou pontife app
ppartenait toujours aux premières familles, et était nommé à vie. Ces prêtres , pour célébrer les fêtes de cette déesse, se fais
te qui fait disparaître toute cette famille ; ce sont enfin les seuls prêtres d’Apollon qui s’en débarrassent à coups de flèche
morts de la peste, auxquels personne n’osa touche jusqu’à ce que les prêtres desservans des temples se fussent enfin décidés à
Pellène et Pellénis ou de Pellène en Archaïe. Dans ce pays, quand la prêtresse portait sa statue en procession, personne n’osait
ppe fut aussi puni par la déesse pour avoir aimé Comito, l’une de ses prêtresses , et l’avoir surprise dans son temple. Diane, comm
en Achaïe ; puis Chronius qui lui en bâtit un autre à Orchomène. Des prêtresses desservaient ces temples, et à part Iphigénie, do
parler, le nom de Cométho est le plus connu parmi ceux de toutes ces prêtresses . Elles célébraient en son honneur plusieurs fêtes
trouvait une source dont l’eau abrégeait les jours et dont buvait le prêtre chargé de rendre les oracles du dieu Cœlispex ou
ioteos ou d’Argos parce que son temple était bâti sur une hauteur, la prêtresse chargée de rendre les oracles ne devait jamais av
t Hélios ou le Soleil, Enholmos ou au trépied d’Enholmis l’une de ses prêtresses à Delphes, Epibaterius ou qui préserva Diomède du
endant on pense aussi qu’au lieu d’Apollon cela put fort bien être un prêtre ou un héros qui tua à coups de flèches un brigand
mmode osa rétablir. Après ces affreux sacrifices, les hyérophantes ou prêtres montraient aux initiés le dieu sous la figure d’u
des autels de ce dieu. On connaît encore parmi les noms de ses grands prêtres ceux de Chrysès, d’Evanthe, puis d’Abaris, d’Aani
t réfugiés dans l’île de Smynthe où Chrysès avait succédé comme grand prêtre à son aïeul maternel. Alors en causant ils se rec
Mycènes prendre possession de l’héritage de leur père. Evanthe, grand prêtre d’Apollon à Ismare, était père de Maron que nous
r chanté un voyage d’Apollon au pays des Hyperboréens, fut fait grand prêtre de ce dieu, et reçut de lui, outre l’esprit de la
rofiter de ses connaissances. Anius passe pour avoir été roi et grand prêtre d’Apollon. Ils furent peut-être deux du même nom 
ère des Grecs en se réfugiant dans la ville de Troie. Crinis était un prêtre d’abord très-négligé dans ses fonctions ; bientôt
événement, fut donné à l’île où ce champ était placé. Melanippe était prêtre d’Apollon à Cyrène, et fut mis à mort par le tyra
e, et fut mis à mort par le tyran Niocrate. On connaît aussi quelques prêtresses d’Apollon, et entre autres Déliade et Panothée. L
et 1284 av. J.-C., passait pour avoir inventé les vers héroïques. Ces prêtres et prêtresses desservaient des temples dont plusi
J.-C., passait pour avoir inventé les vers héroïques. Ces prêtres et prêtresses desservaient des temples dont plusieurs étaient c
rs étaient célèbres par les oracles que ce dieu y rendait, et que ses prêtres ou prêtresses transmettaient aux fidèles. Il avai
célèbres par les oracles que ce dieu y rendait, et que ses prêtres ou prêtresses transmettaient aux fidèles. Il avait cela de comm
es fort beaux destinés à ce dieu dans toute la Grèce et l’Italie. Les prêtres de ces temples ne portaient pas partout les mêmes
s Romains, Phœbades ; dans quelques localités Engastrymanthes, et les prêtresses étaient Déliades à Délos, et Engastrymithes dans
es Oracles étaient des phrases ambiguës, toujours à double sens : les prêtres qui transmettaient ces phrases aux dévots que la
s le ciel. Cette inspection terminée, les faits étant recueillis, les prêtres ou augures consultaient ensuite les livres augura
de Delphes. Le dieu faisait entendre ses volontés par la bouche d’une prêtresse appelée Pythie, Pythonisse ou Phœbas, dont la plu
fut élevé à deux, puis il retomba à une seule. On nommait aussi cette prêtresse Euholnie, c’est-à-dire, placée sur un trépied, pa
venait s’inspirer en respirant ce gaz délirant. Quelques-unes de ces prêtresses ayant été asphyxiées par ces vapeurs, et étant to
n faisant trembler le temple jusque dans ses fondemens ; aussitôt les prêtres conduisaient la Pythie sur le fameux trépied, et
happer par intervalles des paroles inarticulées ou sans suite que les prêtres recueillaient avec soin. Puis ils la reconduisaie
dule s’étant moqué de la détestable poésie du dieu de l’harmonie, ses prêtres s’abaissèrent à le faire parler en prose. Là se t
les oracles des anciennes Pythonisses et les extases prophétiques des prêtresses somnambules des nos plus célèbres magnétiseurs. O
ar des Branchides ainsi appelés parce que Branchus, le premier de ces prêtres , avait construit le temple de cet oracle. Il eut
nt aussi le nom d’évangiles que l’on donna souvent aux paroles de ces prêtres . Quelques oracles de Jupiter n’étaient pas moins
uel le Dieu faisait entendre ses oracles, d’abord par la bouche d’une prêtresse égyptienne qui, après avoir été enlevée par les P
es en faisant faire divers signes de tête à sa statue, signes que les prêtres interprétaient avec autant de facilité qu’ils en
ncées par le maître des Dieux. Les Phéniciens qui avaient enlevé deux prêtresses égyptiennes dont l’une s’était réfugiée en Libye,
vines. Cependant on croyait aussi dans ces contrées qu’au lieu de ces prêtresses c’étaient deux colombes qui s’étaient un jour env
ns dont la force et la durée exprimaient les volontés du Dieu que les prêtres alors interprétaient. Mais cela ne se passait pas
du chêne le plus ancien de la forêt, ou tantôt la voix naturelle des prêtres cachés dans les arbres dont le temple était entou
n bavard. On donnait le nom de Dodonides ou Péléades à trois vieilles prêtresses ou vierges sacrées qui rendaient les oracles de c
d’écrire sur un tableau ce que l’on avait vu et entendu ; ensuite les prêtres vous donnaient une interprétation et vous indiqua
itivement supposés rendus par les Dieux et transmis au peuple par des prêtres portant également le nom d’oracles, ou par de sim
honoré comme dieu à Orope dans l’Attique. Andre, fils d’Anius, grand prêtre d’Apollon. Asbole ou Asbule, centaure et devin ha
e observée dans les camps. Chloré était bien un devin ; mais il était prêtre de Cybèle, il suivit Énée en Italie, et fut tué p
aussi Artémise ou Daphné, femme de Rhacios et fille de Tyrésias, fut prêtre d’Apollon à Claros, et se signala comme devin dev
après Leucippe vint chercher son père, déguisée sous les habits d’un prêtre d’Apollon. A sa vue, Théonoé en devint amoureuse.
n Italie ; peut-être est-elle la personnification de plusieurs de ces prêtresses  ; aussi la confondait-on avec Amalthée, Daphné, D
niers, après avoir consulté les augures, il en confia la garde à deux prêtres praticiens nommés Duumvirs ; et, pour être plus a
ayant entendu dire que cette lyre résonnait d’elle-même, l’acheta des prêtres et se retira à la campagne pour attirer les arbre
aussi pour fils à Céléno ou à Thya ; Alcyonée qui fut probablement la prêtresse d’Argos du même nom. Elle eut Hypérénor avec Apol
ea en épervier ; Chryséis ou Astynomé, ou Astyonée, fille de Chrysès, prêtre d’Apollon, fut prise par Achille lors du sac de L
Coronis qui mourut peut-être après avoir eu une intrigue avec quelque prêtre du temple d’Apollon, accoucha probablement à l’in
reuse ou Rhoéo, l’histoire ne dit pas s’il était l’un des deux grands prêtres d’Apollon ; cependant on lui donne un fils appelé
 ; Branchus était un devin, fils de Canacée et de Macarée, son frère, prêtre d’Apollon, mais que l’on supposait fils d’Apollon
’Apollon, mais que l’on supposait fils d’Apollon et de la sœur de son prêtre , il grandit en errant dans les bois, un jour Apol
ccupait ; Chrysès, fils d’Astinomé, fille elle-même de Chrysès, grand prêtre d’Apollon à Sminthe, avait pour père réel Agamemn
vait plusieurs temples à Rome desservis par un collége particulier de prêtres ayant seuls le droit de voir la statue de la dées
ce, ce culte importé à Pergame par Aristechme, était desservi par des prêtres dont le soin était d’offrir en sacrifice à Escula
la grandeur de celle du Jupiter olympien qu’on voyait à Athènes. Les prêtres de ce culte à Titanès admettaient à côté de la st
out le pouvoir, force Eumolpe à ne plus être autre chose que le grand prêtre de Cérès. » Le culte créé par Eumolpe, dont l’im
he dans la ciste. Lorsqu’on leur lisait les mystères sacrés, le grand prêtre leur adressait diverses questions, on les faisait
blanche en couronnant leur tête de bandelettes et de myrte. Alors les prêtres les saluaient du nom d’Eudémon, d’Olbios ou d’heu
instant de cette révélation sacrée de la présence des Dieux, le grand prêtre élevait solennellement le phalle et non le mylle
ond plat et à une anse, destiné à des aspersions sacrées, d’abord les prêtres remplissaient de vin deux de ces vases, puis les
l’océan de l’éternité. Toute l’initiation terminée, l’Hierophante ou prêtre principal, ou le révélateur des choses sacrées, c
vie, ainsi que des peines et des récompenses après la mort. Plusieurs prêtres figuraient spécialement dans cette cérémonie, sav
nt spécialement dans cette cérémonie, savoir : l’Hiérophante ou grand prêtre représentant le créateur de toutes choses, le Dad
être représentant le créateur de toutes choses, le Dadouque ou second prêtre , ou porte torche, symbole du soleil, l’Hierokeria
prêtre, ou porte torche, symbole du soleil, l’Hierokeria ou troisième prêtre , emblème de Mercure, l’Epibome ou le quatrième pr
ia ou troisième prêtre, emblème de Mercure, l’Epibome ou le quatrième prêtre chargé spécialement de l’autel, et figurant la lu
adorait aussi une Isis-Thesmophore ou législatrice des initiés et des prêtres . Les Thesmophories se célébraient dans un lieu ap
htonia des sacrifices annuels appelés Chthonies, pendant lesquels les prêtres , les magistrats, ainsi qu’une foule de personnes
miter l’union de Neptune métamorphosé en cheval avec Cérès, une jeune prêtresse et le plus jeune des prêtres, déguisé par une têt
rphosé en cheval avec Cérès, une jeune prêtresse et le plus jeune des prêtres , déguisé par une tête de cheval, étaient renfermé
Proserpine, en faisant disparaître subitement du milieu du temple la prêtresse qui jouait le rôle de la fille de Cérès, elles di
temples de Cérès sont venus jusqu’à nous, ainsi tels sont ceux de la prêtresse Nicippe, de Polos, qui apporta les mystères de la
verdure nouvelle vint à couvrir le bois. Ce conte une fois admis, les prêtres de cette déesse, voulant se donner un nouveau rel
tte cérémonie, on les faisait asseoir sur un banc, et aussitôt que le prêtre prononçait ces mots : que les esclaves libérés se
t cependant de l’auguste honneur d’avoir à Rome un Flamine Pomonal ou prêtre spécial. Seulement il tenait le dernier rang dans
cérémonie par une procession bien lugubre, composée du peuple et des prêtres , parmi lesquels on voyait force Canéphores, ou in
vin de la reine de Paphos. Quelle était l’idée interprétative que les prêtres anciens attachaient à Adonis, elle n’est point ar
, qui étaient à Cypre sans qu’on le sache positivement, ou de simples prêtres , ou des rois-pontifes. Parmi ces prêtres, le nom
positivement, ou de simples prêtres, ou des rois-pontifes. Parmi ces prêtres , le nom d’Agetor s’est conservé le plus long-temp
antes, et se célébraient en l’honneur de Vénus-Aphrodite. D'abord les prêtresses , le front couronné de myrte, s’avançaient vers le
e plus favorable, elles lui offraient leur chevelure, et aussitôt une prêtresse leur coupaient quelques mèches de cheveux, et les
fougue de ses passions. Profitant avec adresse de cette légende, les prêtres de ce temple firent croire que dès l’instant qu’o
x, et périt dans les flots. Cependant il paraît que par la suite, les prêtres de ce temple firent disparaître les dangers qui a
ple des dieux, demander aux flots la guérison de leur cœur. Ainsi les prêtres citaient le Grec Phobos et Macès de Buthrote, com
r ; ce qui probablement satisfaisait tout autant, et la déesse et les prêtres , dont les pêcheurs ne devaient assurément rien la
la famille sacerdotale des Tamirades ; on sait aussi que Mera fut une prêtresse zélée de Vénus ; d’après Stace enfin, nous ajoute
s. Enfin, c’est encore ici que se rattache l’histoire fabuleuse de la prêtresse de Vénus, désignée sous le nom de Hero. Elle étai
l’antiquité ; car aucune légende n’a laissé le nom de Héro, parmi les prêtresses de la déesse de Cythère. Si maintenant nous voulo
licence n’effrayait pas, s’était fait initier à ces mystères dont les prêtres passaient pour les hommes les plus infâmes ; Perf
de nos jours d’indiquer, et qui furent plus ou moins embellis par les prêtres et les poètes de la Grèce et de Rome. Après avoir
Si l’on cherche à ramener cette fable à l’histoire, on trouve qu’Io, prêtresse de Junon fut aimée d’Apis, roi d’Argos, surnommé
ille de la fortune avait un temple à Corynthe où personne excepté ses prêtresses ne pouvait entrer. Elle avait des mains de bronze
chez les Cyréniens ; Hellotide ou qui punit à Corynthe la mort de sa prêtresse Hellotis, réfugiée dans son temple ; Hippia, ou l
s ; d’autres fois c’est Hippa, nymphe du Tmolus ou bien les Dodonides prêtresses de Jupiter de Dodone. Quelquefois enfin, comme d’
hus était arrivée, on ornait son temple de pampres et de lierres, les prêtres promenaient processionnellement sa statue au mili
ns. Lorsque cette espèce de procession était de retour au temple, les prêtres brûlaient les entrailles de la victime, et le res
chus-Theœnus ; les Thyies des Eléens, revenaient chaque année, et les prêtres faisaient croire que Bacchus alors revenait rempl
miers propagateurs de son culte, furent les satyres, et ses premières prêtresses les naïades ; puis ses temples furent desservis p
es prêtresses les naïades ; puis ses temples furent desservis par des prêtres , dont les plus connus furent le Tyrrhenien Acetès
es plus connus furent le Tyrrhenien Acetès et Coresus de Calydon. Ces prêtres étaient appelés Bacchans ou Orgeanes ou Orgiophan
es. Cependant ils étaient toujours soumis aux ordres des Orgiastes ou prêtresses , car en Grèce, les femmes seules présidaient aux
femmes seules présidaient aux mystères de Bacchus et à ses fêtes. Ces prêtresses appelées aussi Bacchantes, portaient encore les n
t le protecteur contre leurs attaques, avait à Rome des autels et des prêtres pour les deservir. Ces prêtres appelés Luperces o
taques, avait à Rome des autels et des prêtres pour les deservir. Ces prêtres appelés Luperces ou Luperques, étaient divisés en
nt Viminal ; ses fêtes étaient les Dendrephories, dans lesquelles ses prêtres , qui formaient un des principaux colléges de Rome
er, il se battit contre Apollon, brisa son trépied sacré parce que sa prêtresse avait refusé de répondre à une question qu’il lui
urs, à l’exception de la plus jeune qui resta vierge et lui servit de prêtresse . Ce Thespius fils d’Erecthée ou d’Agénor ou de Ma
ée, père de Diomède, avec Péribée qui, s’étant laissée séduire par un prêtre de Mars, fut chassée par son père Hipponoüs, puis
a à lui dans le temple d’Apollon, à Delphes, malgré les menaces de la prêtresse Xénoclée. Hercule, après cet acte d’impiété et d
n et de Promachus ; Pyrène, qui donna son nom aux Pyrénées ; Rhéa, la prêtresse , mère d’Aventinus ; Tinga, veuve d’Antée, mère de
ans peur, de la Thesp. Stratonice ; Atys d’Omphale ; Aventinus, de la prêtresse Rhéa, et donna son nom au mont Aventin ; Bargalus
des filles, appelées Carmentales, le 11 et 15 janvier, et avait pour prêtres les Garmentales, composés de quinze flamines ; Ch
s particulièrement : Acontée, Amphimédon, Argus, le centaure Ampicus, prêtre de Cérès, Astrée, Atys, né de la nymphe Limniace
opators, divinités mystérieuses analogues dans l’Attique aux Cabires, prêtres rois, originaires de Samothrace, dont on adorait
ait, se faisaient avec de l’eau de mer, de fleuve ou de fontaine. Ses prêtres immolaient sur ses autels un taureau blanc ou un
de Phéniciens. Dans l’île de Samothrace, il lia connaissance avec les prêtres du culte pélasgique. Dans la Thrace, il fit explo
s Eumolpe, fils de Chioné, était, on s’en souvient, l’un des quatre prêtres fondateurs des mystères de Cérès ; Euphéme, né d’
res, sur le vaisseau Déliaque, orné de guirlandes, à la poupe, par un prêtre qui faisait ensuite une lustration dans la ville,
nt épouvantable. Du côté des Lapithes on voyait : Pirithoüs ; Ampycus prêtre et musicien que l’on fait tuer aux noces de Persé
ais Ménesthée, petit-fils d’Erechthée, avait excité les grands et les prêtres contre lui. Alors Thésée voyant que les Athéniens
es de saccager les forêts. Aussi pour les abattre, fallait-il que les prêtres eussent déclaré que ces bois venaient d’être aban
posées aux bains de cette déesse. A Argos, on donnait ce même nom aux prêtres de cette divinité. Glyphies, nymphes qui devaien
perdus à la bataille de Platée. Thémistiades ou nymphes de Thémis et prêtresses de son temple à Athènes. Cependant, quelques écri
uxième mois de l’année, les sacrifices se faisaient la nuit. Alors le prêtre , la tête découverte, après avoir lié la victime d
neur aux parques qu’ils invoquaient habituellement après Apollon. Des prêtres couronnés de fleurs leur immolaient des brebis no
es narcisses, de l’aubépine, de l’aune, du genièvre et du cyprès. Les prêtres de ces temples étaient appelés Besychides, et les
a côte égyptienne à son retour, avec sa femme Euménutis ; Calchas, le prêtre et l’oracle de l’armée grecque ; Cérane, cocher d
s ; Hippomaque, tué par Léontée ; Hipponoos, tué par Hector ; Hodios, prêtre et guerrier ; Hipsénor, tué par Déiphon ; Iase, f
elte, tué par Hector ; Opite, chef argien, tué par Hector ; Oresbios, prêtre et guerrier ; Oreste, tué par Hector ; Orsiloque,
décidé qu’Oreste serait la victime, on le remit entre les mains de la prêtresse Iphigénie, qui déjà balance le couteau sacré sur
vin fanatisme, traînèrent Iphigénie à l’autel ; mais, au moment où le prêtre bourreau allait exécuter son crime, Diane, moins
erge, et transporta la triste Iphigénie en Tauride, où elle en fit sa prêtresse . Thoas, roi de la Chersonèse Taurique, chercha va
ours sa virginité qu’elle avait consacrée à la déesse dont elle était prêtresse . Cependant, au bout de quelque temps, Thoas voulu
igénie, parce qu’elle se refusait à immoler son frère Oreste, mais la prêtresse plus adroite que le roi, quitta ses états, emmena
flammé qui était sur l’autel, et se préparait à crever les yeux de la prêtresse , lorsqu’Oreste paraît, lui explique le mystère qu
quand on aurait rendu la captive Chryséis à Chrysès, son père, grand prêtre d’Apollon dans un temple peu distant sur la côte
fut dans l’Asie Mineure, où il rencontra à Colophon Mopsus, devin et prêtre d’Apollon. Celui-ci, ayant proposé une énigme au-
son corps mis en croix ; Cléobule, tué par Ajax l’Oïlide ; Chorinée, prêtre troyen ; Chromis, chef misien, auxiliaire de Pria
, fils de Panthoos, fut tué par Ménélas ; Hypsénor, fils de Délopion, prêtre du Scamandre et blessé par Euripyle ; Hyrtaques,
cher, protégé d’Apollon et auxiliaire de Priam ; Panthoos ou Panthée, prêtre d’Apollon, résidait dans la ville, pendant le sié
fils de Polite ; Prytanis, fut tué par Turnus ; Salius, fondateur des prêtres saliens, en Italie ; Sergeste ; Sybaris, tué par
tius, jeune Rutule, aîné de Cydon ; Corynée, tué par Enée ; Cupenque, prêtre sabin, partisan de Turnus ; Daunus, mari de Vénil
us et de Vénilie et chef de l’armée réunie contre Enée ; Umbro, grand prêtre marse, tué par Enée ; Virbius, fils d’Hippolyte e
ils sur les dieux supérieurs de la téogonie égyptienne, telle que les prêtres la rédigèrent. Le premier principe du monde, suiv
e éminemment fécondateur ; Fré était spécialement adoré à Thèbes. Les prêtres Egyptiens supposèrent ensuite que Knef, après avo
i, lorsque ce temps était arrivé, si le taureau n’était pas mort, les prêtres le noyaient avec beaucoup de solennités dans les
argeait probablement et le plus souvent de faire découvrir. Quand les prêtres avaient trouvé leur nouveau dieu Apis, ils le con
onnification de la caste sacerdotale, et on lui a attribué ce que les prêtres d’Egypte avaient fait ; aussi, pour récompenser s
êtres d’Egypte avaient fait ; aussi, pour récompenser sa mémoire, ces prêtres firent de ce dieu la personnification de l’ame in
nt de ses inondations, telles étaient les fêtes de l’Egypte, dont les prêtres furent pendant de longs siècles en puissance du g
port avec les Cabires. Ils étaient surtout honorés à Carthage, et les prêtres des Abaddirs se nommaient Encaddirs. Baal était
érens oiseaux et serpens. Cette statue est toujours dans la maison du prêtre principal sur une table où se trouvent trois écue
r ses victimes. Pour donner à cette idole une horrible puissance, ses prêtres allumaient un grand feu dans l’intérieur de cette
mmander entre autre chose, d’une manière absolue, le respect pour ses prêtres ou Brahmes. Brahm, ou Parabrahma, ou Bagavan, o
mâ seul, ce qui forme le Brahmaisme, d’où le nom de Brahmes donné aux prêtres indiens ; d’autres réservent toute leur vénératio
audite des géans. C'est de ce lien que naquit la race des Brachmanes, prêtres fondateurs de la religion de Brahmâ, lesquels, av
ept Mounis, chefs des sept sphères célestes, souvent considérés comme prêtres ou Brahmanes, mais presque toujours regardés comm
arnations de Brahmâ ont toutes un caractère matériel. Les Brahmes, ou prêtres indiens, chefs des sectaires de Brahmâ, invoquent
de cette déesse, formées d’une certaine terre sacrée, gardée par des prêtres . Les initiés à ses mystères sont presque toujours
s femmes. Le jour de la récolte de l’orge qui a été ensemencé par les prêtres , les femmes vont chanter des hymnes autour du cha
premiers siècles du christianisme ; aussi, est-il possible que leurs prêtres aient modifié la fable et les légendes de leurs a
n des Castes ; ainsi l’artisan né des pieds de Dieu, ne peut se faire prêtre ou Brahme, né de la tête de Brahmâ ; aussi, l’inf
prêtre ou Brahme, né de la tête de Brahmâ ; aussi, l’influence de ces prêtres est tellement restée toute puissante sur les popu
fluence pour faire rentrer les impôts dans les caisses de l’état. Ces prêtres ou Brahmes qui ne peuvent dans aucune circonstanc
des hanches, et dont un bout retombe par devant. Les premiers de ces prêtres sont les Gourous, ou patriarches. A part les Brah
un croc par les chairs du dos. Lorsque l’on connaît l’exagération des prêtres et des anachorètes, il ne faut pas s’étonner de l
elant au salut et à la vie éternelle le monde entier ; tandis que les prêtres de Brahmâ, dans leur ascétisme mystique, défenden
e une hiérarchie pontificale, entièrement étrangère à la mobilité des prêtres sivaïtes, vichnouïtes et Bhavaniques, et n’ayant
t rien de l’aristocratie tyrannique de la corporation des Brahmes, ou prêtres brahmaïques. En effet, dans le Bouddhisme, on tro
Thibet. Dans le Brahmaïsme, le Vichnouïsme et le Sivaïsme, tout prêtre est égal, et la puissance aristocratique ne s’éte
out prêtre est égal, et la puissance aristocratique ne s’étend que du prêtre sur qui ne l’est pas ; au contraire, dans le Boud
biliter l’espèce humaine sur la terre, se localise dans le seul grand prêtre du Bouddhisme, grand-prêtre qui porte au Thibet l
voit dans les conclaves des cardinaux catholiques, avec lesquels ces prêtres ont la plus grande ressemblance, même par les ins
s Vadjra-Atcharias, ou religieux se destinant à la vie séculière. Les prêtres du Bouddhisme vivent en communauté dans des couve
Ces prières, à la rigueur, n’ont pas besoin d’être prononcées par les prêtres , et pourvu que des feuillets de cette bible soien
une déesse prissent la forme d’un singe. On le représente en habit de prêtre tibetain et assis sur la lune. Gné-Tséden est le
nde divinité adorée dans les lieux qui environnent le lac Samthéo. Sa prêtresse a sous sa direction tous les cloîtres des environ
ha, ont leur culte desservi dans des temples appelés Pagodes, par des prêtres nommés Bonzes. Cependant tout prouve que, dans le
s sous des berceaux, en pleine campagne. Le souverain devint le grand prêtre de ce culte dont il reste encore beaucoup de trac
t on lui a élevé une pagode à Kangton, toute remplie de lits pour les prêtres et les voyageurs ; deux énormes statues sont sous
re prié pour faire le bien. Nous avons dit que les Bonzes étaient les prêtres chinois, ce sont eux en effet qui desservent le c
sés et fanatiques, pourtant presque tous sont pauvres, tandis que les prêtres de la secte des Tao-ssé sont généralement riches 
d’une massue. Quand le tonnerre gronde, Topan est irrité ; alors les prêtres , pour l’apaiser, se couvrent la tête d’un feuilla
ilieu d’un cortége nombreux d’infanterie, de cavalerie, de nobles, de prêtres et de femmes. Daiboth, puissante divinité, repré
rand nombre de peuple. Ensuite viennent deux chevaux gras, suivis des prêtres et des grands. Toute cette troupe se dirige d’un
non, et de Kano, Amida, père de Gouannon, est, d’après les Bonzes ou prêtres Japonais, le suprême roi des cieux et des régions
il adoré. Le plus grand respect était fidèlement accordé aux mages ou prêtres qui se divisaient en Herbeds ou disciples, Mobeds
s statues ; elles avaient lieu au printemps et à l’automne ; le grand prêtre avait la tête ceinte d’un diadème, les assistans
Si nous abandonnons la Perse, ainsi que ses Dieux et ses mages, ou prêtres , pour nous diriger vers la Russie, nous trouvons
’immortalité de l’ame. Les forêts leur servaient de temples, et leurs prêtres réunissaient souvent l’autorité spirituelle et te
vent l’autorité spirituelle et temporelle ; aussi le pouvoir du grand prêtre égalait celui du roi. Voici quels étaient la plup
. On immolait aux pieds de cette idole des chrétiens prisonniers ; le prêtre buvait de leur sang, puis faisait entendre des pr
é et Vé ; aussi, pour avoir plus de droits au respect des hommes, les prêtres Scandinaves appelés Druides, prétendaient-ils des
alimens. Ordinairement ces idoles avaient six pieds de haut, et leurs prêtres portaient aussi le nom d’Alrunes, ainsi que les l
ou le présent, Skalda, ou l’avenir. Skalda donna son nom aux Scaldes, prêtres Scandinaves qui prédisaient l’avenir. Les Nans ét
magie, aux sorts, aux présages et légèrement à la métempsycose. Leurs prêtres , appelés Druides, avaient un pouvoir immense ; le
e. Leurs prêtres, appelés Druides, avaient un pouvoir immense ; leurs prêtresses , portant le nom de Druidesses, avaient également
nt également un caractère sacré, et il en était de même des Senae, ou prêtresses qui desservaient l’oracle lunaire de l’île de Sai
es peuples qui habitaient la Hongrie. Pouster, dieu Germain, que les prêtres consultaient devant tout le monde, lorsqu’ils ava
la bouche et à la main droite qui se trouvait placée sur sa tête. Ses prêtres la remplissaient d’eau et de combustibles, boucha
ateurs qui croyaient le dieu irrité, ne manquaient pas d’enrichir les prêtres , et faisaient de nombreuses offrandes à leur dieu
resbourg, où il avait un temple magnifique qui était desservi par des prêtres et des prêtresses. Les premiers s’occupaient des
avait un temple magnifique qui était desservi par des prêtres et des prêtresses . Les premiers s’occupaient des sacrifices et du c
et du choix des victimes ; les secondes prophétisaient. C'étaient les prêtres d’Irminsul qui constituaient les juges des Teuton
utons et les nommaient aux emplois. Lorsqu’on marchait au combat, les prêtres portaient la statue de ce dieu au milieu des bata
on trouvait : Asminius, espèce d’Hermès chez les Chérusques, dont les prêtres , tous fanatiques, étaient armés d’une puissance t
mère, présidant à la lune, à la navigation, et dont on croit que les prêtresses étaient les mêmes que les devineresses appelées N
ommerce, à l’intelligence, à la parole, aux combats. Les Druides, ses prêtres , et les Druidesses, ses prêtresses, le regardaien
parole, aux combats. Les Druides, ses prêtres, et les Druidesses, ses prêtresses , le regardaient comme le principe actif du monde.
rgine, dieu des Cénomans ou manceaux, avait un temple à Brixia et une prêtresse . On le représentait avec les traits d’un jeune ho
ire ne suffisait plus, il lui fallait du sang humain. Aussitôt que le prêtre avait tiré quelques gouttes de sang à celui qui a
ent de l’année, on célébrait en son honneur une fête dans laquelle le prêtre remplissait de bière une coupe et en jetait le co
le brillant privilége de prévenir la stérilité des femmes ; aussi ses prêtres gagnaient-ils beaucoup d’argent en donnant à boir
es ordres tous les êtres malfaisans, soit animés, soit inanimés ; ses prêtres , appelés Chamans, anéantissaient sa cruauté par d
ages qu’on leur rendait au fond des forêts-vierges de la Germanie, le prêtre était revêtu d’habits de femme. Andaté, déesse d
iviléges que quelques familles avaient, de pouvoir seules fournir des prêtres au service des autels. Dieux Américains.
ng à Toïa, en prononçant trois fois son nom. Pendant ces fêtes, trois prêtres s’enfoncaient dans la forêt pour consulter le die
s traits d’un bel homme lorsqu’on l’invoquait, mais il fallait quatre prêtres pour que les conjurations fussent efficaces, et j
ragés pendant leur campagne par les miracles de leur dieu, que quatre prêtres portaient dans une arche en roseaux. Sa mère Koat
sacrifice d’une femme : ensuite venaient des jeux ; puis le soir, les prêtres couraient les rues et frappaient les filles et le
es, quoique faites souvent avec les matières les plus précieuses. Les prêtres Mexicains étaient, pour ainsi dire, autant adorés
is, et aux écoles ecclésiastiques ; puis, en sous ordre, venaient les prêtresses , et les différens ordres religieux, dont les memb
is. Kamachtlé était le plus célèbre des dieux des Tlascaltèques. Ses prêtres , pour l’honorer, jeûnaient et se faisaient avec d
iappen, dieu de la guerre, était adoré surtout chez les Tuniates. Ses prêtres , avant de l’interroger, s’abstenaient de sel et d
représentait sous la forme du fruit du Tamaraka orné de plumes ; les prêtres mettaient aussi ses images au bout de longs bâton
ue est revêtue de tissus en coton. Lorsque l’on célèbre ses fêtes, la prêtresse jette dans le cratère du volcan de Kérouia, de la
94, 115, 134, 160, 160, 176. Gragalée, 100. Grande Déesse, 326. Grand Prêtre , 494. Grands Lares, 254. Gration, 34, 36, 81. Gra
0, Salète, 203. Salganeus, 88. Saliares Dapes, 71. Saliens (les douze prêtres ), 70. Saligena, 158. Salisubsolus, 67. Salius, 37
2 (1850) Précis élémentaire de mythologie
’endroit où l’Achéron se jette dans le Tibre, et on la lavait. 4. Les prêtres de Cybèle portaient le nom de galli, parce que le
uma éleva un temple, après avoir institué un collège de vestales. Ces prêtresses n’étaient d’abord qu’au nombre de quatre, mais da
apprenait que le feu sacré était éteint, et l’on sévissait contre les prêtresses coupables. La vestale qui avait transgressé ses v
s étaient celles qu’on célébrait à Rome ? 4. Comment s’appelaient ses prêtres  ? D’où leur venaient ces noms ? Quels sacrifices
t les mains assez pures Pour présider ici sur les honneurs divins, Et prêtres vous offrir les vœux des pèlerins ? Jupiter exauç
ieurs temples à Rome ; le plus célèbre est celui de Mars vengeur. Les prêtres au service de ce temple portaient le nom de salie
bouclier sacré tombé du ciel. Chaque année, à un jour déterminé, ces prêtres faisaient le tour de Rome en |portant ces bouclie
uel était le premier de ses temples à Rome ? Quel était le nom de ses prêtres  ? Comment célébraient-ils sa fête ? 6. Comment Ma
ltaient sans retenue ceux qui ne s’associaient pas à leur fureur. Les prêtresses de ce dieu, appelées ménades ou bacchantes, coura
t le narcisse, le capillaire et le cyprès, l’arbre des tombeaux ; ses prêtres en étaient couronnés. On le représente de différe
n pensait que Romulus et Rémus avaient été nourris par une louve. Les prêtres du dieu Pan se nommaient luperci. 3. On ne versai
le fête se célébrait à Rome en son honneur ? Comment se nommaient ses prêtres  ? 3. Quelles victimes lui offrait-on ? Comment ét
ité, étaient aussi très-célèbres. Ils étaient servis par une foule de prêtres qui honoraient cette déesse au jour de ses fêtes
lieux avait-elle d’autres temples ? Quelles cérémonies faisaient ses prêtres pour l’honorer ? 3. Où étaient renfermées les Tem
onze. A Corinthe, elle avait un temple où personne, à l’exception des prêtres , n’avait le droit d’entrer. 4. L’Occasion était l
à la place d’Iphigénie, et qu’elle fit de cette princesse une de ses prêtresses . 5. Les Grecs ayant ainsi satisfait aux arrêts du
de vouloir se venger d’Achille qui l’avait obligé à rendre à Chrysès, prêtre d’Apollon, sa fille Chryséïs. Par représailles le
uire ce cheval dans leurs murs. Laocoon, fils de Priam et d’Hécube et prêtre d’Apollon et de Neptune, se douta de la perfidie
oracles furent ceux de Delphes, de Délos, de Claros et de Patare. La prêtresse de Dodone s’illustra aussi dans l’art de la divin
, s’était mise très-souvent en rapport direct avec les hommes. Or les prêtres et les prêtresses des idoles exploitaient au prof
très-souvent en rapport direct avec les hommes. Or les prêtres et les prêtresses des idoles exploitaient au profit de leur puissan
-on, toutes les destinées de Rome. Ces livres étaient gardés par deux prêtres appelés duumvirs, et ils étaient consultés dans t
spéculaient sur la crédulité du vulgaire. Mais le plus grand tort des prêtres fut de renfermer dans le secret de leur sanctuair
s pratiques, ainsi que par les théories nuageuses et spéculatives des prêtres philosophes ; mais elle était plus voisine de la
me parce qu’il servait à l’autel. Il y avait encore au-dessous de ces prêtres du premier rang plusieurs officiers inférieurs, t
e sort des livres sibyllins ? 6. Quelles étaient les dispositions des prêtres anciens par rapport aux vérités qu’ils connaissai
es génies malfaisants (daïlias). Nous verrons plus loin comment leurs prêtres expliquent la formation du genre humain. 3. Visch
n’ont pas d’autre droit que de faire des présents aux brahmines. Ces prêtres entretiennent dans le peuple les superstitions le
ères, ils formaient une tribu, une caste particulière, comme tous les prêtres de l’Orient, et ils n’admettaient dans leur sein
nous l’expliquerons à l’occasion de Zoroastre ; mais, à l’exemple des prêtres égyptiens, ils tenaient secrètes leurs doctrines,
’une idole de bois servie, sous le nom de Bel, par un grand nombre de prêtres qui faisaient croire à la multitude que leur dieu
ieu et la destinée de l’homme. Daniel avait convaincu d’imposture les prêtres des idoles ; et les rois de Perse, touchés par sa
ouvaient supporter ces terribles épreuves recevaient de la bouche des prêtres des dogmes mystérieux qu’ils ne devaient point vi
sont canoniques, et leur réunion forme une sorte de bréviaire que les prêtres doivent réciter tous les jours avant le lever du
pposent les esclaves d’Ahrimann, se confessent à Ormuzd ou bien à ses prêtres de leurs fautes, font des prières contre Ahrimann
l’unité de Dieu n’ait été le fondement de la religion égyptienne. Les prêtres savaient que l’Etre suprême est unique, et qu’on
de la cité où le temple avait été construit, et la dignité de chaque prêtre dépendait ensuite de l’élévation du dieu qu’il se
e cérémonies9. » Questionnaire. 1. Quelle était la croyance des prêtres égyptiens ? Quels étaient leurs livres ? 2. Le pe
attachés à sa famille ne rendissent ce son prophétique10. » 4. Leurs prêtres portaient le nom de druides. Ce nom venait du mot
ronostics que la crédulité du peuple admettait, et qui permettait aux prêtres de se mêler à tout. Ainsi, au nom du ciel, ils co
puissions déterminer d’une manière bien positive les croyances de ces prêtres , il paraît certain qu’ils admettaient l’éternité
ait à y poursuivre le buffle et le loup dans d’éternelles forêts ; le prêtre à instruire les fidèles ; le client à servir son
ère de cuivre, de longs couteaux et un escabeau. Lorsque ces hideuses prêtresses avaient choisi une victime parmi les captifs, ell
, on le remplissait d’hommes vivants, on le plaçait sur un bûcher, un prêtre y jetait une torche brûlante, et le colosse dispa
osaient-ils à ces esprits sur la nature ? 4. Comment s’appelaient les prêtres gaulois ? Quelle était l’origine de ce nom ? En c
s, 98. Chronologie, 156. Chryséis, fille de Chrysès, 144. Chrysès, prêtre d’Apollon, 144. Chute de l’homme, connue des Per
0. Corinne , 137. Corinthe, v. de la Grèce, 137, 156. Corybantes, prêtres de Cybèle, 18. Couronne d’olivier, prix aux jeux
de Vénus. 59. Cythérée, un des noms de Vénus, 59. D Dactyles, prêtres de Cybèle, 18. Dadouche, pers. des mystères, 164
s Perses, 172 et suiv. Dodone, oracle et forêt, 26, 106, 146 ; — sa prêtresse , 158. Dolius, un des noms de Mercure, 43. Drago
n de Jason, 107 ; — des Hespérides, 114 ; — de Cadmus, 136. Druides, prêtres des Gaulois, 185. Dryades, nymphes, 62. Duumvir
e, un des noms de Diane, 39. Lupercales, fêtes de Pan, 76. Luperci, prêtres de Pan, 76. Lutte, jeu en Grèce, 155. Luxe, pèr
me, fils d’Achille, 147. Pythagore , philosophe grec, 157. Pythie, prêtresse d’Apollon, 459. Pythien, surnom d’Apollon, 32.
iens et Pythiques, jeux en l’honneur d’Apollon, 32, 155. Pythonisse, prêtresse d’Apollon, 32. Q Quinquatria, fêtes de Min
ou Satan, 173. Salente, ville d’Hespérie ou d’Italie, 149. Saliens, prêtres de Mars, 49. Samia, temple de Junon à Samos, 29.
ertumne, dieu de l’automne, 79. Vesta, déesse du feu, 19. Vestales, prêtresses de Vesta, 19. Viales, div. des chemins, 84. Via
3 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
sait en leur honneur des mystères, des cérémonies, et des colléges de prêtres destinés à leur service. Le nombre des héros et d
’infidélité. L’histoire contredit cette fable, et rapporte qu’Onarus, prêtre , ou plutôt confident de Bacchus, enleva cette pri
e dernière fable. Hercule ayant été consulter l’oracle de Delphes, la prêtresse lui fit une réponse défavorable : Hercule, mécont
qui désolait la ville de Thèbes. Elle fit appuyer sa calomnie par des prêtres  ; ils déclarèrent, au nom de l’oracle, que le flé
qu’on immolant les deux enfans de Néphélé. Phryxus, averti par un des prêtres de l’oracle, du funeste projet d’Ino, fit équiper
liens sont prêts à succomber. Les plus sages vieillards alors, et les prêtres les plus vénérables, sont députés vers Méléagre,
e de Calydon nous engage à placer ici l’histoire de Corésus. Ce grand prêtre de Bacchus ne put voir Callirhoé, princesse du sa
trouvait la piscine : elle servait à contenir l’eau lustrale que les prêtres employaient à purifier et expier ceux qui voulaie
à prouver que les oracles n’ont d’autre origine que la fourberie des prêtres . M. de Fontenelle, avec son discernement, son cha
s savant que celui de Van-Dale, dans lequel sans nier l’imposture des prêtres , qui fut souvent mêlée dans les oracles, il prouv
roi, la curiosité d’un homme riche, l’indiscrétion, l’infidélité d’un prêtre , la jalousie qui devait naître entre les oracles
s oracles ne se rendaient pas tous de la même manière. Quelquefois la prêtresse parlait au nom du dieu : d’autrefois le dieu lui-
ant, lorsque Alexandre alla dans la Libye consulter Jupiter Ammon, le prêtre , en le voyant, l’appela fils de Jupiter : c’était
e a cherché quel événement avait pu donner lieu à cette fiction. Deux prêtresses de Thèbes, dit cet auteur, furent enlevées par de
hêne une petite chapelle en l’honneur de Jupiter, dont elle avait été prêtresse à Thèbes. Hérodote ajoute que l’on donna le nom
nt, avait été tirée de cette forêt. Oracle d’Ammon. La seconde prêtresse enlevée par les Phéniciens fut conduite dans la L
r modérer l’inquiète et active curiosité des hommes sur l’avenir. Des prêtres succédèrent à cette femme, et s’emparèrent du soi
nt Jupiter Àmmon avec une tête de bélier et des cornes. Quatre-vingts prêtres de ce dieu portaient sa statue sur leurs épaules,
t. Une nombreuse troupe de jeunes filles et de dames accompagnait ces prêtres , et chantait des hymnes à l’honneur de Jupiter. L
un grand nombre de patères d’argent qui pendaient des deux côtés. Les prêtres annonçaient les décisions de leur Ammon, sur quel
transmises par Quinte-Curce et par Diodore de Sicile. Quelquefois les prêtres d’Ammon se montraient incorruptibles. Lysandre, a
s moyens de corruption pour obtenir les réponses qu’il désirait ; les prêtres de Jupiter envoyèrent à Sparte une ambassade sole
solennelle pour former contre lui une accusation publique. Ces mêmes prêtres , cependant, prévinrent en quelque sorte la vanité
spèce de chaise, et recevait les exhalaisons sans aucun risque. Cette prêtresse reçut le nom de Pythie, à cause du serpent Python
ant le reste de l’année, il était défendu, sous peine de la vie, à la prêtresse , d’aller consulter Apollon. Alexandre, avant son
ce, indigné d’être arrêté par un pareil obstacle, arracha de force la prêtresse de sa cellule, et la conduisit lui-même au sanctu
ir les victimes, inspecter les entrailles et en tirer des augures. La prêtresse se préparait par un jeûne de trois jours. Avant d
, qui faisait trembler l’édifice jusque dans ses fondemens. Alors les prêtres , que l’on nommait aussi les prophètes, prenaient
orme du vers, une liaison qu’elles n’avaient pas dans la bouche de la prêtresse . Dès que l’oracle était prononcé, on retirait la
prix de son enthousiasme. La Pythie n’était que l’instrument dont les prêtres se servaient pour découvrir la volonté d’Apollon.
ont les prêtres se servaient pour découvrir la volonté d’Apollon. Les prêtres ou prophètes étaient chargés de tous les autres s
ient chargés de tous les autres soins. C’étaient eux qui plaçaient la prêtresse de manière à recevoir la vapeur qui s’exhalait de
quefois la Pythie faisait elle-même ses réponses en vers ; on cite la prêtresse Phémonoé. Par la suite, on se contenta de parler
suite il écrivait sur un tableau ce qu’il avait vu ou entendu, et les prêtres alors servaient d’interprètes. Pausanias ajoute
eu ne contenait pas des trésors. Son corps fut trouvé loin de là. Les prêtres , probablement instruits de son dessein, le massac
avait écrit ces mots : T’immolerai-je un taureau blanc ou noir. Une prêtresse de Dodone fit une réponse qui lui devint funeste.
mais on n’osa les punir sans jugement. On leur donna pour juges deux prêtresses et deux hommes. Les deux prêtresses les condamnèr
nt. On leur donna pour juges deux prêtresses et deux hommes. Les deux prêtresses les condamnèrent, les deux hommes furent d’un avi
cette Sibylle. On l’appelait Déiphobe. Elle était fille de Glaucus et prêtresse d’Apollon. Ce dieu voulut la rendre sensible, et
i faisaient entendre les réponses de la prophétesse. Elle était aussi prêtresse d’Hécate, et les bois sacrés de l’Averne étaient
ès que ce roi en eut fait l’acquisition, il en confia la garde à deux prêtres particuliers, nommés Duumvirs, dont le ministère
passer pour un homme inspiré par les dieux, soit qu’il fût le premier prêtre ou le chef du culte qu’on rendait au dieu Odin. O
ns, et que l’ignorance des âges suivans confondit la divinité avec le prêtre , et fit, des attributs de l’une, et de l’histoire
ait dans le grand temple. Les absens envoyaient leurs présens, et les prêtres étaient chargés de les recevoir. Les étrangers ac
la fumée s’élevait directement. Lorsque l’on immolait une victime, le prêtre disait : Je te dévoue à Odin, je l’envoie à Odin,
rage, ne se pressa plus autant d’entrer dans cet ordre. Le nombre des prêtres diminua, et les préceptes de la religion furent b
sur leur doctrine. 1°. Il faut être enseigné dans les bocages par les prêtres sacrés. 2°. Le gui doit être cueilli avec un gran
rmaient véritablement que deux classes. La première était composée de prêtresses , et les femmes de la seconde classe n’étaient que
s, et les femmes de la seconde classe n’étaient que les ministres des prêtresses , dont elles devaient exécuter les ordres. La deme
4 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
avait consacré un feu éternel qui était sans cesse entretenu par six prêtresses nommées Vestales, et choisies dans les familles l
e sur un char traîné par quatre lions. Le pin lui était consacré. Ses prêtres , appelés Galles, Corybantes, Dactyles, l’honoraie
de Vesta ? — Comment la représente-t-on ? — Quels noms portaient ses prêtres , et comment l’honoraient-ils ? III. — Jupiter
fut confié aux Corybantes, qui l’élevèrent dans l’île de Crète4 ; les prêtres de Cybèle dansaient autour du berceau du jeune Di
s, et se célébraient par toute espèce de débauches. Les bacchantes ou prêtresses du Dieu parcouraient les campagnes, vêtues de pea
onoré à Rome que partout ailleurs ; Numa Pompilius lui consacra douze prêtres nommés saliens parce qu’ils célébraient leurs fêt
êtes qui furent nommées Lupercales ; pendant qu’on les célébrait, les prêtres de Pan, couverts de la peau des boucs et des chèv
es fleurs ; on la considérait aussi comme la Déesse du printemps. Les prêtresses de cette Déesse célébraient ses fêtes, nommées Fl
qu’après en avoir éloigné les Hamadryades par des cérémonies que les prêtres accomplissaient. Il y avait encore les Napées, qu
son pouvoir suprême. Elle avait à Corinthe un temple dans lequel ses prêtresses seules avaient le droit de pénétrer. On la représ
udes du mont Rhodope62, où il fuyait la vue de toutes les femmes. Les prêtresses de Bacchus, irritées de cette sombre douleur, qu’
satisfaire à la cruelle exigence de la Déesse ; mais, au moment où le prêtre tenait le couteau levé sur la princesse qu’il all
énétra les armes à la main dans le temple de Minerve et en arracha la prêtresse Cassandre76. La Déesse, irritée de cette violatio
artie. Culte rendu aux Dieux du paganisme. I. — Les Temples, les Prêtres et les Sacrifices. On croit généralement que l
uteur, et formées chacune d’un seul bloc85. Chaque divinité avait ses prêtres propres, qui étaient chargés de veiller à son cul
breux et qui jouissait de grands priviléges. Les plus célèbres de ces prêtres étaient les Flamines, prêtres de Jupiter, de Mars
ds priviléges. Les plus célèbres de ces prêtres étaient les Flamines, prêtres de Jupiter, de Mars et de plusieurs autres Dieux,
gnaient le front d’une bandelette de lin nommée flamen ; les Saliens, prêtres de Mars, commis à la garde des boucliers sacrés ;
, commis à la garde des boucliers sacrés ; les Curètes ou Corybantes, prêtres de Cybèle ; les Vestales, chargées d’entretenir l
s Romains ? — Le culte des faux Dieux n’était-il pas desservi par des prêtres  ? — Quels sont les plus connus ? — Par quels sacr
le. Ces impostures étaient une source constante de richesses pour les prêtres , qui recevaient des présents considérables de tou
e. Il fut fondé par une femme égyptienne nommée Péléia, qui avait été prêtresse de Jupiter à Thèbes, et qui, après avoir été enle
iter Ammon 87 a la même origine que celui de la forêt de Dodone ; une prêtresse égyptienne transportée en Libye par les Phénicien
e, et l’on vint en foule la consulter des pays les plus éloignés. Les prêtres qui lui succédèrent construisirent un temple, et
résentait le Dieu avec une tête de bélier ; quelquefois quatre-vingts prêtres , portant cette statue sur leurs épaules, parcoura
siége à trois pieds que l’on nomma trépied, et l’on y fit monter une prêtresse que l’on nomma Pythie, à cause du serpent nommé P
fut dévolu au Dieu des vers, qui en resta maître jusqu’à la fin. Les prêtres recueillaient les mots sans ordre que la Pythie l
vu ou cru voir pendant son séjour dans ces lieux souterrains, et les prêtres lui en donnaient l’explication. Il y avait un nom
e toutes ; elle se nommait Déiphobe ; elle était fille de Glaucus, et prêtresse d’Apollon et d’Hécate. On croyait qu’elle avait v
les lieux mêmes où elle avait rendu ses oracles, et il y avait quinze prêtres chargés de conserver le dépôt de ces vers, que l’
pièces d’or qu’elle exigeait. Ces recueils étaient conservés par deux prêtres commis à ce soin, et il fallait un ordre du sénat
s que les Égyptiens observaient dans l’enterrement de leurs morts. Un prêtre allait prendre le mort, c’est la fonction que les
c’est la fonction que les Grecs ont attribuée à Mercure ; ce premier prêtre conduisait le corps à un second, qui avait un mas
5 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
et ses cris plaintifs, Rhéa, qu’on nomme aussi Cybèle, ordonna à ses prêtres de couvrir la voix de l’enfant par des cris qu’il
frappés d’admiration et de reconnaissance, demandèrent à devenir les prêtres de ce temple ; leur vœu fut exaucé. Ils désirèren
onsacré à Apollon, où le dieu rendait des oracles par la bouche de sa prêtresse qu’on appelait la Pythie ou Pythonisse. La Pythie
ouleurs, des mots mal articulés sortaient de sa bouche écumante ; les prêtres du temple les recueillaient, leur donnaient la fo
livraient ainsi à la curiosité de ceux qui étaient venus consulter la prêtresse . Ces tourments de l’inspiration prophétique ont é
leurs armes sous la vigilance et la protection du dieu. Les Saliens, prêtres de Mars, formaient à Rome un collége sacerdotal t
le considéraient-ils pas comme leur père ? — Comment se nommaient les prêtres de Mars ? — Quelle cérémonie faisaient-ils tous l
es ceux de Bonne Déesse et de Mère des dieux. Cybèle choisit pour son prêtre , Atys, berger phrygien. Elle lui confia le soin d
soin de son culte, et lui commanda de faire vœu de chasteté. Le jeune prêtre désobéit en s’alliant à la nymphe Sangaride. La d
aire de la Phrygie, d’où il passa dans la Grèce et dans l’Italie. Les prêtres de Cybèle, qu’on appelle Galles, Curètes, Coryban
ta était le symbole du feu sacré. On lui éleva un temple où de jeunes prêtresses , vouées à la virginité et honorées sous le nom de
oms lui donne-t-on encore ? — Comment traita-t-elle Atys, l’un de ses prêtres  ? — Quel nom donnait-on aux prêtres de Cybèle ? —
t traita-t-elle Atys, l’un de ses prêtres ? — Quel nom donnait-on aux prêtres de Cybèle ? — Comment représente-t-on Cybèle ? — 
s ? — Quelle était la fonction de Vesta ? — Quel nom donnait-on à ses prêtresses  ? — Quels vœux faisaient-elles ? § 2. Cérès.
oi de Thrace, perdit la vue pour avoir voulu arrêter la marche de ses prêtres . L’aventure des filles de Minée n’est pas moins t
s fronts. Ni les conseils de leurs parents, ni les avertissements des prêtres , ni les menaces faites au nom de Bacchus, ne fléc
ance ? — Quel fut le précepteur de Bacchus ? — Comment nommait-on les prêtresses de Bacchus ? — Quelles furent les victimes de la
l. Le cyprès, le narcisse et la capillaire lui étaient consacrés. Ses prêtres étaient couronnés de cyprès, l’arbre des tombeaux
Le siége dura dix ans. Achille et Agamemnon se divisèrent. Chrysès, prêtre d’Apollon, était venu réclamer sa fille Chryséis,
machine que les Grecs avaient élevée. Sourds aux conseils de Laocoon, prêtre de Neptune, trompés par la perfidie d’un transfug
t enfin de l’agiter, lorsqu’il eut délivré sa sœur Iphigénie, devenue prêtresse de Diane en Tauride, et tué Thoas, qui sacrifiait
on bras droit, Brahmâ fit sortir ensuite un guerrier pour défendre le prêtre  ; puis de sa cuisse il tira un troisième homme, l
il tira un troisième homme, laboureur et commerçant, pour nourrir le prêtre et le guerrier par l’agriculture, et les enrichir
des images, et un culte spécial accompagné de cérémonies sacrées. Les prêtres qui les accomplissent sont les Mages, caste puiss
ouvaient supporter ces terribles épreuves recevaient de la bouche des prêtres des dogmes mystérieux qu’ils ne devaient point di
ont exposées dans le Zend-Avesta, livre sacré, composé par Zoroastre, prêtre et réformateur du culte des Mages. Questionnai
II. Croyances des Égyptiens. Osiris, Isis, Typhon, Horus. Les prêtres de l’Égypte, dépositaires de la science et tout-p
de l’Égypte sont l’ouvrage d’Hermès, et c’est de lui que relèvent les prêtres , comme les rois se rattachent à Osiris. Après la
ait le dieu des batailles ; Bélénus, dieu de la lumière. Les druides, prêtres de cette religion, étaient les dépositaires d’une
els étaient les principales divinités des Gaulois ? — Le nom de leurs prêtres  ? — Celui de leurs poëtes ? 1. Idolâtrie es
6 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
acé. Cet usage s’étoit maintenu par un motif d’utilité publique ; les prêtres d’Egypte refusoient le passage du lac à ceux qui
ide. Cybèle, pour s’en venger, métamorphosa le jeune Atis en pin. Les prêtres de Cybèle étoient les Cabires, les Telchines (esp
fable beaucoup plus ingénieuse que celle-ci. Les Flamines étoient des prêtres ou sacrificateurs, celui de Jupiter, appelé Flami
lèbre Epimenide de Crète leur en fit élever un superbe à Athènes, les prêtres s’y nommoient Bésychides. Dans les Coëphores, tra
cette cérémonie ; ensuite l’initié passoit dans le sanctuaire dont le prêtre tiroit le voile, et tout étoit alors dans une gra
me s’appeloit le ministre de l’autel. Il y avoit en outre beaucoup de prêtres subalternes. On garda long-temps un secret impéné
lus difficile de voler le véritable, et il en confia la garde à douze prêtres qu’il institua et qu’il nomma Saliens. Quand on p
l’infamie de leurs mœurs et de leurs mystères, les Bacchantes, comme prêtresses d’un Dieu puissant, étoient fort respectées : l’h
ête. Vesta. Déesse du feu, fille de Saturne et de Rhéa. Les prêtresses de ses temples s’appeloient Vestales, elles ne po
et l’épousa, en disant que de l’union d’un pontife du Soleil et d’une prêtresse de Vesta, il ne pouvoit manquer de sortir une rac
tale s’étoit rendue indigne de le conserver. Emillie, en présence des prêtres et des vestales, s’avança vers l’autel, invoqua V
ons au sort celui que Vénus établira roi de la table . Héro étoit une prêtresse de Vénus ; Léandre l’aima, il passoit à la nage l
Telle fut l’origine du fameux tribunal appelé l’aréopage. A Rome les prêtres de Mars, appelés Saliens, gardoient les anciles o
tes les filles du bourg de se marier sans avoir fait les fonctions de prêtresse dans le temple de Diane ; delà vint qu’elles assi
élèbre par ses oracles : le plus fameux étoit celui de Delphes29. Les prêtres d’Apollon étoient très-révérés. Ce fut pour avoir
ou de chênes résonnans, interprétés par les Dodonides qui étoient les prêtresses du temple. Une vieille femme, nommée Pélias, étoi
sang, certaines fêtes de Cybèle et de Bellone, dans lesquelles leurs prêtres , transportés de fureur, se couvroient de sang en
nt des incisions sur tout le corps. Aux lupercales, fêtes de Pan, ses prêtres , les Luperques, armés de fouets, étoient autorisé
lloit que la genisse, sa mère, l’eut conçu d’un coup de tonnerre. Les prêtres d’Égypte sans doute imprimoient secrètement à que
perdu récemment Osiris, et le deuil durcit jusqu’à ce qu’il plût aux prêtres de nommer son successeur. Alors on se réjouissoit
7 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
différentes espèces. On nommait les fêtes de Cybèle Megalesia, et ses prêtres Galli, à cause d’un certain fleuve de Phrygie de
qui signifie un doigt ; parce qu’au commencement ils étaient dix. Ces prêtres célébraient les fêtes de Cybèle avec des cris con
it surtout honoré, et Vénus se sauva en Cypre. Les Saliens. Les prêtres du dieu Mars se nommaient Saliens, parce que, pen
différens pays. L’empereur Héliogabale, qui se glorifiait d’avoir été prêtre du soleil, lui consacra un temple à Rome. On lui
si épouvantable que,le temple en fut ébranlé jusqu’aux fondemens. Le prêtre , qui reconnut la métamorphose d’Esculape rassura
s manières : tantôt c’était le dieu lui-même qui répondait, tantôt la prêtresse  ; une autre fois le dieu s’expliquait dans le som
i, furent comparés aux trésors du roi de Perse. On nommait Pythie, la prêtresse d’Apollon qui présidait au temple de Delphes. Le
e qu’Apollon lui avait communiqué sa vertu. Ensuite, on conduisait la prêtresse dans le sanctuaire : là, placée sur la cortina ou
es, était fille de Glaucus. Elle naquit à Cumes dans l’Eolide, et fut prêtresse d’Apollon. Ce dieu la trouvant belle, n’épargna r
ent portes autant de voix terribles qui répétaient les réponses de la prêtresse . Cumane fut aussi prêtresse d’Hécate, qui l’avait
rribles qui répétaient les réponses de la prêtresse. Cumane fut aussi prêtresse d’Hécate, qui l’avait faite gardienne des bois de
l’avenir. Laocoon Laocoon, fils de Priam et d’Hécube, était prêtre d’Apollon et de Neptune. Il s’opposa fortement à
rs immortels, nous offre un effrayant tableau de la mort de Laocoon. Prêtre du dieu des mers, pour le rendre propice, Laocoon
exhale sa rage en hurlemens terribles. Tel d’un coup incertain par le prêtre frappé, Mugit un fier taureau de l’autel échappé,
ne troupe de femmes qui, aux fêtes de Bacchus, faisaient l’office des prêtres et des sacrificateurs. C’étaient des espèces de f
violentes, et allaient jusqu’à tuer ceux qu’elles rencontraient. Ces prêtresses de Bacchus couraient partout comme des furies, vê
s autels ; mais quelle que fut la victime amenée dans son temple, les prêtres lui en présentaient toujours le fiel, par analogi
u Luperques. On nommait Luperces ou Luperques les ministres et les prêtres du dieu Pan. Dans les solennités, ces prêtres qui
es les ministres et les prêtres du dieu Pan. Dans les solennités, ces prêtres quittaient leurs habits, et couraient comme des f
autrefois Rémus et Romulus des troupeaux qu’on leur avait volés. Ces prêtres étaient les plus anciens de la religion païenne à
sternation dans la ville. Les habitans eurent recours à l’oracle ; la prêtresse leur répondit qu’ils n’avaient rien à craindre. E
a patronne des dames romaines. Fauna avait à Rome un temple, dont les prêtres distribuaient au peuple de simples pour toutes le
une verdure nouvelle. Ce miracle accrédita tellement Féronie, que ses prêtres osaient se vanter de marcher pieds nus, sans se b
ne dans l’autre, comme on se les donne en signe de bienveillance. Ses prêtres , pour faire connaître qu’ils agissaient, avec une
urquoi Oreste et Pylade qui l’accompagnait, furent conduits au grande prêtre Thoas, qui, se laissant toucher à leur malheur, v
amis s’offrait pour l’autre. Le sort ayant désigné Oreste, Iphigénie, prêtresse de la déesse, allait l’immoler lorsqu’elle reconn
t les mains assez pures Pour présider ici sur les honneurs divins, Et prêtres , vous offrir les vœux des pèlerins ? Jupiter exau
8 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
s du petit enfant ne fussent pas entendus de Saturne, les Corybantes, prêtres de Cybèle, faisaient retentir l’air du bruit des
ent le temps heureux de l’âge d’or sous le nom de Siècle de Rhée. Ses prêtres nommés Curètes, Corybantes, Dactyles et Galles, c
un flambeau, et de la gauche un javelot ou une corne d’abondance. Ses prêtresses , appelées Vestales, furent d’abord choisies par l
et l’on ne se rassurait qu’après avoir obtenu un feu nouveau que les prêtres se procuraient par les rayons du soleil, ou par l
ire. Numa Pompilius institua en l’honneur de Mars un collége de douze prêtres , nommés Saliens, dont la fonction principale étai
té, et animant, au plus fort de la mêlée, le courage des soldats. Ses prêtres s’appelaient Bellonaires. Dans les fêtes de leur
au de cet animal servit à couvrir le trépied sur lequel s’asseyait la prêtresse de Delphes. Fier de cette victoire, Apollon osa b
e jetait sur le rivage. Elle avait à Aricie un temple desservi par un prêtre qui ne pouvait parvenir à cette fonction qu’en tu
s fronts. Ni les conseils de leurs parents, ni les avertissements des prêtres , ni les menaces faites au nom de Bacchus, ne fléc
dieu Pan dans le Latium, où ses fêtes furent nommées Lupercales. Ses prêtres les célébraient en immolant des boucs et des chèv
ns, de la joie et des danses nocturnes, n’avait point de temple ni de prêtres . On n’égorgeait ni quadrupèdes ni volatiles en so
ni autels ; et, quoique reconnue pour déesse, elle n’eut jamais aucun prêtre dans cette contrée. Le cyprès et l’if lui étaient
reçut Danaé avec bienveillance, et fit élever son nourrisson par les prêtres du temple de Minerve. Vingt ans plus tard, le cou
a à l’étude de la religion, et voyagea en Égypte pour y consulter les prêtres de cette contrée, et se faire initier par eux aux
oade, il demanda et obtint en partage Briséis, fille de Brisès, grand prêtre de Jupiter. La beauté de cette noble captive, sa
re ces deux avis, quand, pour donner à tous l’exemple, Laocoon, grand prêtre de Neptune, enflammé d’ardeur, accourt du haut de
Minerve, et, d’une main fumante de carnage, arracha du sanctuaire la prêtresse Cassandre, fille de Priam. Minerve, irritée de ce
supplice. Iphigénie, fille d’Agamemnon et sœur d’Oreste, était alors prêtresse du temple : Diane l’avait transportée du port d’A
é, Oreste sort de sa muette horreur : il s’approche, il questionne la prêtresse , la supplie de répondre ; elle s’explique ; il re
omme d’Abydos ville d’Asie, aimait passionnément la belle Héro, jeune prêtresse qui demeurait à Sestos, en Europe. (Ces deux vill
ve ; quelques hommes y résistèrent : tel fut le poète Nicostrate. Les prêtres de l’île, voyant qu’on abandonnait ce remède, pir
tant à la mer, du haut du promontoire, un coffre plein d’argent : les prêtres veillaient à ce que rien ne se perdît, et la céré
monde, Ixion ne trouva nulle part un asile, et supplia vainement les prêtres de la Thessalie de le purifier de son crime, c’es
re particulière d’annoncer la volonté du ciel. A Delphes, c’était une prêtresse , appelée Pythie, qui remplissait cette fonction.
monter sur le trépied. Indigné de cet obstacle imprévu, il arracha la prêtresse de sa cellule ; et il l’entraînait au sanctuaire,
sie. § 21. La Pythie. Les Grecs donnaient le nom de Pythie à la prêtresse qui rendait les oracles d’Apollon à Delphes ; ils
Dans cet état de crise et de souffrance, elle se débattait contre les prêtres qui la retenaient de force sur le trépied, elle p
aison et un sens qu’elles n’avaient pas en sortant de la bouche de la prêtresse . Dès que les oracles étaient prononcés, on retira
étrange que le dieu de la poésie fît des vers dépourvus de poésie, la prêtresse parla dès lors en prose. § 22. La Sibylle de C
aillible. A la conservation de ces livres était préposé un collége de prêtres appelés Quindécemvirs, qui seuls avaient le droit
signes que le peuple croyait naturels, mais qui étaient l’ouvrage des prêtres . Une fois trouvé, on le nourrissait pendant quara
avire jusqu’à Memphis : à son débarquement il était accueilli par les prêtres , et salué d’acclamations par la foule des assista
ne devait vivre qu’un nombre déterminé d’années. Ce temps expiré, les prêtres le conduisaient sur le bord du Nil, et l’y noyaie
il eût perdu Osiris. Ce deuil continuait jusqu’à ce qu’il convînt aux prêtres de lui donner un successeur. Alors éclatait la jo
Le phénix. Le Phénix, oiseau fabuleux, fruit de l’imagination des prêtres d’Égypte, ressemble au paon pour la grandeur ; il
9 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
ssa cette tradition. Tradition des Phéniciens. Sanchoniaton , prêtre de Béryte, qui vivait avant la guerre de Troie, a
ontent que, pour empêcher Saturne d’entendre les cris de Jupiter, les prêtres de Cybèle inventèrent une sorte de danse, pendant
ndeur de la terre. Les fêtes de Cybèle se nommaient Megalizia, et ses prêtres se nommaient Galli, noms qu’ils tiraient d’un fle
ais nous verrons qu’on peut encore lui opposer une autre origine. Ces prêtres étaient quelquefois nommés Curètes. Ce nom leur é
t que Cybèle donna son nom à cette déesse, et que les corybantes, ses prêtres , prirent leur nom de Corybas. Voilà ce qui, par l
us éleva un autel à Vesta, fille de Saturne, et institua les célèbres prêtresses qui portèrent le nom de Vestales ; il n’en avait
lammes qui consumaient le temple des vestales, tandis que ces timides prêtresses s’enfuyaient. Les Romains récompensèrent son géné
celui de Thèbes en Égypte, puisqu’au rapport d’ Hérodote, ce fut une prêtresse de ce dieu qui alla dans la Grèce établir le prem
gine au mot phénicien ou arabe himan ou heman, qui signifie également prêtre et colombe. Cette équivoque suffit pour faire con
et colombe. Cette équivoque suffit pour faire confondre ensemble les prêtres curètes et les colombes. Les Curètes ont acquis u
de Diodore, on y voyait encore le temple de Junon, entretenu par les prêtres du pays, et tous les ans on y rappelait la cérémo
rs contrées. Il avait surtout à Delphes un temple très-magnifique. La prêtresse , qu’il animait de son enthousiasme, était assise
aient toujours été démenties par les événemens, l’adresse extrême des prêtres d’Apollon n’aurait pu suffire pour maintenir la c
fêtes du dieu du vin se célébraient avec de grandes clameurs par des prêtresses que l’on nommait Bacchantes, ou Bassarides, ou Th
son rang parmi les dieux communs ; elle était égale au dieu Mars. Ses prêtres étaient installés dans leur sacerdoce en se faisa
ique après la bataille de Philippes, sous le nom de Mars vengeur. Les prêtres de ce dieu se nommaient Saliens ; ils gardaient l
nviron deux pieds et demi. Le nombre des anciles, ainsi que celui des prêtres saliens était de douze. Tullius Hostilius en doub
n nomma orgies ; et, pour veiller à son culte, il forma un collège de prêtres . Tacite, Évhémère et Lactance, sont les auteurs s
nt prétendu soutenir la prééminence du feu, leur grande divinité, les prêtres égyptiens acceptèrent le défi ; l’hydria fut plac
croyait que Rémus et Romulus avaient été allaités par une louve. Ses prêtres se nommaient Luperci. Sa véritable origine était
leurs morts. Le Mercure grec, dit-il, conducteur des âmes, était le prêtre chargé de recevoir le corps d’un Apis mort. Il le
rgé de recevoir le corps d’un Apis mort. Il le conduisait à un second prêtre , qui portait un masque à trois têtes, semblables
e à trois têtes, semblables à celles du Cerbère des poëtes. Le second prêtre lui faisait traverser l’Océan, lui servait de noc
lème reçut le culte dans Éleusis, où il régnait ; il voulut même être prêtre de Cérès ou Isis ; et, pour témoigner sa reconnai
une attestation de bonne vie et de bonnes mœurs, signée par un grand prêtre . Les anciens nous ont conservé la forme de ces at
his. Près du lac Achéruse, au-delà duquel on enterrait les morts, des prêtres versaient de l’eau dans une cuve sans fond, pour
le peuple, et la foule venait adorer cette divinité de la santé. Les prêtres , habiles médecins, et possesseurs des secrets d’E
t aller chercher Esculape à Épidaure. On députa des ambassadeurs. Les prêtres leur donnèrent une couleuvre privée, qu’ils assur
10 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
au bruit du tambour, accompagné de cris et de hurlements affreux. Ses prêtres portaient le nom de Galli, du Gallus, fleuve de P
cette ville. C’était un secret, qui n’était connu que des Vestales ou prêtresses de Vesta. Celles-ci, au nombre de six, étaient ch
de quelque grand malheur. On le rallumait aux rayons du soleil, et la prêtresse coupable de cette négligence était sévèrement pun
mment se célébraient-elles ? Quels étaient les différents noms de ses prêtres  ? 15. Comment représente-t-on Cybèle ? 16. Quelle
agissements de son fils ne trahissent sa retraite, elle ordonna à ses prêtres , nommés Curètes, de couvrir la voix de l’enfant p
hes le serpent Python, et couvrit de sa peau le trépied sur lequel la prêtresse appelée Pythonisse rendait ses oracles. Lui-même
temple magnifique où le dieu rendait ses oracles par la bouche d’une prêtresse nommée la Pythie ou la Pythonisse. Elle ne parla
échapper au milieu de cris effrayants, des sons inarticulés, que les prêtres arrangeaient avant de les transmettre à ceux qui
de l’État sous la vigilance et la protection de ce dieu. Les Saliens, prêtres de Mars, formaient à Rome un collége sacerdotal t
e Mars Gradivus, sur le mont Palatin, et gardés par un nombre égal de prêtres Saliens. Une fois par an ces prêtres les portaien
et gardés par un nombre égal de prêtres Saliens. Une fois par an ces prêtres les portaient en pompe dans Rome, en dansant (de
illaire, toutes les plantes funèbres étaient consacrées à Pluton. Ses prêtres en portaient des couronnes. On représente ordinai
utin, qui était, comme on le sait, tiré au sort, Chryséis, fille d’un prêtre d’Apollon, était échue à Agamemnon. Comme ce prin
iennent contempler le prétendu don offert à Minerve. En vain Laocoon, prêtre de Neptune, les conjure de se défier des Grecs. D
t chaque année en son honneur durait sept jours, pendant lesquels les prêtres le promenaient avec pompe. Chacun s’empressait de
e, et sur le côté droit une marque blanche en forme de croissant. Les prêtres ne manquaient pas de préparer sur de jeunes bœufs
de ces castes. Ainsi la première, celle des Brahmanes, se compose des prêtres , des savants et des fonctionnaires publics. Elle
 ? Chapitre XXXIV. Mythologie des Gaulois. 143. Les druides, prêtres des Gaulois. Nous ne pouvons avoir que des not
s les lieux incultes où la main de l’homme n’avait pas pénétré. Leurs prêtres s’appelaient druides, d’un mot celtique qui signi
11 (1866) Dictionnaire de mythologie
iève, et invoquaient plus souvent les Muses que l’Esprit saint. Leurs prêtres mêmes, que dis-je ? leurs pontifes juraient par l
! mes illusions ne furent pas longues. Les églises se rouvrirent, les prêtres revinrent et chassèrent les dieux sans retour. De
— Un homme qui aura les symptômes de la lèpre sera conduit devant le prêtre , qui l’examinera. Au septième jour il passera une
aît plus obscure et si elle n’est plus répandue sur toute la peau, le prêtre le déclarera pur. Cet homme lavera ses vêtements,
e, monsieur, oui, une petite peste, qu’un garçon qui étudie pour être prêtre et qui sent la pommade. » Le culte d’Adonis était
e de Naxos, où, après avoir pleuré amèrement son malheur, elle se fit prêtresse de Bacchus, qui l’épousa, et mit la couronne de c
ce qu’on ne joue pas déjà des tragédies grecques dans nos colléges de prêtres  ? Est-ce que nos professeurs ne prononcent pas de
leurs têtes. Mais la ville pieuse entre toutes était Eleusis. Là, des prêtres , pris dans les premières familles athéniennes, en
tion du ventre, le dieu de la ripaille. La table fut son autel et ses prêtres furent les gourmands. On le représenta jeune, la
els, la fumée des sacrifices n’aurait que trop révélé sa présence aux prêtres , et aux fidèles. Dieu fugitif et insaisissable,
rès des hommes ; ils menacent, ils tonnent en leur nom ; ils sont les prêtres de la justice. Moïse va chercher la loi sur la m
lus ancien, le plus sacré de tous les cultes. Le père en est le grand prêtre , la table en est l’autel, le repas de chaque jour
ux, des anchois, du soufre mêlé à des jaunes d’œufs. Souvent aussi le prêtre , après s’être tourné vers l’Orient, s’armait d’un
nt aux sacrifices ? — Une table couverte de la peau de Python, où les prêtres accoudés rendaient des oracles ? — Un siége où s’
lle n’a plus la taille d’une mortelle , dit Virgile, en parlant de la prêtresse du Cumes. C’est ainsi que composaient Santeul, du
12 (1823) Mythologie des dames
and-prêtre Calchas, en Aulide, se réfugia dans la Tauride où elle fut prêtresse de Diane : là, elle était sur le point d’égorger
élevèrent à ce dieu plusieurs temples pour lesquels ils créèrent des prêtres particuliers, sous le nom de Saliens. Lorsqu’un g
onsacrée à Bacchus, furent métamorphosées en chauves-souris. Corésus, prêtre de Bacchus, dans le temple de Calydon, ville d’Ét
sa douleur, il supplia le dieu de lui être favorable. Pour venger son prêtre de l’insensibilité de Callirhoé, Bacchus répandit
nsuite parmi les astres. Le culte de Bacchus était très répandu : ses prêtresses étaient appelées Ménades, Bacchantes, et Thyades.
s’élevait un temple d’Apollon, où une sibylle rendait des oracles. La prêtresse d’Apollon annonça à Énée que les dieux lui permet
s. « Loin de ce bois sacré, loin de mes yeux, profanes ! « S’écria la prêtresse . Et toi qui suis mes pas, « Énée, arme ton cœur ;
’or à Caron, et passe ce fleuve redoutable, toujours accompagné de la prêtresse d’Apollon. A peine eurent-ils mis le pied sur le
rs, et d’empêcher aux vivants d’y entrer et aux morts d’en sortir. La prêtresse lui ayant jeté un gâteau pétri de miel et de frui
t les cœurs sublimes, Héros de la patrie ou ses nobles victimes ; Les prêtres qui n’ont point profané les autels ; Ceux dont le
urs augures des oiseaux sacrés élevés avec le plus grand soin par les prêtres . Si les légions romaines avaient été vaincues, c’
13 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
nneur d’Apollon. Les oracles de Delphes étoient les plus célèbres. La prêtresse qui les rendoit s’appelloit Pythonisse, parce que
es flots indignés. Rousseau. Dans les autres temples, c’étoient des prêtres ou des prêtresses qui rendoient les oracles ; ils
és. Rousseau. Dans les autres temples, c’étoient des prêtres ou des prêtresses qui rendoient les oracles ; ils se plaçoient sur
roient en automne, avec une licence qui alloit jusqu’à la fureur. Ses prêtresses , appelées Bacchantes, bu Ménades, couroient alors
e, qu’elle emporta dans la Chersonèse-Taurique, ou elle la fit grande prêtresse de son temple. Les vents devinrent favorables, et
c Agamemnon qui lui avoit enlevé sa captive Briséis, fille de Brisès, prêtre de Jupiter, et ne voulant plus mener ses troupes
dins, 63 Bacchanales, fêtes en l’honneur de Bacchus, 68 Bacchantes, prêtresses de Baccbus, ibid. — Elles mettent en pièces Orp
riarée, l’un des Titans, 29 Briséis, captive d’Achille, 181 Brisès, prêtre de Jupiter, ibid. Brodequins, 52 Bûcher d’Herc
it sur la terre, 11 Porte d’ivoire et de corne pour les songes, 115 Prêtres d’Apollon, 47 Prêtresses d’Apollon, 46-47 Prétu
rte d’ivoire et de corne pour les songes, 115 Prêtres d’Apollon, 47 Prêtresses d’Apollon, 46-47 Prétus, 38-39 Priam, roi deTro
mbat singulier, 185 Pithon, serpent tué par Apollon, 46 Pithonisse, prêtresse d’Apollon ; pourquoi on l’appelle ainsi, ibid.
14 (1800) Cours de mythologie pp. -360
orté lui-même, Loin des rives du Nil, son culte et ses autels, Et ses prêtres savans, bienfaiteurs des mortels. Fontanes 31.
êtes sauvages, tantôt assise sur un char traîné par quatre lions. Ses Prêtres , nommés Galles, Corybantes, Dactyles, promenoient
reux Doit l’art d’orner les champs de grains plus savoureux ? Si ses Prêtres brûlans d’une sainte furie, Tranchent encor en eu
ins, L’inonder toute entière, elle et sa cour brillante ?     De ses Prêtres soudain, la foule se présente, (Les Grecs les ont
issant sous l’appui de Vesta. L’Immortelle, en ce jour, attend de ses Prêtresses , Des esprits dégagés des humaines foiblesses : Po
les flots écumans. L’urne s’ouvre, et reçoit les sacrés ossemens. Le prêtre , de l’olive agite la verdure, Fait pleuvoir en ro
edouté, Un reste de frayeur se mêle à sa gaieté.     Laocoon paroît, Prêtre cher à Neptune ; Vers ce cheval hideux dont l’asp
e malheureux Troyen crie encor au prodige. « Contre Ilion, dit-il, un Prêtre criminel « Arma par son forfait la colère du Ciel
e, et d’un front inhumain, Présentoit à Mérope une odieuse main ; Le Prêtre prononçoit les paroles sacrées ; Et la Reine au m
eurs mères : Les frères méconnus, immolés par leurs frères ; Soldats, prêtres , amis, l’un sur l’autre expirans ; On marche, on
les mains assez pures, Pour présider ici sur les honneurs divins, Et Prêtres vous offrir les vœux des pèlerins ? Jupiter exauç
qu’on y adoroit, C’étoit dans ces forêts religieuses que les Druides, Prêtres Gaulois, se souilloient d’horribles sacrifices en
r sa rive fleurie, Ces Héros dont le sang coula pour la Patrie ; Les Prêtres vertueux, et ces Mortels divins ; Dont les vers o
t dévoroit leurs os. Quelquefois aux autels la victime tremblante Des prêtres en tombant prévient la main trop lente ; Ou, si d
, où des Juifs malheureux, Sont tous les ans en pompe envoyés par des Prêtres , Pour n’avoir point quitté la foi de leurs ancêtr
15 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
orté lui-même, Loin des rives du Nil, son culte et ses autels, Et ses prêtres savans, bienfaiteurs des mortels. Fontanes 31.
me. La victime est frappée, et rougit de son sang Les couteaux que le prêtre enfonce dans son flanc. Lorsqu’enfin le vaisseau
êtes sauvages, tantôt assise sur un char traîné par quatre lions. Ses Prêtres , nommés Galles, Corybantes, Dactyles, promenaient
ureux Doit l’art d’orner les champs de grains plus savoureux ? Si ses prêtres brûlans d’une sainte furie, Tranchent encor en eu
ains, L’inonder toute entière, elle et sa cour brillante ?    De ses Prêtres soudain, la foule se présente, (Les Grecs les ont
urquoi, seule entre les déesses, Vesta se fait servir par des Vierges prêtresses . On dit que des amours de Saturne et d’Apis, Et J
les flots écumans. L’urne s’ouvre, et reçoit les sacrés ossemens. Le prêtre , de l’olive agite la verdure, Fait pleuvoir en ro
redouté, Un reste de frayeur se mêle à sa gaîté.    Laocoon paraît, prêtre cher à Neptune ; Vers ce cheval hideux dont l’asp
e malheureux Troyen crie encor au prodige. « Contre Ilion, dit-il, un prêtre criminel Arma par son forfait la colère du Ciel ?
xe, et d’un front inhumain, Présentait à Mérope une odieuse main ; Le Prêtre prononçait les paroles sacrées ; Et la Reine au m
eurs mères : Les frères méconnus, immolés par leurs frères ; Soldats, prêtres , amis, l’un sur l’autre expirans ; On marche, on
i qui nous méprise ! Le voilà : vengeons-nous ! et sa barbare main Au prêtre d’Apollon lance un thyrse inhumain. Le thyrse env
les mains assez pures, Pour présider ici sur les honneurs divins, Et Prêtres vous offrir les vœux des pèlerins ? Jupiter exauç
qu’on y adorait, C’était dans ces forêts religieuses que les Druides, Prêtres Gaulois, se souillaient d’horribles sacrifices en
t ces cœurs sublimes, Héros de la patrie ou ses nobles victimes ; Les prêtres qui n’ont point profané les autels ; Ceux dont le
t dévorait leurs os. Quelquefois aux autels la victime tremblante Des prêtres en tombant prévient la main trop lente ; Ou, si d
16 (1845) Mythologie de la jeunesse
lisses6 [Fig. 20]. Les Curètes, appelés aussi Corybantes ou Dactyles, prêtres de Cybèle, pour empêcher les cris de l’enfant de
Vestales, entretenaient un feu perpétuel dans une cassolette d’or. La prêtresse qui le laissait éteindre était sévèrement punie ;
rdaient comme le père de Romulus et le protecteur de leur empire. Les prêtres de ce dieu se nommaient Saliens, d’un mot latin q
Leur départ coûta la vie à Iphigénie, fille d’Agamemnon, que Chalcas, prêtre et devin des Grecs, sacrifia sur l’autel de Diane
mple, au milieu d’une épaisse forêt Ce temple avait été fondé par une prêtresse dont le nom, en grec, signifiait colombe : de là
17 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
on des tambours, avec des hurlements et des cris extraordinaires. Les prêtres de cette déesse se nommoient Corybantes. D. Cybèl
n autel ; mais, quelle que fût la victime amenée dans son temple, les prêtres lui en présentoient toujours le fiel, par analogi
chus ? R. Elles étoient célébrées, avec de grandes clameurs, par des prêtresses nommées Bacchantes, Thyades et Ménades. On les vo
temple le plus superbe et le plus renommé étoit celui de Delphes. La prêtresse qu’il y animoit de son enthousiasme, s’appeloit P
olée, et transporta cette princesse dans la Tauride, pour en faire sa prêtresse . Dans la tragédie d’Iphigénie en Aulide, par Raci
e père ? Ah ! toute ma raison Cède à la cruauté de cette trahison. Un prêtre , environné d’une foule cruelle, Portera sur ma fi
le sort d’Hécube ? R. Hécube, épouse de Priam, étoit sœur de Théano, prêtresse d’Apollon. Elle eut cinquante fils, qui périrent
D. Qui étoit Laocoon ? R. Laocoon, fils de Priam et d’Hécube, étoit prêtre d’Apollon et de Neptune. II fit touts ses efforts
ps redouté, Un reste de frayeur se mêle à sa gaieté. Laocoon paroît, prêtre cher à Neptune ; Vers ce cheval hideux dont l’asp
malheureux Troyen crie encore au prodige. « Contre Ilion, dit-il, un prêtre criminel » Arma par son forfait la colère du ciel
des anciens. Il s’arrêta long-temps en Égypte, où il étudia, sous les prêtres de Memphis, la géométrie, l’astronomie, et la phi
18 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
s qu’il rendoit. Les oracles de Delphes étoient les plus célèbres. La Prêtresse qui les rendoient s’appeloit Pythonisse, parce qu
braient en automne avec une licence qui alloit jusqu’à la fureur. Ces Prêtresses , appelées Bacchantes, couraient alors sur les mon
furent les fondateurs de la ville de Rome. D, Comment appeloit-on les Prêtres de Mars ï R. On les appeloit Saliens, parce qu’i
-temps la gloire de se sauver la vie. Iphigénie, sœur d Oreste, étoit Prêtresse de Diane ; elle reconnut son frère au moment qu’e
aisoient entendre les réponses de la Prophétesse. Elle étoit aussi la Prêtresse d’Hécate, qui lui avoit confié la garde des bois
19 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
tte Princesse Admète s’étant sauvée d’Argos, aborda à Samos et devint prêtresse du temple de Junon. Les Argiens, irrités de sa fu
elles étoient filles de Leucipe, quelques-uns dirent qu’elles étoient Prêtresses , l’une des Dieux, l’autre de Minerve. Ce rapt coû
enlevée par la Déesse, avoit été transportée en Tauride où elle étoit prêtresse d’un temple de Diane. Oreste obéit, et, suivi de
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