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1 (1812) Manuel mythologique de la jeunesse
ple airain touts les murs sont couverts ; Et, sur les gonds quand les portes mugissent, Du temple alors les bases retentissent
présente : Il fait marcher son fils vers ces sacrés remparts, Et cent portes d’airain s’ouvrent à ses regards. Le Temps, d’une
ux deux côtés, sous de vastes portiques, S’ouvrir à deux battants des portes magnifiques, Vestibules pompeux des dieux patrici
ouve un plaisir cruel à remplir ses décrets. Un tourbillon de vent la porte en Thessalie : Elle arrive dans l’ombre au palais
ts de l’Océan et de Téthys. R. Ils eurent encore les Fleuves dont on porte le nombre à trois mille. Les Fleuves sont représe
me qu’elle se précipita dans la mer, et fut changée en un gouffre qui porte son nom. Charybde, étoit une femme qui, ayant vo
e est armée d’une longue fourche ; l’autre tient la clef qui ferme la porte de l’éternité. D. Décrivez-nous la cour de Pluton
s le sixième livre de l’Énéide de Virgile. Devant le vestibule, aux portes des enfers, Habitent les Soucis et les Regrets am
s enflammés s’entr’ouvrent sous mes pas ? O mon fils ! vous voyez les portes de l’abyme Creusé par la justice, habité par le c
moi ; les chemins en sont toujours ouverts. Ils marchent aussitôt aux portes des Enfers. Là gît la sombre Envie à l’œil timide
lantés sur ses bords formoient un ombrage triste et ténébreux, et une porte posée sur des gonds d’airain donnoit entrée dans
oiseaux qui voloient au-dessus, y tomboient morts. D. Qui gardoit la porte des enfers et du palais de Pluton ? R. C’étoit C
dieu, l’intrépide Valeur, Le glaive haut, L’œil fier, l’ame rassise, Porte en touts lieux la mort qu’elle méprise. Du char d
yeux, un arc à la main et quelquefois un flambeau. Il a des ailes, et porte un carquois rempli de flèches ardentes. Le culte
n léger sillon de pourpre nuancé d’or et d’azur, La déesse arrive aux portes transparentes de l’Orient, et les ouvre avec ses
il le palais magnifique. Le dôme est étoilé de saphirs éclatants. Les portes font jaillir de leurs doubles battants L’éclat d’
, et brûlent les montagnes. La Terre, desséchée jusqu’aux entrailles, porte ses plaintes à Jupiter, qui, pour prévenir le bou
La pomme est en ses mains un fruit des Hespérides. Aux battants d’une porte applique-t-il ses doigts ? L’or pur en longs refl
n cothurne, tenant un arc d’une main, et de l’autre une flèche ; elle porte un carquois sur l’épaule, et un croissant sur le
n que Damas nous envoie, Jusqu’aux bluets qui couronnent l’été : Tout porte aux sens la surprise et la joie ! Que de beauté !
tant qu’il ne se verroit point. Narcisse fut changé en une fleur qui porte son nom. Divinités domestiques. Lares, P
s. Les Lares étoient placés dans l’intérieur des maisons, derrière la porte ou bien autour des foyers. Le culte de ces dieux
ommeil. Les poëtes ont imaginé que les songes vrais passoient par une porte de corne, et annonçoient des biens ou des maux ré
ent des biens ou des maux réels que les songes faux passoient par une porte d’ivoire, et n’étoient que de pures illusions, de
hémis, oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que Tireur prend pour un bandeau. ( La
palais aux confins des trois mondes. Là, sur touts les pays l’œil se porte à la fois ; Là, de touts les humains l’oreille en
a hauteur est immense, et, par l’ordre des dieux, Ce colosse à jamais porte le poids des cieux. (Trad. de Saintange.) D. Que
x coupables mortels Alcide fait la guerre, Dans le sein des tyrans il porte le trépas ; Et pour en délivrer la terre, Le foud
mugissements, lorsque le reste du troupeau passa. Hercule enfonça la porte de la caverne, et assomma le brigand. D. Achevez
rse impétueuse, S’ouvre, et, se repliant en deux monts de cristal, Le porte mollement au fond de son canal. Le jeune dieu de
’entraînoit, Bien digne de pardon, si l’enfer pardonnoit. Presque aux portes du jour, troublé, hors de lui-même, Il s’arrête,
ar ses propres chevaux. ……………………………………………… A peine nous sortions des portes de Trézène, Il étoit sur son char : ses gardes af
e de Cadmus, donna aux Grecs les premières connoissances de l’art qui porte son nom. Amphion, Arion. D. Qui étoit Amphi
Il y eut en Egypte une autre ville de Thèbes, renommée pour ses cent portes . Le pays dans lequel elle étoit située, se nommoi
dans vous la chaleur presque éteinte. Vous viviez ; aussitôt je vous porte à Corinthe ; Je vous présente au prince : admirez
cinquième fatalité la ruine du tombeau de Laomédon, qui étoit sur la porte de Scée. Les Troyens détruisirent eux-mêmes le to
long deuil affranchit ses enfants. Le libre citoyen ouvre toutes ses portes , Vole aux lieux où des Grecs ont campé les cohort
l secondant leur dessein, Ils massacrent la garde, ouvrent toutes les portes , Et la mort dans nos murs entre avec leurs cohort
aire Hermione. L’ingrate mieux que vous saura me déchirer ; Et je lui porte enfin mon cœur à dévorer. Philoctète. D. R
ive, et la figue ridée fait place à une autre qui la suit. La vigne y porte des raisins en toute saison ; pendant que les uns
e Pénélope : il alla descendre chez son fidelle serviteur Eumée. A la porte de son palais, il fut reconnu par un chien qu’il
qu’on le repoussoit comme un inconnu, il s’éleva quelque tumulte à la porte du palais. Ulysse accourut pour voir ce qui se pa
uit, l’artificieux transfuge alla ouvrir les flancs du cheval, et les portes de la ville, qui tomba ainsi au pouvoir des Grecs
e. Un vain peuple applaudit à cet arrêt des cieux. La hache cependant porte un coup plus heureux : Le monstre est ébranlé. Se
r ! Quel art a pu former ces enceintes profondes, Ou l’Euphrate égaré porte en tribut ses ondes ! Ce temple, ces jardins dans
oit de cent vingt stades ou cinq lieues. Chaque côté avoit vingt-cinq portes  : ce qui faisoit en tout cent portes. Toutes ces
es. Chaque côté avoit vingt-cinq portes : ce qui faisoit en tout cent portes . Toutes ces portes étoient d’airain massif ; d’où
it vingt-cinq portes : ce qui faisoit en tout cent portes. Toutes ces portes étoient d’airain massif ; d’où vient que lorsque
conquête de Babylone, il lui dit ; (Isaïe, chap. 25) Je romprai les portes d’airain. Le phare d’Alexandrie. D. Faite
voit été donnée par un souverain. La charpente étoit de cèdre, et les portes de cyprès. Après qu’il eut été brûlé par Erostrat
èrement, il l’exposa aux yeux du public, se tenant caché derrière une porte , d’où il entendoit le jugement des connoisseurs o
étoit le seul qui se retiroit de la ville sans rien emporter ? —  Je porte tout avec moi. Périandre. D. Que nous dir
occupe L’artisan, le vendeur, celui qui fait la jupe, Et celle qui la porte , et vous, qui dédiez         A messieurs les gens
er. Une femme vicieuse est l’opprobre et le fléau de son époux ; elle porte le trouble et le déshonneur dans les familles ; e
ction. L’émulation est la mère des talents. Elle féconde le génie, et porte l’ame aux plus généreux efforts. Sans émulation,
ces ; cependant des parents sages ne permettront point que leur fille porte trop loin ses prétentions dans cet art. La musiqu
e. Elle fait que nous nous flattons d’un vain espoir. Le présomptueux porte son espérance audacieuse jusqu’à la chimère. Hard
une vieille masure Fut la scène où devoit se passer l’aventure. Il y porte une corde, et veut avec un clou Au haut d’un cert
d plaisir que celui de soulager les malheureux ; sa noble ambition la porte à se faire autant de sujets qu’il y a de gens per
l’aumône dans le passage des Feuillants à Paris, avoit affiché sur sa porte d’assez mauvais vers. On lui conseilla de s’adres
é dégénère presque toujours en brusqueries et en boutades, et si elle porte à des excès de folie ou de fureur ? Les femmes qu
’Apennin, et se jette dans la mer de Toscane, à Ostie. 14. L’Hypanis porte à présent le nom de Bog. C’est une grande rivière
2 (1807) Cours de mythologie (2e éd.)
s tons et toutes les nuances ; Et ton mode assorti de sons mélodieux, Porte le nom divin de Langage des Dieux. Mais les Dieux
n germe y reposait, mais sans activité.     Du Cahos tout-à-coup les portes s’ébranlèrent : Des soleils allumés les feux étin
eil le palais magnifique. Le dôme est étoilé de saphirs éclatans. Les portes font jaillir de leurs doubles battans L’éclat d’u
les vents font rouler au milieu des éclairs Le char retentissant qui porte le tonnerre, Ton disque ouvre la nue et rassure l
s, se couronne un Sylvain. …………………………………………………     L’Onagre appesanti porte le vieux Silène ; A pas lourds et tardifs, il des
ide également aux combats, lui attelait son char et ses chevaux. Elle porte un casque sur sa tête, une pique et un fouet, et
se montre en serpent ; et du temple ébranlé La voûte, les autels, les portes ont tremblé. Superbe, émaillé d’or, le serpent se
nant.       Dans sa méthode assez peu régulière,          Le Dieu qui porte des grelots,       Ne laissa pas d’être utile à l
l. Chacun d’eux avait sa fonction. Les Songes vrais passaient par une porte de corne ; les Songes faux par une porte d’ivoire
nges vrais passaient par une porte de corne ; les Songes faux par une porte d’ivoire. On leur donnait des ailes noires.    Q
émis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend pour un bandeau. Po
n que Damas nous envoie, Jusqu’aux bluets qui couronnent l’Été : Tout porte aux sens la surprise et la joie ! Que de beauté !
e Titan et de la Terre. A la naissance du matin, elle ouvrait les portes du Ciel et attelait le char de Phébus. Assise ell
Dans les champs obscurcis des cieux, Sur un char d’incarnat traînée, Porte ses regards radieux. Du temps les courrières fidè
, Le songe mensonger s’envole Sur les pas légers de l’erreur.    Des portes qu’entr’ouvre l’Aurore, S’échappe un coloris bril
du sommeil, Et de l’opale étincelante, Sème le palais du Soleil : La porte à ses yeux dévoilée, Par le bras du temps ébranlé
rène et Eunomie. Les Heures naquirent au printemps. Elles ouvrent les portes du ciel et attèlent avec l’Aurore le char du Sole
adrans et des Horloges.    Je chante le palais des Heures, Où trente portes de vermeil Conduisent aux douces demeures Qu’écla
Palais, aux confins des trois mondes. Là, sur tous les pays l’œil se porte à la fois. Là, de tous les humains l’oreille ente
combats anime tes cohortes ! Que tardes-tu, César ? ose enfoncer ces portes  ! Pour s’écrouler, ces murs attendent tes regards
, Le palais de Pluton et la cité des ombres. On y voit toutefois cent portes au dehors Ouvertes en tout temps à la foule des m
ir, le deuil, autour d’elle s’assemblent. Elle arrive au palais : les portes d’airain tremblent. Elle rouille les gonds de son
bres. C’est d’elle que naquirent les divers monstres qui assiègent la porte des enfers. On la représente avec un vêtement noi
ne clé dans la gauche.    Lorsque Janus chez les Romains Ouvrait les portes de l’année, Des augures et des devins En présagea
l’infâme séjour. Des têtes au front pâle et de sang dégouttantes A sa porte homicide étaient toujours pendantes ; Et son antr
; Il s’élance, il saisit sa pesante massue, Cherche du noir séjour la porte inaperçue. Alors, les yeux troublés, sans courage
urse impétueuse, S’ouvre, et se repliant en deux monts de cristal, Le porte mollement au fond de son canal. Le jeune Dieu des
La Terre garde le silence :         On croit voir une nue immense Qui porte dans son sein un foudre menaçant.    Bientôt la
aux plus fiers combattans. L’audace dans les yeux, elle franchit les portes  ; Elle court des Troyens animer les cohortes. Tou
 ; Du fils de sa Climène ignorant le destin, Aussitôt que Thétis, aux portes du matin, Du monde sous leurs pas eut ouvert la c
le haut Apennin qui supporte les nues.    Phaëton, aussi loin qu’il porte ses regards, Voit l’Univers en feu fumer de toute
oche ; et d’une main au carnage échauffée, Elle enlève sa tête, et la porte en trophée. Son corps en un instant, par leurs ma
e. Un vain peuple applaudit à cet arrêt des Cieux. La hache cependant porte un coup plus heureux : Le monstre est ébranlé. Se
r les pieds aux franches d’un arbre. Un berger détache l’enfant et le porte à Polybe, roi de Corinthe, qui le nomme Œdipe, de
luxe de son palais, et par la beauté de son jardin.    Non loin des portes d’or de ce brillant palais, Est un jardin fermé p
des mers la nuit sort à son tour. Tournant sans bruit les gonds de la porte qui s’ouvre, Thisbé sort à l’abri du voile qui la
a desirer.    Il dit, prend le tissu, gage terrible et tendre, Il le porte sous l’arbre où Thisbé dut l’attendre, Le couvre
sort enfin le Héros. Une seconde fois il traverse Pergame, Revoit la porte Scée, on la rouvre : sa femme L’appelle, et de la
cendant à grands pas, L’arrête : à ses côtés, un esclave en ses bras, Porte l’unique fruit de leur noble hyménée, Prince à pe
sans danger rallier tes cohortes, Repousser Diomède, et défendre nos portes . » — « Chère épouse ! et pourquoi m’amollir par t
Prends, me dit-il, cueille, choisis : Chloé seule excitait mon zèle ; Porte à ses pieds l’arbre, les fruits, Et si tu veux, l
et regarda la Terre, L’homme avec majesté lève un front gracieux, Et porte jusqu’au Ciel sa pensée et ses yeux. Ovide. —  D
’entraînait, Bien digne de pardon, si l’Enfer pardonnait. Presque aux portes du jour, troublé, hors de lui-même, Il s’arrête,
n. Le thyrse enveloppé de pampre et de verdure, Amolli sur son front, porte un coup sans blessure. Un dur caillou, qu’une aut
Un dard suit sa parole ; et le fer homicide, Lancé d’un bras nerveux, porte un coup assuré. Cygnus en est atteint sans en êtr
sans armure, Je pourrais défier une grêle de dards. Les armes que je porte , à l’exemple de Mars, Me servent de parure et non
ille l’en arrache, et d’une main terrible Lançant un second dard, lui porte un coup horrible. Mais en frappant Cygnus ; son d
ne attaque imprévue. Un nuage d’effroi se répand sur sa vue. Son pied porte en arrière un pas mal affermi. Il chancelle, il r
épris de lui-même, qu’il sécha d’amour, et fut changé en la fleur qui porte son nom.    Au fond d’une vallée une onde fugiti
grands cris l’objet de sa tendresse ; Dans des sentiers affreux elle porte ses pas ; On voit le sang couler de ses pieds dél
ûment commence. C’est elle qui neuf mois, dans ses flancs douloureux, Porte un fruit de l’hymen trop souvent malheureux, Et s
ux deux côtés, sous des vastes portiques, S’ouvrir à deux battans des portes magnifiques, Vestibules pompeux des Dieux patrici
Il querelle leur crainte, il frémit de courroux, Et le fer à la main porte les premiers coups. Quittez, quittez, dit-il, l’e
utre l’Elysée. Voyez ces derniers mots.    Devant le vestibule, aux portes des enfers, Habitent les Soucis et les Regrets am
es maux qu’elles y avaient soufferts. Les champs Elysées avaient deux portes , l’une de corne, l’autre d’ivoire ; c’est par cel
ne main il tient encore Le foudre puissant des Césars ; De l’autre il porte la houlette, Et mêle au son de sa musette Le terr
ple airain tous les murs sont couverts, Et sur leurs gonds, quand les portes mugissent, Du Temple alors les bases retentissent
es plus doux, Cette aimable pudeur qui les embellit tous, Tout ce qui porte au cœur, l’attendrit et l’enflamme, Et les grâces
s bienfaits, Qu’au sein de nos devoirs le vrai bonheur se trouve ; Je porte autour de moi mes regards satisfaits, Et j’ignore
appant la race mortelle.            Cette fille de l’Enfer             Porte dans sa main sanglante            Une tenaille br
 !           L’Envie attachée à nos pas, Cesse de nous poursuivre aux portes du trépas ; Oui, la tombe est l’asile où le talen
on n’a que son cœur. Voltaire 269. Faim. On la plaçait à la porte des Enfers, et sur les bords arides du Cocyte. El
fils, sa main désespérée Enfonce, en frémissant, le parricide acier, Porte le corps sanglant auprès de son foyer, Et d’un br
ie. A l’envi l’un de l’autre, ils courent en fureur, Ils enfoncent la porte … O surprise ! ô terreur ! Près d’un corps tout sa
De ses bourreaux sacrés le cortége cruel La soulève tremblante, et la porte à l’autel, Non pas pour y serrer les doux nœuds d
rde attentive en traversant les airs, Entend ces cris affreux, et les porte aux Enfers. Elle amène à l’instant de ces Royaume
e on l’oublie ; Le méchant jouit des honneurs, C’est au méchant qu’on porte envie. A l’aspect de tous ces malheurs, L’Univers
heureux, Se fût-il élevé jusques au rang suprême. C’est elle qui nous porte , en leur malheur extrême, A secourir les bons, le
3 (1806) Histoire poëtique tirée des poëtes françois ; avec un dictionnaire poétique (6e éd.)
représente le Destin dans un temple ou dans un palais fermé par cent portes d’airain, et environné de remparts qui en, défend
ple airain tous les murs sont couverts, Et, sur leurs gonds quand les portes mugissent, Du temple alors les bases retentissent
é dans la suite comme un dieu. On lui éleva à Rome un temple dont les portes étoient fermées pendant la paix, et ouvertes pend
te, il eut le malheur de le tuer. Il le métamorphosa en une fleur qui porte le même nom, et regretta long-temps cet ami fidèl
llon, et lui confia le soin d’éclairer le monde. En cette qualité, il porte le nom de Phébus, ou de Père du jour, et on le re
jeune homme ; une longue chevelure blonde lui couvre les épaules : il porte une couronne de laurier sur la tête, tient une ly
e une sorte d’archet. Elle a auprès d’elle un petit Cupidon allé, qui porte un arc et un carquois : Quelle Muse de fleurs no
un cothurne, tenant un arc d’une main, et de l’autre une flèche. Elle porte un croissant sur le haut du front, et un carquois
rritée envoyé dans les plaines de Calydon un sanglier monstrueux, qui porte par-tout une désolation cruelle : Méléagre, embr
r ! Quel art a pu former ces enceintes profondes. Où l’Euphrate égaré porte en tribut ses ondes, Ce temple, ces jardins dans
ltées Craignons l’impétueux courroux. Tu sais jusqu’où ce dieu jaloux Porte ses fureurs irritées, Et quelles tragiques horreu
senté habillé en coureur, avec des aîles à la tête et aux talons : il porte à la main un caducée. C’est une baguette qu’il av
la paix et de l’union. Mercure s’en servoit pour se faire ouvrir les portes des enfers, et pour endormir ou réveiller les mor
andeau sur les yeux, un arc à la main, et quelquefois un flambeau. Il porte des aîles et un carquois rempli de flèches ardent
carquois rempli de flèches ardentes. Dans une obscurité profonde. Je porte au hasard mon flambeau : Otez à l’Amour son bande
puissant des dieux :     Ce dangereux enfant, si tendre et si cruel, Porte en sa foible main les destins de la terre ; Donne
t l’aimable entrée, Mais, lorsqu’en avançant sous la voûte sacrée, On porte au sanctuaire un pas audacieux, Quel spectacle fu
rpens, dont le sifflement             Excite une frayeur mortelle. Je porte l’épouvante et la mort en tous lieux ; Tout se ch
Dieu, l’intrépide valeur, Le glaive haut, l’œil fier, l’ame rassise, Porte en tous lieux la mort qu’elle méprise. Du char d’
t cet empire ; et Cerbère, chien à trois têtes, faisoit la garde à la porte  : Qu’entens-je ? le Tartare s’ouvre ; Quels cris
ffrayant l’empire des morts. Cerbère, chien à trois têtes, gardoit la porte des enfers et du palais de Pluton. Il caressoit t
La triste attente du trépas : Jouissant de tout ce qu’il aime, Chacun porte le plaisir même Peint sur un visage riant : Et le
ans un antre inconnu, où les rayons du soleil ne peuvent pénétrer. La porte est garnie de pavots et d’herbes assoupissantes.
s-souris. Les songes que l’on envoyoit aux hommes, passoient par deux portes différentes ; l’une de corne, et l’autre d’ivoire
émis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend pour un bandeau. L
levés. Rousseau. La Paix étoit fille de Jupiter et de Thémis : elle porte souvent le nom d’Astrée. On dit qu’elle présidoit
au, qu’il n’aimoit que lui-même. Il fut métamorphosé en une fleur qui porte son nom :             Au bord d’une fontaine    
les et aux maisons : ceux-ci aux rues et aux carrefours ; ceux-là aux portes et aux grands chemins. Les bornes qui séparent le
e De l’horrible Méduse a la tête coupée ; Que sous son bouclier il la porte en tous lieux, Er que c’est fait de vous, s’il en
coupables mortels Alcide fait la guerre : Dans te sein des tyrans il porte le trépas.         Et pour en délivrer la terre,
dans vous la chaleur presque éteinte ; Vous vivez, et bientôt je vous porte à Corinthe. Je vous présente au prince : admirez
produit, ils ont représenté Saturne sous la figure d’un vieillard qui porte une faulx et des.aîles, et qui dévore ses enfans.
esse des fruits,113 Pomone, le rang qu’elle tenoit sur la terre, 11 Porte d’ivoire et de corne pour les songes, 115 Prêtre
Comment on le représente, 79 Z Zéphire, époux de Flore, 103 — Porte Vénus dans l’île de Cypre, 72 Zétus, fils de Jup
4 (1823) Mythologie des dames
ux deux côtés, sous de vastes portiques, S’ouvrir à deux battants des portes magnifiques, Vestibules pompeux des dieux patrici
nt brillent ses habits. Chacun de ses rayons, dans sa substance pure, Porte en soi les couleurs dont se peint la nature. Et c
quefois dans le temple des Grâces. Lorsqu’on examine les traits qu’il porte dans son carquois d’or, ils sont de diverses coul
la Terre, qui changea le sang de Marsyas en un fleuve de Phrygie qui porte son nom. Apollon, pendant son exil, traversa plus
lus tendre amitié, et qu’il métamorphosa en cette fleur charmante qui porte son nom. On dit que Zéphyre, jaloux de ce jeune h
l le palais magnifique ; Le dôme est étoilé de saphirs éclatants, Les portes font jaillir de leurs doubles battants L’éclat d’
’entraînait, Bien digne de pardon, si l’Enfer pardonnait. Presque aux portes du jour, troublé, hors de lui-même, Il s’arrête,
s les astres : il obtint la planète la plus voisine du soleil, et qui porte son nom. A l’histoire du dieu des fourbes et des
ents dont le sifflement           « Excite une frayeur mortelle. « Je porte l’épouvante et la mort en tous lieux ; « Tout se
l, lui présente la tête de Méduse, et le change en cette montagne qui porte son nom : sa barbe et ses cheveux devinrent les a
dieu avait un serviteur, nommé Alectryon, qui faisait sentinelle à la porte du palais de Vulcain ; Alectryon s’étant endormi,
e l’initié. Enfin, après cette dernière épreuve, on ouvrait une vaste porte , et l’on apercevait, dans un grand jour, un jardi
l’infame séjour. Des têtes au front pâle et de sang dégouttantes A sa porte homicide étaient toujours pendantes ; Et son antr
; Il s’élance, il saisit sa pesante massue, Cherche du noir séjour la porte inaperçue. « Alors, les yeux troublés, sans cour
Les Euménides, que l’on distingue dans vie groupe horrible placé à la porte des Enfers, étaient trois sœurs, filles du fleuve
marais : ce fleuve sort des sources formées par les larmes, devant la porte du palais de l’inflexible dieu des Enfers. Les am
es turbulentes, Roule d’affreux rochers dans ses vagues brûlantes. La porte inébranlable est digne de ces murs ; Vulcain la c
émit. Le fils des dieux s’arrête, il écoute, il frémit35. Bientôt la porte terrible roule avec fracas, et laisse voir au hér
ers. Tisiphone, la plus méchante des Furies, veille jour et nuit à la porte de cette effroyable enceinte. Rhadamanthe préside
cle qui vient de frapper ses sens, sort de ces lieux enchantés par la porte d’ivoire, à travers laquelle passent les songes t
les songes trompeurs, tandis les songes véritables s’échappent par la porte de corne. Énée, sortant par la porte d’ivoire, no
es véritables s’échappent par la porte de corne. Énée, sortant par la porte d’ivoire, nous montre assez que tout ce qu’il vie
Sa hauteur est immense, et par l’ordre des dieux, Ce colosse à jamais porte le poids des cieux41. Hercule soulagea pendant q
per les Grecs enfermés dans son antre, il se place sur le seuil de la porte toutes les fois que ses troupeaux vont au pâturag
bis ; « La barbe sied à l’homme et lui donne son prix, « L’œil que je porte au front me rend-il si difforme ? « C’est l’orbe
el il fut écrasé. Les dieux changèrent aussitôt Acis en un fleuve qui porte son nom… Les mots que je viens de prononcer ont é
ent prendre son corps, elles ne trouvent en sa place qu’une fleur qui porte le nom de ce martyr de l’amour-propre. Les For
onfondu les Saisons avec les Heures qui étaient chargées d’ouvrir les portes du Ciel et de l’Olympe, fermées par d’épais nuage
5 (1800) Cours de mythologie pp. -360
s tons et toutes les nuances ; Et ton mode assorti de sons mélodieux, Porte le nom divin de Langage des Dieux. Mais les Dieux
n germe y reposoit, mais sans activité.     Du Cahos tout-à-coup les portes s’ébranlèrent : Des soleils allumés les feux étin
bus, s’élève le portique. Le dôme est étoilé de saphirs éclatans. Les portes font jaillir de leurs doubles battans, L’éclat d’
les vents font rouler au milieu des éclairs Le char retentissant qui porte le tonnerre, Ton disque ouvre la nue et rassure l
Ici, de pampres verts, se couronne un Sylvain…     L’Onagre appesanti porte le vieux Silène ; A pas lourds et tardifs, il des
ide également aux combats, lui atteloit son char et ses chevaux. Elle porte un casque sur sa tête, une pique et un fouet, et
        Dans sa méthode assez peu régulière,             Le Dieu qui porte des grelots,         Ne laissa pas d’être utile à
l. Chacun d’eux avoit sa fonction. Les Songes vrais passoient par une porte de corne ; les Songes faux par une porte d’ivoire
nges vrais passoient par une porte de corne ; les Songes faux par une porte d’ivoire. On leur donnoit des ailes noires.     
émis ; oui, c’est elle-meme : Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend pour un bandeau. Po
n que Damas nous envoie, Jusqu’aux bluets qui couronnent l’Eté : Tout porte aux sens la surprise et la joie ! Que de beauté !
e Titan et de la Terre. A la naissance du matin, elle ouvroit les portes du Ciel et atteloit le char de Phébus. Assise ell
Dans les champs obscurcis des cieux, Sur un char d’incarnat traînée, Porte ses regards radieux. Du temps les courrières fide
Le songe mensonger s’envole Sur les pas légers de l’erreur.     Des portes qu’entr’ouvre l’Aurore, S’échappe un coloris bril
du sommeil, Et de l’opale étincelante, Sème le palais du Soleil : La porte à ses yeux dévoilée, Par le bras du temps ébranlé
rène et Eunomie. Les Heures naquirent au printemps. Elles ouvrent les portes du ciel et attèlent avec l’Aurore le char du Sole
drans et des Horloges.     Je chante le palais des Heures, Où trente portes de vermeil Conduisent aux douces demeures Qu’écla
Palais, aux confins des trois mondes. Là, sur tous les pays l’œil se porte à la fois. Là, de tous les humains l’oreille ente
combats anime tes cohortes ! Que tardes-tu, César ? ose enfoncer ces portes  ! Pour s’écrouler, ces murs attendent tes regards
ux désespoir, autour d’elle s’assemblent : Elle arrive au palais, les portes d’airain tremblent : Elle rouille les gonds de so
souffle sur eux, et le filtre infernal, Jusqu’au fond de leurs cœurs porte un trouble fatal. C’est peu : la torche en main,
bres. C’est d’elle que naquirent les divers monstres qui assiègent la porte des Enfers. On la représente avec un vêtement noi
e clé dans la gauche.     Lorsque Janus chez les Romains Ouvroit les portes de l’année, Des augures et des devins En présageo
urse impétueuse, S’ouvre, et se repliant en deux monts de crystal, Le porte mollement au fond de son canal. Le jeune Dieu des
Terre garde le silence :           On croit voir une nue immense Qui porte dans son sein un foudre menaçant.     Bientôt la
            Courons : que la mort, le ravage         Au sein d’Hector porte enfin la terreur ;         Et que ma main fumante
aux plus fiers combattans. L’audace dans les yeux, elle franchit les portes  ; Elle court des Troyens animer les cohortes. Tou
e haut Apennin qui supporte les nues !     Phaéton, aussi loin qu’il porte ses regards Voit l’Univers en feu fumer de toutes
roche, et d’une main au carnage échauffée, Elle enlève sa tête, et la porte en trophée ; Chacune suit sa rage, et bientôt leu
e. Un vain peuple applaudit à cet arrêt des Cieux. La hache cependant porte un coup plus heureux : Le monstre est ébranlé. Se
r les pieds aux franches d’un arbre. Un berger détache l’enfant et le porte à Polybe, roi de Corinthe, qui le nomme Œdipe, de
luxe de son palais, et par la beauté de son jardin.     Non loin des portes d’or de ce brillant palais, Est un jardin fermé p
différer. » Il dit : prend ce tissu, gage terrible et tendre ; Il le porte sous l’arbre où Thisbé doit l’attendre, Et le cou
sort enfin le Héros. Une seconde fois il traverse Pergame, Revoit la porte Scée, on la r’ouvre : sa femme L’appelle, et de l
cendant à grands pas, L’arrête : à ses côtés, un esclave en ses bras, Porte l’unique fruit de leur noble hyménée, Prince à pe
sans danger rallier tes cohortes, Repousser Diomède, et défendre nos portes . » « Chère épouse ! et pourquoi m’amollir par tes
Prends, me dit-il, cueille, choisis : Chloé seule excitoit mon zèle ; Porte à ses pieds l’arbre, les fruits, Et si tu veux, l
et regarda la Terre, L’homme avec majesté lève un front gracieux, Et porte jusqu’au Ciel sa pensée et ses yeux. Ovide.— Sai
’entraînoit, Bien digne de pardon, si l’Enfer pardonnoit. Presque aux portes du jour, troublé, hors de lui-même, Il s’arrête,
épris de lui-même, qu’il sécha d’amour, et fut changé en la fleur qui porte son nom.     Au fond d’une vallée une onde fugit
grands cris l’objet de sa tendresse ; Dans des sentiers affreux elle porte ses pas ; On voit le sang couler de ses pieds dél
x deux côtés, sous de brillans portiques, S’ouvrir à deux battans des portes magnifiques, Vestibules pompeux des Dieux patrici
Il querelle leur crainte, il frémit de courroux, Et le fer à la main porte les premiers coups. Quittez, quittez, dit-il, l’e
ne main il tient encore Le foudre puissant des Césars ; De l’autre il porte la houlette, Et mêle au son de sa musette Le terr
ple airain tous les murs sont couverts, Et sur leurs gonds, quand les portes mugissent, Du Temple alors les bases retentissent
es plus doux, Cette aimable pudeur qui les embellit tous. Tout ce qui porte au cœur, l’attendrit et l’enflamme, Et les grâces
s bienfaits, Qu’au sein de nos devoirs le vrai bonheur se trouve ; Je porte autour de moi mes regards satisfaits, Et j’ignore
pant la race mortelle.             Cette fille de l’Enfer              Porte dans sa main sanglante             Une tenaille b
            L’Envie attachée à nos pas, Cesse de nous poursuivre aux portes du trépas ; Oui, la tombe est l’asile où le talen
on n’a que son cœur. Voltaire 284. Faim. On la plaçoit à la porte des Enfers, et sur les bords arides du Cocyte. El
fils, sa main désespérée Enfonce, en frémissant, le parricide acier, Porte le corps sanglant auprès de son foyer, Et d’un br
ie. A l’envi l’un de l’autre, ils courent en fureur, Ils enfoncent la porte … O surprise ! ô terreur ! Près d’un corps tout sa
De ses bourreaux sacrés le cortége cruel La soulève tremblante, et la porte à l’autel, Non pas pour y serrer les doux nœuds d
rde attentive en traversant les airs, Entend ces cris affreux, et les porte aux Enfers. Elle amène à l’instant de ces Royaume
e on l’oublie ; Le méchant jouit des honneurs, C’est au méchant qu’on porte envie. A l’aspect de tous ces malheurs, L’Univers
heureux, Se fût-il élevé jusques au rang suprême. C’est elle qui nous porte , en leur malheur extrême, A secourir les bons, le
6 (1815) Leçons élémentaires sur la mythologie
ntr’autres l’Aurore et Phaëton. L’Aurore, selon les Poëtes, ouvre les portes du ciel, et annonce tous les matins le retour de
n cothurne, tenant un arc d’une main, et de l’autre une flèche ; elle porte un carquois sur l’épaule, et un croissant sur le
ésenté habillé en coureur, avec des ailes à la tête et aux talons. Il porte à la main un caducée ; c’étoit une baguette où ét
ur les yeux. Il tient un arc à la main et quelquefois un flambeau. Il porte des ailes, et un carquois rempli de flèches arden
ui rend lui est commun avec sa mère. Dans une obscurité profonde, Je porte au hasard mon flambeau : Otez à l’Amour son bande
oit Cerbère ? R. Cerbère étoit un chien à trois têtes ; il gardoit la porte des Enfers et du Palais de Pluton ; il caressoit
aux songes. Les Poëtes imaginèrent que les Songes passoient par deux portes , l’une de corne, et l’autre d’ivoire. Celle-ci ét
émis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte le diadême Que l’erreur prend pour un bandeau. (L
R. Oui ; on faisoit descendre la Paix de Jupiter et de Thémis : elle porte souvent le nom d’Astrée. On dit qu’elle présidoit
au, qu’il n’aimoit que lui-même. Il fut métamorphosé eu une fleur qui porte son nom.              Au bord d’une fontaine    
es et aux moissons ; ceux-ci aux rues et aux carrefours ; ceux-là aux portes et aux grands chemins. Les Romains consacroient à
x coupables mortels Alcide fait la guerre, Dans le sein des tyrans il porte le trépas ;           Et pour en délivrer la terr
avoit perdu son fils, et se précipita dans cette partie de la mer qui porte son nom. D. Continuez de nous raconter les grands
d’un antre qui étoit dans le temple de ce Dieu. Cet antre avoit cent portes , d’où sortoient autant de voix terribles qui fais
t les tristes fruits de l’intempérance. D. Quel est le jugement qu’on porte dans le monde des caractères entêtés et opiniâtre
e haut parage, mais du plus mince mérite, mit un jour son suisse à la porte , pour avoir introduit chez elle un homme distingu
r ! Quel art a pu former ces enceintes profondes, Où l’Euphrate égaré porte en tribut ses ondes ; Ce Temple, ces Jardins, dan
rré parfait, dont chaque côté étoit de 5 lieues. Chaque côté avoit 25  portes , ce qui fait en tout 100. Ces portes étoient d’ai
e 5 lieues. Chaque côté avoit 25 portes, ce qui fait en tout 100. Ces portes étoient d’airain massif ; de là vient que Dieu, p
uête de Babylone, lui dit : (Isaïe , chap. 25. v. 2.) Je romprai les portes d’airain . Les Pyramides d’Égypte. D. Par q
7 (1847) Nouvelle mythologie du jeune âge
s. Il portait pour symbole une clef, comme inventeur des maisons, des portes et des serrures. Janvier tire son étymologie du n
smophores, ainsi appelées de deux mots grecs qui signifient loi et je porte  ; parce que Cérès donna des lois aux Athéniens ;
ouleur, changea le sang d’Acis en un fleuve qui parcourt la Sicile et porte le nom de cet amant malheureux. La nature, qui av
ère, punit la négligence de son favori, et le changea en l’oiseau qui porte son nom, Gallus, mot latin, signifie en français
, et le tua. Le sang qui sortit de sa blessure produisit la fleur qui porte son nom, et qui naît à la fin de l’hiver. Poursui
n corps. Apollon, désespéré de sa perte, la transforma en l’arbre qui porte l’encens. Loin de rendre son cœur à la nymphe jal
es ténèbres. Les poètes disent que l’Aurore ouvre tous les matins les portes du ciel, et qu’elle précède le dieu du jour. On r
nnèrent tant de larmes à sa mort, qu’elles produisirent un fleuve qui porte son nom. On représente Marsyas avec des oreilles
dans le temple de ce dieu, au fond d’un antre d’où sortaient par cent portes autant de voix terribles qui répétaient les répon
uadées de la sincérité du dieu, toutes les villes lui ouvrirent leurs portes . Lorsque Bacchus eut fait la conquête de l’Arcadi
sacrifiait la cigogne, et chez les Gaulois des victimes humaines. Les portes des maisons étaient sous la protection de Mercure
dieux de terminer ses peines ; ils la métamorphosèrent en l’arbre qui porte son nom. Le temps de ses couches étant arrivé, l’
vitesse sur tous les autres poissons, et un certain penchant qui les porte à aimer les hommes. Cette fable d’un personnage q
e. Comment on représentait Neptune. Au lieu de sceptre, Neptune porte un trident ; son char est une vaste coquille, ses
dans son désespoir elle se précipita dans la mer, près du détroit qui porte son nom. D’autres, qui attribuent à la jalousie d
dans l’impossibilité de reconnaître les gens de mérite, tant il leur porte envie. » Fleuves de l’Enfer. Suivant la f
ère, chien à trois têtes, né du géant Typhon et d’Echidne, gardait la porte de l’enfer. Ce chien horrible, qui avait des serp
s ne pouvaient s’expier. C’est, dit-on, une prison obscure, qui a des portes de fer et un pavé d’airain. Elle est fortifiée de
Phlégéton. Une haute tour la défend. Tisiphone veille sans cesse à la porte , et empêche que personne n’en sorte. Qu’entends-
aüs et Egyptus étaient fils de Bélus. Egyptus s’empara du royaume qui porte son nom, et il obligea son frère d’aller chercher
igure des êtres qui nous intéressent. Le palais du Sommeil avait deux portes , l’une de corne et l’autre d’ivoire. Par celle de
our l’idole domestique ; ce lieu, pour l’ordinaire, était derrière la porte ou autour des foyers. Les statues des dieux Lares
ur vous Le vin, le miel, un lait si doux, Oh ! veillez bien sur notre porte , Sur nos gonds et sur nos verroux : Non point par
sot vienne à m’apparaître Exaucez ma prière, ô dieux ! Fermez vite et porte et fenêtre ! Après m’avoir sauvé du traître, Défe
le airain tous les murs sont couverts, Et sur leurs gonds quand leurs portes mugissent. Du temple alors les bases retentissent
émis ; oui, c’est elle-même : Orné de l’éclat le plus beau, Son front porte ce diadème Que l’erreur prend pour un bandeau. L
res, crut que son fils était mort, et il se précipita dans la mer qui porte son nom. Pirithoüs, roi des Lapithes, peuples de
pardonnait, Suivit imprudemment l’ardeur qui l’entraînait. Presqu’aux portes du jour, troublé, hors de lui-même, Il s’arrête,
dans vous la chaleur presque éteinte, Vous vivez ! et bientôt je vous porte à Corinthe. Je vous présente au prince : admirez
8 (1855) Mythologie pittoresque ou méthodique universelle des faux dieux de tous les peuples anciens et modernes (5e éd.) pp. -549
nterrée toute vive dans un lieu nommé Campus sceleratus, voisin de la porte Colline. Leur vœu avait force de loi durant trent
es fleurs sur leur passage, ou bien occupées à ouvrir et à fermer les portes de l’Olympe, habitation céleste des Dieux, dont n
èrent tous les cœurs, et firent appeler son règne l’âge d’or. Cet âge porte aussi le nom de Règne d’Astrée, parce que l’on su
le ciel, où il fut spécialement chargé de la marche de la planète qui porte son nom, et de la direction du Temps et des Heure
nait de délivrer en tuant Campée, qui était préposé à leur garde à la porte du noir séjour. Bientôt un combat des plus meurtr
ostilius aurait-il été foudroyé en voulant attirer la foudre. Tout ne porte-t -il pas à croire qu’il précéda Francklin dans ses
harmonisant les goûts de ce monstre avec les formes de l’insecte qui porte son nom, semble en avoir fait un être allégorique
ter de choisir et d’accepter celle qui contenait les chairs. Celui-ci porte son choix sur l’une des deux, mais c’était celle
lée ; puis il nomme Pandore, c’est-à-dire tous les dons, celle qui la porte , et lui dit de descendre sur la terre et d’aller
et entre avec lui dans la cabane des époux. A leur aspect toutes les portes s’ouvrirent ; cependant ils ne furent pas reconnu
femmes en couche, Pharigée ou de Pharigas en Phocide, Phéronia ou qui porte avantages, Philostephanos ou qui aime les fleurs,
bien avoir été la même que l’Astarté des Syriens. On présume, et tout porte à le croire, que ce fut en Arcadie que le culte d
e, et en Grèce le guerrier à bouclier, lance et égide, Pylotis ou des portes , ou des portes des faubourgs, parce que l’image d
le guerrier à bouclier, lance et égide, Pylotis ou des portes, ou des portes des faubourgs, parce que l’image de Minerve était
ourgs, parce que l’image de Minerve était au contraire, au-dessus des portes des villes, Quirinus ou du mont Quirinin, chez le
casion de parler dans la suite ; elle en eut quatorze enfans que l’on porte quelquefois jusqu’à vingt, et qu’Homère réduit à
a d’Amarynthe, bourg de l’Eybée ou de la Thessalie, Amphipyros ou qui porte une torche dans chaque main, Angitas de la rivièr
que main, Angitas de la rivière de ce nom en Thrace, Amphipyre ou qui porte flamme, et alors prise pour la Lune, Angitas en T
filets de chasse, Didyma ou sœur jumelle d’Apollon, Discincta ou qui porte l’habit longt et flottant, sans ceinture, Elaphéb
Olympie, Thymbreus à Thymbra en Troade, Thyrœus ou qui présidait aux portes comme Janus, Titan comme fils d’Hypérion, ou Hypé
œurs au meurtre de leur père. Ce fait jamais ne fut éclairci, et tout porte à croire que ce meurtre n’avait pas eu lieu. Néan
peine eurent-elles profité de cette hospitalité, qu’il fit fermer les portes et voulut faire violence aux vierges du Parnasse.
un Scythe ; ses cris retentissent dans toute la contrée, son supplice porte partout un effroi général, les nymphes, les faune
ps parmi les astres, et fit naître du sang qu’il perdit une fleur qui porte son nom et au fond de laquelle on prétend voir en
nt une branche de myrte à la main ; tantôt comme il était à Délos, il porte de la main droite un arc et de la gauche les troi
du haut du sien elle précédait celui-ci, en ouvrant chaque matin les portes du jour. On la disait fille de Titan, ou de Palla
devant elle la Nuit et le Sommeil et précède le Soleil en ouvrant les portes de l’orient. Jamais aucune fable n’a servi les ar
recs, pendant la durée des maladies contagieuses, plaçaient devant la porte de leurs maisons des branches de cet arbre si che
pidaurios à Epidaure, en Argolide, Hagnilas à Sparte, Latobius ou qui porte la vie chez les Doriques, le Nain en Arcadie, Pae
lent les montagnes. A la fin, la terre desséchée jusqu’aux entrailles porte ses plaintes aux pieds de Jupiter qui, pour arrêt
e Cérès que l’on y voyait était interdit aux hommes, Herbifera ou qui porte l’herbe, Lanigera ou lanagère quand elle était as
de Triptolème, Sito ou des vivres, Sotira ou qui sauve, Spicifera ou porte des épis, Stiritis et Stiritide ou de Stiris en P
ua, Thermesiu ou qui échauffe les eaux, Thesmia et Thesmophore ou qui porte avec elle la civilisation et les lois, Verdoyante
es enfers. A ces mots, elle s’élance vers les cieux, vole à l’Olympe, porte sa plainte au conseil suprême, et en accusant son
aucoup à une bacchanale ; on la commençait en quittant Athènes par la porte dite Hierâ pylè ou porte sacrée, puis on suivait
on la commençait en quittant Athènes par la porte dite Hierâ pylè ou porte sacrée, puis on suivait la Hierâ hodos ou voie sa
ent du nom d’Eudémon, d’Olbios ou d’heureux, de fortuné ; ensuite les portes du sanctuaire du temple étaient ouvertes et les é
yable, les yeux frappés de la vue de fantômes hideux ; puis enfin les portes du sanctum sanctorum s’ouvraient à deux battans,
entant le créateur de toutes choses, le Dadouque ou second prêtre, ou porte torche, symbole du soleil, l’Hierokeria ou troisi
chiennes seulement, puis quelque temps après elles leur ouvraient les portes en se moquant et en riant de leur sortie, le tout
onnent sa tête et chargent une de ses mains en même temps que l’autre porte une torche ardente. Quelquefois comme reine elle
 ; d’autres fois, simple villageoise, elle est montée sur un taureau, porte une corbeille sous un bras et une houe dans la ma
la mer ; Hecaerge, ou à l’effet lointain à Céos ; Hoplopheros, ou qui porte des armes à Lacédémone ; Hirtensis, ou présidant
suppose qu’elle voulut diriger elle-même la course de la planète qui porte son nom, pour se rencontrer tous les jours avec s
es villes de Sida et d’Aspende en Pamphylie, on sacrifiait aussi à la porte des temples de Vénus, des porcs et peut-être des
l’Amour, courroucé, métamorphosa la nymphe officieuse en l’oiseau qui porte son nom ; les chevelures consacrées venaient de c
ntée d’un voile léger gonflé par le souffle de Zéphyre ; souvent elle porte sa mystérieuse ceinture, ou le zonè des Grecs, et
te est élevée, et ses yeux fixés vers le ciel ; quelquefois même elle porte un globe dans une main. L'Amour est à ses pieds,
e Junon ou du soleil et d’Eglée. Mais la tradition la plus suivie les porte toujours comme filles de Vénus ; elles étaient au
n peuple chez un autre ; seulement la personnification du Dieu qui le porte , s’est dédoublée, c’est-à-dire que l’on a supposé
nons, l’Ivresse, le Chagrin et la Discorde. Presque toujours, l’Amour porte des ailes, dont les couleurs brillantes réfléchis
ce sur les ames. Quelquefois pourtant il tient une torche allumée, ou porte un casque et une lance ; d’autres fois il est cou
e la même main qu’elle tient une baguette, tandis que de l’autre elle porte une des fleurs appelées Narcisses et un paon qui
; mais suivant d’autres après sa mort il fut changé dans la fleur qui porte son nom. Ce Narcisse, dit-on, était un prince amo
ussi haut que lui. Habituellement il le tient dans sa main droite, et porte dans l’autre, soit un sceptre, ou une houlette, o
u gardiens muets étaient des figures de Mutinus que l’on plaçait à la porte des palais pour en garder l’entrée ; et alors ils
ses de Jupiter, si on ne l’a pas confondue avec Eurynome, qui souvent porte également ce nom. Cette Euryméduse eut encore ave
prenant un jour le nom de Jupiter, se fit ouvrir à force d’argent les portes de la tour qui renfermait Danaé, et depuis les ga
plusieurs couleurs, pour marquer la diversité de ses richesses ; elle porte une riche couronne et est assise sur deux cornes
une roue tournant rapidement et l’autre en l’air, ou quelquefois elle porte un gouvernail et pose son pied sur une proue de n
révoyante à Delphes, Pylotis ou dont l’image se plaçait au-dessus des portes en Grèces ; Saïs et Saitès ou dont le culte était
ailleuse dont sa poitrine est ornée, tantôt c’est le bouclier qu’elle porte au bras ; souvent cette peau est celle du géant P
férens noms et surnoms qui suivent : Acratophore et Acratopote ou qui porte ou boit du vin pur chez les Phigaléens, en Arcadi
s une prison et chargé de fers ; mais il avait brisé ses liens et les portes , et était revenu se mettre à la tête des Bacchant
le dieu. Les habitans à son passage lui immolaient un porc devant la porte de leurs maisons. Lorsque cette espèce de process
ous une autre forme, et alors elle fut métamorphosée en un arbre, qui porte son nom ; cependant il paraît que Pan eut pour fe
che que l’on aperçoit au ciel et que les anciens regardaient comme la porte du palais de Jupiter et celle par où passaient le
pieds le terrible dragon, enlève les pommes qu’il recherchait et les porte à Eurysthée. Cependant le fait, dit-on encore, ne
ire, de bois, de terre, qu’on plaçait au coin du foyer ou derrière la porte , ou dans les vestibules des palais ou dans une ch
l’on cueillait lui était consacrée. On mettait ses statues devant les portes des maisons, afin d’en écarter les voleurs, et so
Virgile, après leur défaite, prétend qu’elles furent habiter près des portes de l’Enfer, avec les Centaures, les Harpies et le
les avoir vaincus, il les enchaîna dans le tartare dont il ferma les portes avec des chaînes de fer. Après la victoire, Neptu
x jeux néméens. Une fois arrivé, il fut chargé d’assiéger le côté des portes Homoloïdes ; il trancha la tête au fils d’Ithaque
oyés exprès pour l’assassiner, eut l’honneur d’attaquer Thèbes par la porte Prétide, se battit long-temps et se distingua par
ombattit avec courage pour Polynice. Il fut même chargé d’assiéger la porte Ogygique, où il périt foudroyé par Jupiter, pour
nésimaque ou Aristomaque et de Mythidice, fille de Talâs, assiégea la porte Oncée et tomba sous les coups d’Ismare. Il laissa
éens. Lors de l’expédition contre Thèbes, il fut chargé d’attaquer la porte d’Électre, se distingua beaucoup dans le combat e
re, se réfugia en Attique et bâtit sur la côte Orientale la ville qui porte son nom. Après la mort de son père, il retourna d
més ; l’on ne faisait aucun mariage, et les Romains pensaient que les portes des enfers étaient ouvertes, et que les ombres en
la déesse des Cabires ; Carmente ou la prophétesse ; Casphora ou qui porte la fertilité ; Casta ou la chaste ; Cora et Coré
devait pas y pénétrer aussi facilement, car il était fermé par trois portes plus ou moins bien gardées ; il était situé, disa
lieu de la campagne de Rome. Au fond de ce lac était donc la première porte , devant laquelle veillaient continuellement la do
reux précipices et par des torrens impétueux ; près de cette première porte , ajoutaient les Latins, on trouvait le chemin qui
e Charon pour passer ce fleuve, au-delà duquel on voyait une nouvelle porte gardée par Cerbère, et derrière cette porte étaie
el on voyait une nouvelle porte gardée par Cerbère, et derrière cette porte étaient les enfers partagés en sept fractions bie
nuage trois fois plus noir que la plus sombre nuit et fermée par des portes de diamant que les Dieux mêmes ne pouvaient brise
manes le cyprès, les fèves dont la forme était censée ressembler à la porte des enfers, et le nombre neuf ; on supposait que
ses ondes tranquilles, comme sur ceux du Cocyte, l’on voyait une des portes du Tartare. Les ames destinées à aller animer de
u’elles se rendaient aux enfers. Sur le bord du Styx, on voyait, à la porte des enfers, Cerbère, gardien fidèle, qui empêchai
, ou l’ Inquiétude et Mœror, se trouvait comme sa mère, la Mort, à la porte des enfers, sous le nom de Mœror ; on le prenait
étaient portés par Morphée et sortaient du palais du sommeil par une porte d’ivoire, pour annoncer les biens et les maux rée
les biens et les maux réels, et les songes faux en sortaient par une porte de corne, pour montrer la grossièreté de ces vain
de la Nuit ; en effet : Le Travail, leur fils, placé par Virgile aux portes des enfers, était représenté comme un homme accab
cides, et vêtue d’une robe sanglante, elle veillait nuit et jour à la porte du Tartare ; puis dès que l’arrêt des criminels é
et, lorsqu’après avoir demandé ses enfans pour les embrasser, Thyeste porte pour boire sa coupe à ses lèvres, il jette un cri
rdeur, jusqu’aux murs de leur ville, le seul Hector résiste devant la porte de Scio, mais Achille s’attache à ce héros, qui s
n concertant ensemble les moyens de se defaire de leurs ennemis. A la porte du palais, le chien d’Ulysse, le vieil Argus, le
ardo ou Carmo et mieux Carna, divinité latine présidant aux gonds des portes . Carna, déesse Romaine, présidant aux muscles hum
d’un jeune homme ailé prêt à s’envoler. Forcule ou Foricule, dieu des portes des maisons. Februus, dieu Etrusque des purificat
s ou à double front ; Claviger ou porte-clef ; Clusius ou le dieu des portes  ; Curatius, ou le chef des Curiaces ; Eanus, ou c
ps. Lima ou Limentine, déesse du vieux Latium, présidait au seuil des portes , ainsi que le dieu mâle Limentin. Lua, déesse ita
une triade, présidant aux sermens. Promylé, déesse des meules ou des portes et môles. Promitor, dieu latin, présidant aux dép
tentyrites, sous la forme d’un génie à tête de chakal, et de plus, il porte à la main, dans le zodiaque rectangulaire, le sce
dans le zodiaque rectangulaire, il n’a qu’un disque pour coiffure, et porte le bâton augural à la main ; il correspond aux 1,
cans de ce signe du zodiaque rectangulaire, il a la forme humaine, et porte le bâton augural, et dans les deux zodiaques, sa
rième dynaste planétaire, correspond au Lucifer, soleil des Grecs, et porte , comme dieu supérieur égyptien, le nom de Fré. Il
, il se relève et rentre en bonne grace auprès de ses concitoyens. On porte l’image de ce Dieu à la tête des armées ; on lui
itif des Hottentots ; suivant eux, ils entrèrent dans le pays par une porte ou par une fenêtre, et mirent au monde plusieurs
e divine sur une feuille de palmier ; dans une autre de ses mains, il porte un vase recouvert ; souvent il tient mollement sa
il est habillé de rose, sa tête est ceinte d’une couronne, et sa main porte le sceptre. Pavana, ou Vaiou, ou Vahgon, ou Maro
rgelle d’un puits, d’où s’épanche une nappe d’eau surabondante ; elle porte un vina ou espèce de lyre dans sa main droite, un
s attachent au turban de leurs maris. Ensuite vient la procession, on porte la statue de la déesse, dont la tête est ornée d’
hapelles, élevées en son honneur pour implorer ses faveurs. Mrithyou porte aussi les noms de Yama, ou le dompteur des hommes
s lui sont consacrés ; elle habite dans la gueule des vaches, et elle porte des mamelles remplies de lait avec une corde noué
t. On la représente de couleur verte ; sa monture est l’âne ; sa main porte une bannière au milieu de laquelle un corbeau éte
d’un aigle et d’un serpent. Garoudha était le nom de cet oiseau : il porte Vichnou, son corps est celui d’un aigle, et sa tê
rsonnage de la Trinité Indienne. Siva, ou le grand dieu du Sivaïsme, porte les noms suivans : Baghis, ou le bienfaisant ; Bh
it pleurer ; Sivalingha, ou le dieu phallique ; Tchandradhara, ou qui porte la lune sur la tête ; Trilotchana, ou le dieu aux
s’aperçoit une troisième ligne rouge ; enfin, pour ornement, Bhavani porte souvent un long chapelet de têtes humaines qui de
cette déesse, tandis qu’on la figure par des statues sans tête, à la porte des sanctuaires. A côté de Bhavani nous voyons en
Kourou, frère de Iadou, et Ganga trouvée sur les bords du fleuve qui porte son nom fut adoptée par le radjah de Canodje. Par
mant dans les flots ; les larmes de Johilla formèrent une rivière qui porte son nom. Kamou-Kama ou Cama, ou Kamaveda, ou Mam
te d’éléphant, placée sur un corps humain ; c’est lui qui veille à la porte de la demeure céleste de Bhavani ; il s’opposa à
ns, se précipitent pour être écrasés sous les roues du char sacré qui porte l’idole du dieu révéré, char que des milliers de
e et Lamaisme. Bouddha, le dieu suprême de cette nombreuse secte, porte les noms et surnoms suivans : Arddhachiddhi-Goto
se localise dans le seul grand prêtre du Bouddhisme, grand-prêtre qui porte au Thibet le nom de Dalaï-Lama ; puis les cinq Bo
ux ames des damnés. Ils habitent les trente-six brasiers qui sont les portes du palais de Ghougor, Dieu des enfers. Ces ames r
l enlève dans ses serres un tigre, un éléphant et un rhinocéros qu’il porte dans son antre, pour en faire son repas le soir s
soleil ; d’une autre, une couronne de fleurs ; dans la troisième, il porte une verge, et dans la quatrième, une cassolette r
a une fête tous les quinze de chaque mois. On place son image sur la porte des maisons. Maristin, dieu de la guerre. Les Ja
ttent jusqu’à ce que l’une d’elles s’avoue vaincue. Chaque combattant porte sur l’épaule l’image de Maristin. Mirokou ou Fot
ille colossale est d’une effrayante maigreur. Sa demeure n’a point de porte , et cependant il faut prononcer des mots magiques
ipitée par Odin, et où elle habite Elioud, ou palais de la misère. La porte se nomme le Principe ; son lit Keur ou le Souci e
rribles. Une des trois grandes racines du chêne Iggdracil pèse sur la porte de son palais et la maintient immobile. Sous cett
Touparan exerce encore sur les cœurs des hommes une influence qui les porte à se déclarer la guerre ; et l’espèce humaine pér
le déluge et sur la confusion des langues, fait assez remarquable qui porte bien à supposer que le continent américain n’a pa
manière des corybantes. Son temple était de forme ronde, et avait sa porte taillée en gueule de serpent. Les Mexicains avaie
9 (1864) Mythologie épurée à l’usage des maisons d’éducation pour les deux sexes (nouv. éd.)
aussi un Dieu, et Numa Pompilius lui bâtit à Rome un temple dont les portes étaient fermées pendant la paix et ouvertes penda
n vieillard tenant une faux, symbole de destruction ; les ailes qu’il porte aux épaules et quelquefois aux pieds rappellent s
igure d’un jeune homme qui semble courir ou planer dans les airs : il porte des ailes aux talons et à son bonnet ; il tient d
chissant sur un char étincelant le seuil d’un palais de vermeil. Elle porte des ailes, et une étoile brille au-dessus de sa t
in, tenant dans ses mains des fruits et une corne d’abondance. Pomone porte une couronne de fruits ; elle tient une serpette
métaux. Elles étaient souvent placées auprès du foyer ou derrière la porte . On leur donnait aussi quelquefois la figure d’un
s ardentes. Tisiphone, armée d’un fouet, veillait sans cesse près des portes de diamant du Tartare, et empêchait les condamnés
s mortels ; ceux qui apportent des visions véritables sortent par une porte de corne ; ceux qui ne sont chargés que de vaines
ne ; ceux qui ne sont chargés que de vaines illusions passent par une porte d’ivoire. La Mort. La Mort, fille du Sommei
Nuit, et la plus implacable des divinités infernales, se tenait à la porte du Tartare. On lui sacrifiait un coq ; l’if et le
dé, des joues creuses et une coiffure de couleuvres ; d’une main elle porte trois vipères, de l’autre une hydre à sept têtes 
près le crime ; elle est armée de flambeaux et de serpents ; sa tête porte une couronne surmontée d’un bois de cerf. Quest
de s’arrêter là où le conduirait un bœuf qu’il devait rencontrer à la porte du temple, et de fonder une ville en cet endroit.
re qui se trouvait dans le temple de ce Dieu. On y pénétrait par cent portes , et de chacune de ces ouvertures sortait une voix
briques et de bitume. Chaque côté de ce grand carré avait vingt-cinq portes d’airain massif, et entre ces portes, de même qu’
ce grand carré avait vingt-cinq portes d’airain massif, et entre ces portes , de même qu’aux angles des murailles, il y avait
daient de plus précieux ; Bias seul n’emportait rien, il disait : Je porte tout avec moi  ; il voulait parler de sa sagesse,
nommé Lettres de Bellérophon celles qui sont hostiles à celui qui les porte . 46. Ville de l’Argolide fondée par Persée, et c
’emplacement de l’ancienne ville et les murailles de la citadelle. La porte d’Argos par laquelle le roi des rois sortit lors
. Elle est située sur les côtes du Péloponèse et près d’un isthme qui porte son nom, entre le golfe d’Athènes et celui de Lép
ris, laquelle fut également célèbre par ses richesses et par les cent portes ouvertes dans ses murailles. 64. Niobé, femme d’
10 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome I
Dieu des mers, épousa Amphitrite. Les Grecs le nommoient Poséïdon. Il porte un sceptre à trois dents, nommé trident. On céléb
ers s’appeloit Caron. Un chien à trois têtes, Cerbère, en gardoit les portes de fer. L’enfer avoit plusieurs fleuves : le Styx
grands hommes. Bacchus fut surnommé Narthécophore, c’est-à-dire, qui porte une canne de férule. On le représente quelquefois
s temples que l’on conservoit le feu sacré de Vesta, mais encore à la porte de chaque maison particulière, d’où vient le nom
on la conduisoit dans cet état, depuis le temple de Vesta jusqu’à la porte Collatine, auprès de laquelle, en dedans de la vi
t aussi barbares que les supplices. Le chemin du temple de Vesta à la porte Collatine étoit assez long, la vestale devoit pas
e à Rome dans lequel le Sénat donnoit audience aux ambassadeurs. A la porte de ce temple étoit une petite colonne appelée la
ucothoë vivante. Apollon métamorphosa cette infortunée en l’arbre qui porte l’encens. Clitie, devenue justement pour Apollon
aladroitement le palet et le tua ; il le métamorphosa en la fleur qui porte ce nom. Cyparisse, fils d’Amiclée, ou selon d’aut
res. L’Aurore, fille de Phébus, tous les matins, ouvre à son père les portes de l’Orient, en semant des roses sur la carrière
e trois et s’appeloient : Eunomie, Irène et Dicé. Elles gardoient les portes du ciel. Elles eurent des temples. Les Athéniens
e statues et de tableaux. L’Aurore. d éesse qui ouvroit les portes du Jour, et qui après avoir attelé les chevaux au
que l’on célébroit à Rome le premier de janvier. On donna à l’une des portes de Rome le nom de Janualis à l’occasion de la fab
able suivante : les Sabins assiégeant Rome avoient déjà atteint cette porte que l’on avoit fermée à l’approche de l’ennemi ;
Pudicité étoit représentée sur les médailles par une femme assise qui porte la main droite et le doigt index vers son visage,
moureux de lui-même ; il mourut d’amour et fut changé en la fleur qui porte son nom. Pausanias conte différemment cette fable
es, et sa fonction étoit d’annoncer le jour, dont sa mère ouvroit les portes . C’est la planète de Vénus lorsqu’elle paroît un
11 (1847) Mythologie grecque et romaine, ou Introduction facile et méthodique à la lecture des poètes (3e éd.)
peine de leurs crimes ou le salaire de leurs actions vertueuses. A la porte des enfers veille incessamment un chien à trois t
dans l’âme de l’initié. Enfin, après un moment de calme, deux hautes portes s’ouvraient, et l’on apercevait, à la lueur des f
es ailes, parce que la passion qu’il inspire n’est pas durable, et il porte un bandeau sur les yeux, parce que l’amant ne voi
nemi. De la main droite il brandit une lance énorme ; de la gauche il porte un bouclier ou secoue un fouet. Un coq est à ses
ent le plus de vertu ; son ami expira, et fut changé en une fleur qui porte le nom d’hyacinthe ou jacinthe. Apollon avait tou
nus, ou couverts d’un brodequin. On la reconnaît au croissant qu’elle porte sur le front, et à son habit de chasseresse : ell
raînent quatre chevaux blancs. Elle ouvre avec ses doigts de rose les portes de l’orient, répand la rosée sur la terre et fait
isages ; il tient de la main droite une clef, parce qu’il inventa les portes , et de la gauche un bâton, comme présidant aux ch
s ensemble : Mars, Mars, réveille-toi ! A l’issue des hostilités, les portes en étaient de nouveau fermées, non d’une manière
ine eurent-elles franchi le seuil de cette dangereuse maison, que les portes se fermèrent sur elles, et qu’on les déclara escl
nonce au jeune agriculteur que la vengeance divine le poursuit, qu’il porte la peine d’un grand crime, et que son devoir est
courroux des nymphes, sœurs d’Eurydice ; qu’il faut dresser devant la porte de leur temple quatre autels, répandre au pied de
re. Dans la cabane du pauvre, ces statues étaient placées derrière la porte ou au coin du foyer. Dans l’appartement des riche
ations et des prières : O mes Pénates !… Oh ! veillez bien sur notre porte , Sur nos gonds et sur nos verrous : Non point par
’un vieillard dont la barbe est épaisse et les cheveux courts, et qui porte sur sa main un hibou, oiseau de mauvais augure.
s’appuie d’une main sur une longue pique de chasseur ; de l’autre il porte négligemment un flambeau renversé. A Comus est or
de Songes de toute espèce. Morphée, ministre du Sommeil, veille à la porte de l’appartement, et empêche qu’on ne fasse à l’e
mer. Les uns, insignifiants ou trompeurs, sortent des enfers par une porte d’ivoire ; les autres, vrais et prophétiques, sor
e porte d’ivoire ; les autres, vrais et prophétiques, sortent par une porte de corne. § 31. La Mort. La Mort, fille de
Attique, dénué de tout, couchant sur la dure, et mendiant son pain de porte en porte. Antigone, sa fille aînée, lui servait d
dénué de tout, couchant sur la dure, et mendiant son pain de porte en porte . Antigone, sa fille aînée, lui servait de compagn
devin Amphiaraüs ; Capanée, Parthénopée et Hippomédon. La défense des portes de Thèbes fut confiée par Étéocle à un pareil nom
r, et ne rentre point avec les autres généraux. Il se tient devant la porte de Scée, attendant Achille, et impatient d’en ven
rt, les transports de joie éclatent de tous côtés dans la ville ; les portes s’ouvrent ; on s’empresse de sortir, de parcourir
maient d’un profond sommeil. Sinon se dirige vers le cheval, ouvre la porte pratiquée dans son flanc, et en fait descendre au
er son amant à la vie, le changea en un fleuve qui coule en Sicile et porte le nom d’Acis. § 6. Périphas. Périphas, un
pollon, il changea le prince athénien en aigle, oiseau majestueux qui porte la foudre, et qui est consacré à Jupiter. § 7.
urel, et les conduisit au vieux château où sa sœur était captive. Les portes en sont brisées, et le gardien massacré. Philomèl
ne espèce de disque ; sa main gauche s’appuie sur un bâton, sa droite porte la clef du Nil ; tantôt elle a une tête de vache
statues et de bas-reliefs, chefs-d’œuvre des meilleurs maîtres : les portes en étaient de bois de cyprès, la charpente de boi
et vendu à un Juif, qui en chargea neuf cents chameaux : (un chameau porte jusqu’à huit cents livres pesant). V. Statue de
e là que les lettres qui contiennent un ordre funeste à celui qui les porte , sont nommées lettres de Bellérophon. 43. Cet É
12 (1883) Mythologie élémentaire (9e éd.)
Pompilius, deuxième roi de Rome, lui éleva un temple célèbre dont les portes restaient ouvertes pendant la guerre. Ce qui prou
mps. Il est armé d’une faux, parce qu’il moissonne tous les êtres. Il porte des ailes, qui indiquent sa marche rapide. Il tie
me des vents, que les anciens croyaient renfermés dans son sein. Elle porte sur la tête une couronne de tours et des clefs à
représente-t-on Cybèle ? 16. Quelle fut la fille de Cybèle, dont elle porte quelquefois le nom ? Qui est-ce qui apporta en It
pira sur l’heure. Apollon désolé changea Hyacinthe en cette fleur qui porte son nom. Cyparisse, autre jeune homme que son tal
ronde dont il a toujours la tête couverte. Comme dieu du commerce, il porte une bourse à la main. Enfin, comme dieu de l’éloq
lle, sa tête est ceinte d’une couronne d’épis. Quelquefois aussi elle porte un flambeau, en mémoire des voyages qu’elle fit à
oire, de bois ou de toute autre matière, qui se plaçaient derrière la porte ou auprès du foyer chez les simples particuliers,
fs à Hercule, fut foudroyée par Jupiter, et changée en un gouffre qui porte son nom. 79. Les Sirènes. Les Sirènes, Nymp
traîné par des chevaux blancs. Elle ouvre de ses doigts de roses les portes de l’Orient, répand la rosée sur la terre et fait
ard Charon, les reçoive dans sa barque. A l’autre bord se présente la porte du palais de Pluton, gardée par Cerbère, qui, nui
tans, ces fils orgueilleux du Ciel et de la Terre, sont enchaînés aux portes mêmes du Tartare. Mais c’est assez s’arrêter dans
stal. Elle n’éblouit jamais ; au contraire, elle fortifie les yeux et porte dans le fond de l’âme je ne sais quelle sérénité.
exprimer combien il est difficile de la découvrir . Quelquefois elle porte à la main un miroir accompagné de fleurs et de pi
le pétrifie et le transforme en cette énorme chaîne de montagnes qui porte encore le nom d’Atlas. De là le héros arrive en E
frémissez, madame. ( Voltaire, Œdipe.) Abandonnant la Phocide, Œdipe porte ses pas errants vers Thèbes. Il trouve la ville d
ur patrie. Ils feignent en effet de partir. Les Troyens ouvrent leurs portes et viennent contempler le prétendu don offert à M
offre, le scellent avec du plomb et vont le jeter dans le Nil, qui le porte à la mer par la bouche Tanitique, devenue dès lor
Les parias ; le jour à regret les éclaire, La terre sur son sein les porte avec colère, Et Dieu les retrancha du nombre des
e qui se célèbre, tous les ans, à Djaggernâth, tandis que le char qui porte la statue de Vichnou écrase sous ses roues pesant
caldes ; l’Edda et les Sagas. L’histoire des divinités scandinaves porte l’empreinte du caractère dur et belliqueux de ces
a confondu dans la suite la déesse Styx avec le fleuve des enfers qui porte le même nom. 13. Quelques auteurs appellent ce g
ne, ce beau récit de la mort d’Hippolyte : A peine nous sortions des portes de Trézène, etc. que nous regrettons de ne pouvo
13 (1866) Dictionnaire de mythologie
Delille. Les Dieux ont fait leur temps. Jupiter a mis la clef sous la porte de l’Olympe et s’est retiré des affaires. A quoi
s. Tout ce que notre siècle crée de noble et de grand vient d’elle ou porte son empreinte. Elle est immortelle comme la natur
e religion gardée par l’ombre d’un empereur. » III Il poussa la porte , qui s’ouvrit sans bruit. Une poussière fade et n
e remarqué un grand mouvement. Je m’approchai et vis une tente à deux portes . Des hommes, deux à deux, portant qui l’épée, qui
atérale, à la lueur de la lanterne de Diogène, je vis un cabinet à la porte duquel je lus cette inscription : « Toilette de V
allé voir passer un lauréat du concours de Poissy. Heureusement tout porte à croire que l’érudition de ces personnes recomma
nsé comme tous les réformateurs. On se moqua de lui et on le mit à la porte . Augias regrettait déjà les abus, parce qu’il en
« Demain, quand l’Aurore, avec ses doigts de rose, entr’ouvrira les portes dorées de l’Orient, et que les chevaux du Soleil,
bonne femme de village, qui voyait un dragon descendre de cheval à sa porte  : « Jesus Maria ! est-il possible ! Ça se démonte
pitié de leur misère. Dans ses courses errantes elle va frapper à la porte d’une pauvre cabane. Mais je laisse ici parler la
s beaux esclaves, pour le fin travail de l’argenterie ; sa main ne se porte plus vers les plats ; les couronnes même tombent
r d’Apollon : « Deux fois, dit le poëte , il essaya de graver sur les portes d’or du sanctuaire la fin tragique de son fils ;
montagnes de la Thrace y virent probablement de petites tanières aux portes basses, aux toits à fleur de terre, comme les pay
au de Némée sur la fourmilière, l’enveloppe comme dans un filet et la porte à la rivière. Gulliver était plus compatissant. L
merie). Momus, dans nos idées, personnifie la charge bouffonne. Il porte le masque et les grelots du carnaval. C’est le di
autour du bûcher. Mais, une fois les rites funèbres accomplis et les portes d’airain de la mort fermées sur elles, la magie s
masse. Pourquoi l’aigle plane-t-il au-dessus des nuages ? Parce qu’il porte les foudres de Jupiter. Pourquoi les eaux du Pact
us hardies des modernes. Pareilles au dieu des mystères orphiques qui porte l’univers entier dans ses vastes flancs, elles po
quêtes pour les petits Chinois, et laisseront périr de froid à leurs portes d’autres Chinois, qu’ils appelleront leurs compat
14 (1869) Petit cours de mythologie (12e éd.)
Numa Pompilius, le second de leurs rois, lui éleva un temple dont les portes ne se fermaient que pendant la paix. On les ferma
om de Styx, qu’on a confondue plus tard avec le fleuve des enfers qui porte le même nom, fussent inviolables. Le combat des d
cristal d’une fontaine. Cet insensé fut métamorphosé en la fleur qui porte son nom et dont la couleur jaune est un emblème d
rde d’un coup de son palet : le dieu le fit revivre dans la fleur qui porte son nom. Cyparisse, jeune homme de Céos, se donna
ont, du nom d’Hellé. C’est ce bélier qui a formé la constellation qui porte son nom. — Le Taureau. Jupiter prit la forme d’un
Questionnaire. De qui Diane était-elle fille ? — Cette déesse ne porte-t -elle pas différents noms ? — Que raconte-t-on des
nairement Cybèle assise, pour montrer la stabilité de la terre ; elle porte un tambour ou un disque, emblème des vents que la
couronnée de tours, et quatre lions traînent son char. Quoique Cybèle porte le nom de Vesta, il ne faut pas la confondre avec
e pin, et autour de laquelle s’enlace un cep de vigne ; de l’autre il porte une coupe ou des grappes de raisin ; une peau de
e enfin au Tartare, que protégent trois enceintes de murailles et des portes d’airain. C’était le séjour des grands coupables,
d’autres encore ; parler des Titans, enchaînés de liens éternels aux portes du Tartare, du géant Titye, dont le corps couvre
sente sous la figure d’une femme aveugle, les pieds ailés. L’un d’eux porte sur une roue qui tourne sans cesse, et l’autre es
eulement le derrière de la tête est complètement chauve, et son front porte une seule mèche de cheveux qu’il faut saisir au p
me et à Athènes. Tantôt c’est une femme voilée, tantôt une vierge qui porte son doigt au front, pour montrer que c’est princi
nt de ses exploits ; la peau du lion de Némée couvre ses épaules ; il porte un arc, et un carquois renferme ses flèches. Q
ils introduisirent le cheval de bois dans leur ville, et, comme leurs portes étaient trop étroites, ils abattirent un pan de m
le scelle avec du plomb et court le précipiter dans le fleuve, qui le porte dans la mer par la bouche Tanitique, depuis lors
15 (1845) Mythologie de la jeunesse
, et Numa Pompilius, second roi de Rome, lui éleva un temple dont les portes ne se fermaient que pendant la paix. On ne les fe
euves, Cerbère, chien à trois têtes hérissées de serpents, gardait la Porte des Enfers et du palais de Pluton [Fig. 40]. Il c
somnifères [Fig. 45]. Un ruisseau, émané du Léthé, coulait devant la porte , et on n’y entendait d’autre bruit que le murmure
nt faux, les autres vrais ; les premiers sortaient des Enfers par une porte d’ivoire, les seconds par une porte de corne. Mor
iers sortaient des Enfers par une porte d’ivoire, les seconds par une porte de corne. Morphée, principal ministre du Sommeil,
s le lieu le plus sacré de la maison, auprès du foyer, ou derrière la porte , et quelquefois, chez les riches, dans un oratoir
s de Jupiter et de Thémis, étaient chargées d’ouvrir et de fermer les portes du jour, et avaient soin du char et des chevaux d
vieil Eumée, son fidèle serviteur, qui le conduisit à la ville. À la porte du palais, Argus, son chien, le reconnut, après u
on fils. « Ce que tu demandes est ici, » lui dit Progné. Aussitôt les portes de la salle s’ouvrent, et Philomèle paraît tenant
p d’accueil ; mais à peine furent-elles entrées, qu’il fit fermer les portes de son palais, et voulut faire violence aux fille
ertu. Le dieu, pour consacrer sa mémoire, le changea en une fleur qui porte son nom. Cyparisse. Cyparisse, comme Hyaci
quoique fort pauvres, consentirent à le recevoir et lui ouvrirent la porte de leur petite cabane [Fig. 115]. Pour les récomp
t l’âme humaine, c’est le premier homme, qui, voulant tout connaître, porte la main à l’arbre de la science du bien et du mal
16 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome I (7e éd.)
t palpable. C’est pour cela que les Égyptiens placent des sphinx à la porte de leurs temples. Ils veulent par-là nous faire e
ins publics ; il tenait aussi une clef, parce qu’il avait inventé les portes . Numa Pompilius lui fît élever un temple qu’on la
assise, pour montrer la stabilité de la terre. (Voyez la fig. 4) Elle porte un tambour ou un disque, symbole des vents que la
rivale, rassembla des troupes, courut à Pessinunte, fit enfoncer les portes de la ville à coups de coignée. Atys voulut en va
lessé, Diane, déesse de la chasse, le changea en la constellation qui porte son nom. On croit qu’Orion était disciple d’Atlas
Phaéton sont les deux plus célèbres. Aurore ouvre tous les matins les portes du ciel ; elle précède son père, et annonce son r
ue, pendant un jour seulement, il lui confiât la conduite du char qui porte la lumière. Le dieu du jour, ne pouvant plus refu
serpent produit par les exhalaisons pestilentielles du Nil ; et tout porte à croire que les Grecs ont imaginé leur Apollon d
tête du malheureux Hyacinthe. Apollon le métamorphosa en la fleur qui porte son nom. Ses regrets inutiles de ce meurtre invol
ignorait à Saïs le temps où le culte de Minerve avait commencé : tout porte à croire qu’il remontait jusqu’aux derniers patri
che à la main. (Fig. 24.) Bellone avait un temple à Rome auprès de la porte Carmentale. C’était dans ce temple que le sénat d
ans la ville, ainsi qu’aux généraux qui revenaient de la guerre. A la porte de ce temple, on voyait une petite colonne que l’
s il est couvert d’un habit militaire et d’un manteau. Mars vainqueur porte un trophée ; Mars Gradivus est dans l’attitude d’
oduit toutes les passions et les fait naître à la vue de celle qui la porte , ajoute encore à sa puissance, à ses charmes. Tel
e Chypre, et de Myrrha. Cette nymphe fut métamorphosée en l’arbre qui porte son nom, avant la naissance d’Adonis son fils. Lo
tôt leur première divinité. Le silence qu’ils gardent sur son origine porte à croire que, pour la trouver, il faut remonter j
evelure négligées ; son habit descend jusqu’au-dessus des genoux ; il porte un bonnet rond et pointu ; sa main droite tient u
a danse, pour faire acquérir à la fois de la force et de la grâce. On porte à quarante-deux le nombre des livres qu’il a lais
ce qu’il était le dieu de l’éloquence, On plaçait sa statue devant la porte dei maisons dans l’espoir qu’il en écarterait les
lle de tous les autres. Les poëtes leur supposent un penchant qui les porte à aimer les hommes, et à les secourir dans les na
abrégée sera tirée de Virgile. Description des enfers Devant la porte des enfers la Douleur et le Chagrin vengeur ont é
res assiégent l’entrée de ce fatal séjour. Tel est l’Averne, première porte des enfers. Près de cet antre, un chemin conduit
iècle sur ce triste rivage. Après avoir passé le fleuve, une nouvelle porte sert d’entrée au palais de Pluton ; elle est gard
te l’environnent de toutes parts. Trois enceintes de murailles et des portes d’airain rendent encore ces lieux plus inaccessib
r et de la nymphe Io. Égyptus s’empara du royaume qui depuis ce temps porte son nom. Danaüs son frère fut forcé de s’éloigner
17 (1822) La mythologie comparée avec l’histoire. Tome II (7e éd.)
er l’usage de se vêtir de peaux d’animaux, de se nourrir du fruit que porte le hêtre. Pour prix de ses services, il fut toujo
s lois que ce prince donna aux Athéniens, et celles du peuple hébreu, porte à croire qu’il les avait apprises des Israélites
gea d’Atlas, qui l’avait mal reçu, en le changeant en la montagne qui porte son nom. De là il se fit transporter dans l’Éthio
e mont Sinaï ; la tradition s’en était répandue généralement, et tout porte à croire que chacun d’eux prit pour modèle le lég
acilement les détours Pasiphaé, femme de Minos, lui en fit ouvrir les portes , et lui procura un vaisseau auquel il attacha des
guisée en vieille, et sous le nom de Lucine, elle se tint assise à la porte d’Alcmène, et prononçait des paroles magiques pou
e : les vaisseaux marchands avaient ordinairement une forme ronde. On porte à cinquante-deux le nombre de ceux qui s’embarquè
’elle-même, quand on se rappelle qu’Égée se précipita dans la mer qui porte son nom, lorsqu’il vit revenir, couvert de deuil,
q Orphée, dont ils racontent les aventures particulières ; ce qui les porte à croire qu’il en a été de ce personnage célèbre
u combat ; rien ne peut résister à la force de ses coups ; partout il porte la mort et l’effroi ; les Curètes ne songent plus
rte garnison. Tous les efforts des assiégeans se dirigeaient vers les portes , toute l’espérance des assiégés consistait dans l
tta d’avoir commandé un travail si pénible, et le fit abandonner à la porte du temple, parce qu’un ouvrier avait péri devant
r autour, ainsi qu’un mur qui enfermait le tout. On y entrait par des portes d’airain, à la construction desquelles Nabuchodon
u nombre des offrandes, en se rappelant l’inquiétude si naturelle que porte l’homme au fond de son cœur, et l’avidité avec la
fond d’un antre placé dans le temple de ce dieu. Cet antre avait cent portes , d’où sortaient autant de voix terribles, qui fai
propos. L’amour du travail, et cette émulation si pardonnable qui porte à ne point se borner à la simple fonction de copi
ui rendait parmi les peuples du Nord. Le quatrième jour de la semaine porte presque généralement son nom. On le nomme, suivan
ui dureront toujours. Il y a une demeure éloignée du soleil, dont les portes sont tournées vers le nord ; le poison y pleut pa
la famine ; ses serviteurs, l’attente et la lenteur ; le seuil de sa porte , le précipice ; son lit, la maigreur, et ses rega
es îles Britanniques furent habitées. L’étude de l’histoire naturelle porte à croire qu’elles faisaient autrefois partie du c
és marquaient l’étendue de la tombe. Un barde seul pouvait ouvrir les portes du palais aérien, en chantant l’hymne funèbre. L’
evoirs de leur religion. Personne ne peut entrer dans ce bois s’il ne porte une chaîne, marque de sa dépendance et du domaine
18 (1850) Précis élémentaire de mythologie
t causa la mort de son rival. Le dieu changea son ami en la fleur qui porte son nom, mais il resta inconsolable de la perte q
ite, Pyrois, Œthon, Eoüs et Phlégon ; que l’Aurore sa fille ouvre les portes du ciel et annonce le retour de son père ; et qu’
eds ni mains, s’appelaient hermès. On plaçait son image au-dessus des portes , pour détourner les voleurs, et on le nommait en
es divinités allégoriques les plus sombres. Devant le vestibule, aux portes des enfers, Habitent les Soucis et les Regrets am
s ou d’une large fourche, et de l’autre il tient la clef qui ferme la porte de l’infernal séjour. 11. Il ne faut pas confondr
des songes. Les poëtes imaginèrent que les songes passaient par deux portes , l’une de corne et l’autre d’ivoire. La première
mie des poëtes. Homère dit qu’elle ouvrait de ses doigts de rose les portes de l’Orient, et lui met sur la tête un long voile
, était également révéré comme un dieu. On plaçait ses statues sur la porte des temples pour montrer que la Divinité demande
et de mille ouvertures, et ses appartements ne sont fermés par aucune porte . Le jour et la nuit, sa demeure est ouverte. Form
es qui en firent partie ? D’où vint à cette expédition le nom qu’elle porte  ? 4. Qui dirigeait la flotte ? Dans quels lieux p
s marins. Racine a raconté ainsi sa mort : A peine nous sortions des portes de Trézène ; Il était sur son char ; ses gardes a
éduse, le pétrifia et le changea en cette montagne qui dans ces lieux porte son nom. Persée passa de la Mauritanie en Ethiopi
ait ses pas ; Proserpine à ce prix l’arrachait au trépas. Presque aux portes du jour, troublé, hors de lui-même, Il s’arrête,
Capanée, Amphiarüs, Hippomédon et Parthénopée. Ils gardèrent les sept portes de Thèbes avec leurs sept corps d’armée. Dans une
seaux et les serpents, et, au lieu de tuer ces animaux, l’Hindou leur porte les mets les plus exquis au bord de leurs trous.
ui dureront toujours. Il y a une demeure éloignée du soleil, dont les portes sont tournées vers le nord ; le poison y pleut pa
19 (1855) Compendio della mitologia pe’ giovanetti. Parte I pp. -389
(1) vuole che fu così detto a ianuis, perchè fu il ritrovatore delle porte . Si chiamava pur Caos (Χαος, Chaos), che si crede
Guerra e Marte, e che Giano siede sempre alla custodia delle due sue porte di ferro. Ed infine Orazio (3) rappresenta Giano
te-Janus Patulcius (da patet) et Janus Clusius (da claudo), perchè le porte del suo tempio in guerra erano aperte, ed in pace
rsi da se per fabbricare le mura di Tebe (1), alla quale fecero sette porte (Θηβη εν επταπυλω. Hesiod. Asp. 40) e molte torri
r ben cento scaglioni, che ne rendevano più maestoso il prospetto. Le porte eran di bronzo, ed i vasi, di argento ; ed in alt
ta Cartagine, se ne indorò riccamente la soffitta, e le tegole ; e le porte furon ricoperte di lamine di oro, oltre e candeli
ti piropi per tutto risplendeva. Il tetto era di candido avorio, e le porte di argento. Il lavoro vinceva la materia, perchè
E l’Aurora appunto credevasi la messaggiera del sole, che apriva le porte rosseggianti dell’oriente e le sale piene di rose
a testa rivoltato indietro, e dice che colle sue dita di rose apre le porte dell’oriente ; e ch’ ella versa la rugiada e fa n
alsi ; che abitavano al vestibolo dell’inferno, onde uscivano per due porte , una di corno, dalla quale i veraci, l’altra d’av
del suo aiuto, giacchè gli caddero da se le catene, e si aprirono le porte della carcere, onde uscì libero. Ovidio dice, che
iamato Ditirambo, per, essere stato allevato in un antro che avea due porte o uscite (διθυρω). Or da questo suo cognome fu ch
e (equus october. Fest.). Bellona poi avea un celebre tempio fuori le porte di Roma, nel quale si assembrava il Senato per ri
ffre per guida, ed addormentate le scolte del greco esercito, apre le porte ed il vecchio re co’ doni introduce inosservato n
enda dell’eroe, il quale avea pure ordinato alle guardie di aprire le porte e non molestare il re troiano ; e ciò vuol dire i
mete. L’Ocean trapassavano, e la bianca Pietra, e del Sole le lucenti porte . Ed il popol de’ sogni : indi a’ vestiti D’asfode
appreso dagli Egizii. L’Oceano, di cui parla Omero, era il Nilo : le porte del sole voglion dire la città di Eliopoli, cioè
scavato nel fianco di una rupe, a cui si andava per cento vie e cento porte , dalle quali cento voci uscivano insieme, quando
’indusse a seguire la poderosa armata che Adrasto condusse alle sette porte di Tebe ; percui sette furono i capitani che l’ac
ì bellamente descritte nel secondo libro dell’ Eneide, smantellano le porte , e fatta una breccia nelle mura della città, vi f
di precipitarli nel Tartaro, ove sotterra è un baratro profondissimo, porte di ferro e soglia di bronzo ; e che tanto è di so
giù nel Tartaro. Intorno ad esso avvi una trincea di solido bronzo, e porte e mura di bronzo fabbricate da Nettuno, ove dimor
mena alla feral reggia di Plutone. La vasta infernale città ha mille porte  ; e come il mare da tutta la terra accoglie i fiu
udeli ed inesorabili, colle chiome di atri serpenti, stanno avanti le porte della tartarea prigione chiuse con chiavistelli d
rno, per folte tenebre che il circondavano, spaventoso, era una delle porte del regno delle ombre ; come ancora una spelonca
esso dell’Inferno pone il popolo de’ Sogni. Oltre a ciò vi sono sulle porte varie mostruose apparenze di fiere ; i biformi Ce
erno, forse alludendo al costume degli antichi principi che avanti le porte tenevano grossi mastini. Appresso Virgilio però q
nnate agli eterni supplicii. Al dir di Ovidio esse sedevano avanti le porte dell’eterno carcere, ed aveano serpenti per crini
nel linguaggio del popolo così chiamavasi quel fiume ; e di là delle porte del Sole, cioè di Eliopoli (ab ηλιος, sol, et πολ
20 (1880) Lezioni di mitologia
o della notte, quando « Del sonno il peregrin cede al desio, E delle porte il vigile custode; E tregua al duolo ancor nel me
testa. Argo avea nome il lucido pastore, Che le cose vedea per cento porte . Gli occhi in giro dormian le debite ore, E due p
Veggo or quanto mi neccia essere dio: Poich’ai morir mi son chiuse le porte . Che posso altro per te che dolerm’io? E mentre r
a vendetta Vegli tu solo: Avea Tarpea tradito La sicurtà delle fidate porte , E la patria cadente, e fisso il giorno Alle nozz
osse l’apollineo ramo E l’atrio intero: lungi ite, profani, Lungi. Le porte col bel pie percote Febo: noi vedi? La Deliaca pa
, e dà soave Cenno; e per Taer dolcemente il cigno Canta. Apritevi, o porte , ecco lo dio Della danza e del canto: ai modi alt
evviva Del romano trionfo. E tu custode Fida starai presso l’auguste porte Tutela del sacrato arbor di Giove. Fia teco il va
avorio le cime orna e ricopre. Vibrano luce sulla ricca soglia Doppie porte d’argento, e dal lavoro La materia era vinta. È d
rdin vario. Mentre l’opra ammira Magnanimo Fetonte, aprìa l’Aurora Le porte d’oriente, e vi spargea Le rose col bel pie: fugg
donia, la copriva e la difendeva. Si vedono in questo lavoro come tre porte , delle quali quella di mezzo è la maggiore. Si er
chè la gemma è alquanto scavata nel sito che gli corrispondeva. Nelle porte laterali si vedono due candelabri: al di sopra se
caro alla plebe, che era caduto nell’assistere alla costruzione delle porte . Col nome di Vittoria era pure dagli Ateniesi ado
del tempio ornan le genti Debellate. Nel ferro eran scolpite Spezzate porte , le guerriere navi, I vóti cocchi, i calpestati v
o: I cavalli nitrir sparsi nei prati: Segno al nume vicin, stridon le porte Di perenne adamante. Ecco ritorna, ^E le belle ir
Innanzi al suo furor l’onde e le selve Soffiar desia; ma se le ferree porte Eolo gli oppone, si dilegua il vano Impeto, e tor
de, già sudor lungo ai Ciclopi: Son di ferro le mura, e ferro sono Le porte . Stanchi Piracmone e Brente L’opra lasciò: gli at
ià nasceva Fadre Oceano sull’estrema tela; Ma lo stridor delle tenaci porte Le dive le additò. Lascia imperfetta La gradita f
arche E di Vener l’inganno: il vicin fato Con mesto cigolio disser le porte Tre volte, ed altrettante Etna gemeva Con flebile
te dea la destra stessa Onde scompiglia le falangi, abbatte Le ferree porte , crolla i muri, in lievi Studii ora stanca, depon
omo, Preda ai serpi. Poiché mirò la dea Negletto il cardin delle fide porte E della flebil casa il muto aspetto, Stupida dal
i questi si chiama il Nero, l’altro Tutta-Notte. Nella città sono due porte : uno di corno lavorata con grande artifizio mostr
fui il più bello Onor della lottante agile schiera. Io concorso alle porte E alla soglia tepor mai sempre avea. Quand’io dov
ando nasce e quando muore il giorno. E le Tenarie foci, e le profonde Porte di Dite, e per paura cieco Il nero bosco ei vide;
i Parti Di fabbricar trofei Di lor faretre ed archi: In su le ferree porte infransi i Dacì, Al Caucaso ed al Tauro il giogo
he per la patria offre la vita. — Questa è Tebe, perchè vi sono sette porte nelle mura, e l’armata di Pohnice, figlio di Edip
ezioni che da se stesso, e che governa il tempo, dopo avere scosse le porte tenebrose del Caos, si avanzava col suo turcasso
li annunzia che solo a questo patto le Ore gli apriranno un giorno le porte del cielo, che non si acquista senza gloriose fat
à ha fatto di Enomao, col quale Licurgo era stato allevato. Ornava le porte del suo palazzo colle teste degl’ infelici che av
Anfione e Zeto, eh’ edificarono col suono della lira Tebe dalle sette porte ; l’aquila che rapisce Ganimede, e il combattiment
ere il suo popolo numeroso, deve egli dormire quando il nemico è alle porte ? L’uccisore di Oronte tuo genero vive ancora, ed
e l’istoria naturale di questo paese. Di già l’Aurora aveva aperte le porte dorate dell’ 0riente (dice il poeta) e la nascent
e di Nisa. Vedesi la sua comitiva uscir lieta e carica di prede dalle porte di vinta città. L’abito barbarico dei prigionieri
21 (1897) Mitologia classica illustrata
are; ma perchè il sole è in certo modo il portinaio del cielo, le cui porte apre al mattino, richiude alla sera, così Ianus d
ere). Sulla terra era specialmente signore di tutti i passaggi, delle porte grandi e piccole (da Ianus, ianua — la porta). Gl
(Kalendae Ianuariae) era la festa del Dio; quel giorno si ornavano le porte di ogni casa con corone e rami d’ alloro, gli ami
a quel momento per tutta la durata della guerra si tenevano aperte le porte di un certo tempio di lui, per indicare che il Di
può dire, templi speciali; essendo dedicate a lui, come si disse, le porte , i passaggi, gli archi della città. Segnatamente
e erano nelle vie o nei crocicchi più frequentati e avevano due o più porte . Questi erano sempre adorni colla statua del Dio.
Cesare. Lo si diceva eretto da Numa, ed era appunto il tempio le cui porte si tenevan chiuse in tempo di pace e aperte in te
eus, erano da Omero dette le portinaie del cielo; ora ne richiudon le porte di dense nubi circondandolo, or di nuovo le riapr
lia. Erano feste rallegrate dal sorriso dei flori; s’ incoronavano le porte delle case, si portavano corone in testa, e tra i
ua potenza. Ognuno che entra nel regno di lui ogni speranza lasci; le porte di esso son tenute ben chiuse e ben custodite e n
ano, nell’ estremo Occidente. La loro abitazione si diceva avesse due porte , una di corno l’ altra d’ avorio; dall’ ultima, e
se ne faceva molto uso sugli scudi, sulle corazze, sul battenti delle porte e su vari oggetti di uso domestico. Si notano due
olta dell’ Erebo, passando per il promontorio Tenaro in Laconia. Alle porte dell’ Ade trovò Teseo e Piritoo legati in seguito
Era, adirata contro Laio, a infestar Tebe. E postasi su una rupe alle porte della città obbligava i passanti a sciogliere il
erano bensì i sette disposti colle loro schiere di contro alle sette porte di Tebe per cingerla di regolare assedio; alcuni
ra anche per lui. In un assalto alla porta Scea, una delle principali porte di Troia, mentre già egli stava per entrare in ci
li Dei a Laocoonte per il consiglio dato, e senza indugio aprirono le porte della città per introdurvi il cavallo di legno. L
12: « ecco dal rosseggiante oriente la vigile Aurora apri le purpuree porte e gli atrii pieni di rose ». 18. Metam. 13, 622
22 (1810) Arabesques mythologiques, ou les Attributs de toutes les divinités de la fable. Tome II
ée lui présentant la tête de Méduse, le changea en cette montagne qui porte encore aujourd’hui son nom. Alors Persée enleva l
ce temps, leurs gens par leurs ordres excitèrent un grand tumulte aux portes du palais. Ce bruit effraya Déïdamie et les jeune
e Troie, le ruisseau qui la baignoit s’appeloit Xanthe. Énée baisa la porte faite sur le modèle de la porte Scée. Andromaque
noit s’appeloit Xanthe. Énée baisa la porte faite sur le modèle de la porte Scée. Andromaque s’attendrit en voyant Ascagne qu
Sérapis, sur les médailles, signifie la Providence. Le boisseau qu’il porte sur la tête, exprime que la Providence nourrit le
. Hésiode fixe son séjour dans le Tartare, Virgile la place devant la porte des enfers. Ce fut là qu’Hercule l’enchaîna avec
ques ; il combattit avec Turnus contre Enée. 28. Ce mot signifie qui porte des libations, parce qu’on y fait des libations s
23 (1806) Corso di mitologia, utilissimo agli amatori della poesia, pittura, scultura, etc. Tomo I pp. 3-423
elle Vestalie s’imbandivano da per tutto in Roma conviti dinanzi alle porte  ; si spedivano cibi alle Vestali, onde li offriss
lla Cappella del Nume a vista di tutti. I Sacerdoti ne sigillavano le porte . Al nuovo dì rientravano nella Cappella, e si tro
udelmente morire. Stavasi per trucidarlo, quando da se si aprirono le porte , che lo racchiudevano, e si sciolsero le catene,
a Postumio Livio, Dittatore de’ Fidenatì, il quale, accampatosi alle porte di Roma, ricercò al Senato le madri di famiglia,
1), di cui è bellissima la descrizione, che ce ne dà Virgilio(b). Due porte , dic’ egli, ha l’Inferno, una di corno e l’altra
d’Elide aveano inalzato un tempio a Summano, e che non ne aprivano le porte , se non una volta l’anno, volendo così dare ad in
e di scettro, ed ha nell’ altra varie chiavi. Queste indicano, che le porte del di lui Regno sono talmente custodite, che chi
ventino, l’altro in Efeso, e il terzò nella Chersoneso Taurica. Sulle porte del primo si appendevano delle corna di bue. Plut
rta del tempio, a differenza di tutti gli altri tempj di Diana, sulle porte de’ quali erano appese delle corna di cervo (b).
etide dal nome greco pili, porta, perchè la sua statua si poneva alle porte de’tempj e delle città(e). Venne chiamata Steniad
à maggiori si aggiunsero in Roma. Quivi egli ebbe un tempio di dodici porte , le quali in tempo di guerra stavano aperte ; e c
i al giogo ; gli offeriva datteri, fichi, e mele ; sulle soglie delle porte faceva ascendere il fumo di grati odori ; ivi pur
ro : il primo, in quanto ch’ egli si risguardava preside alle quattro porte del Cielo, cioè all’ Oriente, al Ponente, al Sett
ciò origine l’uso di na scondere la loro testa sotto le soglie delle porte (a). Così poi crebbe la superstiziosa venerazione
dicavano le Stagioni dell’anno (d). A queste spettava il custodire la porte dell’Olimpo (e), e l’essere ministre del Sole (f)
i di serpenti in una spelonca dinanzi all’ Inferno, e ne custodiva le porte . Dioesi che accarezzasse coloro che vi discendeva
finchè si purificassero coloro, che doveano toccare il cadavere. Alle porte si appendevano altresì i capelli tagliati del mor
ecaudito(d). Altri la denominarono tale dall’aprire ch’ella faceva le porte delle città in tempo di pace(e). Elio, citato da
24 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte III. Semidei, indigeti ed eroi — XLI. Perseo » pp. 309-316
’oro col quale furon comprate le guardie da un ricco principe aprì le porte della torre di bronzo, per la stessa ragione che
lato una bellissima testa anguicrinita di Medusa, distaccandola dalle porte del tempio di Minerva in Siracusa49. Tra i lavori
25 (1855) Della interpretazione de’ miti e simboli eterodossi per lo intendimento della mitologia pp. 3-62
on poterlo uccidere altrimenti, venendogli sempre dalla terra istessa porte nuove forze. Taluni interpetrando questo mito vog
fieriti non si rattengono dalla guerra. Vna alle Ore io presiedo alle porte del Cielo, e l’aere va e viene per mio comando. P
a quel Nume, cui sacrificavasi, come se egli trasmettesse per le sue porte a gli Dei le preci dei supplicanti. Perciò sovent
porta, e tre finestre per ciascun ato. Co’quattro lati, e le quattro porte si volevano indicare le quattro stagioni dell’ann
patet, aprire, e Clusio, da Claudere, chiudere, ossia dall’aprirsi le porte del suo tempio in guerra, e dal chiudersi in temp
26 (1874) Ristretto analitico del dizionario della favola. Volume I pp. -332
ire la vacca, la svenò sull’altare di Diana, ne affisse le corna alle porte del tempio, ed ebbe così tutto l’onore del sacrif
paone. Argo avea nome il lucido pastore. Che le cose vedea per cento porte . Gli occhi in giro dormian le debite ore, E due p
città si estendeva per un circuito di sessanta miglia, ed ebbe cento porte . Ciro, re dei Persiani, la distrusse dopo averla
ilemone in quercia, e Bauci in tiglio. Stando ambo innanzi alle gran porte , a piede Dei gradi ove sta un pian fra’l tempio e
acrificio a quella Dea. 957. Cardea o Cardinea. — Dea dei ganci delle porte  ; essa faceva parte dei Penati o Lari. 958. Cardi
farlo cosi grande, acciocchè voi, Troiani, nol poteste mettere per le porte di Troia. Chè però, se per le vostre porte si pot
nol poteste mettere per le porte di Troia. Chè però, se per le vostre porte si potesse mettere, Troia tornerebbe in quello st
a macchina, a cui la smisurata grandezza non consentiva entrare dalle porte , e collocarono con le loro mani nel mezzo della c
overlo. 1166. Clausio. — Dio che veniva invocato nella chiusura delle porte . Deriva dalla parola latina cludere, chiudere. 11
nome di colonne d’Ercole, si chiamavano anche portœ Gadaritanœ, ossia porte di Gadira. 1222. Colossi. — Statue di bronzo di u
i si poteva essere minacciati. Queste cerimonie si compivano fuori le porte della città e avevano in tutti i loro particolari
nti sovrani, e che erano tutte dei marmi più rari e preziosi : le sue porte erano di legno di cipresso con intagli preziosiss
e presso forma umana, ed avesse sposato il re, in una selva presso le porte di Roma, la quale fu allora nominata Locus Camana
ante entran ricchezze In Orcomeno e nell’Egizia Tebe Per le cento sue porte . Omero — Iliade — Libro IX Trad. di V. Monti. 1
one che poi finì con la battaglia di Azio, avesse incontrato fuori le porte della città, un uomo il quale spingeva innanzi a
a mille luogbi il muro e ’l tetto : V’ha mille ampie finestre e mille porte . Quindi han mille aure il passo entro il ricetto
otale, e coronato di verbena, presso il popolo nemico, o innanzi alle porte della città ostile, e quivi, chiamando Giove e gl
marino. 2044. Forculo. — Divinità che presiedeva alla custodia delle porte e propriamente ai ganci di esse : questo nome gli
utto il corso dell’anno. Gianuale era similmente il nome di una delle porte di Roma, la stessa alla quale si dava da principi
giani e di sudditi dall’altra, nel campo consacrato a Marte, fuori le porte di Colco, onde assistere alle differenti ed ardue
di un cavallo di bronzo, che aveva ai fianchi due aperture a guisa di porte . Avendo aperta una di quelle, rinvenne chiuso nel
fu disfatta V. Medusa le tre sorelle andarono ad abitare vicino alle porte dell’inferno insieme alle furie, alle arpie ecc.
. e a tutti i mostri di cui fa mezione la cronaca favolosa. In su le porte I biformi Centauri……… ……… . .e con Medusa Le Gorg
i, Di chioma invece, squallidi Viluppi di serpenti, Di Serfo entro le porte Reco lapidea morte. Pindaro — O di Pitie — Ode X
olte, oltre a ciò, vi son di varie fere Mostruose apparenze. In su le porte I biformi Centauri, e le biformi Due Scille : Brï
un tempio sacro a Giunone costruito in siffatta guisa, senza tetto nè porte , e che sorgeva nella strada che da Falera conduce
i esse ignoravano l’interna agitazione. Però appena ebbero varcate le porte di Trezene, che il popolo in piena sommossa le uc
elle calende di Gennaio. Le cerimonie Larentali si compivano fuori le porte di Roma, sulle sponde del Tevere. 2440. Larenzia.
uogo particolare, venivano classificate nel numero dei Lari. Fuori le porte di Roma, e propriamente nell’ampio ricinto del ca
verse cerimonie, si compivano sempre nel più alto silenzio. Una della porte di Roma veniva detta Lavernale, per essere nelle
a compiere per consacrare le città, i templi, le mura, gli altari, le porte principali, le are e tutti i monumenti. 2508. Lib
ile di Limentina a quella divinità che presiedeva alla custodia delle porte . 2533. Limira. — Fontana nella Licia, alla quale,
27 (1841) Mitologia iconologica pp. -243
on l’onorasse, mentre avendo quella gente il costume di pingerlo alle porte di loro case, acciò quindi respinto avesse i ladr
ui speranza, e tema. Egli fa che il mortal vacilla, e trema Quando le porte del furor disserra, E quando il sacro olivo innal
chiave, detto perciò Clavigero qual’inventore de’ chiavistelli delle porte dette per questo Ianua dal proprio suo nome, se p
i supplicabant velut parenti. Suo tempio. Celebre fù il tempio a due porte inalzato a questo Dio da Romolo di comun consenso
lode di qualche vincitore Romano soleasi dire : Per lui son chiuse le porte di Giano. Delle porte di questo tempio appunto in
ore Romano soleasi dire : Per lui son chiuse le porte di Giano. Delle porte di questo tempio appunto intende parlar Virg. Nel
duol del proprio torto. Non spera mai dalle tempeste il porto, Dalle porte d’ognuno or parte, or riede, Stender la scarna ma
; Hai vinto, hai vinto mia perversa sorte. Di Cartago cader veggio le porte , Veggo la reggia oppressa, e desolata Che più ti
28 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XXIX. Plutone re dell’ Inferno e i suoi Ministri » pp. 203-215
Lo stesso Virgilio ci narra che nelle regioni sotterranee vi son due porte da cui escono i sogni per venire sulla Terra ; la
241. Omero fa dire poeticamente ad Achille : « Odio al par delle porte atre di Pluto « Colui ch’altro ha sul labbro, alt
29 (1806) Corso di mitologia, utilissimo agli amatori della poesia, pittura, scultura, etc. Tomo II pp. 3-387
coll’ arco lo inseguì. Fu rinchiuso in una stanza, ed ei ne spezzò le porte , che diceva essere quelle di Micene. Uccise i fig
ne delle sue conquiste (b). Queste stesse Colonne si chiamavano anche Porte Gadaritane (c). Ercole apparve in sogno al leggia
d’ulivo, coperto di lana, che si attaccava poi da un fanciullo sulle porte per allontanare la carestia in onore di Minerva.
quegli abitanti, che morivano di sete, non molto dopo gli aprirono lo porte della loro città(a). Una cosa quasi del pari gli
pose ciascuno, de’ predetti sette Capi dinanzi a ciascuna delle sette porte di Tebe. Eccocle del pari distribuì i suoi più va
di questi solevano gli Antichi coronare se stessi, gli animali, e le porte delle case e de’ tempj nel tempo delle loro pubbl
a I. 346. Populonia I. 182. 200. Porfirione I. 111. 112. Poro I. 360. Porte Gadaritane II. 75. Portunali I. 383. Portuno I. 3
pra d’esso ; e il toro corse tosto al mare(e), la trasportò in quella porte del mondo, che dal nome di loi fu chiamata Europa
tirare appresso di loro il predetto Cavallo. Pet riuscirvi ruppero le porte , smantellarono le mura, si aprirono largo passagl
ri. Questi occuparono tosto i posti, uccisero le guardie, aprirono le porte , accolsero i compagni, misero la città a fuoco, e
30 (1824) Breve corso di mitologia elementare corredato di note per uso de’ collegi della capitale, e del regno pp. 3-248
pubbliche strade, o pure una chiave, perchè creduto l’inventore delle porte . Saturno avrebbe potuto pacificamente vivere fra
inault. L’Aurora figlia di Titano, e della Terra apre ogni mattina le porte del Cielo al carro del Sole. Questo carro circond
stano de’ cibi, indi vien condotto alla città. Lasciata Nausicae alle porte , si presenta ad Aleinoo in qualità di uno stranie
a l’incendiata città col disegno di ritirarsi sul monte Ida. Fuori le porte inseguito dai Greci perde Creuso. Col favore dell
l sesto Libro dell’Eneide, che i sogni nell’inferno entravano per due porte , una di corno, l’altra di avorio. Per quella di c
31 (1861) Corso di mitologia, o, Storia delle divinità e degli eroi del paganesimo: Per la spiegazione dei classici e dei monumenti di belle arti (3e éd.) « Della mitologia in generale. » pp. 17-359
onsacrato il monte Gianicolo che è uno dei sette colli di Roma ; e le porte delle case, dette in latino Januœ, erano sotto il
ale Dio tutelare delle strade, e con una chiave per aver inventate le porte . Talvolta le sue statue hanno quattro facce allud
oscurità si dissipa innanzi a lei, mentre con le mani di rose apre le porte del giorno. Talvolta è rappresentata sotto le for
tatue e bassorilievi che erano capolavori dei più celebri maestri. Le porte furon fatte di cipresso, tutto il resto di legno
Molte oltre a ciò vi son di varie fere Mostruose apparenze. In su le porte I biformi Centauri, e le biformi Due Scille ; Bri
parte d’acqua, parte di legno. Fingasi che in questo luogo siano due porte  ; una d’avorio, donde escono i sogni falsi, ed un
ja. 523. I Trojani, credendosi ormai liberi dai nemici. spalancate le porte , introdussero l’enorme cavallo nella città, atter
per l’ossa Un tremor, nè aspettarlo ei più sostenne ; Ma lasciale le porte , a fuggir diessi Atterrito………. Indi, ritornato
tento i cittadini Il re canuto, che di duol scoppiando Dalle dardanie porte a tutto costo Fuori volea gittarsi. S’avvolgea I
32 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte IV. Le Apoteòsi — LXX. Delle Divinità straniere adorate dai Romani » pp. 506-510
ata da Tibullo la sua Delia, che passò ancora qualche notte avanti le porte del tempio d’Iside a pregar la Dea per la salute
33 (1874) La mitologia greca e romana. Volume II « Parte II. Degli dei inferiori o terrestri — XXXV. I Satiri ed altre Divinità campestri » pp. 270-278
i facevano a gara a cingersi la testa e ornarne le mense e perfino le porte delle case. L’immagine della Dea Flora è simile a
34 (1874) La mitologia greca e romana. Volume I « Parte I. Delle divinità superiori o di prim’ ordine — XVII. Apollo considerato come Dio del Sole, degli Arcieri e della Medicina » pp. 92-103
na bellissima figlia chiamata l’Aurora, la quale ogni mattina apre le porte dell’oriente, e precede il padre, spargendo gigli
35 (1831) Mitologia ad uso della gioventù pp. -
data da Flegetonte e Cocito ; un’alta torre ne difende l’ingresso. Le porte sono dure quanto il diamante ; tutti gli sforzi d
sopra di un carro risplendentissimo. Essa precede il Sole ed apre le porte dell’oriente ; è accompagnata dalle Ore e fuggono
i andavano da sè stesse a porsi le une su le altre. Egli vi fe’ sette porte e diverse torri, che situò ad eguali distanze. Ve
36 (1836) Mitologia o Esposizione delle favole
acque di Lete con fior di papavero. I sogni, secondo Omero, avean due porte : l’ una di corno per cui usciano i veri, l’ altra
stesso Dedalo col figlio Icaro nel labirinto, e custodirne in modo le porte , che non potesse fuggirne. Dedalo allora procacci
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