s assommèrent le malheureux Icare. On mit son corps dans une fosse au
pied
de quelques arbres. Sa chienne Méra, que sa fidél
ils, il fit exposer son enfant sur le mont Cithéron. On lui perça les
pieds
et on le suspendit à un arbre. Des bergers, toujo
depuis son exposition sur le mont Cithéron, conserva de l’enflure aux
pieds
, on l’appela Œdipe, nom composé de deux mots grec
eds, on l’appela Œdipe, nom composé de deux mots grecs qui signifient
pieds
enflés. Œdipe entrant un jour dans le temple de D
le Sphinx proposoit ordinairement : « quel est l’animal qui a quatre
pieds
le matin, deux sur le midi et trois le soir ». Œd
son enfance rampe et se traîne à l’aide de ses mains ainsi que de ses
pieds
: qui dans la force de l’âge ne se sert que de se
, dans un bois consacré aux Euménides. Nul mortel ne devoit mettre le
pied
dans ce lieu redoutable ; quelques Athéniens y ap
triompher, envoya au secours de l’Hydre un Cancre marin, qui piqua au
pied
le héros, mais Hercule l’écrasa, et Junon plaça c
donnoient de se soumettre. Hercule atteignit à la course la Biche aux
pieds
d’airain et aux cornes d’or, qu’il ne pouvoit per
ie d’une grande gloire ; il garda le silence, mais il indiqua avec le
pied
, le lieu où il avoit inhumé Hercule. Il se rendit
et durant le voyage, une des flèches d’Hercule tomba sur celui de ses
pieds
qui avoit montré la sépulture d’Hercule ; il se f
es pieds qui avoit montré la sépulture d’Hercule ; il se forma sur ce
pied
un affreux ulcère d’où s’exhala une infection si
ns une fontaine. Les Argonautes abordèrent à Cizique, ville située au
pied
du mont Didyme. Ils furent bien reçus par le roi
chevelure, les épaules couvertes d’écailles dorées, et des ailes aux
pieds
. Les Argonautes continuèrent leur route, ils abor
ettre sous le joug deux taureaux (présent de Vulcain) qui avoient les
pieds
et les cornes d’airain, et qui vomissoient des to
une partie de chasse sur le mont Pélias ; Pélée, fatigué, s’assit au
pied
d’un arbre, et s’endormit. Alors Acaste lui enlev
en morceaux que l’on dispersa dans une plaine et qu’il fit fouler aux
pieds
par son armée. Jason célébra des jeux solennels e
s les cognées rebroussèrent contre les travailleurs et les tuèrent au
pied
des arbres. Les Amazones voulant entrer à cheval
Roi d’Epire qu’il eut de Déïdamie. Pyrrhus massacra le vieux Priam au
pied
d’un autel, précipita Astianax fils d’Hector et d
ands serpens, qui sortirent de la mer, vinrent attaquer ses enfans au
pied
de l’autel, il courut à leur secours, et il fut é
tué par Apollon. Quelques-uns disent que le sang d’Ajax fut changé en
pied
d’alouette où l’on croit voir ces deux lettres AJ
e qui ne le reconnoît pas. Sa nourrice le reconnoît en lui lavant les
pieds
, à la cicatrice de la blessure qu’il reçut jadis
artit avec Ulysse pour cette expédition, lorsqu’ils furent arrivés au
pied
des murs de la ville, il monta sur les épaules d’
exte d’une offrande religieuse : ensuite ils laissèrent ce cheval aux
pieds
des murailles, et feignirent d’abandonner le siég
le soleil se lever, un de ceux qui l’accompagnoient l’ayant aperçu du
pied
d’une haute montagne, on y bâtit une ville qui fu
, tenant le livre de l’évangile avec la palme du martyre, foulant aux
pieds
le globe du inonde, et fixant ses regards sur une
noit à la main une corne d’abondance. Communément on la représente un
pied
sur une roue pour marquer sa mobilité. Les poëtes
d’oreilles et d’yeux, Dont la voix ressemble au tonnerre, Et qui, des
pieds
touchant la terre, Cache sa tête dans les cieux ?
le lui devoient. On représente cette divinité avec des ailes, et les
pieds
nus. La Providence. On la représentoit sou
hauve par derrière, n’ayant qu’une touffe de cheveux sur le front, un
pied
sur une roue, l’autre en l’air, tenant un rasoir
de fer et l’urne qui renferme le sort des humains, et ayant sous ses
pieds
le globe de la terre. Il étoit né du Chaos et de
, un hydre à sept têtes de l’autre, un aspic lui dévore le sein : Au
pied
du mont où le fils de Latone Tient son empire, et
he de cyprès, il a un poignard dans le sein, et un compas rompu à ses
pieds
. L’Hypocrisie. Le ciel est dans ses yeux,
, l’enfer est dans son cœur. Voltaire. On la représente avec des
pieds
de loup et un voile noir sur sa tête. Tout le mon
Alciat représente l’Injustice sous la figure d’une femme foulant aux
pieds
une balance et tenant un crapaud. La Superstit
trophée De myrthe et de pampres orné, Tandis qu’à ses
pieds
, abbatue, Rampe l’inutile statue
tient d’une main une brandie de laurier, et de l’autre, une lance. Le
pied
de sa statue fut un asile dans Athènes. On lui dé
lanc, tenant d’une main un cachet, de l’autre une clef et ayant à ses
pieds
un chien. On confond cette divinité allégorique a
re, une couronne de chêne et une couronne de gramen, et foulant à ses
pieds
des hallebardes et des piques. Le trait de ce jeu
rits ces mots : rerum magistra, la maîtresse des choses. Elle a à ses
pieds
une pierre de touche et un vase d’où s’évaporent
ée de pierreries, assise sur un trône, jouant de la lyre, ayant à ses
pieds
un tigre couché et deux colombes. La Perfectio
L’Humilité. Une femme vêtue de gris, ayant une couronne sous ses
pieds
, un agneau couché près d’elle et tenant une balle
r. Un voile sur la tête, tenant un lys, ayant une tortue sous ses
pieds
. Voyez dans le premier volume Dryas Déesse de la
le vêtue de blanc, tenant un crible d’où s’écoule une eau pure, à ses
pieds
l’Amour abattu, avec son arc brisé. On la représe
a première place ; Et tu vois le troupeau de tes imitateurs Ramper au
pied
du Mont dont tu tiens les hauteurs. De ce Mont où
’immortalité. Le nouveau Souverain, brillant de majesté, Le place aux
pieds
du trône, à côté du tonnerre. La modeste Col
piquante et nouvelle ; Le jouvenceau surpris par elle, Bondit sur ses
pieds
incertains, Auprès du vieillard qui chancelle. R
e Mercure à Calipso. Mercure se dispose à prendre son essor, A ses
pieds
immortels il met ses ailes d’or, Dont il perce le
ris bien sincère, Leur orgueil nous honore tous ; Aux
pieds
de leur mérite on les voit à genoux.
s l’abîme ; il attelle soudain Ses coursiers aux crins d’or, armés de
pieds
d’airain. Il monte sur son char et fend le sein d
ta l’ardeur de ses coursiers, Et par des liens d’or il enchaîna leurs
pieds
. Homère. — Rochefort 19. O mer, terrible mer,
outumé, En frissonnant il plonge, et luttant contre l’onde, Il bat du
pied
le flot qui blanchit et qui gronde ; Soit qu’à tr
rbres favoris de Pan. On le représente avec des cornes à la tête, des
pieds
de Chèvre, et la partie inférieure du corps, semb
n ; Comment cette perdrix, dans sa fuite imprudente, Est tombée à vos
pieds
, éperdue, et sanglante ; Comment a succombé ce li
alette ; L’ami des champs croit voir les prés et les vallons, Et d’un
pied
fantastique il foule les gazons ; Le chasseur pre
ent sur eux leurs naseaux enflammés : Alors le cerf tremblant, de son
pied
, qui les guide Maudit l’odeur traîtresse et l’emp
ort majestueux, Et sa taille élégante et ses rameaux superbes, Et ses
pieds
qui volaient sur la pointe des herbes ! Il chance
mes tilleuls épais, J’ai retrouvé la nature et la paix. J’y foule aux
pieds
les erreurs du vulgaire ; Et détrompé du faste de
le front ceint de grappes colorées, Tout souillé des raisins que ses
pieds
ont pressés ; Et l’Hiver, aux cheveux de neige hé
Le Mont sacré m’est dévoilé ; Et je vois jaillir l’Hippocrène Sous le
pied
du Cheval ailé. Un Dieu (car j’en crois cette fla
ble, Ton art nous fait rire et rougir. Qu’entends-je ? Euterpe au
pied
d’un hêtre, Chantant les troupeaux, les jardins,
glans. Emporté dans son vol au-dessus du tonnerre, Des ailes sont ses
pieds
, et le Ciel est sa Terre. Il la frappe, indigné d
est sa Terre. Il la frappe, indigné d’avoir mordu le frein : Sous ses
pieds
l’hippocrène a rejailli soudain, Aujourd’hui de l
inités des bois, des campagnes, des eaux, Belles Nymphes aux
pieds
de roses, Qui, sans courber les fleurs, par votre
; L’Amour, en soupirant, renverse son flambeau ; Et la Mort, sous nos
pieds
, creuse notre tombeau, O bienfaisante Hygie !
es Géans qu’écrasa leur tonnerre, Son front est dans l’Olympe, et ses
pieds
sur la Terre, Rien ne peut égaler son bruit tumul
d’oreilles et d’yeux, Dont la voix ressemble au Tonnerre, Et qui des
pieds
touchant la terre, Cache sa tête dans les Cieux ?
e feu presse, en sifflant, son sein. Sur des trônes brisés pèsent ses
pieds
d’airain. Sa robe flotte aux vents, sanglante, dé
appé. O toi, qui n’attends plus que la cérémonie Pour jeter à mes
pieds
ma rivale punie, Et par qui deux amans vont d’un
ille de Saturne De l’Érèbe eut troublé le silence nocturne ; Sous ses
pieds
le seuil tremble, et Cerbère trois fois De son tr
nte et pure, Parcourt au loin les rangs, et dit les derniers mots. Au
pied
d’un mont fameux, par les soins du héros, S’élève
e Lerne, monstre à plusieurs têtes ; la Biche aux cornes d’or, et aux
pieds
d’airain ; le Lion de Némée, l’homicide Busiris,
rompt que les éclairs, vers ses roches fidèles Il court, vole ; à ses
pieds
la peur donne des ailes : Il fait tomber ce roc q
t dans son sein, Du parjure Cacus révèle le larcin. On saisit par les
pieds
le cadavre difforme ; On le traîne, on veut voir
iles Le spectacle inconnu des Cieux ; Il foule d’un
pied
radieux Les nuages et les étoiles.
ondant nos conquêtes, La matière n’a plus de poids ; Sous nos
pieds
enchaînée et foulée autrefois, La voilà qui s’élè
délire, On célèbre à l’envi le triomphe des arts ; On voudrait de ses
pieds
presser l’heureux navire Qu’atteignent en
Blessât, en l’effleurant, son écorce fragile. Luce 143. Priam aux
pieds
d’Achille. L’horison se couvrait des ombres de la
érable, Que le fardeau des ans, que la douleur accable Exhalant à ses
pieds
ses sanglots et ses cris, Et lui baisant la main
ctète. Vaincu par leurs prières, il les leur découvrit en frappant du
pied
à l’endroit qui les recelait : le Ciel punit crue
ait : le Ciel punit cruellement son parjure : une flèche tomba sur le
pied
dont il avait frappé la terre. Sa plaie exhalant
r l’oiseau timide, Souvent il me fallait pour aller le chercher, D’un
pied
faible et souffrant, gravir sur le rocher, Me tra
Femmes guerrières, qui habitaient sur les bords du Thermodon ou au
pied
du mont Caucase, dans le voisinage des Scythes. A
camp des Grecs repousser la terreur. D’un corps souple et léger, d’un
pied
rempli de grâce, On la voit s’élancer sur un cour
récageuse, Avait sur les autels éteint les feux sacrés. Dès que leurs
pieds
du temple ont touché les degrés, Chacun d’eux à g
barrière, Ils fendent, dans les airs, les nuages mouvans, Et de leurs
pieds
ailés ils devancent les vents. Le char léger de p
e la froide Scythie : Mais bientôt, fatigué d’un vol audacieux, A tes
pieds
, roi des arts, il rendit grace aux Dieux ; Tu reç
es, la prirent, la saccagèrent, et massacrèrent l’infortuné Priam, au
pied
de l’autel qu’il embrassait. J’ai vu Pyrrhus,
éperdu, tend les bras à son père, Hélas ! et dans son sang tombe aux
pieds
de sa mère. A ce spectacle affreux, quoique sûr d
’oracle a parlé : sous la hache abattues, L’Ida voit ses forêts à ses
pieds
descendues. De leurs débris formé, l’œil fixe, me
t part… Mais quel Dieu rend ce trait inutile ? Il tombe, et meurt aux
pieds
du colosse immobile. Un vain peuple applaudit à c
age, Là, malgré quarante ans de gloire et de vertus, Priam expire aux
pieds
d’un trône qui n’est plus Le sang Troyen ruissell
re mourir. Celui-ci, touché de pitié, se borne à le suspendre par les
pieds
aux franches d’un arbre. Un berger détache l’enfa
be, roi de Corinthe, qui le nomme Œdipe, de l’enflure qu’il avait aux
pieds
. Œdipe, devenu grand, rencontre Laïus dans un déf
contr’eux vous combattiez : Et l’un et l’autre enfin tombèrent à mes
pieds
. L’un d’eux, il m’en souvient, déjà glacé par l’â
queur irrité la vengeance s’apprête : Pyrrhus, dans la poussière, aux
pieds
de tes remparts, Vient souiller tes cheveux et ta
lheureux époux Sichée, que l’avare et cruel Pygmalion avait égorgé au
pied
des autels, pour s’emparer de son trésor, Didon s
ins, Tu pourrais la servir de tes royales mains ! Et tremblante à ses
pieds
, tantôt filer ses laines, Et tantôt pour ses bain
on naïf effroi donnent un doux souris, Hector pose son casque aux
pieds
de la princesse, Prend son fils en ses bras, le f
ux, telle qu’à son réveil, Elle sortit des bras d’un perfide sommeil,
Pieds
nus, d’un léger voile à peine environnée, Sa blon
qu’échevelée Vole au son des tambours la Thyade troublée, Le Faune au
pied
léger, perce de toute part ; Et noyé des vapeurs
it-il, cueille, choisis : Chloé seule excitait mon zèle ; Porte à ses
pieds
l’arbre, les fruits, Et si tu veux, la sentinelle
eure, Et se frappant le sein : Ah ! cher époux, demeure ; Où sont tes
pieds
, tes bras, et tout ce que tu fus ? Demeure, et si
, Cède au chantre divin, vaincu par ses concerts ; Et la pierre à ses
pieds
tombe et roule en cadence, Et semble s’excuser de
é d’une attaque imprévue. Un nuage d’effroi se répand sur sa vue. Son
pied
porte en arrière un pas mal affermi. Il chancelle
retroussée. Une autre prend son dard, son arc et son carquois. De ses
pieds
délicats deux autres à la fois Délacent la chauss
hanger ses bras en jarrets effilés, Et plus prompt que les vents, ses
pieds
semblent ailés. C’est peu : d’un cerf encore il p
é Eut offert à ses yeux sa nouvelle figure, Ses longs bois, ses longs
pieds
, et sa longue encolure ; Il s’arrête ; il voudrai
r ombre. L’œil de ses sables d’or aurait compté le nombre. Je mets un
pied
dans l’onde, et jusques aux genoux Entrant dans c
Il me poursuit, déjà son ombre me menace. J’entends à pas pressés ses
pieds
suivre ma trace, Son haleine brûlante agite mes c
si par la frayeur : Mes humides cheveux se fondent en rosée. Sous mes
pieds
en étang la terre s’est creusée. Je deviens une s
es accens… Pour la triste Vénus, interdite, égarée, L’œil sombre, les
pieds
nus, pâle et défigurée, Elle remplit les bois de
s sentiers affreux elle porte ses pas ; On voit le sang couler de ses
pieds
délicats, Et les rochers sont teints du sang d’un
e. Celui-ci prend son arc, le brise en soupirant ; Celui-là foule aux
pieds
ses flèches menaçantes, Tandis que ranimant ses a
ymen est sans flambeau, les yeux baignés de pleurs, Il renverse à ses
pieds
sa couronne de fleurs, L’Echo ne redit plus ses d
ste. Content de ces douceurs, errant parmi les bois, Il regarde à ses
pieds
les favoris des Rois ; Il lit au front de ceux qu
anches de bois sec aussitôt s’enflammèrent. L’onde tiède, on lava les
pieds
des voyageurs. Philémon les pria d’excuser ces lo
eur se hâtans, Sur un mont assez proche enfin ils arrivèrent. A leurs
pieds
aussitôt cent nuages crevèrent. Des ministres du
arge nez de bourgeons diapré, De petits yeux, un crâne fort serré, Le
pied
rentrant, la jambe circonflexe, Le ventre en poin
s nouveaux : Le Ciel vit ce monstre impie, Né de la fange croupie, Au
pied
du mont Pélion, Souffler son infecte rage, Contre
démolis, Les générations nouvelles Fouleront aux
pieds
les débris… Laugier, ci-devant Gaudin 226. Voye
ace un sillon facile ; Là, de l’humble brebis on ôte la toison ; D’un
pied
prompt et léger on frappe le gazon. Il semblait q
e : Sans lancer un rayon sur eux, Le Soleil fait le tour du Monde. Au
pied
d’un aride coteau, A nos regards s’offrent encore
aissantes, Exerce, en se jouant, des luttes innocentes ; Tantôt leurs
pieds
légers, sur de rians gazons, Bondissent en cadenc
ues. Destin ou Destinée, Fils du Cahos. Il tenait sous ses
pieds
le Globe Terrestre, et dans ses mains l’Urne fata
aît la vie, D’un bras de fer couvre le front des Rois, Tient sous ses
pieds
la Terre assujettie, Et dit au Temps : exécute me
rs, Vésuve, tu rugis, tes flancs se sont ouverts ! L’onde qui bat tes
pieds
a fait fumer ta cime ; La mer, dans tes fourneaux
e demi-couronne de laurier à sa tête, et des cornes d’abondance à ses
pieds
. O Paix ! tranquille Paix ! secourable Immort
r pour la cause des Rois. Tandis que la veuve éplorée, Aux
pieds
des tribunaux va porter ses clameurs, Dans les em
: Pour Nina quel bonheur ! demain, au point du jour La fortune à ses
pieds
ramènera l’amour. Demain ! combien de fois ses pl
la représente aveugle et chauve, toujours debout, des ailes aux deux
pieds
, l’un, légèrement appuyé sur une roue qui tourne
ur les yeux ; au sein de la richesse, de l’honneur et du plaisir ; un
pied
sur une roue, et un autre en l’air comme sa mère.
e une fierté noble ; son regard est ferme et hardi, et elle foule aux
pieds
la chaîne de l’esclavage. La Liberté et les Mœu
-temps disposé, Mais où Clément n’a jamais rien puisé. Quand d’un
pied
lourd la jeunesse s’avance, On cherche en vain le
e feu du Ciel tonne, éclate, disperse… La terreur, à l’instant, à ses
pieds
les renverse. La Fable nue était la Vérité
s, Rappelés sourdement par la voix de nos Lares, Nous portons à leurs
pieds
ces métaux recherchés Qu’au fond du Potosi les Di
regard Qui, joint à la fierté d’un modeste silence, Fait tomber à ses
pieds
l’audace et la licence. D’où vient qu’un Villageo
a première place ; Et tu vois le troupeau de tes imitateurs Ramper au
pied
du Mont dont tu tiens les hauteurs. De ce Mont o
’immortalité. Le nouveau Souverain, brillant de majesté, Le place aux
pieds
du trône, à côté du tonnerre. La modeste Col
guides, Ton char et tes coursiers rapides, Pourquoi tes enfans vont à
pied
? Enorgueillis d’un titre vain, Pourquoi, ta
piquante et nouvelle ; Le jouvenceau surpris par elle, Bondit sur ses
pieds
incertains, Auprès du vieillard qui chancelle. R
Mercure à Calipso. Mercure se dispose à prendre son essor, A ses
pieds
immortels il met ses ailes d’or, Dont il perce le
ris bien sincère, Leur orgueil nous honore tous ; Aux
pieds
de leur mérite on les voit à genoux.
s l’abîme ; il attelle soudain Ses coursiers aux crins d’or, armés de
pieds
d’airain. Il monte sur son char et fend le sein d
ta l’ardeur de ses coursiers, Et par des liens d’or il enchaîna leurs
pieds
. Homère. — Rochefort 21. Pluton, Frère de
rbres favoris de Pan. On le représente avec des cornes à la tête, des
pieds
de Chèvre, et la partie inférieure du corps, semb
és d’esclaves : Ses heureux favoris commandent. L’Univers Met à leurs
pieds
les fruits de vingt climats divers, Le Scare obéi
les rameaux Un calme universel règne au loin dans la plaine. Mais au
pied
du rocher murmure une fontaine Qui, roulant molle
alette ; L’ami des champs croit voir les prés et les vallons, Et d’un
pied
fantastique, il foule les gazons ; Le Chasseur pr
mes tilleuls épais, J’ai retrouvé la nature et la paix. J’y foule aux
pieds
les erreurs du vulgaire ; Et détrompé du faste de
le front ceint de grappes colorées, Tout souillé des raisins que ses
pieds
ont pressés ; Et l’Hiver, aux cheveux de neige hé
Le Mont sacré m’est dévoilé ; Et je vois jaillir l’Hypocrène Sous le
pied
du Cheval ailé. Un Dieu (car j’en crois cette fla
le, Ton art nous fait rire et rougir. Qu’entends-je ? Euterpe au
pied
d’un hêtre, Chantant les troupeaux, les jardins,
des bois, des campagnes, des eaux, Belles Nymphes aux
pieds
de roses, Qui, sans courber les fleurs, par votre
; L’Amour, en soupirant, renverse son flambeau ; Et la Mort, sous nos
pieds
, creuse notre tombeau, O bienfaisante Hygie
e feu presse, en sifflant, son sein. Sur des trônes brisés pèsent ses
pieds
d’airain. Sa robe flotte aux vents, sanglante, dé
ppé. O toi, qui n’attends plus que la cérémonie Pour jeter à mes
pieds
ma rivale punie, Et par qui deux amans vont d’un
? Junon même descend dans ces lieux pleins d’horreur. A peine de son
pied
l’impression sacrée Du redoutable seuil eût fait
nte et pure, Parcourt au loin les rangs, et dit les derniers mots. Au
pied
d’un mont fameux, par les soins du héros, S’élève
e Lerne, monstre à plusieurs têtes ; la Biche aux cornes d’or, et aux
pieds
d’airain ; le Lion de Némée, l’homicide Busiris,
Le spectacle inconnu des Cieux ; Il foule d’un
pied
radieux Les nuageset les étoiles.
dant nos conquêtes, La matière n’a plus de poids ; Sous nos
pieds
enchaînée et foulée autrefois, La voilà qui s’élè
délire, On célèbre à l’envi le triomphe des Arts ; On voudroit de ses
pieds
presser l’heureux navire Qu’atteignent
Blessât, en l’effleurant, son écorce fragile. Luce 138. Priam aux
pieds
d’ Achille , redemandant le corps d’ Hector .
rs souvenirs amers ont attristé l’enceinte. Priam pleure son fils aux
pieds
d’un ennemi : Achille pleure ensemble un père et
ctète. Vaincu par leurs prières, il les leur découvrit en frappant du
pied
à l’endroit qui les recéloit : le Ciel punit crue
oit : le Ciel punit cruellement son parjure : une flèche tomba sur le
pied
dont il avoit frappé la terre. Sa plaie exhalant
r l’oiseau timide, Souvent il me falioit pour aller le chercher, D’un
pied
foible et souffrant, gravir sur le rocher, Me tra
Femmes guerrières, qui habitoient sur les bords du Thermodon ou au
pied
du mont Caucase, dans le voisinage des Scythes. A
camp des Grecs repousser la terreur. D’un corps souple et léger, d’un
pied
rempli de grâce, On la voit s’élancer sur fin cou
euse Croissoient sur les autels privés des feux sacrés. Dès que leurs
pieds
du temple ont touché les degrés, Chacun d’eux à g
e l’onde, Ils fendent, dans les airs, les nuages mouvans, Et de leurs
pieds
ailés ils devancent les vents. Le char léger de p
e ta froide Scythie : Mais bientôt, fatigué d’un vol audacieux, A tes
pieds
, Roi des arts, il rendit grace aux Dieux ; Tu reç
es, la prirent, la saccagèrent, et massacrèrent l’infortuné Priam, au
pied
de l’autel qu’il embrassoit. Énée à Didon. M
ointe l’atteignoit : le tendre enfant s’élance ; Il tombe, expire aux
pieds
de la Reine et du Roi. Priam, déjà mourant de dou
’Oracle a parlé : sous la hache abattues, L’Ida voit ses forêts à ses
pieds
descendues. De leurs débris formé, l’œil fixe, me
t part… Mais quel Dieu rend ce trait inutile ? Il tombe, et meurt aux
pieds
du colosse immobile. Un vain peuple applaudit à c
age, Là, malgré quarante ans de gloire et de vertus, Priam expire aux
pieds
d’un trône qui n’est plus* Le sang Troyen ruissel
re mourir. Celui-ci, touché de pitié, se borne à le suspendre par les
pieds
aux franches d’un arbre. Un berger détache l’enfa
be, roi de Corinthe, qui le nomme Œdipe, de l’enflure qu’il avoit aux
pieds
. Œdipe, devenu grand rencontre Laïus dans un défi
contr’eux vous combattiez : Et l’un et l’autre enfin tombèrent à mes
pieds
. L’un d’eux, il m’en souvient, déjà glacé par l’â
queur irrité la vengeance s’apprête : Pyrrhus, dans la poussière, aux
pieds
de tes remparts, Vient souiller tes cheveux et ta
lheureux époux Sichée, que l’avare et cruel Pygmalion avoit égorgé au
pied
des autels, pour s’emparer de son trésor, Didon s
ins, Tu pourrois la servir de tes royales mains ! Et tremblante à ses
pieds
, tantôt filer ses laines, Et tantôt pour ses bain
n naïf effroi donnent un doux souris, Hector pose son casque aux
pieds
de la Princesse, Prend son fils en ses bras, le f
ux, telle qu’à son réveil, Elle sortit des bras d’un perfide sommeil,
Pieds
nus, d’un léger voile à peine environnée, Sa blon
qu’échevelée Vole au son des tambours la Thyade troublée, Le Faune au
pied
léger, perce de toute part ; Et noyé des vapeurs
it-il, cueille, choisis : Chloé seule excitoit mon zèle ; Porte à ses
pieds
l’arbre, les fruits, Et si tu veux, la Sentinelle
eure, Et se frappant le sein : ah ! cher Epoux, demeure…. Où sont tes
pieds
, tes bras, et tout ce que tu fus ? Demeure… et si
és de poison et rampans dans l’ordure, Sont toujours écrasés sous les
pieds
des passans : Vive le Cygne heureux qui par ses d
creusé des es mains, Semble avoir imité l’art savant des humains. Au
pied
de ce rocher, une onde vive et pure Coule entre d
A déjà détaché sa robe retroussée ; L’autre a reçu son arc, et de ses
pieds
divins Une autre a délié ses légers brodequins. C
changer ses bras en jarrêts effilés, Et, plus prompt que le vent, ses
pieds
semblent ailés. C’est peu : d’un cerf encore il p
é Eût offert à ses yeux sa nouvelle figure, Ses longs bois, ses longs
pieds
, et sa longue encolure, Il s’arrête ; il voudroit
res divers, L’ombre des peupliers, des saules demi-verts. Je mets un
pied
dans l’onde, et d’un bain solitaire Invitée à goû
Il me suit, et déjà son ombre me menace. J’entends à pas pressés ses
pieds
suivre ma trace, Et je sens son haleine agiter me
les os. Tout mon corps se dissout et distile à longs flots. Sous mes
pieds
en bassin la terre s’est creusée, Et mes cheveux
es accens… Pour la triste Vénus, interdite, égarée, L’œil sombre, les
pieds
nus, pâle et défigurée, Elle remplit les bois de
s sentiers affreux elle porte ses pas ; On voit le sang couler de ses
pieds
délicats, Et les rochers sont teints du sang d’un
e. Celui-ci prend son arc, le brise en soupirant ; Celui-là foule aux
pieds
ses flèches menaçantes, Tandis que ranimant ses
ymen est sans flambeau, les yeux baignés de pleurs, Il renverse à ses
pieds
sa couronne de fleurs, L’Echo ne redit plus ses d
ste. Content de ces douceurs, errant parmi les bois, Il regarde à ses
pieds
les favoris des Rois ; Il lit au front de ceux qu
ches de bois sec aussitôt s’enflammèrent ; L’onde tiède, on lava les
pieds
des voyageurs. Philémon les pria d’excuser ces lo
eur se hâtans, Sur un mont assez proche enfin ils arrivèrent. A leurs
pieds
aussitôt cent nuages crevèrent. Des ministres du
arge nez de bourgeons diapré, De petits yeux, un crâne fort serré, Le
pied
rentrant, la jambe circonflexe, Le ventre en poin
ir sa démarche, on s’y trompoit encor. Pan l’apperçut un jour au
pied
du mont Lycée. O Nymphe, lui dit-il d’une voix em
le, et fileuse araignée, A l’aide des longs doigts qui lui servent de
pieds
, Elle ourdit une toile en réseaux déliés. Ovide.
uir loin des bosquets, et soudain retenue, Sent roidir sur le sol ses
pieds
enracinés ; Elle s’agite envain : ses pas sont e
nouveaux : Le Ciel vit ce monstre impie, Né de la fange croupie, Au
pied
du mont Pélion, Souffler son infecte rage, Contre
démolis, Les générations nouvelles Fouleront aux
pieds
les débris… Laugier, ci-devant Gaudin 235. Voy
ace un sillon facile ; Là, de l’humble brebis on ôte la toison ; D’un
pied
prompt et léger on frappe le gazon. Il sembloit q
e : Sans lancer un rayon sur eux, Le Soleil fait le tour du Monde. Au
pied
d’un aride coteau, A nos regards s’offrent encore
Destin ou Destinée, Fils du Cahos. Il tenoit sous ses
pieds
le Globe Terrestre, et dans ses mains l’Urne fata
oît la vie, D’un bras de fer couvre le front des Rois, Tient sous ses
pieds
la Terre assujettie, Et dit au Temps : exécute me
e demi-couronne de laurier à sa tête, et des cornes d’abondance à ses
pieds
. O Paix ! tranquille Paix ! secourable Immor
r la cause des Rois. Tandis que la veuve éplorée, Aux
pieds
des tribunaux va porter ses clameurs, Dans les em
la représente aveugle et chauve, toujours debout, des ailes aux deux
pieds
, l’un, légèrement appuyé sur une roue qui tourne
ur les yeux ; au sein de la richesse, de l’honneur et du plaisir ; un
pied
sur une roue, et un autre en l’air comme sa mère.
e une fierté noble ; son regard est ferme et hardi, et elle foule aux
pieds
la chaîne de l’esclavage. La Liberté et les M œ
temps disposé, Mais où Clément n’a jamais rien puisé. Quand d’un
pied
lourd la jeunesse s’avance, On cherche envain le
e feu du Ciel tonne, éclate, disperse… La terreur, à l’instant, à ses
pieds
les renverse. La Fable nue étoit la Vérité.
s, Rappelés sourdement par la voix de nos Lares, Nous portons à leurs
pieds
ces métaux recherchés Qu’au fond du Potosi les Di
regard Qui, joint à la fierté d’un modeste silence, Fait tomber à ses
pieds
l’audace et la licence. D’où vient qu’un Villageo
son éducation. 139. [Table des matières] Lachabeaussière. Priam aux
pieds
d’Achille [Iliade. liv. XXIV]. 140. [Table des m
sait périr, avec une joie féroce, tous les étrangers qui mettaient le
pied
dans son royaume. Jupiter quitta l’Olympe et desc
r, tenant la foudre d’une main, un sceptre de l’autre, et ayant à ses
pieds
un aigle aux ailes déployées. Son air est majestu
Il poussa même la barbarie jusqu’à lui attacher une enclume à chaque
pied
, lui lier les mains avec une chaîne d’or, et la s
tête et un sceptre d’or à la main ; un ou plusieurs paons sont à ses
pieds
. Quelquefois deux paons traînent son char ; derri
vaste coquille, traînée par des hippocampes ou chevaux marins à deux
pieds
. Les Tritons qui lui servent de cortége annoncent
le rend invisible. Près de lui sont assises les trois Parques ; à ses
pieds
repose le chien Cerbère. Seul des divinités supér
i fendre le cerveau d’un coup de hache, et Minerve en sortit armée de
pied
en cap et âgée de vingt ans. Admise au conseil de
ue, surmonté d’un panache ou d’un coq, ombrage son front divin. A ses
pieds
sont une chouette ou un hibou, oiseaux vigilants,
avec un luth, ou tient un cygne étroitement embrassé. Quelquefois, le
pied
en Pair, il semble méditer une espièglerie ; ou b
e la gauche il porte un bouclier ou secoue un fouet. Un coq est à ses
pieds
. On le voit aussi sur un char traîné par des cour
uois et d’un arc, et suivie d’une meute de chiens ; ses jambes et ses
pieds
sont nus, ou couverts d’un brodequin. On la recon
présente une bourse, symbole du dieu qui protège les marchands. A ses
pieds
est un coq ou une tortue. Le coq désigne la vigil
ir vif et le regard moqueur ; sa tête est couronnée de lierre22 : ses
pieds
sont chaussés de brodequins. Euterpe, dont le no
rdes dont elle fut l’inventrice. Des tourterelles se becquètent à ses
pieds
. Près d’elle est un Amour ailé, équipé d’un arc,
pas. Sa couronne est composée d’étoiles ; sa robe en est semée. A ses
pieds
sont épars quelques instruments de mathématiques.
n est un dieu aveugle, fils du Chaos et de la Nuit. Il tient sous ses
pieds
le globe terrestre, et dans ses mains l’urne fata
des campagnes et des bergers. Il vint au monde avec des jambes et des
pieds
de bouc, avec des cornes de bouc et une longue pa
et des autels. — On le représente, comme Pan, avec des jambes et des
pieds
de bouc, deux cornes à la tête, un nez épaté, des
danse légère, à laquelle viennent souvent se joindre les Satyres aux
pieds
de chèvre. — Cette fable des Dryades a été imagin
aut dresser devant la porte de leur temple quatre autels, répandre au
pied
de ces autels le sang de quatre taureaux et de qu
tronc d’arbre ; dans la suite, on lui donna la figure d’un homme sans
pieds
et sans bras, que l’on plaçait sur une borne pyra
ne où se baignait Scylla. Cette jeune nymphe n’a pas plus tôt mis les
pieds
dans l’eau, qu’elle se voit entourée de monstres
n bandeau sur les yeux, et une corne d’abondance à la main. Un de ses
pieds
reste en l’air, tandis que l’autre s’appuie sur u
sur le devant de la tête, mais qui est chauve par derrière. Un de ses
pieds
repose sur une roue rapide, l’autre est en l’air.
manda de prendre et d’amener vivante une biche aux cornes d’or et aux
pieds
d’airain, qui habitait les bois du mont Ménale, e
rge et l’étrangle. Antée, fils de Neptune et de la Terre, avait cent
pieds
de hauteur. Il se mettait en embuscade dans les s
par la troupe des Pygmées. Les Pygmées, peuple nain, n’avaient qu’un
pied
de hauteur, bâtissaient leurs maisons avec des co
. « Téméraire, lui crie Hercule, la vitesse que te donnent tes quatre
pieds
pourra bien te garantir de ma poursuite, mais non
ant l’étoile du matin ramène le jour ; Persée attache ses ailes à ses
pieds
, et reprend son voyage aérien. Après un trajet im
Médée. » Jason accueille avec transport cette proposition, et jure au
pied
des autels. Médée accomplit les promesses qu’elle
main un bâton autour duquel s’entortille un serpent. Un coq est à ses
pieds
, symbole de la vigilance. Ses deux fils, Podalire
tait sensible à ses accords. Les lions, les ours, venaient lécher ses
pieds
; les fleuves remontaient vers leur source pour l
les gorges des montagnes près de Mégare, les forçait de lui laver les
pieds
sur le sommet d’une roche élevée, et de là, sans
ir entièrement, il porta l’enfant sur le mont Cithéron, lui perça les
pieds
, y passa une courroie, et le suspendit à un arbre
tait proposée en ces termes : Quel est l’animal qui a le matin quatre
pieds
, deux à midi, et trois le soir ? Œdipe, dont la s
animal était l’homme, qui, dans son enfance, marche à la fois sur ses
pieds
et sur ses mains, dans l’âge viril sur ses deux p
la fois sur ses pieds et sur ses mains, dans l’âge viril sur ses deux
pieds
, et, dans sa vieillesse, se sert d’un bâton comme
ieds, et, dans sa vieillesse, se sert d’un bâton comme d’un troisième
pied
. » Le Sphinx, furieux de se voir deviné, s’élança
risa dans l’Asie-Mineure le culte de Cybèle ; ce fut lui qui bâtit au
pied
du mont Ida la ville de Dardanie, devenue plus ta
ières, sourd aux supplications d’Andromaque son épouse : il attend de
pied
ferme et sans pâlir le redoutable fils de Pélée.
dès la nuit suivante, les larmes du vieux Priam, qui vint baiser ses
pieds
, en redemandant les restes d’Hector, changèrent s
sortir de terre un cep de vigne dont les branches embarrassèrent les
pieds
de Télèphe et le firent tomber. Achille courut à
quoi ils vont lentement se cacher dans le temple de Minerve, sous les
pieds
même de la statue et derrière son bouclier. Frapp
ux dépôt Il refusa. Mais dans le feu de la conversation, il frappa du
pied
la terre à l’endroit où elles étaient enfouies :
lèches qu’il maniait lui ayant échappé des mains, il en fut blessé au
pied
, et, la plaie empirant, il s’en exhala une odeur
(Selon les plus anciens mythologues, Philoctète ne fut pas blessé au
pied
par une flèche, mais par la piqûre d’une vipère q
éaciennes poussent un cri et prennent la fuite, excepté Nausicaa, aux
pieds
de laquelle il s’agenouille, et dont il implore l
ourse des chars, avait brisé sa roue contre la borne et péri sous les
pieds
de ses chevaux ; il montra en même temps l’urne f
songe à Didon, avec un visage pâle et défiguré, lui montra l’autel au
pied
duquel il avait péri, lui découvrit sa poitrine p
te vue, elle s’évanouit ; on craint pour sa vie ; on la transporte au
pied
des autels de Vénus. Elle y recouvre ses sens, et
é. Psyché est si interdite qu’elle ne peut parler ; elle se jette aux
pieds
du généreux vainqueur, et implore avec humilité s
s l’abîme. Peu de jours après, son cadavre fut porté par les flots au
pied
de cette même tour, d’où Héro, troublée d’un noir
u, et m’exile au fond de la Numidie !… Toi, vole où te conduiront tes
pieds
rapides et le souffle des vents. Pars ! Vénus et
de rendre le saut moins dangereux. Des filets, artistement tendus au
pied
du roc, empêchaient les amants de se blesser dans
pe un lion monstrueux. Une autre fois il saisit un taureau par un des
pieds
de derrière, et le tint si bien que cet animal, m
se débarrasser des mains de Polydamas qu’en lui laissant la corne du
pied
par lequel il était tenu. D’un seul coup il assom
magnifique. Malheur aux imprudents nautoniers qui jetaient l’ancre au
pied
du promontoire circéen ! L’enchanteresse les atti
s cinq exercices d’usage étaient : 1° la Course, qui se fit d’abord à
pied
, puis à cheval et sur des chars ; 2° le Saut, qui
mple de Diane à Éphèse. Ce superbe édifice avait plus de quatre cents
pieds
de longueur sur deux cents de largeur. On admirai
inte intérieure, cent vingt-sept colonnes (hautes chacune de soixante
pieds
), élevées par autant de princes, qui avaient cher
tait une statue de bronze, haute de soixante et dix coudées, soit 105
pieds
, et dédiée à Apollon. Ses pieds reposaient sur de
de soixante et dix coudées, soit 105 pieds, et dédiée à Apollon. Ses
pieds
reposaient sur deux rochers à l’entrée du port, e
e l’ayant renversé, les peuples voisins, désirant qu’il fût remis sur
pied
, envoyèrent, à cet effet, des sommes considérable
effaçait tout ce qu’on avait vu jusqu’alors en ce genre. Il avait 400
pieds
de tour, 440 de hauteur, et renfermait trente-six
re les écrivains orientaux, était de mille coudées, soit quinze cents
pieds
: (hauteur presque fabuleuse), et la clarté du fa
Cadmus à bâtir la ville de Thèbes. 44. Œdipe, en grec, signifie aux
pieds
enflés. 45. Créon était le frère de Jocaste. 4
s de leur invention, dont les mesures inégales imitaient les temps du
pied
nommé par les latins dactyle ; ou, selon d’autres
a vengeance de cette déesse. Il avait eu l’audace de couper plusieurs
pieds
d’arbres dans une forêt consacrée à Cérès ; pour
, une tête d’homme placée sur une borne pyramidale, sans bras et sans
pieds
, afin disait-on, qu’il ne pût changer de lieu. On
n secours sous la forme d’un bélier, qui, en frappent la terre de son
pied
, lui découvrit une source. En reconnaissance, Bac
rs, le front couvert de nuages, la foudre à la main, et l’aigle à ses
pieds
. Le respect et l’équité siégent à ses côtés, et d
de, c’est-à-dire, d’environ six cents pas. Les prétendans couraient à
pieds
, armés de toutes pièces ; mais à la neuvième olym
s peine d’être précipitées de la montagne de Typée. Outre la course à
pied
et celle des chariots à quatre roues, il y avait
la tout ce qu’il avait de force pour mordre si violemment un doigt du
pied
de son adversaire, que celui-ci, surmonté par la
nt qu’il la pressât assez pour la gâter ou la comprimer. Il montait à
pieds
joints sur un disque où l’on avait répandu de l’h
ua. Une autre fois, il saisit un des plus fiers taureaux par les deux
pieds
de derrière ; il le serra si fort que l’animal ne
le moyen de deux pierres d’aimant, et lui fit attacher sous les deux
pieds
deux enclumes, après lui avoir lié les mains derr
représente quelquefois Vulcain appuyé sur une enclume, et ayant à ses
pieds
l’aigle de Jupiter, prêt à porter la foudre. Dans
avait pratiqué dans l’intérieur, des ponts de fer et de pierres. Ses
pieds
, posés sur des bases prodigieusement hautes, étai
appuyant l’autre sur la tête d’un serpent, avec un chien couché à ses
pieds
. L’an 462 de la fondation de Rome, cette ville fu
placée sur la cortina ou trépied, qui était une petite table à trois
pieds
, couverte de la peau du serpent Python, la Pythie
mens détachés de ces vers, et les fit mettre dans des coffres d’or au
pied
de la statue d’Apollon-Palatin, où l’on allait le
nde qui leur était consacrée. Les deux serpens s’allèrent réfugier au
pied
de la statue de Minerve et se cacher dans son bou
l’autre reptile S’éloigne, et de Pallas gagnant l’auguste asile, Aux
pieds
de la déesse, et sous son bouclier D’un air tranq
dans un char traîné par des cerfs ; quelquefois on la voit courant à
pied
avec son chien. Le temple d’Éphèse . — Erost
mme une des sept merveilles du monde. Il avait quatre cent vingt-cinq
pieds
de longueur, sur deux cent trente-sept de largeur
ers les dieux qu’ils adoraient. Ces colonnes avaient environ soixante
pieds
de hauteur ; trente-six entre autres étaient orné
nt, et elles servaient à indiquer la route : ces statues n’avaient ni
pieds
ni mains ; on les nommait Hermoe, Hermès. Mercure
une bourse, des chaînes d’or, une lyre, ou une baguette. On met à ses
pieds
un coq, une tortue ou un bélier. Sens Historiq
l dédié au dieu de la mer. Malgré la pompe de ces fêtes, on y était à
pied
; car les chevaux et même les mulets, que l’on co
de l’ennui. Un jour, cherchant à se distraire, il dirigea ses pas au
pied
du mont Atlas : là, il aperçut Amphitrite, fille
ne aimait. Homère, dans l’Odyssée, donne à Scylla six têtes et douze
pieds
; chaque tête avait trois rangs de dents, sa bouc
s l’Italie, son bras gauche au Pachine, qui est vers l’orient, et ses
pieds
sont tournés du côté de Lilybés, à l’occident. Le
fut jeté dans le Tartare. Là, enfoncé jusqu’au menton dans un lac, au
pied
d’une montagne ou des rameaux chargés de fruits o
es divinités champêtres, était fils de Mercure. Il avait la tête, les
pieds
, la barbe et les cornes d’un bouc. Les Satyres et
atyres, qui ne diffèrent des Faunes que parce qu’ils ont toujours des
pieds
de chèvres, et qu’ils portent tantôt un thyrse, t
et des vergers. Elle prenait ce nom de la ville de Féronie, située au
pied
du mont Soracte, aujourd’hui Saint-Sylvestre, au
édita tellement Féronie, que ses prêtres osaient se vanter de marcher
pieds
nus, sans se brûler, sur des charbons ardens. Une
ement nommé bulla, qu’ils portaient au cou, qu’ils le déposassent aux
pieds
de ces dieux domestiques. L’idole domestique étai
pauvre enfant, déjà lassé, Quand le jour est presque effacé, Conduit
pieds
nus pendant l’orage, Quêtant pour lui sur son pas
ît la vie ; D’un bras de fer courbe le front des rois, Tient sous ses
pieds
la terre assujétie, Et dit au temps : « Exécute m
i donner une forme nouvelle : l’un la peint debout avec des ailes, un
pied
sur une roue qui tourne, et l’autre en l’air ; l’
ailes, pour marquer que la peine suit de près le crime : elle pose le
pied
sur une roue, pour faire voir qu’elle observe tou
. Il atteignit à la course une biche consacrée à Diane, qui avait les
pieds
d’airain et les cornes d’or. 5e. Il détruisit les
aient par son royaume. Diomède, roi de Thrace, les faisait fouler aux
pieds
et dévorer par ses chevaux. 9e. Géryon, roi d’Esp
ises, et ne voulant point fausser son serment, le montra seulement du
pied
. Il fut bientôt puni de sa trahison ; car étant s
; car étant sur le chemin de Troyes, une de ces flèches tomba sur ce
pied
, instrument de perfidie, et la plaie exhalait une
er, ou bien il les égalait à la longueur de son lit, leur coupant des
pieds
ou de la tête ce qui en excédait. Après avoir dél
assion pour cette tendre victime, se contenta de le suspendre par les
pieds
à un arbre. Un berger de Polybe, roi de Corinthe,
l’éleva comme son fils, et le nomma Œdipe à cause de l’enflure de ses
pieds
. Un Thébain, qui se dit votre père, Expo
r ; de sorte que tout le pays était désert. Né parmi les rochers, au
pied
du Cithéron, Ce monstre à voix humaine, aigle, fe
te : Content de ses douceurs, errant parmi les bois, Il regarde à ses
pieds
les favoris des rois ; Il lit au front de ceux qu
anches de bois sec aussitôt s’enflammèrent. L’onde tiède, on lava les
pieds
des voyageurs. Philémon les pria d’excuser ses lo
rsuit en vain : La volatille échappe à sa tremblante main ; Entre les
pieds
des dieux elle cherche un asile. Ce recours à l’o
ur, se hâtant, Sur un mont assez proche enfin ils arrivèrent, A leurs
pieds
aussitôt cent nuages crevèrent Des ministres du d
oît la vie, D’un bras de fer courbe le front des rois, Tient sous ses
pieds
la terre assujettie, Et dit au Temps : « Exécute
émité, Jupiter se présente à lui sous la forme d’un bélier, frappe du
pied
la terre, et fait jaillir une source abondante. B
té ? R. On le représente assis sur un aigle ou sur un trône d’or, au
pied
duquel sont les deux coupes du bien et du mal qu’
assant auprès de son père, elle écrivit son nom sur le sable avec son
pied
. Inachus l’ayant reconnue, alloit s’en saisir, lo
Neptune. Mais le dieu des eaux lui envoya un dauphin qui la trouva au
pied
du mont Atlas, et vainquit sa résistance. C’est a
avec de la cire, et se fit attacher lui-même au mât du navire par les
pieds
et par les mains. Cette précaution le sauva ; et
le corps d’un vautour, des ailes de chauve-souris, et des griffes aux
pieds
et aux mains. Elles infectoient tout ce qu’elles
s le dix-huitième livre de Télémaque, décrit ainsi cette cour : « Au
pied
du trône étoit la Mort, pâle et dévorante, avec s
les rameaux. Un calme universel règne au loin dans la plaine. Mais au
pied
du rocher murmure une fontaine Qui, roulant molle
ence et au commerce. On le représente avec des ailes à la tête et aux
pieds
, et un caducée à la main. D. Qu’étoit-ce que le c
fendre la cervelle d’un coup de hache, et Minerve en sortit, armée de
pied
en cap. Minerve est la déesse de la sagesse et de
représente-t-on le dieu Mars ? R. On le représente toujours armé de
pied
en cap. On place auprès de lui un coq, symbole de
ies (fureur). Les paysans de l’Attique les célébroient en sautant, un
pied
en l’air, sur des peaux enflées en forme de ballo
ges nouveaux. Le ciel vit ce monstre impie, Né de la fange croupie Au
pied
du mont Pélion, Souffler son infecte rage Contre
s’appeloit Pythonisse. Elle étoit assise sur une petite table à trois
pieds
, qui s’appeloit trépied ou cortine. Cette table é
alette ; L’ami des champs croit voir les prés et les vallons, Et d’un
pied
fantastique il foule les gazons ; Le chasseur pre
s géants qu’écrasa leur tonnerre, Son front est dans l’Olympe, et ses
pieds
sur la terre ; Rien ne peut égaler son bruit tumu
d’oreilles et d’yeux, Dont la voix ressemble au tonnerre, Et qui des
pieds
touchant la terre, Cache sa tête dans les cieux ?
dépeignent chauve, aveugle, toujours debout, avec des ailes aux deux
pieds
, l’un légèrement appuyé sur une roue qui tourne s
les astres en pâlissent ; Et la foudre en éclats qui gronde sous ses
pieds
, Semble annoncer la mort aux peuples effrayés. B
eaux, en sommets ; Ses vastes ossements se durcissent en pierre ; Ses
pieds
sont des rochers affermis sur la terre ; Sa haute
. Il y avoit, sur le mont Ménale, en Arcadie, une biche qui avoit des
pieds
d’airain et des cornes d’or. Hercule la poursuivi
it des tourbillons de flammes et de fumée. Il habitoit une caverne au
pied
du mont Aventin. Il déroba des bœufs à Hercule, e
déesse. Bientôt on vit Hercule couvert d’un habit de femme, filer aux
pieds
d’Omphale, reine de Lydie. Il conçut ensuite une
large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux
pieds
des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leu
jour rendez-vous hors des murs de Babylone, sous un mûrier blanc, au
pied
duquel étoit le tombeau de Ninus. Thisbé arriva l
éducation. Elle lui donna le nom d’Œdipe, à cause de l’enflure de ses
pieds
. ……… Un Thébain, qui se dit votre père, Exposa v
ne fille, le corps d’un chien, les ailes et la queue d’un dragon, les
pieds
et les griffes d’un lion. Il proposoit une énigme
ndonnoit la contrée ; Thèbes étoit déserte. Né parmi les rochers, au
pied
de Cithéron, Ce monstre à voix humaine, aigle, fe
Sphinx ? R. Le monstre demandoit : « Quel est l’animal qui a quatre
pieds
le matin, d’eux à pieds, et trois le soir ? » La
demandoit : « Quel est l’animal qui a quatre pieds le matin, d’eux à
pieds
, et trois le soir ? » La destinée du Sphinx porto
nimal étoit l’homme lui-même qui, dans son enfance, se traîne sur les
pieds
et sur les mains, ensuite, parvenu à un âge plus
ns, ensuite, parvenu à un âge plus avancé, marche debout sur les deux
pieds
seulement, et, dans la vieillesse, s’appuie sur u
, dans la vieillesse, s’appuie sur un bâton qui lui sert de troisième
pied
. Le Sphinx, outré de dépit de se voir deviné, se
d’abord, pour leur champ de bataille, Un lieu près des deux camps, au
pied
de la muraille. C’est là que, reprenant leur prem
obéis. Rebutés par dix ans de batailles, Las de languir sans fruit au
pied
de nos murailles, Las de voir par le sort, leurs
dès ce malheureux père, et lui rendit le cadavre d’Hector. Priam aux
pieds
d’Achille. L’horizon se couvroit des ombres de la
rable, Que le fardeau des ans, que la douleur accable, Exhalant à ses
pieds
ses sanglots et ses cris, Et lui baisant la main
Grecs de l’avantage que devoient leur procurer ces flèches, frappa du
pied
à l’endroit qui les recéloit. Le ciel punit cruel
n parjure. Pendant qu’il alloit à Troie, une des flèches tomba sur le
pied
dont il avoit frappé la terre ; il s’y forma un u
l’oiseau timide, Souvent il me falloit, pour aller le chercher, D’un
pied
foible et souffrant, gravir sur le rocher, Me tra
éperdu, tend les bras à son père, Hélas ! et dans son sang tombe aux
pieds
de sa mère. A ce spectacle affreux, quoique sûr d
spectacle d’horreur ! Voyez après son char dégouttant de carnage, Les
pieds
gonflés des nœuds qu’a redoublés la rage, Notre H
victorieux Qui vous fait remonter au rang de vos aïeux, Qui foule aux
pieds
pour vous vos vainqueurs en colère, Qui ne se sou
sans honneur autour de nos murailles ? Dois-je oublier son père à mes
pieds
renversé, Ensanglantant l’autel qu’il tenoit embr
’oracle a parlé : sous la hache abattues, L’Ida voit ses forêts à ses
pieds
descendues. De leurs débris formé, l’œil fixe, me
t part… Mais quel dieu rend ce trait inutile ? Il tombe, et meurt aux
pieds
du colosse immobile. Un vain peuple applaudit à c
age. Là, malgré quarante ans de gloire et de vertus, Priam expire aux
pieds
d’un trône qui n’est plus. Le sang troyen ruissel
de Didon, entraîné par la passion des richesses, assassina Sichée au
pied
des autels. Il cacha long-temps son crime à sa sœ
hauteur et d’une épaisseur étonnantes. Ils avoient quatre-vingt-sept
pieds
d’épaisseur, trois cent cinquante pieds de hauteu
Ils avoient quatre-vingt-sept pieds d’épaisseur, trois cent cinquante
pieds
de hauteur ; et quatre cent quatre-vingts stades
oit Apollon. Elle étoit placée à l’entrée du port de Rhodes, les deux
pieds
sur les rochers. La hauteur de cette statue étoit
e son fils. II étoit soutenu par cent vingt-sept colonnes de soixante
pieds
, dont chacune avoit été donnée par un souverain.
strate, il fut remplacé par un autre qui avoit quatre cent vingt-cinq
pieds
de longueur sur deux cent vingt de largeur, et qu
ce monument. R. La statue étoit d’or et d’ivoire, haute de soixante
pieds
et d’une grosseur proportionnée. Elle représentoi
compère ? Ce n’est pas tout de boire, il faut sortir d’ici. Lève tes
pieds
en haut, et tes cornes aussi : Mets-les contre le
ter dit un jour : Que tout ce qui respire S’en vienne comparoître aux
pieds
de ma grandeur ; Si dans son composé quelqu’un tr
es-vous satisfait ? — Moi ! dit-il ; pourquoi non, N’ai-je pas quatre
pieds
aussi bien que les autres ? Mon portrait jusqu’ic
s de danger, Sur le mur le plus près la Colombe s’envole. Un manant à
pieds
nus, qui la vit s’y ranger, Fait d’abo
lui dit : Tu te vantois d’être si vite ; Qu’as-tu fait de tes
pieds
? Au moment qu’elle rit, Son tour vient, on la tr
de destruction ; les ailes qu’il porte aux épaules et quelquefois aux
pieds
rappellent sa rapidité ; près de lui est un serpe
trône d’or ou d’ivoire, tenant la foudre dans la main droite ; à ses
pieds
on place ordinairement un aigle, son oiseau de pr
des eaux ; mais Neptune lui députa deux dauphins qui la trouvèrent au
pied
du mont Atlas, et qui, l’ayant persuadée par leur
le corps d’un vautour, des ailes de chauve-souris, et des griffes aux
pieds
et aux mains. Les plus connues se nommaient Aello
32, qui avait le pouvoir de pétrifier ceux qui la regardaient. A ses
pieds
est une chouette, son oiseau favori33. Question
ait attachée. On représente Mars avec des traits menaçants et armé de
pied
en cap ; il tient une lance d’une main et un bouc
geait le trône de Pluton. Elle alla aussitôt se jeter en pleurant aux
pieds
de Jupiter et lui redemander sa fille. Le maître
ns lesquelles elle est appelée à prononcer ; un lion est couché à ses
pieds
. Jupiter plaça ses balances dans le ciel, et en f
spendu à son cou. Des esclaves affranchis déposaient leurs chaînes au
pied
de leurs autels. On leur rendait un culte continu
ts sur son livre étaient sans appel. On le représente tenant sous ses
pieds
le globe de la terre, et dans ses mains l’urne qu
aveugle ou avec un bandeau sur les yeux ; elle est debout ; un de ses
pieds
est en l’air, et l’autre pose sur une roue qui to
nt de cheveux que sur le devant de la tête et chauve par derrière, un
pied
en l’air et l’autre sur une roue, tenant un rasoi
t. 3° Il poursuivit à la course pendant une année entière une biche à
pieds
d’airain et à cornes d’or qui habitait le mont Mé
désolait le pays. Le fils d’Alcmène le dompta et l’amena enchaîné aux
pieds
d’Eurysthée. 8° Diomède, roi de Thrace50, avait d
reine de Lydie, sut tellement amollir son courage, que l’on vit à ses
pieds
le vainqueur de l’univers, armé d’une quenouille,
ès l’avoir enlevée. Castor ayant été tué dans un combat singulier, au
pied
du mont Taygète, Pollux, qui avait seul reçu de J
, en l’attachant à un arbre par une courroie passée au travers de ses
pieds
qu’il avait percés. Le hasard amena dans ces lieu
ipe, composé de deux mots grecs qui font allusion à l’enflure que ses
pieds
avaient conservée par suite des blessures qu’il y
tre était celle-ci : « Quel est l’animal qui marche le matin à quatre
pieds
, à deux sur le milieu du jour, et le soir à trois
: « Cet animal est l’homme, qui, dans son enfance, se traîne sur les
pieds
et sur les mains, qui marche sur deux pieds au mi
nfance, se traîne sur les pieds et sur les mains, qui marche sur deux
pieds
au milieu de son âge, et qui, sur le déclin de sa
s soins les plus constants et les plus dévoués, il se mit en route, à
pied
, dénué de tout secours, et ne soutenant sa vie qu
s de la guerre de Troie. La ville de Troie67, située en Phrygie au
pied
du mont Ida, vis-à-vis du Bosphore de Thrace, ava
dant le héros troyen succombe, et le vainqueur, ayant attaché par les
pieds
le cadavre de son ennemi derrière son char, le pr
ions ; mais enfin, sans trahir son secret par la parole, il frappa du
pied
la terre à l’endroit où elles étaient enterrées,
son parjure ; pendant la traversée, une des flèches lui tomba sur le
pied
, et la plaie qui en résulta causait une telle inf
nfin, lors de la prise de sa capitale, il fut égorgé par Pyrrhus79 au
pied
de l’autel de Jupiter, qu’il tenait embrassé. Q
uite en Grèce. Elle se fixa dans la forêt de Dodone, où elle éleva au
pied
d’un chêne un petit autel en l’honneur de Jupiter
ra la caverne d’un temple : on plaça sur son orifice un siége à trois
pieds
que l’on nomma trépied, et l’on y fit monter une
uis le consultant se couchait à terre, et il se sentait entraîné, les
pieds
en avant, dans de profondes et obscures excavatio
espèces de jeux différents, savoir : la course, qui se fit d’abord à
pied
, puis sur des chariots ; le saut, qui consistait
de bronze élevée en l’honneur d’Apollon par le sculpteur Charès. Les
pieds
de cette statue reposaient sur deux roches située
vo, entre l’Épire et la Thessalie. 17. Fleuve qui prend sa source au
pied
de l’Hélicon. 18. Dans son rapide essor, Urani
re l’ancienne Macédoine de l’ancienne Thrace. 63. Thèbes, située au
pied
du lac Capaïs, jouit, au temps de Pélopidas et d’
rs, le front couvert de nuages, la foudre à la main, et l’aigle à ses
pieds
. Le Respect et l’Équité sont à ses côtés, et deva
Bacchanales. Les paysans de l’Attique les célébroient en sautant, un
pied
en l’air, sur des peaux enflées en forme de ballo
Dieux, mais sur-tout de Jupiter. Il avoit des ailes à la tête et aux
pieds
, afin qu’il put exécuter plus promptement leurs o
nerve ? R. Minerve, ou Pallas, sortit du cerveau de Jupiter, armée de
pied
en cap. Pour la mettre au monde, ce Dieu se fit d
t représente-t-on le Dieu Mars ? R. On le représente toujours armé de
pied
en cap, et un coq auprès de lui. Cet animal lui é
le corps d’un vautour, des ailes de chauve-souris, et des griffes aux
pieds
et aux mains. Elles infectoient tout ce qu’elles,
r à Pluton son épouse Euridice, l’endormit au son de sa lyre : A mes
pieds
s’abaisse Cerbère ; J’ai calmé sa rage ordinaire
d’oreilles et d’yeux, Dont la voix ressemble au tonnerre, Et qui des
pieds
touchant la terre, Cache sa tête dans les cieux ?
les astres en pâlissent ; Et la foudre en éclats qui gronde sous ses
pieds
, Semble annoncer la mort aux peuples effrayés. (V
ies. (Gresset.) On le représentoit ayant des cornes sur la tête, des
pieds
de chèvre, la face rubiconde, et tenant en main u
t vivant à Eurysthée. 4.° Il perça de flèches une biche qui avoit les
pieds
d’airain et les cornes d’or. 5.° Il mit en fuite
Bientôt on vit ce grand homme couvert d’un habit de femme, filer aux
pieds
d’Omphale, reine de Lydie. Cette honteuse passion
arge blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant, Vient aux
pieds
des chevaux tomber en mugissant. …………………………………………
res, Que du plus fier torrent ils arrêtent le cours, Et rangent à ses
pieds
les lions et les ours. On dit même, et la Grèce e
en remit l’exécution à un soldat. Celui-ci se contenta de percer les
pieds
de l’enfant, et de l’attacher à un arbre sur le m
me son fils, et lui donne le nom d’Œdipe, à cause de l’enflure de ses
pieds
. D. Par où Œdipe se fit-il connoître ? R. Devenu
ne femme, le corps d’un chien, les ailes et la queue d’un dragon, les
pieds
et les ongles d’un lion. Il proposoit une énigme
t les dévoroit, s’ils ne la devinoient pas. Né parmi les rochers, au
pied
de Cithéron, Ce monstre à voix humaine, aigle, fe
.) Le Sphinx demandoit : « Quel est l’animal qui, le matin, à quatre
pieds
, deux à midi, et trois le soir ? » La couronne et
, que son animal est l’homme qui, dans son enfance, se traîne sur les
pieds
et sur les mains, dans l’âge viril se soutient su
les pieds et sur les mains, dans l’âge viril se soutient sur ses deux
pieds
, et dans la vieillesse s’appuie sur un bâton qui
et dans la vieillesse s’appuie sur un bâton qui lui sert de troisième
pied
: Le monstre furieux de se voir entendu, Venge a
son ami, reprend les armes, attaque Hector, le tue, l’attache par les
pieds
à son char, et le traîne trois fois autour des mu
rendez-vous hors de la ville de Babylone, près d’un mûrier blanc, au
pied
duquel étoit le tombeau de Ninus. Thisbé arriva l
es par leur épaisseur, leur hauteur et leur circuit. Elles avoient 87
pieds
d’épaisseur, 350 pieds de hauteur, et 20 lieues d
leur hauteur et leur circuit. Elles avoient 87 pieds d’épaisseur, 350
pieds
de hauteur, et 20 lieues de circuit. Elles formoi
e sa beauté. Son poil passe en blancheur la neige la plus pure Qui du
pied
des passants n’a point senti l’injure. Son fanon
rmes et poussait de tristes gémissements. Enfin elle écrivit avec son
pied
le nom d’Io sur le sable, et ses parents appriren
des excès de Junon, Jupiter la suspendit à la voûte de l’Olympe, les
pieds
chargés d’une lourde enclume et les mains d’une c
monstre de la figure la plus étrange : il avait les yeux au bout des
pieds
pour mieux éviter les précipices ; mais sa struct
mbreux à Rome. Dans l’un d’eux les jeunes filles venaient déposer aux
pieds
de la déesse leurs poupées, lorsqu’elles devenaie
age verdissent ; Ses bras tendus au ciel s’allongent en rameaux ; Ses
pieds
, des vents légers jadis légers rivaux, En racines
ne, dont le pampre orne la chevelure, Rouge encor des raisins que ses
pieds
ont pressés ; Et l’Hiver aux cheveux de neige hér
r étaient ses arbres favoris : le palmier, parceque ce dieu naquit au
pied
d’un arbre de cette espèce ; le laurier, parcequ’
roussée ; Une autre prend son dard, son arc, et son carquois ; De ses
pieds
délicats deux autres à-la-fois Délacent la chauss
plus agile, lui donna un bonnet ailé, nommé pétuse, et attacha à ses
pieds
deux talonnières portant des ailes rapides. Il eu
and nombre de prodiges, que le pilote et les matelots tombèrent à ses
pieds
, et adorèrent sa divinité. Le mât du vaisseau se
de pampres et de raisins, tenant un thyrse à la main, et ayant à ses
pieds
des brodequins brochés d’or, était porté sur un c
lât sur l’autel de Bacchus l’insensible Callirhoé. Déjà elle était au
pied
de l’autel, parée de fleurs et des tristes orneme
r son ressentiment, se frappe lui-même du couteau sacré, et tombe aux
pieds
de Callirhoé, qui, désespérée d’avoir si mal payé
feu brillant Que trois fois, dans sa vive et folâtre alégresse, D’un
pied
léger franchit une ardente jeunesse28. Cérès éta
gros serpents pour le dévorer. Le fils de Jupiter, se levant, sur ses
pieds
, saisit les serpents dans ses mains et les étouff
onstre, Eurysthée lui commanda de lui amener tout en vie la biche aux
pieds
d’airain. Le sanglier d’Érymanthe devint bientôt
rompt que les éclairs, vers ces roches fidèles Il court, vole ; à ses
pieds
la peur donne des ailes : Il fait tomber ce roc q
e du corps ressemble à celle de l’homme, tandis que leur dos et leurs
pieds
sont ceux d’un cheval indompté ; plus loin est l’
jours accompagné de la prêtresse d’Apollon. A peine eurent-ils mis le
pied
sur le rivage des morts, qu’ils trouvèrent le chi
aissantes, Exerce, en se jouant, des luttes innocentes ; Tantôt leurs
pieds
légers, sur de riants gazons, Bondissent en caden
celle d’un dauphin. Quelquefois on le représente par-devant avec deux
pieds
de cheval. La plupart des dieux marins étaient ap
eaux, en sommets ; Ses vastes ossements se durcissent en pierre : Ses
pieds
sont des rochers affermis sur la terre. Sa hauteu
l’Hippocrène, qui jaillit d’un rocher que Pégase avait frappé de ses
pieds
en prenant son essor ; l’autre est la source de C
ntées autour de l’Hélicon, sur lequel ce fleuve prenait sa source. Au
pied
de cette montagne était la ville de Delphes, si c
nes, dieux champêtres, qu’on voit errer çà et là avec des jambes, des
pieds
, et des oreilles de bouc ; le reste de leur corps
eint rouge, le nez épaté, les cuisses d’un bouc avec sa queue, et les
pieds
d’une chèvre. Sa nourrice, effrayée d’une figure
bre, l’Eurotas, et le Permesse dont nous avons vu les ondes rouler au
pied
de l’Hélicon. Tous ces fleuves eurent des autels,
écloses, Flore du grand jour Attend le retour. Le jeune Zéphire A ses
pieds
soupire ; Et le dieu badin, Volant autour d’elle,
ois il avait une tête humaine ; mais il n’avait jamais de bras, ni de
pieds
, pour marquer qu’il devait rester immobile dans l
ses plants divers partager le secours, Et conduisant son onde à leurs
pieds
attirée, Abreuver de fraîcheur la racine altérée.
ssante. Quelquefois le devin n’avait besoin que d’examiner le bout du
pied
pour dire la bonne aventure, et cette science s’a
st sorti le Destin, divinité allégorique, représentée tenant sous ses
pieds
le globe de la terre, et dans ses mains une urne
oît la vie, D’un bras de fer courbe le front des rois, Tient sous ses
pieds
la terre assujétie, Et dit au Tems : « Exécute me
Le mont sacré m’est dévoilé, Et je vois jaillir l’Hippocrène Sous le
pied
du cheval aîlé. Un dieu, car j’en crois cette flâ
nédos, isle de la mer Egée ; à Cyrrha, ville de la Phocide, située au
pied
du Parnasse ; à Patare, et dans une infinité d’au
ges nouveaux. Le ciel vit ce monstre impie, Né de la fange croupie Au
pied
du mont Pélion, Souffler son infecte rage Contre
auprès d’elle des flûtes et des hautbois. Qu’entends-je ? Euterpe au
pied
d’un hêtre, Chantant les troupeaux, les jardins,
Bacchanales. Les paysans de l’attique les célébroient en sautant, un
pied
en l’air, sur des peaux enflées en forme de ballo
urer. Molière. Jupiter lui avoit attaché des aîles à la tête et aux
pieds
, afin qu’il exécutât plus promptement ses ordres.
ou réveiller les mortels : A ses
pieds
il attache Ces aîles dont il s’ouvre un chemin da
s. Sur un trône éclatant, contemplant ses conquêtes, Il fouloit à ses
pieds
les plus superbes têtes ; Fier de ses cruautés, p
in d’horreur. La sombre Jalousie, au teint pâle et livide, Suit, d’un
pied
chancelant, le soupçon qui la guide : La haine et
inerve. Minerve, ou Pallas, sortit du cerveau de Jupiter, armée de
pied
en cap. Pour la mettre au monde, ce dieu se fit d
une branche d’olivier ; et des instrumens de mathématiques sont à ses
pieds
. Les poëtes, en la faisant sortir du cerveau du m
; elle fut placée au ciel par Junon, après avoir été écrasée sous les
pieds
d’Hercule, contre lequel elle venoit secourir l’H
le corps d’un vautour, des aîles de chauve-souris, et des griffes aux
pieds
et aux mains. Elles infectoient tout ce qu’elles
lyre, quand il alla redemander à Pluton son épouse Euridice : A mes
pieds
s’abaisse Cerbère : J’ai calmé sa rage ordinaire
d’oreilles et d’yeux. Dont la voix ressemble au tonnerre, Et qui des
pieds
touchant la terre, Cache sa tête dans les cieux ?
Rousseau. Le même poëte dit que ce monstre habite un antre creusé au
pied
du Parnasse. La description qu’il en fait est viv
animée, et dans le vrai caractère de cette divinité allégorique : Au
pied
du mont où le fils de Latone Tient son empire, et
, les astres en pâlissent ; Et la foudre en éclat qui gronde sous ses
pieds
. Semble annoncer la mort aux peuples effrayés. V
semblable à un bouc : quelquefois on ne lui donne que la tête et les
pieds
de cet animal. C’est ainsi que l’on représente en
rit, et le présenta tout vivant à Eurysthée. Une biche, qui avoit les
pieds
d’airain et des cornes d’or, ne nuisoit pas moins
Hercule laissa amollir son courage ; et bientôt on le vit filer aux
pieds
d’Omphale, reine des Lidiens, qui se plaisoit à v
arge blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant, Vient aux
pieds
des chevaux tomber en mugissant. A travers les ro
res, Que du plus fier torrent ils arrêtent le cours. Et rangent à ses
pieds
les lions et les ours. On dit même, et la Grèce e
s pleurs et de l’innocence de l’enfant, se contenta de lui percer les
pieds
de part en part, et de l’attacher à un arbre sur
me son fils, et lui donne le nom d’Œdipe, à cause de l’enflure de ses
pieds
: Un Thébain qui se dit votre père, Expo
ne femme, le corps d’un chien, les ailes et la queue d’un dragon, les
pieds
et les ongles d’un lion. Il proposoit une énigme
t les dévoroit s’ils ne la devinoient pas : Né parmi les rochers, au
pied
de Cithéron, Ce monstre à voix humaine, aigle, fe
ltaire. Le Sphinx demandoit, Quel est l’animal qui le matin a quatre
pieds
, deux à midi, et trois le soir ? Ne porter qu’un
fre est tôt suivie. J’arrive ; je l’apprends ; j’y hasarde ma vie. Au
pied
du roc affreux, semé d’os blanchissans, Je demand
inx, que son animal est l’homme, qui dans l’enfance se traîne sur les
pieds
et sur les mains, dans l’âge viril se soutient su
les pieds et sur les mains, dans l’âge viril se soutient sur les deux
pieds
, et dans la vieillesse s’appuie sur un bâton qui
dans la vieillesse s’appuie sur un bâton qui lui sert d’un troisième
pied
: Le monstre, furieux de se voir entendu, Venge
venger la mort de son ami, attaque Hector, le tue, l’attache par les
pieds
à son char, et le traîne trois fois autour des mu
nètre au palais de Priam ; immole ce prince avec toute sa famille, au
pied
d’un autel où il s’étoit réfugié : L’indigne mor
d’élever Neptune, 90 — Pourquoi Apollon est leur dieu, 40 Biche aux
pieds
d’airain, 13 Biche, substituée à la place d’Iphi
cre la famille de Nélée, 172 — Laisse amollir son courage ; file aux
pieds
d’Omphale ; épouse Déjanire, 138 — Sa mort et so
ux incompréhensible dont ils les ont ornées, forçât à s’humilier, aux
pieds
de leurs autels, les esprits ambitieux qui auraie
prit la connaissance des simples et des étoiles. Sa grotte, placée au
pied
du mont Pélion, devint la plus célèbre école de t
ps, ou un enfant qu’il s’apprête à dévorer. Il a quelquefois sous les
pieds
, quand il vient de la période Greco-Alexandrine,
auche le gouvernail d’un vaisseau sur la proue duquel elle appuie son
pied
droit ; tantôt c’est Thémis, déesse de la justice
sur le crâne l’ouvre en deux, et aussitôt on en voit sortir, armée de
pied
en cap, la brillante Minerve, qui sera la déesse
a de la plaie d’Uranus mutilé, ils avaient des formes colossales, des
pieds
de serpens, d’où leur venait le surnom d’anguipèd
guste mari faire sortir de son cerveau la brillante Minerve, armée de
pied
en cap, fut conter ses douleurs à son père et bea
Syrie. Mais tout-à-coup le monstre se retourne, arrive d’un bond aux
pieds
du maître des Dieux, l’embarrasse de ses plis mil
couper en morceaux le pauvre Jupiter, dont il renferme les nerfs des
pieds
et des mains à part dans une peau d’ours ; puis i
entières à Jupiter, qui ne cesse de son côté de le foudroyer jusqu’au
pied
du mont Hémus ; là, commençant à perdre du sang,
ointe du Parnasse, ou de l’Atlas, ou de l’Etna. Ayant une fois mis le
pied
sur le sol, ils se dirigèrent vers le temple de D
forfait ; ne sachant plus où se réfugier, il fut implorer Jupiter aux
pieds
de ses autels. Ce Dieu fut assez généreux pour lu
leur servirent après avoir fait chauffer de l’eau pour leur laver les
pieds
. Un très-petit flacon de vin, l’unique qu’il y eû
vant J.-C. l’espace à parcourir n’était que d’un stade ou environ 600
pieds
, les concurrens étaient à pieds et armés de toute
n’était que d’un stade ou environ 600 pieds, les concurrens étaient à
pieds
et armés de toutes pièces ; mais l’an 776 avant J
alors on doubla la carrière qui fut depuis de deux stades ou de 1,222
pieds
, et l’on établit la course à cheval ; puis, à la
lus. Après le ceste, venait le disque, jeu consistant à se tenir d’un
pied
en équilibre sur la pointe d’un cône, et à jeter
st le plus habituellement assis sur un aigle ou sur un trône d’or, au
pied
duquel sont deux coupes versant le bien et le mal
tre ; les vertus ou la victoire sont à sa gauche ; un aigle est à ses
pieds
, tenant un faisceau de foudres dans ses serres ou
es projets, il veut la punir, et pour cela il la fait attacher par le
pied
à une chaîne de cuivre ou d’or, et la suspend ave
de plus, on voyait un paon, son oiseau favori, faisant la roue à ses
pieds
, et les Graces ainsi que les Heures devant elle.
ms suivans : Amphigyeis ou boitant des deux jambes ; Chalcipus, ou au
pied
d’airain, Clytotechnès, ou l’habile artiste, Cyll
au pied d’airain, Clytotechnès, ou l’habile artiste, Cyllopode ou au
pied
boiteux, Etnœus, ou du mont Etna, Flammipotens, o
t lui fit oublier le serment qu’il avait fait de ne plus remettre les
pieds
dans l’Olympe. On dit qu’il chercha inutilement à
Titan et de l’Océanide ; Electre portait les surnoms d’Aellopus ou au
pied
rapide, de Clara dea ou déesse brillante, et de T
es nouveaux nés chez les Latins, Statinus et Statina affermissait les
pieds
des enfans en bas âge à Rome ; Utérina était une
e dans la main droite, un flambeau dans la gauche, et un coq sous ses
pieds
. Quant à Hécate, que les Grecs confondaient aussi
eprésentée jeune, bien faite, armée d’un arc et d’un carquois, et les
pieds
couverts de brodequins ; quelquefois elle est sui
de la fontaine Aganipe, fille du Permesse, dont les eaux coulaient au
pied
de l’Hélicon et inspiraient les poètes ; Aonides
u du mont Cithéron en Béotie ; Coricides, ou de l’antre de Coryce, au
pied
du mont Parnasse ou en Cilicie ; Cumenès, ou de C
la fontaine Hippocrène que nous verrons naître sur l’Hélicon sous les
pieds
du cheval Pégase ; Hyantides, ou d’Hyantis, premi
ppelée Croton. Jupiter même, pour mieux le récompenser, lui donna des
pieds
de cheval afin d’indiquer sa célérité, une flèche
satyre pour montrer la gaieté de son caractère, et une couronne à ses
pieds
. Les Muses, une fois sorties de nourrice, furent
ès d’elle l’amour ailé tenait une torche allumée, et elle avait à ses
pieds
des tourterelles se becquetant. Euterpe, ou la mu
couronnée de fleurs, avait une flûte à la main, et l’on voyait à ses
pieds
des papiers et instrumens de musique. Melpomène,
à la main droite, ayant le bras gauche déployé et une corneille à ses
pieds
. Polymnie, ou la muse aux hymnes nombreux, présid
s un globe qu’elle semble mesurer avec le [ILLISIBLE], et ayant à ses
pieds
des équerres, [ILLISIBLE]tans et autres instrumen
es airs un cheval ailé, qui en s’abattant sur un rocher, fit sous ses
pieds
jaillir l’Hippocrène : c’était Pégase, que la vue
prix du pugilat, de la course de chevaux, du pancrace, de la course à
pied
, du combat armé, de la lutte et du disque. Les Se
ze années de travaux. Il y en avait une autre à Délos de vingt-quatre
pieds
, à Apollinie une de trente coudées, et à Mégare u
de la médecine, il est entouré de nuages et un serpent se voit à ses
pieds
. Nos musées sont remplis de statues et de tableau
i transmettaient ces phrases aux dévots que la crédulité attirait aux
pieds
de leurs autels portaient le même nom. Le préjugé
aussitôt il lui apparut sous la forme d’un bélier, frappa la terre du
pied
et en fit jaillir une source. Alors on lui dressa
nt la puissance de charmer jusqu’aux rochers, de faire accourir à ses
pieds
les animaux les plus féroces et les oiseaux des e
e dieu ou par d’autres dieux en une fontaine dont les eaux coulant au
pied
du Parnasse avaient la vertu d’inspirer le génie
ste on peut les considérer comme d’habiles cavaliers qui, sans mettre
pied
à terre, lançaient de loin leurs traits et fuyaie
i, par la suite on y connaissait un Esculape enveloppé de la tête aux
pieds
, offrant le caractère de l’ancien des jours, du d
n et au sourire bienfaisant, ayant d’un côté son fidèle serpent à ses
pieds
relevant vers lui sa tête d’une manière caressant
a fin, la terre desséchée jusqu’aux entrailles porte ses plaintes aux
pieds
de Jupiter qui, pour arrêter de plus grands malhe
d’en laisser sortir, comme nous l’avons vu, la sage Minerve armée de
pied
en cap. Du reste, on attribuait encore à Métis qu
les ténèbres, et vice versâ ; on faisait trembler la terre sous leurs
pieds
; on cherchait a les effrayer par la vue de spect
elle que commettaient les dames grecques quand elles n’allaient pas à
pied
à ces fêtes et qu’elles osaient y paraître en cha
poussant également des hurlements affreux, la tête découverte et les
pieds
nus, jusqu’au prytanée. Dans ces processions, le
l’été par Apollon ou Cérès, l’automne par Bacchus avec un chien à ses
pieds
, et l’hiver par Hercule ou par un vieillard, homm
voir des femmes d’être soumises et fidèles, avait mis des chaînes aux
pieds
de la statue de Vénus ; Myrtie et Murcie, ou du M
peu avec sa redoutable armure, puis déposant casque et javelots à ses
pieds
, il s’adoucit, déclara son amour et bientôt obtin
e conçoit, entre les deux déesses. L'affaire est portée par Vénus aux
pieds
de Jupiter qui, tout habitué qu’il est de lui céd
e devait sa couleur au sang que les épines avaient fait couler de ses
pieds
; quant au myrte, il lui avait servi à se cacher
et une corne d’abondance indiquant les richesses de la mer sont à ses
pieds
; puis tantôt des amours, des néréides, et tantôt
autre fois elle remplit de traits le carquois de l’Amour jouant à ses
pieds
. On la représente aussi sur un char d’ivoire traî
quelquefois même elle porte un globe dans une main. L'Amour est à ses
pieds
, les yeux couverts d’un bandeau et portant un car
on la représente couronnée de myrte, tenant un miroir à la main, les
pieds
revêtus de sandales tissues d’or et de soie, et l
e pampres et de grappes, et accompagné de deux Cupidons, jouant à ses
pieds
. Cette Vénus est celle que Térence avait indiquée
ait représentée : chez les Eléens, assise sur une chèvre, et ayant un
pied
sur une tortue ; à Sparte et à Cythère armée en g
a. On représentait cette déesse sous la forme d’une Vénus ayant à ses
pieds
une tortue, pour indiquer que la pudicité, le plu
sa mère, le peuple, les yeux noyés de larmes, la conduisent jusqu’au
pied
du rocher qui doit être ou sa tombe ou l’asile de
mpe et le glaive ; puis saisissant l’un et l’autre, elle revient d’un
pied
craintif vers le lit nuptial. Là, elle voit pourt
la fait charger de chaînes et battre de verges. En vain l’amour à ses
pieds
implore sa bonté, elle ne veut rien écouter : cep
’étroit passage que garde Cerbère. Elle traverse le Styx et arrive au
pied
du trône où siége Proserpine. La déesse infernale
vres humides et aux joues colorées ; assise sur un trône, ayant à ses
pieds
la vertu, autour d’elle des parfums, et tenant un
; l’amour dompté est assis, son flambeau est éteint, et il foule aux
pieds
son arc et ses flèches, il ne tient plus qu’un sa
u cou et au bout d’une chaine, un cœur pendant sur sa poitrine, à ses
pieds
sont des bourses d’or et d’argent, une vigne et u
un flambeau, sur la tête un flammeum ou voile jaune de flamme, et aux
pieds
des brodequins de même couleur ; suivant d’autres
Romains la représentaient chauve, aveugle, debout avec des ailes, un
pied
sur une roue tournant rapidement et l’autre en l’
l’autre en l’air, ou quelquefois elle porte un gouvernail et pose son
pied
sur une proue de navire. Mais les Achéens lui met
plus qu’un toupet de cheveux ; ils mettaient aussi un amour ailé aux
pieds
de la fortune. A Smyrne elle avait un croissant o
r attributs, un sceptre, un joug rompu, et un char, et de plus, à ses
pieds
un chat. Lydie, fille de Jupiter, était femme de
tole. On la représente avec un voile. Tantôt elle a une roue sous ses
pieds
, et une couronne de laurier orne sa tête ; tantôt
celade ; Hippoletis ou d’Hippola en Laconie ; Hoplosmia ou l’armée de
pied
en cap des Eléens ; Hygiaea ou présidant comme Ap
A peine le divin cerveau fut-il ouvert que Minerve en sortit armée de
pied
en cap. Alors brandissant sa lance, elle fit trem
Méduse, la plus belle de trois Gorgones, que Neptune avait violée au
pied
de ses autels. Cette déesse portait la chasteté s
Oilée, pour venger la violence qu’il avait faite à Cassandre jusqu’au
pied
de ses autels. Elle aida aussi Persée, Hercule, B
particulier : elle était debout avec une pique à la main ; puis à ses
pieds
, on voyait sur son bouclier une tête de Méduse, s
f qui l’avait ainsi attiré dans ces lieux. Un jour en se promenant au
pied
d’un rocher contre lequel la mer venait briser se
ournit la vie ; Capricorne ou aux cornes de chèvre ; Capripède ou aux
pieds
de chèvre ; Egoceros ou aux pieds de chèvre ; Hir
cornes de chèvre ; Capripède ou aux pieds de chèvre ; Egoceros ou aux
pieds
de chèvre ; Hirtuosus Deus ou le dieu velu, Lampe
Tégée en Arcadie, Tragephore ou à la peau de bouc, Tragocélès ou aux
pieds
de chèvre ; ce dieu rural avait, dit-on, reçu le
l et de la terre ; il vint au monde avec les cuisses, les jambes, les
pieds
, les cornes et avec le rude pelage d’un bouc. A l
yait-on, nourri par une louve dans un champ appelé Lupercal, situé au
pied
du mont Aventin, près du Tibre. Aussi Pan, l’ami
ciel par Jupiter ; les Egipans ses fils ou divinités agrestes ou aux
pieds
de chèvre, habitaient les bois et les montagnes ;
ritée punit ces mauvais surveillans en leur donnant des cornes et des
pieds
de chèvre ; d’où leur venait le nom de Capripèdes
it les surnoms de Dendrophore ou le porteur d’arbres, Hircipes ou aux
pieds
de bouc, Pecudifer ou le protecteur de la multipl
ui donnait toujours la forme d’une borne carrée, à tête humaine, sans
pieds
et sans bras. Les Romains célébraient en son honn
le savoir : 1° le lion de Némée, 2° l’Hydre de Lerne, 3° la biche aux
pieds
d’airain, 4° le sanglier d’Erymanthe, 5° les étab
elle se rendait maîtresse du pays. 3° La Biche aux cornes d’or et aux
pieds
d’airain, consacrée à Diane, et qui habitait sur
rière, la mit dans sa peau de lion avec toute son armée, et porta aux
pieds
d’Eurysthée, cette nombreuse et faible population
aux. Ce Géant célèbre par son triple corps, muni de six mains, de six
pieds
, et de six ailes, était fils de Chrysaor, et de C
venait de lancer contre lui, le frappa subitement et l’étendit à ses
pieds
. Habituellement, voilà quels étaient les douze tr
atisfait sur ce point, Hercule se dirige vers l’Afrique, immole à ses
pieds
le terrible dragon, enlève les pommes qu’il reche
tomber sous ses coups, et immole Busiris, et son fils Ephidamas, aux
pieds
de Jupiter. Ce service décida peut-être Atlas à l
à Omphale, reine de Lydie, fille de Jardanus, et femme de Tmolus, aux
pieds
de laquelle Alcide amena enchaînés les Percopes o
et sa peau de lion et sa massue redoutable, et mollement étendu à ses
pieds
, passait des journées entières à manier la quenou
t échanson d’Œneus, il eut la maladresse de répandre de l’eau sur les
pieds
d’Hercule, en lui en versant sur les mains, cette
événement de sa vie. On le voit aussi tenant un fuseau et filant aux
pieds
d’Omphale et revêtu des ornemens les plus effémin
i donna son nom à la coline sur laquelle Hercule surprit la biche aux
pieds
d’airain ; Cléodée, fils d’Hyllus ; Climène, fond
sin, Sisyphe, ayant marqué ses troupeaux à l’intérieur de la corne du
pied
de chaque animal, Autolycus ne put s’en douter et
le nom d’Hermès, on plaçait sur les chemins des statues sans tête ni
pieds
, pour indiquer la route aux passans. On lui sacri
e, et les épaules à moitié couvertes d’un manteau, avec des ailes aux
pieds
et aux épaules ; son chapeau ou le pétase, est or
eurement l’ennui d’être seul. Cependant un jour qu’il se promenait au
pied
du mont Atlas, il aperçut Amphitrite, fille de Do
t la commission au vieil Itémale, celui-ci suspendit l’enfant par les
pieds
à un arbre du mont Cithéron où il fut trouvé par
un accord avec Péribée sa femme, qui lui donna le nom d’OEdipe ou aux
pieds
enflés. Si nous suivions simplement l’histoire, n
ont la plus habituelle était de savoir quel est l’animal ayant quatre
pieds
le matin, deux à midi et trois le soir. Cependant
ver lors de sa première expédition contre Thèbes. Ce cheval, dont les
pieds
ressemblaient à ceux de l’homme, avait en outre l
t un des plus adroits argonautes, il remporta les prix de la course à
pied
et en char, aux jeux funèbres, lors de la mort de
er le discours le plus tendre, quand tout à coup il aperçoit Acis aux
pieds
de sa nymphe chérie. Le cyclope, à cette vue, pou
nte, d’où leur vint le nom Corycides. Elles habitaient, disait-on, au
pied
du mont Parnasse la grotte Coryque ; aussi étaien
aisie d’un frémissement pénible, elle voulut fuir, mais en vain ; ses
pieds
attachés à la terre s’y implantèrent, formèrent d
use est à sa gauche ; Cerbère, le chien gardien du Tartare, est à ses
pieds
et son trône est entouré des Heures, des Parques
umée, par de vigoureux chevaux noirs, tantôt sur un trône d’ébène, au
pied
duquel on voyait le sommeil, l’oubli, Cerbère et
d’une main un poignard et de l’autre une torche allumée, foulant aux
pieds
le livre des lois et un faisceau de baguettes, em
gouvernail, pour montrer l’étendue de son empire ; d’autres fois ses
pieds
posés sur une roue, pour indiquer qu’elle est tou
s les couronnes de chêne, dont ces trois têtes étaient ornées ; à ses
pieds
étaient des chiens furieux, dont la gueule béante
’elles voulaient s’éloigner. A Athènes, on servait tous les mois, aux
pieds
de ses statues, un souper, que les pauvres mangea
la ville de Corine, en Achaïe ; à peine le coupable avait-il posé le
pied
sur le seuil du temple des Furies, qu’un delire a
près avoir déterré le calcanéum ou talon du géant Damyse, l’adapta au
pied
de son élève, et le rendit le plus vaillant des h
tait frère de Médor, et passa sa jeunesse soit à courir à cheval ou à
pied
et à apprendre à tirer de l’arc. Sous ce dernier
, dit-on, un fils appelée Phylée. On représente cet Ajax, ayant à ses
pieds
Cassandre, qui le supplie vainement de l’épargner
ches et aux menaces de ses sujets. Hors de lui-même, il se réfugia au
pied
d’un autel de Jupiter, et la nuit suivante, il pa
e premier homme qui s’offrirait à ses regards lorsqu’il aurait mis le
pied
sur la terre de Crète. En arrivant dans ses états
néanmoins, eut la cruauté d’accomplir son serment, et le fit périr au
pied
des autels. Ensuite, ne pouvant plus vivre dans u
es étant trop lourdes pour lui, il en laissa tomber une sur un de ses
pieds
, aussitôt, sa blessure exhala une odeur infecte,
mpagnons avec de la cire, et se fit attacher au mât du navire par les
pieds
et par les mains. Le charme alors n’ayant pu exer
Phrygie, où il épousa la fille de Teucer. Alors il fit construire, au
pied
du mont Ida, une ville à laquelle il donna le nom
ts et des ennemis, l’atteint et lui plonge son épée dans le sein, aux
pieds
mêmes de son malheureux père. Polydore, était le
. Tlépolème le blessa au côté, mais Sarpédon aussitôt l’étendit à ses
pieds
. Il fit mordre également la poussière à Alcmaon q
dans le temple de Minerve. Là, Ajax fils d’Oïlée lui fit violence au
pied
même de l’autel de la déesse. L'infortunée Cassan
ésente nue, les cheveux épars et dans l’attitude d’une suppliante aux
pieds
de la statue de Minerve, pour repousser Ajax. Mai
es Romains firent reposer la fondation de leur empire. Énée naquit au
pied
du mont Ida, sur les bords du Simoïs, et fut élev
pour se diriger vers l’embouchure du Tibre ; puis il aborde et met le
pied
sur les plaines de Laurente, où régnait le vieux
e, si l’avare Pygmalion, fils de Métrés, n’eût assassiné cet époux au
pied
des autels, pour s’emparer de ses trésors. Didon,
n temple à Rome ; elle était représentée avec des ailes au dos et les
pieds
nus. Amitié ou Philia, déesse allégorique, elle
lisait, de près et de loin ; souvent aussi, elle avait un chien à ses
pieds
. Anaédia ou Anédée ou Impudence, déesse qui avai
e de la vengeance, représentée les mains collées contre le corps, les
pieds
joints l’un contre l’autre, la chevelure réunie e
portant à la main une hache à deux tranchans, et des cothurnes à ses
pieds
; Ancules, c’est-à-dire serviteurs, divinités pro
té, déesse Romaine, ayant un sceptre à la main et deux colonnes à ses
pieds
. Ciones ou colonnes, on appelait ainsi tous les d
e d’une main, jetant de l’autre une flèche et foulant des armes à ses
pieds
. Cloacine, déesse Romaine des égoûts et cloaques
ou un cachet ou un cœur, ou des épis ou un panier de fruits, et à ses
pieds
un chien. Quelquefois on la symbolise simplement
le plus jeune fils de Jupiter ; c’était, suivant Phidias, une femme à
pieds
ailés, à longs cheveux sur le devant de la tête,
r derrière, ou, suivant Lysippe, c’était un adolescent, également aux
pieds
ailés, mais dont la pointe portait sur un globe ;
les lui en avaient élevé. On le représentait enveloppé de la tête aux
pieds
; Sérapis n’est donc autre chose qu’Osiris, mais
i couronnée de tours ou de cornes droites, et ayant la terre sous les
pieds
, pour marque de sa puissance. Haroéri, ou Orus,
et de l’autre, un caducée avec deux épis ; on le voit quelquefois le
pied
posé sur un crocodile. Dans les temps les plus re
aux sermens. Ceux que l’on suppose coupables sont obligés d’aller aux
pieds
de la statue et de dire : Maramba, ton serviteur
e jurer par Moumbo-Ioumbo. On représente le dieu, haut de huit à neuf
pieds
, vêtu d’une écorce d’arbre et ayant sur la tête u
et institua des fêtes. On le représente avec un corps de poisson, les
pieds
d’un homme et deux têtes, dont l’une est celle d’
bras droit, le troisième de sa cuisse droite, et le quatrième de son
pied
droit ; puis il leur donna pour épouse, savoir :
s trois dernières étaient sorties de son bras, de sa cuisse et de son
pied
gauche, de là résulta la division de la race huma
cians nés de ses cuisses ou de son ventre, et les Artisans nés de ses
pieds
. Dès ce moment, dit-on, il défendit toute allianc
celets et autres ornemens aux oreilles, aux bras, au nez, au cou, aux
pieds
, et autour du corps ; elle tient à la main la fle
s dieux supérieurs. On les représente sous la forme de serpens à deux
pieds
et souvent sous d’autres formes très-bizarres. Il
nt deux urnes en guise de bassins dans la main gauche ; on voit à ses
pieds
l’Emyde ou carapace de tortue, qui servit de prem
emparé de la couronne avec sa trompe, la jeta à terre et la foula aux
pieds
. Alors Dourouvaça, furieux, proféra d’épouvantabl
, on dépose le cadavre devant cette idole grossière, on enterre à ses
pieds
quelques monnaies de cuivre, un morceau de toile
s la mort de Krichna. On le représente enfant, ayant une main et deux
pieds
à terre ; tantôt il est dansant, tantôt méditant,
ur sans égale, sous l’attitude d’un cheval lancé au galop, dont trois
pieds
seulement poseront sur la terre ; le quatrième se
kchmi. On la représente entourée ou couronnée d’épis, et pressant aux
pieds
la racine d’une plante chargée de fruits qui pass
é énorme d’animaux et surtout de buffles, que les Hindous immolent au
pied
de ses autels ; vient ensuite le 14 de Margasirch
ux ressemblent à des flammes dansantes, des clochettes garnissent ses
pieds
et ses quatre mains tiennent la tchankra, ou roue
s ; il est enlevé par la division des Castes ; ainsi l’artisan né des
pieds
de Dieu, ne peut se faire prêtre ou Brahme, né de
sa main, et soudain l’éléphant se calmant, se coucha humblement à ses
pieds
. Aussitôt, Bouddha-Gotama institua la troisième s
saints qui l’avaient précédé. Aussitôt Gotama frappa la terre de son
pied
, et Okien Tingri, le génie tutélaire de ce globe,
un autre dans la paume de la main, puis le troisième à la plante des
pieds
; elle tient d’une main une fleur sur laquelle es
unes de l’empire. Kang, divinité représentée par une idole de trente
pieds
d’élévation, dorée de haut en bas, revêtue d’habi
ient un serpent et une lance ; l’autre, armée d’un glaive, appuie son
pied
sur un homme de petite stature comme pour l’écras
t d’un tyran à huit bras. On le représente armé d’une hache, sous ses
pieds
expire un horrible serpent. On met aux quatre coi
; la troisième, un cercle d’or, et la quatrième, une fleur. Sous ses
pieds
expire un monstre qui semble un génie funeste. A
menter les hommes. On le représente sous la forme d’un serpent à deux
pieds
. Echem ou Sor est le suprême mauvais principe :
couples humains dont neuf, montés sur le taureau Sarécéokh, ne mirent
pied
à terre que sur les six Kechvars extérieurs du di
t un conquérant célèbre. Sa monture ordinaire était un cheval à douze
pieds
, issu d’un crocodile et d’un hippopotame. Dchemc
ix bras, assise, les jambes croisées sur un siége, ayant un arc à ses
pieds
, et tenant dans sa deuxième paire de bras, un cœu
’efforçait de faire couler le socle sur lequel elle était placée. Ses
pieds
sont très secs, et sa taille colossale est d’une
roue, et sa droite un panier rempli de fruits et de fleurs ; sous ses
pieds
était un poisson soutenu horizontalement par une
e la tête à la ceinture un corps humain, et de la ceinture en bas des
pieds
de bouc. Ils ont des oreilles pointues, de la bar
la représente avec l’air jeune, couverte d’un vêtement de la tête aux
pieds
. Tantôt debout, tantôt assise, elle a auprès d’el
t une égide sur laquelle on voyait la tête d’un bœuf. On immolait aux
pieds
de cette idole des chrétiens prisonniers ; le prê
eur d’homme. La personne qui le consultait devait se tenir debout, un
pied
en l’air, et c’était un mauvais présage, si 'on v
et c’était un mauvais présage, si 'on venait à s’appuyer sur les deux
pieds
. Zermagea, Dieu de l’hiver, était représenté
lanent dans l’espace, descendent dans notre atmosphère, et posent les
pieds
sur notre globe ; de là on leur donne trois rôles
t de bois, sa tête d’argent, ses oreilles et ses moustaches d’or, ses
pieds
de fer. Radien-athcié, dieu suprême, irrévélé, i
uelques présens. L'idole de ce dieu était de bronze ; elle avait deux
pieds
un pouce de hauteur, elle était creuse et percée
ntait le Rhin sous les traits d’un vieillard à longue barbe, assis au
pied
d’un massif de montagnes, tenant un roseau à la m
casque surmonté d’une aigrette, vêtue d’une tunique sans manches, les
pieds
croisés et la tête penchée sur sa main droite. B
irent son cadavre, l’emportèrent sur leur navire et le déposèrent aux
pieds
de Milèse, qui arma aussitôt un vaisseau, travers
méchanceté. Elle devint la reine des mânes qui doivent déposer à ses
pieds
tout ce qu’on ensevelit avec leurs corps. Cette f
ment où le glaive était levé sur sa tête, Vitslibochtli parut armé de
pied
en cap, et il tua tous ses frères, ainsi que leur
es à celles de la chauve-souris, attachées à ses épaules, et avec des
pieds
de chèvres. Tezcatlipoca, ou Teskatlibochtli, ou
s de sa lyre. La pl. 2 en regard de la page 140 nous montre Cérès aux
pieds
de Jupiter, le priant de lui rendre sa fille Pros
57. Bibésie, 224. Biblis, 121, 301. Biche (la) aux cornes d’or et aux
pieds
d’airain, 231, 232. Bicorniger, 211. Bicornis, 21
, ils allèrent consulter la déesse Thémis, qui rendait les oracles au
pied
de ce mont. L’invisible divinité leur fit cette r
représentait ce dieu sous la figure d’un vieillard aveugle, ayant un
pied
sur le globe de la terre, et la tête surmontée d’
tenant d’une main la foudre et de l’autre un sceptre, et ayant à ses
pieds
un aigle aux ailes déployées [Fig. 27]. D’un sign
-ciel, le sceptre en main, la tête couronnée de lis, elle avait à ses
pieds
un paon, symbole de la fierté, de la beauté et de
e femme, un corps de vautour, des oreilles d’ours, et des griffes aux
pieds
et aux mains. Elles causaient la famine partout o
nté la Mort sans le secours d’aucun dieu. Celle-ci était accroupie au
pied
du trône de Pluton, pâle et les yeux fermés, couv
raîné par des colombes [Fig. 55], quelquefois les yeux baissés et les
pieds
posés sur une écaille de tortue. [Fig. 54] [
muse des amours, avait pour attributs une lyre et un flambeau ; à ses
pieds
jouaient des tourterelles. Polymnie était la mus
ées sous la forme de petits hommes très velus, avec des cornes et des
pieds
de boucs. Ils étaient la terreur des Nymphes. Tou
ierre pyramidale [Fig. 77] ; mais il resta toujours sans bras et sans
pieds
. [Fig. 77] Palès. Palès était, chez les
aveugle, ou ayant un bandeau sur les yeux, debout, avec des ailes aux
pieds
, l’un posé sur une roue, et l’autre en l’air [Fig
. 80] ; quelquefois au milieu des flots agités, cherchant à fixer son
pied
sur un globe mobile et glissant. [Fig. 80]
une main une colonne, et tenant de l’autre un rameau de chêne ; à ses
pieds
reposait un lion [Fig. 84]. [Fig. 84] La Fr
ait d’une main une couronne, une palme de l’autre, et s’appuyait d’un
pied
sur un globe [Fig. 87]. [Fig. 87] La Vérité
isait d’affreux ravages dans cette contrée. Il atteignit la biche aux
pieds
d’airain, qui jusqu’alors avait toujours échappé
n de Némée, tenait la massue, Hercule, habillé en femme, filait à ses
pieds
avec ses suivantes. De temps en temps la reine fr
ui devait l’égorger, et qui, par pitié, se contenta de lui percer les
pieds
et de le suspendre à un arbre sur le mont Cithéro
pta. Ce fut alors qu’il reçut le nom d’Œdipe (oidéin, s’enfler, pous,
pied
), à cause de l’enflure de ses pieds. Œdipe, deven
m d’Œdipe (oidéin, s’enfler, pous, pied), à cause de l’enflure de ses
pieds
. Œdipe, devenu grand, alla consulter sur sa desti
eviner. Voici cette fameuse énigme : — Quel est l’animal qui a quatre
pieds
le matin, deux à midi, et trois le soir ? On avai
que cet animal est l’homme, qui, dans son enfance, se traîne sur ses
pieds
et sur ses mains ; qui, dans la force de l’âge, s
te fleur des gouttes de sang. Effrayée, elle veut s’enfuir ; mais ses
pieds
s’attachent à la terre, et elle est elle-même mét
taine Hippocrène, que Pégase fait jaillir en frappant la terre de son
pied
, désigne que les productions du génie ne portent
’emportèrent au travers des rochers ; l’essieu du char se rompit, les
pieds
du jeune héros s’embarrassèrent dans les rênes, e
entière, et parvint à la prendre vivante. On publia qu’elle avait des
pieds
d’airain (allégorie pour désigner la vitesse de l
laissa la liberté de courir dans les campagnes ; ce qui les foula aux
pieds
, les couvrit de boue, et les rendit impossibles à
elle mourut de douleur à Trachine, et demanda que sa sépulture fût au
pied
du mont Œta, près de la ville que par la suite on
eut la faiblesse de donner une sorte d’indication avec le bout de son
pied
; elle n’échappa point à l’adroit Ulysse : il déc
uchait ses flèches, une d’elles s’échappa de sa main, et tomba sur le
pied
qui avait décelé le dépôt. La blessure devint si
ait averti Pélias de craindre celui qui paraîtrait devant lui avec un
pied
nu et l’autre chaussé. Jason cependant arrive dan
énérale. Pélias voulut recevoir lui-même cet étranger, et, voyant son
pied
déchaussé, il ne douta point qu’il ne fût l’homme
rtie des vivres. Les Argonautes abordèrent à Cysique, ville située au
pied
du mont Dindyme, et dont Cysicus était roi. Ils y
ettre sous le joug deux taureaux, présent de Vulcain, qui avaient des
pieds
et des cornes d’airain : ils vomissaient des torr
oriens disent qu’ils poursuivirent leur route, et arrivèrent jusqu’au
pied
des colonnes d’Hercule. Là ils rentrèrent dans la
our l’embraser : ce fut alors que la belle Cléopâtre, se jetant à ses
pieds
, le conjura de la sauver des dangers affreux qui
belle Atalante, si célèbre par sa légèreté à la course. Ce fut à ses
pieds
que Méléagre apporta la dépouille du sanglier de
son salut. Corésus s’avance, armé du couteau sacré ; on conduit à ses
pieds
la malheureuse Callirhoé ; les bandelettes qui la
ntendre ; il enfonce le glaive dans son propre sein, et tombe mort au
pied
de l’autel. Callirhoé, reconnaissant à ce trait l
bre, que les généraux partageaient entre eux. « Troie était située au
pied
du mont Ida, à quelque distance de la mer ; les t
murs, ses maisons, ses temples réduits en poudre ; Priam expirant aux
pieds
des autels ; ses fils égorgés autour de lui ; Héc
ir. D’après cette proportion même, cette tour s’élevait de cent vingt
pieds
au-dessus de la plus haute des pyramides. Elle ét
consacrée dans les plaines de Dura. Diodore de Sicile donne quarante
pieds
à cette statue ; l’Écriture Sainte lui en donne
or avait agrandi, et auquel il avait joint la statue d’or de quarante
pieds
. Que l’on juge, d’après cela, de ses richesses im
talens. Enfin il fait mention d’une seconde statue, haute de dix-huit
pieds
, également en or. Ce temple, si surprenant par s
moutons garnies de leur laine. Ce temple avait quatre cent vingt-cinq
pieds
de longueur sur deux cents de largeur. Cent vingt
, avaient été données par autant de rois, et avaient chacune soixante
pieds
d’élévation. Trente-six de ces colonnes étaient c
puis le rez-de-chaussée jusqu’à sa couverture, était de soixante-huit
pieds
; la longueur était de deux cent trente, et la la
e de ces colonnes est d’un seul bloc. Leur hauteur est de trente-sept
pieds
, et leur diamètre de cinq pieds. Huit colonnes or
bloc. Leur hauteur est de trente-sept pieds, et leur diamètre de cinq
pieds
. Huit colonnes ornent le devant du portique, et l
ie de tête en bronze représentant Agrippa. On trouva en même temps un
pied
de cheval et un morceau de roue du même métal. Ce
d qui servait de nourriture aux anciens Grecs. Elle fit construire au
pied
d’un chêne une petite chapelle en l’honneur de Ju
la forêt de Dodone une fontaine qui coulait avec un doux murmure, au
pied
d’un chêne ; une femme interprétait ce bruit, et,
phonius ; il dit seulement que la terre s’étant entr’ouverte sous ses
pieds
, il fut englouti dans la fosse que l’on nomme enc
haque main une composition de miel nécessaire à porter ; on passe les
pieds
dans la seconde caverne, et aussitôt l’on est emp
ait de l’antre comme on y était entré, en se couchant à terre, et les
pieds
les premiers. Aussitôt l’on demandait au consulta
er : 1°. la musique et le chant ; 2°. la course, qui se fit d’abord à
pied
, ensuite sur des chariots ; 3°. le saut et le dis
eur et à tous les peuples qu’ils avaient dépouillés et foulés à leurs
pieds
. Je ne puis me résoudre, dit M. Mallet, à faire
le corps sur une couche d’argile, au fond d’une fosse de six ou huit
pieds
de profondeur. On plaçait à côté d’un guerrier so
n l’avait dérobée ; il fallait en outre être vêtu de blanc, avoir les
pieds
nus, et avoir offert un sacrifice avec du pain et
une foule immense marchait à sa suite. Lorsque l’on était parvenu au
pied
de l’arbre, le chef des druides montait sur le ch
d’être cruels dans leurs familles. Tous les peuples tombaient à leurs
pieds
, rien n’était au-dessus de leur puissance ; comme
rance furent les grandes causes de toutes ces erreurs. En quittant le
pied
de la tour de Babel pour se disperser sur la surf
tête, et Minerve, la déesse des arts, sortit de son cerveau armée de
pied
en cap, ce qui signifie sans doute que la pensée
l répand à son gré sur le genre humain. Quelquefois l’aigle est à ses
pieds
les ailes déployées, enlevant son favori Ganymède
tête, un sceptre d’or dans une main et dans l’autre un fuseau ; à ses
pieds
un paon, son oiseau favori. Quelquefois elle trav
Hercule la délivra en combattant le monstre, qu’il étendit mort à ses
pieds
. 5. Après toutes ces aventures, Neptune et Apollo
inspirations dans les eaux du fleuve Permesse qui prend sa source au
pied
de l’Hélicon, dans la fontaine de Castalie qu’Apo
, et dans la source d’Hippocrène, qui était une autre fontaine que le
pied
de Pégase avait fait jaillir. Pégase était un che
nné de lauriers et la tête ornée d’une longue chevelure blonde. A ses
pieds
étaient les emblèmes de tous les arts. Il tenait
us importantes. A ce titre, on lui donnait des ailes à la tête et aux
pieds
, pour qu’il pût exécuter leurs ordres plus prompt
alis parce qu’il présidait aux chemins. Ses statues, qui n’avaient ni
pieds
ni mains, s’appelaient hermès. On plaçait son ima
. 6. On représente Mars sous la figure d’un guerrier terrible armé de
pied
en cap. On place auprès de lui un coq, symbole de
des zéphirs. Les Tritons se jouent autour d’elle, une rame est à ses
pieds
et son fils Cupidon nage à ses côtés. Les poëtes
, des ailes de chauves-souris, un corps de vautour et des griffes aux
pieds
et aux mains. Elles étaient excessivement sales,
cheveux négligés, et le corps d’un bouc depuis la ceinture jusqu’aux
pieds
. On l’avait ainsi représenté moitié homme et moit
e humaine ; mais la base resta pyramidale. Il était sans bras et sans
pieds
, en témoignage de son immobilité. Questionnair
vigilance. A l’âge de dix-sept ans les patriciens déposaient à leurs
pieds
la bulla. C’était un petit ornement d’or ou d’arg
les astres en pâlissent ; Et la foudre en éclats, qui gronde sous ses
pieds
, Semble annoncer la mort aux peuples effrayés.
de Fortune ou de Hasard. On la représentait chauve avec des ailes aux
pieds
. Un de ses pieds était en l’air, et l’autre légèr
Hasard. On la représentait chauve avec des ailes aux pieds. Un de ses
pieds
était en l’air, et l’autre légèrement posé sur un
d’oreilles et d’yeux, Dont la voix ressemble, au tonnerre, Et qui des
pieds
touchant la terre, Cache sa tête dans les cieux ?
la lui rendrait, s’il domptait deux taureaux furieux qui avaient les
pieds
et les cornes d’airain et qui vomissaient la flam
èches, habitait sur le mont Ménale. Elle avait les cornes d’or et les
pieds
d’airain, et elle était si agile que personne ne
tout entière dans sa peau de lion et déposa ce singulier présent aux
pieds
d’Eurysthée. On dit aussi qu’il sépara les deux m
large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux
pieds
des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leu
touché des grâces de cet enfant, et se contenta de l’attacher par les
pieds
à un arbre et de l’exposer ainsi aux êtes féroces
traits qu’elle l’adopta pour son fils. Elle lui donna le nom d’Œdipe (
pieds
enflés), parce qu’il conservait les traces des li
orps d’un chien, les ailes et la queue d’un dragon, les ongles et les
pieds
d’un lion. Il proposait des énigmes à tous les pa
deviner. Il avait demandé aux Thébains : Qui marche le matin à quatre
pieds
, à deux sur le midi, et à trois le soir ? L’oracl
que cet animal était l’homme qui, dans son enfance, se traîne sur ses
pieds
et sur ses mains, au milieu de sa carrière marche
ses pieds et sur ses mains, au milieu de sa carrière marche sur deux
pieds
, et à la fin de sa vie s’appuie sur un bâton qui
des gens armés. Le lieu où l’on courait était une arène de huit cents
pieds
de long qu’on appela stade et qui servit de mesur
et du passé, en interprétant le murmure d’une fontaine qui coulait au
pied
d’un chêne. Dans le premier âge du monde, la Divi
ryas de ses épaules, les vaïscias de son ventre et les soudras de ses
pieds
. C’est sur ces rêveries qu’ils forment la distinc
ntrailles de celui qui devait être immolé. « De vieilles femmes, aux
pieds
nus, aux cheveux blancs, aux vêtements blancs, re
t représentées ne l’est pas moins : telles que la Fortune aveugle, un
pied
sur une roue. La Providence, sous la figure de Sé
festin, et qui, en chancelant, laisse tomber sa couronne de roses au
pied
d’un cyprès ! Pénélope, entre son père et son épo
qu’elle finissoit. Alors chaque père de famille se relevoit, marchoit
pieds
nuds dans les ténèbres et parcouroit toute la mai
t la tête ; le reste finissoit comme ces statues qui n’ont qu’un long
pied
en gaine. Les Lamies étoient des spectres femelle
et des enfans, elles avoient le visage luisant de feux, l’un de leurs
pieds
étoit de fer, l’autre d’âne, elles avoient toujou
ison, on ôtoit à ses mânes le moyen de s’en venger en lui coupant les
pieds
, les mains, le nez et les oreilles ; c’est ainsi
; il falloit même qu’elle fût belle. Dès que la vestale avoit mis le
pied
dans le parvis du temple, elle étoit affranchie d
, sur un chariot, fuyoit aussi avec sa famille, les rencontra, il mit
pied
à terre avec sa femme et ses enfans, et fit monte
: Je jure par Diane, Aconce, de n’être jamais qu’à vous. Cydippe, aux
pieds
de laquelle il avoit laissé tomber cette boule, l
ercule, la suspendit au milieu des airs avec deux fortes enclumes aux
pieds
, que Vulcain vint délivrer sa mère, que Jupiter l
u’elle l’avoit mis au monde tout contrefait), il lui attacha sous les
pieds
deux enclumes après lui avoir lié les mains derri
ole d’éloquence et de paix ; ce Dieu avoit des ailes à la tête et aux
pieds
: le pourpier lui étoit consacré. La Fable dit qu
ventre énorme, le corps couvert de plumes hérissées, des mains et des
pieds
d’hommes et des oreilles d’ours. Elles se jetoien
e Possidonie s’étoit fait une loi de consacrer à Diane la tête et les
pieds
de tous les animaux qu’il tueroit à la chasse ; u
oudées de haut30 ; et comme elle étoit placée de manière que les deux
pieds
posoient sur deux moles qui formoient le port de
que statue. Cette prodigieuse masse, malgré sa pesanteur, demeura sur
pied
pendant 1360 ans, et ne tomba que par un tremblem
es par M. Millin : Cette Table, de cuivre rouge, a de longueur trois
pieds
dix pouces, et de largeur deux pieds trois pouces
uivre rouge, a de longueur trois pieds dix pouces, et de largeur deux
pieds
trois pouces neuf lignes. Les figures y sont grav
On représente Pan sous la figure d’un satyre, avec des cornes et des
pieds
de chèvre, et tenant le pedum ou bâton pastoral.
nt de leur année dans une forêt ou ils élevoient un autel de gazon au
pied
du plus beau chêne ; ils gravoient sur le tronc d
les malades. Œnone, fille du fleuve Cebrène qui couloit en Phrygie au
pied
du mont Ida, étoit une bergère d’une grande beaut
e représentait sous les traits d’un vieillard aveugle, ayant sous ses
pieds
le globe de la terre, entre les mains l’urne qui
u corps se trouvèrent liés : La terre heureusement se durcit sous nos
pieds
, L’univers fut le fruit de ce prompt assemblage :
inte et de respect un juge environné N’effrayait point le crime à ses
pieds
prosterné. L’homme simple en ses mœurs, simple da
ntre le ciel et la terre, et lui attache une pesante enclume à chaque
pied
. Bientôt, sur les instances des dieux, Junon fut
oire. D’une main il tient la foudre, et de l’autre un sceptre ; à ses
pieds
est un aigle, les ailes déployées. Son visage, ac
dit le crâne d’un coup de hache. Une jeune vierge en sortit, armée de
pied
en cap : c’était Minerve, déesse de la sagesse et
et d’une taille élancée. Comme messager des dieux, il a des ailes aux
pieds
, aux épaules, à son caducée, et à son pétase, esp
des cornes à la tête, un nez difforme, des cuisses, des jambes et des
pieds
de bouc. Il était le chef des Satyres, autres div
limites des champs. On le représente avec une tête d’homme, mais sans
pieds
et sans mains, comme emblème de l’immobilité. Syl
les fleuves des Enfers. Proserpine est à sa gauche, et Cerbère à ses
pieds
. Il tient de la main droite tantôt un sceptre à d
ou l’Injure. Celle-ci, altière, présomptueuse, parcourt la terre d’un
pied
léger en blessant les hommes et les dieux ; les h
elles l’écoutent à leur tour dans ses besoins, et portent ses vœux au
pied
du trône de Jupiter. Un poëte a imité ainsi la pe
n côté ouvert jusqu’au cœur, où on lisait : de près et de loin. A ses
pieds
était un chien, symbole de la fidélité. La Force,
la représente sous la figure d’une femme aveugle, ayant des ailes aux
pieds
. L’un est posé sur une roue, emblème de sa mobile
’un est posé sur une roue, emblème de sa mobile inconstance ; l’autre
pied
est en l’air. 100. La Renommée. La Renommée
es Géants qu’écrasa leur tonnerre, Son front est dans l’Olympe et ses
pieds
sur la terre ; Rien ne peut égaler son bruit tumu
; 2° l’hydre de Lerne ; 3° le sanglier d’Erymanthe ; 4° la biche aux
pieds
d’airain ; 5° les oiseaux de Stymphale ; 6° le ta
° Hercule offrit de même à Eurysthée une biche aux cornes d’or et aux
pieds
d’airain, qui avait déjoué l’adresse et les effor
s flammes par les narines. Hercule dompta ce monstre et l’apporta aux
pieds
d’Eurysthée. 7° Diomède, roi de Thrace, nourrissa
et ordre qu’il exposerait seulement l’enfant. Il fut suspendu par les
pieds
à un arbre, sur le mont Cithéron. Ses cris furent
evèrent comme leur fils et lui donnèrent, à cause de l’enflure de ses
pieds
, le nom d’Œdipe. 121. Malheurs d’Œdipe. Œdi
contre eux vous combattiez : Et l’un et l’autre enfin tombèrent à mes
pieds
. L’un d’eux, il m’en souvient, déjà glacé par l’â
’ils ne la devinaient pas : « Quel est l’animal qui marche sur quatre
pieds
le matin, à midi sur deux, et le soir sur trois63
ons le poëte nous raconter ces événements : Né parmi les rochers, au
pied
du Cithéron, Ce monstre à face humaine, aigle, fe
éperdu, tend les bras à son père, Hélas ! et dans son sang tombe aux
pieds
de sa mère. A ce spectacle affreux, quoique sûr d
successivement de sa tête, de son bras droit, de sa cuisse et de son
pied
quatre fils qui furent appelés, le premier Brahma
expéditions, il traverse les airs sur un coursier rapide, ayant huit
pieds
, d’une agilité merveilleuse. Il se tient au-dessu
euf.) 63. Cet animal est l’homme. Dans l’enfance il marche sur les
pieds
et les mains, se tient droit dans la jeunesse et
lle dans son château, et La Feuillade, en entretenant un luminaire au
pied
de la statue du grand roi, avaient parodié l’apot
ins qu’un Hercule pour la nettoyer. Il semble difficile de prendre au
pied
de la lettre cet exploit singulier, qui transform
pres jaunis, le sang du dieu ruisselle des cuves sacrées et teint les
pieds
des vignerons. L’Espagne, l’Italie, la Grèce, les
acchus se tenait auprès d’elle, assis sur un tonneau de bière, et les
pieds
sur des betteraves. Cela n’est ni chrétien, ni no
une voile à l’horizon, elle prévenait aussitôt Charybde, cachée à ses
pieds
sous la mer : « Prépare-toi, ma sœur, les voici.
e quand on a sous la méninge une grande fille comme cela, et armée de
pied
en cap encore ! C’était un vrai camp que votre ce
Généralement on se le représente sous la forme d’un serpent qui a des
pieds
et une aigrette ; mais il y a bien des variétés.
et Guérison, deux déesses rayonnantes d’une jeunesse immortelle. Aux
pieds
du dieu veillaient un coq et un chien. Lui-même t
ait pâlir au bois la nymphe éperdue, Descends des hauteurs, Faune aux
pieds
légers ! Epands les trésors de tes mains fécondes
et leurs longs travaux. En ce jour béni, la forêt sauvage Verse aux
pieds
du dieu son pâle feuillage. Le loup suit au pré l
dieu son pâle feuillage. Le loup suit au pré la brebis, sa sœur. D’un
pied
aviné le vigneron danse Et frappe en cade
des anciens avait peuplé la campagne de ces dieux velus, cornus, aux
pieds
de chèvre, aux oreilles mobiles, vivantes personn
; en automne, ils entendaient les branches mortes craquer sous leurs
pieds
agiles ; quand la source élevait par intervalles
e sont vos fils. Sous notre costume ils cachent l’oreille fauve et le
pied
fourchu ; sous l’extérieur de la civilisation ils
igea pieusement vers un bénitier, qu’il trouva élevé à plus de quinze
pieds
du sol quand il fut auprès. La hauteur de ce béni
es Alpes, vues de loin, écrase les collines qui s’arrondissent à leur
pied
. Grâces. Sacrifier aux Grâces. Quel est don
e. L’Hélicon, comme le Parnasse, était consacré aux divines sœurs. Au
pied
de la montagne, sur le bourg d’Ascra, elles laiss
ntiques, la crainte des dieux vous réveille, vous vous levez, et, les
pieds
nus, Faisant claquer votre pouce contre vos doigt
s loups par la queue, les chièvres par la barbe, les oiseaulx par les
pieds
; mais jà ne seront tels philosophes pris par leu
On sait la question qu’il fit à Œdipe : « Il marche tantôt sur deux
pieds
, tantôt sur quatre, tantôt sur trois. — Seul il p
embres n’ont moins de force et de vitesse que quand il a plus de deux
pieds
. » Il faut avouer qu’avec des problèmes aussi n
’Apollon. Qu’était ce trépied ? — Un vase d’or ou d’airain à trois
pieds
, servant aux sacrifices ? — Une table couverte de
des huttes de terre. Non-nosus les dit noirs et velus de la tête aux
pieds
, sans doute à cause des fourrures dont ils étaien
résente ce dieu sous la figure d’un vieillard aveugle, ayant sous ses
pieds
le globe de la terre, et tenant dans ses mains l’
la terre avec une chaîne d’or, et attacha une enclume à chacun de ses
pieds
. Vulcain, qui essaya de délivrer sa mère, fut pré
pour cela que les anciens l’ont armé de la foudre qui se forme à ses
pieds
dans la région des nuages, et qu’ils ont imaginé
autre un sceptre, emblème de la force qui gouverne. L’aigle est à ses
pieds
, les ailes déployées. Il est nu depuis la tête ju
nt quelquefois les jeunes filles à se croire de véritables Muses ? Au
pied
du mont Parnasse, séjour des Muses, et dans la vi
ntures d’Apollon sur la terre ? — Apollon n’avait-il pas un temple au
pied
du mont Parnasse ? — Faut-il confondre Apollon av
a. Du crâne entr’ouvert de Jupiter s’élança une jeune vierge armée de
pied
en cap : c’était Minerve, déesse de la sagesse et
les traits d’un jeune homme à la taille élancée ; il a des ailes aux
pieds
, aux épaules, à son pétase, espèce de coiffe rond
bornes des champs. On le représente avec une tête d’homme, mais sans
pieds
et sans mains, pour marquer son immobilité. Il fa
des cornes sur la tête, un nez camus, des cuisses, des jambes et des
pieds
de chèvre. Il est le chef des Satyres, autres div
ur, veut enlever Eurydice. La nymphe s’enfuit, mais dans sa fuite ses
pieds
portent sur un serpent venimeux qui lui fait une
n et au mal. On la représente sous la figure d’une femme aveugle, les
pieds
ailés. L’un d’eux porte sur une roue qui tourne s
utes les blessures qu’elles faisaient. Une biche aux cornes d’or, aux
pieds
d’airain, avait déjoué les efforts et l’adresse d
nstrueux qui désolait le pays ; il fut dompté par Hercule, et mis aux
pieds
d’Eurysthée. La fange et le fumier encombraient l
à la mort. L’officier chargé de cette exécution le suspendit par les
pieds
aux branches d’un arbre sur le mont Cithéron, où
t été détaché par un berger que ses cris attirèrent. L’enflure de ses
pieds
lui fit donner le nom d’Œdipe. Cet enfant fut éle
sortirent ; les Grecs, qui s’étaient avancés silencieusement jusqu’au
pied
des murs, pénétrèrent dans la ville par la brèche
es enrichir par le commerce ; enfin, un quatrième homme sortit de son
pied
pour être le père des artisans chargés de travail
la forme d’un cheval ailé, d’une blancheur éclatante, et, frappant du
pied
le globe terrestre, il le réduira en poussière et
vers. Il traverse les airs, monté sur un coursier fougueux, dont huit
pieds
précipitent la course ; pendant les combats, il p
omme, et une inférieure, semblable à celle d’un poisson. Il avait des
pieds
d’homme, l’on apercevait une queue de poisson ; d
et ses amis ; d’y enfermer aussi les oiseaux et les animaux à quatre
pieds
. Xixutrus exécuta ponctuellement ces ordres, et f
t dans sa main gauche on remarquait une victoire et un sceptre. A ses
pieds
était un grand aigle, avec les ailes déployées, e
uvement de son front ; la foudre est dans sa main ; l’aigle est à ses
pieds
; le Respect et l’Équité siègent à ses côtés ; de
upiter ne fut point la seule cause qui fit représenter un aigle à ses
pieds
. La fable, confondue avec l’histoire, rapporte qu
e et moelleuse que les Latins nommaient ferulla. Sa tige a cinq à six
pieds
d’élévation : elle est remplie d’une moelle que l
ier les mains derrière le dos, il fit attacher deux enclumes sous ses
pieds
. Vulcain fut chargé de cette commission qu’il exé
le de Rhodes. Ses habitans lui élevèrent une statue colossale de cent
pieds
de hauteur, faite avec de l’airain. Elle était un
Niobé, que rien ne pouvait plus consoler, retourna dans la Lydie, au
pied
du mont Sypile, où le chagrin termina bientôt ses
présider à la danse. Son visage est toujours riant, et un seul de ses
pieds
touche légèrement la terre. (Fig. 16.) 6. Érato.
ait de son enthousiasme, était assise sur une espèce de table à trois
pieds
, que l’on nommait cortina ou trépied. On la couvr
te première Phœbé devait sa plus grande célébrité à l’oracle situé au
pied
du Parnasse, que lui céda la Terre sa mère. Apoll
ovale, avec une petite échancrure. Leur longueur était d’environ deux
pieds
et demi. Le nombre des anciles, ainsi que celui d
superficie des eaux, est poussée par le souffle des Zéphyrs jusqu’au
pied
du mont Cythérée. Les pieds délicats de la déesse
oussée par le souffle des Zéphyrs jusqu’au pied du mont Cythérée. Les
pieds
délicats de la déesse touchent la terre, et les f
phées sanglans, et les abandonner pour venir déposer ses lauriers aux
pieds
de la beauté. Le génie de la peinture croit lui d
ur nage à côté delle ; des Tritons l’environnent ; une rame est à ses
pieds
pour rappeler son origine ; on y place de même un
iel et de la Terre. Leur premier établissement se fit probablement au
pied
du Mont Etna, et les flammes qu’il vomit le firen
devant lequel on avait placé une statue colossale de soixante-quinze
pieds
de hauteur. Celle du temple petite et mesquine, e
tant de fonctions, on le représentait avec des ailes à la tête et aux
pieds
. (Fig. 30.) Ces dernières se nommaient talaria ou
présidait aux grands chemins. Ses statues, dans ces cas, n’avaient ni
pieds
ni mains : c’est ce que nous appelons des bustes.
’un serpent venimeux, caché sous les fleurs, se trouve froissé par le
pied
d’Eurydice, et se venge en lui faisant une blessu
Lorsqu’un enfant quittait l’ornement appelé bulla, on le déposait aux
pieds
des dieux domestiques ; et lorsqu’une famille rom
Italie ; son bras gauche répond au Pachine, situé vers l’orient ; ses
pieds
sont à l’occident, du côté de la Libye. Ovide att
figure d’une femme aveugle et presque chauve, avec des ailes aux deux
pieds
. L’un d’eux est posé sur une roue qui tourne avec
de la déesse, J’adorois Hippolyte ; et, le royant sans cesse, Même au
pied
des autels que je faisois fumer, J’offrois tout à
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